La vie n'est pas simple, la jeune fille le sait bien.

Une petite larme coule sur la joue d'Emma. Elle s'en veut presque encore d'espérer un amour voué à l'échec. Sa mère ne l'aimera jamais, alors à quoi bon continuer à y croire ? A quoi bon continuer à se dire que tout n'est pas perdu, que la vie lui rendra un jour la monnaie de la pièce, alors qu'elle sait pertinemment que ce n'est pas la cas.

Pourtant, elle ne peut s'empêcher d'être énervée, parce que pour une fois, sa famille, si imparfaite soit-elle, aurait pu faire un effort. La jeune fille revit avec une précision effroyable les yeux froids et accusateurs de sa mère posés sur elle, voulant tout dire. Emma l'avait dévisagé et elle n'avait pu déceler dans le regard de Liliad Pan qu'une certaine appréhension à l'idée de quitter sa fille, qui c'était terni sur un sentiment de dégout et d'une profond mal-être. Mère n'allait pas bien, elle avait eu une enfance difficile, et Emma du haut de ses onze ans l'avait rapidement compris. Mais était-ce une raison pour reproduire la même chose sur sa propre portée, non, aucun humain ne méritait cela, et pourtant, Mère ne s'en figurait pas.

- A-fuuu, a-fuuu... Calme toi, tout va bien. Snif, snif..."

Partir, partir peut être après tout un moyen de faire le point ? De se reconcentrer sur l'avenir et de cesser de regarder en arrière, ce qui lui est néfaste. Pourtant, dans son cœur, il y a un tambours qui bat, qui lui rappelle que, où qu'elle aille, elle sera toujours rattrapé par la vérité qu'elle ne peut affronter. L'étrange vérité, qui une fois éclatée, ne cesse de gonfler.

Les pas de la jeune fille s'alignait sur la quai de cette gare ô combien étrange et nouvelle pour la rousse. Une fois devant le train, Emma regarda en arrière, une dernière fois, et aperçu la menue main de sa petite sœur Carmen s'agiter dans sa direction. Elle sourit doucement, et en tournant les talons, elle aperçu une personne, ou plutôt un reflet dans la vitre du Train.

La silhouette en face d'elle semblait triste, et perdue. Elle avait des poches sous les yeux, et les yeux bouffis par des larmes récentes. Emma détourna le regard, non sans avoir jeté un dernier regard à la fille en face d'elle, et monta lentement les marches du train.

Premier compartiment, deuxième compartiment, troisième compartiment. La jeune fille choisit celui qui donnait vu sur le bleu du ciel, un bleu plein d'avenir, de promesses.
Assise sur le banc en velours, elle laissa son regard se perdre au loin, tandis que la mystérieuse fille continuais de la dévisager, surprise. Une petite larme s'échappa de son œil avant de rejoindre les autres, sur le col de sa veste.



@Alma Parker et @Mucheng Su à vous les filles...

J'écris à la première personne pour une fois.

