Se faire poser un lapin...

C'est ce que disent les moldus, non ? Lorsqu'une personne ne vient pas à un rendez-vous, et laisse l'autre comme un imbécile. En tout cas, c'est ce que disait ton père lorsqu'il était seul à attendre et que son rendez-vous était finalement annulé.

C'est exactement ce qui vient de t'arriver. Tu viens de te faire poser un lapin. Et oui, toi ! Mais le plus surprenant, c'est que ça veut dire que tu avais un rendez-vous... Macha, nous aurais tu caché quelque chose ? Qui devais-tu retrouver ?
Comment ça tu ne sais pas ? Non, tu ne sais pas. Fille ? Garçon ? De quel âge ? De quel Maison ? Vraiment aucune idée. Tu as simplement reçu ce petit bout de papier, qui te demandais de rejoindre son mystérieux auteur prêt du Lac. La feuille était couverte de tache, mais tu ne saurait pas dire si c'était de l'encre marron, ou de la Sauce soja.
Tu ne savais ni pourquoi, ni comment, mais ce petit parchemin s'était retrouvé dans ton sac de cours. Tu ne saurais même pas dire depuis quand il se trouvait là, c'est à dire que si ça se trouve, le rendez-vous était prévu depuis plusieurs jours...

Alors ça aurait été complétement débile d'y aller. Vraiment, aucune raison d'aller se geler dehors, tout en sachant qu'on avait plus de 60 °/° de chance d'attendre une personne qui ne viendra jamais... Tu le sais bien, n'est-ce pas ?
Alors pourquoi ? Pourquoi y es-tu allée ?

Oui, tu es sortie dès que l'heure du rendez-vous a sonné. Tu as attendu près du Lac. Et tu as même espérée que quelqu'un vienne !
Au bout d'une demi-heure, tu es rentrées quand même. Trop froid...

Maintenant, tu as une migraine pas possible... Tu aimerais bien pouvoir boire un peu pour aller mieux, mais tu sais que même une bonbonne entièrement remplie d'eau ne suffira pas. C'est pourquoi tu te diriges vers l'infirmerie. Avec un peu de chance, on t'aideras à calmer cette douleur horrible, qui te transperce le crâne.

C'est la première fois que tu te retrouves devant les portes de l'infirmerie, et tu ne sais pas si c'est plutôt positif ou négatif.

Vraiment désolée pour cet horrible retard, Clarke... Je ferais en sorte que ça ne se reproduise plus. Je sais que tu le feras sans que je te le propose, mais n'hésite pas à m'envoyer un hibou si il y a quoique ce soit qui ne va pas, ou qui a besoin d'une rectification !

Je m'étais levé ce matin de mauvaise humeur, comme souvent. Les vacances approchent à grands pas et l'idée de me retrouver deux semaines entières chez mon père n'aide pas à améliorer mon humeur.

Alors que je sortais de la Grande Salle pour filer vers la salle d'étude, j'avais par je ne sais quelle malédiction trébucher dans l'escalier. Je m'étais étalé de tout mon long sur le sol en marbre du couloir, sous les rires des élèves qui m'avaient vu tomber. Pas un seul n'était venu m'aider, et mon humeur déjà bien basse ne s'améliora pas. A peine étais-je debout qu'une douleur dans le tibia me fit grimacer. Aussitôt, les images de mes premiers jours dans ce château me revinrent en mémoire. Bordel, et c'est reparti pour un tour ! Mais cette fois-ci, hors de question de rester comme ça.

Alors j'avais pris un autre chemin, pour venir jusqu'ici. A l'infirmerie.

Je pousse les portes de la pièce, et tombe sur une autre fille. Est-elle là depuis longtemps ? J'espère que non, je n'ai aucune envie d'avoir à attendre 107 ans. Je m'arrête derrière elle. Depuis ma chute, ma marche est entravée par la douleur, me donnant une démarche un peu bancale. Là encore, alors que je suis à l'arrête, je m'appuie plus sur ma jambe gauche pour tenir debout. Je regarde le dos de la fillette, puisque je ne peux rien voir d'autre que cela.

