Sisyphe, pose ton rocher
Samedi 6 mars 2049
8h du matin
Avec @Adaline MacBeth
Son grognement d'effort se perdit au milieu du bruit de l'eau redevenant unie. La sueur perlait à grosses gouttes sur son front, et ses doigts tremblotaient de tenir sa baguette depuis ce matin. Elle vibrait, toujours fidèle, ignorante du cap d'épuisement que son maître avait dépassé depuis belle lurette. Elle n'était que trop heureuse de pouvoir s'essayer à ses expériences farfelues et complètement folles.
Le sortilège de lévitation, Wingardium Leviosa, était le pilier de tous les sorts. Aux yeux de Narcisse, tout du moins. Ce sortilège représentait parfaitement l'écart entre le monde moldu et le monde sorcier. L'impossible évaporé, le rêve de toute une vie pour certains, cristallisé dans le plus simples des sortilèges. La quintessence de l'imaginaire pour les moldus, le concept le plus basique pour le premier des sorciers.
Et comme toute base, ce sort pouvait être déformé, travaillé, amplifié, restreint, modifié et tordu dans tous les sens. Narcisse pensait l'avoir compris, en expérimentant un jour, par accident, ce sortilège sur un verre d'eau. Il avait remarqué que lorsqu'il se concentrait suffisamment, l'eau semblait suivre le mouvement de sa baguette. Coïncidence ? Inertie ? Il s'en foutait, il avait eu une idée.
Wingardium faisait léviter des objets. C'était son concept. L'idée de base. Mais qu'en était-il de l'eau ? Après tout, l'eau, pouvait être considérée comme un objet, pas vrai ? Si l'on visualisait l'ensemble comme des milliards de petits objets s'assemblant les uns aux autres, on pouvait éventuellement en conclure, logiquement, que l'eau était un objet.
Plouf.
Encore.
"Wingardium Leviosa !"
Sa vision se brouilla alors qu'il relança une énième fois le sort en direction de l'eau placide du lac. Il essayait de visualiser une grande goutte d'eau, se regroupant à d'autres, pour ne former qu'une seule grande goutte. Et cette goutte, il allait la faire léviter.
Ou pas. Pas pour l'instant. Jusqu'à présent, tous ses efforts s'étaient révélés vains. C'est à peine s'il put observer çà et là quelques frémissements à la surface de l'eau. Mais s'il avait bien un défaut, c'est qu'il ne savait pas quand s'arrêter. Aussi, lorsqu'il se retrouva contraint de s'appuyer sur ses genoux, plié en deux, la respiration courte, la sueur ruisselant au sol, le visage livide, la seule réflexion qu'il se fit, était qu'il pourrait bien recommencer dans une ou deux minutes.
Encore ?
0131b4
3A 2049/2050 - 13 ans - 1m62 début 3A
3A 2049/2050 - 13 ans - 1m62 début 3A
Sisyphe, pose ton rocher
Le samedi 7 mars 2049,
Au bord du lac
Ce matin, je me suis levée de bonne heure.
Je suis bien incapable de rester au lit alors que tant de choses se bousculent dans ma tête. Il faut dire que, cette semaine, j'ai finalisé les recherches que j'ai faites sur ma forme animale. Alors, aussi longs soient mes cernes, je n'ai absolument aucune envie de dormir. Je n'ai qu'une envie, une seule, aller frapper à la porte de ma professeure de métamorphose et lui déballer - en parlant le plus vite possible - toutes les recherches que j'ai faites. Avec pour seul objectif d'obtenir les clés pour l'étape de la transformation.
C'est alors d'un pas décidé, les cheveux même pas peignés (comme si j'avais le temps pour ça) et un sac rempli de plusieurs livres sur les animaux de la toundra que je dois rendre à la bibliothèque que je profite du soleil du matin.
Je me promène dans le parc, qui est encore vide, depuis plusieurs dizaines de minutes quand je prend la direction du lac.