Quand on a vécu dans le monde des moldus, apprendre l'existence des sorciers c'est une chose, surtout quand un membre de sa famille en est un. Mais alors savoir que moi, je suis une sorcière, j'ai cru suffoquer sur le coup ! J'ai d'abord cru que c'était une blague. Mon père et ma mère m'ont expliqué ça d'une façon tellement bizarre, je me disais que ça ne tenait pas debout. Et quand mon père a levé un jolie bâton de bois sculpté, et qu'il a fait lévité mon bol de céréales, là j'en étais bouche-bée !
Tout c'est passé très vite. On m'a donc expliqué à peu près tout sur le monde des sorciers, nous avons été sur le chemin de traverse (la boutique Weasley est vraiment géniale), je suis allée à la gare de King-Cross, et me voilà maintenant dans le Poudlard-Express.
C'est fou, quand je pense que j'ai traversé un mur pour venir ici, je me dis que...que...c'est un monde de fou.
Je parcoure mon wagon en essayant de trouver un compartiment vide mais sans succès. Je me penche finalement vers un compartiment où est assis une fille. Cette fille rousse ou brune - je ne le sais pas trop – a les yeux rouge, tout bouffis, comme si elle venait de pleurer. Elle vient de pleurer, ça se voit beaucoup trop. Je tente ma chance et tire la porte du petit compartiment. Je ne suis pas très gaie aujourd'hui. Pour une fois que je ne sautille pas dans tout les sens comme une pile électrique. J'ai envie qu'Astrid soit avec moi, mais je sais que c'est impossible. Si être cracmol est un fait très rare, alors pourquoi faut-il que ça arrive à ma sœur ? Je ne sais pas. Mais en tout cas, je me poserai la question tout à l'heure car je me rends compte que je suis plantée-là, à penser. Je m'assois sur la banquette en face de la fille, et ouvre ma petite deuxième valise pour vérifier que j'ai deux trois bombabouse en stock. Je referme ma malle à farces et attrapes et la repose à mes pieds. Je regarde cette fille. Le regard triste et mélancolique qu'elle a, me dit qu'elle n'a peut-être pas envie de parler. Mais je suis trop curieuse, et j'ai très envie de lui demander comment elle s'appelle. J'ai peur que ma façon culottée pousse ma curiosité, mais j'essaie d'être polie :

- Salut, tu t'appelles comment ?

Elle ne me répond pas, alors j'ignore le petit vent qu'elle m'a fait, et recommence à penser à Astrid.

@Mucheng Su, à ton tour !

Les parents de Mucheng l'avaient emmenée à la gare, avant de lui souffler quelques mots d'encouragement, rien de très spécial, rien de très démonstratif. La jeune fille se dirigeait marchait sans trop réfléchir dans les wagons, traînant une lourde valise dans laquelle elle avait essayer de ramener toute sa vie dedans. Plus elle avançait dans le train, plus ses bras lui faisaient mal, et plus elle craignait que la valise ne s'effondre avec toutes ses affaires à l'intérieur.

Pendant que Mucheng cherchait un wagon vide, ou du moins avec assez de place pour sa valise et elle, elle entendit une fille pleurer. Rien de spécial, elle pense.

- A-fuuu, a-fuuu... Calme toi, tout va bien. Snif, snif...

La jeune fille ne pouvait pas s'en empêcher, elle était curieuse, après l'avoir entendu se parler à elle même. Elle jeta un coup d'œil dans son wagon, et vit qu'il ne contenait que deux filles. Celle qui pleurait, et une autre qui se tenait là, l'air perdue.

L'autre fille tente de lancer la conversation avec celle qui pleurait toutes les larmes de son corps.

- Salut, tu t'appelles comment ?

Son entrée en matière fait sourire la petite sorcière avec la lourde valise. C'est quand même culotté, pense-t-elle. Et sans trop réfléchir, Mucheng rentre dans le wagon, et s'assoit en face de la sorcière qui ne s'arrête pas de pleurer, juste à côté de celle qui ne pleure pas.

- Euh… Tout va bien ici? Tu veux de l'eau? lance Mucheng, hasardeusement, avec un petit accent, en tendant une petite bouteille.

Une fille brune entre, oh non... Elle ne veut PERSONNE !!! C'est compris ! Mais non, elle n'a pas l'air d'avoir compris puisqu'elle lui pose quand même une question :

"Salut, tu t'appelles comment ?"

Elle ne voit pas qu'elle pleure, là ! "C'est ça cause toujours, alors ta gueule", pense t-elle.

Elle est méchante, et elle s'en rends compte. Ça n'est pas elle ça... Qu'est-ce qui lui prends ? La fille à l'air d'attendre une réponse puis, se remet à penser. Elle lui semble gentille mais elle n'est pas d'humeur à se confier. Pas d'humeur à se confier ? Pourtant, elle explose. Toute son âme, son être à envie de sortir de cette vie, de ce corps, de cette enveloppe corporel. Elle veut vomir. Vomir ses tripes ? Alors elle se lève, la fille, perdue dans ses pensées ne la voit pas. Si seulement elle arrivait à atteindre la porte... Elle sauterait du train et, temps mieux si elle meure, temps pi si elle survit. Mais au moins, elle part, s'échappe, cours, cours, cours, aussi loin que ses jambes pourront la porter. Et elle ne revient jamais. Jamais.

