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30 mai 2021, 12:43
Godric Gryffondor, une bleue et un rusé
Qu’en avez vous penser ?
Personnages imposés : Godric Gryffondor ; Padma Patil & Aliosus Nerrah.
Époque : Scolarité des Maraudeurs.
Écriture : Conte pour enfant.
Genre : Action/Aventure
Mots imposés : Violoncelles ; Vache.


Mot d’auteur :
Bonjour. Je préviens, que c’est mon premier et la réussite n’est pas assurer… Mais j’espère que vous prendrez du plaisir à le lire. Les mots à placer seront en gras dans le texte et pour savoir qui parle, j’ai mis la couleur de leurs maisons. Pour tous problèmes, commentaires…ma volière est ouverte ! J’aimerais essayer d’en faire un ++ mais pour ça, faut que l’inspiration vienne…on verra bien ! Profitez bien et n’hésitez pas à répondre au sondage ci-dessus. ;)
Alice


Résumé de l’histoire :
Trois enfants, un peu timide ou peu sociable se retrouvent seul dans le parc de Poudlard. Tous un peu rejeté par leur maison. Un Gryffondor, un Serdaigle et un Serpentard. Leur collaboration commence sur le mauvais pied et pourtant...

Dialogues :
Pour ne pas s'y perdre, les dialogues dit par nos trois compères sont de la couleur de leur maison.


Personnages :
Godric Gryffondor
#ff0000
Garçon, un peu forcé par sa famille, mais lui, il préfère s’amuser. Bon esprit d’équipe, drôle, sociable. Ne s’entend pas trop avec les autres à cause de sa famille. Il appartient au Gryffondor, pour son courage et son esprit compréhensif. Il est passionné de violon.
Padma Patil
#0000ff
Padma est une jeune fille, assez réservée, ce qui fait qu’elle n’entre pas trop en interactions avec les autres, par timidité. Mais, elle voudrait vraiment se faire des amis. Ce qui l’a passionne, c’est lire. Elle aime tellement ça ! Le choixpeau l’a envoyer à Serdaigle, sûrement pour ses passions littéraire, son esprit déductif et sa soif d’apprendre.
Aliosus Nerrah
#00ff00
Aliosus est un garçon sociable, rusé et passionné de dessin. Il dessinait à la perfection, beaucoup de chose imaginaire pour la plus part. Il ne s’entendait pas très bien avec les autres, sans vraiment savoir pourquoi. Il en était capable mais…
Sommaire :
. Chapitre I
. Chapitre II
. Chapitre III
. Chapitre IV
Dernière modification par Alice Smith le 11 déc. 2021, 21:16, modifié 20 fois.

JTM Aaron
Le cœur est comme la mer, c’est dans ses profondeurs que l’on découvre ses plus belles richesses
#800080
10 juin 2021, 15:33
Godric Gryffondor, une bleue et un rusé
Chapitre I


Il était une fois, un jeune garçon du nom d’Aliosus Nerrah. On racontait, des rumeurs à son propos. Mais, il ne paraissait jamais en prendre compte. Aliosus était en deuxième année à Serpentard. Il était préfet et, il prenait toujours les décisions les plus justes. Il faisait en sorte que tout le monde trouve sa place, que les Serpentard sois une équipe soudée.

Il était blond et avait de magnifiques yeux bleus. Il fronce régulièrement les sourcils. Ce qui lui donne généralement un air contrarier. Il est rusé, ce qui fait de lui un Serpentard mais aussi maladroit. Il aimait beaucoup dessiner. Quand on regardait un de ses dessins de très près, on avait presque l’impression qu’il bougeait. Tous ses prodiges, il les réalisait de sa main gauche. Il lui suffisait de deux ou trois crayons à peu près tailler et un bout parchemin.

Pas grand monde ne voyais son talent. Il préférait le garder pour lui. Ses dessins étaient très beaux à mon goût. Il possédait un joli carnet de dessins bien remplis. Le talent du jeune garçon était aussi spéciale que discret pour ceux qui ne contemplaient pas ses dessins du bon œil.