Alors je continue de marcher, presque trop épuisée pour contrôler le rythme de mes pas. Un rythme si lent que, si je me croisais dans un couloir du château, je soufflerais. Mais aujourd'hui, peu m'importe, j'ai du temps à tuer avant d'atteindre l'apothéose de ma journée (que dis-je, de ma vie !) alors je ne me presse pas le moins du monde.
C'est d'un pas presque traînant que je rejoins les rives caillouteuses du lac et que je les emprunte pour continuer à marcher au bord de l'eau. L'eau n'est pas un élément qui m'attire, je dois me trouver entre la terre et l'air, probablement. Si j'étais à Uagadou, je me demande bien lequel des deux serait mon élément de prédilection.
Et c'est avec cette réflexion en tête que je finis par tomber sur une silhouette familière.
Toujours au même rythme, je m'en approche. C'est la silhouette de Narcisse Brando qui se dessine bientôt, de plus en plus clairement, sur un fond de ciel vaguement bleu et d'eau presque noire.
Il lance son sortilège, un Wingardium Leviosa très bien prononcé, quand je prends finalement place à ses côtés. Je regarde alors, presque avec affection, ce garçon qui se tient là, essoufflé, dont la magie semble presque dégouliner des pores. Cela fait presque un an que j'apprends à connaître Narcisse Brando. A travers les entraînements que nous avons fait ensemble, repris ces derniers mois, et des discussions à propos de la magie. Je crois que je l'aime bien.
C'est probablement pour ça que je lui lance :
« Salut Brando, qu'est-ce que tu fais ? »
Au bord du lac
Ce matin, je me suis levée de bonne heure.
Je suis bien incapable de rester au lit alors que tant de choses se bousculent dans ma tête. Il faut dire que, cette semaine, j'ai finalisé les recherches que j'ai faites sur ma forme animale. Alors, aussi longs soient mes cernes, je n'ai absolument aucune envie de dormir. Je n'ai qu'une envie, une seule, aller frapper à la porte de ma professeure de métamorphose et lui déballer - en parlant le plus vite possible - toutes les recherches que j'ai faites. Avec pour seul objectif d'obtenir les clés pour l'étape de la transformation.
C'est alors d'un pas décidé, les cheveux même pas peignés (comme si j'avais le temps pour ça) et un sac rempli de plusieurs livres sur les animaux de la toundra que je dois rendre à la bibliothèque que je profite du soleil du matin.
Je me promène dans le parc, qui est encore vide, depuis plusieurs dizaines de minutes quand je prend la direction du lac.
Alors je continue de marcher, presque trop épuisée pour contrôler le rythme de mes pas. Un rythme si lent que, si je me croisais dans un couloir du château, je soufflerais. Mais aujourd'hui, peu m'importe, j'ai du temps à tuer avant d'atteindre l'apothéose de ma journée (que dis-je, de ma vie !) alors je ne me presse pas le moins du monde.
C'est d'un pas presque traînant que je rejoins les rives caillouteuses du lac et que je les emprunte pour continuer à marcher au bord de l'eau. L'eau n'est pas un élément qui m'attire, je dois me trouver entre la terre et l'air, probablement. Si j'étais à Uagadou, je me demande bien lequel des deux serait mon élément de prédilection.
Et c'est avec cette réflexion en tête que je finis par tomber sur une silhouette familière.
Toujours au même rythme, je m'en approche. C'est la silhouette de Narcisse Brando qui se dessine bientôt, de plus en plus clairement, sur un fond de ciel vaguement bleu et d'eau presque noire.
Il lance son sortilège, un Wingardium Leviosa très bien prononcé, quand je prends finalement place à ses côtés. Je regarde alors, presque avec affection, ce garçon qui se tient là, essoufflé, dont la magie semble presque dégouliner des pores. Cela fait presque un an que j'apprends à connaître Narcisse Brando. A travers les entraînements que nous avons fait ensemble, repris ces derniers mois, et des discussions à propos de la magie. Je crois que je l'aime bien.