"Beuargh", une remontée, elle est dégoûtante et elle ne mérite personne. ""Pas même toi, ton corps, si dégoûtant soit-il, tu ne le mérite pas."" Et puis tout retombe, elle a envie d'en parler, envie de crier, envie d'hurler. Elle veut brailler, comme une petite fille, se faire consoler, se faire câliner, entendre que tout va bien, que ça va aller... Elle se rassoit, l'envie étant toujours là de gerber...

Au lieu de ça, une fille brune entre. Encore... Elle lance :

"Euh… Tout va bien ici ? Tu veux de l'eau ?"

De l'eau. Oui elle avait envie d'eau. Mais elle avait avant tout envie de vomir. Tout. Sa haine. Sa douleur. Son passé. Son indifférence. Ce corps. Ses cheveux... Tout. Elle regarda avec les yeux d'une fille sans joie. Puis c'est trop tard. Là il faut qu'elle gerbe...

"Beuarrrrrrrrrhg" vomit-elle enfin, sous les yeux des deux filles.

"Keuf keuf keuf, kok", elle reste penchée au dessus, puis se rends compte du désastre. Elle a vomi sur un bout de la valise d'une fille. De qui au fait ? A voir la tête, elle pense la brune. Elle est bête, irresponsable, horrible, aussi bien moche à l’intérieur qu'à l’extérieur.

"Je, kof, kok, par...don, je suis vraiment horrible, je vais t'aider" dit-elle en essuyant sa bouche et ses larmes avec un pan de sa robe.

A vous les filles @Alma Parker et @Mucheng Su ❤

désolée pour le retard...comme d’habitude

Astrid...Astrid je t’aime ma sœur chérie. Mais pourquoi la vie a fait que tu es une cracmol !
La vie est vraiment infecte par fois. Pourquoi pourquoi et pourquoi !
J’ai envie de me dire merde à la fin !
Je t’aime Astrid, mais pourquoi fichtre je suis une sorcière et toi une cracmol !

Ces phrase tourne en rond dans ma tête et je m’auto saoule avec ces mots qui me fond monter les larmes aux yeux.
Je reste dans mes pensées et ne regarde pas ce qu’il se passe autour de moi. Je ne me rends même pas compte que la fille étant assise devant moi s’est levée. Je le remarque seulement quand une fille aux cheveux noirs et yeux bridés entre dans le compartiment.

- Euh… Tout va bien ici ? Tu veux de l'eau ?

Je me demande d’abord pourquoi elle dit ça. Je n’ai pas besoin d’eau ! Pourquoi elle me le demande ? Et c’est après que je comprend qu’elle s’adresse à l’autre fille, et je sais pourquoi. Elle est blanche et a une main collée sur la bouche, comme si elle s’apprêtait à vomir. Oui en effet, elle était sur le point de vomir. J’entend un gros « Beuarrrrrrrrrhg » dégoûtant. Je rouvris les yeux ( je les avais fermé par réflexe ). Je me rendis compte du désastre . La cabine était verte, et l’on ne voyait plus par les fenêtre du compartiment. Le plus vert dans tout ça, c’était la fille qui venait d’entrer. Elle était vraiment bouche-bée, et moi morte de rire. Au lieu de se rendre compte du désastre, la fille au teint pâle essuyait un microscopique bout de ma valise qui avait à peine été touchée par l’incident. Je m’efforçais de me retenir mais je ne pouvais plus. J’ai explosé de rire devant le regard étonné de la rousse et le regard vénère de la brune. Je dis, en pouffant :

- Pardon mais c’était plus fort que moi... commençais-je, Sérieusement, tu n’as pas l’impression de faire la débile là ! Mais regarde autour de toi ! je finis en m’adressant à la rousse.

