Aprés les jours de révision intense j'ai put enfin commencé les cours à Poudlard!
Je suis allé aux cours avec curiosité et sérieux et j'ai écouté chaque mot que prononcé les professeurs comme si il s'agissait de parole indispensable à la vie!
Et en plus d'avoir de merveilleux cours, ils donnent aussi des devoirs dès le premier cours donc je n'ai aucune raison de m'ennuyer!
Je me fait remarquer le moins possible car je ne tient pas a être à nouveau victime d'harcèlement
comme à l'école moldue!
J'ai même eu un O à mon premier devoir de Sortilège et j'en ferait autant pour les autres devoirs afin de ne pas décevoir les autres Serpentards!
Mais lorsque j'était entrain de chercher des livre dans la bibliothéque pour faire mon premier devoir de potion , j'entendis des élèves parlaient bruyamment derrière l'étagère ou je lisais.
Je me suis dit qu'il s'agissait simplement d'une conversation entre élèves donc je n'y fit pas attention et me replongea dans ma lecture de manière extremement concentré et attentive sur chaque mot du livre.
Soudain j'entendit un mot dans leurs conversation qui me sortit directement de ma lecture, un mot que je déteste entendre: "Sang-de-Bourbe"!
Alors j'ai stopper ma lecture et ai écouté attentivement la conversation
avec une grande curiosité:

-Ha ha! Ses Sang-de-Bourbe sont tellement insignifiant!
-Ouais et le pire c'est qu'ils se croient plus malin que nous les supérieurs Sang-Purs!

Je me suis dicrétement approchée s'une maniére à ce qu'on me voit pas: il s'agissait de 2 garçon de Serpentard en sixième année que j'avais surpris entrain de maltraité un 3 ème année hier dans les couloirs , un grand roux ainsi qu'un garçon brun.

-Le pire c'est quand qu'ils essayent de nous dire d'arreter de dire ce genre de chose, déclara le garçon roux d'un air cruel.
-Tout ça pour ne pas avouer qu'on est meilleurs qu'eux, répondit le garçon brun d'un air méchant.
-Le plus pire c'est qu'il y en a dans notre maison, ricana le garçon brun.
-Ce choipeaux magique dois déraillé depuis le temps, ajouta le garçon roux d'un air moqueur.
-Ha ha! C'est clair! Serpentard c'est la maison des sangs-purs tout le monde le sais, ajouta le garçon roux tout aussi moqueur.
-La maison des ambitieux et des rusé ne peut pas accueillir des Sang-de-Bourbe crédule et stupide tel qu'ils sont, ricana le garçon brun.
-Moi ce qui me fais le plus rire c'est quand ils répondent au questions des professeur pour nous prouver qu'ils sont intelligents, dit le garçon roux en rigolant méchament.
-Ha ha ha ha, ricana le garçon brun.
-Si j'en croise un je lui jette une bonne bombabouse dans la figure ça ne changera rien à leurs physique de toutes façon: ils sont tous laids comme des poux, ajouta le garçon brun avec cruauté.
Je ne pouvais en entendre d'avantage!
Je prit le livre et courrait pour fuir ses moqueries!
Puis je suis arrivé au parc de l'école devant le lac, je me suis assise devant et me suis mise à pleuré et les larmes commencèrent a couler de plus belle sans s'arrêter .
Pourquoi faut-il que je me sente mal!
Alors j'ai continué à pleurer sans larmes toute seule d'un air chagriné et desesperé car je savais que si j'essayer de me suicidée dans le lac ce qui reste de ma famille serait anéantie!
Je souhaité en cet instant , me blesser avec n'importe quel branche ou rocher qui se trouverai à ma porter afin de ne plus souffrir d'être pointée du doigt pour ce que je suis!
Lorsqu'une fille attira mon regard, une fille de Griffondor en deuxième année, je lui fait "Coucou" de la main et a qui je fit signe de s'assoir à coté de moi: @Alice Smith mon amie!
Je pleurait toujours quand elle s'assit à coté de moi et continuait de la regarder en esperrant qu'elle me disent quelque chose!
N'importe quoi tant que cela m'aiderait à me sentir mieux!

