Tes recherches sur...
JEUDI 7 FÉVRIER 2047
19H02
Feat. @Adaline Macbeth
19H02
Feat. @Adaline Macbeth
Oui bah oui.
Maintenant que je lis son mot, oui, c'est vrai : elle m'avait lancé un regard bien entendu le mardi, au club, et j'ai totalement oublié de l'aborder à ce sujet. Et elle ne m'a elle-même pas abordé à ce propos. Donc bon.
Je n'ai peut-être plus cours d'Histoire de la Magie mais j'ai toujours des amis qui ont ce cours. Dont elle, notamment. C'est donc tout naturellement qu'après avoir pris le petit-déjeuner, j'ai un minimum fini ma conversation avec Lili en me rendant devant sa salle de cours pour... Voir un mot voler vers moi. Signé Macbeth.
Elle a raturé sa dernière phrase qu'elle n'avait même pas pris le temps de finir mais je me doute bien de ce qu'elle voulait dire par « tes recherches sur ».
Comment a-t-elle été mise au courant ? Par Miss Valerion ? Par le biais d'un de nos amis communs ? Par O'Connors ? Ou elle a entendu par inadvertance la conversation que j'ai eue à ce sujet avec une de ces trois ou plus éventuelles personnes ? J'en ai parlé à qui, exactement, déjà ?
Boarf, après... Ce n'est pas comme si c'était Kingson. Elle est sympa, elle, Adaline. Elle ne me charriera pas mais, au contraire, voudra également être du projet. Je me demande même si on ne pourrait pas s'entraider et pouvoir apprendre ce sort plus rapidement.
C'est pourquoi, comparant l'horaire de rendez-vous qu'elle m'avait donnée à la fin de mon propre cours de DCFM cet après-midi, j'ai décidé d'apporter directement le manuel de niveau six que j'ai piqué à July ainsi que le cahier que j'avais déjà noirci d'informations. Au cas où. Si elle ne parlait, au final, pas de ça, tant pis. Je les aurais au moins apportés.
C'est à grand regret que je ne reste pas quelques minutes de plus dans ce cours que j'aime tant pour discuter avec cette incroyable professeure : le temps de faire le trajet de cette salle jusqu'à la cour de l'horloge, il y a déjà un certain temps qui s'est écoulé. Cette horaire n'est pas vraiment des plus optimales. Impossible d'être là en avance, voire même tout simplement à l'heure lorsqu'on a le cours de DCFM en entier l'après-midi. Pas la peine de la faire attendre plus longtemps que nécessaire.
Noms soulignés pour Au fil des mots.
Si quelque chose ne convient pas, n'hésite pas !
Si quelque chose ne convient pas, n'hésite pas !
7ème année RP
Peut-être bien qu'il se passe quelque chose avec Katherine.
« Roi du Drama & du Suspens » — JT
Peut-être bien qu'il se passe quelque chose avec Katherine.
« Roi du Drama & du Suspens » — JT
Tes recherches sur...
Le jeudi 7 février 2047,
4ème année
Ce que font les gens intéressants m'intéresse évidemment. Je ne peux m'empêcher de retenir mentalement les déplacements de ma préfète par exemple, dans l'éventualité où j'aurais besoin d'aller la trouver. Mais je ne surveille pas ! Ne vous y méprenez pas. C'est simplement que l'aura de ces gens intéressants attire mon œil et mon attention s'agrippe parfois à eux. C'est le cas pour Dale. Je ne l'ai jamais trouvé particulièrement intéressant jusqu'au début de cette année scolaire. Avant, je le trouvais grossier : un caractère un peu trop en couleurs, une voix qui porte un peu trop loin, des réclamations à tout va.
Mais il est devenu intéressant en montrant des capacités en Défense contre les Forces du Mal, et en lancer de sorts en général. C'est là un point commun que nous avons, bien que j'excelle aussi dans les matières moins concrètes. Je découvre aussi que son esprit est vif dans les réponses qu'il donne à notre professeure. Ce que cela m'a fait comprendre, plus que de le faire mentalement passer dans la catégorie des gens intéressants, c'est qu'il est particulièrement motivé par notre professeure, Miss Valerion. Et j'ai découvert, pas plus tard que ce mardi, que cette espèce d'affection était réciproque. Dale a été traité comme les chouchous des chouchous.
C'est comme ça, parce que je l'ai classé comme intéressant, que je sais qu'il a l'habitude d'accompagner Cooper jusqu'en cours le matin. C'est aussi comme ça que j'ai su à quel moment faire voler mon petit morceau de parchemin plié jusqu'à lui, d'un coup de baguette et de jolie magie. J'aime cette magie simple, que ma grand-mère utilise pour à peu près tout à la maison (sauf pour la cuisine).
Le dos tourné, collée à la porte qui mène à la classe d'histoire de la magie, j'ai entendu l'éclat de sa voix. Et ma note a volé vers lui sans attendre une minute. J'ai jeté un coup d'œil derrière moi pour m'assurer qu'il l'avait reçu et me suis faufilée à l'intérieur de la classe.
Oui, ce mot est une invitation. Oui, ce mot s'avère un peu osé. Oui, j'ai volontairement laissé des indices. Oui, je n'en ai parlé à personne.
