Cher Aliosus... Aliosusounet? Bébé? {PV Lili}
1er Décembre 2045
Comment pouvait-elle bien commencer sa lettre… Aliosusounet ? Mon bébé d’amour ? C’était juste atroce… Mais ça ne l’empêchait pas de glousser moqueusement en imaginant la tête de son petit ami en entendant ses petits « mots d’amour ». La tête qu’il tirerait… Irisia en rit de plus belle, essuyant le coin de ses yeux avant de renifler en fixant de nouveau son parchemin, serrant ses jambes en se calant contre les murs de pierre.
Aujourd’hui n’était pas un jour comme les autres. Aujourd’hui était le jour de leur moiniversaire à elle et Aliosus. Trois mois jour pour jour qu’ils étaient un couple, qu’il était son petit-ami, qu’ils étaient officiellement des amoureux…
« Ooooohhh... »
Rougissant furieusement, Irisia ferma les yeux en se cachant dans son écharpe, un sourire bête fleurissant sur ses lèvres tandis que son cœur battait la chamade. Rien que de repenser à leur nuit… Leur rituel avait pris une sacrée tournure cette année… Le regard rempli d’étoiles, la rousse inspira profondément en essayant de réfléchir correctement : pour leur trois mois, elle avait l’intention de lui écrire une lettre d’amour !
… Mais comment on écrivait une lettre d’amour ? Parce qu’Aliosus était son tout premier amour et du coup et bien elle n’y connaissait rien, mais alors rien de chez rien du tout ! Une lettre d’amour… Comment on la commençait ? Qu’est-ce qu’on y racontait ? Le but c’était quand même qu’elle plaise à son blond, qu’il ait autant de papillons dans le ventre qu’elle en la lisant ! Donc c’était vraiment pas n’importe quoi qu’elle devait mettre dans son parchemin… Et ça faisait une bonne demi-heure qu’elle était assise sur les marches de la volière, fixant son rouleau de parchemin sur les genoux, plume à la main dont elle mâchouillait le bout.
« Bon… Bah j’ai pas vraiment avancer en fait... »
Et la journée qui continuait à filer tranquillement… Et elle qui était plantée comme une courgette dans les escaliers à chercher l’inspiration entre les courants d’air, l’odeur des fientes, les plumes volantes et les hululements… Et l’inspiration qui ne venait pas…
« Hnnnnn ! J’y arriverai jamais ! »
Irisia grognait en soupirant lourdement, posant son front sur ses genoux en râlant. Qu’est-ce qu’elle allait bien pouvoir écrire dans cette fichu lettre… Et puis, ça se trouvait, il éclaterait de rire en pensant que c’est totalement ridicule. Hnnn c’était tellement compliqué les histoires d’amour… Le regard dans le vague, enfouie jusqu’au nez dans son écharpe, la rousse observait distraitement les flocons de neige virevolter dans les airs, hantée par la maladie du parchemin blanc. Emmitouflée dans sa cape épaisse d’hiver, l’irlandaise se demandait bien quoi faire pour attirer la chance de l’inspiration...
Comment pouvait-elle bien commencer sa lettre… Aliosusounet ? Mon bébé d’amour ? C’était juste atroce… Mais ça ne l’empêchait pas de glousser moqueusement en imaginant la tête de son petit ami en entendant ses petits « mots d’amour ». La tête qu’il tirerait… Irisia en rit de plus belle, essuyant le coin de ses yeux avant de renifler en fixant de nouveau son parchemin, serrant ses jambes en se calant contre les murs de pierre.
Aujourd’hui n’était pas un jour comme les autres. Aujourd’hui était le jour de leur moiniversaire à elle et Aliosus. Trois mois jour pour jour qu’ils étaient un couple, qu’il était son petit-ami, qu’ils étaient officiellement des amoureux…
« Ooooohhh... »
Rougissant furieusement, Irisia ferma les yeux en se cachant dans son écharpe, un sourire bête fleurissant sur ses lèvres tandis que son cœur battait la chamade. Rien que de repenser à leur nuit… Leur rituel avait pris une sacrée tournure cette année… Le regard rempli d’étoiles, la rousse inspira profondément en essayant de réfléchir correctement : pour leur trois mois, elle avait l’intention de lui écrire une lettre d’amour !
… Mais comment on écrivait une lettre d’amour ? Parce qu’Aliosus était son tout premier amour et du coup et bien elle n’y connaissait rien, mais alors rien de chez rien du tout ! Une lettre d’amour… Comment on la commençait ? Qu’est-ce qu’on y racontait ? Le but c’était quand même qu’elle plaise à son blond, qu’il ait autant de papillons dans le ventre qu’elle en la lisant ! Donc c’était vraiment pas n’importe quoi qu’elle devait mettre dans son parchemin… Et ça faisait une bonne demi-heure qu’elle était assise sur les marches de la volière, fixant son rouleau de parchemin sur les genoux, plume à la main dont elle mâchouillait le bout.
« Bon… Bah j’ai pas vraiment avancer en fait... »
Et la journée qui continuait à filer tranquillement… Et elle qui était plantée comme une courgette dans les escaliers à chercher l’inspiration entre les courants d’air, l’odeur des fientes, les plumes volantes et les hululements… Et l’inspiration qui ne venait pas…
« Hnnnnn ! J’y arriverai jamais ! »
Irisia grognait en soupirant lourdement, posant son front sur ses genoux en râlant. Qu’est-ce qu’elle allait bien pouvoir écrire dans cette fichu lettre… Et puis, ça se trouvait, il éclaterait de rire en pensant que c’est totalement ridicule. Hnnn c’était tellement compliqué les histoires d’amour… Le regard dans le vague, enfouie jusqu’au nez dans son écharpe, la rousse observait distraitement les flocons de neige virevolter dans les airs, hantée par la maladie du parchemin blanc. Emmitouflée dans sa cape épaisse d’hiver, l’irlandaise se demandait bien quoi faire pour attirer la chance de l’inspiration...
Dernière modification par Irisia MacLynn le 06 déc. 2020, 09:20, modifié 1 fois.
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
Cher Aliosus... Aliosusounet? Bébé? {PV Lili}
Contrairement à l'an passé, le vendredi est une journée assez chargée pour toi et, en général, tu te diriges souvent vers ta salle commune pour passer du bon temps avec tes amis, laissant tout le reste pour le lendemain ou le dimanche pour éviter de te surcharger. Seulement, aujourd'hui, tu te devais de passer à la volière pour envoyer une lettre à ta famille : le mois de décembre est très important pour vous vu qu'il est étroitement lié à la famille et au partage avec Noël, et, même si vous vous verrez pendant les vacances, tu souhaitais leur envoyer une petite lettre, rien que pour les remercier pour le calendrier de l'Avent qu'ils t'ont envoyé il y a quelques jours. Tu as déjà pu manger le chocolat que contenait la première case aujourd'hui, d'ailleurs.
Tu as la lettre que tu as écrite hier soir à la main et tu montes jusqu'à la volière. Une fois que tu y es, tu te diriges vers les hiboux en espérant y trouver Storm : ton frère t'a dit que son hibou y était et que tu pouvais lui confier ta lettre plutôt qu'à un hibou de l'école, c'est donc ce que tu allais faire. Tu le reconnais assez rapidement et tu lui accroches la lettre à sa patte avant de lui donner une friandise pour lui donner des forces. Non mécontent d'avoir eu un petit pourboire, l'oiseau s'envole rapidement pour rejoindre la maison de vos grands-parents, lieu où vous vivez depuis quelques mois maintenant pour une question de sécurité.
