TW : Ce RP impliquera du harcèlement moral et/ou physique. Vous lisez en toute connaissance de cause.

PV @Redose Omniak

Encore somnolant de sa nuit, le petit était descendu prendre son petit déjeuner à la table des rouges, comme à son habitude. Enfin, pas vraiment. Habituellement, il allait manger avec ses amis à Serpentard et Serdaigle mais ce matin-là, il eut la surprise de ne voir aucun d'entre eux. Peut-être avaient-ils déjà mangé. Déçu, il resta un instant debout dans la grande salle à observer les petits groupes d'élèves éparpillés sur les quatre immenses tables. Il se sentit donc obligé de s'asseoir à la table de la couleur de sa cravate.

Après quelques coups d’œil, il repéra une place tranquille assez éloignée de ses camarades afin d'éviter leurs réflexions. Sa solitude faisait de lui une cible facile, il le savait pourtant il ne voulait pas retenter de discuter avec les autres de son âge. Il avait trop l'impression d'être jugé. Et puis, il voulait éviter les Gryffondors plus âgé, s'étant déjà fait menacé par deux quatrième année le mois dernier.

Un fois assis sur le banc, il se servit deux bouts de pain grillés recouverts de pâte à tartiner au chocolat. Il remplit son verre de jus d'orange puis attrapa une petite branche de raisin pour se donner bonne conscience. Son père l'aurait forcé à manger plus de fruit, mais heureusement pour lui et malheureusement pour sa santé, il n'était pas là. Croquant dans sa tartine, il savoura le croustillant de son petit pain encore chaud de la cuisine.

Si habituellement je sors me rafraîchir le matin, souvent en allant au lac, aujourd'hui...
Bah aujourd'hui, c'est différent tu vois ? Aujourd'hui j'veux pas aller dehors et pour cause, bah j'en ai pas envie voilà tout.

Je sais pas trop quoi faire alors j'me balade, d'abord je monte, puis je descend, je me balade je descend, je descend un peu trop, les souterrains y'a pas mieux, sombre, humide, ça me rappelle chez moi.

Je remonte je contemple, les sabliers sont très beaux, si seulement ils étaient utiles. C'est drôle comme le château est vide on aurait dit que tout le monde est morts, ce serait fou si la nourriture était empoisonnée et que seuls les gens qui ont pas mangés se retrouveraient pour constater ce léger incident. Mais bon. Je serais probablement pas là pour voir ça si ça se passait.

En parlant nourriture je sens de la bouffe, normal y'a la grande salle à côté et même si j'ai pas l'habitude de prendre un petit déjeuner ou plutôt de prendre un petit déjeuner et de le manger ici j'ai pas tip top envie de sortir et un peu de changement ça tue pas.

Y'a de minuscules groupes à chaque table c'est trop mignon on dirait des insectes qui se regroupent autour d'une charogne. Y'a quelques petits solitaires bien sûr et je m'en approche sans le vouloir de l'un deux.
Me voilà derrière lui, une tartine avec de la pâte à tartiner, ça n'est pas très sain surtout pour un tout petit, minuscule, ridicule, morveux.

Allez, je te prends celui dans les mains et celui devant toi, j'en fais un sandwich et je le mange, faut pas gâcher après tout.
Je m'en vais sans trop prêter attention à lui, à ce qu'il pourrait dire ce petit gryffon, je prends deux grosses grappes de raisins pour lui donner, faut dire, ça c'est bon pour la croissance et pour le cœur.
C'est ma sœur qui me l'a dit.
Je reviens vers le tout petit, minuscule, etc., je pose une grappe devant lui et une sur sa tête.

- Mange. C'est bon pour ta santé et ton cœur contrairement à cette pâte à tartiner, mauvaise pour ta santé et surtout, pour ton cœur, t'es un gryffon, t'as besoin de ton cœur non ? Mais attention, si tu fais tomber la grappe, tu ne mangeras plus, ou du moins jusqu'à ce qu'on te répare tes dents, je déteste quand les gens font tomber de la bouffe.

