Inscription
Connexion

26 nov. 2019, 22:39
 Bal des Sorcières  La salle de bal
De la fumée, des cris, des explosions, du sang. Loin de la cohue, je m'étais réfugiée au fond de la salle, sous une table. Quelle cachette originale ! Je n'abandonnais pas le combat, loin de là. Bien que terrorisée, je cherchais une solution. Je n'avais pas l'impression d'être blessée, ce qui était déjà un bon point. Cependant, un point semblait s'être formé dans ma poitrine et m'empêchait de respirer. Me relevant doucement, je me fonçais droit vers les présumés mangemorts, enjambant des élèves blessés au passage. Les professeurs menaient un magnifique combat contre les ennemis. Je voulais me rendre utile. Ce geste ne m'aiderait sans doute pas, mais au moins j'essayerais. Mon estomac se nouait à mesure que mes yeux papillonnaient d'élève en élève, une bonne partie d'entre eux étant blessés, évanouis. Que faire ? Jouer les héros ? Du coin de l’œil, j'aperçus Miss Taylor appeler les élèves valides à la rejoindre. Peut-être devrais-je y aller ? Non. Je ressentais une profonde haine envers ces mangemorts, tout sentiment de peur m'avait quittée. Un courage venu de je ne sais où me poussait à présent vers l'entrée de la salle. Et si ma mère était parmi eux ? Non, impossible, je ne devais pas laisser ces vieilles rumeurs prendre le dessus sur moi. Si mon père avait été ici, il aurait été en danger. Je n'avais donc pas le choix. Respirant profondément, je me mis à courir, avant de m'arrêter net, à quelques mètres des personnes masquées. Baguette tendue dans leur direction, je m'écriais.

- EXPELLIARMUUUUUS !

Avant de continuer ma course dans la direction opposée, espérant de tout cœur ne pas être rattrapée. J'avais agi, je ne m'étais pas laissée submerger par la peur. Et bien qu'ignorant si mon sort avait atteint ma cible, je devais à présent me protéger. Plissant les yeux afin de voir à travers la fumée, je cherchais Miss Taylor. Mes lentilles me brûlaient les yeux, et je n'avais qu'une seule envie : les retirer et me démaquiller. Mais si j'avais bien compris, l'heure n'était pas tout à fait à ce genre de comportements. C'est donc à l'aveuglette que je tentais de rejoindre le professeur. Je ne la trouvais pas, et mes nerfs me lâchèrent. Je ne pouvais plus empêcher les larmes de couler. Tout cela ne pouvait pas être réel. Nous devions tous passer une bonne soirée, entre amis, rire, s'amuser...Pas être blessés, en danger et en larmes. Mon corps ne voulait plus se mouvoir, et je restais figée, bras ballants, au beau milieu de la salle.

5ème année RP | Code couleur : #408080
En pause. Désolée.

26 nov. 2019, 23:51
 Bal des Sorcières  La salle de bal
Précédemment I, II, III et IV

Rassuré de voir les autres être raccompagnés et pas lui Christopher eut le cœur plus léger. Il allait peut-être pouvoir regagner le bal retrouver Alice et profiter de façon plus calme de la soirée. Mais avant même d'avoir la confirmation de ce doux espoir la porte de la salle du bal explosa. Immédiatement Mr Penwyn appela les trois préfets à la vigilance et leur demande de sortir leur baguette. Sans plus de cérémonie Christopher obéit, ôta ses gants à trois doigts et son casque à antenne pour être plus à l'aise. Il commença à s'avancer quand il vit sa professeur d'Histoire de la Magie qui était apparue entre eux et la salle et dressait un mur de flamme bloquant l'accès à la salle.

La gravité de la situation frappa l'aiglon, il se passait quelque chose de grave! Sa première pensée était forcément pour Alice, il connaissait le tempérament de sa petite amie, elle n'aurait pas été du genre à se cacher et c'est précisément ce qui inquiétait le blond. Beaucoup de membres du Merlin étaient présents mais combien étaient vraiment capables de faire face au danger. Et puis quel était le danger qu'ils devaient affronter, il ne savait même pas ce qu'il se passait à l'intérieur. La seule pensée rassurante qu'il avait à l’esprit c'était qu'Irene devait sûrement être dans le dortoir évitant ainsi la foule du bal, son agoraphobie était une bénédiction ce soir.

Il essaya de voir à travers les flammes, des silhouettes noires, des élèves visiblement, déguisés en... Mangemorts? Vraiment? *Voilà à quelle dérive le gouvernement de Parkinson nous mène!*. Christopher entendit son professeur d'Etude des Moldus lancer des ordres à des tapis qu'il venait d'ensorceler, il devait agir pour aider ses deux professeurs du mieux qu'il pouvait. Il vit ses deux collègues lancer des sorts à leur tour et alla se placer à leurs côtés pour attaquer lui aussi une des silhouette noire qu'il apercevait derrière les flammes

"-CROCUS MALIS!"

