Quelque part le souvenir de vieux assauts
Avec Melissandre Hyde,
le 1er septembre 2047
le 1er septembre 2047
« 𝓜aman, siffla-t-il discrètement, évitant de justesse un baiser baveux sur sa joue, arrête, tu me fous la honte. »
Abigail ignora les protestations ingrates d'Oscar avec toute l'habileté d'une mère habituée aux caprices d'enfants et resserra son étreinte sur le pull gris de son aîné pour lui imposer son bisou d'au revoir. Ce n'était pas demain la veille qu'un gamin de onze ans allait lui dicter la bonne conduite à adopter dans un moment pareil ; il s'apprêtait à les quitter pour plusieurs mois, que diable ! Pourquoi tous les enfants se réveillaient-ils un matin soudainement convaincus que la démonstration publique de l'amour parental était la chose la plus embarrassante concevable ? Il y quelques mois encore, c'était lui qui fonçait dans ses bras à la moindre occasion pour la noyer de baisers.
« Ce n'est pas la honte d'avoir une maman émue par le départ de son premier enfant. Regarde autour de toi, tu vois bien que personne ne se moque ! »
Oscar jeta un coup d'œil rapide et faussement désintéressé aux alentours et fut rassuré de constater qu'en effet, personne ne semblait trouver la scène hilarante. Tous les élèves et futurs élèves présents sur le quai étaient occupés à tenter tant bien que mal d'échapper aux griffes de leurs propres parents, pour beaucoup tout aussi émus que sa mère. Il s'en sentit soulagé mais haussa les épaules.
« Sois gentil avec ta mère, lui intima gentiment Jamie en passant doucement sa main dans les cheveux blonds d'Oscar, ça va nous faire un sacré vide de ne plus t'avoir à la maison. »
« Vous aurez Mona et Edna pour me remplacer, souffla-t-il presque imperceptiblement en tournant un regard mauvais vers une petite fille de six ans penchée sur un landau à quelques centimètres de lui. »
Jamie fit semblant de n'avoir rien entendu.
« Tu n'iras pas à Poufsouffle, je ne peux plus le nier, soupira-t-il en tentant de cacher sa déception, mais je me demande ce que le Choixpeau fera de toi. Envoie-nous un hibou le plus vite possible après ta répartition. Nous serons fiers dans tous les cas, bien sûr, mais c'est vrai que si tu pouvais éviter Serpentard... »
Il s'interrompit en croisant le regard réprobateur de sa femme. Oscar, lui, avait bien envie d'être réparti à Serpentard.
« Les Serpentard sont stylés, rétorqua-t-il, loin de se démonter, c'est des malins.
- Des malins, ça doit être ça... »
Ce fut cette fois-ci le coup de coude d'Abigail qui le fit taire. Avec des yeux ronds, elle articula silencieusement ses reproches ; Arrête avec ça ! T'en mèneras pas large s'il se retrouve vraiment là-bas.
« J'peux y aller ? demanda-t-il impatiemment en interrompant leur rixe muette. Je veux voir l'intérieur du train ! Et je veux une bonne place ! Ça sert à rien que je reste ici, je vous ai dit au revoir déjà ! »
Sa mère soupira à nouveau et Jamie l'autorisa à les quitter, non sans lui imposer une dernière étreinte qui le gêna tellement qu'il prit le feu aux joues. Il tourna les talons en direction du Poudlard Express aussitôt que ses parents acceptèrent finalement de le lâcher mais il fut immédiatement rappelé par sa mère.
« Embrasse tes sœurs ! »
Boudeur, il revint sur ses pas, déposa un baiser non sur le front du poupon mais bien sur le tissu de son landau, et fronça les sourcils tandis que Mona, la fillette de six ans, l'embrassait sur la joue. Il quitta sa famille, cette fois-ci pour de bon, en les gratifiant d'un signe de mains discret avant d'entrer dans le train.
Puisqu'il était arrivé bien en avance sur le quai et qu'il s'était empressé de monter dans le train, celui-ci était encore presque vide ; il n'eut aucun mal à trouver une cabine où il put s'installer seul. Il espérait que quelqu'un le rejoigne autant qu'il le redoutait. Il tenait à faire bonne figure et craignait d'être ridicule ; il ne cessa de fixer à intervalles très réguliers la porte de sa cabine pendant de longues minutes, quand, peu de temps avant le départ du train, elle s'ouvrit enfin.
