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08 mai 2020, 22:49
La Volière
Nous sommes le 8 mai à 21h00

Mes chères parents vous me manquez tellement que rien d'écrire cette lettre me donne envie de pleurer j'espère que vous allez bien et que mon bébé chat aussi je suis super triste de ne pas pouvoir fêter son anniversaire de 1 ans mes bon...
Moi je vais bien je me suis fait 1000 amis et j'apprends vite et bien!
Si vous avez un problème n'hésiter pas à m'envoyer un hibou et je viendrai.
J'ai fait ma fiche comme vous me l'avez dit.
Les professeures sont super sympas même si certain sont un peut exigent.
Ah oui j'oubliais j'ai étais repartie à Serpentard!
Je sais que vous détestez autant la maison que moi mais maintenant je l'adore!
@Alexei Menkins ma bien accueillie et je me suis trouvé une excellente marraine @Eileen Eastwood mes amis sont extraordinaires comme @Hortense woodshem ou @Athalée Drasilio j'espère quand deuxième année j'aurai un hibou rien qu'à moi si c'est un mâle je l'appellerait Alph et si c'est une femelle je l'appellerait Lénawarwior comme le chat du voisin a qui on ne connait pas son nom.
Je me sens bien à Poudlard tellement bien que j'ai oublié de vous écrire avant.
Mais ce n'est pas par ce que je ne vous aime pas non c'est juste que Poudlard est exceptionnel que je n'ai pas vu les jours passés.

Bisous je vous aime😘😘

Alexandra Smett

09 mai 2020, 10:51
La Volière
Il était tôt et Lily venait de se réveiller. Après s’être tournée une vingtaine de fois dans son lit aux rideaux bleus, elle renonça à se rendormir et se leva sans bruit pour éviter de réveiller ses camarades de dortoir, qui elles, dormaient encore à poings fermés. Toujours dans le plus grand calme dont elle était capable de faire preuve, elle attrapa des vêtements au hasard et partit se réfugier dans la salle de bain pour avoir plus de luminosité. Il lui fallut cinq minutes pour se passer de l’eau fraîche sur le visage et s’habiller. Elle ressortit à pas de loup, et, emportant avec elle son sac de cours, elle descendit dans sa salle commune.
Sans grand étonnement, elle était vide. Même les érudits Serdaigle n’avaient pas pour habitude d’être debout avant six heures - à partir peut être en periode de révisions d’examens.
Cela ne faisait que deux jours qu’elle était à Poudlard, Lily n’avait donc aucun devoir. Elle hésita à lire, puis sortit finalement une plume et un parchemin de son sac. Elle avait écrit la veille à ses parents pour leur conter son arrivée à Poudlard, mais elle n’avait pas encore pris le temps d’envoyer une lettre à son oncle Owen. Trempant sa plume dans l’encrier, elle commença à écrire le nom de son oncle en haut du parchemin.


Cher oncle Owen,
Comme tu le sais déjà certainement par le biais de Papa et Maman, je suis arrivée à Poudlard avant-hier. Le château est exactement comme tu me l’avais décrit: impressionnant! Je me demande comment je vais réussir à ne pas m’y perdre!
J’ai été répartie à Serdaigle, bien que le Choixpeau eut hésité avec Poufsouffle. Je suis très fière de ma maison, et j’y ai déjà rencontré des personnes très sympathiques. Une élève de deuxième année m’a proposé de m’aider à me retrouver et d’aller la voir si j’ai un problème ou des questions. J’essaie de m’integrer malgré ma timidité...
Sinon, j’ai très hâte de commencer les cours, j’aimerai beaucoup découvrir les potions. Tu ne m’avais pas dit que c’était ta matière préférée ?
Assez parlé de moi, toi comment vas-tu? Vous n’êtes pas surchargés à St Mangouste? J’ai lu dans la Gazette qu’il y avait une vague d’accidents de desartibulation... C’est fou comme les gens sont idiots d’essayer de transplaner sans avoir leur permis! Tout ça à cause de cet article qui disait que n’importe qui pouvait transplaner sans se desartibuler à partir du moment où on se jetait un sortilège Episkey avant, non?
Et sinon, tu as présenté Lorene à Papi et Mamie? Je te promet que je n’en ai pas parlé à Maman, mais elle avait l’air de se douter de quelque chose... Tu ne devrais peut être pas faire durer le secret trop longtemps !
Je n’ai rien de plus à te dire maintenant, je te renverrai bientôt un hibou une fois que j’aurais été en cours de potions.
Ah, et j’allais oublié, tu peux m’envoyer une boîte de chocogrenouilles s’il te plaît ? Papa et Maman ne veulent pas sous prétexte que c’est pas bon pour les dents et tout et tout... mais toi tu es un oncle formidablement génial et donc tu accepteras hein? Je te revaudrai ça, promis!
Je t’embrasse très fort.
Lily.


