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14 oct. 2020, 22:47
 RP Réaction   Libre  18 écoles, 72 élèves
Avant de commencer
Reducio
- Ce RP libre est ouvert afin de permettre à ceux qui le désirent de réagir à S03E15 - L'urne noire et les Autres.

- Les participants de l'aventure en question ont le droit de participer s'ils souhaitent étayer leurs écrits initiaux toutefois il est demandé à tous de prendre garde à ne pas briser la cohérence de l'aventure afin de ne pas rendre ce RP caduque.

- Par soucis de clarté, il vous sera demandé d'indiquer clairement à quelle table vous vous trouvez - que ce soit celle de votre maison ou non - en haut de chacun de vos posts. La disposition des tables est rappelée ici. La table des professeurs est à droite du schéma, la porte de la Grande Salle en haut à gauche.

- Enfin pour rythmer ce RP, les préfets posteront chaque semaine en indiquant où nous en sommes dans le déroulement de l'aventure. En haut de leur post vous trouverez le lien vers le dernier tour pris en compte. Nous considérerons toujours qu'un tour débute par le post du MJ et se termine par le post du dernier joueur.

- Pour ce premier post, le tour pris en compte est le tour 1. Il débute par la résolution du MJ et se termine donc par le post de Leo Ginger.

Merci d'avoir lu jusqu'ici, place au RP :)

Dernier tour pris en compte: Tour 1

Reducio
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EOB - BH
GM - OG

16 SEPTEMBRE 2045 - TABLE DE GRYFFONDOR - DÎNER

La deuxième semaine de cours s'achève pour Poudlard. L'irlandaise est attablée avec ses camarades de maisons quasiment à l'extrémité. Il faut dire qu'elle est arrivée assez tard et n'a pas eu envie de remonter toute l'allée pour trouver une place. Déjà que les rouges occupaient la table la plus éloignée de la porte. Et puis il se faisait faim.

Le volume sonore dans la pièce était particulièrement élevé. Les discussions allaient bon train à toutes les tables au point que l'ensemble des élèves avait élevé la voix inconsciemment pour se faire entendre. Et les camarades qui l'entouraient ne faisaient pas exceptions. Elle-même venait de se surprendre à parler bien plus fort que nécessaire. Cet effet était ahurissant. Elle allait rappeler aux Gryffondor de faire diminuer un peu les décibels quand le silence se fit brutalement et unanimement dans toute la salle de repas. Que se passe-t-il encore?

Un corbeau venait de faire son apparition, tenant ostensiblement un paquet blanc entre ses serres. Paquet qu'il largua au beau milieu de la Grande Salle entre les tables des bleus et des jaunes avant d'aller se poser sur une poutre. De là où ils sont là plupart des élèves ne voient pas grand chose. Sauf peut-être ceux qui sont au centre des deux tables concernées. Mais cela ne dure pas. Assez rapidement, la préfète des rouges peut apercevoir ce qui semble être une boîte noire. Une boîte qui se transforme en une sorte de visage bien déroutant. Puis une voix de femme en sort, un peu effrayante, et la boîte tourne:

- "
Bonsoir Poudlard, nous ne nous connaissons pas encore, mais ce ne saurait tarder. Je suppose que vos professeurs n’ont jamais pris le temps de vous parler du Dominion, hm ? Même pas le professeur Montmort ?" Tout le monde est captivé par ce que cette boîte vient de dire. Et le silence qui continue de plâner est à peine brisé par quelques élèves qui chuchotent entre eux. Et Ennis ne peut que les comprendre. Quelle est cette histoire de Dominion?


Reducio
EOB: 1, 5, 8, 11
OG: 2, 6, 10
GM: 3, 7
BH: 4, 9

Merci à Cassandre Mcwood pour la mini-carte
Prochaine réponse/résolution par Lili Cooper le 21 octobre

7ème année RP - Préfète-en-Chef inRP de 09/47 au 05/01/48 - Préfète RP de 09/44 à 06/47 et à partir du 05/01/48- Avatar par A. Davis
16 oct. 2020, 20:02
 RP Réaction   Libre  18 écoles, 72 élèves
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Merci Cassandre !
___


Déjà deux semaines de cours s'étaient écoulées. Cela passait tellement vite, Eileen n'avait pas vu le temps passer. C'était comme si elle était revenue à Poudlard depuis seulement deux jours, et encore. Le temps courait définitivement trop vite pour elle, elle n'arrivait pas à suivre. Elle tentait tant bien que mal de ne pas se faire distancer, mais c'était dur, tellement elle était longue à la détente en ce moment. Elle ne savait pas pourquoi, elle ne comprenait pas pourquoi elle n'arrivait pas à être plus productive, mais tant pis, elle faisait déjà ce qu'elle pouvait, c'était déjà pas mal.