Il vit son sort fuser mais sans même savoir si il avait touché sa cible et si il avait réussi a bien le lancer il se dit que seul il manquait sûrement de puissance.

"-Les filles, si on s'y met tous les trois en même temps on sera plus fort, comme on a pu le faire au mois de Mai! Si ça vous dit on lance le même sort en même temps sur la même personne."

@Herminie Peers, @Ennis O'Belt, @Edward Penwyn, @Elina Montmort

Ma signature signe la fin de votre quête
Vive les Tallirenpher / 141265 / Christortank
-6ème année et ex-Préfet RP / Boute-en-train de l’année 2018 et 2019

27 nov. 2019, 15:15
 Bal des Sorcières  La salle de bal
Sortir. Pour prendre l'air qu'il dit. Je ne suis pas de son avis, j’apprécie tout de même les musiques qui résonnent entre les murs de pierre. Même si ce n'est pas forcément ce que j'écoute d'habitude. La diversité. La
nouveauté. Ca fait du bien aussi. Mais cinq minutes dehors, dans une soirée, ça représente quoi ? On reviendra après de toute façon.
Il me tend une sucette verte que j'accepte en souriant et que je glisse dans ma poche. Pour plus tard. On se dirige petit à petit vers la sortie lorsque l'ambiance change. Des couronnes volées, transformées, dorées. Des lancés de gâteaux, sortilèges, boissons et autres prennent place entre les élèves. Tout se passe très vite. Je ne comprends pas tout. Enfin, si, que Herminie, la reine du bal, la meilleure des préfètes a été volée et ''attaquée''. Pour sa couronne. Ai très envie de réagir. De m'en mêler. Mais il y a déjà beaucoup de camardes qui la défendent. Je n'arrive pas à voir qui est responsable de quoi. Tout ce que je sais, c'est que cela ne m'amuse pas. Je ne réponds donc pas à mon cavalier. Croise les bras. Regarde de loin.


***

Les illuminations arrivent. Enfin. Elles ne sont pas trop mal. A dessiner plus tard. Si je m'en souviens. Puis, tout dégénère. La Marque apparaît. Des messages malveillants aussi vis-à-vis des Nés-Moldus. Rufus se braque. Part.


« Attends ! »

Mais je vois bien que cela ne sert à rien d'essayer de l'arrêter. Déterminé il est. Des néomangemorts arrivent. Plus effrayant que jamais. J'aimerai bien croire à une blague. Mais au vu des événements, mon espérance est bien maigre. Je sors ma baguette qui était coincée dans ma ceinture mais garde mon bras le long de mon corps. C'est juste ''Au Cas Où ''.
Tout va très vite et se mélange dans ma tête. Une dénommée Carry dénonce des élèves nés-moldus. Dont Rufus. Celui-ci cri des paroles qui ne prennent pas tout leur sens dans ma tête. Beaucoup de personnes hurlent. Des élèves puis aussi des professeurs lancent divers sortilèges contre les intrus. Un Poufsouffle, d'année inférieure, Mael, vise un néomangemort en lançant un ''Lashlabsk''. Je ne vois pas si c'est réussi. Tout ce que je vois, c'est l'un des intrus le visant de sa baguette, en retour. J'avance difficilement parmi la foule. Il ne faut pas qu'il soit touché. Il y a déjà trop de blessés. Mais je ne suis pas assez rapide pour le pousser au sol. C'était à prévoir. 
Une explosion. Elle me déséquilibre. Je tombe. Ma tête cogne, mon corps aussi. Mes oreilles sifflent. Grimaçant, je me relève après quelques minutes sur le sol. Je me touche la tête. Mes doigts deviennent rouges. Ne  panique pas. Ce n'est pas grave si tu es debout. Ma baguette a roulé sur le sol lors de ma chute. Je la ramasse, le bras douloureux. La fumée me pique les yeux. Mais je vois tout de même un corps familier non loin. Il est étalé de tout son long par terre. * Aelle *Je trébuche. Je m'approche. Je suis devancée, par un Gryffon.

« Qu'est ce qu'elle a ? Elle est blessée ? On peut la bouger ? »


Inquiète, j’interroge l'autre du regard. Mais toute seule je me rends compte de la gravité de la situation. Du sang suint depuis plusieurs plaies. J'appuie sur celle qui me semble le plus grave. On va limiter les dégâts.

« Ca va aller … Ca va allerCa va … »


 @Aelle Bristyle Plume d'Aelle, hiboute-moi si incohérence il y a.
@Gabryel Fleurdelys
@Rufus Williams désolée de ce manque de réponse

Pourquoi passes-tu autant de temps dans ma tête ? Parce qu'il y fait toujours beau.

