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05 nov. 2019, 15:02
 RPG++   PV.AS  Hello it's me  Glasgow 
8 jours après la fin des cours, 7h00AM, Ecosse, Glasgow, 360Colgrain Terrasse, dans la cheminée


       Ellie était toujours solidement agrippée au torse de son frère. Mike la serrait fort contre lui comme s'il craignait qu'elle ne décide de s'envoler. De grosses larmes roulaient sur les joues roses de la gamine et s'écrasaient sur la robe de son frère. Tout était noir quand soudain ils réapparurent dans un nuage de suie, de longues flammes vertes leurs léchaient les jambes. Mike fit un pas en avant et sortit de cette cheminée inconnue. N'y voyant rien il buta dans quelques choses de solide qui recula d'un bon mètre sous l'impact. Il y eu alors un bruit de verre brisé. Une vive douleur dans le tibia le gagna. Mike s'extirpa de l'âtre à taton. Visiblement la cheminée n'avait plus était utilisée depuis belle lurette.
"-On est où Mike? Sanglotait Ellie. 
-Je ne sais pas mais ne t'inquiète pas, tout le monde va bientôt nous rejoindre."
L'adolescent jeta un coup d’œil avec l'objet responsable de sa collision, c'était un meuble assez bas, par terre il y avait une télévision moldu. Analysant avec plus d'amplitude la pièce, ils se retrouvaient dans un petit salon moderne, à la Française si Mike avait eu à lui donner un style. De nombreuses ouvertures laissaient entrer la lumière par tout les cotés de la pièce, de longs rideaux blanc et transparents étaient tirés. Sur les murs blancs et bleus étaient accrochées de nombreuses photos. 



            Ellie s'agita, Mike consentit à la poser par terre à condition qu'elle lui tienne la main. Ils firent quelques pas plus en avant, laissant dans leurs sillages de grosses empreinte de suie sur l'épais tapis gris. Un canapé de cuir noir et une table de salon en verre faisait face à la cheminée. De l'autre coté de la pièce, une grande table à manger également en verre et accompagnée de ses sièges trônait là. Maintenant que la distance et que le stress réduisaient un peu, Mike se reconnu sur quelques unes des photos. Il semblait quasiment tout le temps accompagné d'un homme musculeux à la barbe fournis, son parrain Kenneth. Il était beaucoup plus jeunes sur ces clichés. 
"-Je crois qu'on est chez les Bain. Annonça t'il à la petite fille.
-Oui vous êtes chez nous et peut on savoir qui vous êtes?" Les pressa une voix féminine de l'autre côté de la pièce.



             La voix provenait de l'autre extrémité de la pièce, un comptoir séparé le salon d'une cuisine bien équipé. Devant ce comptoir Imogen, la femme de son parrain, se tenait en pyjama. Une tasse de café à la main et les cheveux ébouriffées. Elle semblait complètement stupéfaite. Peut être que voir débarquer deux enfants à travers votre télé au réveil était surprenant pour une moldu. Car oui Imogen était un non-mage, son parrain en était tombé amoureux plus jeune. Mike n'avait jusque là encore jamais vu leur maison. D'ailleurs il n'avait plus vu Imogen depuis bien cinq années.
Mike allait se rappeler à son souvenir lorsqu'une nouvelle gerbe de flammes vertes jaillit de l'âtre. Un nouveau nuage de suie s'en échappa. Finissant de recolorer le tapis et entamant un petit peu le carrelage blanc. Aymee envoya valser les trois grosses malles par l'interstice entre le meuble et encadrement de la cheminée.
"-Mais qui a eu l'idée de mettre ce meuble là! Tout le monde risque de tomber." Fit elle remarquer en l'écartant sur le côté pour s'introduire à son tour dans le salon. 



          "-Aymee?! Quelqu'un peut il m'expliquer les Conwell font irruption chez moi aux aurores? Et comment êtes vous passé par notre cheminée? Les interrogea Imogen qui s’efforçait à remettre les pièces du puzzle en face.
-Oh papa à fait la fait relier au réseau de cheminée du ministère pour la journée, n'as tu pas reçu son hiboux? Lui répondit Aymee. Papa et Maman ne devraient pas tarder. Oh non, on a cassé la télé je suis désolé, nous allons arranger ça dès qu'un adulte sera arrivé
-Ce n'est rien... Je crois que je ferais mieux d'aller chercher Kenneth. Et de mettre un pantalon."
Alors que la maîtresse de maison montait les escaliers quatre à quatre en appelant son mari. Les parents de Mike, Ellie et Aymee firent leur entrée.

