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AVATAR
 
Noah Jonhson
Statut :
Né-Moldu
Nationalité :
Irlandaise
Résidence :
wicklow, Irlande
Fonction :
Troisième année, Serdaigle
Baguette :
22,2 cm en bois de cerisier et plume de phénix
Filière :
Totale
Noah Jonhson n’avait pas une histoire pas tout à fait banale.

Alors que sa mère Katia Jonhson, tout juste âgée de 16 ans, fut admise dans la prestigieuse université de médecine de Dublin, avec quelques années d’avance sur ses camarades, celle-ci se laissa charmé par un grand brun, la vingtaine et beau parleur lors de la soirée d’intégration. Mais lorsque, six mois plus tard, elle apprit par le plus grand des hasards sa grossesse, le beau garçon avait disparu depuis bientôt 5 mois et demi.

Après avoir validé sa première année avec brio, elle mit au monde Noah au début de l’été. Pendant trois ans, elle mit entre parenthèse ses études pour se consacré à ce petit garçon bien particulier.

Noah avait hérité du physique de sa mère : des cheveux roux indomptables, de jolis yeux bleus myopes, et un superbe sourire (disparu depuis). Mais malheureusement, il semblait ne pas avoir hérité de son intelligence. En effet, à 3 ans passés, lorsque Katia repris la route de l’université et confia son fils à sa mère, Annia, qui vivait dans le Comté de Wicklow, Noah n’avait encore pas prononcé le moindre mot alors qu’il allait, lui aussi, prendre le chemin de l’école. Tous les examens médicaux ne révélant rien d’anormal, Noah fut rapidement catalogué par le personnel du jardin d’enfants et de ses camarades dans la case « enfant dérangés et/ou attardés », malgré ses excellentes aptitudes motrice et sa joie de vivre. Noah était certes toujours seul, probablement très timide, naïf également mais toujours calme et souriant. Pourtant, on demanda rapidement à la grand-mère de bien vouloir garder son petit-fils loin des autres. Il passait alors son temps auprès des animaux de la famille ou à admiré les fabuleux paysages, mais toujours en silence.

Vers ses 6 ans, lors de son entrée à l’école, on décréta que Noah n’y était pas adapté, et celui-ci fut placé dans un établissement « spécial ». C’est d’ailleurs dans cet établissement que Noah perdit son fameux sourire et pris son air continuellement triste. Il y apprit malgré tout à lire et écrire plus rapidement que n’importe qui d’autre et pu alors dévoré des dizaines de livres, notamment ceux traitant des animaux et de la nature, sans jamais se lasser. Il développa également des compétences particulières pour la cuisine et le dessin.

Puis, l’été des 11 ans de Noah, la nouvelle arriva. Poudlard. Magie. Il allait intégrer un nouvel établissement « scolaire », autrement dit, pour lui, une autre école de zinzin (surnom donné par ses camarades). Annia vieillissait, Katia devait finir son mémoire pour validé la fin de ses études, l’institut précédent ne prenait les enfants que jusqu’à 10 ans, la solution Poudlard tombait du ciel pour prendre en charge cet enfant particulier. Aussi, personne ne se posa de question sur le matériel demandé et on inscrivit très rapidement le petit Noah, sans même espérer que cette nouvelle thérapie innovante pourrait potentiellement porter ses fruits.

Noah, le chétif Noah, "le zinzin", allait donc, du haut de son petit mètre trente deux et de ses vingt cinq kilos, intégré Poudlard sans jamais n'avoir prononcé le moindre mot...