Il dessinait là où l’inspiration venait. C’était rarement dans les endroits débordants de monde, il préférait être seul, au calme. Quand on le voyait, on avait limite l’impression que le crayon dessinais tout seul…

Aujourd’hui, il partit au parc et se mit en tête de trouver un endroit où il y avait une belle vue, mais aussi où il pourrait être seul et au calme.

Aliosus marchait regardant de droite à gauche l’endroit idéal pour lui. Il vit un banc, mais se dit que des élèves viendraient vite s’y asseoir pour discuter de tout et de rien… Il vit ensuite un arbre, mais, à côté, une jeune fille observant les plantes convoitait déjà la place. Son regard se détourna ensuite sur un petit rocher, loin de tout le reste. Mais, ce n’était toujours pas ça. Il préférait un endroit pas trop exposé au soleil.

Il continuait de se balader dans le parc. De long en large. Ça devait faire une vingtaine de minutes qu’il errait mais, il ne se découragea pas pour de bon !

Il chercha et chercha jusqu’à trouver. Il avait vu un angle de buisson, à l’ombre. Il s’y installe et commence à dessiner. Sur son cahier, défile les images. Il dessine, perdu dans ses pensées. Quand il dessinait, on dirait qu’il n’y avait que ça qui comptait.

Les pages se tournaient à la vitesse de l’éclaire. On ne voyait même plus le temps passer, on était absorbé par ses merveilleux dessins. Ils étaient tellement réalistes !

Le temps s’écoulait petit à petit, si bien, que ça faisais maintenant une heure environ qu’il devait être assis dans l’angle de ce buisson à l’ombre.

Il dessinait toutes sortes de choses. Sur l’un de ses dessins, on pouvait voir un chien tenant un livre sur une ceinture accrochée à son dos. Le chien portait un chapeau de sorcier avec un os. J’aimais bien celui-là. Sur le suivant, je ne savais pas trop ce que c’était. Un os avec un œil ?

Quand il tourne la page pour en faire un autre, je distingue une vielle tour prête à s’écrouler. Elle était si réaliste, que j’avais l’impression qu’elle allait me tomber dessus à tout moment…

Sur celui d’après, je voyais un arbre en colère et dans le creux de son tronc, se trouvait une tête de squelette. Beurk ! Je jette un coup d’œil à une autre page où se trouvait un troll dans une armure. Quand je regarde sa grande épée, je tremble d’effroi comme si elle était prête à me trancher la tête. Visiblement, ses dessins faisaient des effets sur moi !

Je fixe le suivant. Était-il encore effrayant ? En regardant la charrette et le cheval, je me rassure. Je vois ensuite un arbre sur le quel est posé des armes. Une épée et un arc.
Dernière modification par Alice Smith le 23 nov. 2021, 07:31, modifié 1 fois.

JTM Aaron
Le cœur est comme la mer, c’est dans ses profondeurs que l’on découvre ses plus belles richesses
#800080
14 juin 2021, 10:44
Godric Gryffondor, une bleue et un rusé
Chapitre II


Padma errait dans les couloirs. Elle regardait les tableaux, ça l'amusait. Elle en vit un où se trouvait quatre personnes assises à une table. Elles jouaient aux cartes. Sur l'autre tableau, elle vit un monsieur assis sur un fauteuil regardant dans le vide. Elle en vit un autre où, il y avait une vache. Ah non, en regardant de plus près, elle vit finalement des girafes et des hippopotames.

Elle décide de faire un petit tour à la bibliothèque pour passer chercher un livre ou deux et en rendre quelques-uns. Il fallait qu'elle travaille. Elle cherche dans la bibliothèque des livres qui lui conviendraient. Après une vingtaine de minutes à chercher, elle finit finalement par prendre "celle qui faisait tomber la neige" elle aimait bien les contes, mais elle prit surtout des livres de travail "les potions de grands pouvoirs" et "le Quidditch à travers les âges". Comme ça, elle aura un peu de lecture, de quoi tenir une heure ou deux. Moi, avec ce stock, j’aurais tenue une semaine…

Elle se rendit au parc afin de lire tranquillement dans son coin sans être dérangée. Elle vit d’abord un banc, mais elle se dit que des élèves viendraient vite s’y asseoir pour discuter de tout et de rien… Elle vit ensuite un arbre, mais, à côté, une jeune fille observant les plantes convoitait déjà la place. Son regard se détourna ensuite sur un petit rocher, loin de tout le reste. Mais, ce n’était toujours pas ça. Elle préférait un endroit pas trop exposé au soleil.