Alors j'ai passé le cours de Défense contre les Forces du Mal, auquel Dale assiste aussi, sans piper un mot. Il ne m'a pas regardé, je ne l'ai pas regardé. Je crois que nous nous sommes compris, cela doit rester secret.
Lorsque le cours se termine et que sonne dix-neuf heures, je rassemble mes affaires et je quitte la salle à pas presque feutrés pour me glisser entre les élèves et éviter de croiser quelqu'un qui pourrait me proposer d'aller manger avec lui, et à qui je devrais mentir pour mener ma mission à bien. Certes, ceux qui risquent de me proposer cela ne sont pas nombreux, mais ils existent, ils sont au moins deux ou trois.
Je profite que Dale soit, je le sais, derrière moi, parce que, je le sais, il va vouloir discuter avec sa professeure préférée (qui pourrait aussi être la mienne). D'ailleurs, il a cette manie de discuter avec elle à la fin du cours et j'ai cette manie de laisser traîner mes oreilles. Je dois dire que, lors de ce cours particulier sur le Protego, j'ai remarqué l'agitation de Dale pour échanger seul à seul avec Miss Valerion. Je dois dire aussi que cela m'a interpellé.
Mais je ne sais pas dans quel état d'esprit sera mon camarade vert !
C'est pour cela que j'ai laissé traîné cet indice, loin d'être discret, dans ma note. Et c'est pour cela aussi que je ne vais pas me jeter dans la gueule du loup, pensé je en descendant les escaliers puis en traversant le couloir de la cour carrée avant d'aller m'asseoir au bord de la fontaine et sous ses grands phœnix.
« Dale. »
Je le salue quand, quelques minutes plus tard, il atteint mon niveau avec un tas de bouquins ou de cahiers sous les bras.
4ème année
Ce que font les gens intéressants m'intéresse évidemment. Je ne peux m'empêcher de retenir mentalement les déplacements de ma préfète par exemple, dans l'éventualité où j'aurais besoin d'aller la trouver. Mais je ne surveille pas ! Ne vous y méprenez pas. C'est simplement que l'aura de ces gens intéressants attire mon œil et mon attention s'agrippe parfois à eux. C'est le cas pour Dale. Je ne l'ai jamais trouvé particulièrement intéressant jusqu'au début de cette année scolaire. Avant, je le trouvais grossier : un caractère un peu trop en couleurs, une voix qui porte un peu trop loin, des réclamations à tout va.
Mais il est devenu intéressant en montrant des capacités en Défense contre les Forces du Mal, et en lancer de sorts en général. C'est là un point commun que nous avons, bien que j'excelle aussi dans les matières moins concrètes. Je découvre aussi que son esprit est vif dans les réponses qu'il donne à notre professeure. Ce que cela m'a fait comprendre, plus que de le faire mentalement passer dans la catégorie des gens intéressants, c'est qu'il est particulièrement motivé par notre professeure, Miss Valerion. Et j'ai découvert, pas plus tard que ce mardi, que cette espèce d'affection était réciproque. Dale a été traité comme les chouchous des chouchous.
C'est comme ça, parce que je l'ai classé comme intéressant, que je sais qu'il a l'habitude d'accompagner Cooper jusqu'en cours le matin. C'est aussi comme ça que j'ai su à quel moment faire voler mon petit morceau de parchemin plié jusqu'à lui, d'un coup de baguette et de jolie magie. J'aime cette magie simple, que ma grand-mère utilise pour à peu près tout à la maison (sauf pour la cuisine).
Le dos tourné, collée à la porte qui mène à la classe d'histoire de la magie, j'ai entendu l'éclat de sa voix. Et ma note a volé vers lui sans attendre une minute. J'ai jeté un coup d'œil derrière moi pour m'assurer qu'il l'avait reçu et me suis faufilée à l'intérieur de la classe.
Oui, ce mot est une invitation. Oui, ce mot s'avère un peu osé. Oui, j'ai volontairement laissé des indices. Oui, je n'en ai parlé à personne.
Alors j'ai passé le cours de Défense contre les Forces du Mal, auquel Dale assiste aussi, sans piper un mot. Il ne m'a pas regardé, je ne l'ai pas regardé. Je crois que nous nous sommes compris, cela doit rester secret.
Lorsque le cours se termine et que sonne dix-neuf heures, je rassemble mes affaires et je quitte la salle à pas presque feutrés pour me glisser entre les élèves et éviter de croiser quelqu'un qui pourrait me proposer d'aller manger avec lui, et à qui je devrais mentir pour mener ma mission à bien. Certes, ceux qui risquent de me proposer cela ne sont pas nombreux, mais ils existent, ils sont au moins deux ou trois.
Je profite que Dale soit, je le sais, derrière moi, parce que, je le sais, il va vouloir discuter avec sa professeure préférée (qui pourrait aussi être la mienne). D'ailleurs, il a cette manie de discuter avec elle à la fin du cours et j'ai cette manie de laisser traîner mes oreilles. Je dois dire que, lors de ce cours particulier sur le Protego, j'ai remarqué l'agitation de Dale pour échanger seul à seul avec Miss Valerion. Je dois dire aussi que cela m'a interpellé.
