Avez vous envie de dévorer ce RP ?

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- Oui

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- Pas tellement

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- Pas du tout

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ar une belle journée ensoleillée, Jane qui séjournait sur le Chemin de Traverse depuis quelques temps déjà, décida d'aller se promener. Elle n'avait pas encore petit-déjeuner et elle avait grand faim. Elle décida alors d'aller chez Florian Fortarôme pour s'acheter une bonne glace. Jane s'habilla donc rapidement (robe bustier, sandales), puis sortit sous ce soleil resplendissant. Elle passa devant plusieurs boutiques puis, arriva chez le glacier. Elle rentra donc dans la boutique et commanda une glace deux boules. Il n'y avait presque plus de places en terrasse. En fait, il ne restait déjà plus qu'une table avec deux places qui était libre. Jane s'installa donc sur une de ces deux dernières places et commença à déguster sa glace. De temps en temps, elle se léchait la bouche pour ne pas avoir l'air débile avec de la crème glacée sur les lèvres. Maintenant, elle avait fini sa glace mais elle avait encore faim. Elle avait un budget assez grand qui lui permettait de s'acheter encore... disons 1o glaces. Jane recommanda donc une glace. Elle la mangea. Quand elle eut fini, son appétit était enfin content. Elle n'avait plus faim. Elle alla chercher un journal en demandant gentiment au glacier de lui garder sa place de peur que en revenant elle ne puisse plus s'asseoir. Elle revint quelques minutes plus tard, s'installa confortablement dans son siège et commença sa lecture.

Alice marche calmement au chemin de traverse sans autre but de s’occuper et de faire une ou plusieurs nouvelles rencontres. Elle regarde les boutiques à droite, à gauche, entre et regarde, salue les gens, contemple les vitrines comme une jeune fille au pays des merveilles.

Après tout, elle portait le même nom que le personnage principal d’une histoire moldue, Alice. Quel beau prénom quand on y repense ! Assez court et d’une belle sonorité. Une belle histoire digne d’un conte dans le genre fantastique écrit par Lewis Carroll.

Assez jeune, la Gryffonne s’était plongée dans la lecture de ce livre assez passionnant. Elle l’avait énormément apprécié, si bien qu’elle le relut deux ou trois fois avant de le cacher sous son oreiller. Depuis le temps, il était maintenant rangé sur l’une des étagères en bois de sa chambre.

Arrivant devant le vendeur de glace, la jeune fille sort quelques pièces de sa bourse et les tends au vendeur pour obtenir une de ses sucreries. Repartant avec une glace à l’italienne au goût framboise, elle s’assoit à une table à côté d’une jeune fille en train de lire.

Goûtant doucement à sa glace au délicieux parfum framboise, la lionne en a déjà pleins la bouche, qu’elle essuie rapidement avant de dire "Salut ! Tu lis quoi ?". Le sourire aux lèvres, elle interroge gentiment sa camarade.

La jeune fille, écoute sa camarade, apparemment prénommée Jane. Quel beau prénom ! La miss Anderson était visiblement très bavarde puisqu’elle commença à parler sans même laisser le temps à Alice de répondre. L’écoutant d’un air amusé, l’Anglaise esquisse un grand sourire. En voilà une lui ne manquait pas d’énergie !

En-tout-cas, la lionne trouvait cette gamine assez gentille et mignonne. Une fois qu’elle fut de retour, une glace à l'Italienne pralinée dans la main, elle y goûte doucement, "bon appétit !" ne peux s’empêcher de dire notre petite protégée, tout sourire aux lèvres.

Regardant le journal posé sur la table, la brune lit un des grands titres en noir sur la page. La jeune fille était toujours autant émerveillée par les journaux sorciers avec leurs images changeantes ! C’était juste magnifique, dommage que le monde moldu n’est pas autant de magie et de splendeur.

Il fallait entamer une conversation, car son esprit commençait à se laisser distraire par ses pensées, et vu la terrible nuit qu’elle avait passée, Alice sentait qu’elle allait finir par s’endormir. Mais de quoi parler ? Tentant n’importe quoi, l’Anglaise dit juste ce qui lui passe par la tête, "tu as bien dormi ? De mon côté, la nuit a été terrible ! Que des cauchemars et des réveils brutaux..." lance t’elle. Ce n’était peut-être pas le meilleur sujet de discussion, mais au moins, ça ferait parler sa camarade qui avait finalement arrêté de parler.