Aujourd'hui c'est le jour de la rentrée et plus précisément c'est le jour de la première rentrée de Marine à Poudlard, l'école de sorcellerie. Elle se hâte derrière son chariot remplit de bagages et se fait bousculer par sa mère qui lui demande de se dépêcher car le train part dans 10min. Mais il est difficile pour elle d'avancer dans cette foule compact de travailleurs qui prennent le train, non seulement car ils prennent toute la place mais aussi car tout se monde la stresse énormément. Sans que Marine s'en rende compte elles étaient déjà arrivé devant le passage secret permettant d'arriver sur la voie 9^3/4. Après avoir franchit le passage elles e retrouvèrent sur un quai encore plus bondé que du côté des moldus se qui ne fit pas descendre son stress. Marine pris ses bagages le plus vite possible pour s'éloigner le plus vite de sa mère avec qui l'entende était plus que médiocre en se moment. Elle monta dans le train rouge vif qui emmetais des tonnes de vapeur qui brouyaient son regard. Elle pris plusieurs minutes pour trouver un compartiment vide comme ça elle pourrais se déstresser avant l'arrivée à Poudlard. Elle installa un à un les paquets qui enveloppaient ses fournitures dans le filet à bagages. Puis hissa difficilement sa grosse valise avec le reste, elle pris le soin de prendre un ou deux livres pour pouvoir s'occuper lors du voyage qui durait toute une journée. Elle s'installa confortablement sur la banquette les livres sur ses cuisses à côté de la fenêtre pour pouvoir regarder le paysage défiler à toute vitesse lors de l'avancée de train. Mais pour le moment elle ne voyait que des familles se dirent au revoir, des enfants monter dans le train et des amis se retrouver sur le quai très animé. Le bruit de la porte du compartiment sortis Marine de sa rêverie. Une jeune fille rousse venait de renter dans le compartiment. Marine se dit alors: "Je crois que le voyage risque d'être plus stressant que prévu !"

À vous @Léa Butter, @lou Merour et @Élisa Perriat

C'est aujourd'hui, le jours fatidique, celui ou je quitte ma foret natal et mon petit village pour me tourner vers mon avenir; Beaucoup de personne aurais été stresse ou encore presser de partir, mais moi, a ce moment la, je me sens démunis de tous sentiment, telle une coquille . Et cet ainsi que, seul, car mes parents n'avaient pas juger nécessaire de m'accompagner, j'arrivais a la gare moldu; Bonder comme chaque matin de ses personnes grossières, bruyante, se bousculant sans aucun remord pour obtenir une place convenable dans ce trains bonder d'où sortait une odeur nauséabonde. Je poussas un soupirer déconcerter de voire leurs comportements de gamins; puis me dirigea, le regard vide, vers le passage secret menant a la vois 93/4 . Munie de mon chariot remplie de bagage je traversa le mure de pierre qui terrifiais tan de personne, puis me dirigeas, seul, parmi les étreintes et les aurevoirs environnant, ver ce train d'un rouge asse sombre, d'où émanait une fumer blanche. Apres avoir déposé mes affaire ,j'entra dans le tains faisant une prière silencieuse pour trouver un vaguons vide et pouvant ainsi reposer ma tête qui allait exploser a cause du bruit environnant. Malheureusement pour moi, les vaguons étaient tousse remplis et bruillant . Et c'est en me dirigent vers le dernier compartiment étrangement silencieux, un fin espoir persistant, que je vis avec étonnement une jeune fille d'a peux près mon âge, assise près de la fenêtre tenant sur ses genoux une petite pile de livre .Apparemment elle n'attendais personne et avais l'intention de lire durant une grande partit du voyage. Parfait pansage. J'ouvris donc la porte du compartiment d'un aire décider et alla m'installer en face d'elle, prés de la fenêtre, sortant moi aussi un gros ouvrage de mon sac déjà bien entamer et un carnet de dessin, afin de dessiner les paysage environnant lorsque ce train aura quitter cette gare remplie de personne, que je posa près de moi, le délaissant pour le moment, venant me concentre sur la lecture de ce livre, satisfaite du silence environnant reposant.