Elle allait mettre sa fourchette pleine de purée dans sa bouche quand un corbeau entra en trombe dans la grande salle et lâcha un paquet emballé entre les tables de Serdaigle et de Poufsouffle. Eileen lâcha sa fourchette qui retomba dans son assiette sans s'en rendre compte. La bouche ouverte, elle fixait le corbeau posé sur une poutre, l'air mi apeurée mi étonnée. Elle vit à peine la boite s'élever entre les deux tables, trop stupéfaite pour quitter le corbeau des yeux.
Elle n'arriva à détourner le regard qu'en entendant le rire cristallin s'échapper de la boite. Eileen referma la bouche, déglutit difficilement. Elle ne comprenait pas. Que se passait-il, bordel ? Pourquoi fallait-i toujours qu'il se passe des trucs tordus dans cette école ?
Elle écouta ce que disait la voix en fixant la boite tourner sur elle-même. Son visage avait sérieusement pâli.

- Il s'passe quoi encore ?

A vrai dire, elle ne savait pas si elle avait réellement envie de savoir. Elle essayait juste de comprendre ce qu'était ce "do mignon", et en quoi miss Montmort avait à voir là-dedans.

Quiconque veut interagir avec Eileen, Gryffondor ou Serdaigle par soucis de cohérence peut, pas la peine de m'envoyer un hibou mais juste, mentionnez-moi s'il-vous-plait^^
Dernière modification par Eileen Jones le 24 oct. 2020, 09:28, modifié 1 fois.

IRL TRÈS CHARGÉ / Gneuh. #234932 Trop de quote tue le quote. Capitaine des Aigles de Bronze
#poudlardredécoréenbisounours / membre de la RASA
Maison Victorieuse au Triomphe Majestueux, Jamais Serdaigle Unie Ne Perdra
16 oct. 2020, 20:27
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Table de Poufsouffle. Allée centrale proche de la porte.
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Le bruit des couverts et le brouhahas des discussions, pas de doute possible, le repas était commencé. Deryn était restée trainer ce soir. Elle voulait terminer son devoir de métamorphose avant de venir manger. Demain c'était dimanche et elle avait plein de projets autres que rédiger son compte-rendu sur le sortilège des lapins-pantoufles.

A l'entrée de la salle, une place était libre sur le bout du banc. Parfait.

- Bon appétit tout le monde !

La fillette se glissa sur le banc et, après avoir attendu son tour, se saisit de la louche pour se servir une bonne platée de purée. Alors qu'elle commençait tout juste à manger, un mouvement attira son œil au niveau du haut de la salle. Un hibou ? A cette heure ? En général, les oiseaux étaient plutôt du matin. Mais après tout pourquoi pas, il est peu probable que les volatiles possèdent des montres. Elle porta à sa bouche une première fourchetée en suivant des yeux le vol de l'oiseau. Pour avoir étudié avec attention ces créatures nocturnes l'an dernier, quelque chose la gênait, cette façon de voler... Elle cessa soudain de manger, ce n'était pas un hibou ni une chouette. C'était... un corbeau ?

La jeune fille se pencha un peu en arrière sur le banc pour mieux voir ce qui venait de descendre vers le sol. La voix étrange qui sortit soudain de la boîte la fit ouvrir grand les yeux. C'était quoi ce truc ?

N'hésitez pas à discuter avec Deryn ou à tout simplement vous installer près d'elle.

Poufsouffle vult !
5e année RP / color=#274E13
"Seul on va plus vite mais, ensemble, on va plus loin" #PouffyFamily
16 oct. 2020, 22:34
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1

SAMEDI 16 SEPTEMBRE 2045 - Heure du dîner
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Bad venait de terminer les dernières lignes de son devoir de Métamorphose. Satisfait - non pas du contenu mais d’avoir enfin terminé ses devoirs de la semaine - le garçon dévala les marches pour aller dîner. La perspective d’un bon repas et d’une longue nuit de repos suffisait à ravir le Serdaigle en cette soirée.

Mais après le calme de la bibliothèque, l’agitation de la Grande Salle sonna un violent contraste aux oreilles de Bad. Son sourire disparut rapidement à l’idée de dîner dans ce brouhaha ambiant. Les sourcils froncés, le Serdaigle atteint finalement la table de sa Maison pour y prendre place. Il salua d'un geste de la tête quelques camarades non croisés dans la journée et commença son repas.

Alors qu’il avait une louche remplie de soupe au-dessus son assiette, la Grande Salle sembla se vider instantanément de toute vie. Un quasi-silence s'installa tandis que résonnaient les battements d’ailes d’un corbeau que Bad n’avait pas vu entrer. L’animal, symbole de malice, lâcha un étrange colis à quelques mètres du préfet. Sans un geste, le garçon attendit la suite des événements.

