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21 déc. 2023, 00:13
La famille au centre de tout  PV. OL. 

DOMHALL O'BELT - 14/09/2026

MARDI 24 DÉCEMBRE 2047

Domhall venait d'arriver par transplanage dans une ruelle déserte de Cork qu'il n'avait pas visité depuis un peu plus d'un an. Enfin plus que la ruelle c'était cet endroit de la ville qu'il 'avait pas arpenté depuis un an puisque c'était dans le quartier où vivait les parents d'Owen. Et là dernière fois qu'ils étaient venus, la réaction d'Heaven avait été... abrupte. L'anglaise avait encaissée le coming out de son fils, bisexuel, mais aussi sa connaissance dans le même temps. Il était tout à fait en mesure de comprendre que ce n'était pas facile, de voir s'envoler les projections de vie qu'elle avait pour elle et par extension pour lui. C'était humain. Quand bien même ça avait été particulièrement compliqué à vivre pour son compagnon.

Et en parlant de lui, le corcagien venait d'arriver. Il était resté à l'appartement pour s'assurer que tout irait bien pour Edwin. L'adolescent partageait leur quotidien depuis l'été et il avait été convenu qu'il était encore bien trop tôt pour le présenter aux parents de son compagnon. Le Serpentard passait donc la soirée avec Diarmuid qui lui fêterait Noël dans sa belle famille le lendemain. Autant dire qu'Owen devait être au moins aussi stressé que son demi-frère. Aussi, il le rejoignit bien vite et, alors qu'il venait tout juste de faire quelques pas dans la rue, le châtain attrapa la main de son conjoint pour l'inciter à lui faire face. "
Ça va aller." Lui dit-il les yeux dans les yeux, sûr de lui, songeant autant à leur deux frères qu'à leur propre soirée. Sa main gauche, dénuée de gants mais encore tiède puisqu'il n'était dehors que depuis peu, vint se poser sur la joue de son aîné. Il y frotta son pouce dans un geste réconfortant et lui sourit avant de joindre leurs lèvres un bref instant.

C'était l'avantage de se trouver dans un quartier purement moldu, la liberté de ce genre de gestes. Sans craindre que cela puisse remonter à des oreilles qu'il valait mieux tenir en dehors de tout ce qui pouvait toucher à leur vie privée. Il s'écarta du deuxième irlandais puis lui tendit sa main pour la prendre dans la sienne jusqu'à se trouver à quelques pas de la porte d'entrée.



@Owen Locke

7ème année RP - Préfète-en-Chef inRP de 09/47 au 05/01/48 - Préfète RP de 09/44 à 06/47 et de 01/48 à 04/49- Avatar par A. Davis

14 févr. 2024, 00:18
La famille au centre de tout  PV. OL. 

Tyler Locke


Heaven Grey


Dire qu’Owen était nerveux était un doux euphémisme. Entre laisser son frère seul avec Diarmuid et revoir sa mère pour la premièr fois depuis qu’ils s’étaient quittés dans des circonstances douloureuses il y a un an de cela, il n’avait pas la conscience tranquille. Bien sûr, il était tout de même bien plus confiant et serein vis à vis du fait de passer le réveillon chez ses parents, mais il avait peur du regard de sa mère. Peur d’un nouveau rejet. Et si jamais elle pensait avoir digéré la nouvelle mais qu’en les voyant de nouveau tous les deux ce n’était pas le cas ? Cela pouvait arriver après tout. Mais il voulait y croire, il voulait lui faire confiance, alors ils s’étaient finalement décidés à y aller avec Domhall.

Et voilà qu’un transplanage plus tard, ils se retrouvaient dans cette même ruelle, à devoir parcourir le même chemin, frapper à la même porte et confronter les mêmes personnes, de nouveau autour d’un repas…comme une histoire qui se répétait. A la différence que ses parents savaient à présent, qu’il avait le soutien de son père et que sa mère disait l’accepter, à la différence que l’initiative venait de ses parents et non de lui et Domhall. Peut-être réfléchissait-il trop tout compte fait. Se laisser aller… il ne fallu guerre plus de temps pour qu’il y parvienne lorsque son compagnon glissa sa main chaude dans la sienne, son propre regard venant alors instinctivement accrocher les prunelles de l’irlandais. Sans compter par la suite le mouvement doux de son pouce sur sa joue, main qu’il vint aggriper de la sienne tandis qu’il laissait Domhall l’embrasser.