27 nov. 2019, 15:35
 Bal des Sorcières  La salle de bal
Je n'ai pas réussi à déplacer l'enfant.
Merde

En ce moment, moment ou je devrais avoir ma baguette et pouvoir m'en servir, elle m'a lâchée.
Merde

Je lève les yeux vers Rufus, pas loin, très occupé avec un professeur. Celui d'astronomie, je crois, je ne vois pas bien avec toute cette fumée et ces larmes.
L'enfant finit par ouvrir les yeux, et je m'efforce de lui faire un sourure rassurant.
Je jette un regard vers Miss Taylor, derrière moi, et vers ma gauche qui hurle aux élèves valides de venir vers elle. J'y vois également Edward, très occupé à lancer des ferula, vu le mouvement de sa main.
«Tu peux marcher ?»
Le garçon se contente d'hocher la tête, puis se redresse difficilement. Je lui tend le mouchoir maculé de son sang pour qu'il le mette près de son nez, puis lui offre mon épaule. Je le guide vers la directrice de Serpentard et son toboggan, puis retourne sur mes pas, il y a encore à faire. Toussant, je manque de tomber après avoir trébuché sur un corp, une fille qui a un de mes mouchoirs près d'elle. Ce doit être elle que j'ai vu contre le mur.
J'entreprend donc de la secouer vigoureusement, n'ayant plus la patience d'etre douce avec elle. Viyant qu'elle ne se reveille pas, je la porte (enfin, tire aux trois quartd) vers une zone calme, pas loin des toboggans. Je la secoue encore, et elle papilonne des yeux.je retire mon mouchoir poir qu'elle puisse voir mon visage encadré par des cheveux en bataille et avec le côté gauche rouge sang (debtoute façon, je reste dansle thème. Une fille de l'epoque victorienne zombifiée .) Et ausi mon sourire rassurant quoique fatigué.
"Dès que tu peux, vas voir la femme aux cheveux kours et aux yeux bleus, la directrice de Serpentard, il y a un toboggan pres d'elle pour que tu fuies. Je serai un peu plus loin, si tu as besoin d'aide, si te suffira de m'appeler." je lui dis dès que j'ai son attention, oubliant de lui donner mon nom, puis toussant un bon coup. Je remets mon mouchoir.
Je regarde d'un oeil envieux la sortie, avant de me retourner vers la salle de bal devastée. Trainant les pas, tenant ma robe d'une poigne fatiguée et en colère, je finis par atteindre un garçon et une fille, l'une plus âgée que noi, l'autre probablement dela même année que moi. Une autre fille les rejoint, une fraction de seconde avant moi.
C'est la fille qui est blessée, et je m'agenouille près d'eux.
«Sur le côté. Qu'elle respire mieux, il semble qu'elle a vomi. Ou elle a reçu un coup sur la... ma voix est rauque, fatiguée et atone. Le garçon et la fille pourront remarquer que j'ai du mal a parler, faute de souffle. Je touche ma nuque, cherchant mes mots. nuque. Coup à la nuque ?»
Je cherche des yeux le professeur ou Rufus tout en appuyantsur uneautre plaie.Il faut s'assurer que nous pouvons la bouger.


@Gabryel Fleurdelys, @Aelle Bristyle, @Rose Foxglove, @Rufus Williams et Mr @Oliver Briggs
@Maggy Thompson (tu m'as devancée de quelques instants XD)

(Actions de rose validées avec elle)

pour éviter que les livres ne prennent feu... Si tu veux lire la suite, vas chez Joy Wakberg

Fehu




Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.

27 nov. 2019, 17:58
 Bal des Sorcières  La salle de bal
Les secondes passaient, elles paraissaient des minutes. Une fille s’approcha de Gabryel, elle semblait plus âgée que lui. Du sang coulait de son front. Dans la même position à genou que la plupart des élèves, elle se pencha sur Aelle :

- Maggy : « Qu'est ce qu'elle a ? Elle est blessée ? On peut la bouger ? »

Gabryel n’arrivait pas à répondre, la fumée lui piquait les yeux et la gorge. Scrutant autour de lui, la baguette à la main, il ne parvint pas à distinguer ce qui se passait quelques mètres devant lui, au-delà du trou béant au centre de la pièce. Des cris résonnaient à ses oreilles, des hurlements plutôt. Ou était Emelyne... S’il lui arrivait quoi que ce soit, il ne se pardonnerait jamais. Il se tourna vers la demoiselle qui venait de s’adresser à lui. Elle avait pris l’initiative de compresser sa main sur l’une des plaies d’Aelle. Une seconde élève s’approcha d’eux, les yeux rouges, le souffle coupé :

- Celia : « Sur le côté. Qu'elle respire mieux, il semble qu'elle a vomi. Ou elle a reçu un coup sur la... nuque. Coup à la nuque »

Le Rouge et Or acquiesça du regard, tourna légèrement Aelle sur le côté, déboutonna son veston et le plia pour composer un oreiller sous sa tête. Soudain, des morceaux de ce qui devait être la décoration du plafond s’écrasèrent à quelques centimètres d’eux, comme de petites boules de feu. L'Ecossais retira sa chaussure et écrasa la boule incandescente. Il se tourna vers les deux filles.

