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20 sept. 2020, 02:04
Bonne humeur.
Thème: J’ai vraiment mal choisi mon moment pour regarder ça

Le petit déjeuné, lendemain de la rentrée. Alors qu’il venait de recevoir son emploi du temps, Rufus mangeait une grappe de gros raisins verts, de gros cernes sous les yeux. Il venait de remettre sa capuche de son sweat gros addidas en dessus de sa cape de sorcier, bien qu’il sentait qu’il allait bientôt se prendre une remarque. Son visage exécrable et plutôt blanc montrait une profonde fatigue tant psychologique que physique. Il mangeait seul en bout de table, éloigné des gens.

Comme tout les matins, le vol d’une nuée d’hiboux vint le mêler au vacarme ambiant en déposant des dizaines de plumes dans tout les plats. Il tenait sa baguette et lancerait un sortilège au premier oiseau qui viendrait le déranger pour quelques miettes de pains. Comme tout les ans, on pouvait entendre les cris rassurés des élèves récupérants des affaires oubliés, des colis de bonbons, ou que sais-je tant que c’est envoyés par leurs « parents ». A chaque commentaire Rufus grinçait rageusement des dents. Il avait besoin de se détendre mais il avait besoin de manger sans quoi il tomberait dans les pommes, n’était à peine si il avait touché à son assiette la veille. Pourtant avec ses œufs, il n’arrivait pas à manger, un nœud lui tordait l’estomac sans qu’il ne puisse l’expliquer.

Il buvait un verre de jus d’orange, la gorge pourtant serré. Il attendait juste d’arriver à finir son assiette, mais était d’humeur très susceptible.

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6ème année RP
couleur : #1FA055
Formateur du MERLIN et fou à temps partiel.

20 sept. 2020, 18:08
Bonne humeur.
Nélya commençait sa deuxième année. Une fois encore, elle allait passer du temps à devoir correspondre à l'écrit avec ses parents. Mais tant qu'elle pouvait leur parler!
Assise à la table des Gryffondor, en compagnie d'amies qu'elle avait retrouvé, Leurs têtes se levèrent dès l'apparition des hiboux, amenant avec eux, lettre et colis.

La brunette laissa retomber sa fourchette dans son assiette bientôt vide: il y avait plus important, comme une très probable lettre de ses parents! La fin des vacances avait été mouvementé, et ils n'avaient pas pu en reparler… Mais qu'importe, c'était passé, il faut vivre dans le moment présent!
L'attente semblait interminable, mais Nélya ne comptait pas tourner les yeux, pas tant qu'elle n'aurait pas sa lettre. En connaissant ses parents, elle était à présent sûre qu'ils lui en avaient écrit une!
Et son attente fut récompensée par un hibou qui déposa au vol un petit paquet fac à Nélya.

Carrément?! Trop bien!

Une seconde passa avant que la sorcière ne se précipite sur son colis et l'inspecte. L'emballage était simple, juste quelques petits dessins faits au feutre, sûrement par sa mère.
Elle ouvrit le paquet avec précipitation, cherchant tout de même à abîmer le papier le moins possible. Et quand elle eut finalement réussi à ouvrir la boite pour en découvrir le contenu, sa joie fut telle qu'elle ne put réprimander une exclamation de joie. Son cris attira l'attention de quelques personnes à sa table, mais aillant toute son attention dirigée sur le cadre photo à l'intérieur de la boite, elle ne remarqua même pas ça.

Nélya sortit le cadre contenant une photo animée de ses parents et se redressa aussitôt sur ses pieds en brandissant son bien .

-Woahh! C'est trop bien! Trop trop trop bien! Regarde! T'as vu? Woah! Je les aime trop! Il sont super, je veux aussi leur envoyer une photo!


La brunette sautillait sur place en brandissant son cadre, le passant sous le nez de ses camarades, qui semblaient hésiter entre la gêne et l'amusement. Mais rien ne semblait pouvoir calmer la brunette qui, toujours debout sautait sur place en serrant le cadre contre elle, s'exclamant comme dix personnes.

-Ohh! Merci papa, merci maman! Je vous aime trop! Ils sont pas super mes parents? Regarde-les!

Finalement après quelques minutes, elle finit par se rasseoir, collant à nouveau la photo au nez de ses camarades.