Tu allais rapidement rejoindre ta salle commune puisque tu n'as plus rien à faire ici, lorsque tu entends une voix agacée dans la pièce. Il y a peu de monde à la volière, tu ne mets donc que très peu de temps à comprendre qu'il s'agit de la voix d'Irisia, une élève de la même promotion et de la même maison que toi. Vous êtes également dans le même dortoir mais cela ne veut pas dire que vous vous connaissez réellement. Tu sais simplement que c'est la meilleure amie d'Alice et, rien qu'en repensant à elle, de mauvais souvenirs ressurgissent. Tu baisses les yeux puis tu relèves la tête en secouant la tête : non, ce n'est pas le moment pour ça. Le mois de décembre est un de tes mois préférés dans l'année, autant en profiter comme il se doit. Et puis, il ne faut pas oublier qu'Irisia n'est pas Alice.
Sans aucune hésitation, tu t'approches d'elle en espérant que ça ne la dérangera pas. Après tout, si c'est le cas, elle n'aura qu'à te demander de partir, tu respecteras sa décision. Elle a l'air d'être en train d'écrire une lettre, est-ce pour cette raison qu'elle était agacée ? Tu lui adresses la parole en essayant de l'alerter de ta présence puisque, dans la posture dans laquelle elle est, la rousse ne doit pas se douter que quelqu'un s'est approché d'elle :
- Hey, tu marques une pause. Tout va bien ?
Tu as la lettre que tu as écrite hier soir à la main et tu montes jusqu'à la volière. Une fois que tu y es, tu te diriges vers les hiboux en espérant y trouver Storm : ton frère t'a dit que son hibou y était et que tu pouvais lui confier ta lettre plutôt qu'à un hibou de l'école, c'est donc ce que tu allais faire. Tu le reconnais assez rapidement et tu lui accroches la lettre à sa patte avant de lui donner une friandise pour lui donner des forces. Non mécontent d'avoir eu un petit pourboire, l'oiseau s'envole rapidement pour rejoindre la maison de vos grands-parents, lieu où vous vivez depuis quelques mois maintenant pour une question de sécurité.
Tu allais rapidement rejoindre ta salle commune puisque tu n'as plus rien à faire ici, lorsque tu entends une voix agacée dans la pièce. Il y a peu de monde à la volière, tu ne mets donc que très peu de temps à comprendre qu'il s'agit de la voix d'Irisia, une élève de la même promotion et de la même maison que toi. Vous êtes également dans le même dortoir mais cela ne veut pas dire que vous vous connaissez réellement. Tu sais simplement que c'est la meilleure amie d'Alice et, rien qu'en repensant à elle, de mauvais souvenirs ressurgissent. Tu baisses les yeux puis tu relèves la tête en secouant la tête : non, ce n'est pas le moment pour ça. Le mois de décembre est un de tes mois préférés dans l'année, autant en profiter comme il se doit. Et puis, il ne faut pas oublier qu'Irisia n'est pas Alice.
Sans aucune hésitation, tu t'approches d'elle en espérant que ça ne la dérangera pas. Après tout, si c'est le cas, elle n'aura qu'à te demander de partir, tu respecteras sa décision. Elle a l'air d'être en train d'écrire une lettre, est-ce pour cette raison qu'elle était agacée ? Tu lui adresses la parole en essayant de l'alerter de ta présence puisque, dans la posture dans laquelle elle est, la rousse ne doit pas se douter que quelqu'un s'est approché d'elle :
- Hey, tu marques une pause. Tout va bien ?
Sixième année RP | #4682B4
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
Cher Aliosus... Aliosusounet? Bébé? {PV Lili}
… Bon. Quand ça ne venait pas, ça ne venait pas hein. Mais là ça devait venir.Genre là, maintenant, de suite. ALLEZ ! ON SE BOUGE LES MUSES ! RAAAAAAH !!!!
« Mais qu’est-ce que je vais écrire ?! Flûte à la fin ! »
Se prenant la tête en tapant les pieds contre les marches de la volière, Irisia rouspétait avec force, une moue boudeuse aux lèvres et le cœur serré. Et si elle n’arrivait jamais à écrire cette lettre… Et si Aliosus ne l’aimait pas sa lettre ?… Mais pourquoi c’était si compliqué d’écrire une lettre par la bouse de dragon dans le caleçon de Merlin ?!
« Hmpf... »
Foudroyant le parchemin blanc du regard, la rousse grognant de plus belle avant de renifler et de soupirer. Mais qu’est-ce qu’elle allait pouvoir lui écrire à son Aliosus hein… C’était important de fêter un moiniversaire n’est-ce pas ?… N’est-ce pas…
« Hmm ? Oh salut Cooper... »
Levant ses yeux gris vers la personne qui l’appelait, Irisia reconnu bien vite Lili Cooper, Préfète de Serpentard aux côtés de son Aliosus.
« Ouais ouais, tout va bien... »
Pas vraiment hein et ça se voyait parfaitement…
« Et toi ? Ça va ? Qu’est-ce que tu fiches là ? Tu viens poster une lettre ? »
Haussant un sourcil de curiosité, la rousse soupira en posant sa tête contre la pierre, un bref sourire aux lèvres alors qu’elle dévisageait sa préfète tranquillement. L’irlandaise n’avait rien contre la jeune fille, simplement ravie d’avoir un peu de compagnie, suffisamment de compagnie pour la distraire de cette fichue maladie du parchemin blanc. Roulant tranquillement le rouleau pour le ranger, elle y glissa la plume avant de le mettre dans sa poche, soufflant dans l’air froid de l’hiver.
… D’ailleurs… A part elle et Alice, il y avait une autre personne avec qui Aliosus passait beaucoup de temps… Sa collègue Lili Cooper… Peut-être que cela pourrait grandement l’aider…
« Dis voir Cooper… Est-ce… Est-ce que Aliosus te parle de moi… E-et de nous… Parfois, quand vous vous voyez ? »
… Non mais ce n’était peut-être pas une si bonne idée que ça en fait. Soupirant en grognant, Irisia se tapa le front avant de le poser sur ses genoux qu’elle serrait contre elle. La rousse confirmait que la journée serait bien longue, mais alors tellement longue… Les joues aussi rouge que des tomates face à la gêne et au ridicule de la situation, l’irlandaise se demandait bien comment faire pour se sortir de ce gouffre sans fond d’incertitudes et de malchance.
« Eh Cooper… T’es douée en lettre d’amour ? »
Quitte à se tirer un Avada Kedavra dans le pied, autant y aller jusqu’au bout non ? Foutu pour foutu après tout...
« Mais qu’est-ce que je vais écrire ?! Flûte à la fin ! »
Se prenant la tête en tapant les pieds contre les marches de la volière, Irisia rouspétait avec force, une moue boudeuse aux lèvres et le cœur serré. Et si elle n’arrivait jamais à écrire cette lettre… Et si Aliosus ne l’aimait pas sa lettre ?… Mais pourquoi c’était si compliqué d’écrire une lettre par la bouse de dragon dans le caleçon de Merlin ?!
« Hmpf... »
Foudroyant le parchemin blanc du regard, la rousse grognant de plus belle avant de renifler et de soupirer. Mais qu’est-ce qu’elle allait pouvoir lui écrire à son Aliosus hein… C’était important de fêter un moiniversaire n’est-ce pas ?… N’est-ce pas…
« Hmm ? Oh salut Cooper... »
Levant ses yeux gris vers la personne qui l’appelait, Irisia reconnu bien vite Lili Cooper, Préfète de Serpentard aux côtés de son Aliosus.
« Ouais ouais, tout va bien... »
Pas vraiment hein et ça se voyait parfaitement…
« Et toi ? Ça va ? Qu’est-ce que tu fiches là ? Tu viens poster une lettre ? »
Haussant un sourcil de curiosité, la rousse soupira en posant sa tête contre la pierre, un bref sourire aux lèvres alors qu’elle dévisageait sa préfète tranquillement. L’irlandaise n’avait rien contre la jeune fille, simplement ravie d’avoir un peu de compagnie, suffisamment de compagnie pour la distraire de cette fichue maladie du parchemin blanc. Roulant tranquillement le rouleau pour le ranger, elle y glissa la plume avant de le mettre dans sa poche, soufflant dans l’air froid de l’hiver.