Bad n’avait jamais rien vu de tel. Une étrange boîte noire prenait maintenant place à la vue de tous. Une boîte messagère qui s’ouvrit sur un rire qui fit frissonner l'adolescent. Ce dernier n’arrivait pas à saisir pourquoi mais la voix qui en sortait le mettait mal à l’aise. Sans remplir son assiette, le Serdaigle reposa la louche dans son récipient original. Quelque chose d’anormal arrivait et il devait être aux aguets. Le visage fermé et le regard sombre, Bad se figea. Son attention était partagée entre les propos de cet émissaire importun et sur la surveillance de son environnement. À l'heure actuelle, tout semblait pouvoir arriver.

6° année RP • Ex-préfet inRP (du 1/9/45 au 16/1/46)
Fiche - Réputation
17 oct. 2020, 11:17
 RP Réaction   Libre  18 écoles, 72 élèves
ELYNA, 13 ans
Dans la soirée, Samedi 16 septembre 2045

GRANDE SALLE,
TABLE DE SERDAIGLE, BANC CÔTÉ POUFSOUFFLE


•••


Les Jours sont si éphémères et leur beauté, tout autant. Ils apparaissent, disparaissent, abandonnent après avoir adoré. Ils sont étranges, ces Jours. Indescriptibles. Imprévisibles.

Et le Crépuscule ?

Lui, Il berce.
Lui, Il apaise, au gré de ses Lumières.
Lui, Il rend la Vie qu'on leur prend. A Ces Autres.

Lui, ô combien tu aimerais le rejoindre, chaque fois que le Jour se couche mais que tu t'assieds à contrecœur à la table des Serdaigle, pour avaler quelques bouchées de nourriture. Malheureusement, elle perd de son goût, au fil des semaines. Pourquoi ? Peut-être cela a-t-il commencé après cette soirée funeste.
Ce Soir-là où tu t'es promis de continuer à vivre pour Elle, pour Lui.
Où l'appétit t'a quitté, sombrement. Juste un Vide énorme, laissé par cette Femme-sans-Vie.

Ils n'avaient pas le droit de lui ôter la Vie. Et encore moins de recommencer.

Tu ressens l'agitation, dans ton dos. Des tissus qui se froissent, des yeux qui Observent, des Mots qui fusent. Malgré toute la Curiosité qui t'habite, tu as peur de te retourner. Plus Jamais tu ne souhaites réassister à un tel désastre. Depuis ce Soir-là, tu n'as plus confiance en la sécurité. Elle peut être brisée à tout moment, comme l'a démontré cette Inconnue et sa Créature.

L'ambiance d'angoisse semble t'englober de ses bras dits rassurants. Contre toi, tu la sens se presser. T'oppresser.
En un vif mouvement, tu te retournes à la suite de cette dizaine d'Autres. Tes yeux se posent immédiatement sur le Centre de l'Attention ; une chose emballée dans un tissus blanc.
Les battements de ton Cœur paraissent maltraiter ta gorge. Comme pour expulser un mal-être profond. Tes lèvres se décollent l'une de l'autre plusieurs fois, mais aucun son ne peut en sortir. Boule serrée.

A peine trois secondes plus tard, l'emballage se détache de ce qu'il cachait, révélant une étrange boîte, décorée de fleurs dorées. D'habitude, tu te serais extasiée devant de tels dessins, mais dans de telles circonstances, seul ton Regard s'anime. Il observe.

Une multitude de frissons parcourent ton Corps lorsque la boîte inerte se fend tout à coup d'un sourire identifié malsain. Elle lévite, la boîte-vivante. Elle parle. Comme des facultés humaines qu'Elle aurait. Volées à quelqu'un.

"La Femme-sans-Vie"

Si une puissante force pouvait te porter, tu te lèverais, prendrait la boîte-vivante de tes deux mains et la fracasserait contre le sol. Comme une punition. Laisser ta Rage intérieure, refoulée si souvent, se déferler contre la source possible de la Mort. La Mort Elle-même ?

Immobile, les Pensées dans le vague. Avec l'intime conviction que la Mort guète une nouvelle fois. Elle cherche sa — ses — prochaine victime...


Très chère Plume qui aurait envie de partager quelques Moments avec ma Protégée et moi-même,
N'hésite pas, si tu es un.e Poufsouffle ou un.e Serdaigle. Rejoins-Nous. Je t'invite, tiens. Pourrais-tu juste m'envoyer un petit hibou m'informant de ton envie de nous rejoindre ?
A très vite...

#426b80 // sixième année
grandiose
17 oct. 2020, 12:01
 RP Réaction   Libre  18 écoles, 72 élèves
16 septembre 2045, A l'heure du dîner
Poudlard, Grande salle, Table de Poufsouffle côté Serpentard près de la porte

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Deux semaines.
Deux semaines approximativement que les cours on reprit.
Et déjà cette habitude de prendre tes repas seules.
Sauf si quiconque souhaite le partager avec toi, tu ne chasseras pas une compagnie - excepté si tu souhaites vraiment rester seule - mais en toutes circonstances la Solitude ne te déranges absolument pas.
Elle est même source de réconfort à tes yeux.
Et d'autant plus lorsqu'elle est accompagné de Silence.
Malheureusement, ce n'est rarement - pour ne pas dire pas - le cas dans la Grande salle.
Celle-ci est un lieu de brouhaha.
Et, tu le remarques encore plus ce soir car tu as hâte de te trouver un instant de calme, seule.

