Tu entends Lena, tu te sens bête, tu regardes autour de toi et commences à ne plus voir très clairement, tu tombes, non tu ne tombes pas, tu t'assois quelques secondes, afin de reprendre tes esprits, tu ne veux pas paraitre faible, tu prends une grande inspiration et te releves de nouveau. Tu regardes autour de toi.

Oui tu n'as pas tort, et non je n'arrive pas à l'ouvrir, quel dommage que nous n'ayons pas nos baguettes, elles auraient été fort utiles

Aliosus inspecta lui aussi la porte mais fit face au même problème que toi et tu te sentis d'abord soulagée de ne pas être simplement idiote et de paniquer alors que tu ne sais juste pas ouvrir une porte mais ensuite la réalité te rattrape.
Pourquoi cette putin de porte est bloquée, pourquoi est ce que vous n'arrivez pas à l'ouvrir.
Tu regardes les autres occupants du wagon, tu entends quelque chose, quelqu'un crie.

C'est quoi ce bordel à la fin, des gens crient, alors que tu essayes de te calmes tant bien que mal tu sens le train trembler sous tes pieds et un second bruit se fait entendre, comme... Comme un éboulement.
Tu commences à paniquer et cherches dans le regard des autres ce que tu devrais faire. Vous êtes quatre élèves, sans baguettes, tu commences à paniquer. Le mieux c'est donc de ne pas rester seuls.

Tu commences à crier

IL Y A QUELQU'UN, S'IL VOUS PLAIT, IL SE PASSE QUOI LA PUTIN. Tu cries et les larmes commencent à monter doucement, mais tu les essuyes avant qu'elles ne soient visibles et tu attends les yeux dans le vide

Melody essaye de comprendre ce qui se passe, panique un peu et commence à crier afin d'attirer l'attention des élèves du wagon voisin

Contexte actuel :

❝ Melody se met à crier si fort qu'elle n'entends pas les tentatives de communication du compartiment 2. Les tremblements cessent et le calme revient. ❞

Tandis que le grand Serpentard allait près de la porte pour aider Melody, elle entendit de nouveau des bruits sur la paroi. Taper à nouveau n'allait mener à rien s'ils ne trouvaient pas un moyen de mieux communiquer, et ne pas avoir sa baguette avec elle l'embêtait fortement. Elle s'était habituée à sa présence et son léger poids dans sa poche, et avait pris pour réflexe de porter régulièrement sa main là où une légère bosse se formait d'habitude.
Elle ne savait pas parler en morse (et probablement ses voisins non plus), alors une seule solution s'offrait à elle : taper une dernière fois sur la parois pour prévenir que tout allait bien. Et si jamais il se passait quelque chose, elle n'aurait qu'à tambouriner plus fort pour prévenir les autres élèves qu'il était arrivé un accident ou que savait elle encore.

Mais au moment où elle allait toquer, une voix venant de l'extérieur du train l'interrompit, et de grandes secousses faillirent la faire tomber. Elle poussa un cri de stupeur et se rattrapa de justesse. Le bruit d'un éboulement glaça son sang dans ses veines. *Il s'passe quoi ?*
La panique s'empara d'elle, et elle commença à respirer de plus en plus vite. Des rochers étaient ils tombés sur le train, à l'avant ou à l'arrière ? Le train s'était-il affaissé à cause d'une chute de cailloux, et allait-il entrainer tous les autres wagons dans la descente ?
Elle se força à respirer calmement, inspirant et expirant profondément. *Ça sert à rien d'paniquer*.

Melody cria, ce qui ne l'aida pas dans son exercice respiratoire. Elle cru entendre d'autres tambourinements contre la paroi et décida de leur répondre avant de s'adresser à la Serpentard :

– Calme toi, ça sert à rien d'paniquer. On arrivera à rien comme ça et euh... J'vais jeter un oeil à travers la fenêtre.

Elle regarda avec détresse Eryne et le Grand, essayant de leur faire comprendre qu'elle non plus ne tarderait pas à finir en larmes comme Melody.

Elle s'approcha de la fenêtre et l'ouvrit au maximum (si c'était possible) avant de regarder dehors pour tenter d'apercevoir quelque chose.

Contexte actuel :

❝ La fenêtre ne s'ouvre toujours pas. Lena tambourine contre la paroi du compartiment 2 avant de tenter d'ouvrir la fenêtre qui reste close. Dehors, plus rien ne bouge. ❞

Contexte actuel :

❝ Le silence qui est retombé sur le wagon dure et il semble que plus personne n'ose bouger dans le compartiment. C'est alors qu'un bruit sourd vous parvient de l'avant du train. ❞

Réfléchissons posément : d'abord le train s'était arrêté, sans raison aucune. Certes ça aurait pu être n'importe quel problème technique, mais c'était le Poudlard Express, un train magique, pas une pacotille de technologie moldue qui tombe en panne. Cette première tentative de se rassurer n'était qu'une façon de se voiler la face. Depuis, il avait fallu se rendre à l'évidence, les choses n'étaient pas normales, pire, elles étaient inquiétantes. Portes et fenêtres closes, secousses des plus inhabituelles, le tout suspendu du haut d'un pont et eux, Aliosus et ses camarades, sans le moindre objet pour agir.