- Gabryel : "Il faut la déplacer, sous la table là-bas… »

Il leur montra du doigt une table posée contre le mur. Non loin, un jeune garçon, assis par terre, les bras autour de ses épaules, restait figé à quelques mètres des flammes.

- Gabryel (aux deux apprenties-sorcières) : "Vous vous sentez la force de la tirer jusque-là bas ? Je dois aider le garçon assis, ou il va cramer."


Le lionceau passa ses doigts sur le visage d’Aelle, et lui glissa à l’oreille « Je reviens ». Il ne laissa pas le temps aux deux demoiselles de lui répondre, et se précipita, le dos courbé, dans la direction de l’autre élève en position de fœtus, en évitant de glisser sur une marre de sang. Il contourna plusieurs obstacles jonchant le sol en tentant de respirer à travers un mouchoir. Arrivé à sa hauteur, il se courba et posa la main sur son épaule, espérant le sortir de sa torpeur.

- Gabryel : « Faut pas rester là mec… Hey, tu m’entends ? Faut bouger… »

@William Barckeley
@Aelle Bristyle
@Maggy Thompson
@Celia-Awena Fournier
@Emelyne O'Brien

Gabryel Fleurdelys (avec deux « Y »)
6ème année RP Gryffondor
Auteur de « La touille, c'est la vie »

27 nov. 2019, 19:39
 Bal des Sorcières  La salle de bal
@Émeline Joyner

Cette danse, je l'avoue, avait un côté apaisant. Je me sens bien en la compagnie d'Emi. Elle m'attrape par le bras pour m'amener vers le buffet. Bonne idée... Elle n'a pas cessé de sourire. Il est très contagieux. Je regarde ma camarade qui ne m'a pas lâché malgré le fait qu'on se soit arrêtés devant le buffet de sucreries. Elle les regarde. Je les regarde à mon tour. Mon estomac est noué. J'ai trop bougé. La danse creuse, mais je n'ai pas faim. C'est alors qu'elle me propose de faire autre chose. J'avoue avoir envie de rester auprès d'elle. Même si l'assemblée d'élèves qui semble être de plus en plus grande commence à me mettre mal à l'aise. Trop de personnes...

- Je voudrais bien prendre un peu l'air...

Je réfléchis. Alors que je me perds dans mon propre esprit, j'entends que des mots sont prononcés avec une forte voix. J'ignore combien de temps j'ai eu un moment d'absence à réfléchir. Pour moi, ce n'était que le temps d'un éclair. Les portes fermées. Les mots que j'entends ne me plaisent pas. Je crispe le regard. Je serre les crocs. Je crois avoir entendu mes doigts craquer quand j'ai serré les poings. Je regarde dans la direction des voix. Je reconnais les tenues. Des tenues de Mangemorts... Je lâche un juron en gaélique, pestant mon mépris pour ce ramassis de déchets racistes et rétrogrades.

- Praiseach cac...

Même à une soirée costumée, je ne peux pas cautionner que quelqu'un porte ces vêtements rappelant les heures sombres de notre histoire. Mais ils ne sont pas là pour faire un canular. Ils sont sérieux ?! Vraiment ?! Mais arrêtez-les ! Le regard cerné, je les fixe, d'un air mauvais, rageur, prêt à leur botter le train avec le respect qu'ils méritent. Employer des propos comme ceux-là devant moi est la garantie d'être automatiquement étiqueté par l'appellation "être à abattre". Ces gens prônant la supériorité du sang pur doivent avoir de l'eau chaude dans la boîte crânienne et un petit lutin de Cornouailles qui nage dedans. Leur haine des nés moldus et des moldus est un pur concentré d'idioties... Je regarde Emi. Emi est sang-mêlé. Elle est peut-être en danger... Je me mets devant elle, entre elle et la chorale de triple K aux robes noires. Je tourne la tête vers ma camarade, mon regard a radicalement changé et ma voix est devenue plus rauque à force de crisper les muscles.

- Va te cacher, Emi... Je pressens que la situation va dégénérer... Ça va trop loin pour une blague...

Je dégaine ma baguette. Je vais en avoir besoin... Je murmure mes mots, grimaçant de rage. Je déteste ces gens-là. Ils ne m'entendront sûrement pas. Mais peu m'importe. Ça n'empêche pas mon sang irlandais bouillir comme du magma en fusion.

- Approchez, un peu bande de déchets, venez vous frotter à un sang pur... Je vais tous vous fumer. Un. Par. Un...