Abigail ignora les protestations ingrates d'Oscar avec toute l'habileté d'une mère habituée aux caprices d'enfants et resserra son étreinte sur le pull gris de son aîné pour lui imposer son bisou d'au revoir. Ce n'était pas demain la veille qu'un gamin de onze ans allait lui dicter la bonne conduite à adopter dans un moment pareil ; il s'apprêtait à les quitter pour plusieurs mois, que diable ! Pourquoi tous les enfants se réveillaient-ils un matin soudainement convaincus que la démonstration publique de l'amour parental était la chose la plus embarrassante concevable ? Il y quelques mois encore, c'était lui qui fonçait dans ses bras à la moindre occasion pour la noyer de baisers.
« Ce n'est pas la honte d'avoir une maman émue par le départ de son premier enfant. Regarde autour de toi, tu vois bien que personne ne se moque ! »
Oscar jeta un coup d'œil rapide et faussement désintéressé aux alentours et fut rassuré de constater qu'en effet, personne ne semblait trouver la scène hilarante. Tous les élèves et futurs élèves présents sur le quai étaient occupés à tenter tant bien que mal d'échapper aux griffes de leurs propres parents, pour beaucoup tout aussi émus que sa mère. Il s'en sentit soulagé mais haussa les épaules.
« Sois gentil avec ta mère, lui intima gentiment Jamie en passant doucement sa main dans les cheveux blonds d'Oscar, ça va nous faire un sacré vide de ne plus t'avoir à la maison. »
« Vous aurez Mona et Edna pour me remplacer, souffla-t-il presque imperceptiblement en tournant un regard mauvais vers une petite fille de six ans penchée sur un landau à quelques centimètres de lui. »
Jamie fit semblant de n'avoir rien entendu.
« Tu n'iras pas à Poufsouffle, je ne peux plus le nier, soupira-t-il en tentant de cacher sa déception, mais je me demande ce que le Choixpeau fera de toi. Envoie-nous un hibou le plus vite possible après ta répartition. Nous serons fiers dans tous les cas, bien sûr, mais c'est vrai que si tu pouvais éviter Serpentard... »
Il s'interrompit en croisant le regard réprobateur de sa femme. Oscar, lui, avait bien envie d'être réparti à Serpentard.
« Les Serpentard sont stylés, rétorqua-t-il, loin de se démonter, c'est des malins.
- Des malins, ça doit être ça... »
Ce fut cette fois-ci le coup de coude d'Abigail qui le fit taire. Avec des yeux ronds, elle articula silencieusement ses reproches ; Arrête avec ça ! T'en mèneras pas large s'il se retrouve vraiment là-bas.
« J'peux y aller ? demanda-t-il impatiemment en interrompant leur rixe muette. Je veux voir l'intérieur du train ! Et je veux une bonne place ! Ça sert à rien que je reste ici, je vous ai dit au revoir déjà ! »
Sa mère soupira à nouveau et Jamie l'autorisa à les quitter, non sans lui imposer une dernière étreinte qui le gêna tellement qu'il prit le feu aux joues. Il tourna les talons en direction du Poudlard Express aussitôt que ses parents acceptèrent finalement de le lâcher mais il fut immédiatement rappelé par sa mère.
« Embrasse tes sœurs ! »
Boudeur, il revint sur ses pas, déposa un baiser non sur le front du poupon mais bien sur le tissu de son landau, et fronça les sourcils tandis que Mona, la fillette de six ans, l'embrassait sur la joue. Il quitta sa famille, cette fois-ci pour de bon, en les gratifiant d'un signe de mains discret avant d'entrer dans le train.
Puisqu'il était arrivé bien en avance sur le quai et qu'il s'était empressé de monter dans le train, celui-ci était encore presque vide ; il n'eut aucun mal à trouver une cabine où il put s'installer seul. Il espérait que quelqu'un le rejoigne autant qu'il le redoutait. Il tenait à faire bonne figure et craignait d'être ridicule ; il ne cessa de fixer à intervalles très réguliers la porte de sa cabine pendant de longues minutes, quand, peu de temps avant le départ du train, elle s'ouvrit enfin.
Dernière modification par Oscar Maguire le 02 déc. 2023, 18:04, modifié 2 fois.
Devant mon ordi j'attends le chaos
Quelque part le souvenir de vieux assauts
Après un bref salut à sa camarade sur le quai, Mélissandre posait sa main sur la poignée de sa valise roulante ! Elle inspirait une dernière bouffée d'air frais, enfin non, pas tout à fait. Ce n'était pas la dernière, voilà qu'elle en prenait une autre. Elle observait le train, hésitante... Allait-il finir par partir sans elle ? Elle aurait aimée le voir défiler, loin, la laissant ainsi, en dehors du chaos à venir.
Elle tournait la tête vers son compagnon de route.