… D’ailleurs… A part elle et Alice, il y avait une autre personne avec qui Aliosus passait beaucoup de temps… Sa collègue Lili Cooper… Peut-être que cela pourrait grandement l’aider…
« Dis voir Cooper… Est-ce… Est-ce que Aliosus te parle de moi… E-et de nous… Parfois, quand vous vous voyez ? »
… Non mais ce n’était peut-être pas une si bonne idée que ça en fait. Soupirant en grognant, Irisia se tapa le front avant de le poser sur ses genoux qu’elle serrait contre elle. La rousse confirmait que la journée serait bien longue, mais alors tellement longue… Les joues aussi rouge que des tomates face à la gêne et au ridicule de la situation, l’irlandaise se demandait bien comment faire pour se sortir de ce gouffre sans fond d’incertitudes et de malchance.
« Eh Cooper… T’es douée en lettre d’amour ? »
Quitte à se tirer un Avada Kedavra dans le pied, autant y aller jusqu’au bout non ? Foutu pour foutu après tout...
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
Cher Aliosus... Aliosusounet? Bébé? {PV Lili}
La réponse de la Serpentard te laisse perplexe mais tu ne relèves pas : après tout, vous ne vous connaissez peut-être pas suffisamment pour qu'elle t'explique directement ce qu'il se passe et tu peux très bien le comprendre. Comme elle ne semblait pas vraiment vouloir te dire ce qui n'allait pas, tu envisageais de la laisser en te disant que c'était peut-être le mieux, lorsqu'Irisia te retourne la question.
- Oui, ça va ! J'aime bien le mois de décembre en plus, ça me met de bonne humeur. C'est ça, je viens tout juste d'envoyer une lettre à mes parents.
Tu marques une pause en te demandant si tu ne ferais pas mieux d'enchainer sur autre chose pour continuer à faire la conversation plutôt que de vous regarder silencieusement, quand la troisième année s'en charge. Finalement, elle a l'air partante pour te partager le problème qu'elle confronte.
- A vrai dire, quand on discute, c'est surtout lié à nos responsabilités mais on a déjà rapidement abordé le sujet une ou deux fois, oui.
Même si le rôle de préfet vous a rapproché, ce n'est pas de là à parler de tout et de rien lorsque vous avez un peu de temps libre, notamment à propos de vos relations amoureuses. De ton côté, tu ne te vois pas vraiment épiloguer sur ta relation amoureuse, tu comprends donc parfaitement que ce soit également le cas de ton collègue.
Lorsque tu entends la demande de la rousse, tu comprends enfin la raison qui l'a poussée à s'installer à une table de la volière. A ce moment précis, une certaine personne te vient en tête et tu ne peux t'empêcher de rougir légèrement avant de lâcher un petit rire, un peu trop embarrassée. Tu te sens ridicule mais, après tout, tu n'es pas la seule à rougir donc peut-être que ça détendra un peu l'atmosphète.
Ecrire une lettre d'amour, ça ne t'est jamais venu à l'esprit, tu n'es donc peut-être pas la personne la plus à même d'aider Irisia mais tu as tout de même envie de le faire, tu te vois mal lui répondre négativement avant de partir et de la laisser seule. Au lieu de ça, tout en répondant, tu fais le tour de la table pour t'assoir en face de la troisième année, en admettant qu'elle se retourne par la suite.
- Pas vraiment, je n'en ai jamais écrit mais j'aime bien écrire alors je peux toujours essayer de t'aider.. si tu veux ? ajoutes-tu, une fois assise.
Tu n'y connais pas grand-chose voire rien du tout au sujet des lettres d'amour mais après tout, c'est l'intention qui compte et, à deux, peut-être que vous pourrez réussir à produire quelque chose qu'Irisia pourra donner à Aliosus, tu l'espères en tout cas. Tu essaies de réfléchir à ce qui pourrait se trouver dans une lettre de ce genre mais tu te dis que tu ferais peut-être mieux de demander à Irisia ce qu'elle aimerait lui écrire.
- Alors.. est-ce que tu as une petite idée de ce que tu voudrais mettre dans ta lettre, ou pas du tout ?
- Oui, ça va ! J'aime bien le mois de décembre en plus, ça me met de bonne humeur. C'est ça, je viens tout juste d'envoyer une lettre à mes parents.
Tu marques une pause en te demandant si tu ne ferais pas mieux d'enchainer sur autre chose pour continuer à faire la conversation plutôt que de vous regarder silencieusement, quand la troisième année s'en charge. Finalement, elle a l'air partante pour te partager le problème qu'elle confronte.
- A vrai dire, quand on discute, c'est surtout lié à nos responsabilités mais on a déjà rapidement abordé le sujet une ou deux fois, oui.
Même si le rôle de préfet vous a rapproché, ce n'est pas de là à parler de tout et de rien lorsque vous avez un peu de temps libre, notamment à propos de vos relations amoureuses. De ton côté, tu ne te vois pas vraiment épiloguer sur ta relation amoureuse, tu comprends donc parfaitement que ce soit également le cas de ton collègue.
Lorsque tu entends la demande de la rousse, tu comprends enfin la raison qui l'a poussée à s'installer à une table de la volière. A ce moment précis, une certaine personne te vient en tête et tu ne peux t'empêcher de rougir légèrement avant de lâcher un petit rire, un peu trop embarrassée. Tu te sens ridicule mais, après tout, tu n'es pas la seule à rougir donc peut-être que ça détendra un peu l'atmosphète.
Ecrire une lettre d'amour, ça ne t'est jamais venu à l'esprit, tu n'es donc peut-être pas la personne la plus à même d'aider Irisia mais tu as tout de même envie de le faire, tu te vois mal lui répondre négativement avant de partir et de la laisser seule. Au lieu de ça, tout en répondant, tu fais le tour de la table pour t'assoir en face de la troisième année, en admettant qu'elle se retourne par la suite.
- Pas vraiment, je n'en ai jamais écrit mais j'aime bien écrire alors je peux toujours essayer de t'aider.. si tu veux ? ajoutes-tu, une fois assise.
Tu n'y connais pas grand-chose voire rien du tout au sujet des lettres d'amour mais après tout, c'est l'intention qui compte et, à deux, peut-être que vous pourrez réussir à produire quelque chose qu'Irisia pourra donner à Aliosus, tu l'espères en tout cas. Tu essaies de réfléchir à ce qui pourrait se trouver dans une lettre de ce genre mais tu te dis que tu ferais peut-être mieux de demander à Irisia ce qu'elle aimerait lui écrire.
- Alors.. est-ce que tu as une petite idée de ce que tu voudrais mettre dans ta lettre, ou pas du tout ?
Sixième année RP | #4682B4
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
Cher Aliosus... Aliosusounet? Bébé? {PV Lili}
En voilà au moins une qui fleurait bon la joie de vivre ! Fallait bien avouer que ce mois était juste magique en même temps ! Le froid sec, la neige, Noël, les chocolats chauds, son anniversaire à elle… Que du plaisir ! Mais Irisia était tellement obnubilé par son parchemin qu’elle n’appréciait que très peu ce qui l’entourait… Sans compter qu’il lui était toujours difficile à elle d’envoyer des lettres à ses parents…
« Ah oui ? Ah… Et… Et qu’est-ce qu’il t’a dit durant ces une ou deux fois là exactement ? »
Était-elle totalement crédible avec sa question en mode l’air de rien ? Mais absolument pas ! Elle était tellement curieuse et nerveuse, les pommettes rougissantes alors que son imagination carburait à dix milles balais à l’heure ! Est-ce qu’il se plaignait d’elle ? Est-ce qu’il l’adorait ? Lui demandait-il des conseils pour eux deux ? Ou… Ou contre eux deux ? Aaaaaaaaaaaaaaaaah ! Tant d’incertitudes et de doutes… C’était quand même parfois sacrément nul l’amour… Hmppf. Peut-être qu’elle, elle saurait écrire une lettre d’amour non ? Pour être préfète, fallait forcément en avoir un peu plus dans la citrouille donc elle était la plus à même de répondre à ces incertitudes n’est-ce pas ?