C'est enfin aujourd'hui ! Le fameux jour de la rentrée à Poudlard. En général il y a 2 catégories : les stressés et ,comme moi, les enthousiastes et ce n'est pas forcément pour les bonnes raisons. Je suis à la gare bondé avec ma mère et elle est plutôt dépressive car son dernier enfant va déjà là quitter et elle n'arrête pas de se plaindre. Je me hâte donc de monter dans le train sans aucun remords envers ma mère en train de pleurer. Je soupire de soulagement en me retournet et me lance à la recherche d'un wagon animé pour enfin m'amuser un peu... Un peu trop. Disons que faire exploser un ou deux feux d'artifices depuis la fenêtre qui écrit dans le ciel " vive les ananas " ce n'est étonnement pas autorisés. Ça nous à quand même bien fait marrer mais pas très longtemps puisque je me suis fait virer pour mon comportement soit disant "inadapté". J'ai donc marchée au moins 15 minutes dans ce long couloir très étroit jusqu'à trouver une autre cabine agité où il restait 1 place. Je m'avance donc mais au moment où j'allais ouvrir la porte du compartiment une fille de mon âge se fait virer aussi et rebrousse chemin. C'est là où deux compartiments avant, je vois deux filles calme en train de lire un livre. À ce moment là, mon cerveau réfléchi et une lumière s'allume. Et si j'allais ambiancer un peu ce wagon ? Je m'avance donc vers le seul endroit silencieux de tout le train, ouvre la porte et m'assoie à gauche, à côté d'une des deux...

Léa, sa mère et son frère sont en train de courir… Une certaine petite fille a oublié ses lunettes sur sa table de chevet et ne s’en est rendue compte qu’une fois partis de chez eux. Résultat : ils sont en retard dès le premier jour. Finalement, ça ne change pas vraiment de d’habitude pour Léa, elle qui n’est jamais à l’heure ! Ils finissent par arriver devant la voie 9 ³/₄, passent de l’autre côté du mur et se mêlent à la foule. Léa, un peu triste d’aller si loin de sa famille, enlace sa mère et l’embrasse au passage. Elle réussit, malgré leur récente dispute, à dire au revoir à son frère et entre dans un wagon. Elle trouve un compartiment où 3 filles sont déjà installées. Elle y pénètre, s’assoit et commence à fouiller dans son sac. Les filles autour d’elle s’intéressent à ce qu’elle fait, puis voient qu’elle sort… un caneton ! Il est tout petit et il commence à cancaner, fatigué de rester dans le sac et voulant découvrir les nouveaux lieux qui l’entourent. Les trois jeunes adolescentes la regardent étrangement, se demandant si elle avait perdu la tête. Malgré tout le bruit, sa mère a entendu l’animal. Elle appelle sa fille depuis la fenêtre dans le couloir et lui ordonne de lui rendre son animal, il doit rester chez elle ! A contrecœur, elle lui redonne le caneton et repart s’asseoir. Mais avant qu’elle ne puisse le faire, une des trois filles lui explique qu’elles ne veulent pas d’ennuis et qu’il faudrait mieux qu’elle aille autre part. Léa répond, toujours avec son énergie des plus incroyables, « Mais ne t’inquiète pas ! Je n’ai pas encore sorti les fusées, tu vas voir elles sont trop belles ! ». Et c’est sur ces mots que Léa se fait éjecter du compartiment. Elle rebrousse chemin en quête d’une nouvelle cabine. L’une d’elle a l’air bien calme. Elle décide d’y entrer pour y mettre un peu d’ambiance. A l’intérieur, trois filles ont déjà pris place : une avec un air stressé, une plongée dans son livre et la dernière qui, malheureusement, a assisté à son expulsion de la première cabine. Léa range ses affaires, s’assoit à droite de la fille au livre et se dit « Je sens que je vais bien m’amuser ici ! ».

