Ennis n'était pas du genre à abuser de la confiance que certains professeurs pouvaient avoir en elle. Pas au sens qu'elle tentait quelques roublardise pour obtenir quelque chose, plutôt au sens d'obtenir une permission spéciale. En l'occurrence, celle d'entrer dans l'enclos des créatures pendant que les vivets y étaient lâchés. Pour pouvoir se trouver là, assise contre le grillage, les fesses sur un plaid, un bocal contenant un sortilège des flammes bleues entre ses mains gantées, elle était allée voir Mister Dawson en expliquant qu'elle souhaitait juste pouvoir les observer. Ce dernier avait accepté, stipulant qu'elle avait la stricte interdiction de faire entrer qui que ce soit d'autre. Elle lui avait assuré que ce ne serait pas le cas. Si elle avait quelques fois eu une retenue - trois fois depuis le début de sa scolarité - il n'y en avait qu'une où elle avait délibérément joué avec les règles établies. Elle n'aurait pas dû, mais elle ne regrettait certainement pas, même si son histoire avec Jeffrey était maintenant terminée.

Assise contre le grillage, la tête et le dos reposant contre ce dernier, elle faisait donc exactement ce qu'elle avait dit au professeur; observer le vol des quatre vivets dorés. Les deux plus âgés restaient assez loin d'elle tandis que les deux plus jeunes faisaient des allers et retours entre les différents perchoirs qu'ils pouvaient trouver et l'irlandaise, mais sans jamais s'approcher à moins de deux mètres. Ce n'était pas ce qu'elle recherchait de toute façon. Non. Elle voulait juste apprécier leur vol, l'invisibilité de leurs ailes qui battaient si vite lorsqu'ils se déplaçaient ou encore leurs trajectoires aléatoires - quoi que moins imprévisibles que celles d'un vif d'or. Emmitouflée, elle n'avait pas froid, les observer lui permettait de se vider la tête, notamment de ce badge qu'on l'avait contraint à quitter en lui offrant la consolation de reprendre l'ancien. Elle avait été à deux doigts de décliner, par amour propre. Et puis elle avait pensé à son directeur de maison. Après tout ce qu'il avait pu faire pour l'aider, elle avait estimé devoir lui rendre la pareille même si son amour propre en prenait un sacré coup.


Libre à vous de venir interagir avec Ennis. Toutefois pour éviter un surnombre, seules deux personnes sont invitées à rejoindre ce RP. Nul besoin de me contacter, postez à votre bon cœur. Deux personne ayant répondu, le RP est maintenant privé.

Ennis est à l'intérieur de l'enclos où sont actuellement lâchés les vivets dorés. Elle en a obtenu l'autorisation auprès de @Jae Dawson. Assise contre le grillage, si vous vous approchez (mais sans entrer) il est tout à fait possible de venir lui parler. Pour recontextualiser, vos personnages auront normalement eu l'information à la rentrée de janvier qu'Ennis n'est plus préfète-en-chef et est redevenue préfète (Maddie Joy étant la nouvelle PeC). C'est à ça que je fais référence en parlant des badges

Depuis que j'étais tombée sur le livre de Norbert Dragonneau, je m'étais découverte un fort intérêt pour les créatures magiques. Et avec Mr Dawson qui était devenu le directeur de la maison Serdaigle, cet intérêt était devenu plus concret. En effet, même si j'étais encore qu'en deuxième année, le professeur de soin aux créatures m'avait dit que je pouvais aller voir les animaux qui étaient à demeure dans les abris ou exceptionnellement de sortie dans l'enclos.
Ce n'est pas la première fois que mes pas me conduisent vers cette partie de l'école où je n'ai pas encore de cours. J'avais hâte d'être à l'année prochaine pour commencer à les suivre. En attendant, je me contentais de quelques passages pour observer les niffleurs et autres locataires.

Emmitouflée dans un chaud manteau, une écharpe enroulée autour du cou dans laquelle j'enfonçais ma tête pour être au chaud et un bonnet bleu à pompon sur la tête, je traverse le parc en direction de l'univers animalier de Poudlard.
Une fois sur place, je remarque que l'enclos est occupé par des oiseaux dorés qui virevoltent dans l'espace à leur disposition.
C'est ensuite que je remarque la présence d'une élève à l'intérieur de l'enclos, assisse par terre.

Je m'approche alors et arrivant à proximité d'elle, je toussote légèrement, espérant ne pas lui faire peur.
- euh... Salut !, lui dis-je en souriant.