- Eh. Ça fait longtemps qu't'attend ?


Et voilà ! N'hésites pas à passer par la ma volière si quelque chose ne va pas
Et désolé pour ce post qui n'est pas d'une très très bonne qualité

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Tu commençais à en avoir marre. Depuis combien de temps tu attendais qu'on s'occupe de ta migraine ? Longtemps, en tout cas... Et tu n'aimes pas attendre.

Alors que ton pied bat un rythme qui sonne dans ta tête, et que tes bras croisés autours de ton buste deviennent de plus en plus tendus, une autre jeune fille rentre dans la salle. Tu n'as pas besoin de compagnie, juste qu'on te donne un verre d'eau et un cachet pour cette douleur insupportable, alors tu fais comme si tu ne l'avais pas vu, le dos tourné.

Mais ça, c'était sans compter ta camarde elle-même !

- Eh. Ça fait longtemps que t'attend ?

Tu fais mine de sursauter, comme si tu n'avais pas remarqué la fille, et tu te retournes vers elle, le dos droit, afin de te faire plus grande.
Tu clignes deux fois des yeux, afin qu'elle croit que tu ne t'attendais pas à ce qu'on t'adresse la parole et ouvre lentement la bouche, comme si tu réfléchissais comment répondre.
En règle générale, tu ne sais pas jouer la comédie, et on repère facilement tes mensonges. Mais dans ce genre de situation, tu es douée, car tu as pris l'habitude de faire cette scène, pour qu'on te laisse tranquille.

- Oh ! Euh... Oui... Ca dois bien faire 20 minutes que je suis là...

Aussitôt la réplique sortit de ta bouche, tu te retournes et lui tournes le dos. Voila ! Au moins, elle ne viendras pas t'embêter !

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Désolée pour ce trèèès long retard, @Ma Méduse préférée_{@Clarke Kane... Hélas, je ne peux pas t'assurer que c'était le dernier...}

Un sursaut, deux clignements d'yeux, et tout ça en trois secondes. Tout ça pour me répondre avec une voix visiblement pleine de surprise qu'elle attend ici depuis vingt minutes.

Vingt minutes ?

Le sort s'acharne définitivement sur moi. Quelque chose - ou quelqu'un - cherche à me rendre d'une mauvaise humeur extrême. Mais pourquoi ?
Alors que la fillette qui me faisait face me tourne le dos, je peste.

- C'est pas possible, mais qu'est-ce qu'ils foutent dans c't'école !

Ne sachant quoi faire d'autre, je commence à faire les cents pas dans la pièce. Des pas boitant, certes, mais des pas tout de même. Mes chaussures claquent sur le sol, faisant résonner le bruit dans la pièce jusque là silencieuse. Dans d'autres circonstances, cela m'aurait agacé et j'aurais arrêté. Je ne saurai dire si c'est l'ambiance de l'infirmerie, l'odeur étrange qui parvient à mes narines, ou que sais je d'autre encore, mais le bruit de mes pas sur le sol me rassure plus qu'autre chose. Ou au moins, ils me permettent de ne pas penser à certains sujets.

La présence de l'autre gamine m'est complètement sortie de la tête. Je me concentre plus sur mes pas que sur le reste, espérant ainsi diminuer la douleur mais rien à faire : la douleur reste lancinante.

Je continue donc d'avancer de long en large dans la pièce, rompant le silence de mort qui s'abat dès que mes pieds ne foulent plus le sol.

Dès que tu as donné ta réponse, tu vois ta camarade s'énerver... Tu l'entend ton ton dos pester, bien que tu ne comprend que " [...] pas possible [...] foutent [...] c't'école ! Tu fais comme si tu n'avais rien entendu. Pas envie de te mêler d'affaire dont tu te fiche royalement !
Tu entends le bruit de ses pas marteler le sol, et tu en déduis qu'elle doit faire les cents pas, pour une ou des raisons.