Satisfaite de sa missive, Lily posa sa plume et plia la lettre. Elle avait peut être même réussi à se faire envoyer une boîte de chocogrenouilles! C’était quand même bien mieux de réviser en grignotant une chocogrenouille.
Elle s’était toujours très bien entendue avec son oncle Owen, mieux qu’avec ses parents même, tous deux se ressemblaient, non pas physiquement mais au niveau caractériel. Elle considérait son oncle plus comme un ami qu’un membre de sa famille. C’était même lui qui lui avait donné envie de devenir Médicomage.

Prenant sa lettre dans une main, elle sortit de la salle des aigles pour se diriger vers la volière. Sur son chemin, elle admira la prestigieuse hauteur des couloirs et salua quelques tableaux.
Elle arriva assez vite dans l’antre des animaux voyageurs qui fut, à son étonnement, presque vide. Elle s’attendait à se faire accueillir par des hululements, mais elle ne trouva qu’une dizaine de hiboux à moitié endormis. Bien sûr, se dit elle, la plupart des élèves avaient dû envoyer une lettre à leur famille hier. Elle se maudit de ne pas avoir acheté de hibou sur le Chemin de Traverse, cela aurait été tellement plus simple que de devoir emprunter un de ces pauvres hiboux de l’école déjà éreintés par les voyages qu’ils avaient dû faire !
Elle s’approcha de celui qui semblait le moins endormi. Tout en lui caressant les plumes, elle lui dit:
« Tu peux aller porter ça à Oncle Owen s’il te plaît ?» 
La chouette paru un peu mécontente d’être dérangée dans son sommeil. Lily décida donc de l’amadouer un peu.
« Normalement tu reviendras avec des chocogrenouilles. Tu auras même le droit à un petit bout! »
La chouette dut être tentée par la proposition car elle tendit docilement sa patte pour que la jeune fille puisse y accrocher sa lettre. Elle se dit qu’elle aurait pu être envoyée à Serpentard pour la ruse dont elle avait fait preuve.
Lily la regarda s’envoler majestueusement puis reprit le chemin de sa salle commune.

Lily Anderson

11 mai 2020, 12:15
La Volière
Il était 10 heure du matin et Wendy venait de se rappeler qu'elle devait envoyer un hiboux a ses parents. Elle prit la lettre quelle avait écrit hier soir et la relu.

Mes chère parents,

je m'y plait beaucoup ici a Poudlard. Le Choixpeau magique m'a mit dans la maison de Serpentard. Je me suis faite une amie qui est super. Je l'ai rencontré au banquet du soir quand je suis arrivée. Je n'ai pas encore commence mes cours, mais je fais beaucoup de choses.
Je suis allée dans le parc pour la première fois hier. C’était super beau! J'ai aussi vue mon dortoir pour la première fois. C’était magnifique, il y avait des rideaux, une petite table de chevet et même ma valise. Quand je l'ai ouverte j'ai vue aussi le message de maman. Moi aussi je vous manques beaucoup mais je suis très excité de commencer ma vie a Poudlard. Je vous en dirais plus dans une semaine!

Bisous a tous,
Wendy


Wendy sorti de la salle commune de Serpentard. Elle se dirigea vers l'une des plus haute tour de Poudlard. En chemin elle rencontra pas mal de personnes qui couraient dans les couloirs. Elle arriva enfin au début de la tour pour aller a la Volière. Apres quelque minutes de marche la petite fille arriva tout en haut de la tour. Elle était surtout très excité de voir les hiboux qui y était installé. C’était bien sur la première fois quelle ferait cela. Vu qu'il n'y avait personne elle put se parler a sois même.
"Je ne sais pas trop quel hiboux prendre..." Wendy regarda autour d'elle et vue un des plus majestueux hiboux. Il était blanc avec des taches noire. L'hiboux la regarda fixement, mais Wendy pouvait voir qu'il était très gentil. Elle s’approcha et il tendit son bec. L'hiboux se posa sur son bras et elle sut qu'elle avait trouvait un ami.

