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13 mars 2022, 11:50
La Traque des moldus  Manoir Harrison   Oxford   S.H   L.H   E.W   C.H 
J'étais dans le stress le plus total après avoir parlé de ma famille à celle de Carry. Est-ce que ça leur irait ? Est-ce qu'on me demanderai des preuves ? Au moins j'étais certaine ou presque de pouvoir compter sur le frère de Carry, et probablement sur Carry elle même. C'était pas dans son intérêt qu'on connaisse mon statut inexistant si je comprenais bien... Si le père de Carry semblait apprécier mes explications, la soeur, le monstre, Morrigan, elle ne voulait pas s'en contenter et commençait à réclamer des preuves. La panique monta dans le regard que je lançais à Carry, avant de retomber dans un soulagement temporaire quand Monsieur Harrison demanda à sa fille la plus âgée de me laisser un peu tranquille.

Les mots de Caius me tirèrent un petit sourire mal à l'aise. Ainsi cette folledingue était policière... Voilà qui était tout sauf rassurant... A tout les coups je la croiserais à la gare de Pré-au-Lard pour récupérer ou rendre ma baguette... Et là j'aurais intérêt à me faire discrète. Même si elle peut rien faire devant une foule, j'ai l'impression qu'elle ne m'oubliera pas de si tôt et qu'elle cherchera à tout prix à me faire payer ma présence ici, sans parler de mon comportement.

En revanche en voyant la discussion tourner à la dispute entre frère et sœur, j'ai toutes les peines du monde à me retenir de rire. Alors comme ça les Harrison aussi effrayants soient ils, ressemblent à une famille normale si on omets que ce sont des fous qui veulent l'extermination des nés-moldus. Je ne sais pas si c'est la peur et l'angoisse qui rendent la situation drôle mais je trouve cette dispute hilarante. Je réussis finalement à ne pas exploser de rire mais un sourire amusé fait tout de même brièvement sa place sur mes lèvres avant de disparaître devant la colère de Madame Harrison.

Un silence s'installe. Je n'ose pas le briser, je vois pas trop ce que je pourrais dire, je suis si peu à ma place ici... Un elfe de maison nous servit en silence des assiettes couvertes de cloches. Mince... Je fais quoi si je sais pas comment manger ce qu'ils me servent ? J'ai jamais mangé de repas gastronomique moi. J'observe d'un air dubitatif les fourchettes à ma disposition et jette un regard en interrogateur à Carry sur laquelle prendre. Lorsque finalement je soulève ma cloche révélant devant moi une sorte de tartare de saumon présenté de la façon la plus extravagante possible. Je suis émerveillée et soudainement affamée devant ce plat. Je m'exclame joyeusement à l'attention des hôtes :

"Ce plat à l'air délicieux !" Reprenant un air plus sérieux j'aborde aussi calmement que je le peux, la question qui me tracasse. "Excusez moi Madame, Carry ne m'a pas dit qui venait exactement, quand vous dites famille, c'est vraiment tout le monde ? Même la famille éloignée ?"

Je ne sais pas si c'est judicieux de demander comme ça, mais j'ai besoin de savoir à quelle quantité de Harrison je vais devoir me mêler, d'autant que visiblement ils sont plutôt une grosse famille, avec beaucoup de monde. Pas comme chez moi où toute la famille proche tient sur deux canapés et où on a pas vraiment famille éloignée. Je me saisis tout de même d'une fourchette et une fois que quelqu'un d'autre commence à manger je m'attaque au plat. Nul doute que j'aurai besoin de force pour aider Ed plus tard, et si au passage je peux manger comme une princesse au frais des Harrison je dis pas non, surtout que suis sure qu'ils seraient bien embêtés d'apprendre qu'ils ont traité une "Sang-de-Bourbe" comme une invité de qualité. Oui, voilà je vais le voir comme ça ! Pas du tout juste comme moi qui suis trop gourmande... Et rien à voir avec le fait que je suis pas en position de refuser non plus. Un pincement au cœur me retourne tout de même l'estomac au souvenir des gens affamés au sous-sol... J'évite d'ailleurs autant que possible le regard de Morrigan, préférant regarder mon assiette, ou bien Caius, ou Carry, ou même les parents Harrison, tout sauf elle finalement.

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Quatrième année RP, Cheerleader #D282A6

01 mai 2022, 09:55
La Traque des moldus  Manoir Harrison   Oxford   S.H   L.H   E.W   C.H 
Devant chaque personne à table, il y’avait trois sets de couverts. Trois pour chaque étape du repas. L’entrée, le plat de résistance et le dessert. Il n’était pas difficile de distinguer quel couvert était fait pour qu’elle plat, cependant quand je regardai Lily-Rose utiliser le couteau du plat principal avec la fourchette de l’entrée, j’avais envie de me frapper le visage. J’avais beau lui designer du regard quel couvert utiliser, ce petit boulet jaune avait quand même réussi à se tromper sur le couvert à utiliser. Parfois je me demandais si elle ne le faisait pas exprès ou si vraiment son QI était inferieure a la moyenne. La question que je me posais, c’était combien de temps cela prendrait pour que quelqu’un ne le remarque.

