Le premier septembre, déjà ! La fin de l'été était passée à toute vitesse ! Juliette avait l'impression d'être constamment fébrile depuis qu'elle avait reçu la lettre lui annonçant qu'elle allait à Poudlard. Arrivée à la gare de King's Cross, son père avait du lui dire au revoir avant de traverser le mur menant à la voie 9 3/4 car l'accès était gardée par des manteaux noirs.
"Tu vas devenir une sorcière formidable comme ta mère" avait-il déclaré, ému.
Juliette espérait vraiment que ça serait le cas et ferait tout son possible pour ne pas le décevoir. La mère et la fille traversèrent ensuite le mur toutes les deux et Juliette marqua un temps d'arrêt pour admirer la magnifique locomotive à vapeur rouge, puis s'approcha du quai. Au moment des au revoir, sa mère, comme d'habitude, trouva les mots pour la rassurer et après un dernier câlin, la jeune fille monta dans le Poudlard Express.

Juliette chercha une place dans les quatre compartiments du deuxième wagon à l'avant du train mais ils étaient tous soit pleins, soit réservés pour des personnes qui allaient arrivées ; Elle n'était pourtant pas en retard ! Le départ était prévu à 11h et il était seulement 10h40. La jeune sorcière décida donc de se diriger vers un des derniers wagons. Se déplacer était un peu compliqué entre ses bagages et ceux des autres et il était difficile de ne pas se bousculer.

Lorsqu'elle arriva dans l'avant dernier wagon, la jeune fille fit coulisser la porte du premier compartiment sur sa droite et regarda s'il était libre. Il y avait déjà une fille, avec des cheveux châtains et des yeux bleus, qui avait l'air d'avoir son âge et comme les fois précédentes, elle demanda :
"Salut, est-ce que je peux m'installer ici ?"
L'autre fillette accepta sans hésiter et Juliette entra donc, soulagée. Elle essaya de placer sa vieille valise dans le rangement prévu au-dessus des sièges mais la valise était lourde et le rangement haut, et du se résoudre à demander de l'aide à l'autre passagère.
"Merci" dit-elle avec un grand sourire.
Elle s'installa en face de la fille, à côté de la fenêtre.
"Je m'appelle Juliette ! C'est la première fois que je prend le Poudlard Express, je vais rentrer en première année et toi ?"

Enfin ! Marie attendait ce jour depuis si longtemps ! Elle avait barré les jours sur son calendrier en espérant qu’ils passent plus rapidement. Aujourd’hui, elle était si impatiente qu’elle était insupportable. Son père allait craquer d’un moment à l’autre et sa mère lui répétait « Marie ! Calme-toi ! Tu es surexcitée ! ». Ils étaient partis très en avance et venaient d’arriver à King’s Cross. Sa mère lui attrapa la main et lui expliqua : « Il faut que tu fonces dans la barrière. Fais attention à toi. Si tu as peur, tu n’as qu’à courir ma chérie. » Marie se demanda si sa mère était folle mais fit ce qu’elle lui dit. Elle marcha d’un pas assuré vers cette barrière qui paraissait si dure mais ne s’arrêta pas. A moins d’un mètre, elle prit peur et se mit a accélérer en fermant les yeux et attendant le choc. Cependant, celui-ci ne vint pas et elle ouvrit les yeux sur une locomotive d’un rouge éclatant. Elle se retourna et aperçu ses parents, main dans la main, apparaître. La jeune fille se précipita vers eux avec un grand sourire. S’en suit ensuite des embrassades assez brèves et Marie s’empressa de monter dans l’envers train. Elle n’eut aucun mal à trouver un compartiment vide étant donné qu’ils avaient plus d’une demi-heure d’avance. Elle s’assit alors dans un des derniers wagons, après avoir hissé sa valise avec bien des difficultés. La petite fille fit de grands signes à ses parents puis ils disparurent.
Au bout d’un quart d’heure environ, une fillette entra et demanda :
« Salut, est-ce que je peux m’installer ici ? 
- Bien sûr ! Répondit Marie sans hésiter.
- Merci, dit la nouvelle arrivante avec un grand sourire. »
Elle continua ensuite sur sa lancée :
« Je m'appelle Juliette ! C'est la première fois que je prend le Poudlard Express, je vais rentrer en première année et toi ?
- Moi c’est Marie mais tu peux m’appeler Mama si tu veux. Je rentre en première année aussi, et je découvre le Poudlard Express ! Je suis trop impatiente d’arriver à l’école ! Tu as envie d’être dans quelle maison ? »
Elle n’eut cependant pas le temps de répondre car une autre jeune fille passa la tête par la porte.