À vous, @Mucheng Su et @Emma Pan

Emma prend un mouchoir. Il vient d'où au fait ? Elle ne sait pas, et se contente d'essuyer, telle un vulgaire serviteur. Elle n'ose même pas lever les yeux,
Pathétique, tu es pathétique ! Ho non ! Ca y est, elle revient, dans sa tête, comme une lionne, affamée, n'attendant que sa victime.
Oh oui, une victime, ou un serviteur ! la voix, s'amuse, se moque.
Tais-toi, tais-toi, s'il te plaît...
Oh, je t'avais dit qu'il ne fallait pas y aller, Poudlard. cracha la voix tu vois tu ne vas t'attirer que des emmer...
Tais toi ! Emma se relève, et tend la main, puis retombe, épuisé. La cabine est verte, et apparemment, elle ne va pas pouvoir compter sur ces... Filles, pour l'aider. Mais qui sont elles au juste, pour laisser tomber une pauvre fille, qui n'a rien fait ?
Ah, bah, mesdames, sont trop parfaites, elles n'ont jamais vomi de leurs petites vies pourries, j'imagine ?!!
La rousse sent la colère monter, si elle pouvait, là, maintenant, tout de suite, elle sauterait du train, et ne reviendrait jamais. Elle sert les poings jusqu'à ce que de vilaines marques rouges apparaissent sur ses paumes. Elle s'apprête à leur crier dessus, et à leur dire de l'aider, quand la fille brune lance, en rigolant :

" Pardon mais c’était plus fort que moi... Sérieusement, tu n’as pas l’impression de faire la débile là ! Mais regarde autour de toi !"

Emma fulmine, si elle s'était reconvertie en taureau, elle était certaine qu'on aurait put voir la fumée sortir de ses naseaux. Elle hurle :

"Nan, mais je rêve ! Alors Madame, a le culot de me dire que j'suis débile, mais tu sais ce que ça fait de se dire tous les jours qu'on a pas sa place dans cet univers, d'être limite possédée par une voix qui porte toute le mal du monde contre vous ?! Non, j'pense pas alors tais toi ! Et si tu veux te rendre utile, ce qui serait fort étonnant, aide moi essuyer !!!"

@Alma Parker et @Mucheng Su à vous, désolé du retard ❤

j’ai un gros retard comme d’habitude...désolée encore une fois

Après ma réflexion ( pas très utile je pense ), la rousse pète un plomb, à croire que de la fumée aurait pu lui sortir des naseaux :

- Nan, mais je rêve ! Alors Madame, a le culot de me dire que j'suis débile, mais tu sais ce que ça fait de se dire tous les jours qu'on a pas sa place dans cet univers, d'être limite possédée par une voix qui porte toute le mal du monde contre vous ?! Non, j'pense pas alors tais toi ! Et si tu veux te rendre utile, ce qui serait fort étonnant, aide moi essuyer !!!

Je crois bien que je l’ai un peu vexée, mais elle pourrait me répondre gentiment quand même ! Et puis cette manie de croire que c’est la personne la plus malheureuse du monde, ça va quand même !

- Heu, mais tu vas te calmer ! C’est bon détends-toi un peu là ! Et d'abord non j’vais pas essuyer, au dernières nouvelles c’est toi qui a foutu tout ce bordel ! Pas moi ! Et regardes-la elle ! ( je pointe du doigt la fille aux yeux bridés ) Tu crois pas que tu devrais l’aider un peu ! Trois heures qu’elle attend que tu lui fasses tes excuses ! Et non, toi tu préfères astiquer un minuscule bout de ma valise ! C’que tu peux être bête quand même !

Moi aussi je fumait presque des naseaux, je crois que ma deuxième réflexion ne lui avait pas tellement plu. Étonnamment, elle ne m’arracha pas la tête. Mais je crois que c’est parce qu’elle était figée de colère. Jamais avant j’en n’avais vu de personne aussi rouge. Jamais avant je n’avais vu de personne qui fumait autant des narines. Son air furieux faisait presque peur...