"Tu es très gentil on dirai, elle le caressa sur le bout de sons bec, j'ai quelque chose pour toi."
Wendy sorti sa lettre de sa poche sa robe de sorcier et la montra a l'hiboux qui semblait être curieux. Elle lui attacha la lettre a sa patte et sorti dehors, la petite fille tendit le bras.
"Aller. Maintenant tu peux partir!"
L'hiboux s'envola et Wendy le regarda partir jusqu'a quelle ne put plus le voir.
Dernière modification par Wendy Walker le 24 mai 2020, 20:11, modifié 1 fois.

W. Walker

21 mai 2020, 02:47
La Volière
Les yeux rougis et bouffis par la fatigue, Lena enfila rapidement une tenue appropriée. C'était pour elle, en quelques sortes, un grand jour, elle allait envoyer sa première lettre par hiboux, en plus elle était destinée à sa personne favorite, son père. La jeune fille avait travaillé dur toute la semaine pour que la lettre soit la plus parfaite possible. Elle avait tenter de combler chaque espace du parchemin avec de l'information sur son nouveau mode de vie. Elle était déjà impatiente de recevoir celle de son père. Il lui manquait tant, pauvre fille, elle ne s'était jamais séparée de son paternelle. Apprendre à vivre sans lui avait été très difficile. Dès qu'elle fut libérée, après le déjeuner, elle accourra à la volière.
Cher Papa,
tu me manque tant. Hier, je suis aller au lac noir, ça m'a rendu nostalgique, je repensais aux bons moments où l'on regardait le ciel étoilé et son reflet magistral sur l'océan. Ne t'inquiète pas j'ai appris à vivre sans toi, mais t'avoir à mes côtés me manque énormément. Le Choixpeau m'a attribué la maison Poufsouffle, j'étais tellement nerveuse, je croyais que j'allais m'évanouir! Ne t'inquiète pas tout c'est bien passé et je suis vraiment très heureuse dans ma nouvelle maison, tout le monde est tellement accueillants. On a commencé les cours depuis deux semaines déjà et je commence vraiment à m'y plaire ici. Comme tu l'as sûrement déjà deviné, le cour que je préfère est le cour d'astronomie. Avec le télescope, nous observons le ciel comme je l'ai jamais vu. À chaque cour, ma stupéfaction double, cet univers ne cesse de me surprendre, j'aimerais vraiment partager ces moments magiques avec toi. J'ai aussi appris plein de nouvelles formules et plusieurs choses formidables que je peut faire avec ma nouvelle baguette. Je te montrai tout ça quand je te verrai. Pour ta part, j'espère que tu n'est pas trop seul et que tante te visite souvent et j'espère que tout va comme tu le veux à ton travail. J'ai vraiment très hâte de te revoir aux vacances des fêtes et je souhaite qu'on puisse aller faire de la pêche sur glace très bientôt.
Avec amour,
Lena Hale
Après avoir avoir relu pour la millième fois ce précieux bout de parchemin, Lena le plia avec précautions comme elle avait vu tant d'autres faire et le mit dans une enveloppe. Ensuite, elle l'enroba d'une mince étoffe de tissu jaune, son soupçon personnel, et, pour la touche finale, la boucla délicatement. Après avoir choisi un hiboux de confiance, elle lui confia la lettre. Pleine d'espoir, elle l'observa s'éloigner devant un lever de soleil à couper le souffle.