-Eh bien je vous remercie, miss Holland. Mais ce n’est pas nous que vous devez complimenter. S’esclaffa le patriarche. Nous ne faisons qu’acheter les produits, c’est notre elfe de maison qui cuisine. Acheva-t-il en prenant une gorgée dans son verre de cristal.

Père était incroyablement docile. Il était rare de le voir complimenter Kredule encore plus de reconnaitre que c’était l’elfe qui faisait tout. Habituellement père et mère aimaient récolter les lauriers et cela peu importe s’ils le méritaient ou non. L’humilité n’était pas quelque chose de bien répandu dans notre famille et les voir en faire preuve sonnait tellement… Faux ? Contre nature ? Trop de chose étrange se passait dans ce manoir. Et tout portait à croire qu’il s’agissait du fait qu’Holland soit la et possiblement le fait que celle-ci ne soit pas une adulte.

-Vous n’avez jamais utiliser des couverts de cette façon, je me trompe ? Intervint mère avec un air amusée en regardant la Poufsouffle manger comme ce qui semblait être un petit goret. Je ne peux vous en vouloir, a votre âge moi-même j’ignorai comment ce mode de vie fonctionnait. Mère sorti sa baguette et la pointa en direction des couverts de Lily-Rose.Pour l’entrée, commencer avec les couverts les plus prêt de l’assiette, ensuite pour le plat de résistance, utiliser les couverts qui se situent entre les deux et puis enfin pour le dessert, prenez les couverts les plus éloignés de votre assiette. N’utilisez jamais les mêmes couverts pour diffèrent plats, non seulement c’est dégoutant mais en plus cela pourrait modifier le gout que vous allez avoir en bouche, ce qui serait fort dommage.

Et voilà maintenant que mère se montrait pédagogue. Mais ce qui me tapait sur les nerfs c’était qu’elle ne s’était pas montrée aussi douce avec moi quand on m’avait appris les bonnes manières. Non, moi j’avais eu droit au coup de baguettes sur le poignet et le dos de la main si je me trompais. Aucunement j’avais eu droit au sourire ni aux explications du pourquoi il ne fallait pas faire ceci ou cela. Si seulement elle savait qu’en fait elle enseignait à une née-moldue, si seulement elle savait qu’elle était en train de partager ses connaissances avec une impure, je ne pouvais pas imaginer la colère noire dans laquelle elle rentrerait et il était préférable que je ne la voie jamais dans cet état.

A l’autre bout de la table, Morrigan souriait en entament son plat. Son regard n’avait pas lâché une seule seconde Lily-Rose qui semblait éviter soigneusement de rencontrer son regard. Pour une fois, la fillette faisait quelque chose d’intelligent et heureusement pour nous, père et mère refusaient de croire aux dire de ma sœur.

Apres avoir explique à la Jaune comment tenir une fourchette et un couteau, mère rangea sa baguette et observa avec attention les mouvements de Lily. Ah ce que je pouvais détester cela, mère, n’avait pas fait aussi attention avec moi et la jalousie ne cessait de grandir. J’avais besoin qu’on change de sujet et vite.


-Mère ? Intervint-je en relevant la tête pour rencontrer le regard de ma génitrice. Lily-Rose vous avait demandée qui sera pour la réception de ce soir.
-Ah en effet c’est vrai. S’exclama-t-elle en en reportant son regard vers mon « amie ». Eh bien, cela dépend de ce que vous définissez comme famille éloignée, jeune fille. Mais pour garder tout cela simple, tout ceux qui portent le nom des Harrison seront présents chez nous aujourd’hui. Vous verrez donc notre famille dans sa totalité, quasiment une cinquantaine, chose assez rare pour quelqu’un qui n’est pas des nôtres.
-Aussi charmante que seront les retrouvailles, je souhaiterais émettre un rappel pour chacun d’entre vous. Dit père en prenant la parole tout en toisant Morrigan, Caius et moi-même du regard. Votre grand-père sera présent ce soir et il sera certainement fatigué, je vous demanderai donc de bien vous tenir. C’est compris ?

Tous agréèrent d’un mouvement de la tête. Mais derrière tout cela, je ne me sentais pas bien du tout. On ne parlait pas de policier ou de juge cette fois, mais d’un membre du Consilium, la plus haute sphère d’influence du Conseil, quelqu’un qui appartenait au groupe de dirigeant de ce nouveau régime. Quelqu’un dont la sécurité était au maximal. Alors que j’imaginais mille et un moyen d’excuser Holland pour la faire sortir de là, quelqu’un cognait à la porte faisant bondir mon cœur.

