Qui connait Circéia se doute que sa présence ici est pour le moins surprenante. Classons ces mots pour ce qu’ils sont ; officiellement, elle est venue regarder un match de quitdditch. Mais en fait…

Il est des jours où l’on tombe des nues. D’abord vous croyez que plus rien n’est possible, le temps s’est arrêté et vous semblez totalement anéantie. Et puis l’incertain, le peu probable… disons-le clairement, l’incongru se présente. Je n’avais rien à faire, ou plutôt la motivation était au plus bas, pour des raisons que je ne vous dirai pas ! Entre la possibilité de me jeter dans un bain de bubobulb et une ballade dans la forêt interdite, je décidai le moyen terme. Aller me baigner dans une forêt d’hystériques nourris à la biéraubeurre et aux slogans ineptes. Dans tous les cas, je savais que j’allais souffrir. Mes oreilles étaient prêtes à tout, sur le plan de l’intensité comme sur celui de la gravité. Je ne savais pas ce qui serait le pire, des grossièretés beuglées par des esprits simples ou de méchantes peaux de bananes susurrées par des êtres supposément doux. Je dois le reconnaître, j’avais envie de me faire secouer, d’être un pépin de raison dans la marmite, le cochonnet que les tireurs d’élite visent dans le sud de la France. Le jeu de boules… quelle magnifique ode à l’épure des jeux. D’une certaine manière, je me complaisais dans cette image dévoyée de moi-même. J’allais au spectacle, pas celui de joueurs se battant un morceau de je ne savais trop quelle magie. Non, j’allais au spectacle de la foule. Avec l’impression que j’allais participer à une immense opération de vidange des cerveaux. L’exutoire de la société sorcière, dans sa version enfantine ce qui ne faisait qu’amplifier l’acidité au final.
Pour bien faire, j’avais autour du cou l’écharpe Serpentard. Cela me permettrait de connaître les insultes et autres quolibets des blaireaux. Ah ben oui, après tout, mettons-nous y !

- Aux cachots les blaireaux !

C’était stupide. Gratuit, et inutile car pour le moment, nous étions très peu nombreux dans les tribunes. J’eus à peine droit aux regards éberlués de quelques Serpentards médusés de me voir là, comme sciés en deux de m’avoir entendu dire des insanités. En plus, on n’allait quand même pas les inviter chez nous non ? Mon slogan était bête. Je devais trouver une « punch line » au plus vite. Mais je m’en moquais. Une sorte de chaleur dans le bas ventre animait mon corps, j’avais éprouvé du plaisir à sortir quatre mots, comme pour signaler à tous que j’étais là, et que je comptais bien jouer mon rôle. Si jamais un seul Serdaigle m’agressait, je tenais ma baguette en main avec un petit sort de chez ALEKHIN, ils allaient voir ce qu’ils allaient voir. Et puis s’il le fallait, je saurais viser des zones plus sensibles, façon moldue. De manière surprenante, j’étais depuis quelques minutes une autre personne.
L’équipe de Serdaigle s’échauffait déjà, volant en tous sens et réalisant avec leurs balais des figures que peu de peintres sauraient produire sur une toile. Les supporters des verts (et argent) révisaient la façon de huer, siffler, crier leur haine plus ou moins avérée. J’en étais à un banal « OUUUUh ! » quand je vis mon équipe sortir des vestiaires.
Mais il fallait admettre qu’avec leur tenue toute propre, pour l’instant, ils avaient fière allure. Les uns comme les autres mais bon, les verts davantage que les bleus !
Pour faire bonne figure et ne pas paraître la dernière des idiotes, j’avais appris les règles. C’était un peu complexe en soi, disons… un jeu multidimensionnel mais sans aucune commune mesure avec mes chers échecs. Je n’aurais pas eu la prétention de dire qu’il suffisait de monter sur un balai. Les singeries qu’ils faisaient dépassaient de très loin mes capacités théoriques. Non que je ne sente pas capable d’en réaliser autant mais je n’étais jamais entrainée pour. Clairement, je n’en éprouvais pas le besoin.

- les blaireaux en lambeaux !!

