Honte à Eux
✵✵✵
16 septembre 2045, 7h52
RP libre
Grande Salle, Poudlard.
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Grande Salle, Poudlard.
| iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii | Reducio Viens rejoindre cette dance, Plume qu'importe que tu es. Je te demande juste de ne pas connaître celle que j'ai créée. Pas besoin de demander pour m'accompagner dans ces mots |
Un jour comme les autres arrivait. Un jour banal, un jour d'habitude. Le samedi était pour toi un moyen de te reposer, tout comme le dimanche. Tirée du lit à 7h30, tu n'avait pas réussi à dormir plus, bien que tu étais fatiguée. L'image du lard et du toast qui t'attendaient sur la table de Serpentard t'avait fait t'habiller en vitesse pour te précipiter vers le rez-de-chaussée. Dans la Grande Salle, tout se passait comme d'ordinaire. Les elfes avaient préparé aux élèves un somptueux petit-déjeuner, comme il était à leur habitude. Tu te demandes parfois comment ils ont le temps et le courage de faire ça, mais surtout la force. Enfin après tout, c'est ce qu'ils sont destinés à faire en venant ici.
Tu t'assoies à la table des verts, te précipitant sur les tranches de pains chaudes. Attrapant du bacon fumé, tu regardes en haut. L'heure du courrier. Les hiboux et chouettes virevoltent au dessus des têtes des élèves, distribuant au passage les lettres qui sont destinées aux enfants. Journaux quotidiens ou courriers familiaux, quasiment tout le monde est servit. Tu préfères te concentrer sur ce qu'il y a à manger, car tu sais déjà qu'aucune lettre ne t'est destinée. Pourtant, tu aperçoit un vieux hibou se diriger vers toi, légèrement en décalage avec les autres. Edwen. Le facteur familial.
Margaret ? Est-ce elle qui t'écrit ? Tu l'espères. Parce que sinon c'est… Oh non. Tu leur a récemment envoyé une lettre pour leur dire que Serpentard était désormais ta maison. Si c'est Eux qui te répondent… Tu saisis la lettre des serres de l'animal. Une boule se forme dans ton ventre. C'est une beuglante.
Comment faire ? Tu l'ouvres maintenant et tout le monde entend ou tu attends et elle te saute au visage ? Tu ne sais pas, tu ne sais plus. Néant. Inconsciemment, tu décroche le cachet de cire…
- APRIL !!! Tu nous fais HONTE ! SERPENTARD, tu n'aurais pas put mieux tomber ! Et pourquoi pas POUFSOUFFLE tant qu'on y EST ! Tête de MÛLE ! Tu n'est qu'une PESTE RÉPUGNANTE ! Et en plus tu en es FIÈRE ! À croire que c'est ta PETITE SŒUR qui doit te montrer L'EXEMPLE ! Mais vas, vas avec tes petits serpents MINABLES ! Dis-toi juste qu'en rentrant au manoir, on ne fera pas de banquet en ton HONNEUR !
Puis rien. C'était tout. C'était déjà pas mal. Cette voix… tu la hais. Cette voix qui parle pour Eux. La voix de ton père qui parle pour ta famille. Tu les hais. Ta gorge se noue. Tu veux pleurer. Non pas de tristesse, bien plus encore. De rage, de haine. Tu les détestes.
✵✵✵
Viens joindre tes Mots à cette dance, chère Plume.
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Ella se levait rapidement, l'image du petit-déjeuner qui l'attendait gravé dans son esprit. Elle s'était habillé en vitesse, ne voulant pas voir la Grande Salle pleine. Elle monta les escaliers en courant. Elle s'arreta juste devant les portes. Elle voulait sentir les bonnes odeurs qui venait de l'intérieur.
Il était tôt. Même si elle était pleine d'énergie. Elle n'avait pas l'habitude de se lever aussi tôt mais la nouveauté de Poudlard lui donnait l'envie de se lever. Respirant les odeurs de nourriture qui lui donnait tant envie, elle rentra dans la Grande Salle.
Ses quatres grandes tables étaient impressionnantes. La jeune Serpentard s'assit à la table des verts. Ella s'était installée à une place d'une fille à la peau foncé qui avait déjà entamé son petit-déjeuner. La jeune Serpentard se servit en lard et se fit une tartine de marmelade. C'étzit plutôt rare qu'il est autant de diversité chez elle, à Londres. Comme il n'était que quatre et que personne ne mgeait beaucoup le matin, on ne pouvait pas trouver des œufs et du lard tous les matins. Mais à Poudlard, oui.
Elle avait attaqué son lard quand les premiers hibou apparus. Çela lui fit passer qu'elle devait envoyer un hibou à sa famille mais elle rejetait à plus tard à chaque fois. De toute façons si ils voulaient vraiment de ses nouvelles, ils auraient le premier pas. Mais non.
Voulant chasser ses pensées, elle coupa férocement son lard. La jeune sorcière n'avait pas remarquer que sa voisine avait dans les mains une lettre rouge vive. Si elle avait levé les yeux, elle aurait vu que la fille avait ouvert cette lettre. Mais elle n'avait rien vu de tout cela.
Alors, quand elle entenda le premier cri, elle sursauta. Elle se calma bien vite, ne voulant pas se donner en spectacle. Les mots de la beuglante était fait pour blesser. Les mots étaient piquants, comme empoisonné. Mais, malgré le fait que ces mots n'était pas diriger vers elle, la Serpentard se sentit piqué. Cette personne était qui pour traiter les fiers et provocateurs Serpentard des minables. Qui était-il la traiter de minable ?
Ses yeux se plissèrent. Son regard était noir, assassin. Ses lèvres reflétaient la colère sourde que lui avaient inspiré ses mots.
Elle tourna la tête vers la fille qui avait reçu cette lettre. Elle ne voulait pas hurler loin de là. Elle n'allait pas exploser. Cette fille, April supposat-elle, ne l'avait pas mérité. Loin de là. Mais elle n'arrivat pas à enlever toute la colère de sa voix.
-Comment ose-t-il nous traiter de minable ? siffla-t-elle.
Ses mots étaient à la fois pour elle, lui permettant d'évacuer cette colère, et pour cette fille. Elle voulait savoir.
Et je suis là chère Plume d'@April Always Pour info, j'ai fait du +
ela fiɲ | 3e année RP [47-48] | Parrainage | Membre de la RASA | #488534 | Ma Chacha
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Il était tôt. Même si elle était pleine d'énergie. Elle n'avait pas l'habitude de se lever aussi tôt mais la nouveauté de Poudlard lui donnait l'envie de se lever. Respirant les odeurs de nourriture qui lui donnait tant envie, elle rentra dans la Grande Salle.
