Méloé Valensen
Un souffle renversant
Méloé Valensen, jeune étudiante en première année dans la maison Serpentard, avait pour habitude de se lever de bonne heure, ce qui était, pour ses camarades de dortoir, un léger désagrément. En effet, il devait être environ sept heures et demi du matin quand la fillette avait ouvert ses yeux clairs. La rentrée à Poudlard étant très récente, il y a trois jours en fait, Méloé venait de se souvenir où elle se trouvait : A Poudlard, sous le lac noir. Elle s'était donc frotté le visage histoire d'être certaine d'être bien réveillée, puis avait commencé à enfiler quelques habits moldus pour ne pas attraper froid : Un jean, un haut assez élégant à bretelles, puis l'écharpe verte aux arborant les couleurs de sa maison, au cas où. En effet, dans le dortoir ou tout simplement dans la salle commune, il était impossible de voir le temps qu'il faisait, c'est pourquoi il valait mieux prévoir. En continuant de s'habiller, elle avait réveillé une de ses camarades qui avait soudainement grogné, car oui, c'était le terme qui convenait le mieux pour décrire le son étrange et sonore qui était sortit de sa bouche, ce qui lui avait valu un oreiller en pleine face.
- Excuse-moi ! * avait chuchoté la vert et argent, tout en pouffant *
La jeune femme, ayant fini de se préparer, avait rapidement emmené un livre intitulé " Sorts et Enchantements " qu'elle avait failli oublié, puis était sortie du dortoir et par la suite, de la salle commune de Serpentard, encore vide à cette heure-ci. Ne manquant pas de le faire remarquer, la fillette vouait une réelle passion à la lecture. Livre de cours, histoire moldue ou bien sorcière, peu lui importait. C'était en effet une chose qui la détendait, elle qui était de nature assez anxieuse. Dans les cachots, les bruits de ses pas résonnaient bruyamment. Au lieu d'aller prendre son petit déjeuner, d'ailleurs elle douta que la Grande Salle soit ouverte si tôt, Méloé décida donc d'aller au parc pour entamer son précieux livre.
N'ayant pas croisé grand monde dans les couloirs dont la fraîcheur était sans pareille, la jeune femme parvint donc rapidement à destination. Lorsqu'elle traversa le parc, qui était tout comme les couloirs, vide, la première année s'étonna de voir ses cheveux flotter derrière elle: Il y avait en effet beaucoup de vent. Elle cramponnait donc bien son livre contre elle, essayant tant bien que mal de tenir sa longue chevelure brune en place. Tandis qu'elle marchait, bien que ses yeux etaient si plissés qu'elle n'y voyait presque rien, elle prit le temps d'observer la beauté de ces lieux : Une immense étendue d'herbe verte scintillant grâce aux reflets du soleil s'étendant du château jusqu'à la lisière de la forêt interdite, ainsi qu'un ciel bleu azur semblable à ses yeux à un océan de souvenirs. Afin d'être un minimum à l'abri du vent, car non elle ne se convaincra pas de faire demi tour, Méloé décida de s'asseoir à l'ombre d'un chêne. Elle s'y assit donc délicatement, prenant le temps de souffler avant d'entamer sa lecture. Juste avant d'ouvrir le livre, elle se rappela soudain qu'elle avait glissé le lendemain de la rentrée, une photo de sa famille représentant donc ses deux soeurs jumelles, ses parents et son petit frère Dylan, dans la poche arrière de son jean. Elle s'en servirait comme marque-page. Au moment où elle sortit cette dernière de sa poche, elle virevolta dans les airs, sans que la jeune femme parvienne à la rattraper. Alors que celle-ci se mettait à quatre pattes pour tout de même tenter de la récupérer, sa tête brune rencontra brutalement le genou d'une autre personne dont elle ne reconnut pas tout de suite l'identité, sa tête étant hors de son champs de vision.