Il faut croire que Marine n'était pas la seule à arriver juste à temps pour prendre le Poudlard express. Car après l'arrivée silencieuse d'une jeune fille rousse s'étant assise en face d'elle et donc aussi à côté de la fenêtre une autre jeune fille blonde était arrivée avec un sourire plutôt étrange qui ne presageait rien de bon, elle c'était installée à côté de Marine. Mais le sort continua de s'acharner sur elle une autre fille cette fois brune venais d'arriver elle aussi un sourire en coin, elle était persuadée que c'était celle qu'elle avait entendue se faire éjecter du compartiment à côté. Elle semblait aussi adorer faire des farces d'après ce qu'avait en entendue Marine. Ce ne la mit donc pas à l'aise déjà qu'elle c'était stressée pour la fille rousse, bon finalement il n'y avait rien à craindre car elle est aussi silencieuse que Marine et surtout qu'elle ne lui a pas parlé. Mais c'était sans compter sur l'arrivée de la fille blonde et de son sourire qui retendu Marine comme un élastique. Elle avait peur qu'elle lui pose des questions, elle sentait que cette fille là le pourrait. Elle avait un petit air coquin mais surtout elle la sentait bien à l'aise. Ce fut l'arrivée de la fille brune qui l'acheva, elle sentait venir la bêtise à 2 kilomètres, elle était aussi casiment sûre que que la fille blonde et la fille brune allaient bien s'entendre et qu'elles allaient rendre ce compartiment calme et tranquille qui n'apportait (avant leur arrivée) aucun stress à Marine au compartiment le plus Bryant et le plus dangereux. Elle aurait voulu partir mais elle était paralysée, en plus elle savait que si elle se levait elle allait attirer l'attention et que la bombe a retardement allait exploser. Elle était aussi casiment sûre que tous les compartments seraient plein et bruyant elle ne bougea donc pas mais se retourna vers la fenêtre et vu que le train était déjà parti depuis combien de temps elle ne savait pas. Elle se mit à regarder le paysage qui défilait sous ses yeux en espérant que tout se passerait bien !

Je nu a peine le temp de commencer le chapitre 27 de mon livre qu'une fille blonde au regard malveillant arriva en fracas dans notre vaguons, remplaçant ce silence tant apaisant pars un bruit incessant, m'empêchant de me concentre sur ma lecture. Je remarqua que la fille en face moi fut emparer d'une vague de stresse la pétrifiant lorsqu'elle vit la nouvelle arrivante .
- Elle doit surement être anxieuse .
Pansage, me forçant tant bien que mal a me reconcentre sur mon livre. Je perdu tout espoir de pouvoir avancer dans mon livre ne serrasse que d'un chapitre lorsqu'une deuxième fille, brune, toute aussi turbulente que la première arriva en trombe; Comblant notre vaguons qui était maintenant plein.
- Elle risque de bien s'entendre ses deus la , espérons ne pas avoie d'ennui .
Désespérer de leur comportement, je rangea mon livre dans mon sac, et y saisie a la place ma trousse de dessin pour commencer quelque croquie . Le train était enfin partie; A vrais dire, je ne lavais même pas remarquer a cause des évènement ressent. Et ses inci que, exaspérer de leur comportement je sortit de ma trousse un crayon de papier. Je commença donc a dessiner les paysages s'offrant a moi, frottant frénétiquement la mine de mon crayon sur le papier; Laissant mon esprit vagabonder et mon imagination prendre le dessus. Le bruit extérieure devenant de plus en plus lointain, je m'étais enfin mise dans ma bulle. Jusqu'à qu'un bruit, me faisant sursauter et casser ma mine contre le papier, (m'énervant fortement) me sortit de cette transe si paisible. Je me détournât de mon dessin lentement, m'imaginant la meilleure façon de cacher un cadavre; relevant la tète un regard assassin sur le visage, cherchant la cause de se bruit. Puis lorsque je vis la fille brune, qui c'était entre temp installer a cote de moi se figer lorsque mon regard se posa sur elle, je compris qui étais la destinataire de ce bruit. Je me contenta de la toiser durant un certain moment d'un regard dure, la méprisant de tous mon être
- Elle doit surement s'attendre a se que je dise quelque chose. A quoi bon...
Me dige désespérer de leur comportement. Puis, m'apercevant que le vaguons était redevenu calme, je me détourna et me rendit compte que tous le monde me fixais. Ne me souciant pas des regards apeurer?, plein de stupeur? je repris donc mes occupation, profitant de ce coure instant de calme; (car je savais qu'il n'allais pas durer) Sortant de ma trousse un cutteur bien aiguiser, et commençant a tailler mon crayon, le train ne me facilitant pas la tache avec ses secousse inattendus. Je sentis sur moi le poids des regard et releva donc la tète de mon activité pour voire cette fois si des regard offusquer et apeurer face a la petite lame tranchante.
- Bas alors, elle n'ont jamais utiliser de cutteur ou quoi ?
Songaige désespérer. Je rangeas donc mon aiguise crayon dans ma trousse comprenant que cela les dérangeaient et repris mon dessin; Me replongeant dans mes songe .