Ses quatres grandes tables étaient impressionnantes. La jeune Serpentard s'assit à la table des verts. Ella s'était installée à une place d'une fille à la peau foncé qui avait déjà entamé son petit-déjeuner. La jeune Serpentard se servit en lard et se fit une tartine de marmelade. C'étzit plutôt rare qu'il est autant de diversité chez elle, à Londres. Comme il n'était que quatre et que personne ne mgeait beaucoup le matin, on ne pouvait pas trouver des œufs et du lard tous les matins. Mais à Poudlard, oui.
Elle avait attaqué son lard quand les premiers hibou apparus. Çela lui fit passer qu'elle devait envoyer un hibou à sa famille mais elle rejetait à plus tard à chaque fois. De toute façons si ils voulaient vraiment de ses nouvelles, ils auraient le premier pas. Mais non.
Voulant chasser ses pensées, elle coupa férocement son lard. La jeune sorcière n'avait pas remarquer que sa voisine avait dans les mains une lettre rouge vive. Si elle avait levé les yeux, elle aurait vu que la fille avait ouvert cette lettre. Mais elle n'avait rien vu de tout cela.
Alors, quand elle entenda le premier cri, elle sursauta. Elle se calma bien vite, ne voulant pas se donner en spectacle. Les mots de la beuglante était fait pour blesser. Les mots étaient piquants, comme empoisonné. Mais, malgré le fait que ces mots n'était pas diriger vers elle, la Serpentard se sentit piqué. Cette personne était qui pour traiter les fiers et provocateurs Serpentard des minables. Qui était-il la traiter de minable ?
Ses yeux se plissèrent. Son regard était noir, assassin. Ses lèvres reflétaient la colère sourde que lui avaient inspiré ses mots.
Elle tourna la tête vers la fille qui avait reçu cette lettre. Elle ne voulait pas hurler loin de là. Elle n'allait pas exploser. Cette fille, April supposat-elle, ne l'avait pas mérité. Loin de là. Mais elle n'arrivat pas à enlever toute la colère de sa voix.
-Comment ose-t-il nous traiter de minable ? siffla-t-elle.
Ses mots étaient à la fois pour elle, lui permettant d'évacuer cette colère, et pour cette fille. Elle voulait savoir.
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J'entrai dans la Grande Salle et m'assis à la table des Gryffondor. Il était assez tôt mais j'étais matinal et n'étais pas vraiment du genre à faire la grasse matinée. La semaine précédente avait été intense et je sentais la fatigue peser sur moi. J'avais donc prévu de passer la journée à me reposer dans le parc, un livre à la main.
Je pris un bol de porridge ainsin qu'un verre de jus de citrouille. Je m'apprêtais à manger quand l'heure du courrier arriva. J'aimais particulièrement ce moment, pendant lequel on pouvait apercevoir une nuée d'oiseaux volant partout dans la Salle, une lettre ou un journal dans les pattes. Un hibou se détachait du groupe, il était en retard par rapport aux autres. Intriguée, je l'onservai pour voir à qui il appartenait. Le hibou se dirigea vers la table des Serpentard et s'arrêta face à une jeune fille. Elle avait de magnifiques cheveux bouclés ainsi que des yeux en amandes noirs.
Je pus apercevoir son étonnement face au hibou, puis son anxieté peu après.
*De quoi a-t-elle aussi peur ?*
Mais la Serpentard se décala et je pus l'apercevoir.
Cette enveloppe.
Rouge vif.
Une beuglante
Je n'ai jamais eu l'occasion d'en voire une mais, vu ce que l'on raconte sur elles, je plaignait la pauvre fille. Celle ci décida d'ouvrir l'enveloppe qui s'écris avec force :
- APRIL !!! Tu nous fais HONTE ! SERPENTARD, tu n'aurais pas put mieux tomber ! Et pourquoi pas POUFSOUFFLE tant qu'on y EST ! Tête de MÛLE ! Tu n'est qu'une PESTE RÉPUGNANTE ! Et en plus tu en es FIÈRE ! À croire que c'est ta PETITE SŒUR qui doit te montrer L'EXEMPLE ! Mais vas, vas avec tes petits serpents MINABLES ! Dis-toi juste qu'en rentrant au manoir, on ne fera pas de banquet en ton HONNEUR !
Je me levai et se dirigea vers la Serpentard, voulant l'aider. Vu ce que j'avais entendu, la jeune fille ne devait pas avoir des parents fiers d'elle.
*Comme moi*
Car je savais ce que l'on ressentait quand on fait tout pour plaire à quelqu'un, un quelqu'un qui ne mérite même pas le moindre effort. Je savais ce que l'on ressentait quand on pouvait voir la déception sur le visage d'un de ses parents, ou entendre dans le cas de la fille qui avait recu une Beuglante. D'une certaine manière, je me sentais obligée de l'aider, comme j'aurai aimé que l'on m'aide moi. Après tout, elle était comme moi, une jeune fille qui n'arrivait pas à satisfaire ses parents. Et puis, il faut aussi avouer que j'étais curieuse de savoir pourquoi la personne ayant envoyé la Beuglante détestait tant Serpentard. Je me dirigeai donc vers la Serpentard et, ne sachant pas comment engager une conversation réconfortante, dit :
Salut, moi c'est Selma Puckle. Je sais que tu n'as peut-être pas envie de parler mais j'ai entendu la Beuglante et je voulais juste te dire un petit mot. Si tes parents ne sont pas fière de qui tu es ou de ce que tu fais, c'est qu'ils ne valent pas la peine que tu leur parle. Crois-moi je sais ce que je dis et ce genre de personne ne seras jamais contente, peut-importe ce que tu fais.
J'esperai que je n'avais pas froissé la Serpentard en parlant ainsi.
@April Always J'espère que cela te convient
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Je pris un bol de porridge ainsin qu'un verre de jus de citrouille. Je m'apprêtais à manger quand l'heure du courrier arriva. J'aimais particulièrement ce moment, pendant lequel on pouvait apercevoir une nuée d'oiseaux volant partout dans la Salle, une lettre ou un journal dans les pattes. Un hibou se détachait du groupe, il était en retard par rapport aux autres. Intriguée, je l'onservai pour voir à qui il appartenait. Le hibou se dirigea vers la table des Serpentard et s'arrêta face à une jeune fille. Elle avait de magnifiques cheveux bouclés ainsi que des yeux en amandes noirs.