Oui, je ne parvenais pas à me défaire de mon envie de faire des rimes. Invectiver l’adversaire était un sport que je ne maitrisais pas encore. Et en plus, rimer avec le mot Serdaigle était vraiment limité. Leur animal fétiche permettait de bien plus nombreuses diversions… Et je prenais un certain plaisir à hurler, même si je demeurais un peu seule car les serpentards présents m’ignoraient presque. Pour une fois, je devais bien reconnaître qu’ils avaient raison, une ignare comme moi parmi les aficionados du plus beau jeu sur terre, c’était sans doute un mauvais signe. Ne voulant pas leur servir de talisman néfaste, je me tins parmi les bleus, à hurler de temps en temps une horreur aussi déplacée qu’absconse.

- Les blaireaux au poteau !

Je vous l’avais bien dit ….

Toute exagération entrainant une expulsion des tribunes ne serait que fortuite, ne résulterait que de la méconnaissance totale de Circéia quant aux us et coutumes du lieu. En aucun cas elle ne cherche à se faire remarquer, c’est juste pour elle une… tentative exotique de participation aux rituels de l’école. L’innocence des premières fois.

Luce ne connaissait pas grand chose au Quidditch, mais il avait été impensable de ne pas assister à ce match : comment pouvait elle s'intégrer si après le match, elle ne pouvait en parler.
C'est donc avec hâte qu'elle se dirigea vers les tribunes, trop grandes pour qu'on puisse ne pas les voir. Mais quand elle vit le temps déplorable, elle soupira, et murmura pour elle même en ronchonnant :
- Si j'y comprend rien malgré mes lectures sur ce sujet, et quand plus il fait ce temps, comment être motivée..
Elle arriva alors vers les tribunes, mais toute perdue, elle se dirigea au hasard dans la foule, ne sachant pas si y avait une répartition. Elle se rendit vite compte qu'elle n'était pas avec les personnes de sa maison, car elle ne reconnaissait personne, mais qu'importe, le match disputé était Serdaigle contre Serpentard.
Elle prit alors place, encore plus perdue et angoissée qu'au départ, car en plus de ne connaître que très vaguement ce jeu, elle ne réussissait pas à croiser un visage connu.
Elle reporta alors son regard sur le stade, et put voir les trois fameux anneaux, trop hauts à son goût comme elle venait tout juste de débuter ses cours de vol. Les joueurs devaient être impressionnés lors de leur premier match, entre tout le monde remplissant peu à peu le stade et la hauteur des anneaux, pensait-elle : cella lui permit de chasser sont stress pendant quelques instants avant qu'il revienne au galop quand elle n'eut plus rien à observer.
- Courage Luce, se dit-elle à elle même.

Un autre match de Quidditch allait se dérouler aujourd'hui, et contrairement au dernier, Clément Downing pourrait se reposer en y assistant seulement depuis les tribunes. Même si le temps n'était pas du tout propice à la moindre activité extérieure - la neige n'avait cessé de tomber toute la semaine sur le parc du château - le garçon s'était levé aux aurores pour se préparer, déjeuner et prendre la direction du stade de Quidditch en compagnie d'un groupe d'amis de Gryffondor. Les enfants avaient bravés les tombées de neige pour atteindre le stade de bois et avaient fini par grimper dans les tribunes pour assister au début de la rencontre.

Downing n'arborait pas les couleurs de sa maison comme il avait pu le faire durant les dernières rencontres auxquelles il avait assisté, mais avait emprunté à la buanderie de l'école - en essayant de ne pas se faire surprendre par les responsables - une écharpe et un bonnet aux effigies de Serdaigle. Il arborait ainsi, là sur la tribune de bois, un bonnet bleu ainsi qu'une écharpe parsemée de bleu et d'argent.