@Rufus Williams Est-ce que c'est bon comme ça? :happy:

Quand y'a des PBM, y'a la KAN qui s'en mêle !
cinquième année RP=16 ans|#800000|Fanfare|Participez au Coucou Rapeltout|

ColorCODE: 800000

21 sept. 2020, 20:58
Bonne humeur.
Rufus mâchait rageusement ses grains de raison plutôt que de toucher à son assiette d’œufs brouillés. Pourquoi n’y avait-il pas un boutons pour faire taire les gens simplement ? C’était désagréable d’entendre cette petite Gryffondor profiter de son bonheur alors que pour lui, il savait qu’il n’en aurait pas -plus- l’occasion. Nia nia nia j’ai des super parents. Rufus serrait son poing aussi fort qu’il le pouvait pour ne pas donner un coup dans la première chose qui passait. Il avait envie de casser quelque chose. Détruire les plats. Détruire la table. Détruire Londres. Comme si les objets et les autres étaient tous responsables. C’était pour lui quelque chose de douloureux de savoir que les autres continuaient leur vie en étant heureux, sans qu’il ne leur arrive rien tandis que lui devait subir cela. Il aurait tué pour que tout redevienne comme avant. Pas comme il y a six mois, mais plutôt comme quand il était petit. Pendant les vacances d’été, à la maison de campagne, son père faisant du jardinage, sa mère préparant un délicieux gâteau tandis que lui et Arcthurus s’amusaient à jouer dans les champs, dans la rivière ou bien sur les ballots de paille.

*MAIS FERME TA GUEULE*

Rufus aurait tant voulu crier ces mots hauts et forts dans ses oreilles plutôt que de les ravaler comme on avalerait une grosse pilule sans eau. Il avait besoin de se calmer, mais c’était douloureux de ne rien faire. Il voulait tout casser. Et elle qui continuait de louer ses PUTAINS DE PARENTS. Il sentait le bois dans sa manche chauffer tandis que l’eau du verre qu’il tenait était au bord de l’ébullition. Comme si à l’intérieur de lui, un monstre aux grandes griffes acérées tailladait sa peau pour sortir et lui trancher la gorge, le dur prix du silence.

D’un coup il craqua, il n’arrivait pas à se contenir plus longtemps, il y a des mots qu’il ne fallait pas dire devant lui, ou plutôt n’était-ce pas le moment. Il se leva en trombe en projetant son verre à terre dont le bruit métallique résonna dans toute la grande salle en un éco. Laissant sans sac derrière lui, il quitta la grande salle en courant pour ne pas laisser les traîtres larmes percer son visage. Il ne réfléchi pas et et courut simplement sans but ni idée, simplement envie de tout évacuer loins des regards accusateurs. Ses yeux laissaient échapper des lames qu’il essuya d’un revers de manche sans pour autant en épuiser la source.

6ème année RP
couleur : #1FA055
Formateur du MERLIN et fou à temps partiel.

22 sept. 2020, 04:12
Bonne humeur.
Depuis que j'ai mon emploi du temps, je ne tiens plus en place. J'ai hate de reprendre les cours d'astronomie. De debuter celui de Runes. Enfin, de pouvoir commencer leur etude, encadrée par une professeure qui a fini de les etudier. Père, lorsqu'il m'apprenait, apprenait, lui aussi. Et l'etude des Moldus. Je suis bien curieuse, moi. Et j'espère pouvoir ainsi mieux comprendre les nés moldus que nous nous sommes promis de protéger.
Je mords dans mon croissant, un sourire rêveur aux lèvres, étant déjà, en esprit, dans la bibliothèque, dans les rayons. Mon soirire s'accentue en imaginant la sentation des livres sour mes doigts.
Un hibou s'arrête devant moi. Il a une bourse a la patte. Je lui donne un bout de pain, un gallion et prend la gazette, la parcourt rapidement et décide lire le reste apres avoir mangé, au calme. On ne peut pas prendre a la légère les actualités.
Une chouette arrive devant moi, ensuite. Il s'agit de celle d'Ellya. Je souris, et prend la lettre de ma nourrice. Elle tient bien sa promesse de m'ecrire tous les jours depuis son depart de la maison. Enfin, son demi départ. Pour sa sécurité, elle vit encore au domaine, mais elle étudie mainetant, que je suis assez grande et peux me passer d'elle. Le journalisme magique. Son rêve .
Je mirai sa lettre plus tard. Je caresse la chouette distraitement, me demandant a quoi ressemblera ma vie au domaine a mon retour, lorsque j'aurai atteint 14 ans, et que je vivrai effectivement sans Elly. Père a decidé que nous suivrons toujours les grandes etapes dans ma vie, sans rien changer, ou presque. Pour me donner un semblant de stabilité.
Un écho me tire de mes reflexions. La source du bruit est Rufus, qui part en courant, sans ramasser ses affaires. Je cherche ses amis du regard. Mais je ne vois ni Wilson, ni Anthony. Mais je vois une brune aux yeux verts, un cadre dans la main. Je la regarde quelques secondes, mais cela suffit pour imprimer ses traits dans ma mémoire.
Je regarde le sac de Maléfice, et me demande qui va le lui rendre. Personne ne semble decidé a le faire. Et je ne suis pas assez proche de lui pour.
Mais il m'a bien aidée, l'an dernier. Et l'année d'avant aussi. Je lui suis donc redevable. Je me lève, attrape son sac, et croise du regard la fillette a qui je souris doucement. Elle a dû le voir craquer, peut etre lui a il fait peur ?
Je sors de la Grande salle, sur les talons du brun. Bien que je sois rapide, il est beaucoup plus grand que moi, je n'ai que le temps de le voir au loin, puis disparaître rapidement.
"Rufus !"
Je m'elance a sa poursuite et remarque la trainée noire au sol. Tout en regrettant de ne pas avoir appris Protégo lors d'une scéance de formation, je sors ma baguette de son sac et la tiens fermement, dans une tentative de me rassurer. Rufus ne tentera pas de me blesser pour m'éloigner, ou alors il ne visera pas assez. Je trouverai un moyen de le proteger, même sans bouclier. Et ma descision est prise. Je lui rend son.sac et essaye de voir si je peux l'aider. Après, c'est peut etre hors de ma juridiction, parceque pour qu'il perde sa nonchalance, ca doit etre grave.
Je continue donc de le chercher, suivant la traînée noire qui semble le suivre.
Je dois êtredevenue inconsciente. Ou pas, peut être l'ai-je toujours été.