Je pus apercevoir son étonnement face au hibou, puis son anxieté peu après.
*De quoi a-t-elle aussi peur ?*
Mais la Serpentard se décala et je pus l'apercevoir.
Cette enveloppe.
Rouge vif.
Une beuglante
Je n'ai jamais eu l'occasion d'en voire une mais, vu ce que l'on raconte sur elles, je plaignait la pauvre fille. Celle ci décida d'ouvrir l'enveloppe qui s'écris avec force :
- APRIL !!! Tu nous fais HONTE ! SERPENTARD, tu n'aurais pas put mieux tomber ! Et pourquoi pas POUFSOUFFLE tant qu'on y EST ! Tête de MÛLE ! Tu n'est qu'une PESTE RÉPUGNANTE ! Et en plus tu en es FIÈRE ! À croire que c'est ta PETITE SŒUR qui doit te montrer L'EXEMPLE ! Mais vas, vas avec tes petits serpents MINABLES ! Dis-toi juste qu'en rentrant au manoir, on ne fera pas de banquet en ton HONNEUR !
Je me levai et se dirigea vers la Serpentard, voulant l'aider. Vu ce que j'avais entendu, la jeune fille ne devait pas avoir des parents fiers d'elle.
*Comme moi*
Car je savais ce que l'on ressentait quand on fait tout pour plaire à quelqu'un, un quelqu'un qui ne mérite même pas le moindre effort. Je savais ce que l'on ressentait quand on pouvait voir la déception sur le visage d'un de ses parents, ou entendre dans le cas de la fille qui avait recu une Beuglante. D'une certaine manière, je me sentais obligée de l'aider, comme j'aurai aimé que l'on m'aide moi. Après tout, elle était comme moi, une jeune fille qui n'arrivait pas à satisfaire ses parents. Et puis, il faut aussi avouer que j'étais curieuse de savoir pourquoi la personne ayant envoyé la Beuglante détestait tant Serpentard. Je me dirigeai donc vers la Serpentard et, ne sachant pas comment engager une conversation réconfortante, dit :
Salut, moi c'est Selma Puckle. Je sais que tu n'as peut-être pas envie de parler mais j'ai entendu la Beuglante et je voulais juste te dire un petit mot. Si tes parents ne sont pas fière de qui tu es ou de ce que tu fais, c'est qu'ils ne valent pas la peine que tu leur parle. Crois-moi je sais ce que je dis et ce genre de personne ne seras jamais contente, peut-importe ce que tu fais.
J'esperai que je n'avais pas froissé la Serpentard en parlant ainsi.
@April Always J'espère que cela te convient
Dernière modification par Selma Puckle le 05 juil. 2021, 20:48, modifié 2 fois.
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Les salauds. En plus de te faire la morale, ils te mettaient la honte. Tu les hais. L'allusion à Margaret ne t’a pas plut du tout. Tout comme le reste de la beuglante, bien sûr. Il fallait tout le temps qu’ils te comparent à elle. Elle, elle est intelligente, elle est belle, elle est courageuse, et enfin la phrase qui complète le tout : elle est digne d'être une Always. Tu essayes de ne pas regarder les autres élèves autour de toi, car tu sais qu'il te regardent tous. Mais quelques secondes après que la beuglante ai terminé son spectacle, ils recommencent à bavarder entre eux et faire comme si rien ne s’était passé. Ils s'en fichent, mais tu peux les comprendre. Pourquoi porter son attention sur une peste répugnante qui n'est même pas digne de sa famille ? Tu veux crier.
Pourquoi ? Pourquoi faut-il toujours que tu leur ressemble ? Pourquoi fallait-il que tu atterrisse parmi les Gryffondor ? Pourquoi faut-il toujours que tu sois courageuse ? Pourquoi faut-il toujours que tu sois Always ? Tu ne les comprends pas. Tu ne les comprendras jamais. Incompréhension, c'est peut-être le seul mot qui te lie à Eux. Ah, si. Il y en a un autre. Haine. Tu les déteste. Tu aimerais les oublier à jamais. Tu aimerais qu'ils n'existent pas. Pourtant, à chaque fois que tu Penses, ils sont là. Eux. Mais pourquoi hantent-ils tes pensées alors que tu les hais ? Peut-être que c'est parce que tu n'aimerais pas qu'ils soient Eux. Tu aimerais qu'ils soit autrement. Qu'ils t'aiment…
Peut-être que certains Serpentard ont été plus marqués que d'autres sur une des phrase. Une phrase que tu n'as aimée autant qu'eux. « Petits serpents minables ». Tu veux le tuer. Tu veux les tuer. Eux. Ces êtres que tu n'aimes pas. Ces êtres que tu détestes. Sauf une. Mais ne reportes pas tes pensées à Elle, ça durerait bien trop longtemps. Car tu les hais, mais Elle tu l'aimes. Car elle les hait, mais Elle elle t'aime. Sauf qu'Elle fait semblant. Semblant de les aimer, semblant d'être comme eux. Et à chaque fois, tu penses à Elle sans le vouloir.
Tu entends une fille marmonner à côté de toi. Elle fait apparemment partie des Serpentard qui n'ont pas aimé la remarque de ton père les désignant. Et tu la comprends. Parce que selon lui, et selon Eux, il faut être Gryffondor pour être respectable. Tu lui fais comprendre que toi aussi tu as honte d'être sa fille :
- Oui, je sais. C'est un connard.
Tu n'as pas peur de l'insulter. Il le mérite bien ! D'ailleurs, quand tu parles de lui, tu le mets sur le compte d'Eux. Mais tu n'as pas le temps d'en dire plus à la fille, qu'une douce voix réconfortante vient de caresser l'oreille :
- Salut, moi c'est Selma Puckle. Je sais que tu n'as peut-être pas envie de parler mais j'ai entendu la Beuglante et je voulais juste te dire un petit mot. Si tes parents ne sont pas fière de qui tu es ou de ce que tu fais, c'est qu'ils ne valent pas la peine que tu leur parle. Crois-moi je sais ce que je dis et ce genre de personne ne seras jamais contente, peut-importe ce que tu fais.
- Je… Merci. lui réponds-tu, bégayante comme une débile.
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Et bien @Selma Puckle et @Ella Figne, à vous chère Plumes !
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Connard Oui. Cette personne en était un. Ella montras son accord avec un petit sourire en coin. Cette personne l'avait dégoûtée. Comment on pouvait avoir des idées aussi arrêtée ? Comment on peut être aussi condescendant ? En réfléchissant, Ella croqua dans sa tartine de marmelade à la fraise. Un délice gâché par le goût amer qui restait dans sa bouche.
