Ici, tout les coups sont permis
J'étais trop contente. Aujourd'hui était un jour spécial pour moi. Une était en milieu de mars en week-end. Comme j'étais une née moldue, on avait organisé un club pour protéger les nées moldues et je pouvais en faire partie. Ok m'avait chargé de coller des affiches dans le couloir. Alors, je me préparai, pris la colle que l'on m'avais donnée, avec le joli pinceau, les affiches et mis mes chaussures avant d'enfiler mon manteau. Je descendis les marchés quatre à quatre presser d'arriver au couloir.
Une fois, arrivée, je me demande comment coller les affiches. Pour les répartir, je pris la décision d'en mettre une au tout début. Une deuxième sur les panneaux d'affichage et une dernière à l'angle du couloir, juste en face de l'escalier que je venais de descendre. Je collais la dernière avec précision. Les affiches se collaient à merveille. Cette colle était super puissante !
Je me demandais ce que je devrais faire après. J'avais hâte de le savoir. À ma poitrine, était collé le badge que l'on avait créé. Cela faisait environ un mois que le projet était prévu et j'attendais impatiemment le grand jour. Tout en rêvassant, la colle me coula sur les doigts. Que j'étais bête ! Voilà des jours que j'attendais ce jour pour qu'il soit parfait et là, je me renverse bêtement de la colle dessus ! Tout ça parce que je suis perdu dans mes pensées au lieu d'être à ce que je fais !
Dernière modification par Alice Smith le 22 avr. 2021, 19:09, modifié 1 fois.
|
|
|
Ici, tout les coups sont permis
Les affiches de propagandes né-moldus et moldus ne cessaient d’augmenter. Jour après jour je continuais de voir de nouvelles affiches faire leur apparition et tous avec leur slogan plus ridicule que les autres. « Protégeons les moldus », « Les nés-moldus sont aussi des sorciers », « Non au bashing des minorités du sang ». Ah plus j’en lisais et plus j’avais une envie plus que grave de me mettre à arracher toutes les fiches qui étaient sur les murs du château mais c’était inutile. Arrachez-en une et deux autres prendront sa place, arrachez les deux et trois autres feront leur apparition, c’était un cercle vicieux dans laquelle je n’avais aucune envie de m’engager et pourtant je ne pouvais pas laisser cette race d’impure se faire passer pour des victimes.
Les une après les autres je continuais d’arracher les affiches qui étaient sur les murs sans faire vraiment grandement attention. Le plus important était qu’elle devienne illisible et si j’avais un peu de chance, en suivant les fiches que je retirai je retrouverai peut-être l’auteur de toute cette propagande mensongère et cela ne manqua pas.
Apres une poignée de minutes d’atelier d’éradication d’informations mensongère, j’avais enfin en vue la personne qui semblait être l’artiste qui se permettait de salir les murs de l’école. Continuant d’arracher son travail dans un pas déterminée, je finis par réduire la distance qui nous séparait entre elle et moi avant de l’interpeller.
-Hey ! Toi la ! criai-je en accélérant le pas pour la rejoindre. C’est toi qui placarde l’école de toute ces bêtises avec les sang-de-bourbes ? dis-je en laissant tomber par terre les morceaux que j’avais arraché un peu plus tôt. Faut que tu arrêtes ça tout de suite si tu ne veux pas avoir de problème, raconter des mensonges dans toute l’école est un crime, alors je te conseil de prendre tes maudites fiches et de rentrer dans ta salle commune ou sinon tu vas passer un mauvais quart d’heure, tu as compris ?
Les une après les autres je continuais d’arracher les affiches qui étaient sur les murs sans faire vraiment grandement attention. Le plus important était qu’elle devienne illisible et si j’avais un peu de chance, en suivant les fiches que je retirai je retrouverai peut-être l’auteur de toute cette propagande mensongère et cela ne manqua pas.
Apres une poignée de minutes d’atelier d’éradication d’informations mensongère, j’avais enfin en vue la personne qui semblait être l’artiste qui se permettait de salir les murs de l’école. Continuant d’arracher son travail dans un pas déterminée, je finis par réduire la distance qui nous séparait entre elle et moi avant de l’interpeller.
-Hey ! Toi la ! criai-je en accélérant le pas pour la rejoindre. C’est toi qui placarde l’école de toute ces bêtises avec les sang-de-bourbes ? dis-je en laissant tomber par terre les morceaux que j’avais arraché un peu plus tôt. Faut que tu arrêtes ça tout de suite si tu ne veux pas avoir de problème, raconter des mensonges dans toute l’école est un crime, alors je te conseil de prendre tes maudites fiches et de rentrer dans ta salle commune ou sinon tu vas passer un mauvais quart d’heure, tu as compris ?
Ici, tout les coups sont permis
Alice continue d’afficher ses posters sur les murs, elle pense que c’est quand même du gâchis de papier et ça abîme un peu les murs tout de même… Elle préférerait en rediscuter avec leur club de cette idée.