Une fois assise confortablement dans les sièges je regardis autour de moi pour mieux comprendre le caractère de chacun. A côté de moi une fille plutôt timide et qui n'avait pas l'air de vouloir qu'on l'embête ; en face une fille avec un sourire en coin parfaite pour occuper la personne en diagonale plongée dans sa lecture mais qui faisait quelques fois penser a une psychopathe. Une fois l'inspection fini je me tourna vers ma prochaine cible : la fille a côté avait vraiment besoin de compagnie car même si elle le savait pas elle allait regretter de s'être mis là.
Comme quelqu'un de normale et poli je commença donc mon récit que j'avais appris par cœur a force de m'entraîner sur d'autres victimes.
- Salut moi c'est Elisa et toi ?
- J'espère que ça va parce que moi ça va super !
- Sinon ça se passe bien parce que je souhaite vraiment qu'on soit dans la même maison pour être les meilleures amies du monde !
- A partir de maintenant je vais pas te lâcher et être un vrai peau de colle que tu réponde à mes questions ou pas c'est trop tard on a fait un pacte que tu as signé inconsciemment dans tes pensées.
Tout d'un coup ma voisine à qui je faisais un monologue s'est décomposée donc je tourna la tête pour voir ce qui l'avait fait changer d'expression de visage et ce fut à mon tour de me décomposer. La jeune sorcière en diagonale avait un cutter tranchant dans la main et taillais son crayon tranquillement alors qu'avec les secousses du train le moindre faux pas nous aurez transpercées et c'était la mort assurée ok c'est un peu exagéré. Quand elle a vu nos têtes elle a rangée son arme et a continué comme si rien ne s'était passé. Une fois tout cette histoire fini j'ai continuée à l'harcelée avec pleins de questions ennuyeuses et je n'ai jamais eu aucune réponse mais j'avais encore espoir qu'elle réagisse un jour...

Une fois assise, mes affaires rangées, je regardai les alentours. La fille à côté de moi rangea son livre et sortit une trousse pour dessiner tandis que celle en face, commença à discuter avec sa voisine. Le train démarra. Je regardai dehors, le paysage défilait lentement. Puis je sentis mon nez gratter, me chatouiller et je finis par éternuer dans un grand fracas. Cela fit sursauter ma voisine et casser sa mine de crayon. Elle releva la tête avec un regard de tueur, elle ne m’aimait pas, ça c’est sûr ! Finalement elle passa sa main dans sa trousse et en sortit...un cutter !
« Cette fille est incroyable ! Pensais-je. Je vais tellement bien m’amuser avec elle ! »
En revanche, les deux autres n’était pas du tout rassurées. Je me demande pourquoi ? Ce n‘est pas si terrible que ça ! Finalement elle remarqua que cela dérangeait et donc le rangea avant de continuer paisiblement son dessin. Après leur petite frayeur, les deux filles devant moi continuèrent à discuter (enfin...l’une faisait la conversation, on dirait moi, et l’autre essayait de s’enterrer pour ne plus être stressée, elle n’a pas l’air très à l’aise avec les gens) tandis que moi je me tourna vers ma nouvelle super amie pour en savoir plus sur elle.
- Salut ! Tu dessine quoi ?
Elle resta plongeait dans son dessin mais je vis bien qu’elle m’avait entendu. Alors je continuai :
- Je m’appelle Léa, Léa Butter. J’ai 11 ans mais tu dois sûrement le savoir vu qu’on est ici.
Je rigola.
– Je viens de Oxford et je suis une sang-mêlé. A toi de te présenter !
Je lui fit un grand sourire attendant sa réponse

Les doutes de Marine sur le bon déroulé du trajet n'avaient toujours pas était confirmés mais son trajet ne risquait pas d’être de tout repos quand même. Car les inquiétudes vis à vis de sa voisine de siège se confirmaient, elles. Elle se faisait surmonté de questions mais son premier silence qu’elle pensait protecteur et surtout stoppeur de questions n’avait pas fonctionné. La jeune blondinette ne s’était pas découragée et continuait inlassablement ses questions.

La voisine dit enfin :
- Sinon ça se passe bien parce que je souhaite vraiment qu'on soit dans la même maison pour être les meilleures amies du monde !

Marine trouvait qu’elle avait un entrain plutôt déplacé surtout qu'elles ne se connaissaient à peine . Mais en plus Marine n’était pas certaine qu’elle s’entendrait bien avec cette personne ou qu’elle pourrait la supporter car elle semblait être tout aussi chipie que la dernière arrivée. Marine s’apprêtait à lui répondre quand l’autre lança :
- A partir de maintenant je vais pas te lâcher et être un vrai peau de colle que tu réponde à mes questions ou pas c'est trop tard on a fait un pacte que tu as signé inconsciemment dans tes pensées.