Je venais de sauter dans le train, quand ma mère me cria: "Je t'aime". Sa me fait du bien de voir ma mère sourire. Bon, me dis-je, maintenant il faut que je trouve un compartiment. Je fit le tour des wagons, je revint sur mes pas, mais aucun compartiment vide. Je peux très bien rester dans le couloir. Il y avait du monde dans les couloir et puis mes jambes n'en pouvais plus. Il faut que je me pose. J'alla dans le wagons suivant celui-ci. Il n'y avait pas grand monde. Je trouva un compartiment, où, seulement deux filles, qui devait avoir mon âge, s'y était installer. Je me résolu à leur demander si je peux me joindre à elles. Je sera mon carnet que j'enveloppais, encore pus fort. C'est comme un tic. Quand je suis stresser, je sert mon carnet. Je remet mes baguettes qui tiennent mon chignon, en placent, je ressert le nœud de mon bandana et j'ouvrit la porte du compartiment en faisant un petit sourire en coin. Les deux filles tournèrent leurs yeux vers moi.

-Euh... Salut, commençais-je, Je euh... Je peux me joindre à vous. Il n'y a plus de place nul par et je mes jambes n'en peuvent plus.

Je n'entendis pas leur réponse mais,j'hissa mon sac, puis je m'assoie vers la fenêtre. Je ne fis pas attention à leur conversation et je pris mon crayons qui se trouve au dessus de mon oreille droite et commença à écrire dans mon carnet. J'allais pour dire comment je m'appeler aux filles mais quelqu'un d'autre arriva.

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En retard, en retard...
Comme le lapin blanc. En retard, en retard et le premier jour de sa vie de sorcière en plus! Lydia courait à en perdre haleine. Sa malle, pleine de livres, était lourde et elle avait peur de la faire tomber à un moment ou un autre.

-10h50, gromella la jeune fille. Viiiiiite!
Elle redoubla d'efforts, tous les passagers de la gare de King's Cross la regardait bizarrement. Soudain, Lydia pila net devant la voie 9.

-Mais papa! dit-elle au bord des larmes. Ca n'existe pas la voie 9 3/4!! 
Son père arriva derrière elle, complètement essoufflée, ses mains sur un point de côté. En entendant la question que lui posait sa fille, il fit un sourire énigmatique.

-Tu n'as cas traverser le mur, tu verras bien ce qu'il se passera...

Lydia ravala ses larmes et fronça les sourcils. Passer au travers d'un mur? Quelle drôle d'idée! Elle eut un instant d'hésitation mais se décida et courut finalement vers le mur. La jeune fille fit une mine crispée en sentant son corps passer à travers. Alors c'était ça la mort? Bon bah, elle avait bien vécu en tout cas... Soudain, elle entendit des bruits et la main de son père se posa sur son épaule.

-Vas y ma grande fille. N'oublie jamais que nous t'aimons tous.