@Alice Sangblanc

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07 nov. 2019, 17:18
 RPG++   PV.AS  Hello it's me  Glasgow 
Assise dans l’herbe, Alice demeurait silencieuse. Encore cette clairière, toujours cette clairière. Encore ce même rêve. Depuis combien de temps faisait-elle ce rêve ? L’enfant l’ignorait. Parfois, elle sentait des regards posés sur son dos, semblait même entendre des murmures. Murmures qu’elle ne comprenait jamais.
Cette fois encore, Alice dû tendre l’oreille pour parvenir à entendre comme un souffle. Elle s’était tourné rapidement pour tenter de voir ne serait-ce qu’une ombre. Autour d’elle, pas la moindre présence, seulement l’épaisse forêt aux arbres serrés. Elle ...


Un sursaut la secoua alors qu’un immense brouhaha se faisait entendre. Tétanisée, sa respiration coupée, Alice ne faisait pas un seul geste. Son cœur battait fort dans sa poitrine, et quelques perles de sueurs naissaient le long de son échine.
Qu’est-ce que c’était ?

Alice ne fit aucun geste, laissant le temps à son cerveau d’imaginer toutes sortes de scénarios. Et aucun ne lui plaisait.
Ses yeux roulèrent vers la porte d’entrée éclairée par les quelques rayons de soleil que filtrait les volets. Alice l’imaginait s’ouvrir à la volée, laissant apparaître un méchant sorcier prêt à l’attaquer. Ou prêt à la kidnapper ! Elle remonta sa couette jusqu’à sous son nez, comme si ce simple geste pouvait la tenir éloignée des ennuis. Où était sa baguette, déjà ? Il fallait qu’Alice se réveille, et vite !

Une nouvelle fois, un grand bruit secoua Alice. Mais, cette fois, il s’agissait de l’escalier grinçant qui était arpenté avec rapidité. A cela était couplé la voix d’Imogen, appelant furieusement oncle Kenneth. Par Circée, il s’était vraiment passé quelque chose.

Avec prudence, Alice se releva. Si Imogen et Kenneth étaient là, à l’étage, la fillette ne risquait rien. Elle s’extirpa du lit, aussi vite que lui permettaient ses membres tremblants. Ses yeux papillonnèrent un moment avant que l’enfant ne parvienne à bien voir sa chambre. Elle observa un moment, guettant l’endroit où pouvait se trouver sa baguette magique. Plus aucun souvenir.
Finalement, une brin de souvenir d’hier soir.
Alice posa ses yeux sur le bureau, et vint y attraper sa baguette. Il était hors de question de quitter sa chambre, de se frotter à un mal invisible, sans être préparée à toute éventualité. Même enfilée dans sa chemise de nuit de soie ivoire, Alice ne devait pas sembler fragile.

Ses longs doigts s’enroulèrent autour de la poignée de porte et, enfin, elle se décida à sortir dans le couloir. Prudence était de mise.
Un coup d’oeil à droite, un à gauche. Personne. Si. Imogen, debout dans l’encadrement de leur porte, seulement vêtue de son haut de pyjama et une petite culotte. Au moins, elle semblait indemne.

« Je ne sais pas ! » grognait la Moldue. « Ce que je sais, par contre, c’est que si tu ne te magnes pas le cul d’enfiler quelque chose, je vais péter un câblé ! » Le ton était autoritaire, menaçant. Cela changeait de l’Imogen douce et bienveillante qu’Alice connaissait
«  Ça va ! » cracha un Kenneth qu’Alice devinait endormi. Pourquoi n’était-il pas déjà debout, prêt à se battre ? N’avait-il pas entendu le bruit ? C’était impossible, il se devait d’être attentif, même endormi ! C’était un Auror, pas un vulgaire marchand de poisson a qui on ne demande pas de protéger la veuve et l’orphelin.

Imogen pivota furieusement pour gagner la salle de bain, quand son regard se posa sur Alice, figée dans le couloir, sa baguette brandit.

« Mais qu’est-ce que tu fais avec ta baguette à la main, toi ? Range moi ça, allez ! »
Le ton de la femme ne plaisait pas à l’enfant, mais son regard n’invitait nullement Alice à faire le moindre commentaire. Lorsque Alice eut abaissé sa baguette, Imogen se faufila dans la salle de bain et claqua la porte. Pourquoi était-elle furieuse alors que, de toutes évidences, quelque chose de grave s’était passé ? Cela n’avait pas le moindre sens !

Kenneth quitta sa chambre, vêtu d’un pantalon large, un jogging et un haut floqué d’une grosse tête d’ours enfantin. Le dessin correspondait particulièrement à la face mal réveillée de Kenneth, sa barbe et ses cheveux bruns ébouriffés. Il s’avança dans le couloir, baillant un long moment sans la moindre retenue. Alice dû lui signaler sa présence d’un «  eh ! » lorsqu’il manqua de la percuter. A quelle heure était-il rentré, cette nuit ?

