Archibald Featherstone faisait partie du groupe de professeurs accompagnant les élèves dans le train en direction de l'école. Il ne l'avait pas accepté, il s'était lui même proposé. En effet, le botaniste, sans doute un peu peureux, préférait les moyens de transport plus traditionnels pour voyager, plutôt que de transplaner. En ayant été Médicomage, il avait déjà eu l'occasion de soigner certaines personnes victimes d'accidents de transplanage, et il savait combien une désartibulation pouvait faire souffrir, il l'avait lu dans un manuel de médicomagie. C'est ainsi que l'homme s'était rendu dans la gare de King's Cross, sa petite valise dans la main, qui cachait pourtant un trésor de botaniste : il y avait mis quelques plantes, des bouquins de Botanique, et son nouvel arrosoir ainsi que d'autres accessoires. Une valise ordinaire n'aurait pas pu contenir tout cela, mais les sorciers avaient bien des ressources pour pouvoir augmenter les capacités de leurs objets. Il était ensuite entré dans le train et s'était installé dans un compartiment dont les sièges rouges lui rappelaient ses premières rentrées.

Il essayait de se souvenir comment, jadis, il se sentait lors de la route qui le menait au château. Il devait bien avoir cette boule au ventre, ce petit stress qui nous indique le commencement d'une année importante. Près de cinquante ans après, il ressentait la même chose. Cette même douleur légère aux entrailles.

Le professeur posa alors sa valise aux endroits prévus, et s'installa sur l'un des sièges. Il était seul, tranquille, et ne souhaitait pas que l'on vînt le déranger. Il regardait par-delà la fenêtre, cet attroupement d'enfants et de parents. La rentrée semblait bien différente, la sécurité et le Conseil des Sorciers étaient partout. Le professeur le savait bien aussi, les enfants dehors étaient ses futurs élèves. Il espérait alors que l'agitation qui régnait en dehors ne rentrât pas dans son compartiment.

Essayant de se divertir, il sortit de sa valise un livre. La couverture ne trompait pas, il s'agissait d'un livre de Botanique.

Elvire avait le moral dans les baskets. Et en même temps, elle était surexcitée. C'était très bizarre, cette rentrée à Poudlard, en première année surtout ! Comment pouvait-elle être heureuse en quittant sa famille aimante et surtout son petit frère ? Mais comment ne pouvait-elle ne pas l'être après avoir entendu toutes les supers histoires des membres de sa famille dans cette école ? Elle en entendait parler depuis toujours et maintenant c'était à son tour ! C'était trop bien !

Donc pleine d'émotions contradictoires, elle fonça dans le mur accompagnée de ses parents. Clou de la tristesse : son petit frère était resté chez les grands-parents. Ses parents voulaient sûrement un moment privilégié avec leur grande fille.
Et ils l'eurent ! Avec des câlins, des mots rassurants et des promesses de nouvelles bientôt. Elvire avait peur de quitter ce groupe réconfortant pour aller dans l'inconnu. Elle ne connaissait absolument personne encore sauf ceux qu'elle avait rapidement croisé en faisant ses courses de rentrée mais elle n'avait encore personne dans son cercle d'amis. Et ça, c'était pas facile.

La boule dans la gorge, elle entra dans le train et entra dans un compartiment au hasard. Il y avait déjà quelqu'un.

"Oh, pardon !" dit-elle d'une toute petite voix intimidée parce qu'il s'agissait d'un adulte. Je... Je peux me mettre là ?"

Elle n'était pas sûre mais, pour libérer le passage dans l'allée, elle avança d'un pas timide à l'intérieur. Elle vit alors le livre du monsieur. Elle réalisa, avec une boule dans le ventre, qui il était sûrement.

"Vous êtes le professeur de Botanique ?"

Elle était très très intimidée et avait peur de déranger.

