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18 janv. 2019, 22:55
 Club de Théâtre  Une semaine, une impro' (Libre)
La salle prêtée par le Chaudron Baveur aux deux élèves de Poudlard, Arthur et Jules, étaient relativement grande : assez pour pouvoir y accueillir les intéressés du club de Théâtre. Après avoir demandé quelques bancs, tables et chaises au gérant du lieu, Monsieur Harris, les enfants avaient décidé d'ouvrir la pièce aux élèves ayant besoin de s'exprimer par besoin ou par plaisir.
Les épaisses portes de bois sont ouvertes, vous entrez donc dans la caverne du théâtre.
But de ce sujet :
Il s'agit ici d'un sujet libre, c'est à dire qu'il n'y a aucune permission à avoir pour poster ici.
Un thème vous sera imposé et vous devrez imaginer l'un après l'autre un post en rapport avec le précédent.


ATTENTION : L'histoire doit garder du sens donc merci de lire les textes précédents avant de rédiger le votre.

Participation :
Aucune inscription au club de Théâtre est requise pour participer. En revanche, il est là pour vous ouvrir les yeux sur le monde théâtre. Si cette expérience vous plait, n'hésitez pas à prendre connaissance de ce sujet et/ou m'envoyer un hibou pour vous inscrire au club.

Fréquence :
Les gérants du club, Arthur et moi, essayerons de vous faire parvenir différents thèmes par mois. Dès que nous verrons qu'une improvisation touche à sa fin, une nouvelle sera publiée pour permettre de diversifier les thèmes abordés.

Contraintes :
Des contraintes pourront être ajoutées pour apporter une touche de difficulté. Elles ne seront absolument pas obligatoires mais vous prépareront aux difficultés d'une pièce de théâtre standard dans ce club.

Règles :
• Aucune insulte/propos déplacé/vocabulaire impoli ne sera toléré.
• Merci de lire les anciens messages avant de poster le votre.
• Un minimum de 220 mots est attendu par post.
•Lisez ce sujet pour voir les bases d'un RPG.
• Respectez la mise en page d'une pièce de théâtre.
Pour toutes questions, me contacter uniquement moi par hibou.

Première improvisation : Dimanche 20 Janvier.

Hier tout s'effaçait mais demain tout recommencera, au revoir.
20 janv. 2019, 19:49
 Club de Théâtre  Une semaine, une impro' (Libre)
Improvisation n°1
Semaine du dimanche 20/01 :

"LA FAMILLE AVANT TOUT"
Image
Distribution : Une quinzaine de comédiens maximum.

☆ Un pic-nic de famille a lieu dans le jardin de la propriété des Gustey, une quinzaine de personnes sont réunis mais aucune d'elles ne peuvent bien s'entendre : s'instaure alors une comédie visant à lancer des pics à "sa famille", en toute politesse.
Personnages jouables :
Que des adultes, féminins et masculins.
Ils peuvent être tantes/parrains éloignés, neveux, cousins...

Accessoires disponibles :
- Plusieurs paniers de pic-nic
- Des nappes
- Du vin (qui est en réalité du jus de raisins)
- De la nourriture

Décors de la scène :
- De la fausse pelouse
- Des arbres
- Un grand bassin d'eau pour poissons

Contraintes (facultatives) :
- Cinq noms d'animaux doivent être placés dans votre post
- Votre personnage ne peut se déplacer qu'à cloche-pied
- Faire une mauvaise blague dans votre post

*********

Vous pouvez jouer qui vous voulez mais tachez d'être un minimum cohérent en diversifiant les liens de parentés.
N'oubliez-pas que les personnages doivent être, si je puis me permettre l'expression, "cucul la praline" alors rendez-moi vos faits et gestes hilarants  :wise:
Fin : Dimanche 3 Février.
Dernière modification par Jules Circinus le 30 janv. 2019, 20:30, modifié 1 fois.