Après cette longue semaine de cours à Poudlard, je marche jusqu’à la bibliothèque un petit bout de papier dans la main droite et un pile de livre dans la main gauche.

Je venais rendre les trois livre que j’avais emprunté avant-hier. Un livre pour le quiddith. Ça m’intéressais. Et deux roman d’aventure trouver en fouillant dans les étagères de la bibliothèque.

J’aimerais traîner dans les rayons. Sans but précis, je trouvais toujours des milliards de livres qui me plaisaient. Mais, je ne pouvais malheureusement pas tous les prendre. Alors, je devais en choisir certain et retenir le nom des autres pour les re-trouver la fois d’après. Aujourd’hui, je comptais prendre la suite du roman d’aventure que je rapporte et quelques autres livres. On verra bien.

Je me rappelle la première fois que je suis entrée dans cette grande bibliothèque, toute perdue. Cette endroit était pour moi un grand privilège. Je me suis tout de suite dirigée vers le premier rayon que j’ai entièrement feuilleté pour aller au deuxième et ainsi de suite.

Maintenant, je ne cherche plus. Je n’est que deux rayons en tête. Celui de travail pour en apprendre plus sur Poudlard et ses créatures fantastiques. Et le deuxième, celui des romans d’aventure. J’en trouve toujours pleins de bien.

J’entre dans la bibliothèque. Je vais à un rayon et entend des gens rire. Je regarde pourquoi tout ce bruit dans une bibliothèque. Je voulais leur demander de parler moins fort quand je l’es entends parler dés sang de bourbe. Ils se moque d’eux. Ce n’est pas sympathique. Toute façon, je m’en fiche. Je lis tranquillement quand je les entends dire encore plus de méchanceté.

Qu’est-ce qu’ils ont à la fin ? Il ne peuvent pas aller ailleurs pour parler de leur petites histoires ?! D’ailleurs, c’est pas mon truc de dire des méchancetés mais ce qu’il raconte est totalement absurde ! Je l’es entends ricaner comme des idiots depuis vingt minutes !

Soudain, je vois Luna. C’est un jeune fille que j’ai rencontré au début de l’année. Puis, on était devenues amies. Elle avait l’air triste. J’allais m’approcher d’elle quand soudain une larme à l’œil, elle se leva sans prendre le temps de remettre le livre dans l’étagère elle le pose sur la table et par en courant dévalant les escaliers à toute vitesse.

Je ne l’es jamais vue comme ça ! Elle avait l’air énervée et bouleversée à la fois. Son arrivée à Poudlard se passait bien ? Elle avait des amies ? Sans réfléchir plus longtemps je remet le livre dans l’étagère et la suis.

Qu’elle court vite ! J’en peu plus ! Je commence à avoir un point de côté... Elle allait finir par me distancer. Je courais, courais. Elle descendit tous les étages, couru à travers tout le parc pour enfin, se poser au bord du lac.

Elle fixait l’eau avec attention. Moi, de mon côté ravie qu’elle se pose et arrête de courir, je continuais de me rapprocher d’elle car pour le moment, je la voyait encore de très loin.

Une fois arrivée, me voyant elle me dit coucou joyeusement me faisant signe de m’assoir. Mais je n’étais pas dupe ! Je savais que derrière ce visage heureux se cache une petite mine. Me prenais t’elle pour une idiote ?

Je la fixe silencieusement. Remarquant ses yeux brillant, ses joues rouges et son esprit qui ne pensait pas à cette joie.

Je décide de n’en rien dire pour le moment car je ne sais pas quoi dire. Je fais comme si j’avais rien vu pour pas la mettre mal à l’aise mais d’un autre côté je la laisse souffrir ou je tente de lui parler et qu’elle se confie à moi ? Je pense que le deuxième choix était le meilleur. En plus, je risquerais de regretter le premier.

Que lui dire ? Je ne sais même pas pourquoi elle est triste. Je me lance maladroitement, "Pourquoi es tu partie en courant ? Ça va ?". Je décide de la faire sourire ou au moins rire alors je rajoute "Tu voulais me faire faire le marathon ?". Jespère avoir dit quelque chose de bien et ne pas l’avoir vexée.