- Je sais, je sais, on y va. ... Dit-elle résignée, en se penchant pour attraper le coussin ainsi que son habitant. Le déposant ensuite sur la valise, pour monter à bord de l'engin métallique. Elle s'approchait de l'encadrement et glissait sa valise, une dernière inspiration et voilà qu'elle était à bord. La porte se refermait derrière elle, elle sentit comme une compression au niveau de sa poitrine. Elle fermait les yeux un instant, essayant de taire ses voix intérieures. Il y avait déjà bien assez monde dans son crâne, c'est pourquoi elle ne prit pas la peine de chercher ses amis. Bien au contraire, elle se réfugiée dans un compartiment vide, enfin presque... Il n'y avait qu'un garçon, plus jeune.
- Bonjour, Dit-elle d'une voix peu assurée.
Il était probablement en première année, ou peut-être en deuxième mais si c'était le cas, alors il n'était guère grand.
Elle installait le coussin de son reptile sur la banquette du train. L'animal bleue était allongé formant une sorte de bretzelle étrange. Un mélange étonnant de bleue, rouge et blanc.
Mélissandre rangeait sa valise au dessus de sa tête, puis s'installait face au garçon. Elle détournait bien vite la tête, lorsque le train s'ébranlait tout à coup. Elle ne pût retenir une déglutition bruyante, le regard fixe vers le paysage qui s'accélèrait. Elle plaçait ses mains sur ses genoux, tapotant la pulpe de ses doigts sur ses cuisses.
* ça risque d'être long * pensait-elle, ignorant parfaitement son camarade de compartiment. Elle avait bien d'autres lutins de cornouaille à ensorcelé.
Nul besoin d'une potion, le duo d'étain utilise ses poings.
#LESCHAUDRONSD'ÉTAIN.
4 eme année Rp // filière totale.
Possède une vipère bleue, Bien caché sous spoiler mais visible sur ma fiche.
8/20RPs.
Elle tournait la tête vers son compagnon de route.
- Je sais, je sais, on y va. ... Dit-elle résignée, en se penchant pour attraper le coussin ainsi que son habitant. Le déposant ensuite sur la valise, pour monter à bord de l'engin métallique. Elle s'approchait de l'encadrement et glissait sa valise, une dernière inspiration et voilà qu'elle était à bord. La porte se refermait derrière elle, elle sentit comme une compression au niveau de sa poitrine. Elle fermait les yeux un instant, essayant de taire ses voix intérieures. Il y avait déjà bien assez monde dans son crâne, c'est pourquoi elle ne prit pas la peine de chercher ses amis. Bien au contraire, elle se réfugiée dans un compartiment vide, enfin presque... Il n'y avait qu'un garçon, plus jeune.
- Bonjour, Dit-elle d'une voix peu assurée.
Il était probablement en première année, ou peut-être en deuxième mais si c'était le cas, alors il n'était guère grand.
Elle installait le coussin de son reptile sur la banquette du train. L'animal bleue était allongé formant une sorte de bretzelle étrange. Un mélange étonnant de bleue, rouge et blanc.
Mélissandre rangeait sa valise au dessus de sa tête, puis s'installait face au garçon. Elle détournait bien vite la tête, lorsque le train s'ébranlait tout à coup. Elle ne pût retenir une déglutition bruyante, le regard fixe vers le paysage qui s'accélèrait. Elle plaçait ses mains sur ses genoux, tapotant la pulpe de ses doigts sur ses cuisses.
* ça risque d'être long * pensait-elle, ignorant parfaitement son camarade de compartiment. Elle avait bien d'autres lutins de cornouaille à ensorcelé.
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Quelque part le souvenir de vieux assauts
La porte de la cabine s'ouvrit pour laisser entrer une petite fille brune à frange dont l'évidente absence d'enthousiasme à l'idée de partager ce trajet en Poudlard Express en compagnie d'Oscar le déçut immédiatement. Il répondit à son salut timide par un grand sourire qu'il voulut chaleureux, espérant réchauffer l'atmosphère, mais la nouvelle venue sembla à peine le remarquer, trop concentrée sur le coussin qu'elle tenait dans ses mains et qu'elle manipulait avec la précaution qu'on réservait habituellement aux objets fragiles. La scène questionna Oscar ; s'agissait-il d'un objet enchanté réellement fragile ou sa compagne de voyage tenait-elle tant à éviter de lui parler qu'elle faisait semblant de devoir s'intéresser à un oreiller en espérant qu'il ne relève pas l'absurdité de son comportement ?
Oscar se leva discrètement de son siège pour avoir une meilleure vue sur l'objet et ses doutes se dissipèrent en une fraction de seconde ; le coussin abritait un serpent ! Il ne put retenir un murmure impressionné et l'observa d'un air fasciné. Sa mère haïssait cordialement les zoos et il n'avait donc jamais vu de reptile de ses propres yeux, moins encore qui fut zébré de pareilles couleurs ! Fils d'une enseignante moldue, Oscar savait pertinemment que la plupart des gens n'auraient jamais l'idée d'amener un tel animal de compagnie dans un collège et il ne put s'empêcher de songer au succès que cette fille aurait eu si elle avait débarqué dans une école moldue avec son reptile.