Elle détestait. Elle détestait que lui empêche de profiter de sa première bouchée de sa tartine. C'était toujours la meilleure. En plus, c'était sa préférée, à la fraise. C'était comme une petite récompense après avoir couper le pain et étaler la marmelade. Et la première bouchée, on la savoure, on ferme les yeux si elle est très bonne et on dit "Mmmmmh" si elle exquise. C'est très rare.
Une Gryffondor s'était pointé à la table. Elle se présentait et essaya de réconforter April. C'était ses parents, enfin son père, qui lui avait parlé comme ça. La jeune sorcière ne pouvait pas imaginer son père lui parler comme ça. Il était si patient et doux. Beaucoup plus que son frère qui détestait la voir ne pas comprendre quelque chose qu'il estime simple. Mais non, Paul, des fractions à 6 ans, ce n'est pas simple. Elle souffla d'exaspération intérieurement.
Ella se décala d'une place pour être à côté de la fille, Selma et de April. La jeune fille avait esquissé un sourire voyant la Serpentard au père détestable et haïssable. En tous cas, pas beaucoup de qualité. En écoutant la Gryffondor, la sorcière avait deviné que ses parents à elle non plus n'étaient pas très aimants. À croire qu'elle était la seule à avoir des parents qui l'aimait un petit peu et qui était un tantinet fier d'elle. D'ailleurs, il faut qu'elle pense à leurs envoyer une lettre. Il falait qu'elle le marque quelque part.
-Je confirme, c'en est vraiment un. Salut.
Elle n'avait pas été froide mais on sentait dans sa voix les traces de sa colère passée mais la pensée de ses parents l'avait calmé. Ella sentait que l'atmosphère devait lourde. Alors, elle dit la première débilité qui lui est venue à l'esprit.
-Vous voulez une tartine de marmelade ?
En disant cette phrase, la première année avait échanger son assiette avec celle propre devant elle. C'était d'une importance capitale d'avoir son petit-déjeuner et plus généralement, d'avoir son assiette devant soi. On dit que c'est plus simple pour manger. Et Ella confirmait.
-Au fait, moi c'est Ella. Dit-elle avec désinvolture.
Puis l'information est montée au cerveau. Pourquoi une Gryffondor était à la table des Serpentard ? Elle avait rien d'autre à faire ? Puis le deuxième choc arriva. La jeune sorcière venait d'avoir presque le même chemin de pensée que le paternel d'April. Alors, elle refusa ce genre de pensées et essaya de ne voir aucun problème à sa présence. Essayer était le maître-mot.
Je suis fière d'avoir répondu aussi rapidement. Go pour un + @April Always & @Selma Puckle
ela fiɲ | 3e année RP [47-48] | Parrainage | Membre de la RASA | #488534 | Ma Chacha Erzachou Ma Poulette
Elle détestait. Elle détestait que lui empêche de profiter de sa première bouchée de sa tartine. C'était toujours la meilleure. En plus, c'était sa préférée, à la fraise. C'était comme une petite récompense après avoir couper le pain et étaler la marmelade. Et la première bouchée, on la savoure, on ferme les yeux si elle est très bonne et on dit "Mmmmmh" si elle exquise. C'est très rare.
Une Gryffondor s'était pointé à la table. Elle se présentait et essaya de réconforter April. C'était ses parents, enfin son père, qui lui avait parlé comme ça. La jeune sorcière ne pouvait pas imaginer son père lui parler comme ça. Il était si patient et doux. Beaucoup plus que son frère qui détestait la voir ne pas comprendre quelque chose qu'il estime simple. Mais non, Paul, des fractions à 6 ans, ce n'est pas simple. Elle souffla d'exaspération intérieurement.
Ella se décala d'une place pour être à côté de la fille, Selma et de April. La jeune fille avait esquissé un sourire voyant la Serpentard au père détestable et haïssable. En tous cas, pas beaucoup de qualité. En écoutant la Gryffondor, la sorcière avait deviné que ses parents à elle non plus n'étaient pas très aimants. À croire qu'elle était la seule à avoir des parents qui l'aimait un petit peu et qui était un tantinet fier d'elle. D'ailleurs, il faut qu'elle pense à leurs envoyer une lettre. Il falait qu'elle le marque quelque part.
-Je confirme, c'en est vraiment un. Salut.
Elle n'avait pas été froide mais on sentait dans sa voix les traces de sa colère passée mais la pensée de ses parents l'avait calmé. Ella sentait que l'atmosphère devait lourde. Alors, elle dit la première débilité qui lui est venue à l'esprit.
-Vous voulez une tartine de marmelade ?
En disant cette phrase, la première année avait échanger son assiette avec celle propre devant elle. C'était d'une importance capitale d'avoir son petit-déjeuner et plus généralement, d'avoir son assiette devant soi. On dit que c'est plus simple pour manger. Et Ella confirmait.
-Au fait, moi c'est Ella. Dit-elle avec désinvolture.
Puis l'information est montée au cerveau. Pourquoi une Gryffondor était à la table des Serpentard ? Elle avait rien d'autre à faire ? Puis le deuxième choc arriva. La jeune sorcière venait d'avoir presque le même chemin de pensée que le paternel d'April. Alors, elle refusa ce genre de pensées et essaya de ne voir aucun problème à sa présence. Essayer était le maître-mot.
Je suis fière d'avoir répondu aussi rapidement. Go pour un + @April Always & @Selma Puckle
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Honte à Eux
La Serpentard me remercia et je me dis que mes parole ne l'avaient pas blessé. Elle aurait aussi pû penser que ce n'était pas mes affaires mais elle ne l'avait pas fait. J'étais soulagée car j'avais vraiment crains qu'elle m'envoie sur les roses.
Je remarqué ensuite une Serpentard assis près de la fille qui avait recu la Beuglante, dont je ne connaissais d'ailleurs toujours pas le nom, qui dit :
-Je confirme, c'en est vraiment un. Salut. Vous voulez une tartine de marmelade ?
J'avais dû rater un bout de conversation car le début de sa phrase n'avait aucun sens pour moi. Étonnée face à sa question singulière, je répondis en bégayant légèrement :
-Euh... non merci
La nouvelle venu dit qu'elle s'appelait Ella, puis elle eut une curieuse expression sur le visage, à moitié entre la réflexion et l'étonnement. Je me demandais bien ce qui avait pû lui faire afficher ce visage mais ne dis rien, de peur de paraitre trop indiscrète.