Puisque tu y es mentionnée, @Nélya Marks :)
Le joueur de Rufus est d'accord, avec la traînée

pour éviter que les livres ne prennent feu... Si tu veux lire la suite, vas chez Joy Wakberg

Fehu




Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.

28 sept. 2020, 22:32
Bonne humeur.
Rufus se sentait bouillant, comme si une étincelle avait rallumé une lave bouillante coulant dans chacune de ses veines, qu’il pouvait sentir jusqu’à ses orteil les et qui le brûlait au cœur et à la tête. Un pincement aux lèvres, une larme rebelle coulant sur son visage et répondant au besoin de la gravité de s’écraser lourdement sur le sol, preuve de sa faiblesse contre laquelle il avait trop lutté.

Ses pas mêlaient un besoin de fuite, de liberté,
s’isoler très loin du monde sans jamais y retourner.
Mais il savait que ce silence serait de courte durée
Car la dure réalité il fallait sans cesse l’affronter.

Il courrait sans savoir pourquoi, sa baguette dans la main. Comme si les chiens de l’enfers le poursuivaient, eux ainsi qu’un millier de regards accusateurs de sa situation, perchés hauts sur leur piédestal. Il ne s’arrêta que quand il fut loin des bruits de la grande salle, il s’assit sur les premières marches d’un petit escalier en colimaçon, et se lâcha. Était-ce trop enfantin de ne vouloir qu’une chose: revoir ses parents ? Indubitablement. Il eut honte de lui-même, alors qui se mouchait dans un mouchoir en soie fine, qu’il obtenu d’un coup de baguette à partir de sa fourchette qu’il avait maintenu dans sa mains, qu’il avait été incapable de desserrer. Son poing était resté fermé, comme si il avait fondu dessus. Il maintenait un sanglot au creux de la gorge en posant sa tête sur ses genoux, ses yeux déversant un filet de larme.

6ème année RP
couleur : #1FA055
Formateur du MERLIN et fou à temps partiel.