Le bruit de ses chaussure contre le sol résonne dans le pièce comme dans tes oreilles, et te stresses. T'agaces. Alors que tu essaie de prendre sur toi pour ne pas que ta migraine s'amplifie si tu cris, tu réalises que, vu le boucan que ta camarade fait, tu préfère crier pour que le calme revienne, plutôt que de protéger tes cordes vocales par principe.
Tu sens tes dents se serraient au même rythme que tes poings. On pourrait presque apercevoir de la fumée sortir de ta tête, alors que ta tête vire au rouge.

N'en pouvant plus, folle de rage, tu hurles, les yeux fermés et en retournant ton cou violement :

- NON-MAIS-C'EST-BON ! TU TE CROIS SEULE, PEUT ETRE !

Mais c'est pas possible ces personne égoïste ! Te retournant, alors que ta colère retombe peu à peu, tu te demandes ce que ressentes les personnes de ton entourage, lorsque tu ne pense qu'à toi... C'est vrai qu'il t'arrive souvent - pour ne pas dire régulièrement - de ne penser qu'à toi pendant un moment, plus ou moins long...





Coucou ma Méduse préférée ! Je suis navrée pour ce looong retard... En espérant que ta petite @Clarke Kane réagisse pas trop trop mal à la colère de ma Machamallow...

Je sursaute et m'arrête subitement après le hurlement de ma camarade. Je l'avais complètement oublié, elle. Pour une fois, je n'avais absolument pas en tête d'embêter qui que ce soit. Mais visiblement, même quand je ne veux pas, j'y arrive quand même. A croire que c'est un don, chez moi.

Je m'approche d'elle, toujours de mon pas boitant, et plonge mes yeux dans les siens.

- Si je me crois seule comme tu le dis, c'est peut-être parce que t'es aussi importante qu'une petite cuillère qu'on aurait paumé au fond d'un vieux tiroir. Et c'est pas en hurlant comme une dégénéré que ça va changer quoique ce soit.

Je prend un temps pour respirer et me calmer. Je n'ai pas pour habitude de revenir sur mes paroles, mais j'y ai été un peu fort là. J'aurai été la première à faire une remarque cinglante si les rôles avaient été inversés.

Je lève les yeux au ciel en soufflant. Je ne vais quand même pas m'excuser, si ? Il le faudrait sûrement, oui. Mais je ne le ferai pas, ou du moins pas directement.

Je recule d'un pas, reprenant ainsi une distance plus convenable entre ma camarade et moi.

- J'ai les nerfs à vifs, visiblement j'suis pas la seule. Dis-je plus calmement.

Je lui tend ensuite ma main, dans l'espoir qu'elle la sert.

- J'm'appelle Clarke.

Voilà pour toi ma Chacha
En espérant que ta Protégée serre cette main

Ça fait du bien de crier un bon coup ! Mais pas pour ta tête... Au contraire, la douleur s'amplifie. Tu es heureuse d'avoir surpris ta camarade, ça se voyait sur son visage. *Au moins, elle a compris qu'il fallait pas venir m'embêter ! *, pense tu, ravie.

Tu entends le pas lourd de la fille s'approcher de toi, et tu t'imagine déjà la regarder comme un bourgeois regarde un elfe de maison, pendant qu'elle bafouille des désolée, et disparait à jamais de ta vue. Tu souris intérieurement de cette petite bataille de gagner.

Tu vois, soudain, ses yeux gris planté dans les tiens, presque à la même hauteur.

- Si je me crois seule comme tu le dis, c'est peut-être parce que t'es aussi importante qu'une petite cuillère qu'on aurait paumé au fond d'un vieux tiroir. Et c'est pas en hurlant comme une dégénéré que ça va changer quoique ce soit.