Je m'approche de la scène où de nombreuses personnes combattent déjà. Je me sens possédé par une colère viscérale. Si je prône en général la paix, l'harmonie, la bienveillance et l'ouverture d'esprit, aujourd'hui, face à eux, je refuse de leur accorder ça. Je vise un des mangemorts. Le temps de prononcer la première syllabe de mon sort que je m'apprête à lancer, je ne vois pas le projectile arriver droit sur moi. Un coup. Je suis déconcentré. Je ne sais pas ce que c'est. Je perds légèrement l'équilibre. Mon corps est plié par l'attaque. Qu'est-ce que c'était ? J'ai la tête qui tourne. Je suis désorienté. Où est-il ? Quel est le projectile qui a été lancé ? Propulsé ? Je ressens une vive douleur au niveau de ma tête. Je ressens de la chaleur couler sur mon visage... Je lâche un cri de douleur, portant ma main sur le lieu de l'impact. Je regarde ma main. Ma vision est troublée, mais je constate la présence d'une couleur rouge vif sur mes doigts. Je devine ce que c'est... Je tourne la tête vers Emi, essayant de la voir. Je ne vois pas assez bien... Je ne vois pas non plus le coup de tonnerre arriver et qui me frappe précisément...

- Et Cac...

Mon dos rencontre alors le mur. J'étais pourtant loin de chacun des murs de la salle de bal... Combien de temps est-ce que j'ai volé..? Je ne pense pas à ça. Je pense surtout à essayer de reprendre mon souffle. Je suffoque. J'ai heurté le mur avec une telle force que j'en tousse, je cherche de l'air. Mon dos me fait souffrir... Je ne vois rien. J'ai mal... Je suis raide, tombant lentement à terre... Et cette cape est trop serrée pour m'aider à respirer correctement. Mais qu'est-ce qui s'est passé ?! Mais où est ma baguette ? J'essaie de bouger les bras pour la chercher à tâtons... Sans succès. Je ne réussis même pas à me mouvoir... Je ferme les yeux, lentement. Venir au bal était peut-être en fin de compte une mauvaise idée...

The Foggy Dew
2ème année RP

Méfiez-vous des trèfles...

27 nov. 2019, 20:16
 Bal des Sorcières  La salle de bal


Un poids. Sur ma tête, sous ma tête, contre ma jambe. Des mains, partout. Qui appuient sur mon corps, qui font hurler mes membres, qui me secouent, qui me secouent. *Laissez-moi*. Je ne peux pas parler, seulement ouvrir la bouche, mais aucun son n’en sort. Je ne peux que penser. Peut-être même ne suis-je pas en train de penser.
*Laissez-moi*
Mais ils ne me laissent pas. Les voix se rapprochent, elles grondent non loin de moi, j’essaie de m’y accrocher, en vain. Elles s’éloignent. Mais je les entends encore. Les mots flottent autour de moi. Je les entends, mais ne les comprends pas. J’ai conscience que je les connais, que j’ai su un jour les expliciter un à un. Mais pour le moment, je suis incapable de comprendre. Les mots sont tout autour de moi et moi je veux repartir dans l’obscurité. Je ferme les yeux pour m’échapper, mais Ils ne me laissent pas partir. Un poids s’appuie sur ma peau, s’enfonce jusqu’à m’écrabouiller l’os, m’arrache le membre. J’étouffe un gémissement.

L’obscurité m’échappe. La douleur est bien trop grande pour elle, sa couverture sombre n’arrive pas à la recouvrir entièrement. Et avec elle vient la conscience. Je me souviens que je suis moi, Aelle. Et c’est tout. Là-haut, tout là-haut dans le ciel, les étoiles me sont cachées par intermittence par une forme pale. Aussi grosse que la lune, habillée de deux joyaux étincellants. C’est beau, mais je préfèrerais voir le ciel.
*Merlin, pourquoi j’suis dehors ?*
Ce n’est pas normal, absolument pas normal. Je m’accroche à cette idée. Pas normal. Pas normal. Mais le ciel m’appelle et l’obscurité me nargue. Au fond de ma tête, elle me fait miroiter la quiétude de l’oublie et m’empêche de me concentrer. Qu’il serait bon d’oublier que ma tête se déchire en deux sous la douleur, qu’il serait bon d’oublier que mon dos me lance, que mes jambes me brûlent, que mon coeur me

La lune ! Elle passe encore dans mon champ de vision. Je remarque que j’y vois mieux désormais. Mes yeux doivent être ouverts. Oui, je les sens. Ils sont douloureux et humides. Une voix au fond de moi me dit que je devrais m’inquiéter, mais je ne l’écoute pas. Là, devant moi, la lune. Mais ce n’est pas une lune. C’est un garçon. Je crois que ç’en est un. Je l’observe, luttant pour m’accrocher à sa présence, pour ne pas laisser le reste me l’arracher.
Mon coeur a sursauté en le voyant. Je le connais. Oui, ça doit être ainsi. Oui, j’en suis persuadé. Je le connais. Je le connais bien. Oui, je ne sais pas qui il est, mais ça je le sais. Je l’aime. Cela fait du bien. Je suis en sécurité. Il sait ce qu’il doit faire.