07 oct. 2020, 17:59
Bonne humeur.
J'ai rapidement perdu Rufus de vue. Pas surprenant, il est beaucoup plus grand que moi. Les mauvaises graines poussent plus vite, avait plaisanté Teddy le soir de la rentrée, lorsque je lui ai demandé pourquoi est-ce que lui ne pouvait pas être si grand. Or moi, je ne suis pas une mauvaise graine, avait il poursuivi en souriant. Sourire vite changé en éclat de rire quand Arthur lui a dit qu'il ne nous servait à rien : notre grand-frère n'est pas assez intimidant, et en plus, il ne colle pas à une scène de bagarre, comment pourrait il nous défendre si besoin ?
Bon, j'avoue que nous avons été vaches, sur le coup, c'est un super grand-frère. Juste qu'il est un peu fragile, physiquement.
Je continue de marcher, regrettant presque de m'être levée, j'ai du mal à ne pas me perdre. Et ces escaliers mouvants qui n'arrangent rien ! J'ai d'ailleurs fini par perdre la fameuse trace noire. Génial. Si seulement je pouvais trouver son chat, il pourrait peut-être me mener à son maître. Attendez... Ce sont les chiens qui font ça, n'est ce pas ? Pas les chats. Raté. Et puis il n'y a pas de chiens, dans cette école. Doublement raté. Il doit bien exister un sort pour retrouver les gens, n'est ce pas ? Forcément. Je vais chercher dans les manuels après.
Un sanglot. Je m'arrête et m'avance silencieusement vers la source du bruit.
Bingo
Je l'ai trouvé. Et il pleure. Je fronce les sourcils. Quelque chose s'est passé. Quelque chose de grave. Très grave. Je ne vois pas pourquoi il pleurerait autrement. Il est si... si fier, il n'aurait pas agi comme cela si ce qui lui est arrivé n'était pas grave. Je reste quelques secondes figée, reflechissant à ce que je dois faire. Je finis par bouger, et m'avancer doucement vers lui. Je garde ma baguette dans ma main gauche, pointe vers le sol, et le sac de Maléfice est sur mon autre épaule.
"Rufus ?"
Je m'avance vers lui, puis, une fois n'est pas coutume, je peux voir sa tête. Je m'assied à la japonaise au sol, je ne me sentais pas à l'aise en le regardant de haut.
"Tu as oublié tes affaires."
Je pose le sac au sol, à côté de moi, et ma baguette juste à côté de moi.
"Tu préfères que je m'en aille ? Je peux aussi t'écouter, si tu veux. Ou juste rester avec toi. Dis moi ce que je peux faire. "
J'essaie d'avoir l'air le plus apaisant possible. Que ce soit le ton de ma voix, ma posture ou mes gestes. Apaisante, et lui montrer que je veux vraiment l'aider.

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Fehu




Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.

08 oct. 2020, 22:55
Bonne humeur.
Seul, les yeux fermés, le noir était agréable. Il se sentait comme noyé dans une mer de tourments, l’eau glacée le brûlait, le frappait avec violence. Il s’était échoué sur une roché, un gros roché doux et froid. Il voulait rester sur le Rocher, s’y reposer un peu. Le quitter reviendrait à plonger dans l’eau, il préférait rester dessus, à regarder les autres sur l’autre rive. Sauf que, un poisson l’avait suivi. Un petit poisson nettoyeur, toujours trop curieux pour son propre bien. Rufus n’avait qu’une envie: le frapper pour qu’il arrête de le suivre. Le noir partit douloureusement, à cause de ce satané poisson.

Au premier mot Rufus leva sur Célia-Awena deux yeux à l’iris bleue canard, mais pourtant rouges très irrités. Il sentait une colère monter en lui. Ils n’étaient pas amis à ce qu’il sache. Pourquoi elle ne lui laissait pas au moins la dignité de pleurer loin de son regard ? Quand on ne connaissait pas la personne, c’était la moindre des choses, le respect minimum. Il toussa en essayant de répondre, sa gorge lui faisait encore mal.

Rien. Justoublissa... Dit-il dans une articulation plus qu’approximative.

Il aurait beaucoup donné pour purement et simplement enlever cette émotion qu’était la tristesse, si il avait pu il se serrait arraché ce si beau spectre de désespoir. Il en avait marre de ne pas pouvoir se lever et sortir la tête haute de ce couloir mais il s’en sentait incapable. Il ne savait même pas si ses jambes répondraient à son appel, mais il en doutait fortement.

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16 oct. 2020, 18:17
Bonne humeur.
En entendant son nom, le quatrième année lève ses yeux bleus sur moi. Je continue de le regarder, faisant semblant de ne pas avoir remarquer le rouge dont ses yeux se sont parés à cause des larmes. Je le regarde, sans trahir d'emotion particulière pendant que je m'avance, lui rend son sac puis m'assieds. Je continue de le regarder lorsqu'il me répond en machant ses mots. Un léger sourire étire mes lèvres.
"_Ne t'inquiètes pas, je n'ai pas une bonne mémoire, j'oublierai vite."
Oh, un mensonge. J'ai une excellente mémoire. Mais je ne parlerai jamais de ce qui se passe ici. Non, sauf sous veritaserum, mais qui donc me ferait en boire ?
"_Ce qui se passe ici, ou ce qui est dit ici restera ici, ta réputation ou ta fierté n'ont rien a craindre de moi."
Il ne m'a pas dit de partir, aussi je reste où je suis, sans bouger, sauf peut être les muscles de mon visage, puisque mon sourire disparaît. J'attends qu'il se décide a parler, qu'il fasse quelque chose pour décider de ce que je ferai ensuite. En tout cas, partir avant que je ne sois sûre que j'ai fait le maximum que je puisse faire. Me voilà qui sonne Poufsoufle, tiens. Tant pis, j'agis selon ma conscience, alors qu'a cela ne tienne, je vais ressembler a une disciple d'Helga deguisée en Serdaigle.
"_De toute façon, je ne pars pas. Je n'ai rien d'autre à faire." et je veux t'aider. Mais je tais ces derniers mots, ne voulant pas irriter Rufus.