«  Désolé » Il bailla ànouveau, avant de poser sa grande main sur la tête d’Alice. «  On a des invités surprise. Mais ce sont des amis. Alors tu peux ranger ta baguette. »

Sans un mot supplémentaire, sans plus d’explication, Kenneth contourna Alice et descendit les escaliers, faisant grincer les marchés à chaque pas. Des invités surprises ? Comment pouvaient-ils être des amis en faisant tout ce boucan !
Curieuse d’en savoir plus, Alice descendit à la suite de Kenneth. Ses petits pieds nus sur le bois faisaient bien moins de bruit que ceux de l’homme et, rapidement, elle atteint le rez-de-chaussée.
Oncle Kenneth rejoignait la pièce de vie, Alice, elle, restait cachée dans l’encadrement de la porte. Elle ne parvenait pas à voir ce qui se déroulait au salon là où, de toutes évidences, se trouvaient les « amis ».
Doucement, l’enfant s’extirpa de sa cachette pour s’approcher, cachée par le mur.

« Mais ... bon dieu, qu’est-ce que vous faites là ? Il s’est passé quelque chose ? Vous allez bien ? » Alice entendait une telle inquiétude dans la voix de son oncle qu’elle même était touchée par l’angoisse. Dans quel état se trouvait les amis de Kenneth ? Étaient-ils blessés ? Elle ne parvenait pas à les voir. Pas encore.
Profitant que Kenneth reprenne la parole, Alice tendit le cou pour apercevoir les fameux amis. Et quels amis ! C’était une famille, rien de plus, rien de moins qu’une famille. Un grand homme aux cheveux bruns grisonnants semblait être le père, la grande blonde qui l’accompagnait la mère. Devant eux se trouvait une autre blonde aux traits agréables, une fillette et un adolescent ressemblant à son père. Ce garçon, Alice l’avait déjà vu. Mais où ?

« On ne vous attendait pas ! C’est quoi cette histoire de hibou ? On a pas reçu de hibou ! Sinon, vous vous doutez bien qu’on aurait ... »

Sa voix fut coupée par un sursaut lorsqu’une bête a plume vint se perchée sur son épaule. Les serres du hibou de Kenneth plantées dans la chaire, Alice ne comprenait que trop bien la grimace qui déformait ses traits endormi. Sans un mot, il détacha l’enveloppe qui la gorge du hibou. Il l’a regarda un instant, avant de reposer ses yeux sur la famille.
Le hibou imitait son maître. Le voilà, le porteur de la fameuse lettre. Blessé dans son orgueil, l’oiseau croqua le lobe de l’oreille de Kenneth et s’envola à nouveau, échappant au cri du sorcier en partant par la baie vitrée entre ouverte.

Alice papillonna des yeux un instant, observant la scène avec attention pour ne rater aucun détail. Et des détails, il y en avait.

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14 nov. 2019, 11:12
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                       -Tu dois t'en douter, depuis que le Ministère n'existe plus mon emploi a évidement sauté. Déjà qu'un seul salaire pour toute la famille c'était extrêmement difficile, nous sommes sur la paille dorénavant. Oh bien sûr j'ai essayé d'emprunter un peu d'argent à Gringott's, sans succès. Le Conseil des sorciers contrôle tout! Expliqua Henry Conwell. 
Autant te dire qu'on a jamais vu une procédure d'expulsion aussi rapide. En moins d'un mois j'ai reçu sept notifications! J'ai réussi à toutes les éviter mais ce matin ils sont venu toquer à la porte. J'avais pensé que tu pourrais nous recevoir quelques jours lorsque l'inévitable arriverait. Une source m'a averti hier que l'expulsion était prévu pour ce jour. J'espérais que mon hiboux arriverait à temps
La famille à présent au complet, le salon paraissait bien petit.  Pas moins de sept personnes étaient réunis dans la pièce, sans compter les bagages. Enfin pas tout à fait. Mike qui profitait de cette échange entre adulte repéra un individu qu'il ne connaissait pas. Derrière le mur une jeune fille les épiait. Qui était ce donc? Ellie restait solidement accrochée à lui. Elle n'avait que 8 ans et bien que, à l'instar de toute la famille, elle avait beaucoup grandit, sa timidité ne s'était pas envolé. Enroulée autour de son bras comme un Snargaluff, Mike ne pu pas s'approcher pour se présenter. 