Il se rassit en vitesse sur son siège lorsqu'elle eut fini de sécuriser ses bagages et l'observa sans grande discrétion tandis qu'elle gardait les yeux rivés vers le paysage que laissait découvrir la fenêtre du compartiment, résolue à n'engager aucune conversation et à laisser le silence s'installer entre eux. Oscar, pourtant, n'était pas de cet avis.
« Il est trop cool, lança-t-il sans remarquer la préoccupation dans laquelle sa voisine était plongée. Ton serpent, précisa-t-il. »
Il se leva à nouveau de son siège pour s'en approcher et l'observer.
« Moi j'ai pas d'animal, mon père dit que j'arriverais pas à bien m'en occuper. Je pourrais penser à nourrir un animal tous les jours, hein, je suis pas bête, se justifia-t-il. Je peux le caresser ? »
Devant mon ordi j'attends le chaos
Oscar se leva discrètement de son siège pour avoir une meilleure vue sur l'objet et ses doutes se dissipèrent en une fraction de seconde ; le coussin abritait un serpent ! Il ne put retenir un murmure impressionné et l'observa d'un air fasciné. Sa mère haïssait cordialement les zoos et il n'avait donc jamais vu de reptile de ses propres yeux, moins encore qui fut zébré de pareilles couleurs ! Fils d'une enseignante moldue, Oscar savait pertinemment que la plupart des gens n'auraient jamais l'idée d'amener un tel animal de compagnie dans un collège et il ne put s'empêcher de songer au succès que cette fille aurait eu si elle avait débarqué dans une école moldue avec son reptile.
Il se rassit en vitesse sur son siège lorsqu'elle eut fini de sécuriser ses bagages et l'observa sans grande discrétion tandis qu'elle gardait les yeux rivés vers le paysage que laissait découvrir la fenêtre du compartiment, résolue à n'engager aucune conversation et à laisser le silence s'installer entre eux. Oscar, pourtant, n'était pas de cet avis.
« Il est trop cool, lança-t-il sans remarquer la préoccupation dans laquelle sa voisine était plongée. Ton serpent, précisa-t-il. »
Il se leva à nouveau de son siège pour s'en approcher et l'observer.
« Moi j'ai pas d'animal, mon père dit que j'arriverais pas à bien m'en occuper. Je pourrais penser à nourrir un animal tous les jours, hein, je suis pas bête, se justifia-t-il. Je peux le caresser ? »
Dernière modification par Oscar Maguire le 16 sept. 2022, 11:07, modifié 1 fois.
Devant mon ordi j'attends le chaos
Quelque part le souvenir de vieux assauts
* Il est trop cool *
Mélissandre arrachée à ses pensées tournait la tête vers le blondinet. Elle n'avait sur le moment aucune idée de ce à quoi il faisait référence. C'était probablement lisible sur son visage puisque le gamin précisa !
* Oh Mr Bay * Décidément cette journée tournait autour du jeune squamate. Elle appréciait sa compagnie discrète mais regrettait un peu l'engouement qu'il était en train de créer.
Alors que la Serdaigle voulait répondre, l'enfant captivé se leva de son siège. Il ne prêtait plus attention à la sorcière qui fronçait désormais les sourcils !
* Je peux le caresser ? *
Toujours renfrognée, elle hésitait à simplement dire * NON * mais, son agacement prit le dessus.
- Oh oui, rend moi service ... Sert donc de petit déjeuner pour Mr Bay, il n'a rien eût ce matin.
Elle plantait ses yeux, sur le garçon, pendant que le serpent se redressait. Il n'était pas méchant bien sûr, Mélissandre n'était pas stupide à ce point. Elle jouait cependant sur le fait qu'il n'avait probablement pas croisé beaucoup de sorcier, accompagné d'un serpent de plus. Vu la réaction qu'il avait eût, il était effectivement en première année et découvrait ce nouveau monde. Était il issu d'une famille de sorcier , de moldu ou un mixte ? Aucune indication émanait de lui une chose était cependant frappante. C'était probablement un Poufsouffle à venir ? Vu son attrait pour les animaux et son côté naïf. Il n'avait pas le profil d'un serdaigle, ni d'un serpentard. Le doute était permis sur la maison Gryffondor mais, il était trop tôt pour que Mélissandre se fasse un réel avis.
Sur ma fiche tu as une photo de Mr Bay ou sur google en tapant vipère bleue .