Je pouvais pas voir ses yeux, je les avais pas vu quand j'ai prit ses tartines non plus mais tant pis, j'ai confiance en lui, je suis sûr qu'il peut manger sans faire tomber la grappe de sa petite caboche et au pire... Au pire c'est pas siiiii grave, fin peut-être un peu pour lui mais bon, c'est que des dents, ça repousse.

@Lance Blacksword

- Hé !

Surpris dans son petit déjeuner, le petit fut tout d'abord confus de cette intrusion dans son espace personnel. On lui avait piqué son petit pain. L'enfant ne savait pas s'il devait avoir l'air amusé ou en colère. Après avoir vu qui était l'auteur de sa braquage de tartine, le lionceau se détendit. C'était Redose, il le voyait souvent dans son dortoir et trainer de manière étrange dans la salle commune.

N'ayant rien contre lui, Lance n'interpréta pas ce premier échange comme quelque chose de sérieux. Il avait pu observer le comportement inhabituel du troisième année à plusieurs reprises. S'il était difficile de l'interpréter, généralement, il ne semblait pas spécialement animer de mauvaises intentions mais peut-être que le petit se trompait.

Interrompu par un objet posé sur sa tête, le lionceau passa sa main sur ses cheveux pour chasser l'objet inopportun. Et pourquoi on lui faisait la moral sur ce qu'il mangeait ! Son ainé venait littéralement de croquer dans ses tartines ! La grappe de raisin tomba sur la table devant quand il pencha la tête vers l'avant pour la retirer définitivement.

- Mé, Redose ! Rend-les moi ! dit-il en parlant de ses tartines.

Il n'avait pas le courage de s'en faire d'autre. Arriver à Poudlard impliquait d'apprendre l'autonomie mais préparer son propre petit déjeuner était quelque chose qu'il n'aimait pas faire. D'habitude c'était son elfe de maison, Harbey qui le faisait pour lui. Grognon, l'enfant se leva du banc pour tenter de les prendre des mains de son voleur.

Il a... Pas joué... À mon jeu ?
Je sens mon visage se raidir, mes yeux s'écarquillent, je le fixe d'un regard qui moi-même me ferait pâlir, je peux pas m'en empêcher il a pas joué à mon jeu.
J'lui avait confectionné un jeu grave simple, il aurait pu simplement manger sa grappe sans faire tomber celle sur sa tête, juste bouffer des raisins, c'était trop dur pour un membre de Gryffondor ?

Je m'empare de la grappe et je mords dedans, je prends tout les raisins que je peux et avec les pépins, je continue, encore quitte à bouffe une branche. Je laisse la grappe avec quelques pauvres raisins.
Le regardant se lever essayant de me prendre MON sandwich.
Je ne peux m'empêcher malgré la raideur de mon visage et mes yeux écarquillés d'esquisser, non, ce n'est plus une esquisse mais un tableau entier que mon sourire ne pourrait alors remplir.
Je fixe l'enfant. Encore, encore. La main tendue au dessus de ma tête.

- Petit gryffon... Pourquoi ne veux tu pas jouer à mon jeu ?

Ca m'énerve quand on veut pas jouer à un jeu alors qu'il est simple.
Les gens sont d'un ennui... À moins qu'au contraire... C'était trop simple pour un membre de Gryffondor ? Hahaha oui ça doit être ça, c'était trop facile il a dû mal le prendre.
Mon visage se déraidit mes yeux se referme partiellement, mon sourire maigris.

- J'ai compris mon petit, tu l'as mal prit. Le jeu était trop simple, je te comprends tellement... Après tout, c'est trop simple pour un Gryffondor-en-devenir, pour un roi de la savane tel que toi... Quel jeu te plairait plus ?

Je remarque même pas que mon bras est tendu je suis trop concentré sur ce qu'il va choisir, j'ai hâte !