"You Want A Love That Consumes You. You Want Passion And Adventure And Even A Little Danger."
Lena Hale, Première année, Poufsouffle

21 mai 2020, 16:01
La Volière
8 avril 2045


Les vacances de pâques commençaient à peine. Cela faisait des jours que Dawn n'avait plus eu de nouvelles de ses parents. Elle entendait autour d'elle, les abonnés de la Gazette des sorciers raconter les horreurs qu'ils lisaient. Apparemment, les moldus britanniques avaient appris l'existence des sorciers et de la magie. Une guerre a alors commencé entre les deux camps. De son côté, son petit frère Tommy qui est en première année, n'avait pas reçu de lettre de leur part lui non plus. Il était rare pour les deux enfants de rester sans aucun signe de vie de leurs parents. D'un commun accord, ils ont décidés de leur envoyer un courrier sans tarder.

Après le déjeuner, la jeune fille est allée chercher son frère qui se trouvait un peu plus loin à la table de Gryffondor entouré de ses amis et tous deux se sont rendu à la volière pour y écrire tranquillement leur message.

- On commence par quoi? Demanda Tommy.

Elle sortit une feuille de papier et sa plume. Tommy, derrière elle, lisait par-dessus son épaule.
"Maman, papa,

J'espère que vous allez bien. Tommy et moi nous portons bien. D'ailleurs, il a pris un peu de poids tellement l'école nous nourrit bien."
- Je ne veux pas que tu écrives ça…

- D'accord. Je rectifie.
"D'ailleurs, il a bien grandit depuis la dernière fois que vous l'avez vu. Mes notes restent toujours bonnes. Pour Tommy ça peut aller. Mais ne vous en faites pas, je l'aide autant que possible."
- Tu peux arrêter de tourner autour du pot, maintenant.

- Tu as raison.

Elle réfléchissait un instant à la tournure de ses phrases. Sa plume tournait au-dessus du papier sans jamais le toucher.
"Si on vous écrit, c'est parce que nous sommes inquiets. On s'attendait à recevoir une lettre de votre part après l'annonce de la décision de l'école de nous garder pendant les vacances, histoire de nous rassurer. On a entendu parler de ce qu'il se passe dehors. Ces histoires avec les moldus et le Conseil des sorciers nous font peur. Je comprends qu'il peut être dangereux pour vous de nous envoyer un courrier pour l'instant. Mais juste une petite lettre nous rassurerait beaucoup.

J'espère que cette lettre arrivera jusqu'à vous.

On vous embrasse,

Dawn & Tommy"
- Ça te va? Demanda Dawn à son petit frère.

Il acquiesça. La jeune fille s'est relue une dernière fois avant d'attacher la lettre à la patte d'un des hiboux de l'école. Elle craignait de la réponse mais elle craignait encore plus de ne plus jamais en recevoir.

11 avril 2045


Dawn se leva la boule au ventre comme si elle avait un mauvais pressentiment, et alla prendre le petit-déjeuner. Tommy et elle était assis l'un à côté de l'autre. Ils préféraient être ensemble au moment de la réception des lettres, juste au cas où. Son jeune frère avait les yeux embués de sommeil et la bouche tordue de stress. C'est le sentiment qui s'amplifie entre eux à chaque jour qui passe. Les hiboux commencent à affluer dans la Grande Salle. Les deux Wolf fixaient tellement leur bol qu'ils ne remarquèrent pas le hibou de leur père se poser devant eux. C'est Dawn qui leva les yeux et prit la lettre afin de libérer l'animal. Elle fixait le bout de papier sans oser l'ouvrir. Tommy prit les devant et la lut à voix haute.
"Nos très chers enfants,

Nous sommes désolées de vous avoir laissés si inquiets ces derniers jours. Nous avons eu certaines choses à régler suite aux problèmes dont vous parlez dans votre lettre.

Nous allons très bien tous les deux et la situation à Doncaster est plutôt calme en ce moment. C'est à Londres que les conflits sorciers-moldus éclatent le plus. C'est pour ça que nous hébergeons vos grands-parents pour l'instant. Nous prétextons qu'ils sont en vacances chez nous. Ils ne pouvaient pas rester chez eux car leur vie devenait impossible là-bas. Nous vivons tous comme de parfait petit moldus afin de ne pas éveiller les soupçons des voisins et heureusement que votre mère est là pour nous apprendre les bases de la vie sans magie. Nous avons même droit à des réprimandes au moindre petit écart. C'est assez amusant de changer de mode de vie mais la moindre petite chose nous demande deux fois plus de temps et d'énergie. Faire la vaisselle par exemple est un vrai calvaire. Même votre maman s'était habituée à ne plus avoir à la faire.