Elle continuait de se balader dans le parc. De long en large. Ça devait faire une vingtaine de minutes qu’elle errait mais, elle ne se découragea pas pour de bon !

Padma chercha et chercha jusqu’à trouver. Elle avait vu un angle de buisson, à l’ombre. Elle s’y installe et commence à lire. Elle lit, perdu dans ses pensées. Quand elle lisait, on dirait qu’il n’y avait que ça qui comptait.

Elle lisait, lisait. Les pages se tournaient à la vitesse de l’éclaire. Pauma ne voyait plus le temps passer, plongée dans son bouquin.

Dès qu’elle l’eut fini, elle ne prit même pas le temps de regarder autour d’elle, non, elle en attrapa un deuxième et se remis à lire. Laissant une deuxième fois ce monde imaginaire l’engloutir. Elle dévorait les livres comme une personne morte de faim dévorait un gros gâteau.

Plus elle lisait, plus elle avait envie de lire. La plupart des gens, auraient le cou briser, leurs nuques qui leur font mal, la poitrine creuse après être resté penchés sur les chapitres sans lever la tête, sans entendre rien, dévoré par la curiosité, pris d’une émotion immense, remué jusqu’au fond de la cervelle et jusqu’au fond du cœur. Mais elle, non. Ça lui donnait encore plus envie de lire.

Elle ne lisait pas que l’histoire mais, aussi la pub pour les autres livres de la même édition ou du même auteur à la fin, la biographie de l’auteur, l’extrait, l’édition, le dessinateur même s’il n’y en avait pas souvent dans les énormes tomes qu’elle empruntait…

Padma ne vit pas le temps passer. Environ une heure devait s’être écoulée… elle finie tout juste son deuxième livre. Alors elle attrape « clé Quidditch à travers les âges » et commence à lire. Elle fait défiler les méthodes de Quidditch, l’invention du Quidditch, les différentes reprises de Quidditch, les règle de ce jeu, d’autres jeux à balais, le Quidditch à travers le monde, la création du vif d’or…

Elle était absorbée par ce qu’elle lisait. Tellement qu’elle avait limite l’impression d’être une joueuse de Quidditch professionnelle ou bien d’être la personne qui a inventée les tactiques ou les règles de Quidditch….

À peine 20 minutes étaient passées qu’elle avait presque lue la moitié de ce gros livre. Parfois, une phrase ou un mot la faisais sourire, le plus étonnant, c’est qu’elle les comprenait tous. Même les mots les plus pousser, les plus difficiles ne la freinaient pas !

JTM Aaron
Le cœur est comme la mer, c’est dans ses profondeurs que l’on découvre ses plus belles richesses
#800080
30 oct. 2021, 12:45
Godric Gryffondor, une bleue et un rusé
Chapitre III



Puis, je vais vous présenter le dernier personnage de mon récit. Il était une fois un jeune garçon nommé Godric. Celons les rumeurs, il devait accomplir de grandes choses, mais, lui il s'enfichait. Il en avait un peu marre de sa famille. Sa passion était le violoncelle. Un point c'est tout !


Quand il jouait, il se sentait ailleurs. Il s’en fichait de tout et de tout le monde. Il jouait des musique populaires, en modifiait et parfois en crée. Il n’avait jamais pris de cours à part sur Internet et n’avait jamais été encouragé par personne. Ça devait être douloureux pour lui, mais il continuait de jouer. Son talent était tellement prometteur !


En ce moment même, il était à demi allonger sur son lit, un oreiller dans le dos, un livre lui servant de support su les genoux. Il tenait dans sa main droite une jolie plume bleue. Sur son livre était poser une feuille, il était en train de rédiger une nouvelle musique.