Qu'importe, tu te diriges vers la table de Poufsouffle.
Trouvant une place près de la porte, tu t'y installes.
Et sans vraiment réfléchir, tu te sers une assiette de nourriture.
Qu'est-ce qu'il y a dedans ?
Tu ne saurais vraiment le dire car ça ne t’intéresse pas. Tout ce que tu veux, c'est manger.

Au même moment, tu voies une silhouette familière s'approcher de la table des Jaunes.
Deryn.
Tu entretiens une bonne relation avec elle.
Aussi, tu lui adresses un sourire lorsqu'elle s'installe face à toi et qu'elle lance un "Bon appétit tout le monde !".
Une fois ton visage fendu de cette bouche formant un arc de cercle, il revient pourtant bien vite figé.
Sans véritables émotions apparentes.
Rien qui visage. Et rien d'autres.

Mais alors que tu lèves ta tête de ton assiette, tu remarques un volatile qui fait son apparition dans le Grande salle.
Au premier coup d’œil, tu crois voir un hibou même si c'est assez étrange que l'un d'entre eux apporte du courrier lors du dîner.
Mais très vite, tu comprends que ce n'est pas une chouette mais un corbeau.
Et entre se serres, il tient fermement un étrange paquet.
Volant au-dessus des tables, tu le voies lâcher ce qui semble être un objet emballé entre les deux tables des Jaunes et Bleus.
Tu ne peux t'empêcher de te questionner à ce sujet alors que ledit corbeau s'en va se poser sur une poutre.
Et l'ensemble des élèves semblent tout aussi curieux que toi.

Tu voies alors une boites noire surgir d'entre les tables à une bonne distance du sol.
Elle est désormais visible par tous.
*C'est ce que devais contenir le paquet du corbeau*
Cette pensée t'est évidente.
Mais tu ne peux t'empêcher d'être d'autant plus émerveillé et étonnée lorsqu'un rire sort de cette boite.
Et encore plus lorsque c'est la voix d'une femme qui retentit dans la Grande salle.
Sauf que tu ne comprends absolument rien à ce que raconte cette voix.
*Le Dominion ? Qu'est-ce ?*

Tu n'en sais absolument rien alors, tu attends dans le Silence.
L'ensemble des élèves semblent s'être mit d'accord pour ne plus jamais prononcer un mot.

Plume de @Deryn O'Connors,
J'espère que Julie soit en face de Deryn ne te déranges pas ? Si une quelconque incohérence préviens-moi !
Et quiconque d'autre soit me/nous rejoindre est lea bienvenue !
Dernière modification par Julie Jing le 20 oct. 2020, 09:25, modifié 2 fois.

TEMPORAIREMENT DISPARUE DE PFR
#PouffyFamily - Membre de la RASA
17 oct. 2020, 16:58
 RP Réaction   Libre  18 écoles, 72 élèves
16 Septembre 2045, à l'heure du dîner,
Table de Poufsouffle côté Serdaigle,
Deuxième année


Une soirée comme les autres.
Les cours avaient commencé depuis quelques jours déjà, elle s’était à nouveau habituée au château, à ses occupants, à ses murmures le soir et à son brouhaha mi-agressif mi-chaleureux en journée.
Un rayon de soleil orangé dansait dans les couloirs alors qu’elle se dirigeait vers la grande salle pour manger.
Sa sacoche passée en bandoulière, elle s’occupait d’esquiver les corps venant à contre-sens et les pieds qui semblaient déterminés à écraser les siens.
La grande porte s’ouvrait sur les tables des quatre maisons, assez bien remplies pour l’heure, mais avec assez de choix pour s’installer où bon lui semblait.

Parcourant la salle du regard en quête d’un visage connu, elle s’approcha finalement de la table des Poufsouffle, évita quelques bancs pour s’installer du côté des Bleus et s’écroula sur l’un d’eux, déjà essoufflée du nombre d’efforts qu’elle avait dû fournir pour se frayer un passage.
Elle se servit au hasard dans les plats en argent posés devant elle, remplit silencieusement son verre de jus de citrouille, écoutant quelques bribes de phrases plus forte que les autres et reconstituant des parcelles de discussion.
Elle essayait depuis la rentrée de ne pas trop faire remonter les souvenirs.
Celui de la femme et de son tigre.
Ses spirales.
Celui de Charlotte et de ses questions.
Ses doutes.