                  -Tu aurais pu nous prévenir. Cracha Aymee en interrompant le fil de ses pensées. Le ton était froid et cassant. Le Gryffondor la dévisagea, son visage était fermé. Sa mâchoire était contractée. Mike ne l'avait encore jamais vu dans un état pareil.
-Apprendre du jour au lendemain que l'on allait perdre la maison alors que vous saviez visiblement depuis longtemps que ça arriverait. Ajouta sa sœur sur un ton chargé de reproches.
Sans rien ajouter de plus, sa grande sœur jeta la malle qu'elle tenait dans ses bras et traversa la pièce devant l'assemblée qui resta interloquée. Elle ne jeta même pas un coup d’œil à l'espionne qui n'était toujours pas sortie de sa cachette. Mike avait bien vu les yeux rougies de son aînée. C'était de son devoir de frère de la réconforter.
-Je m'en occupe, dit il pour tous.
Traînant un peu Ellie qui ne savait pas si elle voulait  rester avec son frère ou ses parents, Mike emboîta le pas de la tornade de cheveux blonds qui venait de disparaître dans le couloir. En passant l'encadrement de la porte, il en profita pour dévisager avec plus d'attention l'inconnue, s'arrêtant l'espace d'une seconde. Plutôt grande, elle avait la peau pâle et les cheveux d'un blanc immaculé. par sa coupe désordonnée et la robe de chambre qu'elle arborait, Mike en déduisit qu'ils l'avaient tiré du lit. 
Il la salua d'un vague "Bonjour" puis, remettant son inspection à plus tard, il suivit le couloir. Une porte entrouverte donnant sur le modeste porsche du pavillon lui laissa à penser qu'on y trouverait sa grande sœur en la franchissant. 

                  Poussant un peu plus le bois du battant, Mike et le petit poulpe qui n'avait toujours pas décidé de lui rendre son bras foulèrent le gravier encore humide de la rosée du matin. En tournant la tête il repéra sur sa droite Aymee qui s'était laissée glisser le long du mur. Mike vint s’asseoir à côté d'elle et sans même y penser il passa un bras par dessus chacune de ses sœurs. 
-Vous savez, si les parents ne nous ont rien dit c'était sûrement pour nous épargner. Et parce qu'ils avaient encore espoir d'arranger la situation. D'ailleurs rien n'est perdu, on retrouvera sûrement notre maison lorsque tout ça sera fini
"Tout ça" englobait l'intégralité des événements qui s'étaient déroulés récemment. Le renversement, l'isolation de l'école de sorcellerie,  la saisie... Aymee se blottit alors au creux de son cou et la fratrie resta là. Tel quel. Tous les trois soudés. Mike se sentait responsable. Il devait arranger les choses pour chasser les tourments qui habitaient ses sœurs. C'était son devoir de frère et il mettrait un point d'honneur à l'accomplir. Des demain il chercherait un moyen de gagner un peu d'argent.  

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15 déc. 2019, 15:36
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Il fallu un temps considérable à Alice pour comprendre ce qui se passait. Ces gens avaient été expulsés de leur domicile, Kenneth devait les héberger mais n’était pas au courant. Jusque là, la fillette comprenait. Ce n’était pas très compliqué, finalement. A la portée du premier sot.
Ce qu’elle comprenait moins, en revanche, c’était pourquoi le père de famille se laissait ainsi rabrouer par ce qui était vraisemblablement sa fille aînée. Le ton était accusateur, méchant, et personne n’arrêtait les vilains mots de cette furie. Kenneth semblait dépassé par les événements, il aurait été imbécile de s’attendre à une quelconque intervention de sa part. Ses yeux arrondis par la surprise des précédentes annonces de son ami, il semblait lui aussi analyser la situation.
Alice sursauta lorsque la blonde jeta sa malle au sol pour quitter la salle presque aussitôt, passant à côté d’elle sans daigner lui jeter un regard. Mais quelle espèce de brute, celle la ! Et cette impolitesse. Quand bien même elle était en colère, cela n’empêchait pas de saluer poliment ces hébergeants !

Il y eu du mouvement, et Alice espérait sincèrement qu’il s’agisse d’un des deux parents, pour aller ordonner à leur fille de se faire plus douce. Nullement. Ce fut le frère, et la petite sœur accrochée à lui, qui la suivit immédiatement. Lui remarqua Alice, il s’arrêta près d’elle pour la considérer quelques secondes. Vraiment, il n’était pas inconnu à la fillette. Ces cheveux noirs ondulés, cette allure sportive... c’était un élève de Poudlard, ça c’était une évidence. Mais il y avait autre chose.
Il lui souffla un « bonjour », et disparu au détour du couloir suivant son odieuse sœur. Tout allait beaucoup trop vite pour Alice.

«  Bon... » marmonna Kenneth d’une voix perplexe. «  On va s’arranger, ne vous en faites pas. Tous les deux, vous prendrez notre chambre. Aymee prendre la bibliothèque, on l’a aménagée en chambre... et les enfants... j’ai une tente dans le garage qui me reste de la coupe du monde de Quidditch de 2040... ça fera l’affaire pour eux trois. »

Alice haussa les sourcils. Avait-elle mal entendu ? La bibliothèque, c’était sa sa chambre... et on lui retirait pour la jeter avec ...? Oh non. Non, ça c’était hors de question ! Et puis c’était laquelle, Aymee ? Pas la toute petite fille, non bien sûr. Aymee, c’était la furie. Et c’était elle qui allait obtenir l’intimité de sa chambre. Les trois frères et sœurs ne pouvaient-ils pas rester entre eux et lui fiche la paix ?

