Inscription
Connexion
18 avr. 2021, 18:03
 ÉP 47.5 - Tribune  La Prison Noire
20 MARS 2046 – 3EME ANNEE
GRANDE SALLE - TABLE DES SERPENTARD



C’était aujourd’hui que le Tournoi commençait. Aujourd’hui que les quatres élèves aux cous de ronces partaient à l’aveugle, face à leur destin.
Toute l’école s’était réunie dans la Grande Salle. Tant d’élèves, dont certains beaucoup trop jeunes pour le sepectacle qui les attendaient, s’étaient réunis aux tables des Quatres Maisons. Certains avaient retrouvé des amis, d’autres de la famille, ou les deux en quête de soutient. Parce qui ne manquerait pas d’arriver changerait les personnes présente dans la salle, que ce soit les quatres élus, les professeurs ou les autres élèves.

Élicia avait retrouvé ses cousins, Lyam, Maxence et Tess à la table des Serpentard. Son frère Raphael, avait souhaité rester avec ses amis, et sa soeur, bien que déçue qu’il ne reste pas avec eux, avait accepté.
Ce n’était pas vraiment une réunion de famille sympathique, mais les retrouver lui faisait du bien, elle se sentait moins seule.
Son coeur battait fort et vite contre sa poitrine, et elle n’essayait pas de le calmer. Son regard était tourné vers les quatres élèves, dont elle connaissait au moins l’une des membres : Irene. En plus d’être joueuse de Quidditch, la Serdaigle était membre du MERLIN, donc elle l’avait souvent croisé et la connaissait plus que les trois autres élèves. Et puis Lilly aussi, une Poufsouffle d’un an de plus qu’elle. Aucun de ses élèves ne méritaient ce qui allait leur arriver.
Stressée, les yeux rivés vers l’endroit où tout commencera, la rousse ne bougeait pas. Ses cousins, en face et à côté d’elle, regardaient dans la même direction qu’elle, aussi impatient et stressé qu’elle l’était.
Puis tout à coup, les quatres élus disparurent.
Élicia n’ayant pas vu le geste de la directrice et la clé, sursauta et attrapa par reflexe le bras de Lyam, situé à côté d’elle.

Voilà, le Tournoi avait commencé. Dans la salle, l’ambiance était lourde et froide, c’était comme si on pouvait sentir la peur de chacun dans l’air. La peur et l’angoisse. Ils ne savaient rien de ce qu’il se passait là où étaient maintenant leur camarade. Et cette incértitude leur faisait encore plus peur.
La rousse échangea un regard paniqué avec Lyam et Tess, qui elle, était assise en face d’elle.
Elle regarda ensuite autour d’elle pour repérer quelques connaissance. Lumah était avec sa cousine et des amies à la table des Serdaigle, Raphael était avec ses amis aussi à la table des Poufsouffle, Harmony, son autre cousine était également à la table des Jaunes.
En se retournant, et remarqua également Aliosus pas très loin d’elle à la table des Serpentard, mais détourna la tête pour écouter ce que disait Maxence.

Joyeux Hunger Game, et puisse le sort vous être favorable !

Tess tapa sur l’épaule de son frère, qu’en temps normal sa blague aurait fait rire...mais le sujet était bien trop sérieux pour qu’elle ne fasse ne serait-ce qu’un sourire. D’ailleurs, lui même n’était pas convaincu par sa tentative d’humour, qui était plus un réflexe pour détendre l’atmosphère qu’une réelle envie de faire rire.
Lyam ignora la remarque de son frère, et posa une question

Je me demande où ils sont…

Tout le monde se posait certainement la questions. La jeune fille haussa les épaules, signe qu’elle n’en avait aucune idée.
Du coin de l’oeil, quelque chose attira son attention. Elle tourna la tête et équarquilla les yeux en voyant un nuage de fumée se former, pour laisser apparaitre une scène plus qu’effrayante : des adolescents se battant, des sorts qui fusaient de tout part, des statuts de pierre aux sol, comme si des personnes avaient été transformé et leur visage figés.
Puis deux garçons se livrant un duel qui n’avait rien d’amical.

Stupéfaite et effrayée, Élicia ne pouvait cependant pas détacher son regard de l’affrontement. Une larme roula sur sa joue sans qu’elle ne comprenne pourquoi. La seule question qu’elle se posait c’était, qu’advinendra-t-il du perdant du duel ?
Elle avait peur, tout son corps tremblait. En plus de les forcer à envoyer quatres élèves se battre dans le Dominion, les Lignés les forcaient aussi à regarder en direct ce qui arriverait à leur camarades…

La rousse retennait son souffle, angoissée, apeurée incapable de faire autre chose que regarder ce qu’il se passait à des kilomètres de Poudlard.
Une autre larme roula sur sa joue, elle ne la remarqua même pas. Pas plus qu’elle ne remarqua que Lyam avait prit sa main et la serrait fort dans la sienne, comme un geste de réconfort, de soutient.