Le reste de la famille se porte bien également. Nous évitons de nous écrire trop souvent car c'est risqué par les temps qui courent. Cela sera pareil pour vous mais nous vous tiendrons au courant si nous avons une information importante à vous communiquer. Aux dernières nouvelles, votre cousine a quitté l'école et rejoint ses parents.

Nous attendons patiemment que la situation se calme. Cela nous a attristé d'apprendre que nous ne nous verrons pas durant vos vacances. Vous nous manquez beaucoup mais c'est pour votre bien. Nous espérons vous revoir cet été mais d'ici-là prenez bien soin de vous. Nous risquons de ne pas souvent vous écrire

On vous aime,

Papa et maman

P.S.: Dawn, nous comptons sur toi pour remonter les notes de Tommy."
La délivrance! Dawn était enfin rassurée. Tout le monde allait bien et c'est tout ce qu'elle voulait entendre. Elle avait même rit au Post Scriptum en voyant le regard que lui lançait Tommy. La boule dans son ventre s'était envolée. Elle pouvait à nouveau respirer et profiter un peu de ses vacances.

**7ème année RP**
La force de la meute est dans le loup. La force du loup est dans la meute.

21 mai 2020, 23:09
La Volière
☼ Après tout ce ne sont que des mots ☼


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Ce jour là je reçus une lettre de mon copain moldu mais ce que je ne savais pas c'était que cette fameuse lettre allait être la cause de mon chagrin.
Voici ce qu'il y avait écrit sur l'enveloppe:
Pour, Rafaëla White
Adresse: école de magie Poudlard.
Salut Rafa,
Je sais que ça fait longtemps qu'on ne sait pas vu et tu dois être étonné que je t'écrive mais bon je ne voulais pas te l’annoncer comme ça, je sais que ça se fait pas mais je pouvais pas attendre que tu revienne pour les vacances alors voilà.
Je suis désolé mais je peux pas continuer, ça ne sert plus à rien depuis que tu es partie et aussi je ne t'aime plus comme avant... On peut pas continuer comme ça c'est trop dur pour moi et je pense que c'est mieux comme ça...
Mes yeux se remplirent de larmes, je laissa tomber la lettre sur le sol froid et dur de la volière, puis je dû m'appuyer contre le mur, je ne tenais plus debout. J'ai sentis que je m’effondrais de l'intérieur.

La tête dans mes mains, mes larmes qui coulent doucement sur mes joues jusqu'à tomber sur la lettre.
J'étais détruite... Je ne pouvais y croire... Je me demandais ce que j'avais pu faire pour qu'il prenne une telle décision...

J'étais prête à me laisser tomber là, dans la volière, et de laisser le désespoir m'inonder. Je voulais juste pleurer jusqu'à en perdre connaissance et ne plus jamais rien ressentir.

Après un long moment de réflexion, je repris la lettre qui était à mes côté. Mes larmes continuèrent à se détacher de mes yeux et coulèrent doucement sur mes joue encore et encore. Je savais qu'un jour ça allait arrivé mais je ne m'attendais pas à ce que ce moment arrive si tôt, de cette façon si soudaine. Mais le pire fut cette sensation de vide intérieur, comme si une partie de moi c'était envolé pour laisser place à la douleur.

Je me rappelais de ce que maman m'avais dit... "La vie est comme un livre avec plein de chapitres, maintenant que ce chapitre de ta vie est finit, il faut aussi apprendre à changer de livre et de reprendre à zéro. Car si tu ne le fait pas, tu restera toujours bloqué à ce chapitre et c'est pas bon. Change de livre et tu verra que tu te sentira mieux..." Elle avait raison mais c'est dur de tourner la page, de changer de chapitre, de changer de... livre...
Dernière modification par Rafaëla White le 26 août 2020, 22:33, modifié 4 fois.

Marraine de petits chats diaboliques !
Je suis une patate douce !