Hier tout s'effaçait mais demain tout recommencera, au revoir.
21 janv. 2019, 00:49
 Club de Théâtre  Une semaine, une impro' (Libre)
[La famille avant tout]

Reducio
Contraintes faites :
Aucune, désolée, pas d'inspiration pour ^^ 

Cassiopée Malory n'était pas du genre famille. Pas mais alors pas du tout et en jouer une en théâtre pouvait peut-être lui montrer qu'elle n'avait pas forcément besoin de ça. Elle n'espérait pas trop de cette pièce de théâtre mais pour une fois, elle avait envie de faire rire au lieu de faire pleurer, d'essayer de comprendre ce que les gens aimaient tant dans le rire, pourquoi ils le faisaient tant et surtout, pourquoi l'idée de famille semblait tellement les obséder alors que ce n'était, au fond, qu'une chose inutile à la survie puisqu'elle vivait sans. Elle ne vivait pas très bien, mais elle n'avait besoin de rien d'autre. 

Pour l'occasion -qui n'en n'était pas tant une, elle se foutait de tout ça, elle voulait juste essayer quelque chose- elle avait troqué ses habituels habits contre un costume trois pièce marron. Sa famille à elle, elle était pas un modèle, elle n'avait jamais connu autre chose que ses parents, son frère et ses grands-parents à de rares occasions mais si elle avait apprit quelque chose, c'était que Loïk était le style de personne qui, aux repas de famille, faisait des blague absolument affreuse après à peine un verre de vin et elle n'avait pas vraiment l'intention de l'imiter. Peut-être qu'un jour les deux hommes viendraient la voir et seraient fiers d'elle. Peut-être.
Comment elle jouait ce truc, elle ?

Le frère entre en scène et marche jusqu'à une nappe d'un pas lent et d'une posture droite.après s'être assit, il lève le menton d'un air hautain et lance :

PREMIER FRÈRE GUSTEY
-Je vois que nous devons encore une fois nous contenter de manger par terre sur l'herbe comme de vulgaires animaux ! 

Le frère se sert du vin et le tourne dans son verre, semblant perdu dans ses pensées.

PREMIER FRÈRE GUSTEY
-Quand je pense que j'ai accepté encore une fois de faire la joie de ma présence aux autres invités qui n'ont même pas daigné m'accueillir, je suis outré. Encore une fois, cette famille prouve à quel point l'éducation de ses membres a été bâclée ! en parlant de ces mal-élevés, où sont-ils ?

Moi ? Je n'fume pas, je n'bois pas, mais je M.L. Chacun son truc.
Mascotte Officielle des Crochets d'Argents, laissez passer s'il vous plait.
23 janv. 2019, 21:39
 Club de Théâtre  Une semaine, une impro' (Libre)
Reducio
Contraintes remplies :
- Placer 5 noms d’animaux dans mon post : serpent, poisson, lapin, chien, porc.

Mon personnage est absolument ignoble. J’ai hâte de voir la suite de l’histoire avec ce personnage ! :rofl:


Quelques minutes plus tôt, j’étais entrée par curiosité, me demandant ce qu’il se passait dans cette salle. J’avais découvert Cassiopée Malory se préparant pour entrer en scène.
Je me demande, est-ce que je participe. Je n’aime pas me donner en spectacle devant les autres. Je suis assez timide sur ce point là. Je leu le sujet de la pièce et j’eus une idée.
Au diable ma timidité ! J’avais envie de faire une folie aujourd’hui, là était l’occasion parfaite.
Je farfouille dans une malle à costumes derrière un paravent servant de coulisses. J’y trouve une jolie robe bleu ciel très légère. Je me cachais et l’enfilait rapidement. Pour la touche finale, je me fis rapidement un chignon, me saisi d’une ombrelle et me préparais mentalement.
Avant de rentrer sur scène à la suite de Cassiopée, je réfléchis au personnage que j’allais incarner. Une fille intelligente ou un peu bête ? J’optais pour une fille intelligente mais ignobles et méchante. J’espérais de tout mon cœur que les autres apprécieraient.
Cassiopée entama son discours. Je l’entendis incarner un frère Gustey. Il se plaignit de son accueil inexistant et d’être forcé de s’assoir dans l’herbe. Il était bien hautain, exactement le personnage recherché pour cette petite pièce. Il se servit un verre de vin et demanda où était le reste de la famille. C’était à moi de jouer.