Mon dieu, comme elle devait avoir l'air sotte. Sérieusement : Elle était complètement décoiffée, pour cela il aurait fallu remercier le vent, et en plus de cela elle se traînait à quatre pattes, cherchant à récupérer une photo de famille qui était en fait un marque-page. Cette journée s'annonçait bien.
- Oh, je suis désolée ! Je suis vraiment maladroite...*s'empressa t-elle de déclarer tandis qu'elle tentait tant bien que mal de se relever, bien qu'avec difficulté en raison du coup qu'elle avait encaissé sur le crâne *
Un souffle renversant
Gabrial ouvrit brusquement les yeux. Sa poitrine se soulevait à toute vitesse.
Encore un rêve. C'était seulement sa troisième nuit à Poudlard, à Serpentard plus précisément, et il avait encore fait un cauchemar. Oh, pas un cauchemar d'enfant peuplé de monstres... Non, un songe qui lui avait rappelé ce qu'il avait abandonné en venant à Poudlard. Gabrial voulut chasser cela de son esprit. Les choses étaient telles qu'elles étaient : pas de remords, pas de marche arrière.
Le jeune allemand jeta un coup d'œil à sa montre, posée sur sa table de nuit. Il dut plisser les yeux pour lire sept heures moins vingt. À une heure pareil, impossible de se rendormir.
Gabrial glissa en douceur de son lit. Il enfila prestement son jean clair, sa chemise noir et ses chaussures. Il attrapa son manteau, et, dans la pénombre silencieuse, sortit du dortoir ; puis de la salle commune.
Il s'arrêta d'abord prêt d'une fenêtre. Dehors, le temps semblait froid et venteux. Le ciel était sombre et grisâtre, sans soleil au vu de l'heure. Le Serpentard aimait cette atmosphère noire mais paisible.
Il se mit en route vers le parc. Oh oui, une longue balade à pied avant les cours pour être seul avec ses pensées, se serait bien. Sans surprise, il ne croisa personne.
À l'instant même où un impressionnant souffle d'air lui ébouriffa ses cheveux noirs de jais, Gabrial sentit que cette balade allait être très instructive quant au climat écossais de Poudlard...
Gabrial se mit à marcher. Il pensait à tout. Et à rien... Son frère, qui dormait paisiblement dans la tour de Gryffondor, le détestant plus à chaque instant... Et Cléa, son amie la plus chère, qui ne verrait jamais Poudlard, et qui, en un an, oublierait peut-être Gabrial.
Le Serpentard laissa tourbilloner tout cela dans son esprit, à la façon du vent qui le fouettait de toute part, mais qui lui donnait une véritable impression de vie...
Cela devait faire une bonne quarantaine de minutes que Gabrial déambulait sans but dans le parc. Le soleil s'était levé et offrait un paysage du parc splendide. Quelque chose attira l'attention de Gabrial. Une forme carré ou rectangulaire voletait non loin. Le garçon s'en saisit. C'était une photographie. Elle représentait deux adultes, deux filles identiques, un petit garçon très mignon, et une jeune fille. Le cœur de Gabrial se serra. La fille ressemblait atrocement à Cléa.
Sans prévenir, quelque chose heurta violemment le genou droit de Gabrial. Aïe...
Il baissa la tête. Une jeune fille, à quatre pattes, l'air surpris et la chevelure décoiffée, le fixait. C'était la fille de la photo...
- Oh, je suis désolée ! Je suis vraiment maladroite...
Gabrial ne répondit pas immédiatement. Il vit le regard de la fille passer successivement de sa main qui tenait la photo à son visage.
- Y'a pas de mal... Eh, dis, c'est ça que tu cherches non ? Dit Gabrial en lui tendant la photo. Je viens de la trouver. Ça va ?
La fille se frottait le crâne. Gabrial lui tendit sa main pour l'aider à se relever. Autant être courtois. N'importe qui lui rappelant Cléa était succeptible de devenir son ami... Tant que ce rappelle ne le fausait pas trop souffrir.
Parce que dans la vie il faut faire des choses choix.
"Don't be like me. Be better."