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Mélissandre arrachée à ses pensées tournait la tête vers le blondinet. Elle n'avait sur le moment aucune idée de ce à quoi il faisait référence. C'était probablement lisible sur son visage puisque le gamin précisa !
* Oh Mr Bay * Décidément cette journée tournait autour du jeune squamate. Elle appréciait sa compagnie discrète mais regrettait un peu l'engouement qu'il était en train de créer.
Alors que la Serdaigle voulait répondre, l'enfant captivé se leva de son siège. Il ne prêtait plus attention à la sorcière qui fronçait désormais les sourcils !
* Je peux le caresser ? *
Toujours renfrognée, elle hésitait à simplement dire * NON * mais, son agacement prit le dessus.
- Oh oui, rend moi service ... Sert donc de petit déjeuner pour Mr Bay, il n'a rien eût ce matin.
Elle plantait ses yeux, sur le garçon, pendant que le serpent se redressait. Il n'était pas méchant bien sûr, Mélissandre n'était pas stupide à ce point. Elle jouait cependant sur le fait qu'il n'avait probablement pas croisé beaucoup de sorcier, accompagné d'un serpent de plus. Vu la réaction qu'il avait eût, il était effectivement en première année et découvrait ce nouveau monde. Était il issu d'une famille de sorcier , de moldu ou un mixte ? Aucune indication émanait de lui une chose était cependant frappante. C'était probablement un Poufsouffle à venir ? Vu son attrait pour les animaux et son côté naïf. Il n'avait pas le profil d'un serdaigle, ni d'un serpentard. Le doute était permis sur la maison Gryffondor mais, il était trop tôt pour que Mélissandre se fasse un réel avis.
Sur ma fiche tu as une photo de Mr Bay ou sur google en tapant vipère bleue .
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Les attentes d'Oscar furent à nouveau déçues lorsque le ton de sa camarade lui indiqua sans détour qu'elle ne l'autorisait pas à s'approcher davantage de son animal de compagnie. Craignant qu'il ne soit réellement dangereux, il ne tendit pas sa main vers le serpent mais il prit néanmoins tout son temps pour se rasseoir sur son siège, continuant à observer l'animal pendant de longues secondes après s'être fait brusquement rabrouer par sa propriétaire. Enfin, il haussa les épaules et retrouva sa banquette en face de ses deux drôles de compagnons de voyage.
« Je savais pas que les élèves pouvaient amener des animaux dangereux, commenta-t-il d'un ton presque enjoué. »
Après tout, quel intérêt d'être un sorcier s'il n'existait pas de danger à affronter ? Au fond de lui, Oscar espérait que Poudlard le mettrait à l'épreuve et lui donnerait l'occasion de faire ses preuves, car il n'y avait pas de meilleure façon de devenir un grand magicien et d'inscrire son nom dans l'Histoire qu'en étant confronté à des épreuves dont l'issue laisserait son empreinte dans le monde.
Trop excité à l'idée d'être enfin dans le Poudlard Express, ce train dont il avait rêvé toute son enfance, il ne se formalisa pas de l'attitude renfermée et impolie de la jeune fille qui l'avait rejoint et brava une nouvelle fois le silence d'acier qu'elle s'entêtait à vouloir faire régner.
« Je rentre en première moi, expliqua-t-il à sa camarade en promenant son regard du reptile à la sorcière, mais mon père m'a déjà expliqué plein de choses sur Poudlard ! L'autre jour, il m'a dit que quand Harry Potter y a fait ses études, il a ouvert la chambre des secrets et a sauvé la vie d'une fille ! C'est incroyable. »
Oscar était un grand admirateur de Harry Potter, même s'il n'en parlait pas souvent et n'avait jamais confié ses sentiments admiratifs à personne, car il n'aimait pas qu'on sache qu'il avait des idoles.
« T'es pas en première année, toi, si ? s'enquit-il, car il lui semblait qu'elle était un peu plus âgée que lui. C'est aussi bien qu'on le dit, Poudlard ? C'est quoi ta Maison ? »
Devant mon ordi j'attends le chaos
« Je savais pas que les élèves pouvaient amener des animaux dangereux, commenta-t-il d'un ton presque enjoué. »
Après tout, quel intérêt d'être un sorcier s'il n'existait pas de danger à affronter ? Au fond de lui, Oscar espérait que Poudlard le mettrait à l'épreuve et lui donnerait l'occasion de faire ses preuves, car il n'y avait pas de meilleure façon de devenir un grand magicien et d'inscrire son nom dans l'Histoire qu'en étant confronté à des épreuves dont l'issue laisserait son empreinte dans le monde.