Tu n'en revient pas... Tu as l'horrible impression d'avoir reçut une gifle en public. Tu es à deux doigts de mettre ta main sur ta joue, mais tu te contente de la poser honteusement et intérieurement, sur ton amour propre. On ne t'avait jamais parlé de cette façon !
La bouche à moitié ouverte et le cou légèrement tendu vers l'avant, tu ouvres tes grands yeux d'un air horrifié.

- Tu me traite de cuillère ? Paumée ? Dans un vieux tiroir ? Dégénérée ? T'es qui pour me faire la morale ? Tu te crois supérieur ?

En vrai, ce n'était pas ces insultes qui t'avaient le plus touchées, déstabilisées et humiliées... C'était tout simplement que quelqu'un te tienne tête... Personne, ne te prenait jamais pour plus inférieur que lui, ça, c'était ton boulot. Tu avais l'impression d'être devant toi même, lorsque quelqu'un vient de te faire une remarque qui ne te plait pas...
Tu vois l'autre peste reculer légèrement, afin d'être plus à distance, sûrement.

- J'ai les nerfs à vifs, visiblement j'suis pas la seule.

Tu sais très bien qu'à ça place, tu ne te serais jamais excusée. Tu aurais fait une remarque du même genre, si tu t'étais reprochée des paroles prononcées, alors, tu le prend comme un "pardon, je ne voulais pas m'énerver si fort".

- Mmh... Je n'aurai sûrement pas été sur les nerfs, si j'étais resté seule.

Tu ne peux t’empêcher, vexé, de pester contre cette fille, qui t'as tenu tête.
Tu vois sa main se tendre. Tu penses qu'elle va essayer de te donner une claque, et, par réflexe, tu recule, préparant ton poing. Mais elle se contente de te tendre la main, attendant que tu la sers.

- J'm'appelle Clarke.

Tu regardes, presque mal à l'aise, sa main. Tu hésites à la prendre. Mais tu marmonnes quand même :

- Macha O'Sullivan...

Tu trouves le nom de famille important, et tu es fière de porter celui des O'Sullivans.
Tu respires, les yeux fermés, et tends ta main. Tu sers celle de Clarke, quoique très brièvement, pour être sure que personne n'ai le temps de voir le geste, ni celui de se dire que tu te soumets à ta camarade.



Voila pour moi, ma petite @Clarke Kane ! Je pense que d'autres RPs pourraient suivre celui là, dans d'autres lieux, non ? Une fois que nos protégées seront guéries, bien sûr !

Encore une pique. Je ne peux m'empêcher de serrer les dents. J'aurai certainement fais la même chose, en fait. Comme je l'ai dit, j'y ai été fort avec elle.
Elle semble hésiter quelques secondes en regardant ma main. Puis, elle finit par la serrer rapidement, comme si ce seul contact l'avait brûlé. Je ramène ma main vers moi dès qu'elle la lâche, puis tente de retenir son prénom. J'ai généralement du mal à retenir les prénom, et surtout de les associer au bon visage. Même si sur ce coup, il est difficile d'oublier une telle rencontre !

- T'es sûr qu'il est là, l'infirmier ?

J'avais prononcé ces mots en jetant un coup d'œil aux portes qui nous sépare de la salle de soin et du bureau de l'infirmier. Avait-elle seulement toqué à la porte de ce bureau ? Parce qu'autrement, difficile pour l'infirmier de savoir que du monde attend ici. Je n'étais pas encore passé par l'infirmerie depuis mon arrivée au château. J'en avais pourtant eu l'occasion dès mes premiers jours à Poudlard. Mais il était hors de question pour moi de venir ici dès le deuxième jour ! J'avais donc fais avec la douleur, et elle avait finit par se dissiper. Mais sur ce coup, je savais que je n'allais pas supporter longtemps la douleur : je suis déjà suffisamment à cran depuis cette fameuse lettre de ma mère, ce n'est pas la peine d'en rajouter une couche avec cette douleur.