Le bibliothécaire, qui avait fermé les yeux, ne les rouvrit que lorsque son - il l’espérait - futur mari, se sépara de lui car il était temps d’y aller. A cette pensée, son regard dériva automatiquement sur leurs anneaux, tandis qu’il glissait de nouveau sa main dans la sienne. Un léger moment de panique à la pensée de devoir exposer cette avancée dans leur relation à ses parents qui connaissaient les anneaux de fiançailles moldus … d’autant plus que cela c’était produit quelques semaines à peine après la première rencontre. Vent de panique qu’il ne cacha pas à Domhall lorsque son regard vint raccrocher le sien. Mais pour autant, il ne souhaitait pas l’enlever, pour rien au monde il ne le cacherai. Et il avait envie que ses parents sachent. Il avait juste peur de leur réaction et ne savait pas comment ils pourraient leur annoncer sans prendre le risque de gâcher un nouveau dîner. Mais les voilà qui arrivaient à hauteur de la porte, ils ne pouvaient plus reculer, tant pis, ils verraient bien ce qui se passerait. Ça va aller, répéta-t-il en écho à la phrase de Domhall prononcée quelques minutes plus tôt, pour se rassurer, les rassurer, tandis que son index venait appuyer sur la sonnette.

La porte s’ouvrit sans tarder, laissant alors apparaître une Heaven vêtue d’une longue robe noire chic mais également d’un tablier de cuisine et un Tyler toujours dans son style bien à lui mais qui avait - Owen le notait - fait un effort en mettant une chemise qu’il devinait gris clair par le col sous un pull col V… bien évidemment rouge. Entrez, entrez ! les invita sa mère toute excitée, accompagnant ses mots de grands mouvements de bras, avant de repartir en direction de la cuisine sans même saluer son fils, criant alors depuis là-bas : je suis désolée, je suis à vous dans deux minutes, je mets la dinde au four, j’ai pris du retard ! Ce à quoi Owen ne put s’empêcher de lever les yeux au ciel dans un sourire d’amusement. Par Merlin dans quoi s’était-elle encore lancée ? Tyler quant à lui leur réserva un accueil bien plus chaleureux, prenant tout d’abord son fils dans ses bras quelques secondes en lui murmurant un « Merci d’être venu » des plus sincères. Il serra en suivant la main de Domhall dans un grand sourire accompagné d’un « Heureux de te revoir ! ».

La porte se referma ensuite dans leur dos, et, une fois débarassés de leurs manteaux, le père Locke les invita à venir s’asseoir au salon, passant après eux et en profitant pour prendre des nouvelles de son genre. Ah que je suis heureux de vous revoir tous les deux ! répéta-t-il. Alors, Domhall, depuis tout ce temps, qu’est-ce que tu deviens ? Il se souvenait que l’an passé il étudiait l’art du bois ou des baguettes magiques, il ne savait plus trop, il était réellement curieux de savoir où il en était désormais dans son parcours.

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17 févr. 2024, 23:46
La famille au centre de tout  PV. OL. 
Il avait semblé à Domhall que son conjoint s'était accroché à sa main, celle qui était sur sa joue, comme pour se tenir hors de l'eau. Celle qui figurait son stress à l'idée de cette rencontre avec sa mère plus qu'autre chose. Il le comprenait tellement. C'était pour ça qu'il lui avait donné cette affirmation mais aussi cet amour, cette tendresse. Pou lui donner de la force et lui rappeler qu'il serait là en soutien, quand bien même lui aussi ressentait quelque peu d'inquiétude.

Alors qu'il proposait sa main au bibliothécaire pour reprendre leur chemin, il ne put passer à côté du regard de ce dernier sur leurs anneaux, leurs bagues de pré-fiançailles en quelques sorte. Ça devait aussi ajouter tout un tas de questions au corcagien sur ce qu'il devait dire ou non à ce propos à ses parents. Tout ce qu'il espérait en son fort intérieur, c'était que le plus vieux n'allait pas lui demander de l'ôter. Il faisait parti de lui maintenant et si, comme sa chevalière familiale, il la retirait pour travailler et dormir, en dehors de ça, elle restait à son annulaire gauche. Son compagnon n'en fit rien et le guida plutôt jusqu'à sa maison d'enfance où il appuya sur le bouton qui préviendrait ses beaux-parents de leur arrivée après s'être donné du courage. Le natif de Letterkenny avait fait une légère pression de la main pour lui assurer son soutien et la porte s'était grand ouverte sur Heaven Grey.

Quoique cela ne dura pas puisqu'elle retournait en cuisine telle une feu-follet, sans prendre le temps de les saluer. Alors celle-là, il ne s'y attendait pas tant et ça aurait pu le déstabiliser s'il n'y avait pas eu son éducation mais aussi l'intervention de Tyler qui prit son fils dans une étreinte, obligeant Dom à lâcher sa main. Main qui se retrouva à serrer celle de l'homme à qui il répondit: "
Moi de même," avec un sourire tout ce qu'il y avait de plus sincère. Le maître de la maison ferma ensuite la porte et les invita à déposer leurs manteaux sur les patères avant d'ouvrir la marche jusqu'au salon.