Alice fut ensuite appelée par une voix emplie de colère et de méchancetés, elle sursaute et se retourne vivement. Elle accélère le pas pour finalement se retrouver à quelques centimètres même pas d'Alice. Reprenant de plus belle, elle demande si c'est Alice qui placarde toute l'école de bêtise. La jeune fille, ne voulant pas chercher les problèmes hoche simplement la tête, comme une poupée inanimée.
Sa camarade ajoute également que ce n'est rien d'autre que des bêtises de sang de bourbe. Alice grimace à l'évocation de ce nom. Elle laisse alors tomber des morceaux de papiers par terre venant de quelques affiches qu'Alice avait collés précédemment. D'une voix encore plus forte et colérique, elle dit d'arrêter immédiatement de raconter des mensonges dans l'école entière. *Ben voyons !* Alice ne voyait pas en quoi c'étaient des mensonges, mais bon, sa camarade devait juste être de mauvaise humeur.
Se calmant légèrement, elle continue de critiquer Alice et de la menacer. Elle lui dit alors, plus calme que jamais de partir immédiatement dans sa salle commune où elle lui ferait passer un mauvais quart d'heure.
Alice fit une moue boudeuse, elle ne voulait pas provoquer son interlocutrice, mais elle n'allait pas rentrer comme ça, sans rien dire, suivant les ordres d'une inconnue. Elle veut se retenir de parler, mais son esprit vif et courageux de Gryffonne prends le dessus. Alice ouvre alors la bouche, ne pouvant s'en empêcher. Le regard déterminé, elle dit "Je ne suis pas une sang-de bourbe" en décortiquant chaque mot. Mais à présent, la Gryffonne ne souriait plus du tout, *Tu tenais à me voir en colère ? Me voilà*.
|
|
|
Ici, tout les coups sont permis
Un sourire grimaçant prit place sur mon visage. Ainsi donc ma petite insulte venait de blesser l’ego de la petite rouge. La pauvre n’avait même pas pris la peine de nier qui elle était. Une vulgaire Sang-de-bourbe qui allait sans aucun doute finir la tête dans le mur si elle continuait de me regarder comme ça.
«- Oh ? Alors tu fais partie de cette petite race d’impure ? Si tu n’es pas une sang-de-bourbe qu’est ce que tu es hm ? Je te fais l’honneur de te donner un statut, car je crois me souvenir que le Conseil lui, vous a retiré ce droit, donc au lieu de faire ce visage qui risque de te couter un œil, tu devrais t’agenouiller et me remercier. »
Avec la distance bien réduite entre elle et moi, l’envie de la prendre par l’arrière des cheveux se faisaient grandir. Je ne pense pas que j’aurai eu aucun mal à me débarrasser d’elle, cependant il fallait toujours se méfier du lion qui dort et ses yeux remplit de déterminations ne faisaient que renforcer mes suppositions. Il était inutile d’en venir aux mains, du moment pas tout de suite. L'envie de jouer m'enivrait et surtout, l'envie de savoir jusqu'ou je pouvais pousser la petite Gryffondor me devorait de l'interieur.
« - Dit moi petit porc… » commençais-je en se rapprochant encore plus pour essayer de me montrer plus intimidante par ma taille. « Qu’est ce qui te fait croire que tu es la bienvenue ici ? » Je me tournai et montra ses affiches placardées dans tout le couloir. « Je veux dire, si tu ressens le besoin d’afficher toute cette fausse propagande, c’est que certainement tu ne te sens pas à ta place ici. Alors ma question est la suivante… Qu’est ce que tu fais dans cette école, au lieu d’être dans ton enclos avec tes animaux de parents ? »
Pardon pour ce retard honteux !
«- Oh ? Alors tu fais partie de cette petite race d’impure ? Si tu n’es pas une sang-de-bourbe qu’est ce que tu es hm ? Je te fais l’honneur de te donner un statut, car je crois me souvenir que le Conseil lui, vous a retiré ce droit, donc au lieu de faire ce visage qui risque de te couter un œil, tu devrais t’agenouiller et me remercier. »
Avec la distance bien réduite entre elle et moi, l’envie de la prendre par l’arrière des cheveux se faisaient grandir. Je ne pense pas que j’aurai eu aucun mal à me débarrasser d’elle, cependant il fallait toujours se méfier du lion qui dort et ses yeux remplit de déterminations ne faisaient que renforcer mes suppositions. Il était inutile d’en venir aux mains, du moment pas tout de suite. L'envie de jouer m'enivrait et surtout, l'envie de savoir jusqu'ou je pouvais pousser la petite Gryffondor me devorait de l'interieur.
« - Dit moi petit porc… » commençais-je en se rapprochant encore plus pour essayer de me montrer plus intimidante par ma taille. « Qu’est ce qui te fait croire que tu es la bienvenue ici ? » Je me tournai et montra ses affiches placardées dans tout le couloir. « Je veux dire, si tu ressens le besoin d’afficher toute cette fausse propagande, c’est que certainement tu ne te sens pas à ta place ici. Alors ma question est la suivante… Qu’est ce que tu fais dans cette école, au lieu d’être dans ton enclos avec tes animaux de parents ? »
Pardon pour ce retard honteux !