Mais je ne sais pas dans quel état d'esprit sera mon camarade vert !
C'est pour cela que j'ai laissé traîné cet indice, loin d'être discret, dans ma note. Et c'est pour cela aussi que je ne vais pas me jeter dans la gueule du loup, pensé je en descendant les escaliers puis en traversant le couloir de la cour carrée avant d'aller m'asseoir au bord de la fontaine et sous ses grands phœnix.
« Dale. »
Je le salue quand, quelques minutes plus tard, il atteint mon niveau avec un tas de bouquins ou de cahiers sous les bras.
Animagus renard polaire
(bientôt) 7ème année
(bientôt) 7ème année
Tes recherches sur...
J'arrive finalement dans la cour et elle m'y attend déjà, là, assise sur la fontaine. Elle porte son regard vers moi. Je me contente de m'approcher.
Et c'est là qu'elle prononce mon nom. Tout simplement. Pas même mon prénom. Pas même un bonjour. Pas même une précision du pourquoi elle voulait qu'on se rencontre - même si elle doit bien se douter que je me doute bien de quoi elle veut me parler -. Rien.
Bon, certes, le salut n'est peut-être pas nécessaire étant donné le fait que l'on se soit vus littéralement cinq minutes avant, en cours de Défense contre les Forces du Mal. Mais bon. Tout de même, le nom de famille, quoi... Je n'utilise le nom de famille qu'avec les personnes avec lesquelles je suis en froid, pas celles avec lesquelles je suis un minimum cordial. Mais je vois bien que, pour elle, le nom de famille n'a pas une connotation aussi négative... Du moins je l'espère ? Si c'était le cas, elle serait bien bête de dire d'entrée de jeu à quel point elle ne me porte pas dans son cœur, avant même que je n'ai pu lui transmettre la moindre information. Et l'idiotie ne correspondrait définitivement pas à Adaline Macbeth. Non, c'est juste moi et moi-même qui ai une connotation aussi négative de cette appellation.
— Macbeth !
Mais cela ne m'empêchera pas de mettre plus d'entrain qu'elle dans mon propre salut.
Je finis donc de m'approcher avec un sourire que j'espère amical.
Ce n'est qu'une fois assis à ses côtés, que je me permets de ranger les affaires de Défense contre les Forces du Mal que j'avais prises dans mes mains, faute d'avoir le temps de les ranger. Je les range donc dans ma besace où sont déjà disposés le fameux carnet fourre-tout et le manuel de niveau six volé à July.
Non, je ne lui laisserai pas voir un seul mot de mes recherches tant qu'elle ne m'aura pas explicitement fait savoir que c'est sur ce sortilège qu'elle veut obtenir des informations. Et je ne la mettrai pas sur la piste d'une quelconque manière, non. Sur un malentendu, je me suis très probablement trompé sur toute la ligne. Je veux entendre la confirmation à mes suppositions.
— Tu voulais me parler à propos de... ?
Et c'est là qu'elle prononce mon nom. Tout simplement. Pas même mon prénom. Pas même un bonjour. Pas même une précision du pourquoi elle voulait qu'on se rencontre - même si elle doit bien se douter que je me doute bien de quoi elle veut me parler -. Rien.
Bon, certes, le salut n'est peut-être pas nécessaire étant donné le fait que l'on se soit vus littéralement cinq minutes avant, en cours de Défense contre les Forces du Mal. Mais bon. Tout de même, le nom de famille, quoi... Je n'utilise le nom de famille qu'avec les personnes avec lesquelles je suis en froid, pas celles avec lesquelles je suis un minimum cordial. Mais je vois bien que, pour elle, le nom de famille n'a pas une connotation aussi négative... Du moins je l'espère ? Si c'était le cas, elle serait bien bête de dire d'entrée de jeu à quel point elle ne me porte pas dans son cœur, avant même que je n'ai pu lui transmettre la moindre information. Et l'idiotie ne correspondrait définitivement pas à Adaline Macbeth. Non, c'est juste moi et moi-même qui ai une connotation aussi négative de cette appellation.
— Macbeth !
Mais cela ne m'empêchera pas de mettre plus d'entrain qu'elle dans mon propre salut.
Je finis donc de m'approcher avec un sourire que j'espère amical.
Ce n'est qu'une fois assis à ses côtés, que je me permets de ranger les affaires de Défense contre les Forces du Mal que j'avais prises dans mes mains, faute d'avoir le temps de les ranger. Je les range donc dans ma besace où sont déjà disposés le fameux carnet fourre-tout et le manuel de niveau six volé à July.
Non, je ne lui laisserai pas voir un seul mot de mes recherches tant qu'elle ne m'aura pas explicitement fait savoir que c'est sur ce sortilège qu'elle veut obtenir des informations. Et je ne la mettrai pas sur la piste d'une quelconque manière, non. Sur un malentendu, je me suis très probablement trompé sur toute la ligne. Je veux entendre la confirmation à mes suppositions.
— Tu voulais me parler à propos de... ?
7ème année RP
Peut-être bien qu'il se passe quelque chose avec Katherine.