Je tourne la tête vers les grandes fenêtres de la pièce. Dehors, la neige tombe. L'hiver est là, et bien ancré, et amène avec lui les vacances de Noël, une fête que je déteste particulièrement. Un soupir s'échappe de mes lèvres en y pensant.

Dès que tu enlève ta main de celle de Clarke, elle la range près d'elle. Tu remarques que sa mâchoire se dessert légèrement. Tu n'avais même pas remarqué qu'elle est pu être serré. Il fat dire, que tu évite de regarder Clarke dans les yeux...
Il y a un léger silence, puis elle te demande :

- T'es sûr qu'il est là, l'infirmier ?

Tu hausses les épaules, en signe d'ignorance.

- J'en sais rien... Il est quelle heure ? Midi ? Non, même pas, trop tôt pour qu'il aille manger...

Tu soupires, te tournant un peu. Au bout d'un moment, rester en face d'une même personne, surtout avec qui tu viens de te disputer, c'est un peu gênant...

- Tu n'as qu'à ouvrir la porte...

Il y a une certaine forme de mépris, dans cette phrase, et tu t'en veux très vite après l'avoir prononcé, avant de te dire que, n'importe de la façon dont tu lui parles, ça n'a aucune importance, et tu t'en fiche royalement si elle le prend mal !

Tu te dirige 2 mètres plus loin et t'accroupis contre un mur, la tête entre les jambes, les jambes entre tes bras. Comment peut on avoir aussi mal dans une si petite tête ? C'est à ton tour de serrer les dents, mais de douleur, cette fois.
Tu hésites presque à demander à Clarke, si elle a un doliprane moldu, ou un sort sorcier contre les maux de tête. Mais tu ne veux pas te ridiculiser plus que tu ne l'a déjà fait, alors tu te contente de soupirer en regardant la porte en billet, et en maudissant le je-ne-sais-pas-quoi, qui s'amuse à prendre ton cerveau pour un mur, où il accrocherait à coup de vis et de marteau, des tableaux et des photos.



Voila pour moi, ma belle @Clarke Kane !

Dès que les mots sortent de sa bouche, j'entends presque immédiatement le mépris à peine caché dans sa voix. Visiblement, la pilule n'a pas l'air de passer. Mais après tout, suis-je réellement la fautive ? Non. C'est elle qui m'a hurlé dessus, nan ?

Je la vois s'asseoir contre un mur, la tête entre les jambes. Elle a l'air vraiment mal en point, là. Je n'ai même pas besoin de voir son visage pour comprendre qu'il serait stupide de l'énerver plus qu'elle ne l'est déjà. Je peux comprendre. Après tout, elle n'est sans doute pas ici pour rien.

- T'as l'air vraiment mal.

Je ne sais même pas pourquoi ces mots ont franchi mes lèvres. Ils ne sont d'aucunes utilités, en plus, et je n'attends même pas une réponse. Qu'est-ce que ça peut bien me faire ? Moi aussi je suis mal ! Depuis que je suis entrée dans cette pièce, je ne sais plus quoi penser. J'ai l'impression que mes pensées partent dans tous les sens, et sont totalement contradictoire. Je me met à comprendre cette fille, puis deux secondes après, sans que je ne sache pourquoi, je n'en ai plus rien à faire. Et cette fille justement, n'y est sans doute pas étrangère.

Je finis par me lever - toujours en boitant bien sûr - et toque à la porte du bureau. Pas de réponse. Où peut-il bien être ? Pas ici, apparemment.

- C'est pas maintenant que t'iras mieux. Y'a personne.

Je m'arrête, avant de reprendre en chuchotant plus pour moi que pour quelqu'un d'autre.

- Et moi non plus d'ailleurs...

Et voilà, ma Machamallow en papier