Sur le trajet, Dom lissa un pli imaginaire de sa chemise milleraies écrue plus par réflexe que par réelle nécessité avant d'aller s'asseoir avec Owen face à leur hôte qui engagea la conversation le plus naturellement du monde. Ce qui était appréciable et permit au jeune irlandais de ne pas tergiverser. "
J'ai passé ma soutenance de stage en juillet et j'ai eu mon diplôme dans la foulée. Ensuite j'ai vu avec mon maître de stage pour devenir employé chez lui à partir d'août. Je m'y plaît beaucoup. C'est chez Ollivander's, là où la plupart des britanniques achètent leurs baguettes." Il ne savait pas trop si Tyler avait ou non besoin de précisions à ce propos. Et il espérait ne pas le vexer en marquant là une distinction entre lui, le seul moldu de la maison, et les trois autres, sorciers. "Et vous Tyler, comment vous portez-vous? Votre travail au parc animalier se passe bien?" Il avait rebondit de manière assez banale, mais ça l'intéressait vraiment de savoir comment allait son beau-père de manière générale comme au travail.

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18 févr. 2024, 02:27
La famille au centre de tout  PV. OL. 
Un fois les saluations chaleureuses faites, les trois hommes s’était dirigés vers le salon, où régnait la pièce maîtresse des décorations de Noël de la maison déjà bien garnie : le sapin. Vêtu de ses guilandes, boules de Noël et autres décorations habituelles, l’étoile trônant à son sommet, il rappelait à Owen son enfance, un hiver en particulier. Son regard avait alors dérivé d’abord sur son père puis sur Domhall tandis qu’ils prenaient place dans canapé et fauteuils. Un jour, un jour il revivrait ce moment, en étant de l’autre côté de la barrière. Pas tout de suite, ils n’étaient pas prêts et des obstacles étaient encore en travers de leur chemin, mais un jour, il se le promettait.

Se faisant, Tyler avait lancé la conversation avec son gendre, curieux quant à son parcours. Diplômé et embauché ? Ses parents devaient être heureux de voir leur fils si bien réussir dans son domaine, lui-même était impressionné, cela pouvait se lire sur son visage. Chez Ollivander’s… il connaissait surtout de nom par sa compagne et son fils, mais il n’en avait entendu que du bien et la boutique semblait en effet assez réputée. Toutes mes félicitations ! avait-il alors enchaîné, tu dois être fier de toi et tes parents doivent l’être aussi, je suppose, de même qu’Owen ! avait-il ajouté en les regardant tour et à tour. Oh je le suis ! avait répondu sans plus attendre le précédemment nommé. Vraiment, avait-il ajouté en regardant cette fois son compagnon dans les yeux, regard à travers lequel passait amour et sincérité absolue, tandis que les doigts de sa main gauche entraient dans un bref contact avec ceux de la main droite de Domhall. Bref mais suffisament long pour que le père de la maison profite de ce moment d’intimité pour aller récupérer une photo sur le dessus de la cheminée, à l’intérieur de laquelle les flammes crépitaient et régulaient ainsi la température de la pièce pour avoir une douce chaleur. Une fois rassit, il s’éclaircit alors la gorge pour ramener les deux tourtereaux à la réalité. Toi qui travailles dorénavant chez… chez… flûte le nom lui échappait, tant pis, chez ce marchand de baguettes, tu ne peux pas passer à côté de cette photo… dit-il tout en la lui tendant. Owen venait d’acquérir sa baguette. Ce dernier se rémorant alors ce moment eu le rouge qui lui monta aux joues, un peu par honte, accompagné d’un « Papa… pas… » en gémissement. Mais c’était trop tard. Le petit garçon de onze ans qui posait comme son héros de comic préféré, reproduisant les ailes de chauve-souris en tenant les extrémités de sa sa robe de sorcier nouvellement achetée, l’une rabattue devant lui pour se donner un air mystérieux, l’autre grande ouverte, brandissant sa toute première baguette par la même occasion, le tout devant la façade plus que reconnaissable d’Ollivander’s, était dorénavant sous les yeux de Domhall.

Une fois les taquineries de bonne guerre et rire passés, le plus vieux de la maison avait alors repris la conversation sur un ton plus sérieux. Et sinon Domhall, tu… tu crois que tu accepterais de me montrer ce que tu fais ? Tes créations, je veux dire, si tu peux et veux, bien entendu, s’était-il empressé d’ajouter pour ne pas avoir l’impression de lui forcer la main. Je trouve ça fascinant, cette capacité à créer de toute pièces des artefacts si… puissants. Il était de plus en curieux, en témoignait son regard pétillant et… la requête, bien que délicate lui était venue naturellement. Après une courte pause, il répondit tout de même à la question que son gendre lui avait posé quelques minutes plus tôt. Quant à moi et bien… c’est la routine, on a eu la naissance d’un lionceau récemment, c’était LE grand évènement attendu depuis des mois. Ça nous as donné beaucoup de travail dans les premiers jours. Mais il est en parfaite santé ! Ne sachant pas trop ce que connaissais le sorciers de ces animaux, il n’osait pas trop s’aventurer plus dans les détails, par peur de rendre la communication compliquée.