« Roi du Drama & du Suspens » — JT
Peut-être bien qu'il se passe quelque chose avec Katherine.
« Roi du Drama & du Suspens » — JT
Tes recherches sur...
Il me rend mon salut et je suis ravie de constater qu'il n'utilise pas mon prénom. Je sais que c'est une habitude que tous les habitants de ce château n'aiment pas, et je sais que ce garçon en particulier n'est pas un utilisateur de cette marque de politesse, alors voir qu'il la respecte pour me saluer me fait sourire. Cela me permet aussi de lui rendre son sourire et de laisser s'installer une bonne ambiance (je suis trop douée pour les ambiances froides d'habitude) entre nous deux alors qu'il est en train de s'asseoir.
Je ne crois pas me souvenir d'avoir partagé un moment seul à seul avec Dale, et pourtant je suis certaine que nous avons beaucoup à nous dire. Bien sûr, cela va venir progressivement, le temps que nos pensées s'ordonnent et que les mots se mettent à couler en cascade de nos bouches. C'est ce que j'imagine pour la suite de la conversation.
Enfin... Si je me décide à cracher le morceau. La question vient et je tourne la tête vers lui. J'ai toujours le même sourire sur les lèvres et je détaille son visage le temps d'un instant. Il ne ressemble à aucun autre garçon, et en même temps son visage est exactement comme celui de tous les autres. Le temps d'un instant, j'oublie que je dois lui répondre, mais ce n'est pas à cause d'une quelconque attirance, non.
Je secoue un peu la tête avant de la tourner vers mes pieds.
« Eh bien... »
Commencé-je à voix basse. C'est une tactique pour perdre encore un peu de temps et en gagner en réflexion. Est-ce que je suis certaine de ce que j'ai entendu entre lui et notre professeure ? Est-ce que je dois lui dire que j'ai écouté aux portes ? Est-ce que je dois seulement lui parler du sortilège ? Comment est-ce qu'il va le prendre ? Est-ce qu'il est dans d'assez bonnes dispositions pour que je le lui en parle ? Oui, il a l'air de bonne humeur, il m'a sourit, il est assez malin pour ne pas prendre la mouche (enfin je crois), alors c'est décidé.
« Je voulais te parler à propos du sortilège du Patronus. »
Je ne crois pas me souvenir d'avoir partagé un moment seul à seul avec Dale, et pourtant je suis certaine que nous avons beaucoup à nous dire. Bien sûr, cela va venir progressivement, le temps que nos pensées s'ordonnent et que les mots se mettent à couler en cascade de nos bouches. C'est ce que j'imagine pour la suite de la conversation.
Enfin... Si je me décide à cracher le morceau. La question vient et je tourne la tête vers lui. J'ai toujours le même sourire sur les lèvres et je détaille son visage le temps d'un instant. Il ne ressemble à aucun autre garçon, et en même temps son visage est exactement comme celui de tous les autres. Le temps d'un instant, j'oublie que je dois lui répondre, mais ce n'est pas à cause d'une quelconque attirance, non.
Je secoue un peu la tête avant de la tourner vers mes pieds.
« Eh bien... »
Commencé-je à voix basse. C'est une tactique pour perdre encore un peu de temps et en gagner en réflexion. Est-ce que je suis certaine de ce que j'ai entendu entre lui et notre professeure ? Est-ce que je dois lui dire que j'ai écouté aux portes ? Est-ce que je dois seulement lui parler du sortilège ? Comment est-ce qu'il va le prendre ? Est-ce qu'il est dans d'assez bonnes dispositions pour que je le lui en parle ? Oui, il a l'air de bonne humeur, il m'a sourit, il est assez malin pour ne pas prendre la mouche (enfin je crois), alors c'est décidé.
« Je voulais te parler à propos du sortilège du Patronus. »
Animagus renard polaire
(bientôt) 7ème année
(bientôt) 7ème année
Tes recherches sur...
... Et elle me rend mon sourire !
Tant mieux. Notre relation est plus au stade d'inconnus mutuels qu'autre chose mais on instaure une ambiance chaleureuse plutôt qu'une ambiance froide et pleine de gêne. Et puis... Même si je ne la connais pas vraiment, je la tiens plutôt haute dans mon estime. J'espère que c'est également son cas. Quoi qu'il en soit, je ferai tout pour que ce soit le cas. Si elle a autant de jugeotte que je le suppose, elle ne devrait pas laisser brouiller sa vision par les idiots on-dit sur ma personne qui circulent. Et elle en a, de la jugeotte. J'en suis persuadé.
Elle marque un temps après ma question. Mon sourire s'étire lorsqu'elle rompt notre contact visuel pour contempler ses pieds.
Eh bien ? Il fallait t'attendre à cette question, Adaline, voyons !
Après, je comprends. J'aurais réagi de l'exacte même manière qu'elle si j'étais à sa place à ce moment précis. Le bref espoir que la personne d'en face aborde le sujet implicite mais évident d'elle-même pour qu'au final ce soit nous-mêmes qui doive mettre le sujet sur la table. Sachant qu'on n'est, a priori, pas censés avoir vent de ça. Cela aurait dû être un moment gênant. Ça l'est toujours, normalement.