Un mouvement m’arrache à ma contemplation. Mon champ de vision s’effondre en même temps qu’éclate la douleur. Et Ils reviennent. Je les avais oublié. Les paroles, les bruits, la mélasse indistincte sous mon regard flouté. Mon esprit s’envole, je perds la lune. *Reviens !*. J’ai mal. Pourquoi est-ce que j’ai si mal ? Et le ciel, pourquoi est-ce que je ne vois plus le ciel ?

Respirer est laborieux, mais je parviens à avaler un filet d’air. Mes poumons n’apprécient pas ; ils me secouent : je tousse. La douleur explose quelque part. Peut-être même l’inventé-je. Mais je la sens et je crie. Pas fort, mais ma voix résonne à mes oreilles. C’est important ; cela signifie que je peux parler.

« … komo ? » Qu’est-ce que je dis ? Je sais que c’est important. Cela a un rapport avec le garçon. *L’est parti !*. Il faut qu’il revienne. Je ne me sens pas bien. Quel était le nom que j’avais en tête ? Ah, oui. « Zikomo ? Ziko… » Étouffée par ma toux, ma voix s’éteint.

L’obscurité n’est plus qu’un rêve. Mon corps brûle de douleur et la peur m'envahit. Je ne sais pas où je suis. Et si j’étais en train de mourir ? Je ne sais plus ce que je faisais avant de me retrouver ainsi. Pourquoi est-ce que je suis dehors ? J’ai froid, je frissonne, ma peau me brûle, mes os s’écartellent, ils se désintègrent, ma tête… Ma tête…

« Lâch… Lach’moi… » dis-je au poids que je sens sur mes os. J’essaie de me relever. Ou du moins, est-ce mon impression. Mon bras est trop lourd pour que je le soulève. Je le laisse retomber et cherche à tourner la tête. Là, le ciel. « Pour’oi j‘suis dehors ? »

@Gabryel Fleurdelys, @Maggy Thompson, @Celia-Awena  Fournier, @Alice Sangblanc, @Oliver Briggs, @Rufus Williams, @Thalia Gil'Sayan

27 nov. 2019, 20:51
 Bal des Sorcières  La salle de bal
Les sortilèges fusaient de partout, pour attaquer, pour se défendre ou pour essayer de soigner les blessés. Les gens s'agitaient dans tous les sens prit de panique. Alexei l'avait rejoint et lui avait dit qu'Alice voulait les voir se rassembler. Mais elle refusait de laisser tomber Gabryel. Elle n'eut cependant pas d'autres choix : bousculée par d’autres élèves en panique, Emelyne fut séparer de son meilleur ami et emportée par le groupe. Elle finit pas réussir à se défaire de la marrée mais elle eut beau le chercher et l'appeler, Gabryel restait introuvable dans la mêlée. Emelyne resta un instant figée sur place, comme perdue. Elle repéra cependant à nouveau Alexei. Elle vérifia une dernière fois que Gabryel n'était réellement pas visible avant de rejoindre le Serpentard, qui s'était arrêter auprès d'une Serdaigle - Irène, si sa mémoire était bonne. Une épaisse fumée lui piquait les yeux et la gorge. Sa baguette toujours à la main, elle vint se placer près d'Alexei. Irene, assise sur une chaise au milieu de tout ce chaos, avait les yeux grands ouverts et elle ne semblait plus rien voir autour d'elle, comme si elle n'était plus là. Alexei posa doucement sa main sur son épaule pour essayer de la ramener parmi eux malgré l'horreur de la situation. Il l'appela aussi, à plusieurs reprises, de plus en plus fort, la secouant un peu quand finalement elle sembla s'apercevoir qu'il était là. Il lui proposa également de rejoindre Alice. Elle se releva soudain d'un bond et il la soutint quand elle se raccrocha à lui, pas encore totalement remise. Tout en l'aidant à avancer, il se dirigea rapidement vers l'endroit où il avait vu Alice, près des blessés de l'explosion. Emelyne les suivit. Séparée de son meilleur ami, elle se sentait bien seule et bien moins confiante... Mais il était hors de question qu'elle n'aide pas. Et puis en aidant, peut-être qu'elle retrouverait Gabryel. En bonne santé serait le mieux. Il y avait déjà du monde autour d'Alice, notamment leur professeur d'Astronomie. Dans le même temps, elle entendit aussi une voix d'adulte, sans doute un professeur, et une plus jeune, qui appelaient les élèves pour les faire évacuer. Alexei s'adressa à Alice mais Emelyne ne l'entendit pas. Elle pensa que peut entendrait l'appel à l'évacuation dans ce cas là... Alexei fit demi-tour. Emelyne se tourna vers Alice et l'interrogea :

- Que veux-tu que je fasse ? Que je suive Alexei ? Ou que je reste ici pour t'aider ? Ou autre chose ?