Lorsque l'équipe de Serpentard fit son entrée sur le terrain, un détail vint piquer la curiosité du Deuxième Année : ce n'était plus Eileen Eastwood qui tenait une batte en bois, mais sa coéquipère Vanellia Chronos. Les Crochets d'Argent avaient finalement dû décider de changer l'organisation de leur équipe après leur récente défaire contre les Griffes Ardentes, et ce n'était peut-être pas une si mauvaise idée que ça. Même si Clément ne leur souhaitait pas le même sort que celui du dernier match, il avait décidé de supporter l'équipe adverse en ce jour. Les Ailes d'Airan firent leur entrée sur le terrain, mais Downing ne cherchait du regard qu'une seule personne ; lorsqu'il le vit, il se mit à crier :

- « ALLEZ MARCELLO !!!!! TU VAS ATTRAPER TOUS LES VIFFETS ET LE VIF D'OR ! NE LEUR LAISSE RIEN !!  »

Après s'être époumoné du mieux qu'il pouvait, l'adolescent prit le temps de respirer quelques instants et profita de ce moment de répit pour regarder les gens autour de lui. Une fille de Première Année aux couleurs de Poufsouffle se tenait tout juste à côté de lui, il espérait ne pas lui avoir fait peur. Mais pourquoi était-elle là toute seule sans aucun autre élève de sa maison à côté d'elle ?

- « C'est ton premier match, c'est ça ? Moi, c'est Clément, ne te fies pas à mon écharpe, je suis de Gryffondor ! »

Debout et appuyée contre le rebord des gradins, Daisy n'allait rien louper de ce match. Elle était venue très tôt pour ne pas avoir à se choisir une place complètement enneigée et mouillée pour le nouveau match de son équipe. Certes, le dernier n'avait pas été très très bon. Mais être supporter, c'est l'être aussi dans les moments un peu moins bon. Alors sa place était ici, la hargne dans les dents. Un bonnet vert sur la tête, une grande écharpe verte qui lui cachait la moitié du visage et une banderole décorée de serpents fermement agrippée par ses mains gantées, elle était prête à donner de la voix, quitte à la perdre pour demain - ce qui l'arrangerait assez entre nous. 
Derrière elle les places se remplissaient petit à petit. Ce fut d'ailleurs la même chose pour les tribunes d'en face, une armée de bonnets et de drapeaux se mettaient en place et commençaient à entamer leurs chants de supporter. 

- ALLEZ ALLEZ ALLEZ !! ON GARDE UN MENTAL D'ACIER LES SERPY !! 

Elle agitait sa banderole dans tous les sens en hurlant aussi fort qu'elle le pouvait, et tant pis si elle assomme quelqu'un derrière elle, ce sera pour la bonne cause. 

si y'a des Serpy assez courageux pour se risquer à l'agitation de Daisy, c'est avec plaisir   

À peine arriver que le garçon à côté criait déjà, j’eu un sursaut, d’accord c’était son équipe qui jouait si Luce en croyait la couleur de son écharpe, mais quand même !
Alors que son regard se portait de nouveau sur le terrain où elle observait les joueurs, et essayait de retrouver qui fait quoi, le garçon lui adressa la parole, ce qui lui valut un autre sursaut. À sa présentation, la jeune fille comprit qu’il n’était en plus pas un Serdaigle, et s'interrogea donc sur sa santé mentale qui était la seul à pouvoir expliquer son cri. Et puis qu’importe, pensa-t-elle, un garçon qui lui avait paru étrange, bien que semblant gentil, lui adressait la parole, elle n'allait pas tout gâcher en réfléchissant trop, surtout qu’il avait l’air d’y comprendre quelque chose au Quidditch si elle se fiait à son air de supporter.

- Luce, enchantée ! Tu as l’air de t’y connaître en Quidditch toi ! Tu y joues ? demanda-t-elle avec une voix fébrile due au stress. Et oui pour ma part c’est le premier match auquel j’assiste, et que je vois tout court d'ailleurs. Ça se voit tant que ça ? dit elle encore plus gênée qu'au départ.

Elle vit alors les couleurs des écharpes des élèves assis autour d’eux, élèves qui n'étaient pas encore présent il y a quelques minutes, et comprit que comme elle le pensait, elle était bel et bien au mauvais endroit. Cela la fit rougir encore plus, et elle tenta de se justifier immédiatement, pensant risquer une punition pour cela :

-Je me suis perdue en arrivant et j’ai pas trouvé ma maison dans toute cette foule, et et et…désolée...