— Ha !
Mais je ne vais pas commencer à lui reprocher d'écouter aux portes ou d'avoir demandé des informations à mon sujet sans que j'en sois au courant. De toute manière, ce n'est pas un sujet sensible. Au contraire même : j'en suis plutôt fier. Maais j'aimerais que cela ne s'ébruite que lorsque j'aurai réellement maîtrisé le sort, qu'on ne puisse pas se moquer de mes lamentables échecs actuels.
— Je le savais !
Comme si cela n'était pas suffisamment explicite dans le mot...
— Oui : c'est pour ça que Miss Valerion m'a invité à rejoindre le club Prodigium.
Je ponctue mes dires en tirant le fameux livre de niveaux six de ma besace. Je n'ai pas encore envie d'en tirer mon carnet. Ayant prévu de le montrer à personne, on ne peut faire plus brouillon et cela risque de plus la perdre qu'autre chose...
Tant mieux. Notre relation est plus au stade d'inconnus mutuels qu'autre chose mais on instaure une ambiance chaleureuse plutôt qu'une ambiance froide et pleine de gêne. Et puis... Même si je ne la connais pas vraiment, je la tiens plutôt haute dans mon estime. J'espère que c'est également son cas. Quoi qu'il en soit, je ferai tout pour que ce soit le cas. Si elle a autant de jugeotte que je le suppose, elle ne devrait pas laisser brouiller sa vision par les idiots on-dit sur ma personne qui circulent. Et elle en a, de la jugeotte. J'en suis persuadé.
Elle marque un temps après ma question. Mon sourire s'étire lorsqu'elle rompt notre contact visuel pour contempler ses pieds.
Eh bien ? Il fallait t'attendre à cette question, Adaline, voyons !
Après, je comprends. J'aurais réagi de l'exacte même manière qu'elle si j'étais à sa place à ce moment précis. Le bref espoir que la personne d'en face aborde le sujet implicite mais évident d'elle-même pour qu'au final ce soit nous-mêmes qui doive mettre le sujet sur la table. Sachant qu'on n'est, a priori, pas censés avoir vent de ça. Cela aurait dû être un moment gênant. Ça l'est toujours, normalement.
— Ha !
Mais je ne vais pas commencer à lui reprocher d'écouter aux portes ou d'avoir demandé des informations à mon sujet sans que j'en sois au courant. De toute manière, ce n'est pas un sujet sensible. Au contraire même : j'en suis plutôt fier. Maais j'aimerais que cela ne s'ébruite que lorsque j'aurai réellement maîtrisé le sort, qu'on ne puisse pas se moquer de mes lamentables échecs actuels.
— Je le savais !
Comme si cela n'était pas suffisamment explicite dans le mot...
— Oui : c'est pour ça que Miss Valerion m'a invité à rejoindre le club Prodigium.
Je ponctue mes dires en tirant le fameux livre de niveaux six de ma besace. Je n'ai pas encore envie d'en tirer mon carnet. Ayant prévu de le montrer à personne, on ne peut faire plus brouillon et cela risque de plus la perdre qu'autre chose...
7ème année RP
Peut-être bien qu'il se passe quelque chose avec Katherine.
« Roi du Drama & du Suspens » — JT
Peut-être bien qu'il se passe quelque chose avec Katherine.
« Roi du Drama & du Suspens » — JT
Tes recherches sur...
Un petit rire s'échappe de ma bouche sans que je ne puisse ni le retenir ni le maîtriser. Il se laisse couler pour éclater hors de moi. C'est parce que je place un certain nombre d'espoirs dans cette conversation que je suis contente de la voir prendre cette tournure. Et c'est parce qu'elle prend cette tournure que je laisse passer ce rire. En quelques instants, il se transforme en sourire, qui lui-même se mue en une expression curieuse.
Les yeux grands ouverts, attentifs, je guette ses mouvements et j'écoute ses paroles.
Je me surprends même à hocher la tête quand il mentionne le club Prodigium et la professeure qui l'anime. Alors je ne me suis pas trompée, je pense avec un sourire. Mes observations sont avérées quant à ce qui se trame entre Dale et Miss Valerion. Satisfaite, la place que je pourrais occuper dans cette affaire me semble assez évidente et je crois que je pourrais faire une bonne alliée pour mon camarade. En même temps que cette pensée, une autre me vient, avec le nom de tous les duos que je forme ou que je formais. Chems, Aliosus, Cinead, Ruby, Lydia, ma cousine. C'est un mode de fonctionnement que j'apprécie, bien plus à l'aise en petit groupe, en tout petit groupe, et qui, je le réalise, m'apporte beaucoup.
« Alors tu as commencé à étudier le sortilège ? »
Je demande. C'est plus une question rhétorique qu'une question tout court. En me basant sur l'idée que je me fais du garçon et de son tempérament, il est évident qu'il a commencé à étudier ce sortilège qui occupe pas mal de mes pensées depuis que j'ai surpris cette alliance avec notre professeure.
Et en effet, je m'intéresse beaucoup au Patronus. La signification d'un patronus autant que son lien avec la forme Animagus me paraissent être des sujets de réflexion - et de discussion - intéressants.