@Lumah Greenleaf & @Aliosus Nerrah puisque vous êtes rapidement mentionnés :happy:
Si quelqu’un veut intéragir avec Elicia, même si elle est avec ses cousins, il n’y a pas de souci, mentionnez moi ^^

Boucle d'Or, 6ème année RP
To the stars who listen - and the dreams that are answered
18 avr. 2021, 19:13
 ÉP 47.5 - Tribune  La Prison Noire
C'est aujourd'hui que Jacob part. Première pensée à fuser dans mon esprit à peine les paupières ouvertes, ce matin. Elle ne me lâchera plus.
C'est aujourd'hui que Jacob part. Pensée qui tourne en rond dans mon cerveau comme un poisson prisonnier de son bocal alors que je prends la douche puis m'habille mécaniquement.
C'est aujourd'hui que Jacob part. Pensée qui m'assaille, frappe lourdement contre la paroi de mon crâne au rythme de mes pas descendant les marches comme en transe, mais qui ne s'interrompt pas lorsque je me baisse pour faire un lacet et qui finit par se calquer sur la fréquence bien plus rapide de mes inspirations et expirations tremblotantes.
C'est aujourd'hui que Jacob part.

Comme une grande partie du château, je suis dans la Grande Salle. Assise à la table de ma maison à côté de Jacob, je subis les derniers instants de sa présence. J'allais dire "profiter", mais la réalité est que je profite de rien du tout. La réalité est que je n'ai aucun contrôle et que depuis le début je ne fais qu'endurer, que je me sens dépassée, submergée, impuissante et plus tendue qu'un arc tenu d'une main tremblotante; tendu mais prêt à lâcher. Et il ne faut pas qu'il lâche. Pas maintenant. Quatre-vingt-deux. C'est le nombre de jours que j'ai eu pour me préparer à affronter aujourd'hui. Quatre-vingt-deux jours que cet arc se tend, un peu plus chaque fois qu'une nuit passe et qu'aujourd'hui approche. Et bien maintenant on y est. Jacob part et je sais pas quand je vais le revoir. Je m’agrippe désespérément à ces misérables cinq lettres formant le mot quand, parce que c'est la seule chose à laquelle je veux croire. En les remplaçant par autre chose, par la fameuse conjonction de doute par exemple, je ne pense pas que j'aurais la force d'être là. Non, je le sais.

J'aurais certainement dû réserver une part de mon inquiétude à Elowen, Lilly et Irene. Mais la vérité est que tout mon angoisse se condense autour du sort de Jacob. C'est peut-être égoïste, mais ça aussi, c'est la réalité. C'est compréhensible, ou bien? Je suis légitime d'être égoïste puisqu'il en va de mon ami, non? C'est le nom de Jacob que la maudite urne a craché, pas le mien, et certainement qu'il a encore beaucoup plus de raisons d'angoisser que moi. Mais depuis l'année passée, Jacob est devenu une partie de moi. Et je ne sais pas ce que je ferai les secondes, les minutes, les heures, les jours qui suivront son départ... Tout ça, j'essaie de le confiner dans un recoin de ma tête et de ne pas y penser. Parce que je sais que mon visage affiche mes émotions sans retenue et sans filtre, et que je ne veux surtout pas l'inquiéter. Et puis, c'est ce que je m'étais promis en me ressaisissant après tous ces jours où je l'ai évité en décembre. D'être forte. D'être Gryffondor.

A un moment, je ne sais pas exactement quand car toute notion du temps semble m'avoir abandonnée, je l'interpelle doucement pour qu'il tourne la tête. Je veux voir encore une fois son visage. Et croiser son regard. Et subitement, je passe mes bras autour de lui. Il se tourne vers moi. Je peux voir son visage et m'y attarde, souhaitant repasser une dernière fois sur chaque trait de ce visage familier déjà gravé dans ma mémoire. Puis j'ai droit à son regard. Il semble sourire et je souhaite m'y accrocher. A voix basse, je murmure:
"Jacob, oublie pas de revenir. S'il te plaît."
Il se rapproche encore un peu et lorsque j'entends sa voix, je suis prête à fondre en larmes. Mais je me mords l'intérieur de la joue, très fort, et parviens à ne pas céder, me contenant de hocher doucement la tête en réponse à ses mots.
"Courage."
Je le souffle autant pour lui que pour moi, parce que je sais que j'en ai besoin. Je n'ai pas envie de le relâcher mais je le dois bien. Je ne dis plus rien d'autre. Si j'ouvre la bouche, je sens que c'est avant tout un sanglot qui en échappera. Et puis, de quoi parle-t-on avec quelqu'un s'apprêtant à quitter les murs de Poudlard - dont la sécurité en laquelle j'ai cru ne me paraît maintenant être plus qu'une ruine craquelée - pour le Dominion, où le mot sécurité doit sembler aussi intrus qu'un détraqueur en discothèque? De toute manière, j'ai déjà assez à faire en essayant de maintenir l'arc tendu, de ne pas lâcher ici, maintenant, devant tout le monde et surtout devant lui. Je ne veux pas qu'une fois parti, il ait à penser à quoi que ce soit d'autre que sa survie.