Emelyne garda Alexei au coin de l’œil afin de ne pas le perdre de vue : si elle voulait le rejoindre, elle devait pouvoir le faire rapidement, sans perdre de temps à le chercher.

@Alice Sangblanc @Alexei Menkins
Pour info : @Irene Gates @Britanny Huggins (si tu reste avec Alexei) et @Gabryel Fleurdelys

6ème Année RP - Vive Gryffondor ! - JFF
Ma volière est ouverte ;)
Garde le sourire, c'est ta meilleure arme !

27 nov. 2019, 22:13
 Bal des Sorcières  La salle de bal
Précédemment

Dans un état second, Britanny entendit à peine Lili prendre les choses en mains. Elle ne vit pas Arya se jeter sur un des assaillants ni ne fit attentions aux cris dans la salle. Non, elle ne voyait que son prénom. Charlie. Est-ce qu’il était à l’abri ? Se mêlait-il aux duels. Était-il blessé ? Est-ce qu’il la cherchait ? Tant de questions se bousculaient dans sa tête à présent. C’est comme si elle était seule, prisonnière de ses pensées. Les larmes lui montèrent aux yeux. Il faut trouver Charlie. Tout à coup, le courage s’évanouit. Elle se sentit faible et apeurée. Tout ce qu’elle voulait c’étaient les bras réconfortants de ses frères. Elle commençait à trembler et son regard se perdait dans la foule, sans vraiment voir le monde qui l’entourait. Elle identifia un mouvement devant elle. Puis une voix. Alexei. Il lui demandait de venir avec lui à la recherche des autres. Comme vidée de son énergie, elle le suivit, oubliant complètement Hannah. Il faut trouver Charlie. Puis finalement, c’est une explosion qui la fit sortir de sa transe.

La fillette sursauta. C’est là qu’elle prit conscience de ce qu’il se passait. Elle vit les objets et décorations de la Salle de Bal se mettre en mouvement, et s’avancer en direction du groupe qui les retenait. Elle était trempée après la pluie qui s’était abattue dans la pièce, pour éteindre les flammes. Alexei était devant elle, captant le plus de membre qu’il pouvait. Où était Wilson ? Elle avait entendu Lili l’évoquer. Alexei sait, reste avec lui. Plus loin, le professeur Briggs se mêla lui aussi à l’assaut. C’est alors qu’elle les entendit. Phase 2. Phase 2 ? Puis, elle se mit à trembler. Non, ce n’était pas elle, c’était le sol, sous ses pieds. Le sol s’effondre. Instinctivement, la rousse se retourna pour saisir Hannah par la main, et s’éloigner avec l’autre Serpentard. Elle se figea. Hannah. Où était Hannah ? Puis, tout s’enchaina, encore.

Miss Montmort érige un dôme. Un Autre se met à brûler. La professeure éteint les flammes, puis hurle. Les attaques continuent. Puis Alexei trouva une élève terrorisée. Tous trois se dirigèrent vers Alice, qui s’occupait de blessés avec d’autres élèves. Aussitôt fait, Alexei fit demi-tour pour aider davantage. Britanny allait partir avec lui pour être là si besoin mais elle pila nette. Son regard avait accroché une chevelure rousse. Charlie.

Prise d’espoir, Britanny se mit à courir, le cœur battant. Charlie. Elle ne voyait plus que lui. Lui aussi s’était mis à courir. Mais pas vers sa petite sœur. Non, vers les Autres. Charlie. Ignorant le fait qu’en le suivant, elle aussi se rapprochait de la bataille, elle tenta de le rattraper. Plus vite. Il rejoignit un garçon au sol, certainement un ami à lui, elle n’était pas sûre. Alors qu’elle avait repris sa course, Britanny se prit les pieds dans une des décorations et s’effondra de tout son long. S’appuyant sur ses mains, elle releva doucement le buste en grimaçant. Elle s’était cogné la tête. Alors qu’elle se mettait à quatre pattes, elle se rendit compte que ce n’était pas son crâne qui la faisait réellement souffrir. Non, c’était son pied. Sa cheville en fait. La fillette se mit en position assise et regarda son pied. Elle pouvait à peine le bouger tant ça la tirait. Elle gémit de douleurs et, cette fois, les larmes passèrent la barrière de ses yeux pour s’échouer sur ses joues. Un regard dans la direction opposé. Charlie avait disparu.

La main tenant fermement sa jambe, comme si cela atténuait la douleur, elle regarda autour d’elle. Elle s’était considérablement rapprochée du trou, et elle était à vue des pseudos-Mangemorts. Réalisant sa position, elle sortit sa baguette. Mais, au fond, elle savait ce geste inutile. Pour le moment, elle n’avait aucune idée de quel sort lancer pour se protéger. En soufflant, elle se releva doucement. Il faut que je m’éloigne. Malheureusement, il lui était impossible de poser son pied. Toujours en train de pleurer, elle se remit à terre et fit la seule chose qui lui était possible, en essayant de ne pas se faire voir par les assaillants. Ramper.


