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13 mai 2021, 18:34
 rp libre  À l’attente du train


Rpg libre.
Pas besoins de hiboux pour participer, un peu d’inspiration suffit.
J’ai posté en 220 mots mais n’hésitez pas à faire plus.


01.09.45

J’étais arrivée en avance, de peur d’être en retard. J’attendais, mon sac sur le dos et ma valise à la main l’arrivée du train. C’était impressionnant. J’avais envie que quelqu’un me pince pour me dire que je ne rêvais pas. Tout le monde se bousculais, était très excitée.

Moi, j’attendais à l’écart un peu nerveuse. Je frottais mes mains et me posais pleins de questions... J’espère ne pas m’être trompé de voie… et si je me perds ? Et si, j’ai oubliée quelque chose d’important ?
Une main me sort de mes pensées. C’est la main de ma mère qui me tire de mes rêveries l’air émue.

- Tu seras vigilante, un ?

- Oui maman, c’est ma deuxième année à Poudlard. Je ne vois pas pourquoi ça pourrais mal se passer.

J’essayais de ne pas lui montrer mon excitation et en même temps ma panique. Je lui fis un câlin, fouilla dans une de mes poches de sac à dos pour en sortir un mini carnet de croquis. J’arrache la dernière page. Sur celle-ci, on voit un dessin de moi qui me plais chez les Gryffons. Je l’entends à ma mère en guise de souvenir.

Elle aussi fouille les poches de son manteau et elle finie par dénicher une bourse de pièces et un bracelet.

- Tiens, la bourse de pièce, c'est pour les collations du train.

- Merci maman ! Tu lis dans mes pensées visiblement !

Je glisse le sachet de pièces dans ma poche et la re-ferme pour ne pas les perdre.

Elle m’enfile le plus délicatement possible le petit bracelet tisser à mon poignet gauche. Qu’il était joli !

Dommage que mon père n’est pas pu venir. Mais j’ai pris tout le temps qu’il fallait pour lui dire au revoir.

Dernière modification par Alice Smith le 29 avr. 2022, 20:00, modifié 5 fois.

JTM Aaron
Le cœur est comme la mer, c’est dans ses profondeurs que l’on découvre ses plus belles richesses
#800080

14 mai 2021, 09:40
 rp libre  À l’attente du train
Remarque : habituellement j'utilise un narrateur externe qui utilise la 3ème personne pour désigner Lewis. Mais étant donner que j'ai déjà écrit pour ma première année qui ne décrit pas tellement l'attente du train mais qui parle des sentiment de Lewis, je me suis dit que ce serait bien que j'utilise le pronom "je" afin de pouvoir vraiment exploré l'émotion de ma protégée. Je prefère donc le précise. Merci beaucoup !!!
Après les derniers adieux,


Bon, tu fais attention... et tu prends soin de toi, hein ?
Me chuchotte ma petite maman.

C'est là première fois que je l'entend depuis le trajet pour arriver ici. Mais que dire face à cela, je ne sais pas, je ne sais plus. Je ne comprends rien à ce qui m'arrive. Je ne peux que répondre "oui" alors que là je n'ai qu'une envie que l'attente du train dure éternellement. Mais peut-être aurions encore plus souffert. Et de nos éternelles adieux nous pleurions à chaudes larme. Je dois être forte, me retenir de pleurer même si je sais que je n'y arrivais jamais.

Lewis, tout va bien ?

Mes jambes vont bientôt me lâcher, mais je dois tenir encore, encore pour voir une dernière fois son visage. Puis, il advient que je lui réponde. Que faire face à cette séparation, les distance qui nous sépare son in-comptable. Ce ne sont pas des kilomètres mais deux mondes différents. Je sais qu'au fond nous avions déjà été séparé par ceci bien avant que les problèmes arrivent et pourtant les soucis étaient déjà bien présent. Je ne serais jamais totalement "normale". Pff... il me doit de lui répondre, je le dois :

Oui, je vais bien, je suis juste un peu fatiguée.