Alors qu'il se lève et quitte la table, j'essaie de me répéter en boucle ses paroles. On n'en a pas fini. Je n'ai jamais autant espéré que quelque chose soit vrai. Et puis soudain, je la vois. La clé. Ma respiration s'encouble, trébuche, suffoque puis se bloque tandis que mes yeux s'écarquillent, ne voyant plus qu'un flash douloureux et intense d'images surgissant de ma mémoire. Obscurité. Vent. Voix. Déchirure. Tourment. Infirmerie. Cauchemar. Peur. Jacob. Ce qui a défilé à toute allure se fige brusquement lorsque je vois la clé et Jacob partager ensemble mon champ de vision. Black-out total pour quelques secondes. Désorientée, perdue, terrifiée, paralysée. J'ai besoin d'air.

La première chose dont je me souviens à nouveau est l'instant où je me rends compte qu'ils ont disparu. Que Jacob a disparu. J'expire et mon souffle dégage la dernière étincelle d'espoir que j'avais dans le coeur. Jacob est parti. Ils l'ont simplement laissé partir. J'ai envie de pleureur, de crier, de me lever pour lui courir après, de hurler au visage des adultes, des professeurs, de la directrice qui l'ont passivement laissé partir. Mais je ne sais par où commencer, et bien que tout ça doit s'exprimer sur mon visage décomposé, je n'en fais finalement rien. Mon cerveau semble avoir arrêté de fonctionner et mon regard reste bloqué sur la parcelle de sol sur laquelle Jacob, Irene, Elowen et Lilly se tenaient encore quelques instants auparavant. Encore une fois, je ne peux que subir. Et j'attends, sans savoir ce qui fait l'objet de mon attente.

Certainement pas le nuage de fumée qui surgit subitement devant la table des professeurs et qui capture malgré moi mon regard. Mon cerveau a besoin de quelques instants pour comprendre que ce que mes yeux distinguent dans les volutes obscures sont deux sorciers se livrant un duel acharné. L'image dans la fumée est si proche, si réelle. Je veux détourner les yeux mais n'y parviens pas. Fascination de l'horreur. Si l'apparition de la clé ne m'avait pas déjà émotionnellement achevée, ça aurait été le cas maintenant. Oh Merlin. Si Jacob apparaît, je ne sais pas ce que je ferai.

En accord avec @Jacob Tramontane pour les actions.
Et parce que tu es très légèrement mentionné. ;)

ˈli(ː)əʊ ˈʤɪnʤə
Flash McQueen, Flash McWin
18 avr. 2021, 19:50
 ÉP 47.5 - Tribune  La Prison Noire
Elina se tenait debout sur cette estrade, aux côtés de Kristen et face aux quatre concurrents. Son maintient était raide. Le tournoi aurait lieu, mais ils avaient veillé à donner aux quatre élèves un atout précieux. Elle espérait que Jacob n'oublierait pas son conseil. Cela pouvait lui sauver la mise à l'occasion. Ils pouvaient s'en sortir. Ce ne serait pas simple, mais ils avaient le même âge que lorsqu'elle s'était trouvée elle-même dans le Dominion et en l'occurrence elle était désarmée et n'avait pas disposé d'un atout comme c'était leur cas. Elle en était tout de même sortie en un seul morceau. La principale différence, c'était qu'il leur faudrait aussi se méfier des élèves des autres écoles.

Son regard accrocha la clef que Kristen tendait aux quatre sélectionnés. Cette clef s'était révêlée être un portoloin à retardement. Elle devait les mener à destination, quelle que soit cette destination. Arriveraient-ils devant une entrée du Dominion ? Dans le Dominion lui-même ? C'était impossible à dire. Elle mourrait d'envie de tendre sa main elle aussi et de les suivre dans le Dominion. Si elle ne pouvait pas les empêcher de s'y rendre, ne pouvait-elle pas tout de même les protéger ? Mais les Lignées ne l'auraient certainement pas laissé faire. Elle ne serait probablement jamais arrivée jusqu'au Dominion... L'instant d'après, les enfants avaient disparus. Les yeux d'Elina s'étrécirent, mais elle ne fit aucun commentaire, conservant son visage impassible. Elle ne pouvait désormais que leur faire confiance pour s'en sortir par eux-même... et espérer que son plan fonctionne. La machine était en marche. Les rumeurs faisaient leur chemin, les protestations commençaient à s'élever. C'était ce qu'elle espérait. Lorsque le mécontentement se changerait de grondement en cri, plus personne ne pourrait se contenter d'ignorer cette lutte contre les Lignées.