Trop excité à l'idée d'être enfin dans le Poudlard Express, ce train dont il avait rêvé toute son enfance, il ne se formalisa pas de l'attitude renfermée et impolie de la jeune fille qui l'avait rejoint et brava une nouvelle fois le silence d'acier qu'elle s'entêtait à vouloir faire régner.
« Je rentre en première moi, expliqua-t-il à sa camarade en promenant son regard du reptile à la sorcière, mais mon père m'a déjà expliqué plein de choses sur Poudlard ! L'autre jour, il m'a dit que quand Harry Potter y a fait ses études, il a ouvert la chambre des secrets et a sauvé la vie d'une fille ! C'est incroyable. »
Oscar était un grand admirateur de Harry Potter, même s'il n'en parlait pas souvent et n'avait jamais confié ses sentiments admiratifs à personne, car il n'aimait pas qu'on sache qu'il avait des idoles.
« T'es pas en première année, toi, si ? s'enquit-il, car il lui semblait qu'elle était un peu plus âgée que lui. C'est aussi bien qu'on le dit, Poudlard ? C'est quoi ta Maison ? »
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Blabla, le danger, Harry Potter ... mais, qu'est-ce qu'il s'imagine ? Wah la classe ce monsieur Potter. Et elle ? Personne ne sait de qui il s'agit, pourquoi mettre en lumière une fille qui a failli MOURIR. Mourir pourquoi ? Pour qui ? cela en était trop, ce gamin était en train de rendre la jeune fille vraiment nerveuse. Le voyage était suffisamment difficile pour elle, qui avait faillit perdre la vie dans ce train. Qui aurait aussi fini sa vie dans l'anonyma total. Pour un combat qui n'était pas le sien ! Elle n'avait provoqué personne, enfin si peut-être avait elle déjà eût quelques altercations mais rien qui ne méritait d'être tuer.
Elle essayait de reprendre son calme et de parler de manière agréable. C'était assez difficile mais, ça ne servait a rien d'être si froide.
- Je suis serdaigle, est-ce que ton père t'a dit que les serdaigles étaient disons comme des sages ? Dont on doit suivre les conseils ? C'est préférable... A poudlard tu n'auras pas de deuxième chance, sauf si tu possède un Horcruxe. Et , tu ne seras pas forcément le héros de l'histoire. Honnêtement 96% des élèves se rapprochent de cette fille dont tout le monde se fiche.
Elle désignait son serpent, en ajoutant :
- Je te présente Mr Bay, il est dangereux en effet mais, il ne représente rien. Par rapport a ce que tu trouveras a poudlard, je veux dire.
Elle lui adressait un dernier sourire avant de reprendre son air glaciale des débuts.
- Maintenant si ça ne te gêne pas, j'étais en train de réfléchir à comment ne pas mourir si ça recommence.
Détournant les yeux vers la vitre, elle espérait que cette fois il aurait comprit.
* Ho non, * Elle pressentait arrivait la fameuse question
* Que quoi recommence * pensait-elle avec une voix nasillarde, c'était une fausse imitation d'un élève désagréable.
Désolée du retard, tu n'es pas obligé de poser cette question. Mélissandre se rend juste compte qu'elle t'a laissé une porte ouverte à la discussion.
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Elle essayait de reprendre son calme et de parler de manière agréable. C'était assez difficile mais, ça ne servait a rien d'être si froide.
- Je suis serdaigle, est-ce que ton père t'a dit que les serdaigles étaient disons comme des sages ? Dont on doit suivre les conseils ? C'est préférable... A poudlard tu n'auras pas de deuxième chance, sauf si tu possède un Horcruxe. Et , tu ne seras pas forcément le héros de l'histoire. Honnêtement 96% des élèves se rapprochent de cette fille dont tout le monde se fiche.
Elle désignait son serpent, en ajoutant :
- Je te présente Mr Bay, il est dangereux en effet mais, il ne représente rien. Par rapport a ce que tu trouveras a poudlard, je veux dire.
Elle lui adressait un dernier sourire avant de reprendre son air glaciale des débuts.
- Maintenant si ça ne te gêne pas, j'étais en train de réfléchir à comment ne pas mourir si ça recommence.
Détournant les yeux vers la vitre, elle espérait que cette fois il aurait comprit.
* Ho non, * Elle pressentait arrivait la fameuse question
* Que quoi recommence * pensait-elle avec une voix nasillarde, c'était une fausse imitation d'un élève désagréable.
Désolée du retard, tu n'es pas obligé de poser cette question. Mélissandre se rend juste compte qu'elle t'a laissé une porte ouverte à la discussion.