Par ce dimanche frais et sec, Constance venait de descendre les marches de l'entrée menant au Parc, dans l'idée d'aller faire un tour et trouver un banc pour se poser. Un gros livre entre ses bras plaqués contre sa poitrine, la jeune fille marchait tranquillement, bien emmitouflée dans sa cape d'hiver avec son bonnet moutarde, reçu à Noël, et ses gants. Il faisait frais, c'est vrai mais pas glacial au point de l'empêcher de sortir. Et le cadre extérieur invitait facilement à la balade et offrait un cadre de lecture agréable.
Comme souvent, ses pas l'emmenaient non loin de la zone consacrée à la matière des Soins aux Créatures Magiques et son enclos. C'était comme plus fort qu'elle. Parfois il y avait des animaux qui évoluaient dans l'enclos et elle aimait les observer en silence avant de reprendre sa marche.
Aujourd'hui, alors qu'elle s'approchait d'un pas tranquille, elle se rendit compte qu'elle n'était pas la seule à avoir ce cheminement de pensée : une silhouette se découpait contre l'une des barrières.
Elle pouvait toujours faire demi-tour mais sa curiosité l'en empêchait. De là où elle était, elle ne parvenait pas à voir les créatures présentes dans l'enclos.
Elle continua donc de s'approcher et parvins au bord de l'enclos.
Oh ! des tout petits oiseaux y évoluaient tranquillement. L'un s'envola et wahou c'est comme si ses ailes devenaient transparentes tandis qu'il filait à toute allure !
Constance observa le manège quelques secondes avant de se tourner timidement vers la silhouette. C'était une jeune fille brune emmitouflée dans son manteau avec un bocal dans les mains. Bocal qui contenait des flammes bleues dansantes.
La châtaine reconnu immédiatement le sortilège qu'elle avait appris récemment en cours.
Elle aurait bien voulu rebondir sur ça ou même sur les oiseaux-aux-ailes transparentes - elle cherchait de mémoire si elle avait déjà vu un chapitre dessus dans le livre des Créatures Magiques... - que la brune observait en silence. Mais elle n'osa pas. Son visage lui avait appris son identité. Elle était préfète-en-chef il y a peu, elle devait être en 6 ème ou 7ème année... Elles ne se connaissaient pas et de fait Constance allait peut être la déranger, ce que celle-ci ne désirait nullement.
Crotte, pourtant des questions, elle en avait qui popaient dans sa tête.
Elle qui croyait qu'on ne pouvait pas pénétrer dans l'enclos comme ça. Là encore, une nouvelle question. Enfin... elle se doutait que le professeur responsable de la zone soit au courant et ai donné son accord.
La question qui se posait alors était.. pourquoi ? Son aînée était-elle en train d'étudier ces oiseaux dorés ? Ou bien devait-elle les surveiller car ils étaient malades ?
Pourtant, les volatiles semblaient en forme...
Constance attendit donc de croiser le regard de son aînée pour lui sourire en silence, trop intimidée de la déranger.
C'est alors qu'une voix a fit sursauter et elle se tourna à moitié. Oh Erin !

Hello je me joins donc à toi, Constance (passionnée de la faune magique et non magique) semble timide comme ça, mais c'est qu'elle n'aime surtout pas s'imposer. Une fois que la discussion sera lancé, elle sera bien plus spontanée

edit : Erin, tu as posté au moment où j'allais le faire j'ai donc rajouté une phrase
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Plongée dans ses pensées, ces dernières se concentrant sur une tentative d'analyse du vol d'un des vivets les plus jeunes qu'elle n'était pas capable d'identifier tant qu'il ne se poserait pas, la sixième année n'entendait pas ce qui pouvait se tramer en dehors de l'enclos. Oh, il y avait peut-être bien eu un éclat de voix à un moment. Mais elle était bien trop absorbée pour que cela lui tire le moindre mouvement de tête. Aussi, elle mit un certain temps, bien une trentaine de secondes - à réagir lorsque quelqu'un - qu'elle ne connaissait pas de surcroît - l'interpella. La personne, une fille, se trouvait pourtant juste là, de l'autre côté du grillage magique sur lequel elle s'était adossée.

La châtain tourna alors son buste et sa tête pour découvrir une élève qui devait tout au plus être en troisième année. Et puis on regard croisa rapidement le regard d'une deuxième fillette qui venait de lui sourire "Salut." Avait-elle dit très sobrement à la première avant de faire un signe de tête à la seconde puis de reprendre sa position initiale et son observation des deux petits volatiles qui semblaient maintenant suffisamment fatigués - à moins qu'ils aient cessé de la voir comme menace potentielle, les vivets avaient-ils une sorte de mémoire collective d'avoir été des proies lors de matches? - pour se poser sur une branche qui n'était finalement pas si loin d'elle que ça.