Ses réflexions furent momentanément interrompuent par une élève qui se donna en spectacle. La sous-directrice détourna rapidement sont attention de la jeune fille, mais y fut ramenée par les propos que celle-ci se mit à vociférer. L'intervention de Kristen tomba à point nommé, mais Elina se promis de garder un œil sur cette élève de seconde année qu'elle avait en cours. L'heure était suffisamment grave pour ne pas laisser une enfant déblatérer des inepties à propos des nés-moldus. Elle n'accorda pas un regard au journaliste qui se tenait dans un coin. Il leur avait été imposé par les Lignées qui désiraient que la compétition soit couverte dans le monde entier. C'était une raison suffisante pour ne pas apprécier sa présence. Elle vit la brume se former entre la table des professeurs et celle des élèves. Trop haut pour l'atteindre, même sur la pointe de pieds. Fronçant les sourcils elle attendit de voir ce dont il s'agissait, la main sur sa baguette. Voyant qu'il s'agissait d'une retransmission de ce qu'il se passait dans le Dominion, une expression de surprise passa rapidement sur son visage avant que ses sourcils ne se froncent de plus belle. Ce qu'elle voyait n'augurait rien de bon. Elle surpris le regard de Kristen et, plutôt que de rester là à regarder le nez en l'air, regagna sa place à la table des professeurs. Au côtés de la directrice elle lâcha :


« Devons nous vraiment les laisser regarder ça ? »

Elle doutait que ce soit un spectacle pour les jeunes sorciers rassemblés. Les contraindre à participer à ce tournoi ne suffisait pas, les Lignées voulaient qu'ils voient tout ce qui allait arriver aux élèves. Pour le moment, Elina ne pouvait rien faire, mais bientôt, ce serait une autre histoire...
@Kristen Loewy et aux professeurs à proximité.

23 ans inRP
Benjamine de la Pédagogie, Championne du Tournoi des Trois Sorciers, Rôtisseuse de Sang-Pur (BBQEAF), coeur du KEN et Briseuse de Rêves. La fille du FEU!
¤ Ne sous estimez pas les griffes du blaireau parce que sa fourrure vous semble douce ¤
18 avr. 2021, 20:01
 ÉP 47.5 - Tribune  La Prison Noire
Reducio
[quote]
E.O'B | 02 | M.A. | L.A. | E.P. | 06 | A.F. | M.L. | S.L. | R.W. | C.R. | N.H. | 13 | E.Co. | I.P. | E.D. | L.E.
------------------------------------------
PORTE __________________| TABLE DES ROUGES| ___________ TABLES DES PROFESSEURS
------------------------------------------
E.C. | T.W. | N.M. | E.V. | J.H. | O.G. | S.B. | P.E. | B.H. | D.T. | L.L. | A.J. | Jo.T. | L.G. | J.T. | J.D. | 17


Plan de la table des Gryffondor actuellement


"Elena" entend elle, elle tourne la tête ne comprenant pas pourquoi on l'appelle, elle croit même que c'est juste un effet de cette illusion jusqu'à ce que son prénom, elle l'entende une seconde fois plus distinctement. La rouge ne remarque que quelques secondes après que son bras enlaçait presque celui de son voisin, un visage familier qu'elle n'avait pas pu oublier : celui d'Infini. Se sentant terriblement honteuse, elle entrouvre la bouche tentant encore de se persuader que son bras n'est pas autour de celui de son camarade.

« Infini ? Je - excuse-moi, j'voulais pas, je crois que j'ai un peu trop paniqué...» Bredouille-t-elle.

Elle n'a pas le temps de mettre un point final à sa phrase, Infini lui cache cet horrible spectacle, il l'en empêche presque d'observer le combat agressif qui se déroule. Dans l'incompréhension de ce qu'il se passe elle ne réagit pas. Une fois qu'elle reprend ses esprits, elle écoute attentivement les paroles de son voisin tout aussi perturbé qu'elle, cela se voyait. Elle ne prend pas longtemps à comprendre, lui et Jacob, ils sont si proches. Elle les apercevait régulièrement passer du temps ensemble. Le sentiment de peine qu'Elena pouvait ressentir n'est rien à côté de celui du Gryffondor. La jeune fille soupire avant de lui répondre.

« Infini, voyant une larme couler sur sa joue, elle s'arrête et pose sa main sur son épaule, compréhensive, je ne vois pas ce que nous pourrions faire...On est comme obligé de regarder ça et les professeurs ils - »

Elle ne finit pas sa phrase, elle regarde autour d'elle, ayant une idée derrière la tête. Elle ignore si elle est bonne ou mauvaise, réalisable ou non mais elle était prête à tenter n'importe quoi quitte à agir d'une façon inhabituelle pour elle.