22 mai 2020, 10:01
La Volière
Me voici dans ma salle commune pour travailler. Je dois travailler. Travailler pour avoir de meilleures notes que celles que je viens d'avoir. Je ne veux pas décevoir Maman. Il faut que je travaille. Mais je n'y arrive pas. Pourquoi ? Déjà parce que le devoir de potions sur lequel je planche ne m'inspire pas vraiment. C'est déjà une bonne raison mais ce n'est pas la principale. La principale c'est que..c'est que...Maman me manque ! Cela fait juste une semaine que je ne l'ai pas vue et elle me manque terriblement... Qu'est-ce-que ça va être dans plusieurs semaines... Mes frères et ma soeur sont avec moi mais cela ne suffit pas. Maman était ma gardienne, je n'ai plus personne pour me protéger, pour me tenir dans ses bras... Je veux voir maman. A cause de cela, mon dynamisme habituel m'a quitté et je pleure tout les soirs. C'est insupportable. Devrais-je quitter Poudlard ? Au fond je ne suis peut-être pas capable de rester sans ma mère, je suis peut-être pas assez mature. Suis-je encore un bébé qui réclame sa maman à longueur de journée ? Sûrement.
Je sais ce qu'il faut faire. Il faut que lui écrive une lettre, peut-être que cela va me soulager. Je sors du parchemin, ma plume et mon encre de mon sac. J'ouvre mon parchemin, je trempe la plume dans mon encre et j'approche celle-ci de mon support d'écriture. Mais je ne fais rien d'autre. Qu'écrire ? Je ne sais pas comment lui expliquer ce que je ressens. Je reste planté sans rien faire pendant une minute...
Bon il faut que je me lance.

Chère Maman,

J’espère que tu ne te sens pas trop seule, que tu vas bien.
Comme tu le sais sûrement déjà, nous sommes arrivés au château sans encombre. Ce château, je le trouve magnifique. Il est tellement grand... Et il y a un endroit que j'apprécie particulièrement, ma salle commune de Serdaigle. Ah oui c'est vrai ! Je ne te l'ai pas dis je suis un aiglon! Je suis tellement content ! J'avais trop peur d'être réparti dans une autre maison. Cela aurait fait tout bizarre que je sois par exemple à Serpentard alors que toute ma famille est à Serdaigle, n'est-ce pas ?
Bref, je ne t'ai pas écris cette lettre pour seulement te raconter mes aventure. Je t'écris cette lettre pour te dire que tu me manques terriblement. J'ai l'impression d'être moins que rien sans toi. Je n'ai pas envie de rentrer, mais d'un côté j'en ai envie. J'ai envie d'apprendre la magie mais j'ai aussi envie de te retrouver, de te faire plein de câlins. Que devrais-je faire ?

A très bientôt je l'espère...
Benjamin


Rien qu'écrire ceci m'a grandement soulagé. La petite boule que j'avais quotidiennement dans mon ventre a légèrement disparu. Bon, maintenant il faut que je trouve la volière. Je me rappelle d'une conversation que j'avais eue avec mon frère :

-Benjamin, tu as l'air très triste. Tu n'es pas pareil que d'habitude. C'est maman qui te manque ?

-Oui
, lui avais-je répondu, elle me manque énormément.

- T'inquiète moi aussi elle me manquait au début mais cela va aller mieux au fil du temps, tu verras. Et, p'tit frère, on est là aussi, tu n'es pas tout seul. En attendant que ça aille mieux, tu peux lui écrire une lettre. Pour se faire écris-la d'abord , puis va à la voilière, à la tour ouest, et donne ta lettre à un hibou.

-D'accord, merci William.


Sous les conseils de mon frère, je me dirige vers la voilière. Heureusement, je n'ai pas beaucoup de chemin à faire, elle est juste à-côté de ma salle commune. J'arrive devant cette fameuse volière. Je rentre. Je m'approche de l'endroit où sont les hiboux et je donne ma ma...MA LETTRE ! Mais c'est pas possible ! J'ai oublié ma lettre ! Je sors, je cours dans les couloirs, je re-rentre dans ma salle et commune et je prends vite ma lettre où je l'avais posée puis je repars et je re-rentre dans la voilière, très énervé. Je vois alors tout les hiboux, cela m'apaise : j'adore les animaux. Pendant que j'y pense... Magizoologiste, c'est bien comme métier, non ? Bref. Je prends le premier hibou que je vois et je lui donne ma lettre.

-Vas-y mon beau, ou ma belle d'ailleurs. Je ne sais pas mais ce n'est pas très important de toutes manières.

