Mercredi 27 Février
15h08

Hashline, d'habitude si impatiente de se retrouver face au mur aux messages, aujourd'hui fait tout pour l'éviter.
Elle est anxieuse et mrche lentement dans les nombreux couloirs de Poudlard malgrès le froid de cet après-midi du 27 Février.
Le temps s'était radouçit lorsqu'elle pris son courage à deux mains et se dirigea à grande foulée voir si son messager secret lui avait répondu.

Et effectivement, arrivée devant le mur il n'y avait plus qu'un seul parchemin et il détenait forcément la réponse qu'attendait Hashline.
La boule au ventre, elle pris le petit parhemin, n'osa pas l'ouvrir dans un premier temps le faisant passer d'une main à l'autre lorsqu'elle se décida enfin à l'ouvrir d'un coup sec.
Elle lit le nouveau message et ne sut si elle devait sourire ou être totelement paniquée.
Un rendez-vous, il lui proposer un rendez-vous !

Elle aurais dut s'en douter, après tout c'était elle qui avait lancé la demande. Elle décida tout de même de répondre et d'accepter.

Salut,
Concerant le R.D.V pour moi c'est daccord.
Alors on peut se retrouver effectivement demain à 18h30.
Signée : Une fille (de première année) qui a drolement hâte de te rencontrer même si ça lui fait vachement peur.

Voilà c'était fait, elle avait accepter le rendez-vous pour le lendemain. Elle plia très soigneusement son parchemin et le glissa doucement dans la fente du mur.

Elle s'éloigna, en se diant qu'elle voulait vraiment que tous se passe au mieux.

À Toi @Kayan Pinepeak

Jeudi 28 février
Vers 18h20

Kayan se tient droit, près du mur aux messages. Il vient de lire la réponse de sa correspondante secrète, car il a évité le mur toute la journée. Mais il est trop tard pour revenir en arrière, il s’est donc rendu près de la fente du mur, dans l’espoir de trouver une réponse. Le fait de savoir qu’il écrivait à une première année l’a grandement rassuré.

Le gryffondor s’est habillé avec soin, pour ne pas donner une mauvaise impression. Il se sent stressé, sans savoir pourquoi. Après, il ne va que rencontrer sa correspondante, n’est-ce pas ? Ce n’est pas comme si il avait un examen hyper important ou quelque chose comme ça…

Le jeune garçon s’impatiente un peu. Il n’aurait pas dû venir trop tôt, il le sait. Mais bon, il ne peut plus retourner en arrière.

A chaque personne qui passe dans le couloir, il sursaute. Il regarde chaque fille de première année du coin de l’œil, se demandant si c’est elle qui lui envoie des messages par le biais de la fente dans le mur. Mais aucune ne s’arrête.

Je dois avoir l’air stupide, d’attendre ici, droit comme un piquet, sans aucune raison apparente.

Finalement, l’angoisse est trop forte. Il s’assoit à même le sol, sort un carnet à la couverture de cuir et un crayon à papier, et il commence à dessiner. Presque instantanément, sa respiration ralentit, et ses pensées se calment. Plongé dans ses dessins, il ne fait plus attention à ce qui l’entoure.

@Hashline Darfith

Jeudi 28 Février
Vers 18h25

Chemise ok, cravate ok, jupe plisée bien repassée, ok.
Hashline voyait approcher l'heure de sa rencontre avec son correspondant mystère, elle est angoissée, stressée et anxieuse mais à la fois surexitée, heureuse et impatiente.
Elle fait rapidemment le tour de sa tenue en arpentant les différents couloirs menant à celui du mur au messages.
Chemise ok, cravate ok, jupe plisée bien repassée, ok.
Elle hésita. Devait-elle se dépecher pour arriver à l'heure mais être completement essouflée, dépeignée et rouge écravisse ?
Non, surement pas ! Elle s'y rend donc un peu avec la boule au ventre et à une allure détendue qui lui est propre.