La regardant s’installer face à elle, Irisia haussa un sourcil de curiosité, posant son menton sur son poing. Si elle ne pouvait pas l’aider, elle ne savait pas qui… Et elle n’allait certainement pas demander conseils à ses parents ou à son grand-père ! Et puis quoi encore ?!
« Oh bah écoute je veux bien hein ! Tu seras forcément plus douée que moi de toute façon : y’a pas la moindre goutte d’encre sur ce fichu parchemin blanc... »
Une moue boudeuse aux lèvres, Irisia soupira lourdement en se dépliant de sur son assise, sortant le fameux velin problématique et l’étalant sur la table en mâchouillant le bout de la plume.
« Alors pas du tout la moindre idée… Je ne sais même pas comment le commencer ! Aliosusounet ? Bébé ? Mon petit chat d’amour ? Mon serpent angélique ? Beurk… »
Ses lippes se froissant de dégoût, l’irlandaise grogna en fusillant du regard le parchemin responsable de son désarroi.
« En fait, le but de cette lettre c’est pour notre moiniversaire ! Ça fait trois mois aujourd’hui qu’on est ensemble et je m’étais dit que ça lui ferait peut-être plaisir que je lui écrive justement une lettre d’amour. Tu sais, lui parler de ma joie, de nous, de lui, de ce qu’on ferait plus tard ou quand on sera plus grand, etc. »
Si elle continuait de bavasser ainsi, la pauvre Irisia allait finir en mode combustion spontanée tellement elle virait à l’écarlate… Son visage avait la même teinte flamboyante que ses cheveux !
« Ah oui ? Ah… Et… Et qu’est-ce qu’il t’a dit durant ces une ou deux fois là exactement ? »
Était-elle totalement crédible avec sa question en mode l’air de rien ? Mais absolument pas ! Elle était tellement curieuse et nerveuse, les pommettes rougissantes alors que son imagination carburait à dix milles balais à l’heure ! Est-ce qu’il se plaignait d’elle ? Est-ce qu’il l’adorait ? Lui demandait-il des conseils pour eux deux ? Ou… Ou contre eux deux ? Aaaaaaaaaaaaaaaaah ! Tant d’incertitudes et de doutes… C’était quand même parfois sacrément nul l’amour… Hmppf. Peut-être qu’elle, elle saurait écrire une lettre d’amour non ? Pour être préfète, fallait forcément en avoir un peu plus dans la citrouille donc elle était la plus à même de répondre à ces incertitudes n’est-ce pas ?
La regardant s’installer face à elle, Irisia haussa un sourcil de curiosité, posant son menton sur son poing. Si elle ne pouvait pas l’aider, elle ne savait pas qui… Et elle n’allait certainement pas demander conseils à ses parents ou à son grand-père ! Et puis quoi encore ?!
« Oh bah écoute je veux bien hein ! Tu seras forcément plus douée que moi de toute façon : y’a pas la moindre goutte d’encre sur ce fichu parchemin blanc... »
Une moue boudeuse aux lèvres, Irisia soupira lourdement en se dépliant de sur son assise, sortant le fameux velin problématique et l’étalant sur la table en mâchouillant le bout de la plume.
« Alors pas du tout la moindre idée… Je ne sais même pas comment le commencer ! Aliosusounet ? Bébé ? Mon petit chat d’amour ? Mon serpent angélique ? Beurk… »
Ses lippes se froissant de dégoût, l’irlandaise grogna en fusillant du regard le parchemin responsable de son désarroi.
« En fait, le but de cette lettre c’est pour notre moiniversaire ! Ça fait trois mois aujourd’hui qu’on est ensemble et je m’étais dit que ça lui ferait peut-être plaisir que je lui écrive justement une lettre d’amour. Tu sais, lui parler de ma joie, de nous, de lui, de ce qu’on ferait plus tard ou quand on sera plus grand, etc. »
Si elle continuait de bavasser ainsi, la pauvre Irisia allait finir en mode combustion spontanée tellement elle virait à l’écarlate… Son visage avait la même teinte flamboyante que ses cheveux !
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
Cher Aliosus... Aliosusounet? Bébé? {PV Lili}
Tu sens que la question d’Irisia sous-entend beaucoup de choses mais, malheureusement, tu sais que tu vas devoir briser un peu les espoirs de la Serpentard car, en réalité, Aliosus et toi n’avez pas abordé pleinement le sujet, il n’y a donc rien de bien notable que tu pourrais partager avec elle. Est-ce une bonne ou mauvaise choses ? Tu ne sais pas vraiment mais tu te dis que c’est normal, vous n’êtes que collègues après tout.
- Et bien, pas grand chose, juste qu’il allait passer du temps avec toi ou des paroles dans le genre, tu vois ?
Tu peux comprendre que ton collègue ne t’en dise pas trop car toi non plus, ce n’est pas ce que tu fais. Tu préfères garder ça pour toi, un peu comme un jardin secret et ne pas t’étaler plus longtemps sur le sujet avec plusieurs personnes. Tu es déjà préfète, tu sais que tu es remarquée par les élèves et que certains t’évitent pour ces raisons, tu préfères donc garder rien que pour toi plus que d’habitude ce qui t’appartient..
- Plus douée, je sais pas vraiment mais je vais faire au mieux ! J’ai jamais écrit une lettre comme ça mais à deux, on devrait y arriver, promets-tu.
Le fait qu’elle n’ait pas une seule idée à coucher sur le papier ne te facilite pas la tâche mais ce n’est pas une raison pour se décourager, tu es certaine que vous pourrez y arriver et qu’Irisia pourra envoyer une lettre au troisième année. Il faut simplement que vous trouviez sur quoi vous lancer puis, dès que le fil rouge sera trouvé, vous aurez sans doute bien moins de difficultés.
- Alors, je pense qu’il faut faire simple : comment tu l’appelles en général ?
Si c’est par tous ces noms, ta question aura l’air un peu ridicule mais qui ne tente rien n’a rien, non ?
Lorsqu’il Irisia évoque le mot moiniversaire, tu arques légèrement un sourcil, intriguée : tu ne savais absolument pas que ça existait. Est-ce que tous les couples fêtent leur moiniversaire ? En tout cas, tu trouves l’intention de la Serpentard adorable, tu n’es donc pas la seule à faire attention aux dates.
- Et voilà, tu sais ce que tu veux y mettre, dans cette lettre ! Commence peut-être par lui expliquer pourquoi tu lui écris ? Et, après, laisse-toi porter pour l’ordre dans lequel tu évoques les sujets dont tu souhaites parler ? Je pense qu’il n’y a pas de lettre type pour ça, ta relation avec lui est unique alors n’aies pas peur d’être toi-même dans cette lettre et d’y écrire tout ce que tu veux comme ça te vient.
C’est en te rappelant que tu as toujours voulu être toi-même que ce conseil te vient à l’esprit : dans une relation amoureuse, les deux personnes apprennent à se connaitre chaque jour et elles s’aiment pour ce qu’elles sont, selon toi en tout cas. Donc, peut-être que la clé n’est pas forcément de savoir ce qu’on veut y dire, mais peut-être de laisser sa plume écrire ses pensées pour qu’elles reflètent parfaitement le fond du message que l’on souhaiterait partager ?
- Et bien, pas grand chose, juste qu’il allait passer du temps avec toi ou des paroles dans le genre, tu vois ?
