Merinda avait du boulot aujourd'hui. Elle devait... nettoyer la cage d'un élève ? Oui, c'était bien ça. Le pauvre quand même, la cage avait l'air toute petite, il ne devait pas beaucoup bouger.
Le Professeur Dawson l'avait enfermé car il avait démissionné de son rôle de préfet au bout de seulement quatre jours. Alors que la jeune fille passait par là, le professeur était en train de demander de l'aide. Elle s'était donc proposée.
Mais en entendant ce qu'elle devait faire, avec Gaby, elle faillit exploser.
"Nettoyer la cage ? chuchotait-t-elle à la Gryffondor, presque trop fort, ne sachant même pas si elle voulait ou non que Dawson l'entende. Dis, Gaby, il pourrait pas nous aider un peu là ? On n'est ni ses elfes de maison ni ses bonniches ! Pffff... encore un gars qui se la coule douce pendant que les filles bossent pour lui !"
La Serpentard s'empara d'un balai non loin, puis rentra dans la cage d'un air assez furax. Elle passa de grands coups en tapant le sol comme pour exprimer sa colère, mais réussit à sortir la poussière de la cage.
Dès que tout le ménage fut terminé avec Gaby, Merinda vit Valerion décorer la cage puis s'installer en nuisette à l'intérieur... non, sérieux ? Cette femme avait un réel problème, la métisse en était désormais certaine.

@Gaby Grange @Sixtine Valerion
J'ai beaucoup rigolé à écrire ce post, merci pour ce service !

En ce 1er avril, Hannah n'avait pas l'esprit à la fête, ni même à la farce. La quatrième année n'était pas non plus disposée à prêter main forte aux enseignants, mais elle avait tout de même laissé Vincent, son serpent en peluche pour qu'il se dégourdisse les écailles.

N'allez pas croire que Vincent n'était là que pour faire de la figuration ! Il avait écouté les instructions de Monsieur O'Lake avec attention. Puis, en guise d'approbation, il avait sifflé du bout de sa langue fourchue avant de s'approcher des différentes farces à disposition. Les plus simples étaient souvent les plus efficaces. Ainsi, Vincent enroula sa queue autour de plusieurs bombabouses pour s'en saisir. Il ne lui restait plus qu'à les disséminer un peu partout dans le château. Le serpent à sonnette prit pour cible le bureau du concierge, les toilettes des garçons et enfin l'entrée de la salle commune des Poufsouffle. Satisfait de sa petite excursion, Vincent rampa pour rejoindre sa maîtresse dans les cachots.


@Lancelot O'Lake

Sorcier'advisor, objectif 5 ★ ★ ★ ★ ★ !
Jae Dawson

Je fixe la cage, incrédule. Ce n'est pas possible quand même ! Était enfermé dans la cage un élève de Poudlard. Un préfet. Bon, je suis censée nettoyer la cage du détenu et la rendre brillante.
Bah c'est parti ! Je me remonte les manches et... Merinda ?
En effet, il semble que c'est l
a jeune Serpentard qui va m'aider a astiquer la cage pour le pauvre gars. Merinda fait une réflexion sur le professeur de Soins aux créatures magiques en disant que c'est un gros flemmard sexiste. Puis elle s'en va, furieuse et commence a astiquer la cage. Un peu déboussolé par son énervement si soudain, j'attrape un plumeau et enlève la poussière des barreaux de la cage.
Bon, c'est vrai que la demande du professeur est un peu... particulière, mais pas besoin de s'énerver autant. J'époussette toute la cage en sifflotant. Situation très étrange de nettoyer l'esprit tranquille la cage d'un être humain...
Une fois le travail terminé, je repose le plumeau a sa place et murmure :
-Très étrange...

@Merinda Swart
Merci pour ce service, quoi qu'étrange, assez drôle a écrire

C'était après s'être portée volontaire, après avoir reçu les consignes de ce service que la brunette se rappela quel jour il était : le premier Avril. La fillette n'avait donc pratiquement aucun doute sur la nature de ce service, il s'agissait d'une blague, jamais elle n'aurait jamais cru qu'un professeur viendrait chercher de l'aide parmi les élèves pour piéger leur collègue et encore moins leur supérieure. Enfin, maintenant c'était trop tard elle ne pouvait plus s'enfuir, la lionne espérait donc que la directrice ai un très bon sens de l'humour ou un goût prononcé pour les motifs très colorés et pas particulièrement assortis entre eux.

N'ayant pas le choix elle saisi un morceau de papier peint, celui qu'elle trouvait le plus joli parmi la ribambelle de motifs qui s'offraient à elle. Un peu de colle au dos et la Gryffonne plaqua le papier peint qu'elle avait dans les mains sur le mur avec le plus d'application possible. À défaut que le rendu final soit au goût de la directrice autant que ce soit bien posé et bien propre aux jonctions. La brunette répéta ces opérations en tentant d'accorder un petit peu les motifs qu'elle mettait à côté même si l'exercice était bien difficile comme chacun se distinguaient sans mal des autres.

C’est ce qu’on appelle être au mauvais endroit au mauvais moment. Quand j’entends les « toi » commencer à pleuvoir, je ne peux m’empêcher de tourner la tête par réflexe… mauvaise idée : quelques secondes plus tard, le « vous là bas » s’abat sur moi. Alors comme ça, j’ai pas l’air d’avoir déjà des projets en tête, avec mon balai en main ? Je cherche Lyam, avec qui j’avais prévu de me rendre au terrain d’entraînement, du regard pour constater qu’il a, lui aussi, été réquisitionné par la professeure de divination que je ne connais quasi pas. Je soupire.