Marine se décala un peu plus vers la fenêtre avec un air décomposé alors que la jeune fille en diagonale éternua dans un grand fracas qui fit sursauter tout le wagon et c’est ce moment là que choisis la dessinatrice du wagon de sortir son cutter avec un air de tueur dans les yeux qui ne rassura pas Marine. Quand il fut rangé la jeune fille en face de ma voisine se mit à parler avec la dessinatrice quant à Marine elle se retourna vers sa voisine à elle. Elle s'apprêta à lui répondre mais quand elle ouvrit la bouche aucun son ne sortis trop de stress pour lui parler pourtant elle aurait voulu lui dire tant de choses, comme comment elle s'appelait, et que et pour le moment elle n'avait du tout envie d'être son amie mais aussi qu'elle ne se laisserait pas faire même si elle n'était pas sûre de se point car pas certaine d'avoir assez de courage pour lui tenir tête. Elle se reconcentra pour y arriver cette fois ci mais une vielle femme frappait à la porte du compartiment pour nous vendre des friandises de sorciers qui intéressaient beaucoup Marine.

Je tentait tant bien que mal a me replonger dans ma bulle pour m'éloigner du brouaa causer par la voisine de la personne en face de moi, qui recitait avec maquiabelisme son monologue. Elle avais pris pour cible la fille introverti qui cherchais a ce faire oublier de tous. Je me reconcentras sur mon esquisse des paysage alentour, laissant la mine de charbon de mon crayon vagabonder sur le papier, me perdant dans mes panser et réussissant enfin a faire abstraction des autre personne dans ce vaguons. Malheureusement pour moi ce répie ne fut que de courte durer. Il fut interrompu par ma voisine qui apparemment s'adressait a moi:

- Salut ! Tu dessine quoi ? dit-elle avec un enthousiasme débordant.

Je me figea au son de sa voix, mon crayon se stoppant dans son élan lorsque je compris ce qui allait m'attendre. J'ignoras sa question en essayant tant bien que mal de ne pas laisser paraitre mon agacement même si c'était penne perdu. Si je ne trouvais pas une façons efficace de la faire taire, elle ne s'arrêtera pas avant la fin du trajet. Si seulement je pouvait changer de vaguons. Je me plongea dans le paysage faisant abstraction de son regard pesant et essayant de cacher mon dessin avec mes mains car je n'en était pas très fier. Je prie espoir que mon silence l'est stopper dans son élan mais après quelque minute a me fixer, elle reprit:

- Je m’appelle Léa, Léa Butter. J’ai 11 ans mais tu dois sûrement le savoir vu qu’on est ici.

Bravo, belle déduction ! Je suis vraiment désespérer, elle dévoile sa vie a des inconnue alors qu'eu non rien demander! C'est vraiment pathétique. J'obligea mes yeux a ne pas se détourner du paysage, contenant mon exaspération et ma rage en moi. Il ne faut pas craquer, il ne faut pas frapper des inconnue, nous somme dans un lieu publique, si il y a un meurtre, je n'aurait pas le temps de cacher le corp, aller on se calme, le voyage est bientôt terminer. Mais elle enchaina de plus belle, singeant son arrêt de mort fin du RP. non je rigol :

– Je viens de Oxford et je suis une sang-mêlé. A toi de te présenter !

Super, maintenant je sais comment tu t'appelle, quelle âge tu a, quelle est ton statut et ou tu habite. Es-ce-que sa m'intéresse? NON, NOOOOOONNNNNNN !!! Petit crise d'hystérie passer. Je ne bougea pas durant quelque instant, l'ambiance dans le vaguons s'était alourdie subitement en même tant que le calme était revenue. Un silence pesant s'était installer dans la pièce et le regard oppressant de ma voisine s'était intensifier attendant surement une raiponce. Je ferma mon carnet a dessin d'un geste sec, faisant sursauter au passage les autres occupant du vaguons; puis je le rangea ainsi que mon crayon dans mon sac. Je me retourna lentement ver ma "charmante" voisine, la toisa un certain moment, puis je dit d'un ton calme et froid:

-Bonjour, je m'appelle Lou Merour, J'ai 11 ans, je viens de Busmills, en Irlande, et je suis née moldu. J'essayais de dessiner le paysage avant que tu ne t'adresse a moi, et si tu pouvais embêter quelqu'un d'autre cela me ferait très plaisir Léa.

Puis je me retournis, contente du calme environnant et ferma les yeux pour somnoler jusqu'à la fin du voyage.