-Terminez de manger, je vais aller m’occuper des invités. Rejoignez-nous un fois que vous aurez fini. Ordonna gentiment mère qui claqua des mains avant de sortir de la pièce ou je pouvais entendre ses pas s'eloigner de nous.

Kredule se surpassa, quand mère nous avait dit de terminer de manger, l’elfe de maison était apparu rapidement avec des plats plus ou moins sophistiquer que les autres. Mais manger était devenu secondaire pour moi, la porte d’entrée du manoir ne cessait de cogner et a chaque fois, de nouvelles voix, des rires, des exclamations s’élevaient dans la salle de séjour. L’envie de revoir ma famille me dévorait mais en même temps j’étais effrayée de devoir présenter Lily-Rose qui devait possiblement être effrayée. Oh Circée que je regrettais de l’avoir invitée au manoir, plus j’entendais la porte cognée et plus j’estimais les chances de la pauvre Poufsouffle de survire d’être quasiment nulle.

Morrigan fut la première à sortir de table. Elle ne jeta même pas un regard en direction de sa proie et se contenta simplement d’ordonner a Kredule de nettoyer. Juste derrière, père imita Morrigan avant de donner une tape sur l’épaule de son fils et frotta gentiment le sommet du crâne d’Holland. Moi ? J’ai eu un baiser sur le crâne et c’était amplement suffisant. Quand père referma la porte derrière lui, Caius lança un regard désolé en direction de Lily-Rose toujours le nez dans son dessert.

-Carry, qu’est ce qui te prends d’inviter une née-moldue au manoir ?! Se manqua-t-il de s’écrier alors que moi je n’avais que mes yeux pour répondre par l’incompréhension. Si père et mère s’intéressait un petit peu plus a eux, ils auraient tout de suite reconnu que ton amie n’est pas ce qu’elle prétend être.

-Elle est en sécurité avec moi ! J’assurerai sa protection, fais-moi confiance, Caius.

Mais mon frère semblait ne rien vouloir entendre. Il tapa du poing sur la table et se dressa de sa chaise en un instant en me regardant droit dans les yeux.

-Notre famille qui est dans la pièce a cotée, tue les gens comme elle, pour le plaisir de s’amuser. S’ils apprennent qui elle est, Carry. Tu auras sa mort sur la conscience, tu m’entends ? Je ferai tout pour protéger ton amie mais je ne pourrai pas assurer sa protection tout le temps donc reste avec elle, tu ne la lâches pas !

Sur ses mots, Caius quitta la table et passa la porte menante à la salle de séjour. Il ne restait plus que nous deux, Lily Rose et moi. Je ne savais pas quoi dire. Les mots de mon frère raisonnaient encore fortement dans ma tête et me donnaient des maux de ventres que je n’étais pas près d’oublier. J’ai été stupide d’inviter Holland, je le réalisais. Stupide de vouloir satisfaire mon ego en l’amenant ici et maintenant je le regrettai amèrement.

-ça va aller… Essayai-je de lui dire en faisant trembler le moins possible ma voix avec ma gorge nouée. Tout va bien se passer… Tu vas survire, je te le promets… Sur ses mots, J’avais doucement pris la manche de Lily-Rose et passa son bras en dessous du miens avant de la tirer doucement vers la porte pour quitter la pièce. En toute conscience et contre cœur, j’amenai Lily-Rose dans l’antre des loups.

Renvoyée de Poudlard
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Chasseuse de né-moldus professionnelle
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10 mai 2022, 19:56
La Traque des moldus  Manoir Harrison   Oxford   S.H   L.H   E.W   C.H 
Ce repas est décidément bizarre. Et bizarre me semble encore un terme léger, mais j'en ai pas d'autre sous la main. Je mange avec les Harrison. Je mange avec les Harrison, à leur table. Et pire même ça se passe bien. Je ne sais pas si c'est seulement par politesse mais les parents de Carry sont d'une amabilité parfaite avec moi. C'est tellement tranchant avec Morrigan. Tellement éloigné des prisonniers au sous-sol, on pourrait croire à une famille parfaite ou presque. Et j'aurais voulu y croire, mais je ne pouvais pas non plus ignorer la souffrance sous mes pieds.

C'était une étrange farce que de voir la famille Harrison comme des gens normaux, alors que la réalité était toute autre. Je finis tout de même par profiter du repas dans un sentiment de relative sécurité. Appréciant même à ma grande surprise la leçon de manière de la mère de Carry. Evidemment que je n'avais jamais mangé avec de tels couverts, c'était pas vraiment utile et surtout ça fait beaucoup de vaisselle. Quand l'annonce du nombre de gens se fait, je ne peux m'empêcher un air ahuri. C'est quel genre de famille avec tant de gens ? Enfin, ça ne devrait pas tellement m'étonner je suppose venant de gens qui sont probablement l'équivalent sorcier de la noblesse anglaise.