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Fehu




Petite rune perdue au milieux d'Enfants Resistants et Libres.

23 oct. 2020, 14:52
Bonne humeur.
Il prit son sac se mit à chercher nerveusement quelque chose dedans. Il en sortit une boite en bois sculptée, que Célia-Awena reconnaitrait sûrement. D'un coup de baguette tremblant il l'ouvrit et fit venir une fiole à lui, pas plus volumineuse que son majeur. Il tira le bouchon en liège de la fiole de cristal avec ses dents et le cracha parterre, avant de boire d'une traite le contenu de la fiole. Il s'essuya la bouche de sa manche et avant de lever ses yeux vers elle.

Menteuse. L'oubli est inconscient et tu ne t'y forceras pas.


Ses yeux qui le sondaient plus profondément que des rayons x redevenaient aux fur et à mesure des secondes blancs, comme si rien ne c'était passé, comme par magie. Ses cernes paraissaient moins importants, si bien qu'il avait l'air -malgré l'expression de son visage- plutôt "normal", enfin, normal pour lui.

Pourquoi, m'as tu suivi ? Et ne me dis pas que c'est pour mon sac. J'ai juste pas supporté une gamine ça n'a rien de remarquable.
Dit-il avec une mauvaise fois presque provocante dont il n'avait rien à faire.

Il se remit à chercher cette fois une petite boite en fer rouge qu'il jura de ne pas trouver. Son envie d'être détendu allait au delà de la raison. Il s'en rendait bine compte mais de toute manière, il n'avait rien pour subvenir à ce besoin par envie. Or, les besoins sont bons pour la santé, mais ceux par envie souvent moins.

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24 oct. 2020, 18:48
Bonne humeur.
Avec des gestes nerveux, Rufus fait sortir de son sac une boîte en bois. Celle dont avait sorti des attrapes et des papillons une fois, puis attrape une fiole dont le contenu lui donne un air moins fatigué. Pratique, cette potion. Je lui demanderai plus tard ce dont il s'agit.
Je me force a rester de marbre devant ses accusations, meme si je suis indignée intérieurement. Moi, menteuse ? Bon, un peu, mais juste pour la tres bonne cause. Le Merlin, par exemple. J'espère ne pas changer.
"_Et alors ? Tu as ma parole que tout ce qui sera dit ici restera ici. Je ne plaisante pas avec la parole donnée. Et de toute façon, si je parlais, tu es plus grand et plus fort que moi. Tu pourrais me faire payer, que personne ne pourrait vraiment me défendre. "
Je ne prononce pas le prénom d'Edward, mais il flotte un instant entre nous. Mon cousin a beau etre de son année, dans un combat physique, il ne pourrait pas faire grand chose face a Rufus, c'est évident.
Il reprend la parole, faisant preuve de mauvaise fois. Je lui lance un regard désabusé(sérieusement?).
"Tu es mauvais menteur. Avec un peu plus de nonchalance, et le langague corporel adéquat, tu aurais pu, peut être me convaincre. Je dis bien peut etre, tes yeux rouges ne mentent pas, eux."
Je le regarde fouiller dans son sac sans bouger, puis soupire.
"Je t'ai suivi parceque ton comportement est beaucoup trop inhabituel. Les gamines insupportables, tu leur répond en étant encore moins buvable."
Je le regarde toujours, aussi calme qu'un sphinx, même si mon langage corporel doit montrer de la determination.
"Contrairement a toi, je ne me fiche pas du bien être des autres. Je te l'ai déjà dit ce jour la, as tu si mauvaise mémoire? En plus d'etre mauvais menteur, chaud. "
Je passe ma main dans mes cheveux avant de soupirer.
"Laisse moi t'aider, par Merlin ! Vas tu être têtu longtemps encore ? Et laisse moi te rappeler que tu n'es pas en état de te montrer a l'école, tu as une expression d'inferi déprimé sur le visage. A moins de sortir une potion de ta poche, nous allons rester ici jusqu'à ce que tu ailles un minimim mieux.
Changemant s'approche.

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Fehu




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