@Lance Blacksword voilà

La situation prenait peu à peu une tournure désagréable. Le lionceau ne souhaitait pas s'amuser avec son ainé. Son petit déjeuner, déjà gâché, ne pouvait pas durer indéfiniment et puis, il avait cours après. Le grand n'avait pas l'air décidé à coopérer alors Lance changea de stratégie. Ne connaissant pas particulièrement Redose, il tenta premièrement de l'amadouer.

- Steuplait, rend les moi ! J'ai cours de potion après et si je mange pas jvais rater mes trucs !

Le grand semblait décider à l’embêter et à dire n'importe quoi. L'enfant ne voulait pas jouer aux jeux suspect de Redose, ça, c'était clair. Il n'avait que peu d'apriori sur le Gryffondor de troisième année mais il avait tout de même noté ses comportements décalés avec le reste des autres élèves.

- Nan, je veux pas jouer à tes jeux bizarres. Arrète ! Le petit avait désormais l'air bien contrarié.
Pourtant, son champs d'action restait limité. Fallait-il partir et abandonner le fait de manger ? Résister à Redose et s'affirmer ? C'est ce que ses amis lui diraient de faire mais en observant les quelques centimètres qui les séparaient en taille, le peu de courage qu'il possédait s'était complètement évaporé.

Finalement, il se décida à tenter de sauter pour atteindre le sandwich qu'avait fait Redose avec ses tartines. Avec un peu d'impulsion, il avait peut-être une chance de l'attraper avec qu'il le dévore à sa place. Zut, avec sa baguette, s'il écoutait un peu mieux en cours, il pourrait le récupérer d'un petit sortilège.

Mais crotte de bique et biquabrac ! Quel genre de petit con faut être pour refuser de jouer quoi ! Surtout quand ta gueule d'ange bien assemblée bien en place en dépend ? Sérieux quoi...
J'ai envie, j'ai pas envie, nyanyanya blablablabla, QU'EST-CE QUE JE M'EN FOUS ?

C'est MON jeu bizarre et ceux qui y sont invités sont en fait convoqués ! Sérieux, quel rabat-joie.

Le regardant d'un regard hautain, sans plus de sourire, parce que je suis embêté.

Redose contemplait l'étendue du pathétique de l'enfant essayant d'atteindre son petit déj et le prit comme une insulte, pensait t'il sérieusement que Redose était un sentimental, un idiot qui abandonne face à une volonté contraire à la sienne ? Après un petit moment, il sortit sa main gauche, la déformée de sa poche et attrapa le col du petit gryffon avant de le balayer.

- Il me suffirait de lâcher ton col pour que tu te retrouves par terre, si tu te retrouves par terre je te vole ton sac et je le cache, si tu me contraries encore je cache ton sac et tes affaires à des endroits différents.

Je repris un sourire malicieux.

- Mais. Si tu joues à mon jeu et gagne, je ne te ferais pas de mal, je te rendrais ton petit-déjeuner et te laisserais tranquille, je t'offrirais même, peut-être, une petite récompense, sois tu es d'accord, sois tu en pâtis.

Je regarde à droite et à gauche, et sans perdre de temps j'ajoute à mon ordre quelques mots que je ne peux m'empêcher de sortir.

- Regarde moi ces pathétiques larves, ils ne lèveraient pas le petit doigt si j'étais là à te casser la gueule... Pitoyable... Comptes pas sur eux, ne comptes que sur...

Je marquait une pause dans l'excitation, car ma phrase était trop cool, mon sourire s'accentua rapidement, fortement.

- Moi...

@Lance Blacksword déso pour le retard !

La panique prenait enfin possession de ses moyens. Conscient de sa faiblesse physique par rapport à celle de son assaillant, Lance se figeât lorsqu'il fut attrapé par le col. S'il avait voulu, il aurait peut-être pu se détacher de son étreinte mais il aurait probablement finit par terre et vu la taille de son ainé, ça allait faire mal. Paniqué, il attrapa le bras qui le tenait par le col pour ne pas être lâché. La mine qu'affichait Redose avait changée.

