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AVATAR
 
Dylan Swanson
Statut :
Sang-Mélé
Nationalité :
Écossaise
Résidence :
Ayr, Écosse
Fonction :
Sixième année, Gryffondor
Baguette :
29,2 cm en bois de cerisier et crin de licorne
Moi c'est Dylan. Dylan Swanson. Oh je suis un garçon tout ce qu'il y a de plus simple et mon histoire n'est pas vraiment très intéressante. Il y a juste mon prénom qui signifie « né de la mer » mais je ne pense pas avoir été conçu là-bas. Je suis un simple petit garçon de onze ans qui va commencer sa scolarité dans la célèbre école de Poudlard. Un garçon tout ce qu'il y a de plus basique, je vous l'avais bien dit. Plus sérieusement : je m'appelle donc Danny et je vis avec mes deux parents et mon grand-frère en Angleterre. A Londres. Je mène une petite vie bien rangée, nous nous entendons tous très bien au sein de notre famille même si elle est un peu divisée. En effet, mon père travaille dans une boutique de farces et attrapes moldu, quand bien même il est un sorcier il ne voulait pas vouer sa vie à la sorcellerie, il préfère s'amuser d'où ce magasin de farces et attrapes. Ma mère a plus la tête sur les épaules et travaille au ministère de la magie, elle aussi c'est une sorcière. Mon grand-frère est ce que l'on peut appeler un voyageur : il va de pays en pays pour en apprendre plus sur le monde et ses cultures. Fabian n'a pas hérité des pouvoirs de mes parents. D'ailleurs, ça nous a tous un peu surpris, surtout mes parents en fait puisque moi je n'étais alors pas encore né, mais le fait qu'on découvre que moi j'en étais un avait été une surprise en même temps qu'une joie. Mon frère et moi avons quelques années d'écart : 13 ans en fait. Il a en effet vingt-quatre ans. Du coup, quand on a compris que j'étais un sorcier moi aussi, j'ai eu le droit à la petite anecdote sur mon frère puisque je n'y connaissais alors rien au monde de la magie.
Drôle d’année que celle de mes sept ans. C’est en effet à cet âge-là que j’ai appris que j’étais un sorcier. Vous savez comment sont les enfants : tous un peu curieux et turbulents. Moi j’étais particulièrement turbulent, j’aimais beaucoup m’amuser et toucher à tout. J’étais aussi très curieux du haut de ma petite tête châtain. Alors un dimanche, alors que toute la famille était au complet (et c’est assez rare pour le souligner), tout le monde mangeait le dessert du midi mais moi j’étais déjà sorti de table. Les conversations de grands m’ennuyaient beaucoup à cet âge-là. Je me suis donc aventuré dans la chambre de papa et maman, et quand bien même maman est très sérieuse et remonte les bretelles de papa quand il fait une blague, elle aussi était un peu tête en l’air. Alors comme tout bon garçon qui se respecte, j’ai fouillé un peu partout pour m’amuser avec ce que je trouvais dans les tiroirs. Et ce jour-ci j’avais accidentellement trouvé la baguette de ma mère, que j’avais prise pour un simple jouet. Quelques mouvements du poignet comme lorsqu’un petit garçon joue avec quelque chose et c’était fait : une bêtise d’enfant. J’avais malencontreusement fait voler le vase décoratif préféré de ma mère. Téméraire mais pas vraiment courageux, je m’étais mis à pleurer en m’excusant avec mes beaux yeux verts et de ma belle tête d’ange et ma mère avait finalement décidé de m’épargner un châtiment du diable. Je me rappellerai toujours de sa tête à ce moment-là : entre le désespoir et la fatigue. En tout cas, bêtise ou non, j’avais donc compris ce jour-là que j’étais moi aussi un sorcier, et qu’en tant que tel, j’allais probablement faire mes études à Poudlard.
Et en effet, à mes onze ans, j’avais reçu ma lettre d’admission à l’école de magie. Fabian était absent ce jour-là, il était en Allemagne je crois si je me souviens bien. Mais mes parents, eux, étaient bien présents et très content de cette nouvelle. Moi je ne savais pas trop quoi penser : j’avais déjà des amis mais je m’en ferais probablement des nouveaux et puis je voyais cela comme une aventure et j’adorais l’aventure. C’est un peu mon côté fougueux. Fougueux ou non, je savais également me faire discret quand il le fallait et j’appréciais des moments de solitude pour me mettre à réfléchir ou à faire mes devoirs. Cela ne me posait pas plus de problèmes que cela d’étudier, j’aimais bien apprendre de nouvelles choses quand cela m’intéressait. Et justement, cette nouvelle école m’intriguait de plus en plus à mesure que le jour de la rentrée des premières années approchait …