Elena prend une grande inspiration, sa cage thoracique remplie d'air, elle souffle d'un coup avant de se lever de son banc. Elle tourne la tête en direction de la table des professeurs. Ses mains tremblent et la rouge est raide comme un piquet. Elle va faire une action dont elle ignore les répercutions. En temps normal elle n'aurait jamais osé faire un telle chose mais la situation allant beaucoup trop loin, elle prend son courage à deux mains et pour la première fois, elle se fait entendre.

« HEY ! après ce cri d'une intensité suffisamment forte, il se déroule quelques secondes avant qu'elle pose la question fatidique. Est-ce que v-vous pouvez arrêter ç-ça ?! » Bafouille-t-elle en espérant se faire entendre.

Les bruitages des sortilèges, les petits éclairs vifs dans la fumée et ses bégaiements ne l'empêchent pas de crier aux professeurs présents son souhait, c'est presque ça, un souhait. Le souhait de ne pas avoir à regarder cela, de pouvoir apaiser les esprits déjà bien assez dérangés comme cela.

Reducio

@Infini Parker
Infos RP : Le cri d'Elena peut être entendu à quelques mètres d'elle
Chers professeurs/adultes présents, vous êtes totalement libres d'entendre la requête d'Elena et d'y répondre ou non.

Cinquième année | 16 ans
18 avr. 2021, 20:42
 ÉP 47.5 - Tribune  La Prison Noire
*C'est quoi cette école de fou*
Magdaleen n'en croyait pas ses yeux. D'abord, Poudlard laissait partir 4 élèves vers un endroit ou des gens de leur age utilisaient des sortilèges impardonnables, et en plus le reste de l'école assistait à la scène ?? Mais quel professeur digne de ce nom accepterai cela ???
*Si on voit Elowen ou Irène mourir en direct ..*

Et d'alleurs, pouvait t'on partir ? S'en aller d'ici, ne pas regarder des jeunes de leur âge s'entretuer.

Prenant son courage à deux mains ( et une troisième n'aurait pas été du luxe ), elle se leva. Et lança à la table des professeurs

- Les élèves sont t'ils libres de partir si ils le souhaitent ?

La réponse ne la concernait pas. L'Ecossaise avait posé la question pour tout les premières années qui regardaient cette horreur. Et clairement, elle n'était pas la seule à se poser des questions parmis les élèves.

Pour l'instant, aucun élève de Poudlard n'était apparut à l'écran, ce qui était un point positif. Si l'un d'entre eux avaient des problème, c'était sur que les ... responsables aurent veillé à ce qu'ils le sachent. Magdaleen se demandait de quelle école venaient ces deux garçons
*Une école ou l'on enseigne les sortilèges impardonnables*

Peut être que on aurait du apprendre à Elowen, Irène, Lilly et Jacob quelques sortilèges méchants.

Elle essaya de se représenter Elowen jetant le sortilège Doloris, mais ni parvint pas. Ce n'était pas Elowen qui pouvait se conduire ainsi

Compte non actif
18 avr. 2021, 23:52
 ÉP 47.5 - Tribune  La Prison Noire
On dit que les jours se suivent et ne se ressemblent pas. Quiconque était présent dans la Grande Salle en ce 20 mars 2046 vous confirmerait que cela est vrai. Vingt-quatre heures plus tôt, on entendait en ce lieu des éclats de rires et nombreux étaient les sourires. Mais aujourd'hui, l'ambiance était pesante et chacun, enfant ou adulte, retenait son souffle dans l'attente de ce qu'il allait arriver. Une tension palpable parcourait les tables pleines. Presque toute l’école était présente. Même quelques journalistes avaient fait le déplacement. Preuve - s’il en fallait une - que cet instant était exceptionnel. Un moment qui resterait, pour beaucoup, gravé dans leur mémoire.

Assis à la table des professeurs, Mark était particulièrement silencieux. Bouche en appui sur ses doigts entrelacés, l’enseignant fixait d’un regard éteint les quatre élèves face à lui. En pleine lumière et exposés à des centaines de paires d'yeux, les candidats tentaient de faire bonne figure. L'homme s’efforçait de les voir comme des héros de Poudlard mais les colliers de ronces blanches lui renvoyait une image bien plus sombre. Celle d’un asservissement à une cause qui les dépassait. Ils n’étaient finalement que des hérauts de Poudlard destinés à montrer que l’école était présente dans ce tournoi dont on ne connaissait rien. Qui serait assez fou pour vouloir miser sa vie dans un jeu sans règle ?