Prenant une démarche plutôt hautaine, pinçant d’une main sa robe pour la relever un peu, faisant semblant de faire attention à ce qu’elle ne frôle pas le sol, tenant de l’autre son ombrelle que elle balança maladroitement vers la tête du frère Gustey. Celui-ci esquiva maladroitement. Elle pris une voix haut perché et légèrement narquoise et dit :

PREMIÈRE COUSINE GUSTEY


- Oh pardon cousin ! Je ne t’avais pas vu ! Évidemment, si tu te traînes par terre ainsi comme un serpent ce n’est pas étonnant ! Tu es venu pour le pic-nique toi aussi ?

Elle s’assit sur le bord du bassin à poissons et croisa les jambes. Mais avant même que le frère puisse la sermonner, elle glissa de son siège improvisé et bouscula son cousin. Il se retrouva le nez dans l’herbe, le vin renversé à ses côtés. Elle se rassit et pris un semblant de voix désolé teinté de moquerie.

PREMIÈRE COUSINE GUSTEY


- Oh excuse moi cousin, je suis bien maladroite aujourd’hui ! C’est bien dommage.

Elle tortilla une des mèches rebelles de son chignon et enchaîna.

PREMIÈRE COUSINE GUSTEY


- Mais tu sais, toi qui te plaignais d’être a même le sol, tu te retrouve face contre terre comme un simple lapin. Que dis-je ? Un horrible chien galeux !

Elle sourit méchamment et et lui lança les yeux plissés les lèvres serrées :

PREMIÈRE COUSINE GUSTEY


- Mais là n’est pas ta place cher cousin ? Dans la boue comme un porc.

Elle lui lança un dernier regard dégoûté et méprisant puis détourna la tête, observant ses ongles avec un sourire en coin.

Les enfants sont une étincelle dans ce monde dont ils n'entre voient qu’une esquisse.
#TGBGTLB #TeamMarchombres #dévoreusedelivres
26 janv. 2019, 13:32
 Club de Théâtre  Une semaine, une impro' (Libre)
Elle grinça des dents, prête à lui répondre mais se rappela que, non, ce n'était elle qui était insultée mais le personnage, chose plutôt dure à se représenter. Elle ne connaissait que de vue la deuxième personne sur scène, mais savait qu'elle incarnait un personnage à qui une ou deux claques n'auraient pas fait beaucoup de mal. Elle avait au début cru que ce serait une infiniment mauvaise idée de participer à cette pièce, sûrement qu'elle avait eu raison de penser ça quand elle y repensait un peu plus. A part avoir envie de trucider cette pauvre malheureuse qui n'avait pas vraiment l'air d'être intéressante, elle n'avait rien d'autre en tête. Elle ne jouait pas forcément mieux que les autres, elle était juste parfaite pour son rôle, avec son physique et son visage. Même sa voix l'était. Peut-être qu'en dehors de ce club elle était une de ces pestes affreuses ? Elle ne la connaissait pas, ne lui avait jamais parlé alors elle n'en savait rien. Mais si c'était le cas, elle s'en foutait en fait. Elle se fichait de tout ce qu'elle ne trouvait pas intéressant. Et pour tout dire, à part son rôle, là, rien ne l'était.

Le frère se relève avec lenteur et essuie son visage avec grâce à l'aide d'un mouchoir en satin sortit de sa poche. Il lève le menton et fusille des yeux l'autre personne.

PREMIER FRÈRE GUSTEY
-Il fait bien longtemps que je ne vous ai plus vu, très chère cousine. Cela ne m'avait pas vraiment manqué, si vous souhaitez le savoir. 

Il se relève et se sert à nouveau d'un verre de vin, changeant le verre et laissant l'autre par terre, hors de question qu'il ne reprenne celui renversé.

PREMIER FRÈRE GUSTEY
-Comment allez-vous, en cette journée d'été ? Dans mon souvenir, vous étiez la dernière fois venue avec cet homme, ce musicien dont je n'ai plus pour souvenir le nom et, voyant votre main dénuée de tout anneau alors que vous en portiez un la dernière fois, je dois bien comprendre que vous êtes à nouveau seule. L'avez-vous laissé en arrière après avoir remarqué qu'il ne vous apporterait pas le moindre sous ?  Vous n'avez jamais su vous trouver un homme, même très jeune.