@Emma Pan et @Mucheng Su

N'ayant plus de nouvelles de Mucheng, nous continuons le RP, en disant que précipitamment, elle est sortie du compartiment sans rien dire avec sa valise (pleine de vomi )

La rousse fixai désespérément la fille brune sortir, qui lui jetait un regard de pitié, mélangé à un regard de dégout.

Emma se sentit si mal. Puis les paroles blessante de la fille lui revinrent directement.
La rousse l'aurait bien tué sur le champs mais cela n'aurait pas arrangé son cas, et puis elle se sentait fatiguée. Fatigué d'avance. "C'que tu peut être bête quand même" Elle lui avait craché ça dans la tête.
De un, j'suis pas bête et de deux tu commences à m'souler.
Il fallait impérativement qu'elle se calme, inspire, expire. Pfff...
Tout va bien, çe n'est pas cette conne qui va venir me gâcher la vie.

Emma répliqua, du plus calmement qu'elle pouvait :

"Tss... T'sais quoi, j'sais même pas pourquoi j'perds mon temps à t'parler, j'viens de gerber et tout c'que tu trouves à faire c'est m'gueuler dessus, vraiment y a d'ces gens..."

La rousse n'a qu'une envie : sortir d'ici. Elle étouffe avec cette fille qui lui hurle dessus alors qu'elle tente d'aider, ou du moins d'se rattraper.

L'autre fille, elle a rien voulut savoir, elle s'est cassée sans demander son reste, bravo.
Emma lance un regard qui aurait pu tuer un lion à cette étrangère qui n'est rien pour elle.

La rousse la gratifie d'un air narquois, avant d'essuyer non pas la valise d'la fille mais un micro-pan de sa robe.

Elle rajoute finalement, un brin provocatrice :

"Au fait, je sais qu'tu t'en fous, mais j'm'appelle Emma."

@Alma Parker à toi , désolée pour le retard

Je sentais que la rousse était en furie. Apparemment, elle s'était "levée du mauvais pied" (bien que l'expression soit extrêmement légère pour le cas).
La brune, elle, s'était éclipsée du compartiment sans dire un mot, comme ça. Tss...dire que je l'ai défendue. Et puis cette autre fille qui pensait que le monde s'acharnait contre elle, vraiment...
La rousse me fusilla du regard avant de me lancer :
- Tss... T'sais quoi, j'sais même pas pourquoi j'perds mon temps à t'parler, j'viens de gerber et tout c'que tu trouves à faire c'est m'gueuler dessus, vraiment y a d'ces gens...
"Y'a d'ces gens". Y'a d'ces gens, y'a d'ces gens comme toi oui ! Nan mais je rêve !
Elle frotta un micro-pan de sa robe avant de poursuivre :
- Au fait, je sais qu'tu t'en fous, mais j'm'appelle Emma. dit elle avec amertume.
Comme si ça allait m'intéresser ! Non mais franchement !
J'en avais plus que marre de cette fille, et je me demandais pourquoi je ne sortais pas mais mes jambes était incapables de bouger, figées par la colère.
Un long silence glacial se fit "entendre" dans le compartiment. Il dura quelque minutes, jusqu'à ce que mes jambes enfin décidées à bouger, je bondis de la banquette.
- T'as raison, j'm'en fous. lançai-je à la petite victime.
Je sortis de ma poche un mouchoir en tissu que je mis sur la poignée de ma valise pour que je puisse la prendre sans toucher le vomis. J'enfourchai ma malle et sortis du compartiment sans dire un mot.
Je fermai la porte et recommençai à chercher une cabine vide lorsqu'un détail qui m'étais jugé de la plus haute importance me revint : je repris direction vers l'ancien compartiment – où je m'étais fait jurer de ne jamais y remettre les pieds – et j'ouvris la porte brusquement :
- En fait moi c'est Alma, lâchai-je avec froideur.
Puis je re-claquai la porte aussi brutalement que je l'avais ouverte et repris mon chemin.



Fin de ce RP pour moi, merci beaucoup pour cette aventure @Emma Pan et @Mucheng Su !