Son regard sur pose sur Erin puis sur leur aînée assise plus loin. Se connaissaient-elles ? Le fait que Erin débarque ainsi et la salut avec autant de facilité lui paraissait déconcertant. Lorsqu'elle croise le regard de la préfète qui lui adresse un signe de tête sobre, elle lui sourit tout en balbutiant un "Salut" timide avant de relever ses yeux vers Erin et lui sourire en levant un peu les sourcils - en mode "vous vous connaissez ?".
Elle reporta bien vite son attention vers la préfète tout en essayant de se rappeler son prénom... Elise ? Elisa ? Non. Emmy ? Emilie ? Non, non. Il commence par un E et est relativement court.
Ses pensées s'arrêtèrent net lorsqu'elle avise deux des oiseaux voleter jusqu'à une branche assez près de la brune.
Qu'allait-il se passer maintenant ? Ses yeux se détachant des deux volatiles, ils migrèrent jusqu'au visage de la brune puis au sol près de ses jambes, à la recherche d'un cahier d'observation où elle devait annoter des trucs. Mais pas de cahier. Mmh, alors que fesait-elle dans l'enclos ?
Constance était silencieuse, elle ne savait sur quel pied danser. Sa tête était pleine de questions comme à chaque fois qu'il s'agissait d'un sujet qui la passionnait - comme les animaux ou les créatures magiques par exemple - ou lorsqu'elle faisait face à une situation qu'elle ne comprenait pas.
N'osant pas déranger la brune assise par terre, elle ne put toutefois empêcher ses pieds de bouger le long de la clôture, se rapprochant un peu d'elle, afin de mieux voir le manèges des oiseaux.

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Si ce n'était pas la première fois que je venais dans la zone de soin aux créatures magiques, c'était la première fois que j'en voyais dans l'enclos. D'habitude, elles étaient dans leurs abris.
Du coup, observer les oiseaux dorés en train de voler était hypnotisant.
Je ne savais même pas qu'il était possible d'avoir accès à l'enclos...

Lorsque l'occupante humaine de l'enclos s'était retournée à mon bonjour, je la reconnus alors. C'était la préfète en chef, enfin, l'ancienne. Si je ne me souviens plus de son prénom, j'ai en mémoire son nom de famille, le même que l'infirmier, O'Belt. Oh, mais je me souviens d'une chose, elle est passionnée de sport sur balai. Elle a participé au match contre Serpentard en novembre dernier et à la course de balai organisée pendant les vacances.
Par contre, elle ne semblait pas voir discuter lorsque je la vis se retourner observer les oiseaux qui finirent par se poser sur une branche.

- Ce sont des vivets ? Ils ont été remplacés par le vif d'or au Quidditch, c'est ça ?, ne puis-je m'empêcher de dire à l'ancienne préfète en chef.

Puis, je me tourne vers l'autre élève. Pas besoin de faire les présentations, on s'est rencontrées sur le chemin de traverse lors de nos achats pour notre première rentrée à Poudlard.
- Salut Constance !, dis-je à voix basse pour ne pas déranger les volatiles. Tu t'ballades aussi ?

La Poufsouffle lui avait rendu sa salutation à mi-voix et Ennis avait repris son observation dans le silence... ou presque. Presque parce que l'enclos ne pouvait être parfaitement silencieux. Un peu plus loin, il y avait des sons en provenance des espaces dédiés aux autres créatures, un bruit de fond en provenance du parc, le vent dans les feuilles des arbres, le pépiement des vivets qui volaient ou s'étaient posés ça et là non loin... Mais aussi la voix d'une des deux filles. Celle qui était la plus proche d'elle, la Serdaigle qui semblait être bien moins timide que celle restée en retrait.

La préfète avait bien entendu le son de sa voix, mais perdue dans son retrait, elle prit du temps à comprendre la portée des mots prononcés. Elle répondit donc avec un temps de retard, sans quitter les petits oiseaux vifs à souhait des yeux. Du moins, un en particulier, celui qui était en vol actuellement. "C'est exact." Répondit-elle sans donner plus de précision, après tout, on ne lui en demandait pas. Et puis très vite, l'attention de celle qui l'avait salué en première se détourna de la sixième année.

Cette dernière capta un prénom, celui de la deuxième fillette, avant de décrocher tout à fait de la conversation. Le vivet venait de se posé là, tout poche, sur une racine d'un arbre qui avait été abattu pour une raison qu'elle ignorait, peut-être parce qu'il s trouvait sur la trajectoire du grillage et que la barrière magique en aurait pâtis. Ou bien c'était parce qu'il n'était plus là que l'enclos avait été construit ainsi. La petite créature semblait la regarder, elle était trop loin pour la toucher, mais le regard châtain d'Ennis était hypnotisé par l'oiseau à peine plus gros qu'un vif.

Alors que leurs regards se croisent, Erin la salue et lui demande si elle aussi se balade.
- Salut Erin, oui, tu vois j'aime bien de temps en temps passer par les enclos, observer les petites créatures y habitant. Je les trouve tellement fascinantes ! De temps en temps, on peut les observer tranquillement. Mais tu vois, ces oiseaux là, enfin, les vivets dorés, je ne les avais jamais vu encore.