Il s'approche de la femme assise sur le bord du bassin et se baisse à sa hauteur, en voyant son verre légèrement en avant et, de ce fait, envoie une bonne partie de son contenu valser sur la robe blanche en satin de l'autre avant de se relever et de s'éloigner de quelques pas. 

PREMIER FRERE GUSTEY
-Ho, vous me voyez désolé pour votre tenue, ma chère, je n'ai point fais exprès, mon verre m'a échappé, quel maladresse de ma part ! Quoique, cela ne devrait pas trop vous déranger, votre robe est aussi laide que ne l'était celle de notre défunte mère dont vous critiquiez tellement les motifs. Votre ancien fiancé ne vous a pas offert de belle robe ? Vous devriez avoir honte de sortir cette horreur de votre placard.

Moi ? Je n'fume pas, je n'bois pas, mais je M.L. Chacun son truc.
Mascotte Officielle des Crochets d'Argents, laissez passer s'il vous plait.
03 févr. 2019, 00:51
 Club de Théâtre  Une semaine, une impro' (Libre)
Après avoir lancé tout les piques que je pouvais imaginer au frère Gustey, je vis les yeux de Cassiopée étinceler de fureur. Elle me jeta un regard noir de reproches et sembla se retenir à grande peine de me répondre. Heureusement, elle reprit rapide toute contenance, se rappelant sûrement que seul le personnage qu’elle incarnait était visé et non elle même. Son regard resta tout de même sombre à mon égard. Je me sentais un peu mal, j’y étais peut être allée un peu fort pour une entrée en scène... Je ne voulais pas la blesser, bien sûr que non ! Je détestais les mal entendus et les disputes, je ne voulais pas qu’une guerre soir déclarée entre nous. Surtout que je ne la connaissait à peine ! Juste de loin comme ça.

Je me retiens de toutes mes forces de m’excuser et de m’enfuir en courant. Je m’en voulais vraiment d’avoir sorti tout ça. Ça ne me ressemblait absolument pas ! Mais voilà, je jouait dans une improvisation au théâtre. Je ne pouvais pas laisser tomber les autres acteurs, les organisateurs et le public. Je ne pouvais pas fuir lâchement comme je l’avais fait avec ma famille moldue. Je devais incarner mon personnage jusqu’au bout. J’avais décidé de jouer un personnage tête à claques, méchant et narquois ? Je le jouerais jusqu’à la fin. Je ne pouvais pas laisser tomber comme ça ! Même s je devais être horrible, être une vraie peste et tête a claques, je le serais !

Ne laissant rien transparaître de mes émotions au public, j’écoutais Cassiopée me répondre d’un ton acerbe. Bien sûr, je laissait mon visage se décomposer petit à petit au fur et à mesure que j’entendais les horreurs qu’elle disait à cette horrible cousine Gustey.

La jeune fille avait fini. Il était temps pour moi de répondre...

Elle pris un air pincé suite à sa remarque.

PREMIÈRE COUSINE GUSTEY


* Il est vrai que cela faisait longtemps que je ne vous avais point vu, cousin. Si vous souhaitez le savoir, vous aussi, j’aurais aimé me passer de cette après midi inutile. Il faut dire que ce n’est point agréable de voir à quel point le reste de la famille est stupide.

Quel malappris ! Malotru ! Goujat ! Idiot, provoquant et arrogant par dessus le tout ! Comment pouvait-il bien être son cousin ?! Une telle personne ne pouvait avoir un quelconque lien de parenté avec un elle !!

PREMIÈRE COUSINE GUSTEY


* Ma foi, je me portais bien jusqu’à mon arrivée ici et cette entrevue aussi stupide qu’inutile avec vous. Je ne vous retournerais pas la question, cousin. La dernier fois ? Cela devait être il y a dix ans mon ami. Une époque où vous n’étiez pas aussi...


Elle marqua une pause, les lèvres pincées.