« Qu'est-ce que tu as pour le moment ? »
Les yeux grands ouverts, attentifs, je guette ses mouvements et j'écoute ses paroles.
Je me surprends même à hocher la tête quand il mentionne le club Prodigium et la professeure qui l'anime. Alors je ne me suis pas trompée, je pense avec un sourire. Mes observations sont avérées quant à ce qui se trame entre Dale et Miss Valerion. Satisfaite, la place que je pourrais occuper dans cette affaire me semble assez évidente et je crois que je pourrais faire une bonne alliée pour mon camarade. En même temps que cette pensée, une autre me vient, avec le nom de tous les duos que je forme ou que je formais. Chems, Aliosus, Cinead, Ruby, Lydia, ma cousine. C'est un mode de fonctionnement que j'apprécie, bien plus à l'aise en petit groupe, en tout petit groupe, et qui, je le réalise, m'apporte beaucoup.
« Alors tu as commencé à étudier le sortilège ? »
Je demande. C'est plus une question rhétorique qu'une question tout court. En me basant sur l'idée que je me fais du garçon et de son tempérament, il est évident qu'il a commencé à étudier ce sortilège qui occupe pas mal de mes pensées depuis que j'ai surpris cette alliance avec notre professeure.
Et en effet, je m'intéresse beaucoup au Patronus. La signification d'un patronus autant que son lien avec la forme Animagus me paraissent être des sujets de réflexion - et de discussion - intéressants.
« Qu'est-ce que tu as pour le moment ? »
Animagus renard polaire
(bientôt) 7ème année
(bientôt) 7ème année
Tes recherches sur...
Son rire est contagieux. Si, de base, je n'étais pas vraiment en disposition de pleurer, je n'arrive pas empêcher un rire presque soufflé s'échapper de ma propre gorge.
Elle le prend bien, pfiouf ! Ça va être une conversation agréable et légère, et non une conversation gênante où nul ne saurait où se mettre. Cela aurait vraiment été la dernière chose que j'aurais eu envie de partager avec une personne comme Adaline.
— M'enfin, bien sûr que j'ai commencé à étudier ce sortilège !
Même avant de demander à Miss Valerion de m'aider à le contrôler, crois-moi ! Pour qui me prends-tu, voyons ?
L'idée qu'elle puisse poser cette question en ignorant la réponse ne m'a pas traversé l'esprit une seule seconde et mon ton plus ironique qu'autre chose le laisse bien entendre.
J'ouvre donc le livre de niveau six à la page du sortilège tant convoité. Enfin... Aux pages du sortilège tant convoité. Il y a beaucoup de choses à dire sur ce dernier et le manuel l'a bien compris.
— De la théorie. Que de la théorie. Principalement sur comment le lancer et aussi un peu sur son histoire, son étymologie et tout quand j'ai commencé à me lasser de la théorie sur les lancers pour espérer comprendre comment les sorciers qui l'ont lancé dans le temps ont fait. J'ai aussi pensé très fort à demander à ma sœur mais je me suis résigné. Après tout, j'ai Miss Valerion. À condition qu'elle se décide un jour à aborder le sujet lors d'une réunion du club, bien évidemment...
Noon, je ne commence pas à m'impatienter. Pas. Du. Tout. J'ai bien conscience de ne pas être son préféré, c'est bon. Je l'ai bien compris, Miss.
Elle le prend bien, pfiouf ! Ça va être une conversation agréable et légère, et non une conversation gênante où nul ne saurait où se mettre. Cela aurait vraiment été la dernière chose que j'aurais eu envie de partager avec une personne comme Adaline.
— M'enfin, bien sûr que j'ai commencé à étudier ce sortilège !
Même avant de demander à Miss Valerion de m'aider à le contrôler, crois-moi ! Pour qui me prends-tu, voyons ?
L'idée qu'elle puisse poser cette question en ignorant la réponse ne m'a pas traversé l'esprit une seule seconde et mon ton plus ironique qu'autre chose le laisse bien entendre.
J'ouvre donc le livre de niveau six à la page du sortilège tant convoité. Enfin... Aux pages du sortilège tant convoité. Il y a beaucoup de choses à dire sur ce dernier et le manuel l'a bien compris.
— De la théorie. Que de la théorie. Principalement sur comment le lancer et aussi un peu sur son histoire, son étymologie et tout quand j'ai commencé à me lasser de la théorie sur les lancers pour espérer comprendre comment les sorciers qui l'ont lancé dans le temps ont fait. J'ai aussi pensé très fort à demander à ma sœur mais je me suis résigné. Après tout, j'ai Miss Valerion. À condition qu'elle se décide un jour à aborder le sujet lors d'une réunion du club, bien évidemment...
Noon, je ne commence pas à m'impatienter. Pas. Du. Tout. J'ai bien conscience de ne pas être son préféré, c'est bon. Je l'ai bien compris, Miss.
7ème année RP
Peut-être bien qu'il se passe quelque chose avec Katherine.
« Roi du Drama & du Suspens » — JT
Peut-être bien qu'il se passe quelque chose avec Katherine.
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Tes recherches sur...