Arrivée à l'angle du couloir, elle fut prise de panique
Si elle ne lui plaisait pas au premier abords, si il était d'une autre maison qui détesterais la sienne ? Elle repris ses esprits et respira longuement. Elle attendit que nul autre élève emprunte e couloir, et ce fut donc vers 18h28 qu'elle s'avança petit à petit dans le couloir.
Arrivée à quelques mêtres du mur elle apperçoie une jeune garçon brun. Et si c'est bien lui ! Elle s'en approche doucement mais se ditqu'il ne dois pas être son correspondant car il est bien trop occuppé à dessiner, à l'endroit d'Hashline et de son correspondant, mais en train de dessiner. Non, ce n'est surement pas lui se dit-elle.
Mais dans le doute, elle s'assoie à coté de lui et le regarde longuement esperant qu'il la remarque.

@Kayan Pinepeak

Jeudi 28 février
vers 18h32

Ça doit faire quelques minutes que Kayan dessine, pourtant, il ne voit pas le temps passer. Plongé dans les pages de son carnet, il fait naître sous la pointe de son crayon des forêts à l’allure enchanteresse et féerique. Au bout d’un moment, un petit clignotant s’allume dans son esprit. Il n’y prête pas attention, et continue de dessiner. Mais après quelques instants, il se rend compte que ce clignotant n’est pas là pour rien : une jeune fille s’est assise à côté de lui.

Il relève la tête vers elle, gêné de ne pas l’avoir remarquée plus tôt, et croise son regard azur. Les cheveux roux de la jeune fille tombent en cascade dans son dos. Il la dévisage un instant, avant de baisser la tête. Il referme délicatement son carnet, et demande timidement :

« C’est… c’est toi ? »

Il hésite un instant. Est-ce que c’est trop vague, pas assez précis ? Si c’est elle, est-ce qu’elle va comprendre ce qu’il veut dire par « c’est toi ? » ? Après tout, c’est pas très clair comme question.

« La fille des messages ? » précise-t-il d’une petite voix.

Au fond de lui, le gryffondor se doute que c’est elle. Qui d’autre se serait assis ici, près d’un gryffondor de première année qui dessine, adossé contre un mur ?

@Hashline Darfith

Jeudi 28 Février
vers 18h33

Dans la tête d'Hashline, ce n'est pas ce brun même aussi attirant qu'il soit, l'auteur des messages. Et puis de toute façon il n'a pas l'air de l'avoir remarquée.
Soudain elle tourne la tête car le jeune garçon lui parle.
Aux simple mots qu'il dit elle t tilte : c'est lui !

Un sourire naquit sur son teint rosé et elle se laissae lentement glisser le long du mur.
Heu, oui c'est moi si tu est bien celui que je crois que tu es et que je suis bien celle que tu crois que je suis alors c'est moi. Désolée, c'est un peu embrouillé, mais juste pour être sure. C'est bien Toi qui a écrit ça ?

Comme pour une preuve de ce qu'elle avançe, elle sort de sa poche le tout premier message déposé il y a quelques jours.
Heu... com...comment...comment tu t'appelles ? Dit-elle timidement d'une voix tramblottante ce qui ne lui arrivait quasiment jamais sauf lorsqu'elle est troublée et là, c'est bel et bien le cas.

Hashline sent son cœur battre plus fort dans sa poitrine, surement les effets du stress.
Attendant sa réponse, elle le regarde comme si elle le connait depuis le berceau.
Elle ne sait pas pourquoi mais elle se sent déja très proche de cet inconnu.

@Kayan Pinepeak

Jeudi 28 février
Vers 18h33

Kayan se saisit du papier que la jeune fille lui tend, et le lit rapidement. Un petit sourire naît sur son visage. C’est le premier message qu’il a écrit, pour tromper l’ennui mortel d’une journée d’hiver. Il s’en souvient comme si c’était hier, de ce petit morceau de papier. Qui aurait cru, à ce moment là, qu’il recevrait une réponse, et qu’il rencontrerait sa correspondante mystère seulement quelques jours après le début de leur correspondance ! Il rend le morceau de parchemin à la jeune fille en acquiesçant.