Lydia regarda son père avec de grands yeux. Elle ne voulait plus partir, elle voulait rester là avec sa famille. Soudain, elle entendit le sifflement que faisait le train. En fait non, elle voulait découvrir de nouvelles choses et devenir une parfaite sorcière. La jeune Holmes embrassa son père et monta dans un wagon au moment ou les portes se fermaient. Elle ouvrit une porte de wagon mais il y avait déjà 5 personnes plus âgées qu'elle. A la troisième porte de wagon ouverte, elle vit enfin qu'il restait de la place. Il y avait trois filles, deux blondes et une brune. Elles semblaient en pleine discussion.

-Euh bonjour euh... J'peux m'asseoir ici?

Lydia était à bout de souffle et elle se dit qu'elle devait vraiment faire pitié. Elle espérait vraiment que les filles accepteront.

@Juliette Cha @Marie Paulia @Tracey Lynn

L'autre passagère répondit qu'elle s'appelait Marie mais qu'elle pouvait l'appelait Mama. Juliette trouva son surnom mignon et décida de l'utiliser. De son côté, elle n'avait jamais eu de surnom - ma choupinette que ses parents utilisaient quand elle était plus jeune ne comptait pas.

Avant que Juliette ai pu répondre à la question de Marie, une autre passagère entra :
- "Euh... Salut, je euh... Je peux me joindre à vous. Il n'y a plus de place nul par et je mes jambes n'en peuvent plus." dit la nouvelle venue.
Elle était blonde avec des yeux bleus et avait l'air d'avoir le même âge que les deux jeunes filles déjà présentes dans le wagon. Elle ne leur dit même pas son nom avant de s'installer et de commencer à griffonner dans son carnet. Peut être la nouvelle venue était-elle timide ? Juliette ne l'était pas mais se sentait quand même nerveuse de commencer une nouvelle année à Poudlard sans connaitre personne.

Juliette n'eu pas le temps de lui dire son nom ou de lui demander le sien car une autre fille ouvrit la porte.
- "Euh bonjour euh... J'peux m'asseoir ici ?" demanda-t-elle. Elle avait les cheveux très noirs et de grands yeux bleus avec une peau très pâle et quelques tâches de rousseur sur le visage.
Les trois fillettes déjà installées acquessièrent toutes et Juliette lui donna un coup de main quand elle la vit galérer avec sa valise comme elle quelques instants plus tôt.

Une fois toutes les quatre assises, Juliette relança la conversation en se présentant à nouveau, Marie en fit de même et les deux nouvelles venues leur dirent qu'elles s'appelaient Tracey et Lydia.
Juliette répondit ensuite à la question que Marie lui avait posé :
- "Pour la maison, je n'ai pas de préférence, je pense qu'elles ont toutes leur qualité !" dit-elle avec enthousiasme. "Et toi Mama tu as une préférence ? Et vous les filles, vous appartenez déjà à une maison ou vous rentrez aussi en première année ?"
A peine avait-elle finit sa question que la jeune sorcière entendit le sifflet annonçant le départ et sentit le train se mettre en branle. Juliette jeta un coup d'œil par la fenêtre et aperçut sa mère qui lui fit un dernier au revoir de la main qu'elle imita.
Elle reporta son attention sur les filles du wagon quand l'une d'elles répondit.

- "Pour la maison, je n'ai pas de préférence, je pense qu'elles ont toutes leur qualité !" lui répondit aussitôt la jeune fille avec un sourire. "Et toi Mama tu as une préférence ? Et vous les filles, vous appartenez déjà à une maison ou vous rentrez aussi en première année ?"
Marie réfléchit à la question. A vrai dire, elle y avait songé tout l’été, en feuilletant l’Histoire de Poudlard de sa mère. Elle était tellement heureuse de bientôt pratiquer la Magie, de se rendre dans une école de sorcellerie, et en plus la très célèbre Académie de Poudlard ! Elle avait finalement décrété qu’il y avait deux maisons qu’elle affectionnait particulièrement. C’est ce qu’elle s’apprêta à répondre à Juliette lorsqu’un sifflement annonça le départ du train. Elle tourna la tête vers la fenêtre et aperçut ses parents, immobiles, l’observant. Elle leur sourit, sourire qu’ils lui rendirent puis lui firent de grands signes jusqu’à se que le train tourne et que le quai disparaisse. La jeune fille se tourna alors vers les fillettes et se rappela la question...