Bon ben… si j’ai eu ma dose des histoires de philtre d’amour pour les dix prochaines années, je suppose que Miss Periwinkle et moi avons à présent un intérêt commun : que ça se termine au plus vite. Alors paradoxalement, je me dis que le mieux serait de ralentir les deux victimes de la potion, afin de laisser à la professeure le temps de disparaître.

Sortant ma baguette, je décide de distribuer une série d’impedimenta lorsque l’occasion se présente, entre les sorts de mes camarades.

Il n’est même pas encore particulièrement tard dans la matinée, et… Ça a déjà l’air d’être un sacré bazar dans le château. Bon, certes, c’est le premier avril qui veut ça aussi - Adam m’a d’ailleurs confié des poissons enchantés à plaquer dans le dos des gens à peine sortie de mon dortoir - mais j’ai l’impression que c’est encore pire que d’habitude.

Me retrouvant ainsi avec Bad, à qui j’ai pu glisser un des parchemins marins qui se déplace désormais dans son dos, nous sommes bien vite alpagués par Miss Periwinkle. Intriguée par l’appel de la professeure, je jette un regard au Serdaigle puis reporte mon attention sur les deux élèves en question. Il y a un Serpentard et… Argentella ? Mais qu’est-ce qu’elle fait là ?

Bon, je dois dire que les méthodes tentées par les premiers du groupe rassemblé par Miss Periwinkle - dont j’en connais pas mal, tiens - me laissent un peu perplexe, mais… Que faire ? Me concentrant plutôt sur la Poufsouffle, je la vois être soulevée puis ralentie par les tentatives des autres. Par contre, ça n’aiderait pas nécessairement la professeure mais la pauvre, quand elle va redescendre…

« Elasticus, » choisis-je donc en visant le sol sous ma camarade.

J'ai bien vu le regard suspicieux de l'enseignant. Et ouais, je suis un peu âgée, et alors ? Je ne suis pas la seule adulte a être serviable, faut pas se plaindre. Ce Padrec n'a pas l'air d'apprécier Sigmund; des que j'aurai fini j'irais sonder le botaniste pour savoir si il s'en rend compte. Je note que l'ancien Poufsoufle ne sait pas cuisiner; cela m'évitera une fâcheuse dégustation a l'avenir.

En dévalant les escaliers qui mènent au serres, je réfléchis rapidos à ma stratégie. On va parier sur l'affectif.

- Sigmuuuund ! Il y a un enfant qui est resté tout seul au Chaudron Baveur, ses parents l'ont oublié ou alors il s'est perdu mais ... il ressemble fort à ton Jonathan !

Comme ça le temps de faire une escapade au pub, Clare est tranquille pour un moment. Pfiou, je suis essoufflée alors ça a intérêt à fonctionner. Par Circée, je n'aurais pas du mettre ces talons. Que ne ferait t'on pas pour quelque centimètres de plus ...

HUM. Loin de moi l'idée de critiquer ce boulot mais... si tout à fait. Qu'est ce que fiche Ada dans une cage ? Ne me dites pas qu'elle s'est prise un A et qu'elle est allée s'enfermer dedans. Je vais finir par devoir appeler Jillian.

En plus Miss Valerion n'est pas patiente. Avec le plus de pédagogie possible, j'essaye de motiver Lest, enfin Ada à sortir de là tout seul. Toute seule.

- Ada ... tu viens ? J'ai trouvé ta plante et tu sembles lui manquer... viens, nous pouvons aller lui rendre visite. Et si c'est un élève qui t'a fait ça, j'appris de nouveaux maléfices en sortilège que je brûle d'essayer sur cet idiot. Par contre si c'est un prof ... en tout cas miss valerion est innocente, elle a juste envie que tu degages le plancher. De la cage. Mr Dawson ? Quel rancunier ! Tu veux qu'on laisse une plante invasible dans son bureau ?

Évidemment la partie belliqueuse envers les enseignants, je l'ai chuchote en gardant un bon débit de parole. Quiconques embête Ada risque des représailles de ma part.

Ce matin-là, Edmund s'était décidé à revenir voir les demandes de service des professeurs. S'il s'était laissé impressionner par le fait qu'on lui ait demandé d'utiliser sa baguette la dernière fois — alors qu'il pensait qu'on allait juste lui demander de manipuler quelques plantes — il avait fini par se faire violence et à revenir.

À présent qu'il était là, cependant, il regrettait son choix. Dans quelle situation s'était-il mis ?

Une professeure — celle de divination lui semblait-il, mais rien n'était moins sûr — avait débarqué et, sans s'arrêter, leur avait demandé à lui et quelques autres de se charger d'élèves qui la harcelaient à cause d'un philtre d'amour mal placé. Et soudain, comme si plus aucune règle n'existait, c'était devenu le chaos.

Edmund se concentra tant bien que mal pour ne pas prendre les jambes à son cou (sa professeure lui avait demandé son aide après tout...) et observa Argentella se faire soulever par les pieds, sa robe remontant par conséquent jusqu'à son visage. Mais quel était l'idiot qui avait eu une telle idée !

Ne désirant pas s'interposer et risquer de se prendre aussi un sort, Edmund se contenta d'articuler un « Wingardium Leviosa » sur le bas de la robe afin de la relever jusqu'aux chevilles et couvrir ainsi la pauvre Poufsouffe toujours suspendue en l'air.