R.D. Jr
Encore un rêve. C'était seulement sa troisième nuit à Poudlard, à Serpentard plus précisément, et il avait encore fait un cauchemar. Oh, pas un cauchemar d'enfant peuplé de monstres... Non, un songe qui lui avait rappelé ce qu'il avait abandonné en venant à Poudlard. Gabrial voulut chasser cela de son esprit. Les choses étaient telles qu'elles étaient : pas de remords, pas de marche arrière.
Le jeune allemand jeta un coup d'œil à sa montre, posée sur sa table de nuit. Il dut plisser les yeux pour lire sept heures moins vingt. À une heure pareil, impossible de se rendormir.
Gabrial glissa en douceur de son lit. Il enfila prestement son jean clair, sa chemise noir et ses chaussures. Il attrapa son manteau, et, dans la pénombre silencieuse, sortit du dortoir ; puis de la salle commune.
Il s'arrêta d'abord prêt d'une fenêtre. Dehors, le temps semblait froid et venteux. Le ciel était sombre et grisâtre, sans soleil au vu de l'heure. Le Serpentard aimait cette atmosphère noire mais paisible.
Il se mit en route vers le parc. Oh oui, une longue balade à pied avant les cours pour être seul avec ses pensées, se serait bien. Sans surprise, il ne croisa personne.
À l'instant même où un impressionnant souffle d'air lui ébouriffa ses cheveux noirs de jais, Gabrial sentit que cette balade allait être très instructive quant au climat écossais de Poudlard...
Gabrial se mit à marcher. Il pensait à tout. Et à rien... Son frère, qui dormait paisiblement dans la tour de Gryffondor, le détestant plus à chaque instant... Et Cléa, son amie la plus chère, qui ne verrait jamais Poudlard, et qui, en un an, oublierait peut-être Gabrial.
Le Serpentard laissa tourbilloner tout cela dans son esprit, à la façon du vent qui le fouettait de toute part, mais qui lui donnait une véritable impression de vie...
Cela devait faire une bonne quarantaine de minutes que Gabrial déambulait sans but dans le parc. Le soleil s'était levé et offrait un paysage du parc splendide. Quelque chose attira l'attention de Gabrial. Une forme carré ou rectangulaire voletait non loin. Le garçon s'en saisit. C'était une photographie. Elle représentait deux adultes, deux filles identiques, un petit garçon très mignon, et une jeune fille. Le cœur de Gabrial se serra. La fille ressemblait atrocement à Cléa.
Sans prévenir, quelque chose heurta violemment le genou droit de Gabrial. Aïe...
Il baissa la tête. Une jeune fille, à quatre pattes, l'air surpris et la chevelure décoiffée, le fixait. C'était la fille de la photo...
- Oh, je suis désolée ! Je suis vraiment maladroite...
Gabrial ne répondit pas immédiatement. Il vit le regard de la fille passer successivement de sa main qui tenait la photo à son visage.
- Y'a pas de mal... Eh, dis, c'est ça que tu cherches non ? Dit Gabrial en lui tendant la photo. Je viens de la trouver. Ça va ?
La fille se frottait le crâne. Gabrial lui tendit sa main pour l'aider à se relever. Autant être courtois. N'importe qui lui rappelant Cléa était succeptible de devenir son ami... Tant que ce rappelle ne le fausait pas trop souffrir.
Parce que dans la vie il faut faire des choses choix.
"Don't be like me. Be better."
R.D. Jr
Méloé Valensen
Un souffle renversant
- Oh, je suis désolée ! Je suis vraiment maladroite...
Suite à cette déclaration, le jeune homme ne prononça mot pendant un moment. Les deux jeunes gens se fixaient intensément. La fillette s'en voulu soudain que leur rencontre ait eu lieu dans ses conditions. En détournant légèrement son regard qui se posa sur la main droite du garçon, la vert et argent pu apercevoir la photographie qui s'était envolée dans les airs quelques instants auparavant.