Mais le château ne pouvait pas toujours être en proie aux catastrophes.
Il n’était pas calme mais...Comme à son habitude.
Souriant en saisissant un couteau pour commencer à manger, elle se figea en voyant entrer un corbeau. Celui-ci largua son paquet, enveloppé dans un tissu blanc.
Beaucoup trop blanc.
*Comme celui de Daï à la fin...*
Puis il y eut la boîte bizarre qui s’envola, se dévoilant aux yeux de tous, flottant en se jouant de la gravité, faisant naître des vagues de murmures et des ouragans de raclement de bancs contre le sol lorsque les élèves se levaient ou se retournaient.

Et une voix étrange sortit de la bouche dessinée sur la boîte.
Elle aurait pu être jolie si elle n’avait pas été aussi implacablement flippante. Comme humaine.
*Mais à quoi ils jouent ? Si c’est une blague, c’est pas drôle. Du tout. *

« Bonsoir Poudlard»

*La ferme. 'Veux pas t'écouter.*

« Nous ne nous connaissons pas encore, mais ce ne saurait tarder. Je suppose que vos professeurs n’ont jamais pris le temps de vous parler du Dominion, hm ? Même pas le professeur Montmort ?»

Elle sentit peu à peu le sang quitter son visage, ses membres, son corps entier, la laissant glacée de terreur. Même ses vêtements semblaient incapables de lui garder un peu de chaleur.
Terrorisée.

Ça pouvait pas recommencer.
Ça avait pas le droit de recommencer.
Un Dominion ? Les professeurs ? Miss Montmort ? Des rumeurs ? Des non-dits ? Des mensonges ?
Tout recommençait ? Avant même la fin du premier mois de cours ?
Les spirales se rétrécissaient, le temps s’accélérait et on se retrouvait noyé sous les événements encore une fois, en restant immobile à regarder d’un regard stupide une boîte idiote qui commençait à répandre la misère du monde sur le château ?
*C’EST-QUOI-CE-BORDEL-À-LA-FIN?*

Ses mains se mirent à trembler violemment, faisant s’entrechoquer son couteau et son assiette, manquant lui faire lâcher le morceau de pomme de terre qui pendouillait au bout de sa fourchette.
*Ah non. Ah non. Non non non non non non...*
Des flashs se mirent à danser devant ses yeux.
La panique lui tordit le ventre et la gorge, l’empêchant de hurler et la clouant à son banc.
La presque-morte.
Les flèches.
Le sang.
La mort.
La douleur.
La peur.
La culpabilité.

Elle aurait voulu tout plaquer, s’enfoncer sous terre pour échapper aux mots.
Elle n’avait même pas la force d’articuler quoi que ce soit, de se persuader que ce n’était qu’un mauvais tour, que tout ceci n’était qu’un cauchemar comme la dernière fois.
Elle avait un besoin horriblement pressant de retrouver Inconnue et ses gestes, ses regards, ses mots doux comme les rayons de la lune et son sourire en croissant.
Sa main chercha fébrilement sa poche, tâtonnant entre le pull épais et informe qu’elle portait et son pantalon trop grand serré par une ceinture de cuir à la taille, s’emmêlant les doigts dans les mailles du vêtement et se tordant contre le bois du banc lorsqu’ils le rencontraient.
Au bout de longues secondes qui lui parurent être des heures, sa main agrippa sa baguette.

La dernière fois, ça n’avait servi à rien.
Même la magie n’avait pu arracher à la mort Daï Hong Dao.
Alors à quoi bon un morceau de bois contre le torrent de la réalité ?

Elle se força à respirer calmement pour faire ralentir les battements de son cœur, se remémorant les mots saisis au vol.
Personne n’était mort.
Personne n’allait mourir.
Tout le monde ira bien.
*Ce château peut pas être un jour NORMAL ou TRANQUILLE?*

À nouveau l’envie de hurler sa haine au monde entier là tenailla.
Elle repoussa cette éventualité et tourna son regard vers la table des professeurs, oscillant entre celle-ci et la boîte.

*Tout va bien se passer. Personne n’est mort. Personne ne va mourir. *

Elle tourna son regard vers la table des Bleus.
Une fille capta son attention.
Plus grande, certainement.
Plus sûre.
*Comme Inconnue ?*
Malgré la panique qu’elle pouvait lire sur le visage de la Bleue, elle décida d’y trouver un refuge plutôt qu’un mauvais présage.

Elle n’avait aucune raison en soi de venir jouer le pauvre petit animal apeuré et se coller contre la Bleue.
Et elle avait encore assez de fierté pour ne pas le faire.
Fierté qui sombrait de plus en plus dans l’horreur et la panique.