Tu peux comprendre que ton collègue ne t’en dise pas trop car toi non plus, ce n’est pas ce que tu fais. Tu préfères garder ça pour toi, un peu comme un jardin secret et ne pas t’étaler plus longtemps sur le sujet avec plusieurs personnes. Tu es déjà préfète, tu sais que tu es remarquée par les élèves et que certains t’évitent pour ces raisons, tu préfères donc garder rien que pour toi plus que d’habitude ce qui t’appartient..
- Plus douée, je sais pas vraiment mais je vais faire au mieux ! J’ai jamais écrit une lettre comme ça mais à deux, on devrait y arriver, promets-tu.
Le fait qu’elle n’ait pas une seule idée à coucher sur le papier ne te facilite pas la tâche mais ce n’est pas une raison pour se décourager, tu es certaine que vous pourrez y arriver et qu’Irisia pourra envoyer une lettre au troisième année. Il faut simplement que vous trouviez sur quoi vous lancer puis, dès que le fil rouge sera trouvé, vous aurez sans doute bien moins de difficultés.
- Alors, je pense qu’il faut faire simple : comment tu l’appelles en général ?
Si c’est par tous ces noms, ta question aura l’air un peu ridicule mais qui ne tente rien n’a rien, non ?
Lorsqu’il Irisia évoque le mot moiniversaire, tu arques légèrement un sourcil, intriguée : tu ne savais absolument pas que ça existait. Est-ce que tous les couples fêtent leur moiniversaire ? En tout cas, tu trouves l’intention de la Serpentard adorable, tu n’es donc pas la seule à faire attention aux dates.
- Et voilà, tu sais ce que tu veux y mettre, dans cette lettre ! Commence peut-être par lui expliquer pourquoi tu lui écris ? Et, après, laisse-toi porter pour l’ordre dans lequel tu évoques les sujets dont tu souhaites parler ? Je pense qu’il n’y a pas de lettre type pour ça, ta relation avec lui est unique alors n’aies pas peur d’être toi-même dans cette lettre et d’y écrire tout ce que tu veux comme ça te vient.
Après tout, c’est bien parce que tu es toi qu’il t’aime, non ?
C’est en te rappelant que tu as toujours voulu être toi-même que ce conseil te vient à l’esprit : dans une relation amoureuse, les deux personnes apprennent à se connaitre chaque jour et elles s’aiment pour ce qu’elles sont, selon toi en tout cas. Donc, peut-être que la clé n’est pas forcément de savoir ce qu’on veut y dire, mais peut-être de laisser sa plume écrire ses pensées pour qu’elles reflètent parfaitement le fond du message que l’on souhaiterait partager ?
Sixième année RP | #4682B4
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
Cher Aliosus... Aliosusounet? Bébé? {PV Lili}
{HRP: pardon pour le retard... J'espère que ma réponse te conviendra 
}
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
}… Ah. Ah d’accord. Bon, soyons honnête, elle avait espéré une autre réponse. Voir même une information croustillante, quelque chose qui pouvait la rassurer quant à l’affection d’Aliosus à son égard. Mais non. Rien de tout ça. Professionnel jusqu’au bout des ongles alors que son blond ne parlait finalement pas d’elle. L’irlandaise ne savait pas trop si elle en était contente ou pas de savoir ça…
« Ah d’accord, je comprends, pas de souci. »
Une petite moue aux lèvres, la rousse grommela en se mordillant les lèvres, soufflant sur une boucle rebelle. Bon tant pis, ils ne parlaient pas d’eux aux autres. Ce n’était pas forcément un mal, la préservation du couple, tout ça tout ça… Bref. Ça ne l’aidait pas à la rédaction de ce message tout ça ! Allez ma fille ! On se concentre ! A deux ça devrait pouvoir fonctionner avec plus d’efficacité n’est-ce pas ?!
« Ah… Et bien ça t’entraînera pour quand tu voudras en écrire une à ton tour. »
Irisia rit doucement en se tortillant sur son assise, mâchouillant le bout de sa plume en fixant le parchemin blanc sous ses yeux, son ennemi du moment. Heureusement que Lili était positive parce que la rousse avait l’impression de baisser les bras : ça faisait des heures qu’elle ruminait encore et encore sans réussir à poser ne serait-ce qu’un mot sur le vélin blanc.
« Comment je l’appelle en général... »
Euh… Bonne question. En fait, l’irlandaise n’avait pas souvenance de lui avoir donné des surnoms comme on pouvait voir chez les autres ou dans les livres romantiques. Mamour, chaton, trésor… Ce genre de mots n’avaient jamais franchi le barrage de ses lèvres, ni ceux de son petit-ami d’ailleurs, en tout cas, pas à son souvenir.
« … Aliosus ? »
Simple, classique, mais c’était toujours ce qu’elle disait quand elle voulait lui parler.
« Oui, Aliosus. Je crois qu’on n’a jamais utilisé d’autres mots que nos prénoms pour s’adresser à l’autre. »
Irisia en cligna presque les yeux de surprise. Elle n’avait jamais pensé à des surnoms affectueux tiens… Elle n’avait jamais pensé à quoi écrire dans la lettre d’ailleurs. Soufflant profondément, la rousse finit par grogner en se frottant le visage.
« T’es sûr ? Mais je sais même pas comment formuler le truc ! C’est d’un compliqué ! »
Et la volcanique serpentarde détestait se prendre la tête. Bien qu’elle aimait profondément son petit-ami… Qu’est-ce qu’on ne faisait pas par amour n’est-ce pas ?
« Hmmm bon… Essayons alors... »
Puisque Lili semblait y croire à fond… Ca ne coûtait rien d’essayer non ? Incertaine, remplie de doute, la rousse la regarda un instant avant d’inspirer profondément, posant la pointe de sa plume sur le parchemin.
« Aliosus,
Je t’écris parce que aujourd’hui n’est pas un jour comme les autres. Cela peut paraître Poufsouffle à souhait mais aujourd’hui… Aujourd’hui je te souhaite un merveilleux anniversaire. Tu t’en doutes peut-être pas mais aujourd’hui cela fait trois mois jour pour jour que nos lèvres se sont trouvées et que nos cœurs se sont accordés ensemble... »
Haussant un sourcil, Irisia leva les yeux vers sa comparse, gênée et perplexe.
« C’est pas un peu trop… Hmmm sucré ? Comme de la guimauve j’veux dire. »
C’était carrément sirupeux à souhait et elle ne savait pas trop si c’était une bonne idée ou pas…
« … Je suis heureuse d’avoir suivi mon cœur et mes envies, heureuse de t’avoir embrassée et de t’avoir serrée dans mes bras, heureuse d’avoir finalement franchi la limite de notre amitié pour faire éclore notre amour. »
Grimaçant, l’irlandaise soupira avant de gémir. C’était tellement dégoulinant de… De romantisme et de bons sentiments, c’était juste dingue ! Le pire ? C’est qu’elle était en train de coucher sur le vélin tout ce qu’elle pensait avec toute sa sincérité et son amour… C’était vraiment dingue…
« J’en fais pas trop Cooper… ? »
Fronçant les sourcils, nerveuse et gênée au possible, les pommettes écarlates, Irisia se mordit doucement les lèvres avant de replonger dans l’écriture de cette lettre. Quitte à avoir commencé, autant continuer non… ?
« Tu apportes tellement de joie dans ma vie, tellement de bonheur et de plaisir… C’est la plus belle chose que j’ai réussi dans ma vie, être avec toi, commencer une histoire d’amour et vivre un nouveau chapitre dans ma vie à tes côtés. Tu es une personne incroyable, tellement intelligente et raisonnable, tellement doux et gentil, si fort et beau… Je veux continuer à parcourir ce chemin à tes côtés. Mes parents parlent déjà de mariage arrangé mais c’est avec toi que je veux être, pour toujours ! Je veux vivre ma vie, mes passions pour les dragons et les potions avec toi, je veux parcourir le monde avec toi !
Toi et moi, pour toujours et à jamais.