L’arrivée d’Heaven depuis la cuisine avec plateau de boissons bien rempli pour qu’il y en ai pour tous les goûts tomba alors à pic. Dans un peu moins d’une heure nous pourrons passer à table ! annonça-t-elle toute fière. Elle avait déposé le fameux plateau sur la table basse entre le canapé et les fauteuils avant de venir s’asseoir aux côtés de Tyler, face au couple. Ah oui cette photo… ajouta-t-elle dans un sourire tendre en la voyant sur la table, tu étais si fier et si heureux ! lâcha-t-elle à l’adresse de son fils avant de se relever d’un bond. Oh pardon, je crois que je vous ai même pas salué et accueuilli comme il se doit avec tout ça ! s’exclama-t-elle alors tout en venant présenter une poignée de main à Domhall et une accolade à son fils. Peut-être était-ce aussi une certaine forme de nervosité qui était à l’origine de son hyperactivité ce soir là et de ses étourderies. Car si elle tentait de ne rien laisser paraître, au fond d’elle-même elle se sentait terriblement mal par rapport à la réaction qu’elle avait eu la dernière fois. Et devoir soutenir leur regard n’était pas un exercice évident quand bien même elle avait fait un gros travail d’acceptation de la situation. Car si à présent elle était prête à l’accueillir dans leur famille en étant heureuse pour leur couple, elle avait peur des reproches que l’on pourrait lui faire, peur qu’une forme de malaise s’installe. Aussi, une fois rassise, elle s’empressa de s’excuser, espérant que cela leur premettrait de repartir sur de nouvelles bases. Avant tout chose… je vous demande pardon. Pardon pour avoir si mal réagit il y a un an. Ce n’était absolument pas tourné contre vous… et je salue votre courage pour avoir franchi ce cap. Owen, je n’ai jamais si fière heureuse de voir épanoui ainsi, si sûr de toi, et je m’en suis beaucoup voulue de ne pas avoir su trouver les bons mots la dernière fois pour... L’émotion la gagnait mais elle restait maître d’elle-même… pour vous dire à quel point je suis heureuse pour vous et… mais vous savez c’est juste que, qu’en temps que mère, on ne peut pas s’empêcher d’imaginer le futur de nos enfants, qui par extension est aussi le notre, c’est humain. Alors quand tout ne se passe pas comme on l’avait imaginé… ça fait peur, et la peur paralyse. Je ne veux pas que vous m’excusiez, parce que nul pardon ne pourrait réparer le mal que cela a du vous faire, te faire, Owen, mais simplement que vous compreniez… que ce n’était pas du rejet, jamais je ne me permettrai une chose pareille. Et puis vous allez si bien ensemble tous les deux, conclua-t-elle la voix chargée d’émotion, dans un sourire, après une courte pause.

Owen, qui avait les yeux luisants, avait alors inconsciemment aggripé la main droite de son bien-aimé tandis qu’elle parlait. Bien sûr elle s’était déjà excusée dans sa lettre, mais avoir cette discussion en face à face avait une toute autre saveur. Les émotions étaient décuplées. Et après un bref coup d’oeil à son amoureux, avait essuyé les larmes de joie et de soulagement qui menaçaient de couler d’un revers de manche. Tyler, qui s’était simplement contenté d’écouter avec un sourire tendre à l’adresses des trois personnes présentes dans la pièces, venait alors d’en profiter pour demander les boissons respectives de chacun, servir les verres et porter un toast. Aux réconciliations, à votre bonheur… et à notre premier Noël… en famille !

Actions de Domhall vues avec la joueuse.

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21 févr. 2024, 18:22
La famille au centre de tout  PV. OL. 
En venant s'asseoir, Domhall avait observe la décoration en s'attardent sur le sapin. C'était un élément des fêtes de fin d'année qu'il n'avait pas connu enfant avant d'entrer à Poudlard et, s'il gardait une préférence marquée pour les ornements naturels - qu'ils soient composés par un artisan ou les enfants de ma famille - avaient sa préférence, il devait quand même avouer que ces conifères avaient une prestance indéniable.

Et puis très vite, la conversation avait été lancée et Domhall avait répondu avec plaisir à son beau-père qui le félicita avec une spontanéité appréciable. L'irlandais le remercia, c'était impoli de refuser ce genre de compliment et puis, ce serait mentir que de dire que ça ne lui faisait pas plaisir de voir l'homme sincèrement heureux de sa réussite, aussi jeune et verte soit-elle. "
Merci." Cela s'adressait au père comme au fils qui eurent droit à un regard de reconnaissance. Quoique celui à destination du deuxième avait probablement un éclat amoureux en plus. Un éclat complété par un léger mouvement de main pour accentuer le bref contact de leurs doigts.