Le jour de la rentrée, le retour tant attendu à Poudlard était enfin là... Les vacances avaient été riches en découvertes, plus ou moins joyeuses, mais il était temps de retrouver les bancs de l'école, pour ma seconde année à la célèbre école de sorcellerie. Je prendrai le Poudlard Express pour la seconde fois de ma vie, et la locomotive rouge était toujours impressionnante. Les Manteaux Noirs chargés de notre sécurité encore plus d'ailleurs, mine de rien je les respecte, c'est grâce à eux que l'on peut accéder à la Voie 9 3/4 sans risque. Quand je vois le comportement de mes parents, je me dis bien qu'ils ne sont pas les seuls Moldus à avoir les sorciers en horreur... Dire que je n'ai même pas put rencontrer ma toute nouvelle petite soeur ou même les voir de tout l'été, juste parce qu'ils ont avalés les bobards du gouvernement moldu...

Je salue la famille qui m'a accompagné, avant de pénétrer sur le quai avec ma malle et mon Boursouflet. Il est temps que j'embarque pas de temps à perdre, et certainement pas de temps à perdre dans les problèmes qui m'habite, pas aujourd'hui ! Aujourd'hui, je retourne à Poudlard, je retrouve mes amis, je ne pense pas ni à mes parents, ni aux évènements de Mai 2045. Je vais simplement profiter du trajet pour rencontrer de nouvelles personnes et jouer avec Clivia.

Je grimpe dans un wagon et pars à la recherche d'un compartiment intéressant, traînant ma malle derrière moi... Après quelques minutes, j'en trouve un à moitié plein et m'y glisse saluant ses occupants, une fillette blonde et un Monsieur assez âgé, probablement un nouveau professeur.

"Bonjour ! Je vois qu'il reste de la place, je peux m'installer ? Je m'appelle Lily-Rose je rentre en deuxième année et vous ?"

C'est le moment que ma boule de poils violette choisie pour sortir de son sommeil et de la poche où elle dormait.

"Et elle c'est Clivia !"

Les présentations faites je m'installe rapidement dans le compartiment, à côté de l'adulte.

La rentrée, c'était enfin la rentrée, Laurence allait prendre pour la deuxième fois le Poudlard Express. Elle était impatiente mais en même temps triste de se séparer d'eux. Sur le quai, elle leur fit un gros câlin avant de prendre sa malle en lâchant une petite larme de tristesse. Ses parents allaient lui manquer énormément et elle le savait, mais elle savait aussi qu'à Poudlard elle allait retrouver toutes ses amies, le quidditch et surtout la magie. Elle allait enfin pouvoir réutiliser sa baguette qui avait trouvé sa place dans une de ses poches.

Puisqu'elle était rester assez longtemps avec ses parents pour faire ses derniers au revoirs, elle était monté dans les derniers et n'arrivait pas à trouver une place. Elle n'arrivait pas à trouver ses amies et décida d'essayer de se caser dans le prochain compartiment. Elle tourna la tête et vit un compartiment ou il semblait rester un peu de place et s'approcha. Deux filles dont une qui avait une petite boule de poil violette toute mignonne se trouvaient déjà dedans, ainsi qu'un vieil homme. Laurence se demanda alors se qu'il pouvait bien faire ici... Poudlard n'acceuillait t'il pas que des enfants ? Faisant taire sa curiosité un petit moment elle s'approcha de l'entrée en s'excusant.

- Excusez moi... Il reste encore un peu de place vers vous ? Ça fait plusieurs wagons que je passe mais impossible de trouver un place dit alors l'aiglonne assez embarrassée.

Je m'incruste un peu, dites moi si il y a un problème

Le professeur Featherstone avait tranquillement entamé sa lecture sur le pouvoir hilarant des Alihotsy quand une élève apparut à l'entrée du compartiment, demandant si elle pouvait occuper l'une des places vacantes. Le professeur aurait aimé refuser, mais il savait aussi que les places étaient chères et qu'il serait obligé d'accueillir du monde dans son compartiment. Alors il accepta, d'un léger sourire presque neutre, afin que la jeune fille s'installât. Elle posa sûrement les yeux sur la couverture du livre qu'il lisait, puisqu'elle demanda au vieil homme s'il était le professeur de Botanique. Elle devait être en première année, pensa le professeur, sinon elle aurait employé le terme "nouveau professeur de Botanique". Il lui répondit alors :

"Oui, j'entre en poste."

