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AVATAR
 
Lana Brow
Statut :
Sang-Mélé
Nationalité :
Anglaise
Résidence :
Hartfield, Angleterre
Fonction :
Première année, Serdaigle
Baguette :
29,8 cm en bois de chêne et plume de phénix
Je m’appelle Lana. Lana Brow. Je suis née le 25 Octobre à Kidlington, une ville tout près d’Oxford. Je suis brune, les yeux marrons; amicale et loyale surtout envers mes amis et ma famille. Je n’ai pas la prétention de me définir comme enfant modèle, mais j’ai pour atout d’être une jeune fille travailleuse et rigoureuse dans tout ce que j’entreprends. Mes parents décidèrent de m’appeler ainsi car Lana signifie « éclat du soleil ». C’est jolie, non. D’ailleurs, je me dois néanmoins de les introduire.
Ma mère, Annah Brow, de son nom de jeune fille, Annah Khiels; était une jeune femme joviale et pleine de vie, née d’une famille moldue. « Etait », car elle est malheureusement morte, un 25 juillet, lorsque je n’étais qu’enfant, juste avant mes deux ans. Je n’ai donc aucun souvenir d’elle, si ce n’est que de vieilles photos. Je ne peux pas dire qu’elle me manque réellement, car je ne l’ai jamais connue, même si j’aurais aimé. Ma mère découvrit qu’elle était sorcière lors de la réception de sa lettre pour Poudlard; mes grands-parents avaient plutôt bien appris la nouvelle me semble-t-il. Je ne leur ai jamais vraiment parlé de tout cela et il faut dire que l’on ne se voit que très rarement de ce côté, car ma mère n’avait ni frère et sœur.
Mon père, Paulin Brow descend d’une longue lignée de sorcier; il semblait donc « normal » pour tout le monde qu‘il en soit un. Que je me souvienne, il a toujours travaillé au ministère de la magie; dans le département de la justice magique en tant que tireur d’élite de baguette magique; et a, malgré les épreuves, mis tout les jours beaucoup de cœur à l’ouvrage. Mon père c’est mon modèle; celui qui m’a élevé. Il faut dire que la mort de ma mère fut un choc terrible pour lui; d’après mon oncle Hans. Hans c’est le frère de mon père… et mon unique oncle. Pas marié, pas d’enfants; « pas de problèmes » qu’il dit toujours. Ce bon vieux oncle Hans. C’est toujours le premier à nous donner des friandises et à m’offrir ma tarte à la citrouille, ma favorite. Ce fut le premier à découvrir mes pouvoirs magiques à l’âge de quatre ans. Quand à mes grands-parents du côté de mon père, avec eux non plus je n’ai pas beaucoup de dialogues. Ils se contentent juste de ressasser le passé; leur bon vieux temps comme ils ont l‘accoutumé de le mentionner; et de remuer leur thé à l‘aide de leurs baguettes magiques.
Mais tout ceci n’a pas empêcher mon cher père de se remarier.
Ma belle-mère se nomme Ella et c’est une sorcière; et je pense que ses parents le sont aussi mais à dire vrai je ne les ai jamais rencontrés, et Ella n’en parle jamais. Elle eut un fils, Odet Syrac, d’une première union avec un sorcier: c’était un gardien de l’équipe d’Angleterre de Quidditch, Felix Syrac. Malheureusement une grave blessure l’a empêché de prolonger son contrat dans l’équipe. Odet est de trois ans mon aîné. Je ne sais pas les raisons de leur séparation, mais ça s’est passé peu de temps après la naissance d’Odet
Puis Ella rencontra papa, se marièrent très rapidement et un an plus tard, Julian et Dorian étaient nés, je n’avais alors que cinq ans. Je les appelle mes jumeaux maléfiques: tellement gentils, mais tellement gauche à la fois!
Même si tout ceci fut rapide, aussi bien pour moi que pour papa, cela nous remplissait de bonheur, car nous avions une famille et loin de nous cette atmosphère de solitude et de deuil que j’aurais certainement ressentie si Ella n‘était pas rentrée dans notre vie. Papa fut celui qui me donna goût à apprendre, mais Ella me cultiva et m’encouragea à lire beaucoup. Ella dit toujours que la théorie permet de mieux appréhender la partie pratique de toute chose.
A eux deux, ils m’ont ainsi donnée le goût de travailler pour le bien et pour la vérité; c’est ainsi que j’espère devenir une sorcière d’élite de la Brigade de Police magique au ministère de la magie.
Je sais que mon père sera fier de moi, et c’est la seule chose qui me donne envie de me battre jusqu’au bout.