Se levant brusquement, n’ayant aucune envie d’être isolée, elle se planta carrément aux côtés de la Bleue, se laissant tomber sur l’autre banc.
*Plus seule*
Elle ne pouvait pas articuler mais ses yeux hurlaient pour elle.
On pouvait y lire des milliards d’émotions se pourchassant les unes et les autres.
*J’veux pas qu’ça recommence...J’veux pas j’veux pas j’veux pas*
Elle bloquait sur ces trois mots, les répétant inlassablement, d’empêcheur de penser à autres choses qu’à eux.
La Bleue à côté était plus vieille, hein ?
Elle allait faire quelque chose, hein ?
*Steuplé arrête tout...J’veux pas écouter la boîte...J’veux qu’elle arrête de voler...J’veux pas être là...*

Mais elle ne put pas décrocher une seule syllabe.
Tétanisée.

Plume d'@Elyna Oak, valsons. :love:
Que nos Petites s'éclairent au milieu de toutes ces Ténèbres...

Je ne lâche jamais rien. Quand je commence une barre de chocolat, je la mange jusqu'au bout.
17 oct. 2020, 17:53
 RP Réaction   Libre  18 écoles, 72 élèves
Lili se trouve au centre de la table des Serpentard, côté Poufsouffle, face à @Alexei Menkins & @Edmund Dale et à côté de Carry Harrison.
___________

Assise à la table des Serpentard, en compagnie de ton meilleur ami et d'Edmund, la discussion va de bon train. Vous parlez de tout et de rien tout en savourant votre repas. Tu es d'humeur joviale, très heureuse d'être de retour à Poudlard et d'avoir retrouvé tes camarades et tes petites habitudes. Cela doit se sentir puisque tu parles bien plus que d'habitude : tu as encore plein de choses à partager à tes amis, que ce soit en rapport avec tes vacances ou même avec tes deux premières semaines de cours. Tu comprends donc sans souci le brouhaha qui persiste dans cette Grande Salle. Ce que tu comprends moins, cependant, c'est le silence qui remplace brusquement les diverses discussions dans la pièce. Même Edmund, qui était en pleine explication au sujet des sélections, a laissé sa phrase en suspend.

Tu tournes la tête vers le centre de la salle et tu ne comprends pas : il n'y a rien, rien du tout. Tu te retournes vers tes amis et, voyant qu'ils ont toujours le regard rivé sur le centre de la salle, tu te retournes à nouveau et tu comprends, maintenant. Entre temps, une boite noire s'est élevée pour se retrouver bien visible en plein milieu de la salle, entre la table des Poufsouffle et des Serdaigle. Tu n'as aucune idée de comment elle a pu arriver là puisque tu n'as pas vu le corbeau, ce qui ne te rassure absolument pas. Tu ne penses pas que ce soit une idée des professeurs, même si tu espères naïvement que ce soit le cas et non pas quoi que ce soit de dangereux, vous avez eu votre dose l'an passé. Tu as les yeux rivés sur elle, redoutant la suite des évènements.

La boite est très étrange, on dirait presque qu'elle est humaine, vu le sourire qu'elle vous offre, tout en tournant sur elle-même. Son rire cristallin te déboussole, mais ce n'est rien comparé à ce qu'elle dit : à qui appartient cette voix ? De quoi veut-elle parler ? Ton regard plein d'interrogations se pose sur la table des professeurs, essayant de voir si, par hasard, un ou plusieurs d'entre eux réagissent à ce spectacle quelque peu étrange mais aussi pour être prête à agir rapidement au cas où les directeurs de maison s'adresseraient à vous, les préfets.

A côté de toi, tu sens que Carry se lève, sûrement pour avoir une meilleure vision de la situation. Sans hésiter, tu lui tapotes le bras et tu lui demandes, à voix basse :

- Tu vois quelque chose d'autre qui est anormal ?

Tu lui laisses le temps de te répondre, au cas où elle n'aurait pas encore bien regardé tous les recoins de la Grande Salle. En attendant, tu restes très attentive, presque aux aguets, et ton regard passe de la boite à la table des professeurs. Ton humeur a bien changé en l'espace de quelques minutes puisque tu n'as plus vraiment envie de sourire, contrairement à la boite. Tu as comme un mauvais pressentiment et tu te demandes si la boite va répondre à la question posée par une des élèves à haute voix, une question dont beaucoup d'entre vous souhaiteraient connaitre la réponse.

Actions mentionnées validées par les joueurs en question.

Sixième année RP | #4682B4
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
17 oct. 2020, 19:09
 RP Réaction   Libre  18 écoles, 72 élèves
Eileen Shelby, 4ème année, 15 ans
Samedi 16 septembre 2045

☽ Centre de la table de Poufsouffle - Allée centrale, entre milieu et la table des Professeurs ☾

🜂🜄🜂
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Bien que la rentrée soit encore fraîche, Eileen n’avait eu aucun réel mal à se remettre dans le rythme que lui imposait les nombreux cours qu’elle avait. Mais elle accueillit ce rythme chargé les bras grands ouverts ; cela lui offrait un certain répit par rapport à son ennui et ses pensées. Car elle avait beau s’être plongée corps et âme dans un entraînement intensif pour être une bien meilleure joueuse de Quidditch pour la saison qui se profilait à l’horizon, cette distraction n’était que temporaire.