Elle m'embrasse tendrement et me prend dans ses bras. Je me sens en sécurité et en danger. Le danger c'est ce monde dont je suis trop curieuse. Je n'est même pas eu le droit d'expliquer à Popie (mon grand-père) ce qu'était réellement cette école seule ma mère et Bethie (ma tante) savent. Le moment ne se tarde pas pour arriver, et oui, on nous informe que je vais devoir rentrer en gare.

Bon bah... j'y vais.

Je l'enlace une dernière fois avant de rejoindre l'autre côté après des dernier adieux poignant. Je suis navré de lui avoir menti, j'aurais ce mensonge sur ma conscience durant tout le voyage. Ce n'était pas des "aux revoirs" corrects. Je suis inquiète même si bien sûr je suis comme même accompagnée par un le représentant sorcier du responsable légal (ma mère). Peut-être que c'est moi le problème. C'est moi que voulait connaître ce monde avec des personnes comme moi. Cependant, j'en ai besoin et il faut que j'y aille, que je connaisse mon passé pour savoir ce que je suis.
Dernière modification par Lewis Nean le 14 mai 2021, 14:18, modifié 3 fois.

L.-N

14 mai 2021, 13:08
 rp libre  À l’attente du train
Ah, ce moment là Mya l'avait attendu presque tout l'été, pour être plus précis elle l'avait attendu depuis qu'elle avait reçu sa lettre accompagné de son billet direction Poudlard. Le départ était fixé à 11 heures à la gare king cross. Mya sa mère Claire, son père Gabriel et sa petite fée Yon c'était levé très tôt ce matin. Pas par besoin car ils habitaient déjà à Londres mais plus par stress. Et oui ils s'étaient levé à 9 heures et avaient fait et refait, vérifié et revérifié la valise de Mya. Jusqu'à être sur qu'il n'y manquait rien.

Maintenant, Mya et sa famille attendait sur le quai que le fameux Poudlard Express se montre mais soudain Yon la petite sœur de Mya éclata en sanglot. Alors Mya se baissa pour se mettre à la taille de la petite et lui demanda:

Et qu'est ce qu'il y a ma petite fée?

La petite répondit en sanglotant:

Moi j'ai pas envie que tu parte! Qui vas me lire mon histoire du soir et me faire mes câlins, hein?

En disant ces petits mots Yon s’accrocha à Mya le plus fort qu'elle pouvait! Alors Mya souleva Yon dans ces bras et commença à lui raconter l'histoire des trois frères de Beedle le Barde en la berçant:

Chut ma petite fleur de lotus, tu sais que je dois y aller à Poudlard apprendre la magie, toi aussi un jour tu iras et tu seras heureuse d'y être! Promis je t'écrirai au moins une lettre par mois! Regarde il n'est que 10h30 je vais te raconter l'histoire des frères:
Reducio
Il était une fois trois frères qui voyageaient au crépuscule, le long d’une route tortueuse et solitaire. Après avoir longtemps cheminé, ils atteignirent une rivière trop profonde pour la traverser à gué et trop dangereuse pour la franchir à la nage. Les trois frères, cependant, connaissaient bien l’art de la magie. Aussi, d’un simple mouvement de baguette, ils firent apparaître un pont qui enjambait les eaux redoutables de la rivière. Ils étaient arrivés au milieu du pont lorsqu’une silhouette encapuchonnée se dressa devant eux en leur interdisant le passage. C’était la mort et elle leur parla. Elle était furieuse d’avoir été privée de trois victimes car, d’habitude, les voyageurs se noyaient dans la rivière. Mais elle était rusée. Elle fit semblant de féliciter les trois frères pour leurs talents de magiciens et leur annonça que chacun d’eux avait droit à une récompense pour s’être montré si habile à lui échapper. Le plus âgé des frères, qui aimait les combats, lui demanda une baguette magique plus puissante que toutes les autres, une baguette qui garantirait toujours la victoire à son propriétaire, dans tous les duels qu’il livrerait, une baguette digne d’un sorcier qui avait vaincu la Mort ! La Mort traversa alors le pont et s’approcha d’un sureau, sur la berge de la rivière. Elle fabriqua une baguette avec l’une des branches et 1en fit don à l’aîné. Le deuxième frère, qui était un homme arrogant, décida d’humilier la Mort un peu plus et demanda qu’elle lui donne le pouvoir de rappeler les morts à la vie. La Mort ramassa alors une pierre sur la rive et la donna au deuxième frère en lui disant que cette pierre aurait le pouvoir de ressusciter les morts. Elle demanda ensuite au plus jeune des trois frères ce qu’il désirait. C’était le plus jeune mais aussi le plus humble et le plus sage des trois, et la Mort ne lui inspirait pas confiance. Aussi demanda-t-il quelque chose qui lui permettrait de quitter cet endroit sans qu’elle puisse le suivre. A contrecœur, la Mort lui tendit alors sa propre Cape d’Invisibilité. Puis elle s’écarta et autorisa les trois frères à poursuivre leur chemin, ce qu’ils firent, s’émerveillant de l’aventure qu’ils venaient de vivre et admirant les présents que la Mort leur avait offerts. Au bout d’un certain temps, les trois frères se séparèrent, chacun se dirigeant vers sa propre destination. L’aîné continua de voyager pendant plus d’une semaine et arriva dans un lointain village. Il venait y chercher un sorcier avec lequel il avait eu une querelle. A présent, bien sûr, grâce à la Baguette de Sureau, il ne pouvait manquer de remporter le duel qui s’ensuivit. Laissant son ennemi mort sur le sol, l’aîné se rendit dans une auberge où il se vanta haut et fort de posséder la puissante baguette qu’il avait arrachée à la Mort en personne, une baguette qui le rendait invincible, affirmait-il. Cette même nuit, un autre sorcier s’approcha silencieusement du frère aîné qui dormait dans son lit, abruti par le vin. Le voleur s’empara de la baguette et, pour faire bonne mesure, trancha la gorge du frère aîné. Ainsi la Mort prit-elle le premier des trois frères. Pendant ce temps, le deuxième frère rentra chez lui où il vivait seul. Là, il sortit la pierre qui avait le pouvoir de ramener les morts et la tourna trois fois dans sa main. A son grand étonnement et pour sa plus grande joie, la silhouette de la jeune fille qu’il avait un jour espéré épouser, avant qu’elle ne meure prématurément, apparut aussitôt devant ses yeux. Mais elle restait silencieuse et froide, séparée de lui comme par un voile. Bien qu’elle fût revenue parmi les vivants, elle n’appartenait pas à leur monde et souffrait de ce retour. Alors, le deuxième frère, rendu fou par un désir sans espoir, finit par se tuer pour pouvoir enfin la rejoindre véritablement. Ainsi la Mort prit-elle le deuxième des trois frères.
Pendant de nombreuses années, elle chercha le troisième frère et ne put jamais le retrouver. Ce fut seulement lorsqu’il eut atteint un grand âge que le plus jeune des trois frères enleva sa Cape d’Invisibilité et la donna à son fils. Puis il accueillit la mort comme une vieille amie qu’il suivit avec joie et, tels des égaux, ils quittèrent ensemble cette vie.


Mya avait récité le conte des trois frères qu'avec le temps elle avait appris par cœur. La petite c'était calmée et demanda seulement en serrant fort sa sœur dans ses bras:

Tu me promet de m'écrire au moins une fois par moi?

Bien sur que je te le promet! est ce que je t'ai déjà menti?

Non, jamais!

Soudain le train arriva et Mya serra très fort sa sœur dans es bars puis elle alla en direction de ses parents:

Vous allez me manquer, on s'écrira hein?

