Je suis William O’Brien, un Irlandais ayant vécu toute ma vie dans la ville portuaire de Galway, sur la côte ouest de l’Irlande. Je suis assez grand pour mon âge, mesurant à peu près un mètre quarante-cinq. Pour ma corpulence, disons que je suis plutôt dans la moyenne. J’ai tout de même un teint assez pâle, malgré les activités que je peux faire en extérieur. Sinon à part ça, j’ai des cheveux bruns assez foncés plutôt long, et pas toujours très bien coiffés. Mon père, Alan O’Brien, venant d’une famille de sorcier mettant beaucoup d’importance sur le statut du sang d’un sorcier. Lui n’y prêtait pas énormément d’importance. Il n’avait pas d’avis précis sur le sujet, sympathisant avec à peu prêt tout le monde, peu importe son sang. Il quitta l’Irlande à ses huit ans pour aller vivre à Londres. Il alla ensuite à Poudlard, comme tout sorcier britannique, où il étudia à Poufsouffle. Il y fit toutes ses études, où il était un plutôt bon élève, sans grande prétention. Quelqu’un de plutôt « normal » à vrai dire. Mais à la fin de ses études, il rencontra Rosa Doyle, une vendeuse moldu, ma mère. Après plusieurs mois, ils déménagèrent pour retourner au pays natal de mon père, l’Irlande, où ils trouvèrent une petite maison en ville. Je suis né là-bas. À présent, ils tiennent une petite boutique de sorcier, au centre-ville de Galway. L’arrivée d’un bébé assez turbulent à quelque peu changé leur vie ; rempli de joie de vivre, je demandais plein d’attention et jouais avec tout ce qui me passait sous la main. En grandissant, j’ai appris à me calmer, mais je ne me lasserais jamais d’un petit peu d’action. Je suis toujours, et le resterais sûrement longtemps, quelqu’un d’impulsif. Je ne me laisse jamais faire, donc l’école pour moi n’a pas toujours était très facile. En effet, quand on montre des signes de magie vers l’âge de cinq ans, les moldus trouvent ça bizarre, et donc ne t’aiment pas beaucoup, alors en plus si tu leur tiens tête, ça ne finit pas. Mais j’ai bien d’autres préoccupations. Je dois aider mes parents à la boutique, pour ranger les objets peu dangereux, ou encore laver le sol et les vitres… Mais ce que j’aime par-dessus tout, c’est le quidditch. J’ai toujours était fan de l’équipe des Crécerelles de Kenmare, une équipe Irlandaise. Mon père m’as transmis cette passion dès mon plus jeune âge.