- Y'a pas de mal... Eh, dis, c'est ça que tu cherches non ? Lui annonça le garçon en lui tendant la photo. Je viens de la trouver. Ça va ?
La fillette continua de l'observer, ses yeux émeraudes plongés dans les siens. Ce garçon lui rappelait quelqu'un, mais elle ne devina pas immédiatement la personne en l'occurrence. Oui, ce garçon lui rappelait son frère, Dylan. Exactement les mêmes cheveux, noirs de jais, ainsi que ce même regard, cette même expression qui apparaissait chez les deux jeunes hommes...A cet instant, Méloé se rendit compte à quel point il lui manquait. La jeune femme sourit alors au garçon, dont elle ne connaissait point l'issue de sa répartition mais qui devait avoir à peu près le même âge qu'elle, puis s'empara calmement de la photographie, sa photographie qu'il tenait dans sa main droite. Puis, le jeune homme lui tendit sa main gauche, afin d'aider la jeune fille à se relever : Sa courtoisie la surprit. La fillette, bien qu'elle se sentit rougir, tenta de le cacher et attrapa sa main de façon à se relever. Ils restèrent là, quelques instants à se regarder. Soudainement, Méloé sortit de ses pensées, l'air gêné.
- Oh, merci beaucoup heu... tu t'appelles ? Demanda t-elle d'un sourire radieux.
Suite à cette déclaration, le jeune homme ne prononça mot pendant un moment. Les deux jeunes gens se fixaient intensément. La fillette s'en voulu soudain que leur rencontre ait eu lieu dans ses conditions. En détournant légèrement son regard qui se posa sur la main droite du garçon, la vert et argent pu apercevoir la photographie qui s'était envolée dans les airs quelques instants auparavant.
- Y'a pas de mal... Eh, dis, c'est ça que tu cherches non ? Lui annonça le garçon en lui tendant la photo. Je viens de la trouver. Ça va ?
La fillette continua de l'observer, ses yeux émeraudes plongés dans les siens. Ce garçon lui rappelait quelqu'un, mais elle ne devina pas immédiatement la personne en l'occurrence. Oui, ce garçon lui rappelait son frère, Dylan. Exactement les mêmes cheveux, noirs de jais, ainsi que ce même regard, cette même expression qui apparaissait chez les deux jeunes hommes...A cet instant, Méloé se rendit compte à quel point il lui manquait. La jeune femme sourit alors au garçon, dont elle ne connaissait point l'issue de sa répartition mais qui devait avoir à peu près le même âge qu'elle, puis s'empara calmement de la photographie, sa photographie qu'il tenait dans sa main droite. Puis, le jeune homme lui tendit sa main gauche, afin d'aider la jeune fille à se relever : Sa courtoisie la surprit. La fillette, bien qu'elle se sentit rougir, tenta de le cacher et attrapa sa main de façon à se relever. Ils restèrent là, quelques instants à se regarder. Soudainement, Méloé sortit de ses pensées, l'air gêné.
- Oh, merci beaucoup heu... tu t'appelles ? Demanda t-elle d'un sourire radieux.
Un souffle renversant
Gabrial et la jeune fille s'observèrent. Le regard de la fille était intense, le Serpentard avait l'impression d'être scanné aux rayon X. Il eu amplement le temps de découvrir le visage de la fille sous toutes les coutures :
Ses cheveux bruns lui tombaient en cascade sur les épaules ; elle avait de beaux yeux verts en amande, de la même couleur que ceux de Gabrial, exception faite qu'ils étaient légèrement plus foncés. En revanche, c'était exactement les mêmes que ceux de Cléa...
Après se long regard qui en disait sûrement plus que des mots, la fille récupéra doucement la photo. Elle attrapa la main de Gabrial en rougissant puis se releva.
Nouveau regard. Gabrial commença à sentir quelque peu gêné...
Puis, enfin, elle répondit : cette interaction allait enfin passer du regard à la parole.
- Oh, merci beaucoup heu... tu t'appelles ?