Bien sur toi aussi tu vas nous manquer! surtout soit bien prudente! avec ton père nous avons fait confectionné ce collier pour te rappeler que qu'elle soit ta maison tu auras toujours du sang Gryffondor et du Serpenatrd! Une dernière chose soit prudente! On t'aime.

Puis elle embrassa une dernière fois chaque membre de sa famille puis elle monta dans le train à son coup un collier à deux faces, une face serpentard, une face gryffondor.

Plus active mais je repasse une fois de temps en temps! ;)

27 juil. 2021, 14:15
 rp libre  À l’attente du train
Evidemment, avec la tension de la veille du départ, Winn avait peu dormit et avait décidé de lire à la place. Ou plutôt relire pour la Nième fois un de ses livres favoris, celui-ci ayant subit les tords du à l'âge et à l'usage, elle l'avait manipulé, de ses petites mains, avec attention avant de l'avoir rangé soigneusement dans la malle qui allait l'accompagner à Poudlard.


A présent devant le train, elle bailla longuement. Son père le remarqua et cacha son amusement derrière sa main alors que sa mère, qui était encore en train de dire "au revoir" à leur fils cadet, qui finit par remarquer Winn, dit :


"Main devant la bouche Winnie..." Elle soupire "Tu aurais dû m'écouter hier quand je t'ai dis de te coucher tôt."

Winn gemit et s'étire.

"Yaaaah, je sais...J'arrivais juste pas à m'endormir."

"Moi, j'ai surtout vu que tu avais le nez enfoncé dans tes livres ~ Toujours avec Norbert Dragonneau, un véritable coup de foudre n'est-ce pas ~" Son frère chantonne derrière elle. Et pour toute réponse, elle fait la moue, serre le poing et le frappe dans la hanche. "Eeek !"

Enervé, il se prépare à le lui rendre, et Winn a le lui rendre, la mine tout aussi renfrognée que son frère, avant qu'elle ne se fasse enlever par son père qui la prend dans ses bras. Sa mère reprendra sa discussion avec son frère en le reprenant sur ses mots.

"Hop là !" Le même regard endormie qu'elle et les cheveux aussi en bataille, son père la regarde avant de l'embrasser sur la joue. "C'est pas vraiment le moment de vous chercher des noises entre vous, vous allez vous croiser souvent maintenant que vous êtes dans la même école...même pour une seule année. Tu te souviens de ce que je t'ai dis ?"

"De cacher des chocogrenouilles dans mes poches pour pouvoir en ramener la prochaine fois que je reviens à Londre ?"

Son père rougit et toussote. "Oui ça aussi." Il l'accompagne jusqu'à l'entrée du wagon. "Non, je parlais des gens que tu rencontreras là-bas."

"Ah !" Elle fouille dans ses poches et en sort un petit carnet qu'elle feuillette. "Tu as dis 'Tout univers fictif se conçois à partir d'élément du réel et de leurs expériences du vivant. Si je souhaite un jour devenir écrivaine comme maman, il faut aussi que je sois en mesure de créer des contacts avec le monde extérieur et Poudlard est ma première étape.'" Elle finit de citer.

Son père la regarde gentiment. "Je suis sur que tu feras plein de rencontres intéressantes là-bas. Hésites surtout pas à me les raconter par lettres, ça te permettra de t'entrainer si c'est vraiment ce que tu veux faire plus tard."

Elle renifle amusée. "Ce n'est pas un choix, c'est ma destinée !" Elle tape fièrement sur son buste de sa petite main et fait une moue fière.

"Bon, Winn...On y va où je dis au conducteur qu'on part sans toi ?" Son frère lui dit alors qu'il se penche depuis la porte d'entrée du wagon, visiblement pressé.

Elle est reposée au sol et s'élance à son tour vers l'entrée. "Tu aimerais !"

Une fois montée, elle se retourne et les deux font un geste de la main pour dire "au revoir" à leurs parents une dernière fois avant que la porte ne se referme.