«  Je vais aller installer la tente... Imo va redescendre pour ... euh ... vous faire du café. Faites comme chez vous. »

Kenneth peinait à se réveiller. Alice le voyait chercher ses mots, buter sur d’autre, ç’en était piteux.
Il sourit brièvement au couple - de là où Alice se tenait, cela ressemblait plus à une grimace - et s’éloigna, rejoignant alors la position de sa protégée. Il l’a regarda un moment, l’air surpris de la voir ici. Avait-il vraiment perdu ses facultés d’Auror, pour ne pas avoir repéré l’espionne qu’elle constituait ?

« Désolé » dit-il après quelques secondes, la surprise muée en inconfort. Sa grande main vint couvrir la petite épaule d’Alice, la serrant délicatement. «  Mike et Ellie sont adorables, tu n’auras pas de problèmes avec eux... je suis même certaine que tu t’entendras bien avec Mike. »
Une grimace agacée déforma les lèvres d’Alice. «  Mais je ne les connais pas ces gens, moi» cracha t-elle à voix basse. «  C’est quand même incroyable que ce soit moi qui soit forcée de cohabiter dans la même tente que des inconnus ! » Le regard de Kenneth se durcit, et il reprit d’une voix calme et mesuré, adoptant un air paternel qui révulsait l’enfant. «  Alors qu’est-ce-que je fais ? Je les fous dehors ? Je leur dis que leur présence incommode la princesse que j’héberge ? Une princesse qui, je le rappelle, est bien contente d’être tombée sur des personnes qui ne l’ont pas laissé à sa folle de mère. »

Alice ne pipa mot, ses lèvres scellées par le poids des mots. Elle détourna le regard, une boule dans la gorge, une autre au fond de son ventre. Les doigts de Kenneth se détachèrent de son épaule pour attraper le menton d’Alice, la forçant a le regarder. Elle ferma les yeux, et Kenneth soupira bruyamment. «   C’est ça, boude si ça t’enchante. » lança Kenneth en la relâchant. Alice l’entendit passer à côté d’elle, et une porte de referma. Elle déglutit, ses yeux se rouvrant sur un pan de mur frappé de photos en tout genre.
La fillette resta ainsi un moment, ses yeux regardait sans voir chacune des personnes sur le mur, tous figées. Elle se remémorait les mots cruels de Kenneth. Les mots plein de réalité. C’était vrai, Alice avait été bien heureuse d’avoir Kenneth pour l’arracher à la garde de sa mère. Si ces gens étaient venu à lui... ils avaient confiance en lui. Comme son père.

Alice inspira un bon coup, et s’arracha a sa contemplation. Elle brossa ses cheveux à l’aide de ses longs doigts opalins, s’affaira péniblement a les rendre moins sauvages - maudites boucles - et inspecta son reflet dans le verre d’un cadre. L’image qu’il lui renvoyait n’était pas extraordinaire, mais au moins ne paraissait-elle pas négligée.
Elle se rendit au bout du couloir, et poussa la porte entrouverte qui menait à l’extérieur. Ils étaient là.
Tous cramponnés l’un à l’autre, même la furie. Alice s’en voulait presque d’interrompre leur étreinte familiale. Eux aussi devaient souffrir de la situation. Peut-être autant qu’elle.

«  Bonjour ...  » commença t-elle, cherchant les mots qu’elle s’apprêtait à ajouter. «  Je m’appelle Alice... je vis ici.  » Dieux que c’était ridicule, la fillette se sentait humiliée de devoir ainsi courber l’échine. C’était sa chambre ! Elle prit une nouvelle inspiration, pointant à présent ses yeux argentés, scintillant de blanc au soleil naissant, sur la plus âgée des sœurs. «  J’ai une chambre à l’étage, tu pourras y mettre tes affaires quand j’aurai rangé les miennes dans ma malle... » Ses vêtements, ses bijoux, ses plumes, ses livres, et surtout, ses essais de prospectus pour le Merlin. Comment allait-elle pouvoir travailler dessus, désormais ? «  Et tous les trois ... » Elle désigna les dénommés Mike et Ellie d’un bref signe de la main, plus épuisé qu’impoli. « Nous dormirons ensemble dans une ... tente. » Son immense joie coulait sur ce dernier mot. Dans une tente, avec des inconnus... elle préférait encore dormir dans le garage.
... quoi que.