Bien, je songe en l'écoutant parler. Je ne me suis pas trompée en décidant de venir lui parler et qui plus est de ce sortilège pour le moins intéressant. Si j'étais un personnage de livre, je me toucherai probablement le menton, les jambes croisées, faisant mine de réfléchir à cette nouvelle énigme. Le parallèle est amusant, presque ridicule, mais il n'en est pas moins proche de la vérité. Travailler sur un sortilège sans l'aide d'un habituel mentor ressemble assez à la résolution d'une énigme.
Mon partenaire pour cette enquête en est à la phase des recherches. Bien, c'est ma partie préférée. J'en ai fais de mon côté, moi aussi, et bien que je n'ai pas grand chose à lui apporter pour le moment, il me tarde de lui proposer mon aide.
« Je vois... »
Je commence par dire, en secouant la tête. Cette fois, j'ai la mine songeuse que peuvent avoir les enquêteurs dans les livres. Les idées fusent dans ma tête. Je n'ai pour l'instant pas grand chose de plus à lui apprendre sur la théorie, mais j'ai quelques idées en tête notamment pour lui apporter plus d'informations lors de notre prochaine rencontre.
« Je vais t'aider. Je vais écrire des lettres et interroger des sorciers qui ont déjà lancé des patronus. »
Mon ton est décidé, il n'y a pas de questions dans tout mon discours et pas la moindre hésitation. Je n'attend pas non plus une autre réponse qu'un hochement de tête décidé, qui, je le sens, peut venir à tout instant. Mon camarade vert me semble aussi déterminé que moi, c'est un trait qu'ont les élèves de la maison serpent me semble-t-il.
Mais j'ai une autre question. Je me penche un peu et opte pour le ton du secret.
« Et est-ce que tu as déjà essayé de lancer le sortilège ? »
Demandé-je à voix basse. Dans mon esprit, lancer un sortilège d'un aussi haut niveau est interdit. Bien que ce ne soit pas le cas, je ne sais pas exactement quelles conséquences peuvent survenir si je tentais de lancer le sortilège du patronus sans avoir le niveau suffisant.
Mon partenaire pour cette enquête en est à la phase des recherches. Bien, c'est ma partie préférée. J'en ai fais de mon côté, moi aussi, et bien que je n'ai pas grand chose à lui apporter pour le moment, il me tarde de lui proposer mon aide.
« Je vois... »
Je commence par dire, en secouant la tête. Cette fois, j'ai la mine songeuse que peuvent avoir les enquêteurs dans les livres. Les idées fusent dans ma tête. Je n'ai pour l'instant pas grand chose de plus à lui apprendre sur la théorie, mais j'ai quelques idées en tête notamment pour lui apporter plus d'informations lors de notre prochaine rencontre.
« Je vais t'aider. Je vais écrire des lettres et interroger des sorciers qui ont déjà lancé des patronus. »
Mon ton est décidé, il n'y a pas de questions dans tout mon discours et pas la moindre hésitation. Je n'attend pas non plus une autre réponse qu'un hochement de tête décidé, qui, je le sens, peut venir à tout instant. Mon camarade vert me semble aussi déterminé que moi, c'est un trait qu'ont les élèves de la maison serpent me semble-t-il.
Mais j'ai une autre question. Je me penche un peu et opte pour le ton du secret.
« Et est-ce que tu as déjà essayé de lancer le sortilège ? »
Demandé-je à voix basse. Dans mon esprit, lancer un sortilège d'un aussi haut niveau est interdit. Bien que ce ne soit pas le cas, je ne sais pas exactement quelles conséquences peuvent survenir si je tentais de lancer le sortilège du patronus sans avoir le niveau suffisant.
Animagus renard polaire
(bientôt) 7ème année
(bientôt) 7ème année
Tes recherches sur...
Elle ne relève pas ma plainte à peine voilée. Parce que je l'ai marmonnée trop bas ou parce qu'elle s'en fiche, tout simplement ? Je l'ignore. Et j'ignore même si j'avais vraiment envie qu'elle la relève ou non. Quoi qu'il en soit, ce qui est fait est fait. Et ce qui n'est pas fait ne l'est pas. Et puis... Je doute qu'elle ne soit venue m'aborder pour je puisse lui parler de mon impatience qui commence à se faire sentir. J'en parlerai à Jenna, comme d'habitude.
Je masque difficilement mon enthousiasme lorsqu'elle m'indique vouloir m'aider. En interrogeant des personnes en chair et en os, qui plus est. Non des bouquins.
Je me mords la lèvre inférieure en repensant à July. C'est vrai. C'est vrai que je pourrais, moi aussi, me décider à aller lui demander quelques conseils au lieu de me plaindre du manque de disponibilité de Miss Valerion. Mais... Je sais pas.
Je détourne innocemment le regard en me rendant compte que je n'ai en fait pas envie de dépendre de ma sœur pour une question comme celle-ci. Mais bon. Si, par inadvertance, Adaline se retrouvait à interroger July... Ce ne serait pas moi en personne qui lui demanderait de l'aide. Oui, ça peut se faire, franchement.
Je n'ai cependant pas le temps de faire un quelconque signe affirmatif qu'elle me pose une autre question. Question que j'accueille d'un soupir amusé :
— Quelle question... Bien sûr que j'ai déjà essayé !
