Barbara Beckett
- Statut :
- Sang-Mélé
- Nationalité :
- Anglaise
- Résidence :
- Sheffiel, Angleterre
- Fonction :
- Première année, Serdaigle
- Baguette :
- 27,1 cm en bois de châtaignier et plume de phénix
Barbara Beckett est une jeune et brillante sorcière de Sang Mêlé.
Son père, Archibald Beckett descend d’une lignée de sorciers de la ville, vivants génération après génération dans la maison familiale dans la banlieue de Londres. Serdaigle réputé, il n’en reste pas moins un esprit solitaire, ayant toujours trouvé les relations inter-humaines trop compliquées pour sa façon de penser. Il tient de son mère sa passion pour les plantes et la nature, qu’il transmettra à sa fille au cours de son éducation.
Différent du reste de son arbre généalogique citadin, Archibald se sent plus proche et à son aise dans la nature profonde. Il habita seul pendant plusieurs années, puis il rencontra un jour la mère de Barbara, Jolene Fitzgerald, au hasard d’une promenade. Moldue mais sensoriellement très perceptive, Jolene n’eut pas besoin de beaucoup d’explications pour comprendre la situation, et la découverte des pouvoirs du bel étranger qu’elle venait de rencontrer la charmèrent encore plus.
Les âmes vagabondes de ces deux là tombèrent rapidement en amour et en quelques années, la grande famille Beckett se composa de trois nouveaux membres. Barbara, l’ainée, suivie de Isaac et Ezra, respectivement cadet et benjamin de la tribu. La famille a ainsi vécu pendant quelques années de bonheur dans la charmante maison qu’ils avaient bati ensemble, dans les profondeurs de la forêt de Sherwood. Barbara a toujours adoré cet endroit, la grande cheminée devant laquelle elle étendait ses vêtements trempés par la pluie, les arbres qui traversaient l’endroit, laissant apparaître leurs racines et leurs branches ci et là.
De nature naturellement calme et réfléchie Barbara reste une enfant plutôt complexe. Souvent cachée derrière ses épais cheveux noirs, elle analyse silencieusement le comportement humain, tant de sa famille que de ses camarades d’école. Ses grands yeux clairs semblent parfois si perçant que de nombreuses personnes préfèrent détourner le regard.
Passionnée comme son père de nature de plantes et de potion, elle fut ravie de découvrir sa lettre de Poudlard, celle dont elle avait tant entendu parlé, délicatement déposée sur son lit lorsqu’elle revint d’une longue escapade dans sa forêt natale.
Son père, Archibald Beckett descend d’une lignée de sorciers de la ville, vivants génération après génération dans la maison familiale dans la banlieue de Londres. Serdaigle réputé, il n’en reste pas moins un esprit solitaire, ayant toujours trouvé les relations inter-humaines trop compliquées pour sa façon de penser. Il tient de son mère sa passion pour les plantes et la nature, qu’il transmettra à sa fille au cours de son éducation.
Différent du reste de son arbre généalogique citadin, Archibald se sent plus proche et à son aise dans la nature profonde. Il habita seul pendant plusieurs années, puis il rencontra un jour la mère de Barbara, Jolene Fitzgerald, au hasard d’une promenade. Moldue mais sensoriellement très perceptive, Jolene n’eut pas besoin de beaucoup d’explications pour comprendre la situation, et la découverte des pouvoirs du bel étranger qu’elle venait de rencontrer la charmèrent encore plus.
Les âmes vagabondes de ces deux là tombèrent rapidement en amour et en quelques années, la grande famille Beckett se composa de trois nouveaux membres. Barbara, l’ainée, suivie de Isaac et Ezra, respectivement cadet et benjamin de la tribu. La famille a ainsi vécu pendant quelques années de bonheur dans la charmante maison qu’ils avaient bati ensemble, dans les profondeurs de la forêt de Sherwood. Barbara a toujours adoré cet endroit, la grande cheminée devant laquelle elle étendait ses vêtements trempés par la pluie, les arbres qui traversaient l’endroit, laissant apparaître leurs racines et leurs branches ci et là.
De nature naturellement calme et réfléchie Barbara reste une enfant plutôt complexe. Souvent cachée derrière ses épais cheveux noirs, elle analyse silencieusement le comportement humain, tant de sa famille que de ses camarades d’école. Ses grands yeux clairs semblent parfois si perçant que de nombreuses personnes préfèrent détourner le regard.
Passionnée comme son père de nature de plantes et de potion, elle fut ravie de découvrir sa lettre de Poudlard, celle dont elle avait tant entendu parlé, délicatement déposée sur son lit lorsqu’elle revint d’une longue escapade dans sa forêt natale.