- "
Mon père l'est. Je pense. Il est assez peu expansif mais c'est un des rares métiers d'artisanat qui soit bien vu dans son cercle." Et il n'y avait pas besoin de mots. Pas vraiment. Ça se lisait dans le langage corporel de Briac. Mais il était vrai que l'entendre faisait du bien. "Ma mère..." Le jeune homme tourna la tête vers Owen, tentant de capter son regard, "c'est... compliqué." Réussit-il à formuler, avant de revenir vers Tyler. Peut-être qu'un jour il parviendrait à s'ouvrir à lui sur sa relation avec Cathleen. Mais pas ce soir qui se voulait festif. Surtout que le vétérinaire revenait vers lui avec une photographie d'un Owen de presque douze ans qui le fit ouvertement sourire d'une oreille à l'autre. "Tu trouvais que Batman avait besoin de pouvoirs magiques?" Dit-il alors taquin à la version plus âgée de l'enfant avant de rire avec les deux autres, jusqu'à ce que l'aîné ne montre un nouvel intérêt à son travail. Ce fut à ce moment qu'il déposa le cliché sur la table.

- "
Ça ne me dérange pas de vous monter." Assura le jeune homme sans toutefois mentionner que les cadeaux qu'il avait prévu pour lui et Heaven, il les avait réalisés. Il le leur dirait au moment de s'échanger les présents. "Je pense avoir conservé quelques essais de mes études. Elles sont loin d'être parfaites cependant. Et je doute que Declan me laisse emporter une baguette hors de la boutique." Affirma Dom, quoiqu'il pouvait toujours demander à son patron, en s'arrangeant avec la vérité, forcément. Puis, il regarda de nouveau son compagnon. Il voulait lui demander s'il avait sa baguette dans son étui, pour lui montrer ce dernier. C'était lui qui l'avait fait après tout.

Il fut cependant interrompu dans son intention par la réponse de l'homme au sujet de son travail. Dom l'écouta avec intérêt. "
C'est plutôt une bonne nouvelle si tout va bien pour lui et sa mère." Ce n'était pas vraiment une question, mais pas vraiment une affirmation non plus. Ses connaissances en créatures et animaux étaient sommaires après tout. Au moins s'était-il fait accepté par Ophion. Grâce à sa benjamine, certes, mais au moins le serpent ne montrait jamais de signe d'agacement avec lui.

Puis, se souvenant avoir voulu demander à Owen de montrer son étui à baguette, il décrocha le sien de sa ceinture avant d'en ôter son artefact pour le tendre à l'homme. "
C'est moins impressionnant qu'une baguette, mais ça fait parti de ce que je sais faire." S'excusa-t-il avant de laisser Tyler observer les coutures et les décorations faite avec un jeu de teintures: des lettres choisies de l'ogham et des dessins celtiques. Sa baguette, il la posa en attendant devant lui, sur la table qui les séparait. Ce fut sur ces entrefaites qu'Heaven revint vers eux, un plateau de boissons en main pour entamer le repas. Elle le posa sur la table, Dom décalant sa baguette pour qu'elle puisse le faire en tout confort, avant de s'installer aux côtés de son mari et de commenter la photo puis de se lever d'un bond et de s'excuser de l'accueil express qu'elle avait pu leur donner.

Si cela avait pu décontenancer légèrement le jeune homme, il ne s'en était pas offusqué. Plutôt amusé de la voir feu-follet. Car même si leur dernière visite lui avait laissé un goût de méfiance, elle avait fait un pas vers eux. Et puis, la voir ainsi était objectivement assez amusant vu le contraste. Puis, comme elle venait vers lui pour lui serrer la main, il se leva également. Pas besoin d'avoir été élevé aussi strictement que lui pour savoir qu'il n'était pas convenable de rester posé sur son séant. Elle se dirigea ensuite vers Owen puis, et resta debout tant qu'elle ne fut pas elle-même assise. A ce moment là seulement il fit de même et l'écouta sans rompre l'échange de regard. Ce qui n'était pas aussi évident à penser qu'à faire compte tenu du discours. Car s'il était reconnaissant de l'entendre, il était aussi, au fond de lui même, assez douloureux de se dire qu'il n'était pas prêt de vivre le même mea culpa de la part de sa propre mère.