Mon sourire s'élargit d'ailleurs lorsque je repense à la rencontre à laquelle j'ai eu droit dans les toilettes abandonnées.
— Mais bon... On ne peut pas dire que les résultats aient été au rendez-vous.
Je masque difficilement mon enthousiasme lorsqu'elle m'indique vouloir m'aider. En interrogeant des personnes en chair et en os, qui plus est. Non des bouquins.
Je me mords la lèvre inférieure en repensant à July. C'est vrai. C'est vrai que je pourrais, moi aussi, me décider à aller lui demander quelques conseils au lieu de me plaindre du manque de disponibilité de Miss Valerion. Mais... Je sais pas.
Je détourne innocemment le regard en me rendant compte que je n'ai en fait pas envie de dépendre de ma sœur pour une question comme celle-ci. Mais bon. Si, par inadvertance, Adaline se retrouvait à interroger July... Ce ne serait pas moi en personne qui lui demanderait de l'aide. Oui, ça peut se faire, franchement.
Je n'ai cependant pas le temps de faire un quelconque signe affirmatif qu'elle me pose une autre question. Question que j'accueille d'un soupir amusé :
— Quelle question... Bien sûr que j'ai déjà essayé !
Mon sourire s'élargit d'ailleurs lorsque je repense à la rencontre à laquelle j'ai eu droit dans les toilettes abandonnées.
— Mais bon... On ne peut pas dire que les résultats aient été au rendez-vous.
7ème année RP
Peut-être bien qu'il se passe quelque chose avec Katherine.
« Roi du Drama & du Suspens » — JT
Peut-être bien qu'il se passe quelque chose avec Katherine.
« Roi du Drama & du Suspens » — JT
Tes recherches sur...
Il ne proteste pas quand je lui propose de l'aider, c'est un bon début. Cela veut peut-être même dire qu'il a besoin de mon aide ? Le mot besoin n'est pas le bon, c'est certain, mais il ne refuse pas mon aide et c'est le principal.
Cette conversation prend une tournure qui me plaît, il semble même qu'elle soit fluide et que nous accordions bien nos violons. C'est une expression étrange mais qui correspond bien à ce qui se passe en ce moment même, de camarades de classes nous sommes passés à partenaires de patronus. Me voilà avec un autre partenaire sur les bras, je pense en souriant bêtement, après Bad Eaven pour la formation animagus, Aliosus Nerrah pour le Gobelbabil (et à peu près tout), Chems Daley pour tout ce qui n'est pas scolaire...
Dans tous les cas, je m'apprête probablement à former un nouveau binôme avec le Serpentard assis en face de moi, je pense en hochant la tête suspicieusement. Alors comme ça, il a tenté de lancer le sortilège ? Je suis persuadée que je n'aurais pas eu le cran de le lancer, par peur d'épuiser la magie de ma baguette ou ma propre magie.
« T'as eu aucun résultat ? Même pas une étincelle, une sensation ? »
Je demande par curiosité, en réfléchissant à comment poser la question suivante. Et bien oui, parce que je suis persuadée que cela me blesserais d'utiliser un sortilège aussi puissant, ce qui est probablement une croyance limitante, je suis fascinée d'entendre que lui a osé. Et il a l'air encore en vie, enfin je crois.
« Et après avoir lancé le sortilège, tu étais fatigué ? Ta magie n'a pas été affectée ? »
Je relance sans le laisser répondre aux premières questions. La curiosité m'assaille sans me faire rougir, et je trépigne d'obtenir les réponses.
Cette conversation prend une tournure qui me plaît, il semble même qu'elle soit fluide et que nous accordions bien nos violons. C'est une expression étrange mais qui correspond bien à ce qui se passe en ce moment même, de camarades de classes nous sommes passés à partenaires de patronus. Me voilà avec un autre partenaire sur les bras, je pense en souriant bêtement, après Bad Eaven pour la formation animagus, Aliosus Nerrah pour le Gobelbabil (et à peu près tout), Chems Daley pour tout ce qui n'est pas scolaire...
Dans tous les cas, je m'apprête probablement à former un nouveau binôme avec le Serpentard assis en face de moi, je pense en hochant la tête suspicieusement. Alors comme ça, il a tenté de lancer le sortilège ? Je suis persuadée que je n'aurais pas eu le cran de le lancer, par peur d'épuiser la magie de ma baguette ou ma propre magie.
« T'as eu aucun résultat ? Même pas une étincelle, une sensation ? »
Je demande par curiosité, en réfléchissant à comment poser la question suivante. Et bien oui, parce que je suis persuadée que cela me blesserais d'utiliser un sortilège aussi puissant, ce qui est probablement une croyance limitante, je suis fascinée d'entendre que lui a osé. Et il a l'air encore en vie, enfin je crois.
« Et après avoir lancé le sortilège, tu étais fatigué ? Ta magie n'a pas été affectée ? »
Je relance sans le laisser répondre aux premières questions. La curiosité m'assaille sans me faire rougir, et je trépigne d'obtenir les réponses.
Animagus renard polaire
(bientôt) 7ème année
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