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06 janv. 2020, 20:56
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                         Mike se demandait encore ce que représentait cette fille aux yeux de Kenneth. Jamais il ne l'avait évoquée ça ne pouvait donc pas être sa fille. Elle n'était certainement pas de la famille d'Imogen car avec cette couleur de cheveux, c'était un visage connu de Poudlard. Hors Imogen était moldu et il était statistiquement peu probable qu'un sorcier naisse dans une famille de moldu. Mike se promit de l'interroger plus en détail sur la question lorsque les choses se seraient un peu détendues. Aymee se dégagea de son étreinte, elle fit face à leur interlocutrice. 
-Je suis désolé d'avoir était impolie tout à l'heure, c'est très généreux de ta père de me prêter ta chambre et nous sommes désolé du dérangement
Sa grande sœur avait enfin repris contenance. Néanmoins elle en avait oublié l'un des rudiments de la courtoisie. Mike s'empressa de rattraper cette impolitesse. Il se leva à son tour, suivit dans le même mouvement pas sa petite sœur. 
-Je m'appelle Mike, je suis le filleul de Kenneth. Elle c'est Aymee, dit il en désignant la blonde, et elle c'est Ellie. En pointant la brune. Je crois que nous ferions mieux de retourner à l'intérieur. Nous ferons notre possible pour ne pas prendre trop de place et pour déranger au minimum votre quotidien. 

                       Dans le salon, Mike et les autres entreprirent de dégager les bagages du centre du salon. Les adultes remirent de l'ordre et réparèrent notamment la télévision qui reprit sa place devant la cheminée. Son parrain s'éclipsa pour monter la tente. Toute la famille s'installa selon les dispositions prises par leurs hôtes. Lorsque Alice redescendit avec ses affaires. Mike, Ellie et la mystérieuse autochtone filèrent dans le jardin pour découvrir leur future foyer pour les prochains jours. Clairement, on ne pouvait pas dire que l’esthétique faisait envie. Mike n'était même pas sûr de pouvoir tenir dedans allongé sans que ses pieds dépassent et la toile semblait prête à s'envoler au premier coup de vent. Il guetta sa nouvelle locataire du coin de l’œil un peu anxieux de sa réaction. Elle n'était pas enchantée à l'idée de vivre dans une tente, ça c'était certain mais l'aspect décrépie de leur nouveau foyer risquait de la brusquer et Mike redoutait qu'elle ne s'emporte.
-"Eh bien... Ça ne paye pas de mine, peut être qu'à l'intérieur c'est différent. Le ton trahissait son incrédulité. Tu y vas en reconnaissance Ellie? Proposa le grand frère en la poussant vers l'ouverture.
La fillette ne se fit pas prier, elle semblait ravi de partager cette intimité avec son frère. Mike se désintéressa d'elle et s'empressa d'essayer de rassurer Alice.
-Ne t'en fais pas je vais voir pour une autre solution je ne vais pas t'envahir je dormirais sur le sol du salon si possible. Le garçon était très gêné. C'était difficile d'être pauvre et d'entraîner quelqu'un qui n'avait rien à voir dans la précarité.
Mike avait à peine eu le temps de finir sa phrase qu'une voix euphorique s'écria:
-ON PREND LA CHAMBRE DE DROITE MIKE !

                      Le grand frère prit un certain temps pour comprendre ce que voulait dire la petite Ellie. Deux chambres, sous cette minuscule tente? C'était impossible. Mike regarda Alice, il ne savait pas très bien si elle était aussi étonnée que lui par la nouvelle ou si elle ne comprenait pas comment il pouvait ne pas savoir. Le garçon avala les quelques mètres qui le séparé de la toile, il s'accroupit et entra à l'intérieur. Soudent c'était comme si il avait changé de dimension, le plafond était haut. Il se trouva dans un petit commun de quelques mètres carrés avec deux fauteuils et un poil à bois. Au fond, deux rideaux masquaient deux petites alvéoles où des matelas deux places avaient été disposé. 
Mike n'en revenait pas, il ne s'attendait pas à un tel confort, en se retournant il vit qu'Alice était entrée à son tour. Alors pas politesse le Gryffondor lui demanda. 
-Est ce que ça te convient si Ellie et moi prenons la chambre de droite alors?

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Ils étaient amoureux, ceux qui se sont blottis, l'un contre l'autre tous deux contre la tyrannie

09 janv. 2020, 09:32
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« C’est normal » avait machinalement répondu Alice à la grande blonde. Normal ? Non, ça ne l’était pas. On l’arrachait à sa chambre pour la donner à quelqu’un d’autre, pour quelqu’un qui aurait très bien pu se satisfaire du confort de la tente puant les hormones de quelques amateurs de Quidditch, les miettes de leur vieux repas certainement encore présent dans les quatre coins de l’espace ! Alice ne s’y ferait pas, elle. C’était certain. Elle avait accepté de dormir dans une bibliothèque aménagée car elle y avait son intimité, quand bien même sa chambre aurait pu s’apparenter à un trou de souris. Mais cela, une tente partagée avec des inconnus ... par tous les dieux, c’était affreux.