Je me sentais un peu bête à discuter debout face aux jeunes fille et la place à côté de la fille à la Beuglante était libre, je demandai donc :
-J'espère que ca ne vous dérange pas si je m'assois à vos côtés
Je m'assis donc à côté de la fille à la Beuglante, espèrant que je ne serai pas rejetée. La phrase que j'avais prononcé n'étais pas une question mais je ne tenais tout de même pas á leur imposer ma présence. Au pire, si elle ne veulent pas de moi, je partirai dignement.
Une gryffondor à la table des Serpentard, voilà qui avait de quoi étonner. Mais je n'en avait que faire. Je ne comprenais pas pourquoi les maisons étaient tellement divisé et comment des gens comme l'expéditeur de cette lettre pouvaient avoir toutes sortes de préjugés sur des gens en fonction de la maison dans laquelle ils étaient répartis. Aprés tout, chaque maison a des défauts et des qualités, et je pense que aucune ne vaut mieux que l'autre. Toutes ces injustices sont hors de ma compréhension mais tant mieux, car si je les comprenais, c'est que j'y adhérais.
Soudains, je me rendis compte que c'était la première fois que je parlais de mes parents. La seule autre fois avait eu lieu au Chemin de Traverse, quand j'avais rencontré ma meilleur amie, Angel Pike, et que je m'étais confiée à elle. De plus, je venais de parler de ce sujet douloureux avec des inconnues dont une dont je ne connaissais même pas le nom. Mais le fait que la fille à la Beuglante avait elle-même de mauvais parents apparemment devait m'avoir influencé. Après tout, elle ne me jugera pas si elle est dans le même cas pas vrai ?
Je mis fin à mes interrogations et demanda à la fille à la Beuglante :
- Au fait tu t'appelles comment ?
Il faut dire que "la fille à la Beuglante" n'était pas un surnom très pratique.
@April Always @Ella Figne Je crois que pour moi aussi c'est une de mes réponses la plus rapide
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Je remarqué ensuite une Serpentard assis près de la fille qui avait recu la Beuglante, dont je ne connaissais d'ailleurs toujours pas le nom, qui dit :
-Je confirme, c'en est vraiment un. Salut. Vous voulez une tartine de marmelade ?
J'avais dû rater un bout de conversation car le début de sa phrase n'avait aucun sens pour moi. Étonnée face à sa question singulière, je répondis en bégayant légèrement :
-Euh... non merci
La nouvelle venu dit qu'elle s'appelait Ella, puis elle eut une curieuse expression sur le visage, à moitié entre la réflexion et l'étonnement. Je me demandais bien ce qui avait pû lui faire afficher ce visage mais ne dis rien, de peur de paraitre trop indiscrète.
Je me sentais un peu bête à discuter debout face aux jeunes fille et la place à côté de la fille à la Beuglante était libre, je demandai donc :
-J'espère que ca ne vous dérange pas si je m'assois à vos côtés
Je m'assis donc à côté de la fille à la Beuglante, espèrant que je ne serai pas rejetée. La phrase que j'avais prononcé n'étais pas une question mais je ne tenais tout de même pas á leur imposer ma présence. Au pire, si elle ne veulent pas de moi, je partirai dignement.
Une gryffondor à la table des Serpentard, voilà qui avait de quoi étonner. Mais je n'en avait que faire. Je ne comprenais pas pourquoi les maisons étaient tellement divisé et comment des gens comme l'expéditeur de cette lettre pouvaient avoir toutes sortes de préjugés sur des gens en fonction de la maison dans laquelle ils étaient répartis. Aprés tout, chaque maison a des défauts et des qualités, et je pense que aucune ne vaut mieux que l'autre. Toutes ces injustices sont hors de ma compréhension mais tant mieux, car si je les comprenais, c'est que j'y adhérais.
Soudains, je me rendis compte que c'était la première fois que je parlais de mes parents. La seule autre fois avait eu lieu au Chemin de Traverse, quand j'avais rencontré ma meilleur amie, Angel Pike, et que je m'étais confiée à elle. De plus, je venais de parler de ce sujet douloureux avec des inconnues dont une dont je ne connaissais même pas le nom. Mais le fait que la fille à la Beuglante avait elle-même de mauvais parents apparemment devait m'avoir influencé. Après tout, elle ne me jugera pas si elle est dans le même cas pas vrai ?
Je mis fin à mes interrogations et demanda à la fille à la Beuglante :
- Au fait tu t'appelles comment ?
Il faut dire que "la fille à la Beuglante" n'était pas un surnom très pratique.
@April Always @Ella Figne Je crois que pour moi aussi c'est une de mes réponses la plus rapide
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Honte à Eux
✵✵✵
Oui, connard c'est le mot. Et tu la vois elle-même le confirmer dans son sourire en coin. C'est ton père quoi. Celui qui a pourri ton enfance. Comme Eux. Et il fait partie d'Eux. Eux. Pourquoi dis-tu Eux, en fait ? Non, tu ne le dis pas. Tu le penses. Parce que quand tu les mentionnes… C'est rare. L'as-tu déjà fait ? Peut-être… Mais quand tu les mentionnes, tu dis… Tu dis quoi déjà ? Tu dis ma famille ? De toute façon, ça sert à quoi de parler d'Eux ? Est-ce que ça vaut la peine de parler de gens comme Eux ? De gens… horrible ? De gens que tu n'aimes pas ? Sauf pour les insulter, tu n'en vois pas l'intérêt.
En plus de le confirmer avec le regard, la fille t'apostrophe pour te le dire avec les mots. Puis elle te salue un peu froidement, toi et Selma, pour en revenir à ses tartines. Tu scrutes l'autre bout de la pièce. Tes Pensées se remettent en route. Pourquoi a-t-il fallut que tu tombes dans cette famille et pas une autre ? Pourquoi a-t-il fallut que tu tombes avec des gens comme Eux ? Pendant que tu Penses, la fille semble vouloir sympathiser en vous proposant une tartine de marmelade. Tu aurais dis oui si cette lettre ne t'avais pas coupé l'appétit. Cette beuglante t'a gâché ta journée.
- Merci mais j'ai plus faim. dis-tu en regardant avec dégout l’enveloppe de celle qui t'a mit une barre sur l'estomac.
La Gryffondor, Selma, refuse également. Comment s'appelle l'autre, déjà ? Tu te souviens l'avoir déjà croisée dans la salle commune et les dortoirs mais tu n'arrives plus à mettre la main sur son nom. Elyna ? Elena ? Ellie peut-être ? Mais avant que tu n'ai put supposer un autre nom, elle répond à ta question, comme si elle avait lut dans tes pensées. Tu l'avais sur le bout de la langue, mais elle se nomme Ella. Joli nom.