Je t’aime Aliosus,
Irisia. »
… C’était… Tellement niais… Dégoûlinant de fou… Mais pourtant tellement sincère. Elle se dévoilait à son bien-aimé dans une poufsoufflerie stupéfiante et incroyable. Irisia était atrocement gênée et rougissante devant une telle effusion…
« Hmmm… Qu’est-ce que t’en penses alors ? »
Bougonne, se mordillant les lèvres, Irisia lui tendit son rouleau de parchemin, toussotant en détournant les yeux. Pourquoi se sentait-elle aussi… Aussi inconfortable ? Ce n’était qu’une lettre après tout, n’est-ce pas ?… N’est-ce pas… ?
« Ah d’accord, je comprends, pas de souci. »
Une petite moue aux lèvres, la rousse grommela en se mordillant les lèvres, soufflant sur une boucle rebelle. Bon tant pis, ils ne parlaient pas d’eux aux autres. Ce n’était pas forcément un mal, la préservation du couple, tout ça tout ça… Bref. Ça ne l’aidait pas à la rédaction de ce message tout ça ! Allez ma fille ! On se concentre ! A deux ça devrait pouvoir fonctionner avec plus d’efficacité n’est-ce pas ?!
« Ah… Et bien ça t’entraînera pour quand tu voudras en écrire une à ton tour. »
Irisia rit doucement en se tortillant sur son assise, mâchouillant le bout de sa plume en fixant le parchemin blanc sous ses yeux, son ennemi du moment. Heureusement que Lili était positive parce que la rousse avait l’impression de baisser les bras : ça faisait des heures qu’elle ruminait encore et encore sans réussir à poser ne serait-ce qu’un mot sur le vélin blanc.
« Comment je l’appelle en général... »
Euh… Bonne question. En fait, l’irlandaise n’avait pas souvenance de lui avoir donné des surnoms comme on pouvait voir chez les autres ou dans les livres romantiques. Mamour, chaton, trésor… Ce genre de mots n’avaient jamais franchi le barrage de ses lèvres, ni ceux de son petit-ami d’ailleurs, en tout cas, pas à son souvenir.
« … Aliosus ? »
Simple, classique, mais c’était toujours ce qu’elle disait quand elle voulait lui parler.
« Oui, Aliosus. Je crois qu’on n’a jamais utilisé d’autres mots que nos prénoms pour s’adresser à l’autre. »
Irisia en cligna presque les yeux de surprise. Elle n’avait jamais pensé à des surnoms affectueux tiens… Elle n’avait jamais pensé à quoi écrire dans la lettre d’ailleurs. Soufflant profondément, la rousse finit par grogner en se frottant le visage.
« T’es sûr ? Mais je sais même pas comment formuler le truc ! C’est d’un compliqué ! »
Et la volcanique serpentarde détestait se prendre la tête. Bien qu’elle aimait profondément son petit-ami… Qu’est-ce qu’on ne faisait pas par amour n’est-ce pas ?
« Hmmm bon… Essayons alors... »
Puisque Lili semblait y croire à fond… Ca ne coûtait rien d’essayer non ? Incertaine, remplie de doute, la rousse la regarda un instant avant d’inspirer profondément, posant la pointe de sa plume sur le parchemin.
« Aliosus,
Je t’écris parce que aujourd’hui n’est pas un jour comme les autres. Cela peut paraître Poufsouffle à souhait mais aujourd’hui… Aujourd’hui je te souhaite un merveilleux anniversaire. Tu t’en doutes peut-être pas mais aujourd’hui cela fait trois mois jour pour jour que nos lèvres se sont trouvées et que nos cœurs se sont accordés ensemble... »
Haussant un sourcil, Irisia leva les yeux vers sa comparse, gênée et perplexe.
« C’est pas un peu trop… Hmmm sucré ? Comme de la guimauve j’veux dire. »
C’était carrément sirupeux à souhait et elle ne savait pas trop si c’était une bonne idée ou pas…
« … Je suis heureuse d’avoir suivi mon cœur et mes envies, heureuse de t’avoir embrassée et de t’avoir serrée dans mes bras, heureuse d’avoir finalement franchi la limite de notre amitié pour faire éclore notre amour. »
Grimaçant, l’irlandaise soupira avant de gémir. C’était tellement dégoulinant de… De romantisme et de bons sentiments, c’était juste dingue ! Le pire ? C’est qu’elle était en train de coucher sur le vélin tout ce qu’elle pensait avec toute sa sincérité et son amour… C’était vraiment dingue…
« J’en fais pas trop Cooper… ? »
Fronçant les sourcils, nerveuse et gênée au possible, les pommettes écarlates, Irisia se mordit doucement les lèvres avant de replonger dans l’écriture de cette lettre. Quitte à avoir commencé, autant continuer non… ?
« Tu apportes tellement de joie dans ma vie, tellement de bonheur et de plaisir… C’est la plus belle chose que j’ai réussi dans ma vie, être avec toi, commencer une histoire d’amour et vivre un nouveau chapitre dans ma vie à tes côtés. Tu es une personne incroyable, tellement intelligente et raisonnable, tellement doux et gentil, si fort et beau… Je veux continuer à parcourir ce chemin à tes côtés. Mes parents parlent déjà de mariage arrangé mais c’est avec toi que je veux être, pour toujours ! Je veux vivre ma vie, mes passions pour les dragons et les potions avec toi, je veux parcourir le monde avec toi !
Toi et moi, pour toujours et à jamais.
Je t’aime Aliosus,
Irisia. »
… C’était… Tellement niais… Dégoûlinant de fou… Mais pourtant tellement sincère. Elle se dévoilait à son bien-aimé dans une poufsoufflerie stupéfiante et incroyable. Irisia était atrocement gênée et rougissante devant une telle effusion…
« Hmmm… Qu’est-ce que t’en penses alors ? »
Bougonne, se mordillant les lèvres, Irisia lui tendit son rouleau de parchemin, toussotant en détournant les yeux. Pourquoi se sentait-elle aussi… Aussi inconfortable ? Ce n’était qu’une lettre après tout, n’est-ce pas ?… N’est-ce pas… ?
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
Cher Aliosus... Aliosusounet? Bébé? {PV Lili}
A mon tour de m'excuser, ça ne devrait plus se reproduire !
Tu écoutes attentivement les réponses de la Serpentard afin de l'aider du mieux possible. Lorsqu'elle parle d'une future rédaction d'une lettre d'amour de ta part, tu te mets à imaginer la scène : oserais-tu en écrire une, un jour ? Tu n'y as jamais vraiment pensé et tu n'en es pas vraiment certaine. Enfin, tu ne sais pas ce que te réserve l'avenir et, pour aujourd'hui, ce n'est pas toi qui le fait, alors ça n'a pas d'importance.
- Alors, Aliosus, ça ira parfaitement.
Tu sais que ton conseil peut être un peu flou voire pas du tout une aide pour Irisia mais tu ne penses pas qu'il existe une forme de lettres à utiliser exactement dans ces cas-là, le mieux est qu'elle soit personnalisée, d'autant plus lorsque cela concerne une personne qui compte autant pour la Serpentard.
- Oui, j'en suis sûre !
La troisième année a l'air de vouloir tenter et tu lui laisses le temps de le faire tranquillement. Tu as tout le temps devant toi aujourd'hui donc cela ne te dérange pas du tout. Elle écrit et te lit de temps en temps ce qu'elle écrit et il faut dire que tu ne t'attendais pas à cela : ce qu'elle écrit la regarde, elle n'est pas obligée de tout te lire mais, en même temps, comment peux-tu l'aider si tu ne sais pas ce qu'elle écrit ?
Tu la regardes, un peu gênée car tu estimes que tout cela ne t'appartient pas, puis tu te ressaisit afin de lui répondre du mieux que tu le peux :
- Je dirais que si ça te vient comme ça, non, tu en fais pas trop.