Elle me fixe dans un grand et énorme silence pendant plusieurs secondes sans qu'aucune d'entre nous deux ne disent quoique se soit. Elle à l'air malalaise comme si elle ne savait pas quoi dire!

Ma tristesse était-elle apparente malgrés la fausse joie sur mon visage que j'utilise quand je ne veux pas inquieter mes parents et leurs faires croire que je vais bien alors que ce n'est pas le cas?

Lorsqu'elle voit que j'ai croisé son regard malalaise elle semble soudainement absorbée par les mouvement fluides du lac mais moi je continue à la regarder car ma volonté n'est plus de me noyer dans le lac mais de lui parler de mes problêmes car ma tante dit toujours que parlait de ses problêmes était la meilleure façon de les évacuer!

Mes parents sont submergés par leurs travails donc ne peuvent pas me répondre et en plus j'ai appris que la petite amie de ma tante est à l'hopital à cause du fait qu'elle ai glissé et tombé dans l'escalier donc je ne peut pas les contacter alors tout ce qu'il me reste c'est @Alice Smith!

Alors je veux lui en parler! Lui parler du fait que les élèves chuchotes sur mon passage tout en niant l'avoir fait malgrés que j'entend bien mon nom lorsqu'ils chuchote! Lui parler du fait de mon stress vi-a-vis de mon prochun cours de vol à cause de mon vertige maladif ! Du fait que je suis sans cesse moqué par les racistes de l'école!

Mais j'ai peur qu'elle me juge! Alors j'attend qu'elle me dise quelque chose mais je ne peut pas m'empecher d'avoir des larmes perlantes coulant sur mes joues à cause de tout ces problêmes tout en restant sagement silencieuse!

-Pourquoi es tu partie en courant ? Ça va ?, me demande-t-elle.

Je la regarde silencieusement à la quête d'une réponse à lui donner.

Puis elle à un sourire sur lêvres et me demande en riant:

-Tu voulais me faire faire le marathon ?

Je souris. Mais je commence à pleurer de tristesse faisant disparaitre mon faux sourire.
Elle parait malalaise comme si elle se senté coupable.

-C'est pas ta faute si je pleure, l'ai-je rassuré entre 2 sanglot, mais à cause de ma vie! Je ne veux plus vivre comme ça! Avec toute ces souffrances! Je veux en finir! C'est pour ça que je suis venue au lac!

Elle essaye tant bien que mal de me calmer vu mon hypersensibilité , elle parvient enfin à y arriver aprés 5 longues minutes!

Elle me regarde avec de la pitié et de l'inquiétude alors je lui dit tout!

Mon harcelement scolaire depuis la maternelle jusqu'à ce que j'arrive à Poudlard à cause de ma maladie et de mes yeux pales ou les enfants se moquer de moi et m'humilié!
Ma solitude qui à causé en moi une timidité grandissante presque maladive au cours de ma vie!
Mon complexe d'infériorité se formant petit à petit en moi et qui est actuellement en partie permanent et incurrable!
Les moqueries racistes dés mon arrivé à Poudlard faisant grandir ma sensibilité chaque minutes!
Les chuchotement sur mon passage me faisant penser que je suis déstiné qu'a être une paria au yeux des autres!

Je termine enfin ma confession, j'ai droit à deux résultats:
Ma douleur acumulé depuis mon enfance s'est un peu dissipé et le regard de pitié d'Alice s'est changé en regard de profonde pitié!

Je pleure toujours mais plus calmement et seules des larmes perlantes coulent sur mes joues comparés au cascades qui coulaient lorsque je raconter mes problêmes à Alice mais je ne les essuie pas et les laissent couler, la preuve que je ne vais toujours pas bien malgrés le fait que le malaise à baissé!

Je me sens soudainement hyper malalaise!
Est-ce qu'elle va m'aider ou va-t-elle me rejeter par perte de patience?

Je lui lance un regard sensé lui faire comprendre que je veux qu'elle m'aide mais que va-t-elle répondre?