Le rouge disparu aussi vite qu'il était venu des joues de la fille et elle offrit à Gabrial un magnifique sourire. Ce dernier était soulagé. Cette fille semblait être du même âge que lui. Le jeune allemand faisait bien dix centimètres de plus qu'elle, mais Gabrial se savait grand pour son âge. Il espérait que la fille avait deviné qu'ils avaient le même âge. Car oui, avec sa chemise noire, son visage mûr et sa taille, Gabrial passait souvent pour quelqu'un de douze ou treize ans bien qu'il n'en ai que onze. Il sourit légèrement à son tour et répondit :
- Je m'appelle Gabrial. Ashley. Euh... Du coup ça fait Gabrial Ashley.
Cette fille lui rappelait tant Cléa qu'il s'était emmêlé les pinceaux... Il s'appelait bien Gabrial Ashley, mais il l'avait dit de façon très ridicule. Il tenta de se reprendre :
- Ah oui, aussi, je suis à Serpentard. Et toi, comment tu t'appelles... ? Et tu es à quelle maison ?
Le Serpentard avait dit cela d'un ton plutôt joyeux et sincèrement intéressé. Il n'avait pas d'amis à Poudlard depuis cette "dispute" avec son frère. Et puis, si la fille regardait une photo de sa famille, c'est que ses proches lui manquaient, non ?
Gabrial savait que de belles amitiés naissaient parfois des douleurs ou points communs.
Parce que dans la vie il faut faire des choses choix.
"Don't be like me. Be better."
R.D. Jr
Ses cheveux bruns lui tombaient en cascade sur les épaules ; elle avait de beaux yeux verts en amande, de la même couleur que ceux de Gabrial, exception faite qu'ils étaient légèrement plus foncés. En revanche, c'était exactement les mêmes que ceux de Cléa...
Après se long regard qui en disait sûrement plus que des mots, la fille récupéra doucement la photo. Elle attrapa la main de Gabrial en rougissant puis se releva.
Nouveau regard. Gabrial commença à sentir quelque peu gêné...
Puis, enfin, elle répondit : cette interaction allait enfin passer du regard à la parole.
- Oh, merci beaucoup heu... tu t'appelles ?
Le rouge disparu aussi vite qu'il était venu des joues de la fille et elle offrit à Gabrial un magnifique sourire. Ce dernier était soulagé. Cette fille semblait être du même âge que lui. Le jeune allemand faisait bien dix centimètres de plus qu'elle, mais Gabrial se savait grand pour son âge. Il espérait que la fille avait deviné qu'ils avaient le même âge. Car oui, avec sa chemise noire, son visage mûr et sa taille, Gabrial passait souvent pour quelqu'un de douze ou treize ans bien qu'il n'en ai que onze. Il sourit légèrement à son tour et répondit :
- Je m'appelle Gabrial. Ashley. Euh... Du coup ça fait Gabrial Ashley.
Cette fille lui rappelait tant Cléa qu'il s'était emmêlé les pinceaux... Il s'appelait bien Gabrial Ashley, mais il l'avait dit de façon très ridicule. Il tenta de se reprendre :
- Ah oui, aussi, je suis à Serpentard. Et toi, comment tu t'appelles... ? Et tu es à quelle maison ?
Le Serpentard avait dit cela d'un ton plutôt joyeux et sincèrement intéressé. Il n'avait pas d'amis à Poudlard depuis cette "dispute" avec son frère. Et puis, si la fille regardait une photo de sa famille, c'est que ses proches lui manquaient, non ?
Gabrial savait que de belles amitiés naissaient parfois des douleurs ou points communs.
Parce que dans la vie il faut faire des choses choix.
"Don't be like me. Be better."
R.D. Jr
Méloé Valensen
Un souffle renversant
- Je m'appelle Gabrial. Ashley. Euh... Du coup ça fait Gabrial Ashley.
Dans la voix du dénommé Gabrial Ashley, on pouvait percevoir une sorte d'angoisse ou de surprise, la fillette ne savait pas bien comme décrire cela.