D’ailleurs, malgré le fait que ça ne faisait que deux semaines que la jeune adolescente avait commencé sa quatrième année à Poudlard, les professeurs ne l’avait pas épargné elle, ni ses camarades, par la quantité de devoirs qui leur donnait. Mais cela n’avait certainement pas empêché de passer un samedi relativement tranquille ; bon, elle avait tout de même effectué quelques recherches à la bibliothèque sur le nouveau sortilège qu’elle venait d’apprendre en cours de Métamorphose. Oui, c’était comme ça qu’Eileen voyait ses journées dites tranquilles ; ne rien faire et être seule en tête-à-tête avec elle-même n’était plus vraiment envisageable car ses pensées n’étaient pas forcément des plus positives ces derniers temps.

Heureusement, lors des repas passés en compagnie de ses amis, Eileen ne pensait à rien de tout ça, elle préférait profiter de ces moments de convivialité. C’est donc pour cela qu’en ce samedi soir de septembre, les trois jeunes filles -Eileen, Herminie qui était assise à côté d’elle, et Maddie assise en face des deux premières- parlèrent d’un sujet qui les concernaient toutes les trois, bien que ce soit à des niveaux différents ; les Hel’s Angels. Les Hel’s Angels dont Maddie était récemment devenue la capitaine et donc Herminie faisait partie lorsqu’elle n’était pas occupée à commenter les matchs.

« Alooors, t’as prévu quoi pou-, » Eileen avait commencé à l’intention de Maddie, mais sa voix se stoppa net, tout comme le gaie brouahah de la Grande Salle.

L’Irlandaise était confuse, elle ne comprenait pas ce qu’il se passait ; elle se demandait ce qui avait bien pu jeter un voile de silence glacial sur la Grande Salle. Soudainement, un bruit d’aile, suivi d’un bruit sourd retentit parmi les rangs de Poudlardiens, s’était comme si quelque chose était tombé au sol depuis une certaine hauteur. Curieuse, la brune se tourna vers l’allée centrale, ses orbes gris cherchant elle ne savait trop quoi jusqu’à ce que son regard tombe sur une masse blanche.

L’adolescente fronça les sourcils et regarda avec attention une boîte apparaître et s’élever dans les airs avant de se métamorphoser ; mais elle n’était pas au bout de ses surprises lorsque qu’elle regarda, avec des yeux perplexes, lorsqu’une voix féminine s’éleva dans la salle.

« Mais qu’est-ce que… » murmura Eileen, avant de se retourner vers ses deux amies. « Je- mais qu’est-ce se passe ? Vous savez de quoi elle parle cette… Boîte ? »
Dernière modification par Eileen Shelby le 23 oct. 2020, 18:10, modifié 1 fois.

« Free will does exist, it's just fucking hard.»
17 oct. 2020, 23:01
 RP Réaction   Libre  18 écoles, 72 élèves
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16 Septembre 2045
Table de Poufsouffle, Grande Salle
4ème année