Tout ce qu'elle écrit te semble on ne peut plus sincère, c'est qu'elle est sans aucun doute dans la bonne direction. Tu la laisses aller au bout de sa lettre tout en restant attentive à ce qu'elle pourrait te dire au cas où elle aurait besoin d'un nouvel avis. Tu n'es toujours pas très à l'aise de savoir tout ce qu'elle écrit mais tu essaies de passer outre ce sentiment puisqu'Irisia te laisse en prendre connaissance. Tu vois bien qu'elle est tout aussi à l'aise que toi donc tu fais taire ta gêne et tu essaies de l'aider sans qu'elle le ressente comme un jugement de ta part lorsqu'elle te demande ton avis final.
Tu lis la lettre en entier et tu souris légèrement au fil de ta lecture. Tu relèves les yeux et tu comprends bien que la troisième année n'est toujours pas à l'aise, c'est pourquoi tu fais en sorte de mettre un terme le plus rapidement possible à ce moment en lisant le tout rapidement. Lorsque tu as terminé, tu lui rends le parchemin et tu prends la parole :
- Franchement, ça m'a l'air super ! On sent bien que tu y as mis du tien. Je suis sûre qu'il va aimer la lire, lui réponds-tu en souriant un peu plus franchement qu'auparavant.
Tu écoutes attentivement les réponses de la Serpentard afin de l'aider du mieux possible. Lorsqu'elle parle d'une future rédaction d'une lettre d'amour de ta part, tu te mets à imaginer la scène : oserais-tu en écrire une, un jour ? Tu n'y as jamais vraiment pensé et tu n'en es pas vraiment certaine. Enfin, tu ne sais pas ce que te réserve l'avenir et, pour aujourd'hui, ce n'est pas toi qui le fait, alors ça n'a pas d'importance.
- Alors, Aliosus, ça ira parfaitement.
Tu sais que ton conseil peut être un peu flou voire pas du tout une aide pour Irisia mais tu ne penses pas qu'il existe une forme de lettres à utiliser exactement dans ces cas-là, le mieux est qu'elle soit personnalisée, d'autant plus lorsque cela concerne une personne qui compte autant pour la Serpentard.
- Oui, j'en suis sûre !
La troisième année a l'air de vouloir tenter et tu lui laisses le temps de le faire tranquillement. Tu as tout le temps devant toi aujourd'hui donc cela ne te dérange pas du tout. Elle écrit et te lit de temps en temps ce qu'elle écrit et il faut dire que tu ne t'attendais pas à cela : ce qu'elle écrit la regarde, elle n'est pas obligée de tout te lire mais, en même temps, comment peux-tu l'aider si tu ne sais pas ce qu'elle écrit ?
Tu la regardes, un peu gênée car tu estimes que tout cela ne t'appartient pas, puis tu te ressaisit afin de lui répondre du mieux que tu le peux :
- Je dirais que si ça te vient comme ça, non, tu en fais pas trop.
Tout ce qu'elle écrit te semble on ne peut plus sincère, c'est qu'elle est sans aucun doute dans la bonne direction. Tu la laisses aller au bout de sa lettre tout en restant attentive à ce qu'elle pourrait te dire au cas où elle aurait besoin d'un nouvel avis. Tu n'es toujours pas très à l'aise de savoir tout ce qu'elle écrit mais tu essaies de passer outre ce sentiment puisqu'Irisia te laisse en prendre connaissance. Tu vois bien qu'elle est tout aussi à l'aise que toi donc tu fais taire ta gêne et tu essaies de l'aider sans qu'elle le ressente comme un jugement de ta part lorsqu'elle te demande ton avis final.
Tu lis la lettre en entier et tu souris légèrement au fil de ta lecture. Tu relèves les yeux et tu comprends bien que la troisième année n'est toujours pas à l'aise, c'est pourquoi tu fais en sorte de mettre un terme le plus rapidement possible à ce moment en lisant le tout rapidement. Lorsque tu as terminé, tu lui rends le parchemin et tu prends la parole :
- Franchement, ça m'a l'air super ! On sent bien que tu y as mis du tien. Je suis sûre qu'il va aimer la lire, lui réponds-tu en souriant un peu plus franchement qu'auparavant.
Sixième année RP | #4682B4
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
Cher Aliosus... Aliosusounet? Bébé? {PV Lili}
Elle avait fini par réussir… La présence douce de la Préfète et ses légers conseils ont suffit à l’aider à coucher sur le vélin les sentiments que lui inspiraient son petit ami. Mais c’était un étalage de guimauve écœurant de sucre… Digne du plus sirupeux des Poufsouffle ! Brrrr… Cependant, son cœur était totalement en accord avec tous ces mots, c’était effroyable. Même Cooper acquiesçait, disant que si c’était venu naturellement et sincèrement, c’est que tout était bon. Donc tout allait bien n’est-ce pas ? N’est-ce pas… ? Certainement... Inspirant profondément en se frottant la nuque, la flamboyante rouge frissonnante d’incertitude leva son regard sur sa comparse, attendant un possible jugement. Si tant est qu’on pouvait décemment jugé les émois d’autrui…
La laissant lire le parchemin couvert de ses sentiments, l’irlandaise haussa un sourcil d’incrédulité. Pensait-elle vraiment ce qu’elle disait ? Etait-elle vraiment sûr qu’il allait aimer cette lettre d’amour ?
« … J’aime profondément Aliosus et je le connais plus que très bien même. C’est un garçon un peu rigide et guindé donc… Mettre mon coeur a nu comme ça, même si on est en relation tous les deux… Ne se sentira-t-il pas un peu gêné et oppressé, étouffé par ce que je lui dis là ? »
C’était une telle pression les lettres d’amour ! Comment les autres arrivaient à s’en sortir avec une pirouette en toussant des marguerites, franchement ?!
« Dis Cooper, à quoi elle ressemblerait ta lettre d’amour si tu devais en faire une ? »
C’est vrai ça ? Elle était sûrement plus savante et diplomate qu’elle après tout ! Bon chacun était différent et puis c’était très certainement un peu indiscret de demander un truc pareil mais… Ça ne coûtait rien d’avoir un modèle, des idées ou ne serait-ce des suggestions, non ?
« Si tu étais Aliosus, tu aimerais recevoir une lettre pareille ? »
Bon ça pouvait paraître décousue comme conversation mais dans sa tête c’était pourtant d’une clarté plus que claire ! Fronçant les sourcils, Irisia fixait avec curiosité sa Préfète, essayant d’imaginer la scène avant de glousser malicieusement.
« Laisse tomber, tu es beaucoup trop douce pour être mon Aliosus guindé ! »
Souriant, retrouvant sa joie de vivre, la rousse plia le parchemin, le caressant pensivement.
« Du coup, tu veux qu’on en écrive une pour ton amoureux ? »
Le regard pétillant, l’irlandaise fixait la brune avec curiosité, son cœur battant à toute allure. Écrire une lettre d’amour pour leur moisniversaire… On lui aurait dit ça les années passées, elle aurait ri au nez des gens avant de leur lancé des colis piégés pour leur apprendre. L’amour… Jamais elle n’aurait pensé que ce serait avec son meilleur ami… Mais qu’est-ce que c’était bon...
La laissant lire le parchemin couvert de ses sentiments, l’irlandaise haussa un sourcil d’incrédulité. Pensait-elle vraiment ce qu’elle disait ? Etait-elle vraiment sûr qu’il allait aimer cette lettre d’amour ?
« … J’aime profondément Aliosus et je le connais plus que très bien même. C’est un garçon un peu rigide et guindé donc… Mettre mon coeur a nu comme ça, même si on est en relation tous les deux… Ne se sentira-t-il pas un peu gêné et oppressé, étouffé par ce que je lui dis là ? »
C’était une telle pression les lettres d’amour ! Comment les autres arrivaient à s’en sortir avec une pirouette en toussant des marguerites, franchement ?!