Il sentit alors la main d'Owen agripper la sienne. Ses yeux ne purent que lâcher ceux de celle qui s'exprimait pour tomber sur le lien ainsi formé. Il répondit par une légère pression de ses doigts avant de reporter son attention sur l'éleveuse de dragons qui terminait ses excuses et explication. Le châtain tourna la tête vers son compagnon, juste pour tenter de percevoir ce qu'il en pensait. De son côté, il lui fit un signe du menton vers le bas. Lui, il acceptait ses excuses. Mais le corcagien avait une implication bien différente auprès de celle qui l'avait élevée; sa mère. Il ne manqua pas les larmes qui perlaient dans ses yeux, qu'il essuya de sa manche avant que Dom se tourne vers Heaven pour souffler; "
Je comprends," juste avant que Tyler ne propose à chacun une boisson. Il récupéra son verre de vin pétillant puis le joignit à ceux des trois autres pour les entrechoquer en répétant les mots de son beau-père avant de regarder Owen, leurs mains toujours liées et d'avancer son verre dans sa direction pour trinquer à deux avant de faire une dernière pression de ses doigts et de lâcher sa main pour revenir vers la femme.

- "
Tyler nous parlait d'une naissance de lionceau. Qu'en est-il aux Hébrides? Les dragons se portent bien?" Demanda-t-il pour relancer la conversation et bien montrer qu'il voulait être acteur dans la dissipation du mauvais départ pris entre eux. Puis il remarqua sa baguette et son étui posés l'un à côté de l'autre sur la table et se permit de les récupérer pour les repositionner bien à leur place à sa ceinture. Autant pour libérer l'espace que pour combler le manque de ne pas avoir son catalyseur sur lui.

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06 mars 2024, 01:45
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Compte tenu de la réponse en demi-teinte que lui fournissait son gendre à propos de ses parents, et du regard que ce dernier avait lancé à Owen, Tyler ne put qu’en conclure qu’il avait touché une corde sensible et s’en voulait un peu. Il ne souhaitait pas créer de malaiser et encore moins gâcher cette soirée par des pensées négatives. Aussi, il s’était empressé de répondre un peu pataud, dans un sourire et compatissants. Désolé, je ne pensais pas que… enfin, voilà. Il ne savait pas vraiment quoi dire de plus sans rendre la situation plus embarassantes, aussi s’était-il empressé de déposer la photo de son fils qu’il venait d’aller chercher dans ses mains. Owen avait tenté de rassurer son père d’un bref regard avant de changer définitivement de sujet en s’offusquant faussement qu’il ose ainsi dévoiler ce passage horriblement gênant même si mignon de son enfance.

- Batman est le seul super-héros de DC-Comics qui n’ai pas de super pouvoir… donc en quelques sortes oui, je voulais lui en donner, avoua-t-il dans un sourire tout fier en réponse à son compagnon. Je… j’avais d’ailleurs appelé ma baguette la Batbaguette… je trouvais ça stylé de lui rajouter un gadget, ajouta-t-il juste avant l’intervention de son père qui retenait difficilement son rire. Oh je ne sais pas si te l’a dit mais il avait aussi appelé son lézard Alfred, comme le majordome et allié le plus précieux de l’homme chauve-souris en personne. C’était l’époque où sa vie tournait autour de cet univers ! Il nous l’a mis à toutes les sauces ! Owen ne put alors s’empêcher de rire aux éclats, entraînant alors père et compagnon. C’est vrai qu’en y repensant, pendant une bonne période il ne jurait que par ça… ce qu’il avait dû être lourd !

Et puis après avoir repris leurs esprits, Tyler, qui avait mené la conversation vers les créations de Domhall, écouta attentivement le jeune homme qui lui assurait pouvoir lui montrer quelques un de ses essais. L’homme d’une cinquantaine d’années qui avait toujours éprouvé une certaine curiosité à l’égard de ce monde qui n’était pas le sien était le plus heureux ! Cela pouvait se voir à travers son regard quand bien même il se contenta simplement d’hocher la tête pour le moment, attendant avec une impatience bien dissimulée de voir lesdits artefacts. Owen, lui, avait capté le regard de son compagnon. Il ne savait pas trop si son compagnon cherchait une validation quelconque avant de les montrer à son père, ou s’il voulait autre chose, mais dans le doute il acquieça d’un léger signe de tête.

- Oui, une très bonne nouvelle même ! Ophion se porte bien d’ailleurs ? demanda-t-il rapidement principalement à son fils, ne sachant si Domhall s’en occupait également. Ce à quoi Owen le rassura en précisant qu’il n’avait jamais été en si bonne forme que depuis ces derniers mois où il ne vivait plus en permanence dans le lieu froid, sombre et humide qu’est Poudlard. Cette réponse eu dont d’imiscer un doute et un certain nombre d’interrogations dans l’esprit de son père… ne vivait-il plus là-bas ? Où logeait-il donc ? Dans un nouvel appartement ? Dans quelle ville ? Vivaient-ils ensemble tous les deux ? C’est vrai après tout, ils n’avaient jamais eu l’occasion d’en discuter. Mais il garda cependant tout cela pour lui, Domhall sortant les objets qu’il attendait tant.