- Mmmh... J’y ai beaucoup réfléchi, très longtemps, et je pense que j’aimerais être à Serdaigle ou à Gryffondor. Mais de toute façon, je suis si contente d’aller à Poudlard que n’importe quelle maison fera mon bonheur ! Mais vous Lydia et Tracey ?
La jeune fille se tassa dans son fauteuil, tout en écoutant la conversation, mais en pensant aussi à leur arrivée, dans quelques heures, au château de Poudlard.

"Pour la maison, je n'ai pas de préférence, je pense qu'elles ont toutes leur qualité !" dit la fille qui s'appelle Juliette . "Et toi Mama tu as une préférence ? Et vous les filles, vous appartenez déjà à une maison ou vous rentrez aussi en première année ?"

Un coup de sifflet retenti pour annoncer notre départ. Juliette regarde parla vitre du compartiment et fis un signe de la main à sa mère. La seconde fille, qui devait s'appeler Marie, imita Juliette, et fis un grand sourire a ses parents, puis elle lui répond:

- Mmmh... J’y ai beaucoup réfléchi, très longtemps, et je pense que j’aimerais être à Serdaigle ou à Gryffondor. Mais de toute façon, je suis si contente d’aller à Poudlard que n’importe quelle maison fera mon bonheur ! Mais vous Lydia et Tracey ?

Avant de lui répondre, je regarda par la fenêtre et je vis ma mère qui me cria:

-Au revoir ma chérie!

Son petit accent français me fis sourire. Je lui fis un grand sourire et agita la main. Enfin je répondit à Marie:

Ma mère me dit tout le temps que je vais tomber à Serdaigle, car mon arrière grand-père y est aller. Mais sinon je ne connais pas toute les qualité des maisons. Je sais juste que Serdaigle est la maison des érudit et des créatifs.

Je les regarda à tour de rôle avec de grand yeux ronds.

Lydia s'assit avec un soupir de soulagement.
C'est bon, pour son premier voyage dans le Poudlard express, elle n'allait pas être toute seule. En plus ces fille avait l'air très sympa.

Il y avait donc: Tracey, Marie et Juliette. Marie demandait à ce qu'on l'appelle Mama, ce surnom était à la fois mignon et drôle. Quand elle était petite, on appelait la jeune Holmes "Dydi". Mais ça, plutôt mourir que de le révéler à quiconque!
La conversation portait à présent sur les différentes maisons. La jeune fille en avait vaguement parlé avec son père mais c'était tout. Ses camarades avaient des avis partagés: Tracey pensait aller à Serdaigle, Marie aimait bien Gryffondor ou Serdaigle et Juliette n'avait pas de préférence.

-Moi personnellement, je suis comme Juliette, je suis déjà super contente d'être à Poudlard! Sinon je sais que mon père a été à Poufsouffle et qu'il s'est trouvé de très chouettes amis là-bas.

Lydia s'arrêta un instant pour reprendre son souffle.

Elle allait poser une autre question à ses camarades mais la fillette vit passer la vendeuse du Poudlard Express. Son ventre commença soudain à faire un énorme gargouillis. Trop stressée pour prendre un petit déjeuner ce matin, elle n'avait pratiquement rien avalé depuis hier soir! Son estomac lui réclamait des patacitrouilles et des chocogrenouilles.

-Bonjour madame, j'aimerais un gros sachet de friandises s'il vous plaît. Les filles, je vous prend quelque chose? Je fais ma petite tournée.

Lydia avait 5 gallions que son père lui avait mis dans sa main au moment ou ils entraient dans la gare. Elle espérait que ça suffirait.