- Ah oui, aussi, je suis à Serpentard. Et toi, comment tu t'appelles... ? Et tu es à quelle maison ?
Méloé, qui était comme à son habitude perdue dans ses profondes pensées, celles-ci concernant en l'occurrence Gabrial qui attendait calmement sa réponse, en sortit rapidement et se ramena à la réalité :
- Oh, je suis également à Serpentard ! *dit-elle joyeusement*
Se rendant compte que sa réaction était quelque peu disproportionnée, le jeune fille se racla la gorge, l'air gêné, puis ajouta :
- Je m'appelle Méloé. Méloé Valensen. Je suis vraiment ravie de faire ta connaissance Gabrial *dit-elle dans un large sourire enjoué * En fait, je crois tu es la première personne dont je fais vraiment la connaissance depuis mon arrivée à Poudlard.
En effet, Méloé ne comptait encore aucun ami. Peut-être était-ce une chance de l'avoir rencontré, un signe du destin ? Qui sait. En tout cas, la vert et argent espérait que les deux jeunes gens deviendraient rapidement de bons amis, et que cette amitié durera. La fillette repensa aux yeux du garçons et la forme de son visage, très semblables aux traits de son frère, Dylan. L'image de son petit frère qu'elle aimait tant lui revint alors en tête. Méloé mit alors la photo devant ses yeux clairs, puis la regarda intensément. Une minuscule larme roula lentement sur sa joue. Voyant l'expression du jeune homme, la jeune femme essuya cette larme, tentant tout de même de le cacher, celle-ci refusant de passer pour une couard, une lâche beaucoup trop sensible. Elle déclara alors, tout en pointa son index droit sur la tête de son petit frère, sur la photographie :
- Tu vois ce petit garçon ? C'est mon petit frère. Et...Tu me fais beaucoup penser à lui, alors ça a disons ravivé quelques souvenirs. Tu as son regard *ajouta t-elle en regardant le jeune homme *
Dans la voix du dénommé Gabrial Ashley, on pouvait percevoir une sorte d'angoisse ou de surprise, la fillette ne savait pas bien comme décrire cela.
- Ah oui, aussi, je suis à Serpentard. Et toi, comment tu t'appelles... ? Et tu es à quelle maison ?
Méloé, qui était comme à son habitude perdue dans ses profondes pensées, celles-ci concernant en l'occurrence Gabrial qui attendait calmement sa réponse, en sortit rapidement et se ramena à la réalité :
- Oh, je suis également à Serpentard ! *dit-elle joyeusement*
Se rendant compte que sa réaction était quelque peu disproportionnée, le jeune fille se racla la gorge, l'air gêné, puis ajouta :
- Je m'appelle Méloé. Méloé Valensen. Je suis vraiment ravie de faire ta connaissance Gabrial *dit-elle dans un large sourire enjoué * En fait, je crois tu es la première personne dont je fais vraiment la connaissance depuis mon arrivée à Poudlard.
En effet, Méloé ne comptait encore aucun ami. Peut-être était-ce une chance de l'avoir rencontré, un signe du destin ? Qui sait. En tout cas, la vert et argent espérait que les deux jeunes gens deviendraient rapidement de bons amis, et que cette amitié durera. La fillette repensa aux yeux du garçons et la forme de son visage, très semblables aux traits de son frère, Dylan. L'image de son petit frère qu'elle aimait tant lui revint alors en tête. Méloé mit alors la photo devant ses yeux clairs, puis la regarda intensément. Une minuscule larme roula lentement sur sa joue. Voyant l'expression du jeune homme, la jeune femme essuya cette larme, tentant tout de même de le cacher, celle-ci refusant de passer pour une couard, une lâche beaucoup trop sensible. Elle déclara alors, tout en pointa son index droit sur la tête de son petit frère, sur la photographie :
- Tu vois ce petit garçon ? C'est mon petit frère. Et...Tu me fais beaucoup penser à lui, alors ça a disons ravivé quelques souvenirs. Tu as son regard *ajouta t-elle en regardant le jeune homme *