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Oscar avait bien des défauts mais il lui en fallait beaucoup pour se décourager et cette gamine pouvait se montrer aussi froide et désagréable qu'elle le voulait, ni son serpent ni ses menaces ne parviendraient à l'intimider. Il avait décidé que son premier voyage dans le Poudlard Express serait un souvenir génial et il ferait tout pour préserver la joie de ce moment, même supporter la condescendance des Serdaigle. D'ailleurs il s'en fichait qu'elle soit sage ! Il n'allait pas à l'école pour être sage.
Pour des raisons incompréhensibles à Oscar, sa compagnonne de voyage troqua sa froide perfidie pour un ton qui sonna presque mielleux à ses oreilles. Il aurait peut-être naïvement cru en la bonne foi de son interlocutrice si elle ne s'était pas aussitôt mise à le menacer à nouveau, lui parlant de horcruxes et d'autres choses qu'il ne comprenait pas. Elle en rajouta une couche avec son serpent venimeux qui était apparemment moins dangereux que Merlin savait quelles menaces mortelles et finit par assommer Oscar en se débarrassant de son masque de fausse agréabilité pour lui confier qu'elle avait peur de mourir, peur que ça recommence.
Que quoi recommence ?
Vraiment, il avait fallu que ce soit une excentrique de Serdaigle qui le rejoigne dans son wagon ! N'importe quel autre profil lui aurait convenu, quelqu'un de son âge, de plus âgé, de n'importe quelle autre maison, il en aurait été content et ils auraient passé un bien meilleur voyage.
Que quoi recommence ?
Parce qu'au fond, il ne lui avait rien fait, à cette fille : il avait été poli, agréable, curieux, avait complimenté son serpent (il en était un admirateur sincère, mais tout de même, il aurait pu garder son enthousiasme pour lui s'il l'avait voulu !), fait peu de cas de son attitude infecte, et voilà comment elle le traitait ! En lui disant qu'il ne serait pas le héros de l'histoire, mais qu'en savait-elle ? Il deviendrait le héros de Poudlard pendant qu'elle serait planquée dans sa salle commune à parler de ses trucs bizarres, elle allait bien voir !
Que quoi recommence ?
Il serait le héros de l'histoire, il ne ferait pas partie de la majorité oubliée. Il le savait et peu importait si cette inconnue en doutait. Elle l'avait comme insulté et sa résolution de passer coûte que coûte un heureux voyage en train ne tenait déjà plus.
« Que quoi recommence ? demanda-t-il enfin, n'y tenant plus. »
Il ne voulait plus lui parler, elle l'avait vexé, mais il fallait qu'il sache de quoi donc elle lui parlait et d'où lui venait son inquiétude agressive.
Devant mon ordi j'attends le chaos
Pour des raisons incompréhensibles à Oscar, sa compagnonne de voyage troqua sa froide perfidie pour un ton qui sonna presque mielleux à ses oreilles. Il aurait peut-être naïvement cru en la bonne foi de son interlocutrice si elle ne s'était pas aussitôt mise à le menacer à nouveau, lui parlant de horcruxes et d'autres choses qu'il ne comprenait pas. Elle en rajouta une couche avec son serpent venimeux qui était apparemment moins dangereux que Merlin savait quelles menaces mortelles et finit par assommer Oscar en se débarrassant de son masque de fausse agréabilité pour lui confier qu'elle avait peur de mourir, peur que ça recommence.
Que quoi recommence ?
Vraiment, il avait fallu que ce soit une excentrique de Serdaigle qui le rejoigne dans son wagon ! N'importe quel autre profil lui aurait convenu, quelqu'un de son âge, de plus âgé, de n'importe quelle autre maison, il en aurait été content et ils auraient passé un bien meilleur voyage.
Que quoi recommence ?
Parce qu'au fond, il ne lui avait rien fait, à cette fille : il avait été poli, agréable, curieux, avait complimenté son serpent (il en était un admirateur sincère, mais tout de même, il aurait pu garder son enthousiasme pour lui s'il l'avait voulu !), fait peu de cas de son attitude infecte, et voilà comment elle le traitait ! En lui disant qu'il ne serait pas le héros de l'histoire, mais qu'en savait-elle ? Il deviendrait le héros de Poudlard pendant qu'elle serait planquée dans sa salle commune à parler de ses trucs bizarres, elle allait bien voir !
Que quoi recommence ?
Il serait le héros de l'histoire, il ne ferait pas partie de la majorité oubliée. Il le savait et peu importait si cette inconnue en doutait. Elle l'avait comme insulté et sa résolution de passer coûte que coûte un heureux voyage en train ne tenait déjà plus.
« Que quoi recommence ? demanda-t-il enfin, n'y tenant plus. »
Il ne voulait plus lui parler, elle l'avait vexé, mais il fallait qu'il sache de quoi donc elle lui parlait et d'où lui venait son inquiétude agressive.