23 mars 2022, 14:56
 rp libre  À l’attente du train
Alana avait eu un sommeil agité la veille de la rentrée, sa mère lui avait raconté les aventures qu'elle avait vécues à Poudlard quand elle avait son âge, elle le fit pour la rassurer, car le lendemain, c'était le départ pour Poudlard.

Alana arriva sur le quai de la voie 9 3/4 avec ses parents et son chariot dans lequel était mises ses affaires scolaires, ils y avaient déjà beaucoup d'élèves accompagnées de leurs parents, ils attendaient tous et toutes pour monter dans le train Poudlard Express.

Alana tenait son chariot, les mains tremblantes, ses parents la rassurèrent en lui disant qu'ils avaient fait eu aussi Poudlard, son père dans la maison Poufsouffle et sas mère dans la maison Serdaigle ainsi Alana appris des deux maisons l'expérience de ses parents, ils lui parlèrent aussi du parc à côté du château et du lac noir ainsi que des cours donc celui où ils c'était rencontrer en cours de botanique.

Ainsi Alana se mis à se détendre et à sourire, elle était plus que rassurer, car elle n'avait jamais quitté ses parents, c'étais la première fois, c'est pour cela qu'elle eut une appréhension sur Poudlard.

Alana aurait dû être contente d'aller à Poudlard, mais elle stressait à l'idée de ne pas être répartie dans une des maisons de ses parents et la joie n'était pas au rendez-vous.

Puis, Alana alla rejoindre ses parents, car le train était arrivé, ils l'aidèrent à monter ses affaires, puis Alana monta, s'installa et dit au revoir à ses parents par la fenêtre d'un signe de la main, puis le train démarra direction Poudlard.
Dernière modification par Alana Fraiser le 28 mars 2022, 17:40, modifié 2 fois.

Amatrice de chocogrenouilles, 1ʳᵉ année Devoir et RP.

23 mars 2022, 16:31
 rp libre  À l’attente du train
Blanche était stressée et même, elle peut l’avouer, un peu inquiète.
Blanche avait la particularité de toujours se poser des questions. Et là, dans sa tête tourbillonnent plein de questions ! Est ce que j’aurait les capacités qu’il faut ? Est-ce que je saurais m’adapter ? Et si je rate tout ? Et si on me renvoie ? Est-ce que j’ai acheté toutes les fournitures ? Qu’est-ce qu’il se passera si j’oublie quelque chose d’indispensable pour les cours ? Et voilà, c’était sa spécialité de stresser quand il ne le faut pas !

Ses parents l’accompagnaient et sa mère n’arrêtai pas de la rassurer. Mais maman ! Et si j’oublie un truc ?! Et bien , dans ce cas , on te l’enverra par hibou ! lui dit-elle mis-amusée , mis-énervée Blanche ne semblait pas convaincue , et elle était sur le point de dire une autre de ses inquiétudes quand son père l’interrompit :Bon, Blanche, on te laisse ici, on doit y aller mais n’oublie pas de nous envoyer un hibou ! Ah , voici le mur, c’est la bon, on y va... Blanche pris une dernière inspiration, lança un regard à ses parents qui voulait dire : vous n’avez pas intérêt à vous tromper de mur ! puis elle fonça droit dans le mur en se disant intérieurement qu’ils n’avaient Vraimentpas intérêt à se tromper de mur, car sinon … elle préférait ne pas y penser…
Quand apparus devant elle un magnifique train, elle se dit que se serait le MEILLEUR JOUR DE SA VIE ! Elle se dépêcha de monter dans le beau train juste en face d’elle puis , elle eu le temps de se trouver une place libre avant que le wagon parte à vive allure. Dans sa tête, les inquiétudes s’estompaient pour laisser place à un sentiment de bonheur et de liberté .

Il faut rire tant que l’on le peut encore… couleur RP: #0042a9
( et je ne dit pas cela pour vous faire croire que vous allez mourrir bientôt… enfin… la vie est pleine de surprise, autant que la mort.)