C'est probablement pour ça que je lui lance :
« Salut Brando, qu'est-ce que tu fais ? »
Animagus renard polaire
(bientôt) 7ème année
(bientôt) 7ème année
Sisyphe, pose ton rocher
La salutation d'Adaline se perdit au milieu des respirations épuisées de Narcisse, qui déglutit difficilement en se redressant, un immense sourire se dessinant sur ses lèvres.
"Ada' ! Yooo ! Comment tu vas ?"
Toute sa fatigue s'envola un court instant, juste le temps qu'il se redresse pour la saluer d'un grand geste de main. Et juste avant que le tournis ne reprenne ses assauts pour le contraindre à s'asseoir brusquement, les fesses sur la terre humide, sans dignité pour son jogging, il s'en fichait. Après quelques respirations, pâle comme un linge, il éclata d'un rire cristallin, mais plus faible que d'habitude.
"Oups ! Héhé, j'm'entraîne !"
De l'index, il montre la surface placide et calme de l'eau, indifférente à ses efforts acharnés.
"J'essaye d'faire léviter d'l'eau ! J'me suis dit que si j'arrive à la visualiser comme un seul et même objet, bah ça doit marcher non ? Bon, j'avoue pour l'instant, j'arrive à rien, mais j'vais réussir ! Et toi, tu fais quoiii ?"
Même au plus profond de ses entraînements, jamais le moment, pour lui, n'était mauvais pour bavarder. Sauf en cours, quand même, il se tenait dans ce genre de situation. Parce qu'il avait un sujet d'intérêt qui le divertissait et lui occupait l'esprit. Il aimait tellement parler aux gens, les écouter, les laisser raconter leur vie, tout ce qui leur passait par la tête, et il ne manquait jamais d'en faire autant. Et toujours avec son éternel sourire, qui ne manquait pas d'apparaître non plus en cet instant, d'une oreille à l'autre, soulignant le blanc de son visage.
"Ada' ! Yooo ! Comment tu vas ?"
Toute sa fatigue s'envola un court instant, juste le temps qu'il se redresse pour la saluer d'un grand geste de main. Et juste avant que le tournis ne reprenne ses assauts pour le contraindre à s'asseoir brusquement, les fesses sur la terre humide, sans dignité pour son jogging, il s'en fichait. Après quelques respirations, pâle comme un linge, il éclata d'un rire cristallin, mais plus faible que d'habitude.
"Oups ! Héhé, j'm'entraîne !"
De l'index, il montre la surface placide et calme de l'eau, indifférente à ses efforts acharnés.
"J'essaye d'faire léviter d'l'eau ! J'me suis dit que si j'arrive à la visualiser comme un seul et même objet, bah ça doit marcher non ? Bon, j'avoue pour l'instant, j'arrive à rien, mais j'vais réussir ! Et toi, tu fais quoiii ?"
Même au plus profond de ses entraînements, jamais le moment, pour lui, n'était mauvais pour bavarder. Sauf en cours, quand même, il se tenait dans ce genre de situation. Parce qu'il avait un sujet d'intérêt qui le divertissait et lui occupait l'esprit. Il aimait tellement parler aux gens, les écouter, les laisser raconter leur vie, tout ce qui leur passait par la tête, et il ne manquait jamais d'en faire autant. Et toujours avec son éternel sourire, qui ne manquait pas d'apparaître non plus en cet instant, d'une oreille à l'autre, soulignant le blanc de son visage.
0131b4
3A 2049/2050 - 13 ans - 1m62 début 3A
3A 2049/2050 - 13 ans - 1m62 début 3A
Sisyphe, pose ton rocher
Mes yeux fixés sur le lac ne se détournent pas avant d'entendre le poum caractéristique de fesses qui touchent le sol. C'est à ce moment là que je fais volte-face, avec toute la légèreté qui m'habite aujourd'hui, pour découvrir un Narcisse Brando assis - presque affalé - contre la terre humide qui constitue les bords du lac. Alors qu'il me répond vaguement, je plisse les yeux pour observer son visage de plus près et bientôt, je suis carrément penchée au dessus de sa caboche.