Bloqué avec ses trois camarades, il n'avait pas tellement d'options.

Rester sans rien dire et accepter son sort était probablement ce qui couterait le moins d'énergie, d'autant que le reste des solutions aboutiraient sans doute au même résultat, mais ce n'était pas envisageable. S'il y avait une possibilité de sortir de ce train, il fallait essayer.

Tenter quelque chose, depuis la plus simple vérification de l'ouverture de la porte qu'il venait de faire, à la plus désespérée : hurler pour signaler sa présence et essayer de fracasser la fenêtre pour sortir.

Sans compter qu'il n'était pas seul, il était le plus âgé dans ce compartiment et un ancien préfet. Aliosus voyait bien tous les regards qui se posaient sur lui dans l'attente de quelque chose.

«Bon, tout ça c'est bizarre mais on ne va pas s'en sortir si on panique, d'accord ? Tout est fermé, mais peut être qu'on a la possibilité de casser la fenêtre ? Est-ce que quelqu'un a un objet lourd, comme un petit chaudron par exemple ?»

Il s'interrompt quand il entend un étrange bruit venant de l'avant.
Qu'est ce que c'est que ça encore...

Contexte actuel :

❝ La proposition d'Aliosus reste en suspens. Ses trois camarades semblent figés par l'inquiétude. ❞

Tu te calmes, tu arrêtes de crier, tu te rends bien compte que ça ne sert absolument à rien. La porte est fermée, même si les élèves de l'autre côté vous entendaient ils ne pourraient rien faire, et quand bien même quelqu'un t'entendais, il y avait bien une raison qui avait poussé le train à s'arrêter, ton cri ne servait qu'a faire paniquer plus encore les autres occupants du train qui t'entendraient.
Alors tu te reprends en main, tu prends une grande inspiration, Lena s'approche de la vitre dans l'espoir de peut-être voir quelque chose ou encore de passer par la vitre.

Sans surprise les fenêtres sont elles aussi fermées... dans quel pétrin est ce que tu t'es encore mise, tu n'allais même pas à Londres pour passer un bon moment, pourquoi est ce que tu n'étais pas restée à Poudlard, bien tranquillement, posé en salle commune avec Ava et Leann à discuter .... De tout et de rien et pas à se demander comment sortir du train ...

Alors Aliosus vous demanda a vous toutes si vous n'aviez pas un objet lourd qui permettrait de casser la vitre... Bien sur, tu te baladait toujours avec ton nécessaire de bricolage quand tu rentrais chez toi...

Tu fouillais dans ton sac à la recherche d'un potentiel objet assez lourd qui pourrait faire l'affaire, après tout Aliosus avait raison, un mini chaudron ferait surement l'affaire. Tu courus vers ta valise posée en hauteur et réussis difficilement à l'attraper, tu l'ouvris et attrapa un chaudron de petite taille qui te servait à vrai dire, non pas comme récipient pour tes potions mais pour tes affaires, c'était un sac à main des plus originaux, mais le fait est que cela pourrait vous sauver la mise

Tu penses que ça peut faire l'affaire?

Tu entendis alors un bruit sourd de l'avant du train, mais qu'est ce qu'il se passait dans ce putin de train

Tout le monde semblait pétrifié, paralysé, et pourtant il allait bien falloir réussir à avancer, sinon autant reprendre la lecture de son roman et attendre que d'autres forces extérieures ne décideent de leur sort, et ça c'était inenvisageable. Était-ce la peur qui avait cet effet là ? Est ce qu'il avait eu l'air aussi ahuri dans d'autres situations de stress comme il avait pu en vivre les années précédentes ? Pas cette fois, il refusait d'être le pigeon pris dans les phares de la moto volante, pas après qu'il ait passé tant de temps et qu'il ait fait tant d'effort pour être à la hauteur, que ce soit grâce à MacBeth ou à Delphilia.

Il n'y eu qu'une des Serpentard qui lui répondit, Brown, une troisième année pas trop mal dégourdie mais qui, enfermée avec lui, avait commencé à montrer des signes d'hystérie croissante. Elle fouilla son sac et vida un petit chaudron qui semblait lui servir de vide poche, curieux usage pour un si honorable exemplaire de l'artisanat sorcier. Était-elle sang-mêlée ? Peu importait dans la situation actuelle, lui était sang pur et devait les mener par l'exemple.

«Merci oui ça sera déjà ça pour essayer.»
Il pris l'objet, la main sur le rebord du petit chaudron, et fit signe aux autres de se reculer du côté de la porte pour ne pas risquer de recevoir un bris de verre. Il pris une grande inspiration et lança son bras contre la vitre avec la ferme intention de la briser.

Contexte actuel :

❝ Melody dégage de ses bagages un petit chaudron pour servir aux expériences d'Aliosus. Le Serpentard balance son bras, et le chaudron, une première fois. Mais au lieu de causer des dégâts à la vitre, le chaudron semble rebondir sur celle-ci. Repoussé violemment en arrière, Aliosus a le choix entre le lâcher ou voir son bras entrainé dans le mouvement de recul.

Attention : pensez bien à résumer vos actions en fin de post ! A la fois pour faciliter le travail des MJ et pour limiter les biais d'interprétation. ❞