Devant mon ordi j'attends le chaos
Quelque part le souvenir de vieux assauts
La question, bien qu'agaçante ne l'était finalement pas autant que ce que pensait l'aigle. Surement parce qu'elle était prévisible. Et parce qu'elle finirait probablement de cloué le bec de ce potentiel, Poufsouffle, ou quoi qu'il soit. Elle levait cependant les yeux au ciel, * Pitié pas un Serdaigle * pensait elle, l'imaginant déjà se ruer vers elle dans le petit salon pour poursuivre cette insupportable conversation.
- Et bien, lors de ma première année, une mage noire a déposée une boite dans la grande salle. Et des élèves, stupides, se sont proposés. Ils voulaient participer à ce ... combat à mort. L'école était forcé de participer et ça ne s'est pas arrêtés là. Une diffusion du combat à été ... Je ne saurais expliqué qu'elle magie a fait cela mais, c'était comme une télévision de moldu. dans de la brume noire, tout ce qu'on voyait était réellement en train d'arriver. Des enfants, en train de jeter des sortilèges mortels, sur d'autres enfants. Cette mage noire à attaquer le train de l'école.
Elle s'interrompit, les souvenirs revenaient au fur à mesure de la conversation. Il n'était pas question de pleurer devant ce morveux. Elle portait une main a sa bouche, toussotait, reprenant ses esprits. Détournant le regard du blondinet, elle lançait froidement.
- J'aimerais bien voir qu'elle héros tu ferais s'il arrivait quoi que ce soit cette année. Avec ton sort de lumière et celui de lévitation.
Evidemment, elle décidait de ne pas faire mention de Diffindo et du sortilège Lashlabask. Le laissant baigner dans l'incertitude, et espérait elle, la peur. Son discours était empreint de sincérité. Mélissandre avait, elle aussi, réellement peur. N'était ce pas suffisant ? Si elle avait mentionner ces deux sorts, il se serait imaginé faire face, faire le poids. Ce n'était qu'un gamin, sa puissance ne rivalisait pas contre un mage noire entrainé. Mélissandre ne faisait pas le poids, comment pouvait il espérer ... Elle sortait sa baguette, peut-être qu'une démonstration serait plus convainquant. Elle posait sa baguette sur ses genoux, attendant de voir ce qu'il allait retorquer à tout cela. S'il osait encore se prendre pour un héros, elle lui jetterait un Collosho. Le laissant ensuite prisonnier de ce wagon, jusqu'à ce que la dame au chariot ne le libère.
Nul besoin d'une potion, le duo d'étain utilise ses poings.
#LESCHAUDRONSD'ÉTAIN.
4 eme année Rp // filière totale.
Possède une vipère bleue, Bien caché sous spoiler mais visible sur ma fiche.
8/20RPs.
- Et bien, lors de ma première année, une mage noire a déposée une boite dans la grande salle. Et des élèves, stupides, se sont proposés. Ils voulaient participer à ce ... combat à mort. L'école était forcé de participer et ça ne s'est pas arrêtés là. Une diffusion du combat à été ... Je ne saurais expliqué qu'elle magie a fait cela mais, c'était comme une télévision de moldu. dans de la brume noire, tout ce qu'on voyait était réellement en train d'arriver. Des enfants, en train de jeter des sortilèges mortels, sur d'autres enfants. Cette mage noire à attaquer le train de l'école.
Elle s'interrompit, les souvenirs revenaient au fur à mesure de la conversation. Il n'était pas question de pleurer devant ce morveux. Elle portait une main a sa bouche, toussotait, reprenant ses esprits. Détournant le regard du blondinet, elle lançait froidement.
- J'aimerais bien voir qu'elle héros tu ferais s'il arrivait quoi que ce soit cette année. Avec ton sort de lumière et celui de lévitation.
Evidemment, elle décidait de ne pas faire mention de Diffindo et du sortilège Lashlabask. Le laissant baigner dans l'incertitude, et espérait elle, la peur. Son discours était empreint de sincérité. Mélissandre avait, elle aussi, réellement peur. N'était ce pas suffisant ? Si elle avait mentionner ces deux sorts, il se serait imaginé faire face, faire le poids. Ce n'était qu'un gamin, sa puissance ne rivalisait pas contre un mage noire entrainé. Mélissandre ne faisait pas le poids, comment pouvait il espérer ... Elle sortait sa baguette, peut-être qu'une démonstration serait plus convainquant. Elle posait sa baguette sur ses genoux, attendant de voir ce qu'il allait retorquer à tout cela. S'il osait encore se prendre pour un héros, elle lui jetterait un Collosho. Le laissant ensuite prisonnier de ce wagon, jusqu'à ce que la dame au chariot ne le libère.
Nul besoin d'une potion, le duo d'étain utilise ses poings.
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