Mais le bruit de ses camarades de chambres commençait sérieusement à l’énerver ou bien les petits curieux. Il était obligé de dire « taisez-vous, il y en a qui essayent de travailler » ou « ce ne sont pas vos affaires ».


Au bout d’une petite heure, il en eu marre, se lève et part avec son livre, sa feuille et son stylo en tapant violemment des pieds. Il descendait les marches, tout aussi énerver. Il n’était malheureusement pas du genre à être patient… Il ne sait pas exactement vers où il va, mais il se dirige vers l’extérieur, il a besoin de prendre l’air.


Pendant ce temps, dans le parc, les deux jeunes étaient préoccupés, mais chacun de leurs côtés sans même se remarquer… Chacun a ses occupations. L'un dessinait merveilleusement bien et l'autre lisait emplie de tellement d'émotions ! Il n'y avait qu'un seul mot au monde pour décrire cela, c'était tout bêtement et tout simplement "magique".


Godric passe devant eux et décide de les ignorer, mais, se sentant seul, il leur dit alors d’un air curieux :


- Vous-vous faites la tête ?


Les deux jeunes gens se retournent exactement en même temps l’un dit :


- Pourquoi ?


Puis l’autre dit en empiétant presque sur la première phrase :


- Avec qui ?


Apparemment ses deux-là ne s’était même pas vu. Pourtant, ils sont si proches ! C’est drôle. Godric n’aurait jamais imaginé ça. Il se demandait ce que chacun d’eux faisait seul, dans son coin. Il trouvait ça bizarre… Mais en y repensant un peu, il se dit que ça devait être l’effet que ça faisait aux autres quand il était renfermé sur lui-même à composer ou bien à écouter des morceaux de violons avec ses écouteurs.


Il leur dit alors :


- Je peux m’assoire à côté de vous ?


- Si tu veux.


- Oui.


Tous les trois assis à côté, je m’assieds alors avec eux. Si je devais prévoir ce qui allait se passer. Je pense que chacun d’eux, un peu rejeté par les autres de leur maison formera une merveilleuse amitié.


Pour le moment, aucun ne se parlait. Personne n’arrivait à engager la conversation, ils ne savaient pas trop quoi se dire. Chacun de son côté, ils exerçaient le talent. De manière différente certes, mais aussi magnifique l’une que l’autre.


Finalement, l’un d’eux engagea la conversation :


- Vous faites quoi ? Je peux voir ?


Ils se rapprochent et se montrent timidement leurs œuvres. Ils décident alors de former une œuvre ensemble une sorte de « petit truc spécial » à leur façon. Ils se posèrent la question «Comment mélanger le dessin, la lecture et la musique ?"


Comme tout le monde fut d’accord, ils se mirent au travail. Godric crée un morceau, Padma écrivait des paroles en s’inspirant d’un recueil de poésie et Aliosus dessinait une sorte de décors. Ils formaient une parfaite équipe. Tous les trois, cacher derrière le buisson, ils écrivaient leurs idées sur papier. Le symbole du groupe, la mélodie, le nom du groupe, le rôle de chacun, la présentation…


Ils devaient bientôt se quitter car s’était déjà la fin de l’après-midi. Il se donnèrent alors rendez-vous demain, une heure plus tard pour ne pas rater des cours au même endroit. Il construiraient un repaire secret.

JTM Aaron
Le cœur est comme la mer, c’est dans ses profondeurs que l’on découvre ses plus belles richesses
#800080
11 déc. 2021, 21:13
Godric Gryffondor, une bleue et un rusé
Chapitre IV


Chacun rentrait, de son côté, ils s’étaient tellement amusés ! Ils n’avaient pas vu les heures s’écouler. Ils aimaient combiner leurs talents. Entre eux, ils se comprenaient, s’acceptaient tel quel, s’amusaient… Ils avaient un bon esprit d’équipe. Une merveilleuse entente, de la confiance, de l’égalité. Malgré leur appartenance à différentes maisons, filières, cours, familles, ils s’entendaient bien.