Le frère vint à elle, la tirant alors de ses lamenterions silencieuses et présenta alors la fratrie. Le filleul de Kenneth. Mais oui, bien sûr ! C’était le garçon qu’Alice avait vu sur de nombreuses photos en compagnie de son oncle. Elle s’était souvent demandé de qui il s’agissait, aujourd’hui elle savait.
« Je suis enchantée de faire votre connaissance » dit Alice en regardant chaque frère et sœur. Aymee, Ellie et Mike... parviendrait-elle à se souvenir de tout ? Avant la fin de la journée, Aymee se serait certainement transformé en Amy, et Ellie en Ally. C’était même certain. Mike, cela ne bougerait certainement pas. Quoi que.

Ils se séparèrent enfin. La fratrie gagna le salon, et Alice sa chambre qu’il fallait à présent vider pour Hailey... Aymee. Son dos contre sa porte, elle observait l’espace en soupirant. Devait-elle vraiment tout prendre ? C’était peut-être le plus sûr. Si ces gens étaient pauvres, peut-être essayeraient-ils de faire fortune en vendant quelques bijoux appartenant à Alice, hérités de quelques vieilles tantes françaises ? Il fallait tout embarquer, jusqu’à la moindre petite perle.

La tente gisait sous ses yeux interdits. Ce qu’elle pouvait être laide et peu avenante. Elle dégageait tout le soin que Kenneth pouvait porter à ses possessions. Le tissu était rapiécé, sale, poussiéreux, et laissait présagé un intérieur tout aussi peu entretenu.
Ca ne paye pas de mine, disait Mike. L’intérieur serait peut-être différent, pensait-il. Alice souffla du nez, consternée par ce qu’elle voyait et entendait. Lui même n’y croyait pas, mais il avait au moins la gentillesse de vouloir rassurer Alice. En vain, certes, mais le geste était là, et il était apprécié.

Dormir sur le sol du salon ? Il n’était tout de même pas sérieux ! Si quelqu’un devait dormir dans le salon, dans un merveilleux petit nid confectionné avec de moelleuses couvertures, c’était elle ! Cela lui éviterait de dormir dans le bazar qu’elle n’imaginait que trop bien.
La voix de la petite fille qui avait pénétré dans la tente, Amy, a moins que ça ne soit Ally, s’éleva devant eux. Au moins il y avait au moins deux chambres, c’était déjà cela de gagner. Alice n’aurait pas supporté de dormir tout prêt de ces gens. Le garçon avait l’air agréable, certes, mais il est bon de se méfier, toujours. Il était peut-être le filleul de Kenneth, mais cela ne changeait rien.

Mike semblait décontenancé face à la réponse de sa petite sœur. Ne connaissait-il pas les sortilèges d’extensions ? Peu importe. Lorsqu’il entra dans la tente, Alice le suivit, son dos se courbant, ses jambes se pliant.

Ce n’était pas le grand luxe, loin de là. C’était du grand Kenneth : la simplicité et le confort avant tout le reste. Il y avait de quoi s’asseoir et, dans le fond, de quoi dormir. Un rideau pour seule intimité... Alice soupira.

« Ça me convient » répondit Alice à Mike. Que ce soit la chambre de droite, ou celle de gauche, ce serait terrible de toutes façons. «  Je vais aller y ranger mes affaires... enfin, les déposer... si tant est qu’il y ai la place pour poser ma valise. » Il lui devenait toujours un peu plus difficile de garder pour elle sa déception, sa colère, son dégoût. Elle en devenait impolie.

«  Je suis désolée » dit-elle en regardant le garçon. «  Je sais que ce n’est pas de votre faute ce qui arrive. Vous le subissez autant que moi. Alors ... tachons de faire de notre mieux pour ne pas nous compliquer la vie. »

Ils le subissaient certainement moins qu’elle. Peut-être que le confort que leur offrait la tente poisseuse d’oncle Kenneth étaient à leur yeux celui d’un palais.
Ça, c’était méchant, et Alice s’en voulu quelques instants de penser cela. Ils n’avaient pas réclamer la misère qui leur fauchait les jambes pour les mettre le nez dans la poussière.
Sans un mot supplémentaire, Alice quitta Mike pour regagner l’intérieur. Elle récupéra sa valise, et la roula jusqu’à sa chambre. Sa chambre, son matelas. C’était piteux. Il n’y avait rien pour ranger ses affaires, même pas un coffre en bois. La fillette soupira gravement, se laissant retomber assise sur le matelas, ô combien trop dur pour son dos fragile. Son visage dans ses mains, Alice prenait toute conscience de ce qu’elle allait devoir vivre pendant deux semaines, deux longues, très longues semaines. C’était un enfer.