Lui l’aurait fait. Sans doute possible. L’aventure, l’honneur, la reconnaissance n’étaient que quelques unes des motivations qui l’auraient poussé à accepter le défi. Tout en se redressant sur sa chaise, Mark prit une profonde inspiration et ferma les yeux pour chasser les idées négatives qu'il venait d'avoir. S’il commençait à douter, autant démissionner et plier bagage. En tant que professeur, il se devait d’être un modèle pour ces adolescents. Malgré lui, il était une inspiration pour certains et il se devait de faire preuve d’abnégation, de courage et d'optimisme. C’était en tout cas la vision qu’il avait de son rôle à Poudlard. De plus, il était désormais trop tard pour faire marche arrière. Le tournoi allait avoir lieu. En se remémorant les mots qu’il avait dit à Gates quelques mois plus tôt, Mark sourit. "Ce sera une expérience à la fois fabuleuse et terrifiante." En cet instant, ils semblaient plus vrais que jamais. Chacun des candidats était prêt. Et même si Mark aurait souhaité prendre leur place, ce n’était pas son aventure. Il était l’heure qu’ils commencent à écrire un nouveau chapitre de leur jeune vie. Tout commençait maintenant.

Pop.

Les quatre élèves venaient de disparaître au contact du Portoloin. Une surprise qui remua la Grande Salle. Comme lors d’événements forts ou traumatisants, chacun réagissait comme il le pouvait. Pleurs, cris et murmures succédèrent au départ des quatre candidats. Un Periculum fendit même le ciel magique. Mark en chercha la provenance mais la directrice avait déjà réglé le cas de sa source. Alors qu’il allait se lever, le professeur de défense contre les forces du Mal entendit Rafael et Archibald discuter. Il tenta de se mêler à la conversation mais ses efforts furent rapidement interrompus. Une fumée magique commençait à prendre forme devant lui. L’air dans les poumons de Mark devint glacial. Il sentit les muscles de sa bouche se contracter. Toute l’assemblée allait assister en direct au tournoi. Il en était persuadé tant cela était une évidence dans l'enchaînement des événements depuis l’urne noire. Le spectacle qui défila alors sous ses yeux lui rappela immédiatement ce qu’il avait vécu en tant qu’Auror. Des images d’une rare violence proches de scènes de guerre. Et tous les élèves de Poudlard étaient là à les contempler. C’était inacceptable.

Alors que la directrice avait pris place à la table, Mark, dont les artères des tempes commençaient à gonfler, posa fermement les mains sur le bois dur devant lui et se pencha en avant. Elle devait tout arrêter immédiatement. Elina semblait avoir le même ressenti que Mark car elle annonça à voix haute ce qu’il s'apprêtait à dire.
@Archibald Featherstone @Rafael Mason @Elina Montmort @Kristen Loewy

Détective privé à Pré-au-Lard
DDM de Gryffondor du 1/9/46 au 13/10/46
Ancien professeur de DCFM
19 avr. 2021, 03:33
 ÉP 47.5 - Tribune  La Prison Noire
A la table des professeurs, Magdaléna était livide. Ce tournoi allait avoir lieu et seul Merlin savait ce à quoi leurs élèves allaient être confrontés. *Merlin et ces maudites lignées...*, songeait la jeune femme. Elle qui avait plutôt la réputation d'être calme et affable, avait orienté ses recherches personnelles dans une autre direction, celles des poisons, dans l'espoir de pouvoir s'en servir pour régler la question des Lignées de façon... définitive. Un peu de baume sur le coeur de la jeune femme, encore et toujours hantée par la vision des trois enfants prisonniers, mais elle n'ignorait rien de son inutilité... Toutefois, il lui semblait qu'elle n'en avait jamais eu aussi conscience que ce jour. Attablée à la table des professeurs, la professeure de potions se sentait totalement démunie face aux quatres élèves désignés par l'urne et face à l'ensemble de leurs camarades.

La clef, probable portoloin, venait d'être tendue au groupe. Magdaléna se demandait si le groupe allait rester groupé, si le tournoi allait être lancé dès leur arrivée ou si il y aurait un petit laps de temps... Elle espérait surtout qu'ils ne seraient pas pris pour cible en arrivant... La jeune femme se tendit encore davantage si cela était possible: ils venaient de disparaître. Les réactions de leurs camarades ne se firent pas attendre mais le regard de la professeur continuait à fixer l'endroit où étaient les concurrents l'instant d'avant. Seul le scandale d'une élève, très vite calmée par Kristen, lui permit de reprendre pied dans l'instant présent.