Admiration et fascination pouvaient se lire sur le visage du plus vieux tandis qu’il acceuillait dans ses mains, dans la plus grande délicatesse, l’étui à baguette. C’est magnifique ! laissa-t-il échapper tout en scrutant les moindre petits détails des ornements de l’étui. C’est ce moment là que choisit Owen pour également sortir le sien après avoir pris soin d’en retirer sa baguette qu’il posa à côté de lui. Il m’a créé et offert celui-ci à l’occasion de mon vingt-troisième anniversaire, précisa-t-il tout en tendant l’objet en cuir marron à son père. Ce sont vraiment de belles pièces, commenta Tyler en observant tour à tour les deux étuis en sa possession avant de les rendre à leur propriétaire respectif au moment où sa femme arrivait avec un plateau de boissons.

Le bibliothécaire eut un petit rictus lorsque sa mère commenta rapidement la photo encore présente sur la table mais sans plus. Il n’était pas à l’aise et dire qu’il appréhendait les interractions avec sa mère était un doux euphémisme quand bien la soirée avait bien commencé et lui avait permis de prendre confiance et se détendre un peu. Et puis même s’il avait l’habitude qu’elle courre dans tous les sens, cette excitation et précipiation dont elle faisait preuve le désarçonnait. Il ne savait pas à quoi s’attendre et appréhendait la suite. Très certainement avait-il tort, il le savait, mais il y avait toujours ce « Et si… ? » que l’on pouvait aisément accomoder à un certain nombre de scénarios pas des plus plaisants à imaginer. Les soudaines salutations le tirèrent de ses pensées, le laissant alors pantois. Il acceuillit la courte étreinte maternelle les bras balants, be sachant trop comment à réagir face à cette situation qui était à la fois plaisante, rassurante mais inconfortable. Dans un réflexe, il avait relevé ses bras à hauteur de son dos mais les laissant à une distance raisonnable, hésitant quant à la marche à suivre. Heureusement pour lui, sa mère ne l’avait pas fait durer plus de quelques secondes - qui lui avaient déjà paru être une éternité. Son inconfort aura très certainement été remarqué mais elle ne semblait pas lui en tenir rigueur, il lui en était reconnaissant.

Lorsqu’Heaven se rassit, Owen fit de même, tout comme Domhall visiblement, partenaire dont il était venu chercher la main lorsque la femme avait repris la parole pour leur adresser ses excuses. La pression des doigts exercée par ce dernier lui permirent de tenir bon et retenir les larmes de reconnaissance, soulagement, et joie qui perlaient au coin de ses yeux. S’il comprenait, il ne saurait pas le dire pour l’instant. Il lui faudrait encore du temps pour tout assimiler et accepter ces excuses et cette explication. Plus que blessé, il avait eu peur de la perdre, peur d’être de nouveau abandonné par sa mère, et il lui en voulait pour cela. Le « Merci » qui avait passé la barrière de ses lèvres grâce à la force qu’il avait pu puiser dans l’échange de regard avec son compagnon ainsi que le contact physique établi avec celui-ci n’était pour autant pas moins sincère.

Essuyant ses yeux humides d’un revers de manche tandis que son père relançait la conversation sur un sujet plus léger, à savoir le choix des boissons, Owen profita de ce moment de latence pour s’ébrouer intérieurement et se redonner contenance. Il était cependant encore trop ailleurs pour réfléchir à ce qui lui faisait envie, aussi se contenta-t-il d’un simple « pareil pour moi » lorsque Domhall se prononça. En famille ! répéta-t-il après son père tandis que les verres s’entechoquaient, sa main toujours fermement agrippée à celle de son - il l’espérait - futur mari. Seule une personne manquait au tableau ce soir là, son demi-frère, aussi eut-il également une pensée pour lui en prononçant ces deux mots. L’année prochaine peut-être… ils verraient. Se délectant ensuite de son vin pétillant après avoir entrechoqué de nouveau son verre avec celui de Dom, il écouta attentivement l’échange gendre - belle-mère, ses doigts se refermant sur sa propre paume comme pour tenter d’emprisonner la sensation et chaleur de la main de Domhall dans la sienne alors qu’il la retirait.

L’autre couple s’était contenté d’échanger un regard doux et heureux pendant ce même laps de temps avant qu’Heaven ne reporte son attention sur la question qui lui était posée. Les dragons se portent très bien oui ! Depuis quelques mois j’ai également une nouvelle responsable, très gentille, attentionnée et professionnelle, du nom d’Aki Davis, je ne sais pas si son nom te parlera. J’aime beaucoup travailler sous ses ordres, c’est une nouvelle dynamique qui fait du bien. C’était déjà très bien avec l’ancien responsable bien sûr ! Mais un peu de changement apporte un bol d’air frais plus qu’appréciable.