Elle s’arrêta de parler, voyant le sourire de Clément devant elle, et rougis encore plus.

Lorsque Valentine arriva dans les tribunes, elle était déjà frigorifiée. Elle avait mis une grosse écharpe, un bonnet bien chaud et se cape d'hiver était déjà couverte de flocons de neiges aux formes plus ou moins distinctes. La deuxième année observa les tribunes, pour l'instant, il n'y avait pas beaucoup de monde, le match n'avait pas encore débuté. Elle parcouru la foule agitée du regard et finit par apercevoir des têtes connues, dont l'une de ses camarades de chambre à Serpentard. Elle ne semblait pas être accompagnée de quelqu'un et après quelques secondes d'hésitation, elle finit par la rejoindre. 

Heureusement qu'elle n'avait pas tardé car, en même temps qu'elle, de nombreux supporters arrivèrent pour remplir les places encore libres et en plus, le match était en train de commencer: les équipes entraient sur le terrain. En arrivant à la hauteur de l'autre Serpentard, elle l'entendit crier des encouragements à leur équipe. On pourrait penser face à son enthousiasme qu'elle était arrivée au moment où toute sa vie se jouerait, mais, peut-être était-ce le cas. La blonde s'approcha et lui dit, haussant un peu la voix pour se faire entendre malgré le vent et la foule:

- Salut Daisy ! Ça te dérange que je me mette là ? Ou t'attend quelqu'un peut-être ?

Il valait mieux demander, on ne pouvait pas être sûr de la réponse de la Serpentard, en espérant ne pas se prendre un vent, Valentine attendait la réponse de sa camarade.

Quel temps,  mais quel temps ! C'était à croire que cela faisait partie de la tradition de ne faire jouer les matchs de Quidditch que lors des pires journées de l'année.
Engoncé dans son manteau, Aliosus pestait sur le froid et la neige.
Heureusement que l'ambiance survoltée typique des tribunes rechauffait l'atmosphère. Les banderoles étaient brandies de part et d'autre, les chants et les quolibets volaient dans l'air comme le feraient bientôt les deux équipes.

Il n'espérait qu'une seule chose, que sa meilleure amie soit heureuse de son match. Qu'elle perde ou qu'elle gagne, du moment qu'il pourrait l'entendre lui raconter le match de son point de vue avec l'enthousiasme qui la caractérisait. 


 

Zut et Zut! Eliana était en retard! Et pourtant elle ne s'était pas levé tard ni n'avait trainé au lit. Elle était descendu tôt, prendre son petit déjeuner sous l'excitation de ce futur début de match dans lequel sa maison participait. Elle n'avait pas encore eu l'occasion d'en voir un de près et bien que cela ne l'excitait pas plus que ça, elle était curieuse et voulait bien entendu soutenir sa maison. Puis voir ses camarades se préparer aux couleurs de Serdaigle, encourager leur équipe et se munir de blasons motivait grandement la jeune fille. Celle-ci avait décidé elle aussi de se préparer pour ce match mais avait été distraite par un livre et incorrigible qu'elle était, s'était laissé embarquer dans l'histoire et elle était maintenant en retard! Génial pour se faire remarquer! Elle prit vite bonnet, gants et de quoi ne pas prendre froid et couru jusqu'au terrain où, bien sûr, toute l'école était déjà présente ainsi que l'équipe qui avait commencé à jouer. Légèrement essoufflé et en sueur, malgré le froid qu'elle commençait à ressentir, elle tentait de faire mine de rien, bien qu'à l'intérieur le stresse la submergeait déjà. Elle repéra vite une place dans les gradins et s'y installa, ne sachant même pas si elle se trouvait en compagnie de sa maison ou non.

Libre pour qui veut!

Mi-janvier et la météo n'avait vraiment rien à voir avec ce qu'ils avaient pu connaître durant le précédent match. La pluie s'était transformée en neige et le mercure avait dû chuter d'au moins dix degrés. Aux yeux d'Eider cette valeur était bien trop importante. Le match venait à peine de commencer et la fillette se demandait déjà comment est-ce qu'elle allait pouvoir tenir sur ce banc, assise-là à ne rien faire. Le froid finirait par avoir raison d’elle, c’était inévitable.