Padma rentre, perdue dans son propre livre. C’était sa page, son histoire, sa vie. Elle venait d’en écrire la toute première page du bonheur. Son esprit la lisait et la relisait. Sans rater une ligne, ni un mot, ni un chiffre, même pas une lettre. Elle montait jusqu’à son dortoir, l’envie d’écrire la démangeait, elle avait beaucoup d’inspiration, la jeune Serdaigle se sentait prête, plus que jamais !

Une fois arrivée, elle prend un vieux journal en cuire, remplis de pages en parchemins ornées de petites lignes et se met à écrire avec sa plume d’une jolie encre noire. Padma utilisait également une encre bleue pour les préfaces, les résumées, les dialogues, les dates, les titres. Elle écrivait quelques pages.

Pendant ce temps, Godric sortait du parc. Il avait un peu traîner, en se remémorant les moments passés. Il se dirige vers la bibliothèque, Padma lui avait conseiller des livres, il y en avait sur ses ancêtres. Il avait la curiosité de savoir si, comme lui, des gens de sa famille avait une grande destinée, mais préférais vivre avec leurs amis. Au passage, il jetterait aussi un coup d’œil s'il y avait des livres sur la musique.

Aliosus, quant à lui, était resté dans le parc, il était parti en même temps que, mais, dès que ses amis eurent tourné le dos, il revint s’assoir discrètement au buisson. Il continue alors de dessiner une sorte de blason, un symbole, comme s’il créait une maison, spéciale, pour les gens, qui, comme eux se sentaient parfois terriblement seuls, à l’écart. Pour ceux, qui ne trouvaient pas leur place parmi les autres. Il griffonnait, un peu à la va-vite, l’inspiration dirigeait sa main sans qu’il n’ait à réfléchir.

Ce soir-là, ils passèrent tous trois une merveilleuse nuit, se remémorant les événements de la journée. Le lendemain, une fois les cours fini, les devoirs à peut près terminer et leur chambre de dortoir bien ranger, ils se retrouvèrent au buisson de l’amitié. Comme il était convenu. Ils continuèrent de papoter et de combiner leurs talents pour monter leur projet commun.

On dit souvent, que les amitiés à trois, c’est compliqué. Qu’il y en a toujours un à l’écart, toujours deux qui s’entendent mieux. Mais cette amitié était parfaitement équilibrée, chacun était égal, jugé à sa propre valeur, trouvait sa place dans la bande.

Les jours passèrent, ils se virent de plus en plus souvent, parfois dans leur « repère », parfois en cours et parfois à la bibliothèque. Ils avaient continué leur projet et monter un groupe. En grandissant, ils firent des études différentes et durent se séparer, mais ils se voyaient tout de même très souvent, dans divers endroits.

Des âmes, perdues, c’étaient trouver, unis. Désormais, elle était prête à affronter le destin, à continuer l’aventure. Leur amitié, leurs fous rire, leurs passions et leurs différences les unissaient. Ils se complétaient l’un et l’autre. Chacun était utile, si un n’avait pas le sourire, toute la bande souffrait. Plus les jours passaient, plus leur amitié grandissait.

Godric, réalise plein de choses dans le futur, comme ses parents le souhaitais, mais pas par obligation. Il le faisait pour lui, il y prenait du plaisir, il le faisait sous le regard bienveillant de ses parents et sous celui encourageant de ses amis.

Padma, fit de grandes études littéraires et Aliosus des études artistiques. Ils travaillèrent ensuite dans un journal sorcier, ils formaient une bonne équipe. Les trois amis se voyaient souvent, généralement au chaudron baveur, mais de temps en temps, ils allaient au parc de Poudlard, tous trois assis derrière le buisson de l’amitié, sous le regard médusé des élèves. Étais-ce si étonnant que des adultes profitent ?

JTM Aaron
Le cœur est comme la mer, c’est dans ses profondeurs que l’on découvre ses plus belles richesses
#800080
11 déc. 2021, 21:18
Godric Gryffondor, une bleue et un rusé
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JTM Aaron
Le cœur est comme la mer, c’est dans ses profondeurs que l’on découvre ses plus belles richesses
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