Ses yeux sont vitreux, ses cernes sont presque aussi noirs que les miens, son teint est livide et ses cheveux transpirants sur un front dégoulinant.
Le spectacle qu'il donne à voir aujourd'hui n'est pas franchement agréable à voir. Je me maudis de n'avoir rien remarqué plus tôt, et de n'avoir pas vu sur le minois du gamin les mêmes signes que sur le mien tous les matins ces dernières années.
Les mains sur les hanches, j'écoute le plan farfelu de Narcisse Brando.
Et ce dernier, qui ne se doute pas de la remontrance que je lui prépare, réussi à arracher un sourire derrière la moue qui s'installe confortablement sur mon visage. Je chasse ce sourire derrière des sourcils froncés, en réfléchissant à l'idée qu'il a eu. Ce garçon là, il a des idées intéressantes, pensé-je, mais je vais me faire un plaisir de lui remonter les bretelles quand même !
Une main sur la hanche, je dirige l'autre jusque sur son front pour le tapoter avec un index inquisiteur.
« Mais enfin Brando ! T'as de la chance que je ne l'ai pas remarqué plus tôt ! »
Grommelé-je en me redressant.
Mon doigt ne titille plus son front, mais ma main montre toujours son petit corps chétif. Assis comme ça, il ressemble plus à un chiffon qu'à un garçon. Un chiffon qu'on aurait essoré pendant des heures avant de le laisser sécher sur un coin de table.
« C'est quoi ce teint tout pâle, ces cernes sous tes yeux, t'es épuisé ! Faut pas que tu dépasses tes limites comme ça, tu sais, faut te reposer si tu veux progresser. La magie, c'est comme un réservoir. Tu comprends ? »
Je hausse d'abord le ton, avant de terminer par une question sur un ton plus tendre. Mes yeux sont malencontreusement tombés dans les siens pendant mon sermon et voilà que je m'adoucis...
« Bon, et tu penses que ça peut marcher avec un seul Wingardium Leviosa, ton truc ? »
Ses yeux sont vitreux, ses cernes sont presque aussi noirs que les miens, son teint est livide et ses cheveux transpirants sur un front dégoulinant.
Le spectacle qu'il donne à voir aujourd'hui n'est pas franchement agréable à voir. Je me maudis de n'avoir rien remarqué plus tôt, et de n'avoir pas vu sur le minois du gamin les mêmes signes que sur le mien tous les matins ces dernières années.
Les mains sur les hanches, j'écoute le plan farfelu de Narcisse Brando.
Et ce dernier, qui ne se doute pas de la remontrance que je lui prépare, réussi à arracher un sourire derrière la moue qui s'installe confortablement sur mon visage. Je chasse ce sourire derrière des sourcils froncés, en réfléchissant à l'idée qu'il a eu. Ce garçon là, il a des idées intéressantes, pensé-je, mais je vais me faire un plaisir de lui remonter les bretelles quand même !
Une main sur la hanche, je dirige l'autre jusque sur son front pour le tapoter avec un index inquisiteur.
« Mais enfin Brando ! T'as de la chance que je ne l'ai pas remarqué plus tôt ! »
Grommelé-je en me redressant.
Mon doigt ne titille plus son front, mais ma main montre toujours son petit corps chétif. Assis comme ça, il ressemble plus à un chiffon qu'à un garçon. Un chiffon qu'on aurait essoré pendant des heures avant de le laisser sécher sur un coin de table.
« C'est quoi ce teint tout pâle, ces cernes sous tes yeux, t'es épuisé ! Faut pas que tu dépasses tes limites comme ça, tu sais, faut te reposer si tu veux progresser. La magie, c'est comme un réservoir. Tu comprends ? »
Je hausse d'abord le ton, avant de terminer par une question sur un ton plus tendre. Mes yeux sont malencontreusement tombés dans les siens pendant mon sermon et voilà que je m'adoucis...