- Euh... Mais, mais... l'angoisse le faisait bafouiller, le petit n'arrivait plus à aligner deux mots.

Mais c'est lorsque Redose désigna les gens autour d'eux que Lance se rendit réellement compte de la situation. En effet, personne ne s'était levé. Personne ne viendrait l'aider. Si Redose le voulait, il lui péterait les dents et rien n'en ressortirait à part peut-être quelque coups d’œil discrets et un soupir agacé par le bruit.

A Poudlard, personne ne viendrait le sauver. Il n'y avait qu'à voir la dernière situation en salle commune. Personne ne voulait de lui. Au moins, Redose avait reconnut sa présence. Il n'y avait que lui qui était allé le voir au petit-déjeuner. Mais que faisait ses amis ? Ils n'étaient pas là. Lance les imaginait ailleurs, parti s'amuser tous les trois sans lui. Oui, Lance était définitivement tout seul. Seul avec Redose. Redose et son esprit tourmenté. Redose et son sourire méchant. Redose et sa main qui déciderait si Lance s'étalerait au sol ou se rétablira sur ses jambes.

Encore trop choqué pour pleurer, le première année resta donc figé sans réussir à réagir d'une quelconque façon. Qu'est-ce qu'il y avait à faire de toute façon ? Seul Redose déciderait de son avenir proche désormais. Il en avait prit la charge.

L'édit vient de la correction d'une petite faute d'orthographe, ne faites pas attention.

Ennis n'avait pas cours le mercredi matin aussi était-elle arrivée sur le tard au petit-déjeuner, alors que beaucoup de ses camarades quittaient les lieux pour être à l'heure en cours. La septième année avait, pour une fois, mis son réveil un peu plus tard et surtout, prit un peu plus de temps pour se préparer à une séance de sport et de méditation.

Une fois dans la Grande Salle elle s'installa assez naturellement à la table de sa maison auprès de son meilleur ami arrivé un instant plus tôt et commença son petit déjeuner sans trop se soucier de ce qui pouvait bien se passer autour d'elle. Les autres élèves étaient en proie à des discussions diverses auxquelles elle ne prenait pas part, préférant se concentrer sur son repas en s'isolent presque déjà dans sa bulle pour l'heure ou heure et demi à suivre.

Sauf qu'il y avait des murmures qu'il était difficile d'ignorer. Certains de ses voisins semblaient indiquer tous une direction dans laquelle la préfète se décida finalement à diriger les yeux. Des yeux qu'elle ne put qu'écarquiller sous la surprise de la scène qui se jouait et qui demandait qu'elle agisse assez rapidement puisqu'un premier année avait été attrapé au col par nul autre que Redose Omniak qui n'était pas le plus posé de sa maison.

La future étudiante - elle l'espérait - se leva d'un bond et se rendit jusqu'au duo, faisant un geste qu'elle détestait recevoir, t posa sa main sur l'épaule du plus âgé. "Pose le et lâche le Redose, je pense que ça vaudra mieux pour toi." Le ton était volontairement autoritaire, c'était qu'il devait comprendre qu'il avait des ennuis.

Tu te rends compte mon petit, de la faiblesse qui t'habite. Sans les autres tu te sens seul et faible, mais même avec les autres tu l'es.

C'est drôle, on dirait qu'il fait le mort, remarque c'est une bonne réaction de survie, si j'étais aussi con qu'un ours brun.

J'entends des pas, pas trop lourds et la personne a pas annoncée sa présence, ça m'étonnerait que ça soit un prof, l'une des personnes du publique s'est-elle décidée à intervenir, que c'est excitant. Je me demande de quelle manière va-t-elle s'y prendre, m'attaquer ? Me "raisonner" ? Ou simplement admirer de plus près on sait jamais avec les gens et je suis le mieux placé pour le savoir.