Mais pourquoi faire? Ils n'avaient aucune prise sur le tournoi et ne savaient même ce qui s'y passait... *Mais qu'est-ce que... Oh, non, pas ça...* Les Lignées ne laissaient définitivement rien au hasard lorsqu'il s'agissait de mise en scène: Magdaléna devait bien le reconnaître. *Bien-sûr, ils n'allaient pas se priver de spectateurs pour "leur" foutu tournoi*, songea-t-elle la machoire serrée. Comme si mettre des élèves, soit disant, en compétition ne suffisait pas, ils souhaitaient que leurs camarades soient témoins de leurs éventuelles, mais probables, souffrances. La colère de Magdaléna monte encore d'un cran lorsqu'elle prend conscience de ce qu'elle voit. La transformation en statue la laisse comme foudroyée. C'était donc cela qui attendait ceux qui auraient le malheur de chuter? Etre transformés en pierre...? Elle savait que les règles étaient différentes dans le Dominion mais elle n'était pas préparée à ça. Magdaléna se demanda aussi si ces images étaient d'un proche futur ou du passé proche: y avait-il déjà des élèves prisonniers du Dominion...? Les Lignées avaient promis qu'il n'y aurait "pas de morts" mais être ainsi figé, est-ce mourir...? La jeune femme ne pouvait s'empêcher de se poser la question alors que se déroulait devant les yeux un duel de grande intensité. Même si elle fut momentanément soulagée de ne pas reconnaître un élève de Poudlard, elle se reprit quasi instantanément: il s'agissait, quoiqu'il arrive et quelle que soit leur école, d'adolescents. Tous comme les centaines de paires d'yeux qui regardaient la scène... Bien qu'un peu éloignée, la jeune femme n'eut pas de mal à entendre la question d'Elina et ne pouvait qu'approuver, prête à intervenir. Même si elle doutait que les Lignées se privent d'un tel public aussi facilement...

@Archibald Featherstone @Rafael Mason @Elina Montmort @Kristen Loewy @Mark Dole

#400080
19 avr. 2021, 12:33
 ÉP 47.5 - Tribune  La Prison Noire
Après les nombreux services qu'Irene lui a rendu lors de sa deuxième année, un lien de reconnaissance s'est construit et encore aujourd'hui, la jeune fille a besoin de lui exprimer sa gratitude. De plus à l'heure actuelle, les rôles auraient pu s'inverser, Alaska aurait pu être sa place, dans l'effroyable Dominion. C'est en partie grâce à son aide, à sa pédagogie et à ses mots réconfortants qu'elle a eu le cran de mettre son nom dans l'urne noire : ils ont déclenché tout un mécanisme de confiance en soi et de détermination chez elle qui lui sert quotidiennement.

A la question de la Poufsouffle la brune hausse les épaules, ce n'est qu'une supposition de sa part mais vu l'ennemi qu'ils ont en face, elle s'attend à tout, soucieuse. Ses inquiétudes sont vite confirmées car tout d'un coup la salle s'assombrit, une épaisse fumée noire est au centre de l'attention et monte vers le ciel. A l'intérieur, la Serpentard distingue des formes, mais ce n'est pas assez précis pour qu'elle puisse mettre des mots dessus.

« C'est le plafond de la Grande Salle qui fait encore des siennes... ? » demande-t-elle d'une voix tremblante, dans le déni d'une autre vérité.

Des éclairs jaillissent, tout est brouillon, s'entremêle, et n'a pas d'ordre. Alaska a la nausée, son estomac se soulève et elle tente de détacher son regard de cette obscure magie. Finalement le déferlement d'images s'arrêtent, ses iris verts parviennent à voir deux silhouettes, et plus précisément deux adolescents qui s'affrontent en duel. Les cris de stupeur rendent l'atmosphère encore plus angoissante, et Alaska y est très sensible. Elle a redouté ce moment, l'effet de foule est dangereux, elle ne peut s'empêcher de plaquer ses paumes de main contre ses oreilles pour atténuer le bruit et faire face à ce phénomène. Heureusement sa voisine est plus mesurée, elle n'aurait pas pu supporter d'être à côté d'une personne hystérique, à supporter ses états d'âmes.

« Ils pourraient faire un effort, ça n'a rien de bon d'alimenter la peur dans cette situation, aussi effrayante soit-elle. Puis justement, ça ne fait que m'angoisser encore plus. Pas toi ? » fait-elle remarquer à Megan, en désignant du menton un groupe d'élèves en pleurs et paniqués, et qui à son goût en font des caisses.

Les yeux rivés sur l'image du duel, elle constate que les deux jeunes hommes ont presque le même âge qu'elle, le même aussi qu'Elowen, Jacob, Lilly, et Irene. Un frisson lui parcourt l'échine, elle est complètement troublée. Sur plusieurs gestes distincts, Alaska fait un signe de croix : ses deux doigts touchent son front en premier, puis sa poitrine, et enfin ils vont d'une épaule à une autre. En même temps elle prononce quelques mots en chuchotant, qui ressemblent aux paroles du Notre Père. Elle souhaite que sa prière accompagne les sélectionnés, qu'ils fassent les bons choix et que si par malheur ils leur arrivent quelque chose, qu'ils trouvent le chemin du paradis. Ses croyances l'aident à surmonter son anxiété, mais elle aura besoin de plus... La quatrième année se retourne vers la table des professeurs, elle cherche le soutien de son grand-père avant de constater qu'ils sont assez agités, elle attend tout de même une réaction de leur part.