Enfin le repas se termina sans plus d'accrocs, Morrigan quitta la pièce, ainsi que les parents de Carry, son père me caressant la tête à ma grande surprise. Ne restait que Caius, Carry et moi en train de finir mon dessert dont il ne restait que deux cuillérées. Le frère de Carry lui adressa la parole, le ton peu amène et lui parlant de moi. Il sait. Il sait que je suis née-moldue. Et même si il semble mieux le voir que Morrigan, ce n'est pas rassurant. Quoique, en fait il semble s'inquiéter de ma sécurité au vu de la réponse de Carry. Je suis perdue. J'ai l'impression d'avoir été jetée dans une arène aux lions sans savoir quand les lions entrerons en piste pour me dévorer.

C'est alors que ça percute dans ma tête. Les mots prononcés par Caius. Tuer. Un jeu pour les Harrison. Depuis hier après-midi je suis dans une famille de meurtrier. Il y a pas d'autres mots. Pas d'explications rationnelles pour tout ça. Juste mon cerveau hurlant que je dois fuir et moi refusant de le faire. Parce qu'il y a Ed. Parce qu'il y a Clivia et Piou. Parce qu'il y a tout ces gens. Parce que fuir ne serais qu'une solution temporaire. Parce que je peux pas mettre mes parents en danger. Parce que je sais pas. J'ai peur. Je peux rien faire de toute façon, j'ai pas ma baguette, et même si je l'avais je saurais pas quoi en faire. Les pensées se bousculent dans ma tête, je réalise enfin pleinement l'ampleur du piège dans lequel j'ai mis les pieds, je ne prête pas attention à la sortie de Caius, aux mots de Carry ou à la sensation de son bras me trainant vers la sortie de la pièce. J'ai froid à l'intérieur, comme si un vent polaire tourbillonnait sous ma peau, me faisant trembler. Juste avant que la porte s'ouvre sur la fosse aux lions je bafouille quelques mots à Carry.

"Ça va vraiment aller ? Tu me promets ?"

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13 sept. 2022, 18:02
La Traque des moldus  Manoir Harrison   Oxford   S.H   L.H   E.W   C.H 
« -Je te le promet Lily… » Murmura Carry sans croire à ses propres paroles. Elle ne pouvait pas imaginer dans quelle panique elle devait être et surtout, elle ne pouvait se décider d’affronter le regard qu’elle était surement en train de lui jeter. Peur ? Rancœur ? Colère ? Carry n’avait nullement envie de savoir. Pour l’instant, son objectif principal, était d’assurer la sécurité de la petite sang impur.

Ce qui rassurait Carry, c’est que Lily-Rose se laissa tirer dans la salle principale sans signe de contestation. Tant mieux car la jeune sang-pur n’avait aucunement envie de la trainer de force pour saluer les invitées et qui plus est, cela aurait surement attirer l’attention sur eux. Elles y étaient enfin. Après avoir ouvert la porte, le manoir n’était plus aussi vide qu’il ne l’était auparavant. L’antre des lions s’étendaient devant elles avec a perte de vu des hommes et femmes en tenu tous plus chic les uns que les autres en train de tremper leurs lèvres toutes souriantes dans leur verre avec élégance. Mais tout cela n’était qu’une scène. Une horrible scène qui cachait parfaitement la raison du rassemblement de tout ce beau monde. Hommes, femmes, enfants, tous étaient là pour la même raison. La Traque. Et l’heure du « Jeu » arrivait à grand pas. Carry le savait et Lily-Rose surement aussi. Alors qu’elles dansaient sans se lâcher au rythme du mouvement de la foule, une voix particulièrement grave et sifflante retint son attention à l’entrée principale de la pièce.

« - Mademoiselle Harrison, je suis attristé de voir que vous ignorez votre grand-père préféré » Plaisanta le vieil homme qui ouvrit grand ses bras tout souriant pour accueillir sa petite fille.
« - Vous vous méprenez, grand-père, pour rien au monde je ne vous ignorerai » S’écria Carry d’une fausse indignation avant de lâcher la main de Lily-Rose pour se jeter dans les bras de son grand-père avec joie. Après une étreinte chaleureuse, la jeune sang-pur se retourna et intima Lily-Rose de s’approcher. « Grand-père, je voudrai vous présenter une de mes connaissances et camarade de classe, voici Lily-Rose. » Présenta Carry a son tour toute souriante avant de se tourner vers le jaune. « Lily-Rose, je te présente l’un des hommes les plus influents de notre communauté, Marcus Harrison, membre de la chambre des sorciers du Conseil ! » Mais alors que la jeune Serpentard allait s’embourber dans un long monologue, le vieil homme s’esclaffa avec politesse.