Les yeux fermés, je laisse les larmes monter à l’intérieur de mon crâne, se presser contre mes paupières. Mes poings serrés sont posés sur la table, tremblants, paumes douloureuses sous la pression qu’y exercent mes ongles. *Vous me faîtes mal*. Tu me fais mal, Monde. Tu me fais mal. Pourquoi ne te tais-tu pas ? Je serais presque prête à vous supplier de vous taire. Oh oui, presque. Presque capable de m’abaisser à cela, juste pour ne plus être assaillie, pour ne plus... subir ces attaques des Autres. Vous percez mon Chaos intérieur. Vous me brusquez. Je vous déteste tellement. Comment faites-vous pour ne pas vous réduire en poussière sous la force de vos voix ? Elles hurlent dans la pièce, résonnent contre les murs, se dirigent toutes vers moi. Je sais que j’ai l’air ridicule, par Hécate. Je sais que j’ai l’air pitoyablement ridicule, avec mes paupières plissées et mon casque anti-bruit qui ne vous étouffe même plus, ma tête sur le point d’exploser. Je sais que je suis ridicule, je sais que je suis pitoyable. Mais comment faites-vous ? Vous êtes surpuissants. Je suis plus puissante que vous, je le sais bien, je suis plus douée, plus intelligente. Et pourtant, je suis sur le point de basculer dans une inconscience douloureuse, malmenée par votre sauvagerie bruyante. Je n’entrerai plus jamais ici. Je ne peux pas. Je ne peux plus supporter ce bruit constant, c’est de pire en pire, chaque jour. Dans les couloirs, je me fonds, j’esquive, je me dissimule, je me soustrais encore à votre brouhaha terrifiant. Mais ici, comment faire ? Comment faire pour manger sans être assassinée par vos impitoyables hurlements ?
J’avais oublié que c’était aussi dur de vivre avec les Autres. Le Domaine est étrangement calme. Il l’a toujours été. Des rires résonnent, des cris parfois, il y a des bruits dans tous les coins, mais il est comme une bulle de solitude partagée. Les repas sont doux, aussi. Ils me manquent. Sky qui joue avec le coin de sa serviette, Éole qui s’exclame en souriant, Arthus qui agite sa baguette au milieu du repas pour montrer un nouveau sort, Papa qui secoue la tête tendrement, Shaina qui soulève un nouveau sujet de discussion étonnamment intrigant tout en nous contemplant avec une moue amusée au coin des lèvres. Et parfois, Emily qui fuit, qui fuit l’horreur stricte de sa maison, et qui se réfugie chez nous. J’aime ma maison, j’aime nos repas. Je les déteste aussi, car il y a toujours un instant où mon ventre se retourne, où je les trouve mensongers, où les bruits me font mal. Mais là-bas, je ne suis plus anormale. Sky aussi coiffe son casque anti-bruit, ou quitte la table en plein repas. Son arrivée a instauré doucement de nouvelles règles. Shaina comprend, j’ai fini par l’accepter : elle comprend beaucoup de choses. Elle a parlé avec Papa, et il comprend aussi, désormais, même s’il veut me ramener voir une psychiatre. Je refuse. Je finirai par céder, *oui, je finirai par céder*. Arthus est un pilier désormais, et non plus un assaillant, et Éole, toute enfant qu’elle soit, est douce et mature.

Alors, j’avais oublié que le Château était si bruyant qu’il manquait de m’ouvrir le crâne en deux à chacun de ses soupirs. Et ici, perdue au milieu de la salle, je me sens atrocement mal. Je suis au centre. Je me mets toujours aux extrémités de la table, pour pouvoir m’enfuir, pour être plus loin du Chœur des Autres. Mais je suis arrivée en retard, ce soir. Et ma place était prise. J’aurais pu m’enfuir, ne pas manger, je l’ai déjà fait, pourquoi pas aujourd’hui ? J’aurais dû. Je le sais désormais, maintenant que je suis assise vers le milieu de la Table des Jaunes, incapable de desserrer les lèvres pour avaler une nouvelle bouchée. J’ai à peine touché à mon assiette. Si une infime partie de ma peau s’ouvre au monde, ne serait-ce que pour manger, je suis certaine que je m’étoufferai des Autres.

Soudainement, ils se taisent. Ils ne se taisent jamais. Je perçois encore des voix, autour de moi, mais le Chœur n’est plus. Hésitante, maladroite, j’ouvre mes paupières. Mon crâne me brûle toujours, douloureuse cible de l’attaque d’une armée d’Autres. La vision troublée après avoir eu les paupières si fermement closes, je n’aperçois le corbeau qu’une fois qu’il laisse tomber cet objet non loin de moi. *Merde !*. Une alarme m’étreint le ventre : c’est mauvais signe. Je le sais. Shaina comme Emily œuvrent dans la Résistance, et elles m’ont assez parlé d’à quel point le monde était dangereux actuellement, d’à quel point même Poudlard n’était plus si sûr que cela.

*Lèvres d’objet*, songé-je soudainement alors que la boîte tout juste révélée s’élève dans le ciel. C’est étrange. Je n’aime pas les Personnifications, lorsqu’elles ne sont plus seulement littéraires. Un nouveau bouleversement dans la Logique du monde, que j’ai pris si longtemps à apprendre.

« Bonsoir Poudlard, » qu’elle déclare. Un minuscule sourire grimpe à mes lèvres, puis je m’aperçois que je suis obligée de retirer mon casque si je veux tout saisir de ses paroles. Et je grimace atrocement alors que sa voix, ainsi que le Chœur des Autres qui reprend doucement, déglinguent à nouveau mon crâne.
Tout résonne autour de moi, mais je la fixe. Elle nous contemple. De manière hautaine. C’est une sensation qui m’agrippe la gorge. Cette angoisse... et puis, ceci, bien dissimulé, mais si présent... cette *fascination*. Elle est fascinante. Les formes de Magie qui me sont inconnues le sont.
Tout ce qui m’est inconnu est fascinant.

Ceci peut être solitaire, mais votre Protégé•e peut également se trouver non loin.
Thalia est vers le milieu de la Table des Poufsouffle (pas à l’exact milieu,
légèrement vers la Table des profs), sur le banc du côté des Serdaigle.
Dernière modification par Thalia Gil'Sayan le 24 oct. 2020, 21:31, modifié 1 fois.

[Thalia existe entre les échos]
[elle persiste, bien que les Mots l’aient abandonnée]