Je regarde le hibou partir et je pars moi aussi tranquillement, légèrement plus heureux que d'habitude.

"Le bonheur n'est pas d'avoir tout ce que l'on désire mais d'apprécier ce que l'on a." P.Coelho
Couleur :#404080

25 mai 2020, 22:57
La Volière
3 mai 2045

Il fallait qu'elle envoie une lettre, il fallait qu'elle les rassure que tout allait bien pour elle. Cela faisait deux semaines que la lettre de ses parents était posée sur sa table de chevet, sans qu'elle trouve le courage d'y répondre.
Mais que répondre ? Que tout va bien alors que tout va mal ?
Mentir était la seule solution.
*Menteuse*
Elle avait préféré rejoindre la volière avec un bout de parchemin vierge et sa plume. Elle espérait trouver l'inspiration face aux hiboux, et se sentir obligée d'écrire quelque chose.
Elle s'assit dans un coin, et essaya de commencer à l'écrire.
Chère papa et maman,
Tout va très bien pour moi, je travaille toujours aussi dur pour avoir des bonnes notes et mes efforts payent.

Elle avait à peine écrit une phrase qu'elle sentit une larme couler le long de sa joue. Une dizaine de mots venait d'être écrit, et ils étaient déjà tous remplis de mensonges.
Rien n'allait, elle pleurait sans arrêt et entendait une voix qui l'insultait en permanence.
Elle ne travaillait plus, elle ne dormait plus. La Voix l'empêchait de dormir, elle n'arrivait donc plus à se concentrer, à trouver la force de travailler. Ses notes avaient chuté, et ses parents allaient forcément s'en rendre compte un jour ou l'autre.
Il faut que je leur dise la vérité.
*Non, tu ne peux pas*
Anna avait peur.
Peur de la réaction de ses parents, de sa sœur, de son frère.
Peur de les faire souffrir en leur apprenant la vérité.
La période actuelle était difficile pour tout le monde, la jeune fille ne souhaitait pas l'aggraver.
Mais elle pouvait mentir sur la raison de sa tristesse, jamais elle n'avouerait à sa famille qu'elle entendait des voix, ils la prendraient tous pour une folle.
Très peu de personnes étaient au courant de son traumatisme, de sa folie, mais ses parents n'en feraient jamais parti.
*Folle*

Malgré sa tristesse, Anna trempa sa plume dans l'encrier, et se mit à réécrire sa lettre tout en prenant soin de rayer ce qu'elle avait dit précédemment.
Chère papa et maman,
Tout va très bien pour moi, je travaille toujours aussi dur pour avoir des bonnes notes et mes efforts payent.
Vous me manquez, je déprime souvent à cause de ça. Même Laura et Finn me manquent, faites-leur des bisous de ma part.
J'espère pouvoir bientôt vous revoir, tout devient difficile. J'ai du mal à dormir et à me concentrer à cause de ça mais ça devrait bientôt passer.
Je vous embrasse,
Anna.

Que des mensonges qui transmettaient indirectement la vérité. Comment avait-elle trouvé la force d'écrire ces mensonges ? Elle qui ne trouvait plus le bonheur, comment avait-elle fait pour dire tant de choses ?
Elle ne le savait pas, personne ne le savait.

Sa lettre était horrible, elle n'y avait pas mis du cœur. C'était une toute petite lettre comparée à ses pavés habituels, mais l'inspiration n'était pas venu. Depuis son dernier écrit, elle n'avait rien fait de spécial, à part pleurer et rester seule dans son coin.
Que pouvait-elle leur raconter d'autre ?
Rien.

Elle se dirigea vers un bel hibou au plumage noir. La noirceur lui correspondait, cette hibou était parfait pour transporter une lettre qui transportait autant de tristesse dans son écrit.
Elle positionna la lettre dans le bec du hibou, et lui tourna le dos sans même tenir compte de son envol. Plus rien ne l'émerveillait, et ce n'était pas après l'écriture de cette piteuse lettre que ça allait changer.