« Bon, et tu penses que ça peut marcher avec un seul Wingardium Leviosa, ton truc ? »
Animagus renard polaire
(bientôt) 7ème année
(bientôt) 7ème année
Sisyphe, pose ton rocher
Sous l'épuisement absolu de son organisme, Narcisse ne peut contenir la montée d'un énorme bâillement qu'il dissimule tant bien que mal derrière sa main. Les larmes étaient en train de lui monter, lorsqu'il fut soudainement interrompu par le sévère contact de l'index de son amie. Ce fut l'équivalent d'un petit coup de fouet, d'un choc électrique, le plongeant dans un état hébétude absolue, le temps d'un instant. Tout ce qu'il put faire, ce fut de lever ses mains pour les disposer de part et d'autre de son front, fixant Adaline d'un regard vide et confus.
"Aïe !"
Il la regarde encore, fronce les sourcils, entrouvre les lèvres, et se frotte l'endroit où l'index de la Gryffondor l'a toqué. Puis les mots vinrent. Et immédiatement, son regard s'abaissa d'un geste vif. Le rouge lui monta aux joues, colorant son visage, et une chaleur désagréable lui fit serrer les dents. Toutes ses pensées se bloquèrent face à l'évidente contradiction de sa perception des choses et ce qu'on venait de lui mettre sous le nez. La dissonance cognitive fit totalement dérailler son cerveau, et laissa toute la place au déni, qui s'étala royalement dans l'esprit du garçon.
Avec une moue boudeuse, il tenta de répondre.
"Moui... mais un réservoir faut bien l'agrandir si on veut stocker plus..."
Ce ne fut que lorsque qu'elle reparla de magie qu'elle récupéra l'attention du plus jeune, qui écarquilla les yeux avec une grande lumière, pour se redresser rapidement. Il ignora le tournis soudain qui le saisi, le forçant à prendre une grande inspiration avant de reprendre.
"Bonne question ! Euh, j'y ai pas trop réfléchi... Sinon... peut-être un accio... nan, mais attends, imagine, t'utilises accio pour condenser les particules d'eau dans l'air ! Ooooh faudra que j'essaye quand j'pourrais !!"
Eeeet ça y'est... son cerveau était déjà parti... Comme en témoignait la lueur folle qui scintillait au fond de ses yeux.
"Aïe !"
Il la regarde encore, fronce les sourcils, entrouvre les lèvres, et se frotte l'endroit où l'index de la Gryffondor l'a toqué. Puis les mots vinrent. Et immédiatement, son regard s'abaissa d'un geste vif. Le rouge lui monta aux joues, colorant son visage, et une chaleur désagréable lui fit serrer les dents. Toutes ses pensées se bloquèrent face à l'évidente contradiction de sa perception des choses et ce qu'on venait de lui mettre sous le nez. La dissonance cognitive fit totalement dérailler son cerveau, et laissa toute la place au déni, qui s'étala royalement dans l'esprit du garçon.
Avec une moue boudeuse, il tenta de répondre.
"Moui... mais un réservoir faut bien l'agrandir si on veut stocker plus..."
Ce ne fut que lorsque qu'elle reparla de magie qu'elle récupéra l'attention du plus jeune, qui écarquilla les yeux avec une grande lumière, pour se redresser rapidement. Il ignora le tournis soudain qui le saisi, le forçant à prendre une grande inspiration avant de reprendre.
"Bonne question ! Euh, j'y ai pas trop réfléchi... Sinon... peut-être un accio... nan, mais attends, imagine, t'utilises accio pour condenser les particules d'eau dans l'air ! Ooooh faudra que j'essaye quand j'pourrais !!"
Eeeet ça y'est... son cerveau était déjà parti... Comme en témoignait la lueur folle qui scintillait au fond de ses yeux.
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3A 2049/2050 - 13 ans - 1m62 début 3A
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