Je regarde le sol verdoyant . J’attends pensivement et impatiemment en frottant mes mains et en me posant des millions de questions. Que va-t-elle me répondre ? Qu’attend-elle de moi ? Je suis censée faire quelque chose ? Elle préfère peut-être que je me taise ? Que je la laisse seule ? Je suis censée faire quelque chose ? Que je ne sache pas pourquoi elle pleure ? Si ça se trouve, c’est ma faute ? Je ne sais que faire. J’essaye de déchiffrer son visage, mais elle me cache tous les sentiments, toute émotions... Elle se renferme juste tristement sur elle-même. Je plisse les yeux. Pourquoi se cache t’elle autant même devant moi ? Ne me fait-elle pas confiance ou ce qu’elle retient est trop lourd ?

Après ma deuxième phrase, la jeune fille sourie et je m’en réjouis, mais soudainement, elle se met à pleurer de chaudes larmes. Pas qu’un peu. Elle devait avoir accumulé de gros chagrins. Plein de petits problèmes à régler qui se sont accumulés. Sans savoir quoi faire et quoi dire, je réfléchis tout en culpabilisant. C’est ma faute ? Qu’ai-je dit de mal ? C’était peut-être de trop ? La goutte qui fait déborder le vase comme on dit ? Je n’en sais rien ! Ma tête tourne tellement les questions fuses dans tous les sens. Il faut que je me calme.

Elle se confie alors douloureusement à moi, me raconte tout, tous ses problèmes. Je me sens mal de ne pas l'avoir vu plutôt ! Suis-je aveugle ? La pauvre ! Elle a dû tant souffrir. J’aurais aimée être présente dans les moments difficiles mais malheureusement on ne pouvait pas ce voir souvent, le temps passer trop vite. Comme j’aurais souhaitée pouvoir l’aider. Mais c’est son combat, je peux juste l’armée pour qu’elle gagne et passe au-dessus de ces propos emplis de débilité et si méchant à entendre. Je voulais parler d’une intonation sévère , envahie par la rage, mais ça ne servait à rien. Je me calme alors. J'essaye de voir un côté positif dans tout ça..heu..c'est un peu difficile... Après une bonne dizaine de minutes de silence, je réfléchis et dit calmement, " Moi, je trouve que tes yeux pâles te donne du charmes. Ils sont juste jaloux. Et tu sais, moi aussi je suis assez timide, pourtant, ça ne m’empêche pas d’être gentille…".

Je la vois légèrement sourire. Ça lui plaît ce que j’ai dit ? Ou pas ? J’ai trouvée un côté positif à chacun de ses ennuis mais bon....Je ne sais pas s'ils étaient tous rassurant... J’ai juste fait de mon mieux, mais je ne sais malheureusement pas si c’est suffisant pour redonner le sourire à cette petite demoiselle.

En plus, j'aime vraiment ses yeux pâles ! Je trouve que ça fait son charme et la rends très spéciale est très originale. Je ne dis pas de bêtise. De toute façon, je ne sais pas mentir. Si j’essaye, mes fossettes disparaissent pour laisser place à une autre teinte rouge, celle de la honte et ma langue se met à fourcher sur le moindre mot. Et ce n’est pas tout, une terrible boule au ventre apparaît. De toute façon, je pense que ça ne va pas la rassurer de savoir que son amie lui fait des cachotteries. En tout cas, moi, ça ne me rassurerait sûrement pas, bien au contraire !

Au bout de cinq longues minutes de tragédie, elle a l’air de se calmer. Elle inspire un grand coup et ravale douloureusement ses larmes. J’essaye de ne pas monter de pitié en vers elle, ça risquerait de l’embêter. Au contraire, j’essaye d’être forte pour elle. Elle continue de pleurer, mais c’est calmer. Ce n’étais point un caprice mais une douleur intérieur liée aux faits malheureux qu’elle a accumulés. Quelques larmes coulent encore sur le long de ses joues. Elle les laisse couler sur ses joues alors je m’approche et les essuie doucement. Elle n’a pas l’air très bien, mais cela n’a rien d’étonnant après les lourdes confessions qu’elle vient de me faire.

Elle me lance un regard inquiet comme attendant quelque chose de moi. Je suis alors emplie de tristesse pour cette amie que j’aimais tant voire rire et sourire. Ses fossettes étaient magnifiques et elle avait une telle énergie qu’elle me rendait heureuse. Je la prends alors dans mes bras et lui dit ce qu’honnêtement, je pense de ces gens-là qui rigolent dans le dos des gens. "Ils n’osent même pas te le dire en face. Fiche-toi de ce qu’ils peuvent bien dire."