@Gray Haros si tu passes par là
Pour infos : @Alexei Menkins @Hannah Lyse Sparks @Alice Sangblanc


Suivant
Dernière modification par Britanny Huggins le 13 janv. 2020, 11:33, modifié 1 fois.

5ème année RP en 2048-2049 - Luca Hollestelle comme référence physique, svp ne pas l'utiliser
Membre du M.E.R.L.I.N. - Lune #800000

27 nov. 2019, 22:52
 Bal des Sorcières  La salle de bal
@Kirsty Panglewood, vu votre état, vous êtes trop destabilisée pour viser correctement : vos sorts n'atteignent personne.

@Oliver Briggs, votre sortilège fonctionne et vous avez réussi à stopper l'hémorragie.

@Elina Montmort, votre sortilège fonctionne à merveille et les flammes qui enveloppaient Jacob se résorbent avant de tout à fait disparaître. En revanche, le spectacle qu'il vous offre est horrifique : il ne reste presque plus rien de ses vêtements, ses cheveux ont disparu et partout sur sa peau, d'énormes brûlures sont apparues. Le pauvre garçon se tord et crie de douleur. Vous envoyez votre Patronus à l'infirmier, qui ne devrait pas tarder. Personne n'écoute votre discours : tous les pseudo-Mangemorts ont les yeux rivés vers leur ami dont le corps est entièrement brûlé et qui, leur semble-t-il, pourrait toujours mourir de douleur.

@Naomi Bergsturm, vos sortilèges fonctionnent et vous parvenez à emprisonner un élève entre vos cordages.

@Joanne Taylor, votre Elasticus permet de créer une surface gélatineuse et rebondissante à l'étage en-dessous, mais les débris du sol effondré limitent l'efficacité de la manœuvre. Il serait très facile de mal tomber et de se fracasser le crâne contre une pierre. En revanche, votre Fortifico permet de consolider le toboggan créé auparavant, qui reste toutefois assez irrégulier en raison de l'aspect déjà primaire de l'escalier dont il est issu.

@Edward Penwyn, votre premier sortilège échoue. Le stress, les visions d'horreur et la précipitation ne vous permettent pas de lancer un sortilège d'une telle difficulté sans prononcer la formule adéquate. Quand vous donnez l'ordre de lâcher les baguettes, certains pseudo-Mangemorts qui étaient encore paralysés par l'horreur du spectacle semblent être tirés de leur désemparement et pointent leurs baguettes dans votre direction et celle de ceux qui vous entourent.

@Herminie Peers, @Ennis O'Belt, vos sortilèges sont détournés par des charmes du bouclier. Ils ne touchent personne, ni coupable, ni innocent.

Ceux qui ont emprunté le toboggan créé par le professeur Taylor ont réussi à rejoindre l'étage inférieur. A vous de décider si cela s'est fait sans encombres ou si l'aspect irrégulier du toboggan a causé quelques dommages (chevilles tordues, dos éraflé...).

@Emily Baker, votre sortilège atteint un mangemort dans le dos. Comme piqué violemment, il en lâche sa baguette magique et plonge aussitôt à terre pour la rattraper. Il se retourne et lance le premier sortilège qui lui passe par la tête, Stupefix, sans en contrôler la trajectoire. Le sortilège vous frôle de peu, et il se pourrait qu'il ait touché quelqu'un qui se tenait plus loin derrière vous.

@Christopher Martin, votre sortilège est dévié par un charme du bouclier.

Les assaillants semblent en mauvaise posture. Encerclés par les attaques, ils sont acculés, d'autant que certains commencent à sérieusement fatiguer. Ce n'est pas qu'une fatigue physique : beaucoup sont sous le choc d'avoir vu leur ami frôler la mort. Celui qu'ils ont connu a désormais le corps calciné et se tortille sur le sol en criant de douleur. "Je me rends !", entendez-vous tous. "Moi aussi, je me rends, mais sauvez-le ! Il va mourir !" et enfin : "Traîtres ! La reddition n'est pas une option !" Celui qui a prononcé ces mots ordonne : "Couvrez- moi !". Changeant de formation, deux de ceux qui restent debout encadrent celui qui a donné l'ordre. Alors, il pointe sa baguette vers le plafond, au-dessus des professeurs Montmort et Penwyn, et prononce la formule : "Deprimo !". Le plafond gronde, craque, et s'apprête à vous tomber sur la tête.

Nécromancienne - Mère du dragon - Détentrice de la Baguette de Sureau et du Retourneur de Temps
~ if i wasn’t a narcissist i wouldn’t like me either ~

@Mentionnez-moi pour activer le Tabou