« Dis Cooper, à quoi elle ressemblerait ta lettre d’amour si tu devais en faire une ? »
C’est vrai ça ? Elle était sûrement plus savante et diplomate qu’elle après tout ! Bon chacun était différent et puis c’était très certainement un peu indiscret de demander un truc pareil mais… Ça ne coûtait rien d’avoir un modèle, des idées ou ne serait-ce des suggestions, non ?
« Si tu étais Aliosus, tu aimerais recevoir une lettre pareille ? »
Bon ça pouvait paraître décousue comme conversation mais dans sa tête c’était pourtant d’une clarté plus que claire ! Fronçant les sourcils, Irisia fixait avec curiosité sa Préfète, essayant d’imaginer la scène avant de glousser malicieusement.
« Laisse tomber, tu es beaucoup trop douce pour être mon Aliosus guindé ! »
Souriant, retrouvant sa joie de vivre, la rousse plia le parchemin, le caressant pensivement.
« Du coup, tu veux qu’on en écrive une pour ton amoureux ? »
Le regard pétillant, l’irlandaise fixait la brune avec curiosité, son cœur battant à toute allure. Écrire une lettre d’amour pour leur moisniversaire… On lui aurait dit ça les années passées, elle aurait ri au nez des gens avant de leur lancé des colis piégés pour leur apprendre. L’amour… Jamais elle n’aurait pensé que ce serait avec son meilleur ami… Mais qu’est-ce que c’était bon...
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
Cher Aliosus... Aliosusounet? Bébé? {PV Lili}
Tu écoutes Irisia, attendrie par tout ce qu’elle peut te dire et t’expliquer. Tu connais quelques facettes d’Aliosus mais ce n’est pas comparable à ce que la Serpentard sait de lui, tu en as bien conscience. La question de la troisième année te fait réfléchir et tu fais de ton mieux pour lui donner une réponse sincère et réaliste.
- Je pense pas, il aimera sans doute voir que tu as pris du temps pour la lui écrire. S’il y a bien une personne dont tu ne devrais pas avoir peur de la réaction, c’est bien lui. Vous vous connaissez bien et il t’aime pour qui tu es, ajoutes-tu d’une voix rassurante.
Tu peux cependant comprendre la peur de la jeune fille en face de toi puisque tu ressentirais sans doute la même chose à sa place. La peur de sauter le pas, de la réaction de son amoureux, c’est bien compréhensible. Cependant, tu restes persuadée qu’il y a peu de chances que cela ne plaise pas à Aliosus.
Tu hausses les sourcils en entendant sa question, surprise : tu n’y as jamais vraiment réfléchi et pourtant, il te suffit de te rappeler du début de votre conversation pour avoir ta réponse.
- Hum, je sais pas trop, je pense que je me laisserais porter et que je me livrerais complètement dans cette lettre. J’aime bien écrire, ça me permet de prendre le temps de tout dire, ce qu’on ne peut pas toujours faire quand on parle. Je suppose que ce serait une très longue lettre, du coup…
Ses questions s’enchainent et tu as à peine le temps de répondre à sa première question que tu te résignes à ne finalement rien dire. Irisia a raison, la réaction de chacun face à cela est différente mais tu es quasiment sûre qu’Aliosus appréciera lire cette lettre du début à la fin.
Sa dernière question te met un peu mal à l’aise : tu aimerais bien lui répondre par l’affirmative mais tu sais très bien que tu n’arriverais pas à écrire avec quelqu’un à côté de toi. Enfin, ça peut être faisable lorsque cela ne touche pas tes sentiments mais, là, c’est trop personnel pour que tu te laisses aller. Tu es du genre à refouler tes sentiments et à ne les faire transparaitre uniquement lorsque tu es avec quelqu’un que tu connais bien et en qui tu as confiance.
Tu voudrais bien faire un effort puisqu’Irisia a partagé ce moment avec toi et que tu as lu sa lettre mais ce blocage vient de toi, pas de ta relation avec la Serpentard. Tu as beaucoup de mal à parler de tes sentiments amoureux, parfois même avec la personne concernée. Tout ce qui pourrait arriver, si tu te lançais dans l’exercice aux côtés de la rousse, serait finalement un arrêt total en plein milieu. Tu préfères qu’elle ne perde pas son temps.
- Oh, euh… Je t’avoue que j’ai beaucoup de mal à parler de mes sentiments et j’arriverais difficilement à écrire une lettre d’amour avec quelqu’un à mes côtés, j’ai pas envie de prendre de ton temps.. Tu n’as rien à te reprocher, hein ! C’est juste moi, je pense que je préfèrerais l’écrire seule quand j’aurai vraiment envie de me livrer.. Désolée, ajoutes-tu en espérant qu’elle ne le prenne pas mal.
Désolée pour ce retard ! Je suis aussi désolée que Lili de ne pas pouvoir écrire cette lettre avec Irisia
- Je pense pas, il aimera sans doute voir que tu as pris du temps pour la lui écrire. S’il y a bien une personne dont tu ne devrais pas avoir peur de la réaction, c’est bien lui. Vous vous connaissez bien et il t’aime pour qui tu es, ajoutes-tu d’une voix rassurante.
Tu peux cependant comprendre la peur de la jeune fille en face de toi puisque tu ressentirais sans doute la même chose à sa place. La peur de sauter le pas, de la réaction de son amoureux, c’est bien compréhensible. Cependant, tu restes persuadée qu’il y a peu de chances que cela ne plaise pas à Aliosus.
Tu hausses les sourcils en entendant sa question, surprise : tu n’y as jamais vraiment réfléchi et pourtant, il te suffit de te rappeler du début de votre conversation pour avoir ta réponse.
- Hum, je sais pas trop, je pense que je me laisserais porter et que je me livrerais complètement dans cette lettre. J’aime bien écrire, ça me permet de prendre le temps de tout dire, ce qu’on ne peut pas toujours faire quand on parle. Je suppose que ce serait une très longue lettre, du coup…
Ses questions s’enchainent et tu as à peine le temps de répondre à sa première question que tu te résignes à ne finalement rien dire. Irisia a raison, la réaction de chacun face à cela est différente mais tu es quasiment sûre qu’Aliosus appréciera lire cette lettre du début à la fin.
Sa dernière question te met un peu mal à l’aise : tu aimerais bien lui répondre par l’affirmative mais tu sais très bien que tu n’arriverais pas à écrire avec quelqu’un à côté de toi. Enfin, ça peut être faisable lorsque cela ne touche pas tes sentiments mais, là, c’est trop personnel pour que tu te laisses aller. Tu es du genre à refouler tes sentiments et à ne les faire transparaitre uniquement lorsque tu es avec quelqu’un que tu connais bien et en qui tu as confiance.
Tu voudrais bien faire un effort puisqu’Irisia a partagé ce moment avec toi et que tu as lu sa lettre mais ce blocage vient de toi, pas de ta relation avec la Serpentard. Tu as beaucoup de mal à parler de tes sentiments amoureux, parfois même avec la personne concernée. Tout ce qui pourrait arriver, si tu te lançais dans l’exercice aux côtés de la rousse, serait finalement un arrêt total en plein milieu. Tu préfères qu’elle ne perde pas son temps.
- Oh, euh… Je t’avoue que j’ai beaucoup de mal à parler de mes sentiments et j’arriverais difficilement à écrire une lettre d’amour avec quelqu’un à mes côtés, j’ai pas envie de prendre de ton temps.. Tu n’as rien à te reprocher, hein ! C’est juste moi, je pense que je préfèrerais l’écrire seule quand j’aurai vraiment envie de me livrer.. Désolée, ajoutes-tu en espérant qu’elle ne le prenne pas mal.
Désolée pour ce retard ! Je suis aussi désolée que Lili de ne pas pouvoir écrire cette lettre avec Irisia
Sixième année RP | #4682B4
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.