Elle fit ensuite dériver la conversation vers les évènements sorciers et moldus qui avaient eu lieu courant l’année écoulée, s’intéressant notamment aux répercussions que le changement de centre gouvernemental et les nouveaux décrets adoptés avaient pu avoir sur leurs vies respectives, le tout en prenant soin de rendre la conversation intelligible pour le seul moldu présent dans la pièce. Cela avait eu pour mérite de les tenir occupé jusqu’à ce que le repas soit prêt et que vienne l’heure de passer à table. Elle espérait sincèrement que ce dîner soit réussi !

Modérateur|#Abadass|#EkipFamily
“You know what’s cooler than magic ? Maths !” - Peter Parker
Avatar par Sigmund|#008080|Boys Band de Gryffondor

12 mars 2024, 01:23
La famille au centre de tout  PV. OL. 
- "Ce n'est rien." Avait-il soufflé pour rassurer Tyler avant que le sujet soit laissé de côté. Parler d'Owen et de sa passion dévorante pour les comics de Batman était plus plaisant pour tout le monde, y compris son conjoint, même s'il se trouvait être gêné par certains aspects. Et encore gêné, il donnait de lui même des informations particulièrement cocaces, quand ce n'était pas son père. "J'en apprends des choses ce soir." Dit-il avant de les accompagner dans leur rire, quoiqu'avec plus de réserve, parce qu'il était fait ainsi. Ophion fut ensuite rapidement mentionné par les deux Locke et Domhall acquiesça aux dires du plus jeune des deux tout en ajoutant que le reptile affectionnait certains spots de sieste lorsqu'il était en dehors de son vivarium. Ses genoux s'il était à son bureau, son ventre s'il était allongé pour lire, leurs oreillers si la voie était libre... Il ne les énumera pas à Tyler mais c'était les trois qui lui venaient en tête spontanément.

Par la suite, il sorti son étui à baguette et Owen fit de même pour montrer ce qu'il savait faire. Face aux précision du blond et à l'émerveillement du vétérinaire, il ne put s'empêcher de ressentir comme une gêne. Les compliments n'étaient pas légion chez lui et toujours teintés d'euphémismes. Heureusement qu'il ne rougissait pas facilement! Bon... et il savait dors et déjà qu'il ferait mouche avec le cadeau qu'il avait prévu pour lui. En espérant qu'Heaven soit aussi sensible que Tyler à l'artisanat. "
Merci." Accepta-t-il avec un signe de tête reconnaissant juste avant de pouvoir remettre étui et baguette à sa place et que sa belle-mère ne revienne. Le moment n'avait pas été simple mais il avait apporté du mieux possible son soutien à Owen. Très clairement, le corcagien aurait certainement eu besoin de plus que de ce contact de main à main. Mais il était malvenu d'aller plus loin dans les démonstrations affectives devant Heaven qui venait de faire de sacrés pas vers eux. Il laisserait donc son fiancé faire le premier geste en ce sens. Il lui tendit donc plutôt un verre de bulles pour que tous puissent trinquer. Et, même s'il ouvrit la conversation à propos de a réserve des dragons, il gardait un œil sur son aîné qui semblait un peu ailleurs.

- "
Aki Davis vous dites? Il me semble qu'Ennis a parlé d'elle quand je l'ai vu à Pré-au-Lard, des exposés et une visite à la réserve avec son professeur de Soins aux Créatures Magiques." Précisa-t-il avant de suivre les discussions que la seule femme de la soirée menait. Cela permit d'arriver avec facilité jusqu'au repas. Ce qui signifiait de se rendre à table. Domhall se leva mais retint Owen par la main pour laisser ses parents prendre un peu d'avance. "Ca va?" Chuchocha-t-il en faisant en sorte de lui faire face. Il posa ensuite sa main gauche se son épaule avant d'effectuer une légère pression et d'esquisser un sourire. Le châtain ne pouvait guère faire plus aussi l'invita-t-il silencieusement à reprendre le cours de son chemin, glissant simplement une main dans son dos avant de demander. "Heaven? Tyler? Il faut prendre nos verres pour la suite du repas?" Ces derniers étaient vides et il avait été habitué à ce que la vaisselle à table ne nécessite pas de réutiliser celle de l'apéritif, mais il avait aussi appris que ce n'était pas une habitue pour tous, notamment grâce à son meilleur ami. Alors s'il fallait les conserver, mieux valait les reprendre maintenant plutôt que de devoir se servir de la magie. Ou plutôt aller les rechercher.

7ème année RP - Préfète-en-Chef inRP de 09/47 au 05/01/48 - Préfète RP de 09/44 à 06/47 et de 01/48 à 04/49- Avatar par A. Davis