Les joueurs des deux équipes étaient maintenant dans les airs et la jeune deuxième année pouvait admirer ses coéquipiers voler. C'était impressionnant : tous faisaient preuve d'une telle aisance malgré ce froid. Ses yeux ne voulaient se détacher de la silhouette de son amie. Vanellia était là, parmi les autres Crochets, batte à la main, prête à frapper un cognard un peu trop affectueux. La jeune Dawkins esquissa un léger sourire. Son amie était faite pour jouer au Quidditch et ce poste lui convenait parfaitement : il était parfait pour qu’elle se défoule.
Bien qu’ayant des gants, Eider ne put s’empêcher de frotter ses mains entre elles pour tenter de les réchauffer. Par précaution, elle checka une nouvelle fois son balai pour s’assurer qu’aucun givre n’avait pris place sur le manche ou le fagot. Rien à signaler.
A droite de la jeune fille, se trouvait l’un de ses coéquipiers : William, batteur qui remplacerait Vanellia si elle était amenée à sortir du terrain. Eider, qui n’était pas réputée pour être bavarde, s’adressa à lui tout en gardant son regard fixé sur les joueurs dans les airs.

- Alors ? Confiant ou pas ?

Je me suis réveillée dans un dortoir en ébullition : Shaylee, une joueuse de quidditch de notre maison était déjà partie, mais les autres étaient là. Le brouhaha était dû aux préparatif de mes camarades pour aller soutenir les aïe aïe aïe: une fille ne trouvait plus son écharpe, une autre la banderole qu'elle avait achetée- assez cher à mon goût -à l'équipe de quid, une autre se moquqt d'elles et de leurs visages desemparés, alors que leurs effets étaient quelque part dans notre dortoir. Je ne pouvais évidement pas voir qui faisait quoi, mes rideaux étaient encore tirés.
Je me suis finakent décidée à me lever et à sortie m'apprêter. Bien que je ne sois pas particulièrement fan de ce sport, c'est un truc que je connais depuis toujours, et pour moi, une coupe de quid équivaut à une coupe de monde de futball chez les Moldus: même ceux qui ne s'intéressent pas beaucoup suivent cet événement, donc, bien que je ne sois pas fanatique de quid, je me suis préparée pour aller encourager mon équipe avec la panoplie complète. J'ai meme troqué ma cape d'un bleu presque noir de tous les jours pour ma bleue serdaigle avec la fourrure dorée !
Je me dirige rapidement vers le stade et cherche une place dans nos tribunes. Je remarque bien sur une bonne partie de mes cousins, mais ils sont tous dans leur cercles d'amis.
Je pose mes fesses sur un bout de gradin, derrière une brune, avec un groupe de troisièmes-quatrième année très enthousiastes à ma gauche.
La voix de Brett Carter,( je crois,) le commentateur s'élève. Il présente la composition des deux équipes, puis se fait.
Les joueurs entrent sur le terrain, et dans un bel ensemble, s'envolent après que Tally et l'autre capitaine se soient saluées.
C'est la joueuse verte qui attrape le souafle, puis entreprend de la passer à une coequipière, Eastwood, si je ne me trompe pas. C'est leur capitaine en tout cas.
Je plisse les yeux à cause de la neige et soudain, je remarque le coganrd foncer sur Tally.
Attention ! Un cognard ! je m'epoumome, en vain, je le sais.
La fille au cheveux rouges entreprent alors de dévier le cognard sur la joueuse verte à qui une passe est destinée. Dans le meme temps, je vois un éclair bleu, Shaylee sûrement tenter de voler le souafle.
Je bondis sur mes pieds, d'une part pour pas geler, d'autre part, pour encourager les aïe aïe aïe Allez les bleus ! Les aigles sont des créatures qui sont à peur aise dans le ciel, comme vous, pas comme ces serpents qui tentent d:imiter un oiseau ! Vous êtres les meilleurs ! Vous allez les bouffer,
ces Serpentard !
Je crie en sautant.


Si quelqu'un veut se joindre à moi,
il est bienvenu!