Je pense qu’il serait préférable de changer de sujet, mais de quoi parler ? De Poudlard ? Des anciens empereurs ? De livres ? De politique ? De la gravitation ? De quoi donc ?! J’étais tout étourdie , que dire ?

Mots soulignés pour la CDC

Elle détourne soudainement la tête.
Elle sembler être désolée pour quelque chose.

Je tourna ma tête vers le lac et y regarda mon reflet , mes yeux pâles sembler se marier parfaitement dans l'eau émeraude.

Ca m'a fait penser à hier soir ou je me regarder dans le miroir que ma tante m'avait offert avant que j'aille à Poudlard afin que je puisse voir à quel point j'était une fille magnifique.

Mais c'est un peu difficile de voir ça quand on est une fille avec une dysmorphophobie et un complexe d'infériorité !
Chaque fois que je me regarde dans ce miroir , je ne voit qu'une fille avec un visage recouvert de boutons d'acnés et qui a des yeux horrible!

Je crois que ce mal-être est tellement ancré en mois que je pense qu'il fait partit de "qui je suis" !
Mais qui suis-je censé être ?
Ca je n'en sais rien !
Quand je me suis regardé dans ce miroir hier soir , j'ai vu tout !
Tout les défauts que tout les autres voient en moi !
Ca ma tellement dégouté que j'ai jeter violement le miroir contre mon lit à baldaquin , en ramassant les morceaux j'ai vu mon reflet déformé dans mon miroir et je me suis rendu compte que c'était ça mon véritable reflet : celui d'une fille brisée en mille morceau !

Mais aujourd'hui j'ai craqué , le fait d'avoir entendu ces garçon se moquer de mes origines m'a rappeler l'époque ou j'était harcelée et j'ai craquer !
J'ai pleurer à chaude larme pendant qu'Alice m'écoutait sans faire aucun commentaire!
Même là , les larmes continaient à couler!
- Moi, je trouve que tes yeux pâles te donne du charmes. Ils sont juste jaloux. Et tu sais, moi aussi je suis assez timide, pourtant, ça ne m’empêche pas d’être gentille…
Je tourne ma tête vers la sienne.

Elle me regarde avec un air tendrement sincère ce qui m'apaise sans même savoir comment.
Je lui sourit à mon tour malgré les larmes qui continuait à perler sur mes joues.

Soudainement je comprends pourquoi elle m'apaise autant : elle me fait penser à ma tante.
Certes mes parents sont là pour moi mais à cause de leurs travails et à cause du fait qu'ils sont si confiant , j'ai toujours eut l'habitude de leurs cacher mes failles afin qu'il ne soient pas déçut en apprenant que leurs fille ne soit pas aussi parfaite qu'eux!
Alors je me confit à ma tante , étant donné qu'elle n'à que 5 ans de plus que moi on a en quelques sortes grandis comme des soeurs donc on partage tout y compris nos problêmes !
Et elle m'apaise tout le temps surtout lors de mes crises d'anxiété !

Et là , Alice m'apaisait exactement comme ma tante et elle à l'air de vouloir m'aider et peut-être qu'elle peut m'aider à guérir!

Alors j'expire un grand coup et ravale douloureusement mes larmes mais c'est comme ci elle ne voulait pas s'arreter de couler , alors je laisse couler en attendant qu'elle s'arretent toute seule!

Je me sent soudainement mal alaise en imaginant l'air d'idiote que je doit avoir à être planté là avec deux chutes du Niagara qui étaient greffé sur chacun de mes yeux.

Alice s'approche de moi et essuie doucement mes larmes en me regardant comme si elle essayer de me rassurer.
Je l'a regarde d'un air inquiet en me demandant ce qu'elle doit penser de mon problême de larme.

Elle me prend dans ses bras et me sourit avec tendresse.

- Ils n’osent même pas te le dire en face. Fiche-toi de ce qu’ils peuvent bien dire.
Je souris.
Tu veux parler de quelque chose , demanda-t-elle nerveusement
Je la regarde et me met à sourire de plus belle car mes larmes s'étaient arreter de couler.
Et si tu me parler de toi, ai je demander.
Ai-je bien fais de poser cette question ou non?