« - Allons, allons, inutile d’aller si loin. Ce soir je ne suis qu’un simple membre de la famille qui profite de la chance de pouvoir retrouver ses proches. » Marcus tapota la tête de sa petite fille et posa finalement ses yeux intrigués sur la jeune inconnue. « C’est un plaisir de faire votre connaissance, cela me fait plaisir de voir que ma petite fille se fait un entourage de confiance. Vous savez, il est difficile de se faire des amis de qualités au Château, surtout quand on sait que malheureusement la vermine de sans statut continue de se propager tel un cancer. » Cette fois, ce fut au tour de Carry d’intervenir avant de laisser l’homme d’état continuer plus loin.

« -Grand-père je vous en prie, vous n’avez pas encore bu et vous commencez déjà à parler politique. » Marcus se mit à rire de nouveau en reprenant la cadette dans ses bras.

« - Ah ! vous avez tout à fait raison. Je devrai sauver ce genre de conversations pour les décrets. Par ailleurs, Carry, comptez-vous participer à la Traque ? » demanda-t-il avec un air de curiosité. Carry répondit d’un hochement négatif. « Oh et pourquoi donc ? »
« -Père dit que je suis trop jeune. »

« Baliverne, vous approchez de vos dix sept ans, il sera bientôt temps pour vous de connaitre les joies de la chasse. Mais je ne peux vous forcez si votre pere est contre l'idee. » L’homme tout souriant se tourna vers la connaissance de Carry. « Et vous chere, Lily-Rose, est ce qu’une chasse au sang impur vous intéresserait ? Vous verrez, le gibier de cette année est très intéressant. Nous feriez-vous l’honneur d’être la première en dehors de la famille à participer à une de nos merveilleuses traditions ?» finit-il par dire en désignant les cachots loin derrière lui alors que Carry lanca un regard inquiet vers sa pretendue camarade.

Renvoyée de Poudlard
5ème Année RP (2047-2048)

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04 nov. 2022, 19:55
La Traque des moldus  Manoir Harrison   Oxford   S.H   L.H   E.W   C.H 
Un murmure incertain. C'est là, la seule promesse que peut me faire Carry. Je suis frigorifiée, presque paralysée par la terreur qui m'habite. Pourtant je suis bien obligé de me reprendre, de contrôler mon expression à défaut de mes émotions. J'ai bien compris que sans ça ce n'est plus mes jours qui sont comptés mais au mieux mes heures si ce n'est mes minutes. Chaque seconde qui passe le danger qui se profile, celui dans lequel j'ai foncé tête baissé malgré les protestations et mises en garde de mes amies, m'étouffe de plus en plus. L'oxygène me semble peser de plus en plus lourd et les bruits de conversations autour résonne dans ma tête.

Puis on s'arrête. Un vieil homme s'approche de Carry un air affectueux à son encontre. Tout me semble désormais silencieux, je perçois à peine ce qu'il dit. Dans un effort de concentration, j'essai de reprendre pied et serre un peu plus fort que nécessaire la main de la Serpentard. Mon ouïe revient doucement et j'arrive à me focaliser sur la conversation devant moi juste à temps pour comprendre la relation entre Carry et le vieil homme. Marcus Harrison. Son grand-père. Membre de la chambre du Conseil. Absolument rien pour me rassurer donc. Je peins un sourire timide avant de répondre poliment, tout en restant à moitié derrière Carry.

"Enchantée Monsieur. Je suis contente d'avoir rencontré votre petite-fille."

Bizarrement cette dernière phrase était sortie toute seule. Et pire, à mon plus grand désarroi, elle était sincère. Pourtant ma rencontre avec la verte n'était pas un bon souvenir, et on avait pour ainsi dire pas vraiment interagit en temps qu'amie. Je ne sais pas pourquoi en ce moment précis ces mots ont sonnés juste, ni pourquoi une partie de moi semble finalement apprécier la Sang-Pur... C'est sa faute si je suis là, si je suis en danger... Est-ce que c'est parce qu'elle me "protège" malgré tout ? Ou est-ce que j'ai juste perçu une partie d'elle inconnue qui me souffle qu'elle est digne de confiance ? Au fond peu importe. La réalité c'est qu'au milieu des prédateurs qui m'entourent en ce moment, Carry est une lanterne, un abri, un refuge, et en ce moment précis ça n'a pas de prix.

Au milieu de ma réflexion interne sur mes sentiments confus pour la fille qui me tient la main, Mr Harrison s'adresse à moi. Il me demande si je compte participer à la Traque. La réponse est évidente, c'est non. Certainement pas. Il en est hors de question. Maintenant comment je refuse définitivement et poliment ? Mmmh... Je sais !

"C'est que je n'ai pas le droit de participer à des activités à risque sans ma baguette, et comme elles sont gardées par le Conseil pendant les vacances..."