Selma qui était debout jusque là, a l'idée de s'assoir. C'est sûr que pour discuter c'est plus confortable. Elle prit place à côté de la beuglante. Tu la retire rapidement de la table pour effacer la cause de cette conversation, que tu ne souhaite pas te remémorer. Elle était désormais la goute rouge parmi le flou vert. Il n'était pas rare qu'on aperçoive un élève d'une autre maison s'installer à cette table mais aujourd'hui, elle était la seule Gryffondor.
Tu bois une gorgée de chocolat chaud, car c'est la seule chose que tu puisse avaler. Puis Selma te demande ton nom. Apparemment, ton père n'a pas crié assez fort dans tout le château. Tu aimerais ne pas le dire. Tu ne veux pas qu'elle relie cette beuglante à ton prénom. Mais tu te vois obligée de le faire.
- April. Je m'appelle April.
✵✵✵
@Ella Figne et @Selma Puckle, la motivation est avec nous les filles
Deuxième année RP 2046-2047 - #008080
Avatar par le sublime Garrett
Ma Lorraine, ma Erza, ma Rhæ, ma Elvah', ma Ava
Honte à Eux
Ce matin, pour une fois je décidais de me rendre à la table de ma maison pour le petit déjeuner, je commençais enfin à me faire à ma condition de Serpentard, la déception des premiers jour avait dans un premier temps place à de l'amertume, pour se muer en acceptation.
Bien que j'ai encore beaucoup de mal à me mélanger avec les personnes de cette maison. Ce matin j'avais envie de me mettre à l'épreuve d'au moins parler à quelqu'un de ma maison autre que pour les banalités habituelles des salles de classe.
Une fois installé, je me sers un verre de jus d'orange, et commence à prendre des haricots, des saucisses, du lard et tout ce qui compose le traditionnel petit déjeuner britannique. Le fumet que dégage mon assiette suffit à m'affamer pour de bon. Je commence toujours de la même manière par manger le blanc des œufs en laissant le jaune intact, j'en ai une sainte horreur.
C'est à ce moment que le défilé quotidien des hiboux commença. Un coup d'œil me suffit pour savoir que je n'aurai pas de courrier aujourd'hui, Abby la chouette de mon père était reconnaissable entre mille, les Phodiles Cadong étaient assez rare en Angleterre, souvenir d'une mission en Indonésie, pourtant il devait m'écrire, c'est ce que ma mère m'a annoncé dans sa lettre du début de semaine.
Peu de temps après, un cri féroce traversa la grande salle, et ce cri était proche, tellement proche que le sursaut provoqué par celui-ci fit déraper mon couteau qui trancha net les jaunes d'œufs, qui se rependirent dans mon assiette. Petit déjeuner fichu.
Cette voix n'était définitivement pas celle d'un enfant, je n'entendais pas tout mais, je compris rapidement que c'était une Beuglante envoyée par un parent mécontent que sa fille soit répartie à Serpentard.
Mécontent le mot était faible, il était furieux, et les mots qu'il crachait étaient loin d'être anodins, mais une expression à retenu mon attention :
Ces deux mots étaient d'une rare violence, comment pouvait on dire cela à son enfant ? Je pris le temps de regarder la fille qui à reçu cette terrible lettre redoutée par tous, je la connaissais de vue, on partageait les mêmes cours.
Bien que je ne lui avais jamais adressé la parole, à cet instant je me senti proche d'elle, je savais très bien que les mots des parents pouvaient avoir un effet dévastateur. Bien que je sois une source de déception constante pour mon père, il n'avait pas encore employé de tels mots à mon égard, mais il savait se montrer blessant à sa manière, qu'est-ce que ça serait lors de son prochain hibou?
Je voulais aller la voir, oublier ma timidité et les distances que je m'étais imposées, je me lève doucement et me dirige vers elle, je vois que deux autres filles sont à ses côtés, l'une est aussi en première année à Serpentard, et l'autre m'étais totalement inconnue.
En arrivant à leur hauteur, je me rends compte que je ne savais pas vraiment quoi dire mais il fallait que ça sorte, au fond de moi, les mots de cette Beuglante m'ont vraiment touchés comme s'ils m'étaient adressés, j'ai tant été rabaissé devant les autres membre de la famille, ou même devant ses amis par mon père que je ne pouvais que comprendre ce qu'elle peut ressentir à cet instant.
Je pris une grande bouffée d'air et essaye de ne pas avoir l'air trop impacté par ce qu'il venait de se passer, mais ce n'est pas gagné. Je m'approche de la jeune fille et lui dit d'une voix un peu hésitante :
- Je ... Heu, je sais qu'on ne se connaît pas, mais je ne trouve pas que tu sois répugnante, et je pense que personne ici n'est d'accord avec ça ! Et puis des banquets, on en fait bien assez à Poudlard. Je sais ce que c'est que d'être la déception de la famille ... Au fait moi c'est Ken.
Mes premiers mots envers une personne de cette maison étaient certes maladroits mais ils avaient au moins le mérite d'être sincères, et j'espère qu'elle ne les trouvera pas trop déplacés.
Je suis désolé pour la longueur du message, j'essaye de rattraper mon retard, et j'étais plutôt inspiré ! @April Always @Ella Figne @Selma Puckle
Couleur RP : #CD853F
"Par la ruse on peut prendre un lion ou un aigle, par la force pas même un blaireau"
Bien que j'ai encore beaucoup de mal à me mélanger avec les personnes de cette maison. Ce matin j'avais envie de me mettre à l'épreuve d'au moins parler à quelqu'un de ma maison autre que pour les banalités habituelles des salles de classe.
Une fois installé, je me sers un verre de jus d'orange, et commence à prendre des haricots, des saucisses, du lard et tout ce qui compose le traditionnel petit déjeuner britannique. Le fumet que dégage mon assiette suffit à m'affamer pour de bon. Je commence toujours de la même manière par manger le blanc des œufs en laissant le jaune intact, j'en ai une sainte horreur.
C'est à ce moment que le défilé quotidien des hiboux commença. Un coup d'œil me suffit pour savoir que je n'aurai pas de courrier aujourd'hui, Abby la chouette de mon père était reconnaissable entre mille, les Phodiles Cadong étaient assez rare en Angleterre, souvenir d'une mission en Indonésie, pourtant il devait m'écrire, c'est ce que ma mère m'a annoncé dans sa lettre du début de semaine.