Il fut interrompu par une nouvelle personne qui entrait dans le compartiment. Elle semblait avoir le même âge que la première, une ou deux années en plus, tout au plus. Elle paraissait plus assurée, et c'est ce qui fit penser le professeur qu'elle n'était pas en première année. Il répondit à son bonjour par un bref hochement de tête.

"Je vous en prie, installez-vous, dit-il. Il n'était plus à une personne près."

Sûrement désireuse de connaître ses compagnons de voyage, ou alors d'entamer la discussion, elle leur demanda dans quelles années ils entraient. C'est ce que font les gens sociables, s'intéresser aux autres... le professeur ne l'était pas assez pour lancer les discussions. Mais il n'était pas pour autant fermé.

"J'entre en poste de Professeur de Botanique."

L'homme avait l'impression de se répéter un peu. Il espérait qu'aucun autre individu ne rentrerait pour reposer encore la même question. Le professeur n'aimait pas devoir réitérer ses propos, il perdait assez vite patience.

C'est à ce moment-là que la jeune fille qui venait d'entrer leur présenta son animal, une boule de poils violette qu'elle nommait Clivia. Un Boursouflet... Horreur! Elle ne le savait sûrement pas, mais le professeur était allergique aux poils de Boursouflets. Il ne tarda pas à lui faire comprendre.

"Très joli, mais n'approchez pas ce truc de devant moi!"

Il était un peu tard pour cela : sa phrase se conclut par un éternuement qu'il étouffa dans son coude. Le trajet ne pouvait pas plus mal commencer pour lui... C'est d'ailleurs à cet instant qu'une troisième fille entra pour demander s'il restait de la place. Le professeur hocha la tête en guise d'affirmation, et sortit un mouchoir pour s'y moucher.

Merci à vous trois d'avoir rejoint le Rp

Elvire, après un sourire poli envers le professeur, vint s'installer au fond du compartiment. Elle aurait aimé pouvoir être sur un banc toute seule, loin des autres, le temps de s'habituer à sa nouvelle vie et de digérer l'au revoir d'avec ses parents mais ce n'était pas possible dans ce train. Il y avait trop de monde. Elle allait devoir s'habituer à être moins choyée que chez elle. La vie commune commençait dès maintenant.

Deux autres filles entrèrent à leur tour. Le train devait être bondé. La blonde regarda par la fenêtre pendant qu'ils parlaient un peu tous ensemble, avec le professeur. Elle avait de la chance d'être entrée avant les deux autres. Au moins, elle était assise contre la fenêtre ce qui était une petite libération.

Mais Elvire était mal à l'aise. Elle se calait un maximum contre le fond de son siège pour que ses jambes ne touchent pas celles du professeur de Botanique assis juste face à elle. Elle se dit qu'elle ne devait surtout pas faire quelque chose de mal ou dire un mot de travers pour ne pas se faire mal voir par le professeur avant même d'être arrivée au château !

Elle n'écoutait pas les quelques paroles échangées.
Le train démarra, le voyage commençait. Elvire aurait aimé dire quelque chose pour briser la glace avec les trois personnes qui allaient partager son compartiment pendant un petit moment aujourd'hui, mais c'était sans compter sa timidité et sa peur de décevoir déjà son professeur.
Elle était crispée et donc, elle décida d'attendre en silence que le voyage se passe.

Merci à vous pour ce rp !

Remarquant la réaction du nouveau Professeur de Botanique, je pensais à faire rentrer l'animal dans le petit panier aménagé que j'utilise quand elle ne dort pas. Une nouvelle venue passe la porte alors que je m'apprête à présenter mes excuses, ce n'étais certainement pas mon objectif de rendre un professeur malade dès le premier jour de classe...

La nouvelle venue prend place après que le vieil homme est acquiescé à sa demande. Celle-ci installé, je me concentre de nouveau sur la tâche peu aisé que celle de faire rentrer un animal récalcitrant dans un espace clos et étroit. Néanmoins, Clivia ne proteste pas trop, il y a trop d'inconnus autour, elle ne pense pas vraiment à gambader. Cela fait je me tourne vers l'adulte :

"Je suis vraiment navrée Monsieur, j'ai pas pensé que les poils de créatures magiques pouvaient provoquer des allergies..."