Voilà comme ça j'ai pas donné mon avis, j'ai pas menti parce que mes parents voudraient effectivement pas que je participe et en plus j'ai mis la faute sur le Conseil poliment. Enfin... J'espère qu'il le prendra pas mal. Ou pire qu'il ira pas faire chercher ma baguette. Ce serait vraiment embêtant. Non seulement j'aurai plus d'excuse mais en plus il y a fort à parier que ça révèlerai mon statut, ou plutôt mon absence de statut. Peut-être que si j'ajoute un argument supplémentaire ça passera mieux ?

"Je vous avoue que je comptais aussi profiter de Carry et des explications qu'elle pourrait me donner durant l'événement. Après tout on est pas dans la même classe donc c'est parfois difficile de se voir même pendant l'année scolaire, j'aimerai profiter de ma présence ici pour qu'on discute ensemble."

Je ne compte pas préciser quelles explications je souhaite, ni de quoi je compte discuter. En effet je peux pas vraiment dire à l'ancêtre que je veux discuter avec Carry de comment faire évader Ed, ainsi que moi même et les boursouflettes. Parce que clairement je doute de pouvoir passer l'événement sans exploser ma maigre couverture. Et de toute façon j'abandonnerai pas Ed ! C'est mon ami, je ferai ce que je peux pour le protéger, même si c'est pas grand chose.

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Quatrième année RP, Cheerleader #D282A6

20 mai 2023, 21:14
La Traque des moldus  Manoir Harrison   Oxford   S.H   L.H   E.W   C.H 
« - Carry, ma chère, votre invitée est quelqu'un d'adorable », annonça avec bienveillance l'ancien membre du Consilium. « Il est vrai qu'il serait difficile de participer à notre activité si vous ne possédez guère de baguette. Si j'avais su et que cela ne dépendait que de moi, je vous aurais ramené votre baguette, chère mademoiselle. Je suis sincèrement navré de vous empêcher de participer aux festivités. »

Sous un œil amusé, Carry observa son grand-père s'incliner avec une main sur le cœur avant de détourner la tête pour saluer une personne que la jeune Serpentard ne pouvait distinguer.

« - Veuillez nous excuser, vous avez tant d'invités à voir et nous ne voudrions pas vous retenir plus longtemps. »
« - Quelle façon polie de vous débarrasser de moi, mademoiselle Harrison, vous tenez vraiment cela de votre mère », dit-il en exagérant ses gestes et son ton vexé.
Carry, devenue rouge de honte, s'empressa d'essayer de se justifier. Mais alors que le premier son allait sortir de sa bouche, Marcus Harrison posa doucement sa main sur l'épaule de sa petite-fille et lui sourit chaleureusement et sincèrement.
« - Ne vous inquiétez pas, Carry, il est parfois bon de rire en famille », marqua-t-il une pause avant de lancer un regard curieux vers Lily-Rose, envoyant un frisson dans le dos de la jeune Sang-Pur. « Je vous laisse avec votre... amie. Ne vous éloignez pas trop, Morrigan va bientôt faire remonter le gibier de cette année et le présenter. »

Sur ces mots, Carry hocha la tête et regarda son grand-père s'éloigner d'un pas légèrement titubant. Pouvoir le voir s'éloigner était un soulagement. Lily-Rose était quelqu'un qui parlait beaucoup et qui pouvait glisser sur n'importe quel sujet de conversation. Et, remerciant Merlin, Harrison était surpris de constater à quel point la jeune Poufsouffle avait maîtrisé sa langue lors de sa conversation avec l'un des chefs du Conseil. Si elle savait à quel point l'homme qui était en face d'elle haïssait la race des Moldus, Carry était persuadée que la petite Poufsouffle se transformerait en petite tache d'eau tellement elle transpirerait.

Sans rester trop statique, Carry prit la manche de Lily-Rose et l'entraîna vers l'endroit où il semblait y avoir le moins de personnes présentes. Toujours dans la grande salle de réception, les deux filles se retrouvèrent plus ou moins excentrées sur la droite de la pièce, assez proche de la sortie. L'objectif était simple : sortir de la salle en souriant et amener Lily-Rose en sécurité dans la chambre de la verte. Mais alors qu'elles allaient passer les deux grandes portes pour s'engager dans le long couloir blanc menant aux escaliers, la luminosité de la salle passa drastiquement du blanc au vert. La foule s’exclama de façon curieuse et des applaudissements se firent entendre aux quatre coins de la pièce.

Discrètement, Carry intima Lily-Rose de reculer pour que toutes les deux puissent se mélanger à la foule.
«-Mince… ça va commencer… Reste avec moi. » murmura Carry en serra un peu plus le bras de Lily-Rose.
La foule était dense, vibrant d'excitation, tandis que l'agitation grandissait à l'approche des hôtes de la soirée. Un murmure d'excitation parcourut la foule, et comme par magie, les rangs se séparèrent en deux, créant un passage étroit au milieu.