Peu de temps après, un cri féroce traversa la grande salle, et ce cri était proche, tellement proche que le sursaut provoqué par celui-ci fit déraper mon couteau qui trancha net les jaunes d'œufs, qui se rependirent dans mon assiette. Petit déjeuner fichu.
Cette voix n'était définitivement pas celle d'un enfant, je n'entendais pas tout mais, je compris rapidement que c'était une Beuglante envoyée par un parent mécontent que sa fille soit répartie à Serpentard.
Mécontent le mot était faible, il était furieux, et les mots qu'il crachait étaient loin d'être anodins, mais une expression à retenu mon attention :
PESTE REPUGNANTE
Ces deux mots étaient d'une rare violence, comment pouvait on dire cela à son enfant ? Je pris le temps de regarder la fille qui à reçu cette terrible lettre redoutée par tous, je la connaissais de vue, on partageait les mêmes cours.
Bien que je ne lui avais jamais adressé la parole, à cet instant je me senti proche d'elle, je savais très bien que les mots des parents pouvaient avoir un effet dévastateur. Bien que je sois une source de déception constante pour mon père, il n'avait pas encore employé de tels mots à mon égard, mais il savait se montrer blessant à sa manière, qu'est-ce que ça serait lors de son prochain hibou?
Je voulais aller la voir, oublier ma timidité et les distances que je m'étais imposées, je me lève doucement et me dirige vers elle, je vois que deux autres filles sont à ses côtés, l'une est aussi en première année à Serpentard, et l'autre m'étais totalement inconnue.
En arrivant à leur hauteur, je me rends compte que je ne savais pas vraiment quoi dire mais il fallait que ça sorte, au fond de moi, les mots de cette Beuglante m'ont vraiment touchés comme s'ils m'étaient adressés, j'ai tant été rabaissé devant les autres membre de la famille, ou même devant ses amis par mon père que je ne pouvais que comprendre ce qu'elle peut ressentir à cet instant.
Je pris une grande bouffée d'air et essaye de ne pas avoir l'air trop impacté par ce qu'il venait de se passer, mais ce n'est pas gagné. Je m'approche de la jeune fille et lui dit d'une voix un peu hésitante :
- Je ... Heu, je sais qu'on ne se connaît pas, mais je ne trouve pas que tu sois répugnante, et je pense que personne ici n'est d'accord avec ça ! Et puis des banquets, on en fait bien assez à Poudlard. Je sais ce que c'est que d'être la déception de la famille ... Au fait moi c'est Ken.
Mes premiers mots envers une personne de cette maison étaient certes maladroits mais ils avaient au moins le mérite d'être sincères, et j'espère qu'elle ne les trouvera pas trop déplacés.
Je suis désolé pour la longueur du message, j'essaye de rattraper mon retard, et j'étais plutôt inspiré ! @April Always @Ella Figne @Selma Puckle
Couleur RP : #CD853F
"Par la ruse on peut prendre un lion ou un aigle, par la force pas même un blaireau"
Honte à Eux
16 septembre 2045Nuit sans Lune
***
"À toi, silence bourdonnant,
Sache que je hais ce cri strident"
ReducioAvec l'accord de la plume d'April, je viens danser avec un unique poste, juste le temps d'apporter un peu de soutien à sa protégée.
Ce matin, Eugène eut beaucoup de mal pour s'extirper de son lit. La nuit avait été longue, parsemée d'insomnie et de somnolence. Mécaniquement, l'enfant enfila son uniforme et mit la main sur son casque anti-bruit, avant de ce trainer hors de son dortoir avec le reste de ses camarades de chambres.
D'un pas du plus traînant, il suivit la foule à travers les couleurs, jusqu'à déboucher dans la Grande Salle qui se remplissait trop vite à son goût. Bien vite, son casque recouvrit ses oreilles bourdonnantes. Là, le brouhaha ambiant était bien plus supportable.
L'enfant s'attabla et mangea sans perdre plus de temps, presser de quitter les lieux. Il aimerait bien être au calme, avant de commencer cette journée qui s'annonçait épuisante. Alors qu'il était sur le point de finir son si court petit déjeuner, d'innombrable hiboux volèrent au-dessus de lui et des autres. Chacun apportait le courrier aux élèves et sans surprise, Eugène n'eut rien : en ce moment, sa mère était occupée avec l'association et elle mettait bien plus de temps pour répondre à ses lettres. Eugène ne lui en tenait pas rigueur, bien au contraire ! Il était compréhensif et dans son dernier courrier, il avait rassuré sa mère sur ce point.
Son assiette finit, Eugène quitta sa table et commença à s'approcher des grandes portes, prêt à retourner dans son dortoir pour y récupérer son sac et le restant de ses affaires. Néanmoins, il s'arrêta à mi-chemin quand le silence tomba soudainement et que seul une voix tonitruante grondait dans la Grande Salle. Même à travers son casque anti-bruit, Eugène pouvait l'entendre clairement, cet homme et la violence de ses mots. Lentement, il se tourna vers la table des Serpentard où il vit une lettre rouge vif vomir sa haine contre une première année qui n'avait strictement demandé.
L'étrange lettre finit par se taire et la Grande Salle reprit vie, comme si de rien n'était. Eugène, encore sous le choc, resta planter là. Décidément, il ne pouvait pas s'en aller comme ça, non sans s'assurer que cette gamine aille bien. De son pas boiteux, éternellement accompagné de sa canne, Eugène s'approcha de la table des Serpentard. Bien vite, il retrouva la Serpentarde parmi toutes ses têtes et elle semblait déjà bien entourée : elle discutait avec deux de ses camarades et une Gryffondor les avait rejoints.
Maladroitement, Eugène s'arrêta à la hauteur de la dénommé April. Le rouquin retira son casque et il lui glissa aussitôt ses quelques mots :
— Salut, je ne vais pas vous embêter longtemps, seulement... April, c'est ça ? Sache que tu es tombé dans une bonne maison, qu'importe ce que dit ta famille. Serpentard à de grandes qualités et pas des moindres ! Arrivé ici ne fais pas de toi une minable et encore moins une peste. Mais une personne fière et ambitieuse, sûrement même rusé ! Et s'il doit y avoir un minable, c'est sûrement ton père : il devrait te soutenir, être heureux... Bref, se comporter comme un parent ! Il est juste toxique et ce qu'il vient de faire...
Eugène secoua sa tête. Quelle idée d'envoyer une lettre magique qui parle ? Pourquoi procéder ainsi ? Pourquoi vouloir humilier quelqu'un de cette manière ? Surtout son propre enfant !