Après la réponse des deux filles, quelqu'un arriva devant le compartiment. Avec une curiosité discrète et retenue, Marie observa avidement la nouvelle venue. Elle en avait déjà entendu parler bien sûr, c'était même une légende cette dame. La sorcière aux bonbons. Elle était ravie de la voir, car tout ce qui touchait à la magie l’intéressait. Elle commanda quelques sucreries à Lydia qu'elle remercia grandement et commença à déballer les confiseries. C'est alors que la dénommée Juliette se leva et partit sans un mot. Intriguée, la fillette regarda sa camarade s'éloigner dans le couloir. Puis elle se retourna vers Lydia et Tracey.
- Mais...? Pourquoi elle est partie comme ça ? Vous savez où elle est allée ? Peut-être que les bonbons lui ont donné la nausée... C'est pourtant si bon ! D’ailleurs, encore merci Lydia ! rajouta la jeune Paulia en prélevant une poignée de friandises.
Elle arracha le sachet et dévora une Dragée Surprise de Bertie Crochue et fit une grimace.
Beurk. Goût œuf pourri, c'est vraiment mauvais ! songea Marie.
Elle se concentra à nouveau sur les 2 filles restantes et tenta de cacher ce petit instant de gêne. Commencer à se ridiculiser avant même d'être arrivé à Poudlard, c'était typique de Marie, tiens ! Pour se consoler, Marie prit une Patacitrouille qu’elle trouva délicieuse, pour changer.

Juliette ne s’étant plus connectée depuis bientôt un mois et voyant que ce Rp s’éternise, je me suis permise de répondre en faisant partir Juliette. Je pense que nous pouvons continuer toutes les 3, si vous êtes toujours motivées.

Je fis un non de la tête pour répondre à Lydia. A près tout, j'ai ce qu'il faut. Tout d'un coup, Juliette était partie, comme ça, je ne sais pour quel raison. Je regarde les filles à tour de rôle, ne comprenant pas ce qu'il se passe. Maria avait l'air tout aussi intriguer que moi. Elle demande même:

- Mais...? Pourquoi elle est partie comme ça ? Vous savez où elle est allée ? Peut-être que les bonbons lui ont donné la nausée... C'est pourtant si bon ! D’ailleurs, encore merci Lydia !

J'hausse les épaules pour lui dire que je ne savais pas ce que faisait Juliette. Maria pris une Dragée Surprise de Bertie Crochue. Le goût ne devait pas être très bon, parce qu'elle fait un grimace. A tour de rôle, j'observe les filles, très attentivement. Juste avant d'être arriver dans le compartiment, j'avais acheter plein de sucrerie que j'avais enfouie dans mon sac. Enfin, c'est ma mère qui me l'ai a acheter la veille. D'une main timide, je sors toutes mes sucreries sur mes jambes. Il y en avait une dizaine!

-Vous en voulez les filles, demandais-je?

Sans attendre leur réponse, je leur donne à chacune, un paquet de patacitrouille. Je ne connais pas toutes le friandises de sorciers, étant donner que je n'arrêter pas d'aller en ville chez les Moldus, juste pour énerver mon père.C'est ce que j'explique aux filles:

-Je ne connais pas toutes les sucreries de sorciers. Le comble, c'est que je suis une née-sorcière. A vrai dire, je passais plus de temps dans les villes de Moldus, plutôt que chez moi. On peut-dire que j'étudiais les Moldus. Je faisais ça, juste pour énervé mon paternel.

J'essaye d'être à l'aise avec les filles. Je reprend tout de suite et dis:

-Dite moi si vous voulez quelque chose.

Je prends une Dragée Surprise de Bertie Crochue. Ne sachant pas ce que c'est, je croque sans hésiter. Mon dieux! Le goût est infect! Ça à le goût de chaussette qui pue.

-Est-ce normal que ça à le goût de chaussette que pue, demandais-je aux filles?

Désolé, j'ai eu un gros imprévu Samedi...