Je décide de placer le panier sous le siège derrière mes pieds espérant qu'ainsi l'animal ne gênera plus. Je remarque alors la posture renfermée de la petite blonde, que je pense être en Première année, elle a peut-être besoin d'un coup de pouce pour se détendre. C'est stressant d'aller dans une nouvelle école surtout loin de la maison... Je décide de m'adresser à elle.

"Dis c'est ta première année à Poudlard ? Qu'est-ce que tu connais sur le sujet ? Tu as des questions ? On peut, peut-être y répondre."

J'essaie de parler d'une voix douce et bienveillante, en souriant à la fillette, qu'elle ne s'inquiète pas pendant l'intégralité du trajet ce serait dommage. Je me tourne vers la dernière venue, une brune mon âge environ, son visage me dit quelque chose, mais impossible de mettre un nom dessus. Avec curiosité, je m'adresse à elle :

"On doit être dans la même année non ? J'entre en deuxième année à Poufsouffle."

Laurence prit place sur le siège de libre après que le vieil homme lui ai fait un léger hochement de tête pour lui signifier qu’elle pouvait. Elle s’installa avec un petit sourire. Elle était contente de retrouver son école et avait hâte de savoir ce qu’elle allait apprendre cette année même si elle avait déjà lu et appris certaines choses.

Elle observa un petit coup les personnes qui l'entourait. Il y avait une fille avec des cheveux clairs, qui paraissait plus jeune qu’elle à côté de la fenêtre. En face il y avait le vieil homme dont elle n’avait absolument aucune idée de ce qu’il pouvait bien faire ici et qui lui avait indiquer qu'elle pouvait rentrer. En face de Laurence, il y avait une fille au cheveux bruns avec un joli Boursoufflet violet qu’elle essayait de faire rentrer dans un panier . Son visage lui disait quelque chose, mais impossible de se rappeler son nom et sa maison. *Probablement pas une Serdaigle, sinon je l'aurais reconnu*

Laurence releva la tête lorsque la fille au Boursoufflet prit la parole. Elle apprit que le monsieur du compartiment était allergique aux poils de Boursoufflet. L’aiglonne trouvait ça dommage, elle aurait bien aimé caresser la petite boule de poils toute mignonne. Elle écouta la brune dire ce qu’elle avait à dire. Elle essayait de rassurer et de mettre à l’aise celle à coté de la fenêtre et Laurence fit un sourire rassurant en hochant la tête à la blonde pour confirmer les dires de sa camarade qui s’adressa à elle ensuite.

- On dirait bien, on a déjà du se croiser dans les couloirs, je rentre aussi en deuxième année, mais à Serdaigle. lui répondit-elle avec un sourire. Après une courte pause, elle se rendit compte qu’elle n’avait même pas dit son nom.

- Je m’appelle Laurence au faite, Laurence Solomon. Et vous ? Demanda t-elle en s’adressant à tout le monde.

Quitte à passer le trajet avec des inconnus, autant le passer à parler et à faire connaissance. Elle ne savait pas vraiment non plus si sa demande était impoli face au vieil homme. Elle avait d’ailleurs plein de questions à lui poser, mais ce dit que c’était hors conversation et assez impoli donc elle préféra les garder pour elle pour le moment.

La jeune fille qui possédait l'animal le rangea dans un panier et le plaça sous son siège. Le professeur espérait que cela suffît à ce que l'allergie cessât, mais ce n'était pas encore la cas.

"Vous n'y êtes pour rien, dit-il à l'intention de la jeunne fille avant d'éternuer à nouveau dans son mouchoir en tissu. Que les animaux soient magiques ou non, les poils sont les mêmes et peuvent être allergéniques."

Un sifflet retentit à l'extérieur du train et ce dernier commença à avancer. Ils étaient partis en direction de l'école. Le professeur avait à la fois une forte appréhension et la hâte de revoir ce château qu'il n'avait pas vu depuis près d'un demi-siècle. Il avait l'impression de revivre ses rentrées, mais à la différence qu'il n'était maintenant plus élève.