@Megan Arrington

En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j'atteins !
Septième année RP
19 avr. 2021, 15:43
 ÉP 47.5 - Tribune  La Prison Noire
J'ai envie de vomir. Je n'aurais peut-être pas dû venir – je ne voulais pas venir. Mais il y a Lilly Zarbi, cette élève de Poufsouffle, mon élève... Et puis il y a ces deux Serdaigle, avec qui je partage sûrement beaucoup de valeurs. Il y a cette Irene, dont je partage même le prénom. Et il y a ce garçon, qui aurait pu être Louis.

Je suis assise, le regard perdu devant moi, sans se poser ni sur les élèves, ni sur les images, et surtout pas sur mes collègues. Surtout pas sur Kristen Loewy, qui a laissé tout ça se faire. Et surtout pas sur moi-même, qui ai laissé tout ça se faire. Je crois que ma lâcheté ne m'a jamais autant dégoûtée. D'où cette terrible envie de vomir tout ce que je n'ai pas pu avaler de la journée.
Si quelqu'un trouve la mort... Je ne sais même pas comment je réagirai. Comme d'habitude, sûrement. Donc en ne faisant rien.

C'est Elina qui me sort de ma torpeur. Elina, qui a gardé Louis, qui était encore élève quelques mois avant que je ne rejoigne Poudlard, et qui a déjà connu ce que vivent ces quatre élèves. Si je devais choisir une personne dans cette salle pour les sortir, enfin, nous sortir tous de là, ce serait elle. Mon visage se penche, trouve refuge au creux de mes mains, où je peux me laisser aller à fermer les yeux sans être vue. Et, en me massant doucement le front, je laisse échapper dans un soupir à peine audible :
« Par pitié, renvoyez-les dans leurs salles communes... »

@Elina Montmort ou @Oliver Briggs Si l'un de vous a une super ouïe, il aura peut-être entendu Irene la drama-queen :wise:

Ça va être une grande, grande, grande journée !
19 avr. 2021, 17:23
 ÉP 47.5 - Tribune  La Prison Noire
1
___________________


Dans le château, l'atmosphère est tendue depuis plusieurs jours . Les élèves se toisent les uns les autres, on entend des murmures et certains craquent en sanglots au milieu des salles de classe. Même certains professeurs donnent l'impression d'être ailleurs, bien plus inquiet par l'avenir de leurs élèves que par l'attitude de leur classe. La salle commune des aigles est devenue une boule de nerfs. Étant la seule maison à donner deux tribus, nous sommes naturellement deux fois plus inquiets. Mais c'est aujourd'hui que la tension est à son comble. On peut à peine respirer tant l'air est chargé de mauvaise onde. Je m'assois à ma place habituelle à la table des Serdaigle, proche de mon amie Unna. Je la considère comme mon pilier. Quoi qu'il arrive, elle sera là et on passera cette épreuve ensemble.

Depuis le début j'ai une boule au ventre. Est-ce que je devrais voir tout ça à seulement onze ans ? La plupart d'entre nous sont trop jeunes pour connaitre ça et malgré la maturité de certains, nous ne sommes même pas encore sorties de l'enfance. Je prends sur moi. Je respire et parle avec les autres personnes assises autour de la table, tout en restant le proche de Unna. Tant qu'elle est là, tout ira bien.

Enfin, Miss Leowy tend les clefs aux quatre élèves. Ils ont disparu. Mais comment ? Un portoloin ? Comment en être sûr ? Je n'en ai jamais vu en vrai. Pourtant personne ne semble affolé. J'essaye de garder mon calme, je ne dois pas craquer et entrainer d'autres personnes avec moi dans ma crise de nerfs. Tout va bien, il faut juste les attendre.
Lorsque l'épais nuage de brume apparait, il aspire immédiatement toute mon attention. Impossible de détourner les yeux, malgré la violence des images qui s'en dégage. J'ai envie de vomir ou d'éclater en sanglots, de me cacher dans un coin ou d'éclater dans une rage folle. Mais je suis tétanisée, absorbée par des images que je n'aurais jamais dû voir. J'attrape machinalement la main d'Unna posé sur la table. J'ai besoin d'un encrage, de contact humain pour ne pas laisser place à la panique.

- Oui ... j'espère aussi ... Comment est-ce qu'on peut faire ça à des ados ...? Et comment est-ce qu'on peut nous obliger à regarder ça ...? Il faut vraiment être sadique.

Je me tourne vers elle dans un élan de dégout. Je ne peux plus regarder ces images, ça me tord le bide. Je cherche un peu de réconfort dans le regard de mon amie. J'ai tellement de questions...

- Est-ce que la clef était un portoloin ? Tu penses que c'est en direct ?

@Unna Bright :kiss2:
Dernière modification par Louise Leench le 22 avr. 2021, 00:22, modifié 3 fois.

- color=#0B5494 -
Présence normale-Tout doux - En vadrouille
Ma volière est ouverte aux propositions de RP