Tel un rideau qui s'ouvre sur une scène éblouissante, la foule se fendit avec grâce et délicatesse, laissant un couloir immaculé. Des regards admiratifs et des applaudissements éclataient ici et là, accompagnant le court défilé des organisateurs composant Ivelios, Dayla et Marcus Harrison.

Au centre de la foule, un cercle se formait, encadrant un espace sacré où la famille allait présenter l'événement. Les spectateurs, les yeux écarquillés d'admiration, formaient un halo étincelant tout autour. Les conversations s'estompaient progressivement, tandis que les regards se fixaient avec une fascination captivée sur Marcus qui brisa le silence qui s'imposait peu à peu dans le manoir.


« - Merci ! Je vous remercie tous chaleureusement de votre venue. Je sais que pour certains, ce n'est guère chose aisée de venir jusqu'ici, mais c'est toujours un plaisir de voir sa famille réunie en un seul endroit », déclara Marcus avec gratitude. Des applaudissements accompagnèrent les dernières syllabes du vieux Harrison. « Avant de rappeler les règles, s'il vous plaît, laissez-moi vous présenter les proies de cette année », ajouta-t-il en désignant la porte d'entrée de la main.

Morrigan, en tête de file, s'avança vêtue d'une magnifique robe sombre à l'aspect écailleux, une main levée tenant sa baguette. Derrière elle, des hommes et des femmes avançaient lentement, la tête baissée, leurs cous attachés par des cordes tenues par la baguette de Morrigan. Habillés de costumes sales, déchirés et froissés, Carry comprit rapidement qu'il s'agissait des Moldus capturés pour la traque, suscitant murmures et exclamations de dégoût dans la foule.

Des pleurs et des gémissements de douleur émanaient des prisonniers. Alignés en deux rangées au centre de la pièce, Morrigan vint d'abord serrer la main de son grand-père avant de faire un geste brusque vers le bas avec sa baguette, faisant agenouiller tous les enchaînés dans un bruit sourd.


« - Regarde ! Edwin est là ! » chuchota Carry à Lily-Rose en lui montrant un garçon portant le numéro XIV marqué sur sa joue ensanglantée. « Ne fais rien de stupide... » l'incita-t-elle en observant l'état de l'ami de la Poufsouffle. Son costume n'avait rien de différent des autres prisonniers. Sale, déchiré, sa chemise était complètement tachée de poussières, de sang et déboutonnée. Son visage était enflé par des blessures avec des coupures ici et là... Plus elle regardait Edwin, plus elle ressentait un profond malaise sur ce qui allait arriver ensuite. « -Il faut le sortir de la… et vite »

@Lily-Rose Holland
@Edwin Wellhister

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21 mai 2023, 18:37
La Traque des moldus  Manoir Harrison   Oxford   S.H   L.H   E.W   C.H 
Gros TW sur ce RP : Violence, sang, idées noires globalement Edwin se sent pas folichon, ne continuez pas la lecture si vous avez du mal. Lisez juste le résumé à la fin.

J'ai mal.
J'ai mal.
J'ai mal !

La pensée est obsédante. Elle tourne et tourne dans son crâne, claque contre les parois. Il n'est pas capable de penser à autre chose alors qu'il regarde les autres prisonniers se faire changer d'un coup de baguette. Il donne un coup de pied brutal dès qu'il peut à Morrigan, sifflant de douleur quand sa cheville forme un angle légèrement étrange dans son mouvement. Il ne veut pas être changé ! Il ne peut pas imaginer l'humiliation que les autres prisonniers doivent ressentir d'être rhabillés comme des bébés. Surtout pour être changés dans des vêtements pareils. Il ne s'agit pas là de les rendre présentables, mais plutôt de les rendre pathétiques. Edwin le sait, il ne peut voir que ça. Ce ne sont pas des vêtements, ce sont des costumes de scène. Quelques bouts de tissu sales et déchirés qu'on leur enfile comme pour les faire passer pour pires qu'ils sont. Edwin n'est pas un pauvre SDF, il n'est pas un esclave, malgré le fait que les guenilles qu'il porte lui en donne l'apparence. Il aime se sentir propre, bien habillé. C'est une torture supplémentaire de se sentir sale et dégueulasse. En baissant les yeux sur sa tenue, une fois que la Hyène l'a changé, il ne peut s'empêcher de se remettre à pleurer.

Le sang sur sa joue s'est remis à couler, tachant légèrement le col de sa chemise. Les larmes suivent bientôt et il est incapable de retenir ses sanglots. Il veut rentrer chez lui, prendre une douche chaude et se blottir dans son lit. Il ne désire rien de plus qu'un pyjama doux et un câlin, mais il sait qu'il n'aura qu'un des deux une fois chez lui. S'il rentre. La pensée est de plus en plus obsédante : Est-ce qu'il va rentrer chez lui ?