Puis je sentis une main sur mon épaule, décidemment, si la personne se voulait diplomate, c'est raté. Ca veut dire un adversaire ? Trop cool !
Moins cool une fois que j'ai entendu le son de sa voix, madame Eeeenniiiiiiis... Tamtamtamtamtam ! OOOOO' BEEEELT ! Aka une préfète, je crois qu'elle est en septième année, ouai bon, j'ai aucune chance de gagner ce combat et ça tombe bien car je suis pas assez bête pour m'attaquer à une préfète.
Après tout c'est un peu comme... Le petit chienchien de monsieur Candide.

Elle avait un ton autoritaire, c'est assez mignon d'un côté et d'un autre ça fait son effet.
Et c'est tout sourire que je répondais alors qu'elle était toujours derrière moi.

- Chère préfète, si je le pose sans le lâcher ça serait étrange, si je le lâche sans le poser il se fera mal, il va de soi que si je fais l'un je ferais l'autre, mais ça signerait sa défaite à notre petit jeu.

Le tenant toujours, je semble avoir eu un éclair de lucidité, qui me dit qu'il vaudrait mieux la fermer et le lâcher, ou le poser ? Attends c'est quoi déjà. Oui c'est les deux. Bon. Voilà, c'est fait, d'abord je le pose sur ses deux jambes en le ramenant proche de moi et ensuite je le lâche voilà, j'espère juste qu'il va pas s'écrouler ce grand petit bonhomme de papier.

- Mais si tu insistes ma chère préfète, le voilà posé et lâché.

Me retournant sans perdre mon sourire de serpent. Droit dans les yeux avec il capo di gryffys.

- Comme tu peux le voir, tes désirs sont des ordres, et tes ordres sont... Des ordres ?Le voilà sain et sauf, comme il l'aurait été dans tout les cas crois-moi, il l'aurait été dans tout les cas.

J'avais volontairement insisté sur le mot "tout" parce que j'avais pas prévu de le tuer non plus, tomber et faire une petite chasse au trésor ça n'a jamais tuer personne... Sauf peut-être des survivants de crashs d'avions mourant de solitude après avoir chercher d'autres survivants, mon Dieu Red, quelle imagination !

Redose continuait à sourire à Ennis malgré ce la tête qu'elle tirait.

@Lance Blacksword et @Ennis O'Belt voilà, désolé pour le retard !

Le petit était encore suspendu par le col quand un ton autoritaire vint modifier la situation. C'était Ennis. Le garçon la reconnaissait, d'ailleurs pour lui, elle était l'image même de Gryffondor. Difficile de voir ce qu'il se passait de son point de vue, mais toujours est-il qu'il fut relâché sur ses pieds par Redose. Le lionceau entra en contact avec le sol et se rétablit tant bien que mal. Au moins, il avait atterri debout.

Oh, au vu de la mine qu'affichait Ennis, ça sentait les ennuis. Si le petit aurait pu la voir comme une sauveuse face au calvaire qu'il endurait et allait endurer, ce n'en fut rien. Confus, dans l'esprit de Lance, elle n'annonçait rien de bon. Au mieux un avertissement, au pire, ils devraient parler aux professeurs. Cette deuxième possibilité inquiétait le petit qui tenta tant bien que mal de désamorcer leur situation.

- Salut euh... Ennis. On jouait... C'est tout. Ce n'était pas vraiment réaliste. Redose jouait, lui pas vraiment.

Le petit réprima ses tremblements en serrant ses mains l'une dans l'autre derrière son dos. Il ne fallait pas qu'elle croit qu'il avait eu peur. Après tout, les Gryffondors étaient les courageux, non ? M.Charleston a dit qu'il allait finir par trouver son courage un jour ou l'autre. C'était peut-être maintenant. Il fallait absolument faire comme si tout allait bien.