PREMIÈRE COUSINE GUSTEY


* Je ne salirais pas mes lèvres et ma conscience de ces mots atroces qui vous désignent très cher cousin. Un musicien ? Quel idiot vous faites ! Vous devez surement parler de ma sœur jumelle. Cela lui ressemble bien. Elle s’était mariée mais n’était jamais bien douée pour garder un homme à ses côtés... L’idiote... Non, moi je suis mariée avec riche marchand depuis déjà plusieurs années. Seulement, voyez-vous, je ne voulais pas attirer votre jalousie avec mon anneau, vous qui ne vous êtes jamais mariés. Je l’ai donc laissé dans mon sac à l’entrée.


Elle lui envoya un sourire méchant et un faux regard désolé. Il s’en rendit évidement compte, les piques n’étaient plus cachés.
Il renversa une partie de son vin sur sa robe et elle se leva précipitamment, la main levée, prête à le gifler.


PREMIÈRE COUSINE GUSTEY


* Quel maladroit vous faites ! Espèce d’idiot ! Vous ne savez donc pas que ces vêtements sont la dernier mode ? Vous êtes donc bien ignorant ! Vous vivez dans une campagne reculée pour avoir des habits de si mauvais goût ?

Elle rabaissa sa main et repris contenance, une dame ne devait s’énerver en publique. Elle le jaugea du regard, un air de dégoût imprimé sur son visage.

PREMIÈRE COUSINE GUSTEY


* Ces robes sont très appréciées des dames qui souhaitent porter des vêtements légers lors des chauds jours d’été comme celui-ci. Mais bien sûr, vous ne pouvez rien y comprendre. On peut le voir rien qu’à votre accoutrement. Quand à ma mère, paix à son âme, elle portait très mal ces robes et la mode n’y était pas. Les temps changent. Les personnes aussi. Vous par exemple. Vous avez changé. En bien plus stupide qu’avant mais vous avez changé.

J’avais tout sorti, je n’avais pas réfléchi et je m’étais laissée aller. Ce n’est qu’à la fin de cet acte que je me rendis compte de l’étendue de mes acte. J’osais à peine imaginer la réaction de Cassiopée Malory juste en face...


Les enfants sont une étincelle dans ce monde dont ils n'entre voient qu’une esquisse.
#TGBGTLB #TeamMarchombres #dévoreusedelivres
03 févr. 2019, 20:16
 Club de Théâtre  Une semaine, une impro' (Libre)
Improvisation n°2
Semaine du dimanche 03/02
"SATANÉ BUS !"
Image
Distribution : Une quinzaine de comédiens maximum.

☆ Londres, quelle belle ville ! Vous décidez de faire un tour de la ville pour voir la splendeur de ses monuments en bus touristique. Le problème ? Le bus n’est jamais arrivé. Vous vous improviserez alors en guide touristique et visiterez la capitale à pied.
Personnages jouables :
Que ce soit adultes, enfants, hommes ou femmes, peu m’importe.

Accessoires disponibles :
Tout l’attirail du touriste est à votre disposition (appareils photo, jumelles, cartes...)

Décors de la scène :
La scène se passe dans les rues de Londres.

Contraintes (facultatives) :
- Votre personnage doit faire une chute.
- Votre personnage louche et ne voit donc pas la réalité.
- Votre personnage doit parler en rimes.

*********

Vous pouvez jouer qui vous voulez mais tachez d'être un minimum cohérent en diversifiant les caractères et les expressions.
N’oubliez pas d’être originaux dans vos posts !  :wise:
Fin : Dimanche 24/02/19.
Dernière modification par Jules Circinus le 22 févr. 2019, 16:15, modifié 2 fois.

Hier tout s'effaçait mais demain tout recommencera, au revoir.
04 févr. 2019, 11:08
 Club de Théâtre  Une semaine, une impro' (Libre)
Satané Bus:


C’est la première fois que je fais du théâtre d’improvisation, et avec hâte et appréhension je me prépare dans les coulisses. Ce soir je joue une grand-mère avec un fort caractère. On vient d’apprendre le thème et je trouvais que cette idée était judicieuse. Je sens que l’on va s'amuser ce soir ! Alors j’entre enfin sur scène.