Il se tortille à nouveau quand Morrigan se rapproche pour les enchaîner et essaie de filer derrière un des adultes déjà attaché. Elle rigole, méprisante et puis il finit rapidement enroulé dans une corde qui le serre trop pour ne pas être douloureuse. Il siffle vers elle et crache dans sa direction. Il est hors de question qu'il marche avec une chaîne autour du cou ! Il reste au sol, les larmes tachant toujours son visage, mais le regard braqué vers la manteau noir. Il la fusille des yeux, une grimace sur les lèvres. Va te faire foutre ! siffle-t-il, la voix rauque de douleur. Manifestement, ça ne semble pas l'embêter. Si Edwin ne veut pas marcher, alors il sera traîné. En tout cas, c'est ce qu'il croit comprendre quand les autres prisonniers commencent à marcher et qu'il les suit, le visage écrasé au sol, à se tortiller comme un fou dans ses cordes. Il n'arrive pas à se redresser et, même en usant de toute sa force, il n'arrive pas à ralentir la cadence de marche de la file.

Monter les escaliers dans ces conditions est une douleur. Edwin est obligé de s'y traîner à genoux, les jambes butant sur chaque marche. Il perd l'équilibre plus d'une fois, le visage râpant contre les murs de pierres, ou s'écrasant avec force sur le sol. Il ne peut pas se retenir, les bras fermement enroulés avec le reste de son corps. Sa gorge se fait déchirer par de nombreux gémissements de douleur rauques. Il pleure, renifle et essaie de garder la face, mais ses lèvres finissent rapidement en sang et il déchire son "uniforme" plus d'une fois. Bien loin d'être assez fort pour supporter ça plus longtemps, il profite d'un arrêt en haut des marches pour se redresser en s'appuyant avec mal sur le mur.

Ses genoux lui font mal, saignent et les coupures sur son visage et ses bras le déchirent. La douleur est pulsative et ne s'arrête jamais. Mais ce n'est malgré tout pas ce qui fait le plus mal. Loin de là. La douleur de l'humiliation d'être debout et de marcher à la suite des autres et bien pire. Elle assèche ses larmes et tend chacun de ses muscles. Il envoie un regard noir à nouveau à Morrigan, devant eux et ne la lâche pas des yeux jusqu'à entrer dans une grande salle. Elle est beaucoup trop lumineuse et Edwin est obligé de fermer les yeux pour ne pas se faire éblouir.

Quand, enfin, il les rouvre, c'est pour hurler de douleur. Ses genoux viennent de claquer au sol. La chaire mise à nue appuie contre le joli carrelage et les quelques cailloux qui y étaient restés collés s'enfoncent plus loin encore. La gorge sèche et la voix rauque, il hurle jusqu'à plus souffle. À travers la brume de douleur, il observe les gens autour de lui. Son regard ne s'attarde pas sur Lily, il n'est pas capable de la regarder. Il observe chaque membre de la famille, le dégoût déformant son visage à chaque fois qu'il regarde le sourire obsédé de chacun d'eux. Ça leur fait plaisir de les voir ainsi. Ça leur plaît de les voir souffrir. Il tourne la tête vers Carry, encore présente. Toujours présente. Une haine brûlante traverse son visage, ses lèvres se tordent dans une grimace de colère. Évidemment qu'elle est là, elle ne louperait pas ça.

Ils sont dégueulasses, tous autant qu'ils sont. Ils ne méritent pas le nom d'être humain. La bile lui monte dans la gorge, mais il se retient comme il peut. Il ne s'inquiète plus de savoir s'il va rentrer chez lui, quelque part dans son esprit, la question s'est perdue. Tout ce à quoi il peut penser et qui tourne dans sa tête, c'est qu'il veut les voir souffrir. Lui aussi, il veut les voir à genoux, il veut les voir supplier. Il veut qu'ils souffrent autant voire plus que lui. Qu'ils pleurent, qu'ils s'écrasent au sol. Qu'ils saignent comme lui, comme son ego. Ils méritent tout ça bien plus que lui.

Edwin s'est énormément débattu quand Morrigan a essayé de l'habiller, et il a finit par suivre les autres, à genoux en grande partie. Il n'en est pas ravi et garde un regard noir vers les invités, il reste égal à lui même et ne semble pas brisé par tout ça. Il n'a pas croisé une seule fois le regard de Lily, mais a observé Carry et sa famille. Il semble avoir énormément mal mais être haineux au maximum contre la famille Harrison.

"T'a Smaug sur son tas d'or et t'as Edwin sur son tas de rédacteurs" - Isaac Powell
Edwin Wellhister (16 ans, quatrième année)