Sixième année RP - 741B47
Étudiante à Beauxbâtons depuis Janvier 2046
Fondatrice du MERLIN

18 juil. 2020, 18:38
 RPG++   PV.AS  Hello it's me  Glasgow 
La semaine passa très rapidement, Mike avait assuré plusieurs services en compagnie d'Alice et de ses sœurs pour la femme de Kenneth. Ils passèrent leurs temps libre à déambuler dans les rues. Mike par quelques tours de passe-passe, de jonglage et autres acrobaties réussit même à récolter quelques pièces dans les rues de Glasgow. Un soir les enfants rentrèrent exténués par leurs activités, Mike remarqua immédiatement la pile des bagages entassés sur le tapis du salon. D'un coup d’œil à travers la pièce il remarqua que la tente avait été démonté. Les enfants comprirent immédiatement que l'heure du départ était venue.
-Où va t'on ? Demanda Mike.
-J'ai trouvé un appartement miteux sur le chemin de traverse. Nous allons y être serrés mais au moins nous seront à l'abri.
Les au revoir furent bref mais émouvant. La fratrie Conwell s'était attachée à Alice et à leurs hôtes.

Tout le monde s'entassa devant la cheminée. Après un dernier signe de main, leur père jeta une poignée de poudre de cheminette et les Conwell s'évaporèrent à trois d'abord puis à deux, engloutis par de longues gerbes de flammes vertes.

Les enfants furent les premières à réapparaître dans le salon poussiéreux. Leur père avait était honnête, l'appartement était miteux, les quelques rares rayons de soleil qui arrivaient à percer les vitres jaunies par le temps leur permettaient de distinguaient l'impressionnant quantité de poussière qui s'agitait dans l'air. Des petits bruits d'ailes se font entendre des quatre coins de la pièce et en plissant les yeux, Mike distingue un nombre impressionnant de Doxys à travers tout l'appartement. Lorsque leurs parents les rejoignent, leur père pause une main sur l'épaule de son fils et de sa fille aînée.
-Allez au boulot! Sa voix empreinte de motivation réchauffent le cœur des enfants.
Ils sortirent tous leurs baguettes, Aymee et leur mère partirent chercher les produits nécessaire à la chasse aux Doxys. .Elles revinrent les bras chargés de flacons et de balais. Chaque membre de la famille s'arma et le grand ménage commença. L'appartement était minuscule. Il y avait un chambre, le salon une cuisine et une salle de bain. Pourtant ils passèrent la nuit complète à récurer de fond en comble. Se débarrassant des nuisibles et éliminant le gros de la saleté. Les premiers rayons du soleil se levaient enfin que les Conwell envisagèrent de tirer les rideaux et de partir se coucher. Les enfants récupérèrent la chambre, Ellie et Mike dans un lit, Aymee dans l'autre. Les deux parents eux se serrèrent sur le canapé.
Mike étreignit sa petite sœur contre lui, lui murmurant quelques mots de réconforts pour l'aider à trouver le sommeil.
Après quelques heures de sommeil bien mérité, les Conwell tinrent un conseil de famille.
-Cet appartement ne nous à rien coûté, la propriétaire est une vieille connaissance de la famille. Elle n'a plus l'âge d'entretenir cette appartement donc tant que nous l'entretenons nous pourrons y loger gratuitement. Avec ça nous réussiront à repartir sur un bon pied. Je suis désolé que vous ayez eu à subir cet épisode sans même avoir était prévenu qu'il pouvait arriver mais désormais je veux que vous repreniez une vie normale. Tout va bien se passer vous n'avez plus à vous en faire d'accord les enfants?
Les trois concernés acquiescèrent mollement de la tête. C'était difficile de faire comme si tout allait bien alors que le cadre laissait clairement supposer le contraire mais aucun d'eux n'avaient plus envie d'accabler leurs parents.

Le reste des vacances fut long et déprimant. Mike et Elfie continuèrent d'arpenter les rues comme des saltimbanques pour gagner quelques noises, ils prenaient la fuite à chaque fois qu'un manteau noir ne pointait le bout de son nez ne craignant de ne subir l'injustice du régime en place. Quand le jour de la rentrée fut arrivé, le cœur de Mike se déchirant lorsque lui et Aymee partir pour Poudlard en laissant derrière eux sa petite sœur et leurs parents. Une blessure qui allait le tourmenter tout le long de l'année scolaire.

FIN (pour moi, si tu veux faire un dernier post pour boucler ton 4++)

Troisième année RP - Troisième année devoirMa fiche
Ils étaient amoureux, ceux qui se sont blottis, l'un contre l'autre tous deux contre la tyrannie