Cela n'était un secret pour personne, enfin pour toute personne la connaissant un tant soit peu : Constance s'était prise de passion pour la faune depuis qu'elle est petite et les créatures magiques depuis qu'elle en a connaissance, c'est-à-dire depuis sa découverte du monde magique. Elle n'avait qu'une hâte : commencer les cours de soins aux créatures magiques. Et heureusement pour elle, ce serait le cas dans quelques mois.

Voyant que la Grande restait silencieuse, après tout elle s'était contenté d'une réponse succincte pour Erin, la jeune Poufsouffle se dit que tout de même, sa camarade avait obtenu une réponse. Elle pouvait peut être, elle aussi, questionner leur aînée. De toute façon, si celle-ci se sentait dérangée, elle leur ferait savoir.

Située à quelques pas de celle assise par terre, Constance prit son courage à deux mains et d'une voix claire mais pas trop forte, osa l'aborder :
- Excuse-moi, je ne veux pas te déranger hein et n'hésite pas à nous le dire si c'est le cas mais... j'imagine que tu es là parce que tu as eu l'autorisation d'un prof, sûrement pour une bonne raison. Est ce que tu viens les observer là, aussi près car tu les étudie ? j'veux dire, comme un exposé ?

La châtaine lui sourit gentiment, espérant là qu'elle ne s'est pas montré trop imposante. Aussi bien elle était très curieuse de nature, autant elle n'aimait pas déranger les gens.

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L'ancienne préfète-en-chef avait donné une réponse plus que brève à ma question. Soit elle n'était pas bavarde de nature, après tout, j'avais déjà croisé quelques élèves timides et qui parlaient peu, mais je voyais pas ce genre de personne devenir préfète. Soit elle n'avait pas envie de parler. Peut-être était-elle dans l'enclos pour un travail de cours et ne voulait pas être dérangée.

Je réponds à Constance, gardant une voix basse, espérant ne pas trop déranger la Gryffondor.
- Moi aussi j'viens d'temps en temps. D'habitude, j'les regarde quand elles sont dans leurs abris... C'est la première fois que j'en vois dans l'enclos., commençais-je à dire avant de m'interrompre un court instant pour réfléchir à la présence de l'élève dans l'enclos. Faudrait qu'j'me renseigne... p'être qu'il faut être en troisième année pour y avoir accès..., continuais-je en marmonant, me parlant plus ou moins à moi-même.

C'est alors au tour de Constance de s'adresser à l'occupante de l'enclos. Apparemment, elle s'interroge également sur la présence de la plus âgée. La réponse m'apportera peut-être quelques éléments sur les conditions d'accès à l'enclos. Sinon, je devrais attendre de croiser mon directeur de maison dans la salle commune, puisqu'il s'agissait du professeur de soin aux créatures magiques. Ca ne peut être que lui qui donne les autorisations.

Je décide alors de m'éloigner de quelques pas pour trouver un endroit où m'installer, mais je prends soin d'avoir les oiseaux en vue.
Une fois assise, j'ouvre mon sac pour en sortir mon carnet de dessins que je commence à feuilleter. Sur les pages blanches, j'avais tracé les contours de quelques créatures.

L'instant était totalement hors du temps. Littéralement coupée du monde extérieur, l'instinct d'Ennis lui soufflait de ne pas bouger et d'attendre que la créature se déplace la première. Quelque part au fond d'elle même, elle espérait que ce serait vers elle, même si elle n'y croyait pas trop. Les vivets étaient des oiseaux timides voire craintifs en ce qui concernait le genre humain. Alors la châtain patienta, le petit animal doré pencha la tête d'un côté, de l'autre, et en une fraction de seconde, il était reparti dans les hauteurs et la sixième année - malgré sa déception qui s'était manifestée par un léger affaissement d'épaule - le suivi du regard jusqu'à ce que la voix de la fameuse Constance ne lui parvienne.

De nouveau, elle tourna la tête vers sa camarade qui venait de lui poser des questions sur s présence dans l'enclos alors que la deuxième était partie s'installer un peu plus loin. "J'ai demandé au professeur Dawson s'il était possible de venir en effet. Je souhaitais simplement les observer en liberté relative." Pour le reste, elle fit un signe négatif de la tête. Non, elle ne préparait pas d'exposé et ne les étudiait pas plus que cela. Elle était juste venue chercher du calme. Elle l'avait plus ou moins expliqué à son enseignant. Ça n'avait pas été dit clairement bien entendu, qu'elle voulait s'isoler avec la quasi certitude de ne pas être dérangée, des mots couverts que peut-être il avait décodé, ou pas.


@Jae Dawson pour mention