Luna change alors de sujet, ça devait l'arranger, l’aider, la rassurer. Alice décide donc de le faire pour aider son amie, mais que dire ? La lionne regarde autour d'elle l'herbe, les fleurs et toute cette nature réconfortante. Par où commencer ? Parler de quoi ? Par le commencement bien sûr, mais où était-il au juste ?

La troisième année n'avait pas pour habitude de parler d'elle, bien au contraire, elle priorisait souvent les autres et ne disait rien de plus que son nom, quelques-unes de ses passions, son année et ses parents. Après quelques minutes de réflexion, elle décide de commencer par sa vie au château de Poudlard, ce qui techniquement ne parlait pas que d'elle.

Inspirant un grand coup comme pour se lancer, elle entame "Quand, je suis arrivée ici, j'étais assez timide, si les gens ne venaient pas vers moi, je n'allais pas leur parler, il était donc difficile de s'intégrer. Heureusement, quelques personnes étaient là pour moi. Puis, en deuxième année, j'ai pris sur ma timidité au maximum. Et me voilà maintenant en troisième année, et j'ai réussi à vaincre cette timidité, presque dans son entièreté".

Alice ne peut s'empêcher de jouer avec le tissu de son uniforme tout en parlant, comme pour se rassurer. Mais il était évident qu'une chose si futile ne marche pas, dommage, elle aura essayé ! La rouge se mord donc la lèvre, et pas dans le seul but de la rassurer, ça a également pour objectif de l'aider à se concentrer. Elle réfléchit à ce qu'elle pourrait dire ensuite, mais avant ça, elle se rend compte avoir oublié un détail, qu'elle ajoute donc, "tu te feras bien vite des amis, et tu reconnaîtras de là, les vrais des faux, mais à Poudlard, il y a beaucoup de gens très sympathique !".

La jeune fille espérait intérieurement faire déjà partie de ses amis où bientôt, car Luna était une fille vraiment gentille qui avait plein de points communs avec Alice, surtout en sa première année, elles avaient donc un passé/présent assez similaire qui leur permettait de se comprendre encore mieux.

Arborant un grand sourire, l'Anglaise arrête de mordre ses lèvres, elle avait trouvé de quoi parler en second temps, de sa famille, de ces personnes généralement précieuses qui te permettent d'avancer et de faire un point dans ta vie, de ne pas te perdre et de toujours savoir où tu en es. "J'ai une famille moldue, qui vit à Washington en Angleterre". Elle entame ensuite la présentation de sa mère “Ma mère ce nome Mathilde, elle a 38 ans.”, puis celle de son père “Mon père quant à lui s’appelle Redose, il a 42 ans, je ne le vois pas souvent malheureusement”. La jeune fille se garde bien de parler qu’ils ne sont pas mariés, qu’elle s’est disputé avec eux et tout ce qui va avec.

Pour remonter le moral, la jeune lionne se lève, file cueillir une jolie fleur rose, puis, la glisse dans les cheveux de son amie en souriant. Essuyant rapidement le reste des pleurs de Luna, elle lui dit “viens, on va se changer les idées !”. Alice était assez douée pour redonner le sourire aux gens, elle était assez vive et pleine de bonnes volontés. Montrant sa joie à l’aide de ses fossettes, elle tend la main à sa camarade et lui dit pour la distraire “que dis-tu de faire un tour du château avec la meilleure guide touristique de touuuuut Poudlard ? Moi évidemment !”. Par la suite, elle explose de rire.

En attendant sa réponse, l’Anglaise jette un regard curieux autour d’elles deux. Personne n’est très proche, sûrement pour ça que Luna à choisir cet endroit et pas un autre ! La Serpentard était vraiment maline, il faut dire ! Un couple était sur un banc, sous un arbre un peu plus loin dans le parc. Un petit groupe d’élèves était assis dans l’herbe au loin, en train de jouer aux échecs si sa vision ne lui joue pas de tour. Pour finir, un jeune garçon lisait, appuyer contre un arbre, d’ici notre petite curieuse ne pouvait malheureusement pas voir de quel livre, il s’agissait. Elle reporte alors son attention sur Luna.