Le train en marche, les langues commencèrent à se délier et les premières paroles brisèrent le silence du wagonnet. Ce n'était pas plus mal, le professeur appréciait voir que les élèves apprenaient à se connaître malgré sa présence. Il n'était pas bavard, alors il ne prit pas tout de suite part à la discussion. Il se mouchait de temps à autre dans son mouchoir, et écoutait parler les enfants. Il avait refermé son livre, trop déconcentré par les bruits ambiants et l'attente d'enfin arriver à Poudlard.

C'est alors que la fille, une Serdaigle d'après ses dires, demanda à chacun les noms qu'ils portaient. Quelle dure épreuve que celui de la présentation, mais elle permettait au professeur de savoir à qui il aurait affaire cette année. Le professeur, après un nouvel éternuement, finit par lui répondre.

"Je suis le Professeur Archibald Featherstone, spécialiste en Botanique et auteur de Les Champignons : de la spore à l'ingrédient de potions."

Il était peu probable que l'un d'entre eux connût l'ouvrage, il n'avait que très peu de visibilité, mais l'homme s'y identifiait assez souvent, sûrement par fierté.

Il éternua encore une fois, ce qui commençait à l'embêter. Il décida alors d'y remédier et se leva pour attraper sa valise. En se rasseyant, il l'ouvrit pour y glisser le bras, il semblait chercher quelque chose et remuait dans la malle extensible, on pouvait entendre de l'extérieur comme des bruits de casseroles. Il finit par en sortir une plante, avec une grande fleur aux pétales roses, dont il arracha quelques feuilles. Il la replaça ensuite dans la valise et y ressortit un récipient en verre. Il se releva pour ranger la malle puis se rassit pour finir sa préparation. Il déchira les feuilles de la plante et les plaça dans le récipient avant de le remplir avec un Aguamenti, de sa baguette. D'un second coup de baguette, l'eau se mit à bouillir pour laisser les feuilles s'infuser à l'intérieur. De la vapeur s'échappait ainsi du récipient, répandant une odeur fleurie dans le compartiment.

À côté d'Elvire, ça parlait d'allergie et de bestioles. Par curiosité, elle y aurait bien jeté un œil mais elle était encore trop timide pour demander. Peut-être plus tard, après le voyage. En tout cas, pas pendant vu que ça avait l'air de déranger monsieur le professeur qui ne cessait pas d'éternuer. Elvire avait horreur des germes, des microbes et de tous ces trucs trop petits qu'on ne voyait pas. Elle espérait que son allergie se calmerait vite, et que son dégoût ne se voyait pas trop.

La brune à côté d'elle commença à lui parler. C'était gentil. Elvire répondit à ses questions d'une petite voix :
"Oui j'entre en première année mais je connais déjà pas mal de choses grâce à mes parents. Ils m'ont expliqué plein de trucs parce qu'ils étaient à Poudlard tous les deux. Dans la même Maison que toi d'ailleurs ! Poufsouffle ! J'espère que je vais y entrer aussi. Il n'y a pas de raison que j'aille ailleurs ! Je suis comme eux !"

Elvire était maintenant plus enthousiaste. Elle était contente de déjà commencer à parler avec des gens qui étaient peut-être ceux de sa future Maison. Elle l'espérait beaucoup en tout cas.

Puis les trois autres occupants du wagon donnèrent leur nom. La blonde suivit le mouvement, après avoir été surprise d'entendre le professeur dire qu'il avait déjà écrit un livre. ça l'impressionnait beaucoup. Elle ne se sentait pas capable de faire ça un jour !

"Moi c'est Elvire Carter."

Le professeur éternua encore. Elvire fit tout pour cacher son dégoût mais ce n'était pas facile. Elle n'était pas sûre d'avoir choisi le bon compartiment. Pour ses phobies, c'était sûr que non.
Son opinion changea un peu quand il répandit une délicieuse odeur parmi eux avec son infusion. Il fallait ça pour calmer Elvire : des bonnes odeurs reposantes.

"Du coup, monsieur, vous avez fait vos études à Poudlard vous ? Ou vous y allez pour la première fois ?" Osa-t-elle demander au professeur.