« Oui, c’est moi. répond-il d’une voix timide mais calme et posée, Je m’appelle Kayan, et toi ? »

En attendant la réponse de la jeune fille, le gryffondor l’observe discrètement. Elle est en première année, comme elle l’a indiqué dans son dernier message. Son uniforme indique qu’elle est à Serpentard, la maison des verts et argents. A première vue, elle a l’air plutôt sympathique.

Le jeune garçon baisse les yeux vers son carnet, ajoute un dernier trait à son dessin et referme son carnet, qu’il range dans son sac, ainsi que son crayon à papier. Il se redresse et se tourne pour faire face à la jeune fille, tout en restant assis sur les dalles du couloir. L’air s’est refroidi depuis qu’il attend, et Kayan regrette de ne pas avoir pris un manteau plus chaud. Il aurait du s’en douter, pourtant, que le froid envahirait rapidement le couloir désert !

@Hashline Darfith

Jeudi 28 Février
Vers 18h34

Donc c'était bien lui, l'autur des sourires d'Hashline, de ses petits messages qui lui faisaient tant se sentir heureuse.
Elle répond à sa question dès qu'il l'eu posée.
Alors heu... je m'appelle...enfin moi c'est heu... Hashline voilà c'est ça, Hashline Darfith.


Elle baigaie encore, mais pourquoi ? Hashline est timide certes mais elle s'est controler ses émotions.
Elle reprends avec cette fois un peu plus de maîtrise d'elle-même.
Et heu... selon ta tenue j'en déduis que tu dois être un Gryffon ? Je me trompe ?
À la fin de sa phrase Hahline sourit d'un sourire si grand que l'on peut apercevoir toutes ses dents.

Malgrès le froid de ce couloir vide et quelque peu sombre vu l'heure tardive. Hashline rayonnait, elle était là, les yeux dans les yeux avec ce Kayan et elle put mirer son reflet en les yeux vert du créateur de sa joie..
Jamais auparavant, elle ne s'est sentie aussi bien de sa Vie.
De là où elle vient, il pleut souvent tout comme dans son cœur mais depuis qu'elle a fait la fortuite rencontre de Kayan, les nuages d'averses qui embrumaient son âme se sont dispersés pour laisser place nette à un champs d'arc-en-ciel de bonheur. Elle a l'impression de le connaitre depuis des année, comme si ils étaient de la même famile. Une famille unie et parfaitement parfaite.

Attendant sa réponse auquelle elle ne tenait pas vraiment, elle se retourna vers Kayan et s'assie façon Bretzel avec tout de même un peu de mal car sa jupe couleur vert Serpentard ne lui permet pas de grands mouvements.
Là dans ce couloir froid avec au devant le coucher de soleil du soir, Hashline scrute l'horizon jusqu'a ce que le jeune garçon se remette à parler.


@Kayan Pinepeak

(339 mots #Nouveau reccord)

Le jeune gryffondor laisse passer quelques secondes pendant lesquelles règne le silence avant de répondre.

« En effet, je suis à gryffondor. Et toi, tu es à Serpentard, n’est-ce pas ? »

Pour détendre l’atmosphère - et se débarrasser du stress qui lui colle à la peau par la même occasion -, il ajoute d’un ton léger et amusé :

« Ou bien tu as volé un de leurs uniformes ? »

En attendant que la jeune fille réponde, le jeune garçon se plonge dans ses pensées tourbillonnantes. Hashline… c’est un beau prénom, pas très commun… et son nom de famille… Darfith, c’est ça ? Il n’a jamais entendu ce nom nulle part… et pourtant, il lui rappelle vaguement quelque chose… à moins que ça ne soit son cerveau qui en face encore des siennes. Mais dans le doute, le gryffondor demande :

« Tu viens d’où ? »

Sans prévenir, une vague d’inspiration le percute de plein fouet, lui faisant oublier le froid. Cette rencontre lui donne une idée… une future histoire ? Un poème ? Un dessin ? Il ne sait pas encore. Mais dans sa tête, les mots se mettent déjà en place.

