TW : mutilat*on

Non en effet elle n'allait pas bien, quand les gens lui demandait si ça allait ou si elle était heureuse, elle répondait oui comme par habitude mais en réfléchissant à la question elle eut une autre réponse, elle n'était pas heureuse. Enfin cela dépendait car à Poudlard, avec ses amis, les cours et la vie quotidienne au château c'était chouette. Mais dès qu'elle se retrouvait seule.. C'était une catastrophe. Encore dans le dortoir allongée mais rehaussée par un coussin, elle pris son carnet préféré et commenca à écrire toutes ses pensées dedans, elle marqua un peu de tout mais ce qui revenait le plus, c’était sa tristesse,
sa haine et sa déception envers son père. Puis elle descendu dans le bas du château,
elle passa devant la grande salle et en voyant la nourriture elle failli vomir. Elle décida de passer à l'infirmerie pour que personne ne s'inquiète et pour prendre des compléments alimentaires. Elle dit à l'infirmer qu'elle avait mal au ventre et prit ses compléments alimentaires. Ensuite elle parta vers un endroit calme où elle fut sur de ne voir personne, les toilettes abandonnées. Elle se regarda dans le miroir, elle vit pourtant une jeune fille heureuse dans son reflet. Elle sorti une lame de son sac, et elle commenca à se couper. En voyant le sang couler dans le veille évier, elle commenca à pleure.
@Wayne Chandler

S H E I S

"Tu souris mais tu veux pleurer. Tu parles mais tu veux te taire. Tu fais semblant d'être heureuse mais tu ne l'es pas."

N O T W E L L

Sortir, sortir pour oublier les soucis du moment et partir à la découverte du château, car, on ne va pas se le cacher, il est grand. Je ne sais même pas comment rentrer dans la salle commune, mais je trouverais bien.

Suivre, suivre des couloirs, tournant à gauche puis à droite dans un croisement pour finir dans un endroit que je ne pensais pas savoir son existence un jour.
"C'est lugubre et abandonné, Wayne."
Je vois ça oui.. ça ressemble à des toilettes on dirait non ?
"Ta curiosité te perdra aussi tu es au courant ?"
Oui. Je sais bien.

Entendre des pleures, qui pouvait bien pleurer ? Une fille, lame à la main, elle venait de se couper, je pouvais le voir. Pourquoi pleurait-elle ? Pourquoi venait-elle de faire ça ? Pourquoi était-elle seule ?
"Tu dis ça alors que toi, tu étais seul."
Ne me parle pas de ça tu veux ?
"Oui, oui, si tu veux mais tu n'y échapperas pas !"
Ce n'est pas le moment.

- Pose cette lame, ce n'est pas elle qui t'aidera.

Calme mais doux, ne pas la brusquer, ne pas lui retirer la lame de sa main. Elle devait le faire toute seule, lâcher cette arme tranchante.
"Tu sais quoi faire ou je t'explique ?"
Pas besoin, je sais se qu'il faut que je fasse, l'aider quitte à prendre sa noirceur avec moi.

TW : mutilat*onTout d'un coup à garçon plutôt mignon m'interpella, il me dit de lâcher cette lame mais je n'en avais pas envie, au contraire de ce qu'il disait, j'en avais besoin. Je lui répondit poliment Je ne te connais pas et tu ne sais pas ce que je vie et ce que je ressens. Tu ne peux même pas imaginer la souffrance qui s'abrite dans mon cœur. Tu ne me feras pas la lâcher, alors pour ne pas avoir des regrets, quitte cette pièce et fais semblant que ce moment ne s'est jamais dérouler devant tes yeux. Je regarda l'évier avec peur et tristesse, c'était mon sang qui coullait, en partie@ celui de mon père. Pourquoi moi ? Pourquoi est ce qu'il ai fallu que je sois répartie à Serpentard et que mon père me haïsse en cette raison. Même si en effet, tous nos ancêtres avaient été à Gryffondor, si j'ai été repartie à Serpentard c'est que c'était ma voix. Et de toute façon, il n'avait pas son mot à dire la dessus. Alors de coler je pris la lame et je mis des coups dans le bout de miroir qu'il restait. Je frappa, frappa et des bouts de verres se mit à valser de partout. J'essaya de me reculer comme toute personne normale mais un petit bout viens à se planter dans ma joue, je cria. i]
@Wayne Chandler

S H E I S

"Tu souris mais tu veux pleurer. Tu parles mais tu veux te taire. Tu fais semblant d'être heureuse mais tu ne l'es pas."

N O T W E L L

Juger, juger aux premiers regards, aux premières idées. Même si on ne connait pas la vie, même si on connait pas la vie de quelqu'un était-ce une bonne raison de rester sur ses premières idées ? Que c'est ridicule.
"Comme toi."
Soupirer, elle ne voulait pas comprendre, elle ne voulait pas arrêter. Alors je la regardais. Elle aussi, elle ne sait pas la souffrance que je peux avoir, elle aussi, elle ne sait pas à quel point on peut aider.

Je la regardais, je la regardais taper dans le reste de miroir. Il allait casser. Il a cassé. Et elle s'est blessée. Et elle avait mal. Je soupirais, encore. Elle avait eu ce qu'elle voulait ? Se blesser d'avantage ?
Marcher, en sa direction. S'arrêter une fois à sa hauteur.

- C'est bon ? On peut parler ? De tes soucis bien entendu.

Comment je faisais pour rester calme ? Je l'ai toujours était. La panique n'arrange rien, elle empire la chose, le soucis, le problème.
Regarder, regarder sa blessure à sa joue.
"C'est superficiel à mon avis."
C'est superficiel, faut juste retirer son bout de verre coincée.

- Je me présente, Wayne Chandler. Je peux ?

En montrant sa joue. Pressentiment, elle ne voudra pas.
"Tu souffres aussi."
Souffrir, voilà un joli exemple de mot polysémique, un jolie exemple de mots ayant plusieurs sens, moi aussi je souffre, mais je sais bien jouer la comédie, la cacher, la dissimuler. Mais fallait l'aider elle, pas moi. Pourquoi je sauve des gens alors que je sais même pas me sauver moi-même ? Qu'est-ce que je peux être ridicule moi. Mais je la sauverais quand même, tel est mon rôle aujourd'hui, à ce moment là.