Rideau qui s’ouvre. Je suis sur scène : une Mamie, pas encore assez vieille pour être appelée Mémé par les enfants, mais déjà trop âgée pour être une adulte. Je suis accompagnée de mon petit-fils de quatorze ans, qui me colle de près, et pour nous c'est la première fois à Londres, comme en témoignent nos visage émerveillé. Au centre d’un groupe de touriste éparpillé le long d’un grand accotement, la grand-mère que je jour tient dans sa main deux tickets achetés pour l’occasion, que j’agite dans le vide d’un air impatient, semblant attendre un bus qui ne viendra jamais.
D’une voix quelque peu irritée, je dis, à mon petit-fils silencieux:


La grand-mère :

-Plus de trente minutes qu’on poireaute comme des légumes et toujours pas de bus à l'horizon, mazette, si c’est pas malheureux…

L’irritation laisse finalement place, après quelques secondes de silence, à une détermination joyeuse sur mon visage:

La grand-mère :


-Bon allez, puisque c’est ça, au diable le bus, c’est pas comme si on en avait forcément besoin de toute façon ! Prépare-toi à voir ta grand-mère en guide touristique, je connais le coin comme ma poche tu vas voir !

Je sort énergiquement de mon sac une carte de la ville et ne me rendant compte que je tiens la carte à l'envers,je tend alors un doigt vers la droite, et reprend d’une voix assurée et plutôt fière, un peu trop fort d’ailleurs pour les personnes autour d’elle:

La grand-mère :


-Là, si on va dans cette direction, on verra Big Ben! Eh bah voilà, c’est pas bien compliqué, héhé !

Je marche d'un pas rapide ne regardent pas si il me suivait toujours ou pas.
Après avoir déambulé un petit moment sur scène en regardant de tous les côtés, la grand-mère s’arrête, et pointe du doigt un petit clocher, en louchant fortement:

La grand-mère :


-Voici Big Ben mon garçon ! C’est beau hein ! Tu sais, c’est ici que j’ai rencontré ton grand père à l’époque, et là-bas (pointant une statue sur la droite) il y avait même une statue de… oh je ne sais plus ce que c’était, mais ils l’ont remplacée par ce minable dauphin !

Je regarde en louchant toujours, attentivement la statue et je reporte mon regard sur mon petit fils.

La grand mère :


-Tu vois que tu peux voyager avec moi, je suis encore saine d’esprit et j’y vois bien clair contrairement à ce que vous dites.

Je manque alors de tomber avançant sans regarder la route, mes yeux fixer sur la carte mais je me rattrape à temps et continue ma visite.
20 févr. 2019, 22:09
 Club de Théâtre  Une semaine, une impro' (Libre)
Satané bus

Incarnation : Petit-fils de 14 ans.


Cela faisait longtemps qu'Edna n'était pas montée sur un plateau, cela lui manquait un peu. C'était sa deuxième maison après tout. Ou alors sa première ? Les odeurs surtout. Cette odeur si particulière que peut avoir le théâtre. C'est l'occasion idéale. Une improvisation ne lui ferait pas de mal, pour se remettre en selle et en scène.


J'entre en suivant la grand-mère. Je suis tout à fait sur-excité. Je saute partout en la collant le plus près possible. Nous nous arrêtons à un arrêt de bus, mais celui-ci ne semble pas prêt d'arriver. Je la laisse râler tout son soul et de mon côté je sors un magnifique appareil photo que j'ai dans mon sac à dos violet. La grand-mère ne semble pas me regarder, je continue pendant que je ne l'écoute que d'une oreille. Alors, je me mets à la prendre en photo sous tous les angles. Gros plan sur son visage, je prends ses pieds, ses doigts, et je me recule un peu aussi pour prendre plus l'ensemble. Mais je veille à ne pas prendre autre chose que mon modèle en photo. La ville semble peut m’intéresser. Grand-mère décide d'avancer et de continuer son chemin, de me faire visiter elle même.

LE PETIT FILS
OK Mamie. Souris !

Clic, clic, clic. Je ne fais pas attention à la où je pose les pieds, mais c'est la grand-mère qui trébuche.

LE PETIT FILS (riant)
Je ne l'ai pas raté celle-là ! Maman va adorer les photos de vacances !

Je continue de la prendre en photo sous tous les angles.

@Luce Polaris

Serpy not sorry.
3ème année RP.