Cheveux roux, yeux azurs,
Rencontrée dans un couloir d’hiver.
Le soleil se couche, l’air est pur,
Reflets dorés sous la lumière.

Cheveux noirs, yeux verts,
Rencontré dans un couloir d’hiver.
Le vent souffle, le temps passe,
Pour le froid, plus de place.

Ne souhaitant pas perdre ces quelques mots, il demande d’une voix un peu gênée :

« Ça te dérange si j’écris juste un truc rapidement ? »

@Hashline Darfith

Hashline s'appretait à répondre à Kayan lorsqu'il rajouta un "blague" sur le ton de l'amusement.
Ahaha, tu est plutôt drôle comme garçon toi ! Mais non, je ne suis pas une voleuse mais une Serpy pure souche !

Soudain il lui demanda si il pouvait écrire quelque chose.
Ah je vois, un poète ? Un écrivain en herbe ? pense-t'elle.

Elle attrappa son sac de cours et commença à fouiller dedans.
Elle en sort un parchemin et un pot d'encre accompagné de sa plume. Et elle commence à écrire, tous comme lorsqu'elle écrivais à son messager.

D'où viens-tu, jene sais pas.
Mais tu est juste là.
Assis à mes côtés,
Tu as mis du temps pour me remarquer.

Yeux vert, balles de revolver,
Yeux bleus, eaux des îles des amoureux.
Cheuveux noir, trahissant un plein d'espoir,
Cheuveux roux, porté par quelqu'un de doux.

Toulours en train d'écrire, Hashline regarde Kayan, puis l'horizon et Hashline esquisse un sourire et se remet à écrire.

Il fait bien froid das ce long couloir,
Mais ta présence seule est pleine de chaleur.
Tu remplis l'atmosphère de douceur,
Même quand le temps est à l'orage.

Je ne sais que dire de Toi

De quoi parler avec Toi, je ne sais pas,
Mais pas besoin de parler pour se comprendre.
Car malgrès que l'on se trouve assis dans un couloir si froid,
Dans nos regards, tant de conversations peuvent s'entreprendrent.

~HASHLINE~

~Poème sur le tas, à côté d'un beau brun~

Elle se retourne vers Kayan et le regarde droit dans les yeux, en rougissant comme jamais auparavant.

@Kayan Pinepeak

Kayan ressort son carnet et son crayon, et inscrit les quelques mots qu’il a en tête. A côté de lui, Hashline a fait de même. La plume de la jeune fille glisse fluidement sur le papier immaculé, des mots écrits à l’encre noire apparaissent peu à peu sur la page blanche.

Lorsqu’il a fini de marquer les mots de son esprit, le jeune garçon relève la tête et regarde la Serpentard pensivement. Cette dernière pose son regard sur lui et rougit. Le gryffondor détourne le regard, et range pour la deuxième fois son carnet en cuir dans son sac.

Gêné par le silence qui emplit le couloir, il s’éclaircit la gorge et commence à fredonner tout bas un chant irlandais.

«  In the merry month of June from me home I started
Left the girls of Tuam nearly broken hearted
Saluted Father dear, kissed me darling mother
Drank a pint of beer, me grief and tears to smother
Then off to reap the corn, leave where I was born
Cut a stout blackthorn to banish ghosts and goblins
A brand new pair of brogues, rattlin' o'er the bogs
Frightenin' all the dogs on the rocky road to Dublin

One two three four five
Hunt the Hare and turn her down the rocky road
And all the way to Dublin, Whack fol lol le rah! »

Son esprit est transporté par les paroles de la chanson. Il voit presque les Landes irlandaises défiler devant ses yeux, son cher pays natal qui l’a vu naître. Son murmure résonne faiblement dans le couloir desert et froid. Au dehors, un petit bruant des neiges pousse un petit pépiement, comme pour l’accompagner dans son chant.