— Ce qu'il vient de faire est odieux. Il n'a pas à tenir des propos pareils, il n'avait pas t'envoyer ce genre de lettre pour t'humilier devant tout le monde, surtout qu'il n'y a rien d'humiliant à être à Serpentard...
Il sourit un peu, voulant alléger toutes ses mauvaises ondes que cette fichue lettre avait créé :
— Et puis, le vert te va très bien !
Eugène se recula et ajouta :
— Sur ceux, je vais vous laisser tranquille... au revoir !
Et il s'en alla aussitôt. Ses pas l'emmenaient hors de la Grande Salle, afin de rejoindre son dortoir ou son sac à dos l'attendait sagement.
"Dramaqueen à ses heures perdues avec Ella Davis"
4e année RP | Je parle en gras
4e année RP | Je parle en gras
Honte à Eux
Cette fichu lettre avait du lui coupé l’appétit. Elle n'avait plus faim alors elle posa toute ses affaires. Elle n'allait pas rester avec un couteau dans la main. Ça pouvait être mal interprété et lui attirer quelques ennuis.
La Gryffondor n'avait visiblement pas additionner deux et deux. On hurle rarement le prénom d'une personne dans une lettre destinée à une autre. C'est logique.
Un garçon des verts et argents apparu. Peut-être venait-il pour partager son choc face aux mots répugnants du père d'April ou lui apporter son soutien ? Un peu des deux visiblement. Ella commençait à penser qu'elle était la seule avec deux parents aimants. Cela dit, elle n'avait pas encore envoyer de lettre. Il faudrait vraiment qu'elle se le note quelque part
La jeune Serpentard avait commencé à repérer quelques visages grâce aux début des cours mais n'avait pas encore retenu les noms. Alors, elle fut soulager que le garçon se présente. Ken. Court et efficace. Un peu comme son prénom à elle. Ses mots étaient visiblement maladroit mais comme on disait, c'était l'attention qui compte.
Puis un autre garçon, à la démarche spéciale, arriva. Spécial, c'était plutôt bizarre pour Ella mais elle n'avait rien à dire. La première année ne le connaissait pas et ne comprenais pas tous les éléments qu'on lui donnait. Mais les mots qu'il prononça étaient réconfortants. Puis le garçon roux repartit, après avoir voulu alléger l'ambiance. Ella murmura un 《 - Au revoir.. 》Comme un écho.
Ses pensées tournaient dans sa tête. Elle avait de la chance, beaucoup de chance. Elle n'avait pas de problème. Sa famille n'était pas déçu parce que elle est dans une certaine couleur, parce que elle représente certaines valeurs. Sa famille n'était pas déçu à cause de ce que elle n'avait pas choisi.
- Ils sont profondément débiles... murmura-t-elle pour elle-même. D'une voix plus forte, elle ajouta à l'intention du garçon, Ken. Tu peux prendre ma place. Je vais allée dans mon dortoir. Elle fit un petit sourire. Pas vraiment forcé, pas vraiment sincère. Comme un automatisme. Comme un robot. Aux réactions programmées.
Faisant un sourire plus sincère, cette fois, elle se tourna vers les deux filles, Selma et April.
- Au revoir. On va sûrement se revoir en cours. C'est même sûr ! Après une micro-seconde de réflexion, elle ajouta à April. Ne les écoute pas. Tu perdrais ton temps. Et je confirme que le vert te vas bien ! Elle voudrait s'attarder mais son esprit était trop occupée pour mener un conversation légèrement.
Puis la première année tourna les talons, traversa les grandes portes et partit en direction de son lit où devait sûrement l'attendre son sac. Reste à le trouver.
Fin du RP pour moi. (:
ela fiɲ | 3e année RP [47-48] | Parrainage | Membre de la RASA | #488534 | Ma Chacha Erzachou Ma Poulette
La Gryffondor n'avait visiblement pas additionner deux et deux. On hurle rarement le prénom d'une personne dans une lettre destinée à une autre. C'est logique.
Un garçon des verts et argents apparu. Peut-être venait-il pour partager son choc face aux mots répugnants du père d'April ou lui apporter son soutien ? Un peu des deux visiblement. Ella commençait à penser qu'elle était la seule avec deux parents aimants. Cela dit, elle n'avait pas encore envoyer de lettre. Il faudrait vraiment qu'elle se le note quelque part
La jeune Serpentard avait commencé à repérer quelques visages grâce aux début des cours mais n'avait pas encore retenu les noms. Alors, elle fut soulager que le garçon se présente. Ken. Court et efficace. Un peu comme son prénom à elle. Ses mots étaient visiblement maladroit mais comme on disait, c'était l'attention qui compte.
Puis un autre garçon, à la démarche spéciale, arriva. Spécial, c'était plutôt bizarre pour Ella mais elle n'avait rien à dire. La première année ne le connaissait pas et ne comprenais pas tous les éléments qu'on lui donnait. Mais les mots qu'il prononça étaient réconfortants. Puis le garçon roux repartit, après avoir voulu alléger l'ambiance. Ella murmura un 《 - Au revoir.. 》Comme un écho.
Ses pensées tournaient dans sa tête. Elle avait de la chance, beaucoup de chance. Elle n'avait pas de problème. Sa famille n'était pas déçu parce que elle est dans une certaine couleur, parce que elle représente certaines valeurs. Sa famille n'était pas déçu à cause de ce que elle n'avait pas choisi.
- Ils sont profondément débiles... murmura-t-elle pour elle-même. D'une voix plus forte, elle ajouta à l'intention du garçon, Ken. Tu peux prendre ma place. Je vais allée dans mon dortoir. Elle fit un petit sourire. Pas vraiment forcé, pas vraiment sincère. Comme un automatisme. Comme un robot. Aux réactions programmées.
Faisant un sourire plus sincère, cette fois, elle se tourna vers les deux filles, Selma et April.
- Au revoir. On va sûrement se revoir en cours. C'est même sûr ! Après une micro-seconde de réflexion, elle ajouta à April. Ne les écoute pas. Tu perdrais ton temps. Et je confirme que le vert te vas bien ! Elle voudrait s'attarder mais son esprit était trop occupée pour mener un conversation légèrement.
Puis la première année tourna les talons, traversa les grandes portes et partit en direction de son lit où devait sûrement l'attendre son sac. Reste à le trouver.
Fin du RP pour moi. (:
ela fiɲ | 3e année RP [47-48] | Parrainage | Membre de la RASA | #488534 | Ma Chacha
Erzachou Ma Poulette