Dans l'équipe des FlashArdentes

Couleur RP : 674ea7

26 mai 2020, 19:03
La Volière
Tu étais montée à la volière, une fois de plus, dans l'attente d'une quelconque lettre. Tes parents t'avaient déjà écrits, mais pas ta sœur ni ton frère. Ça, c'était pénible pour toi, tu aurais bien voulu ne recevoir ne serait-ce qu'un coucou... Tu n'avais rien reçu depuis plusieurs semaines. Depuis ton arrivée, en fait. Si seulement... si seulement le hibou qui était en face de toi portait un parchemin qui t'était adressé... Tiens, il se dirigeait vers toi... Est-ce que... Non. Il vire et atterrit près d'une élève plus âgée. Tu laisses échapper un soupir.
Vlouf. Tu éternues, ce hibou a failli te rentrer dedans, le virage était bien serré. Il fait un demi-tour et reviens vers toi. Ton coeur accélère. Et si... Oui ! Oui, il a une lettre pour toi ! Ça te semble si beau... Pourtant, c'est bien l'écriture de Gaël sur l'enveloppe. Tu la prends rapidement, murmurant un merci à l'oiseau. Tu ouvres délicatement la lettre. Elle est brève, mais t'emplis de joie.
Salut Tami !
J'ai bien reçu ton premier hibou, c'est super que tu sois à Serdaigle ! Ne t'inquiètes pas, tout ira bien. Tu es déjà allé à la bibliothèque ? Je suppose que oui. Elle est immense ! Je suis désolé, je n'ai pas beaucoup de temps pour te répondre... Ni vraiment d'idée de quoi écrire ! Je t'envoies à grignoter, bien que cela te fasses plus rire que ne te nourrisses.
Affectueusement,
Ton frère préféré, Gaël
Tu sers la lettre contre toi et prends la direction de ta Salle Commune, les yeux pétillants de joie.

Mirage inutile, Illusion dérisoire
Présence réduite. 4° Année RP. (Tami: elle/ la Plume: il)

27 mai 2020, 12:25
La Volière
Fred s'était dit que peut-être son père voulait des nouvelles de son intégration dans Poudlard et surtout dans quelle maison il était. Hier, dans son lit il avait pleuré car son cousin le manquer, son frère Lucas était venu le voir et lui avait indique la Volière.

- Voila, ici tu pourras communiqué avec Papa et Kevin. Si tu as besoin tu peux venir me voir. Mais surtout ne pleure plus tu n'es pas tous seul ici. Il y a moi et Paul. Je sais que vous vous entendez pas très bien mais le voir ne te feras pas de mal.

Sur ce, Lucas était partis avec les Serdaigle. Mentalement Fred se dit qu'il n’irait jamais voir voir son frère. Il s’allongea sur un canapé de sa salle commune et écrit.
Bonjour Papa et Kevin.

Vous me manquer terriblement. Papa je suis a Serpentard. Kevin j’espère que quand tu rentreras a Poudlard tu seras aussi dans cette maison. J’espère que Carla vas bien. Lucas m'a beaucoup aidé, Paul ne m'a pas aidé a part pour ce moquer. Je me suis fais beaucoup d'amis. Je trouve Poudlard très agréable.

Je vous aime, Fred
Fred monta jusqu’à la Volière il fit plusieurs détours, il n'avait pas un très grand sens de l'orientation et il ne se souvenait pas de ce que Lucas lui avait montré. Fred se renseigna auprès un garçon de Poufssoufle plus grand que lui et il y alla. Fred choisit un grand hiboux et lui remis la lettrre et lui chuchota a l’oreille

- Ne te perd pas.


Pendant que le hiboux s'en alla Fred se demanda si il devait écrire un hibou a sa mere, il griffona sur un papier quelques mots.
Bonjour Maman

J’espère que tu vas bien, je suis a Serpentard. On ne peux pas continué comme ça je ne t'aime plus comme avant, tu ne t'es jamais occupé de moi. Je veux prendre mes distances avec toi, je ne te considère plus comme ma mère. Bien sur tu le seras toujours et je le sais mais je ne considère plus comme telle.

Bisous Fred.
Fred savait que ses mots était dur mais c'était la vérité il ne se sentait plus proche d'elle, il y avait comme un mur entre eux. Les larmes aux yeux, Fred s'approcha d'un hibou et lui remis sa lettre. Le hibou s'en alla et Fred redescendit dans sa salle commune le cœur brisé.