J'aimerait vous partager un livre que j'ai adorée (oui je sais je lit beaucoup)

La Quête d'Ewilan
Les Mondes d'Ewilan
Ellana

Donc il y a trois séries de trois livres mais tous liés
La vie de Camille, adolescente surdouée, bascule quand elle pénètre par accident dans l'univers de Gwendalavir avec son ami Salim. Là, des créatures menaçantes, les Ts'liches, la reconnaissent sous le nom d'Ewilan et tentent de la tuer. ... La Quête d'Ewilan : la trilogie par où tout a commencé…
Résumé de la quête d'Ewilan tome 1
Vraiment je le conseille pour les fans de fantastique!
Ils existeent aussi en BD pour ceux qui préfèrent!

J'ai lu un roman (enfin j'ai lu, je viens de le commencer mais bon), que j'ai trouvé génial rien qu'en observant la couverture : Gardiens des Cités Perdues !



C'est l'histoire d'une fille qui s'appelle Sophie et qui, depuis l'âge de cinq ans, peut percevoir les pensées des autres, un jour elle rencontre un jeune garçon nommé Fitz qui lui dit qu'elle n'est pas humaine. Elle devra quitter le monde des humains.

J'ai une amie qui a lu ça elle a adoré ! Cela me fait penser à une série de livres, les 39 clés, ou une famille essaye de rassembler les divers éléments éparpillés partout de leur génial ancêtre !! Je recommande.

oe jsors de ma grotte juste pour ça déso les frérots des RP je reviensss

Les musées ont rouvert, j'en suis la première bénéficiaire, mais malheureusement le British Museum est de l'autre côté de la Manche et j'ai le mal de mer¹ ; me voilà donc cantonnée au catalogue du musée, qui, aussi sophistiqué soit-il, reste un catalogue, très rempli (d'œuvres volées kof kof), et trop lourd pour être allégrement feuilleté.

Oui-mais-je-veux-voir-les-collections....

Eh ! Le British Museum a tout ce qu'il vous faut pour découvrir en douceur autant les grands classiques que les trésors méconnus du musée, ça se passe sur YouTube, ça s'appelle Curator's Corner : petites vidéos (généralement de moins de dix minutes) appréhendant chacune une pièce des collections du BM, par les mots et savoirs d'un conservateur du musée (plus ou moins à l'aise devant la caméra, plus ou moins rigolos, mais tous très pertinents).

La série aborde l'histoire à travers ses objets, c'est un format vidéo, c'est donc en somme bien plus sympathique que les lourds manuels d'histoire de l'art, et parce que ça me permet de m'en échapper quelques minutes par séance de reprise de cours, je remercie le musée. Bien sûr c'est synthétique, m'enfin il est ridicule de demander à une vidéo de 10 minutes de couvrir tout l'âge du fer européen à travers l'étude d'un torque.

En bref c'est rigolo, c'est détente, et on apprend des trucs (si si les petits exemples qui font plaisir pour briller en dissertation d'archéo orientale à la fin de l'année), c'est cadeau.


¹ - non c pour la rime lol

Et puis regardez ça, rien que pour le vieux monsieur Dumbledore-tier.

Salutations,

Je ne m’imaginais pas trop usager de ce sujet mais en ressortant de l’écoute d’une émission radio que j’ai suivie de bout en bout, elle m’a paru mériter d’être écoutée plus largement. Intitulée « Les larmes de Mika », elle a été diffusée ce mardi 19 octobre et est actuellement accessible à l’écoute sur le site de France musique en replay.

Durant une heure environ, l’artiste Mika nous présente un programme de classiques qui le touchent, récemment redécouverts ; et en passe des extraits après les avoir commentés sous le prisme de son expérience personnelle d’écoute tout en apportant la perspective plus contextuelle ou historique grâce à sa formation classique entre autres – cette démarche peut rappeler les concerts précédés d'une présentation pour une écoute plus éclairée. Avec mes connaissances générales du répertoire musical, je connaissais déjà presque l’intégralité de ce qu’il a abordé, ce qui ne m’a pas empêcher de rester jusqu'à la fin ; et je me dis que cette façon d’approcher un aussi large paysage pourrait intéresser jusqu’aux auditeurs étrangers de la musique qu’il met là en valeur.

En somme, cette émission nous transporte dans un voyage anthologique à travers les classiques – réentendus pour les initiés ; découverts par néophytes de ce répertoire musical – qui sait, avec plaisir. D’où cette recommandation ouverte.

Bonsoir,

Je viens d´achever le dernier volet, le sixième, je n´ai pas pu résister à l´envie de partager cette pépite. Il fallait absolument que je clame les mérites de ce chef d´oeuvre quelque part et vu que quasi-personne dans mon entourage ne prête oreille aux livres...

Les enquêtes d´Enola Holmes par Nancer Springer.

¨Ceux qui pensent que Sherlock Holmes est le meilleur détective du monde ne connaissent pas encore sa soeur...¨

J´ai particulièrement apprécié cette série d´enquêtes parce que, loin de se contenter de raconter une histoire policière tout ce qu´il y a de plus banal comme le ferait Hercule Poirot, Miss Marple ou Sherlock Holmes , Nancy Springer a voulu passer le message de la situation critique des femmes et leur position très basses de l´échelle sorciale au 19e sciècle, et qui malheureusement, est encore trop d´actualité aujourd´hui. Je cite ¨La femme n´est créée que vous obéir aux ordres de l´homme, sa place est au foyen, derrière les fourneaux, un balai dans la main et une casserole de l´autre.¨ C´est une vision encore bien trop répandue dans le monde. Enola Holmes fuit la tirranie de ses deux frères, Sherlock et Mycroft, qui veulent à tout prix la caser à 14 ans. Pendant sa fuite, elle ouvre un cabinet de ¨recherches de disparutions en tout genre¨ au nom d´un certain Dr Ragostin sous les traits duquel elle cachera son jeu à ses clients pour prouver au monde qu´il n´y a pas que les hommes qui sont compétents dans leur travail et, au fil des tomes, elle résout moultes énigmes et frôle la capture des dizaines de fois.

Au coeur de l´intrigue, sa mère. Le jour des 14 ans d´Enola, cette dernière prend la clé des champs en compagnie de gens du voyage, de bonhémiennes avec qui elle partagera sa vie pendant toute l´année que dure la série. Au début, la jeune fille essayera de retrouver sa mère, mais au fil de questionnements de soi, de remise en question, de profondes et mûres réflexions, elle décide sans cesse de remettre à plus tard, redoutant sûrement le résultat de ses recherches. Jusqu´au jour où un signe de sa mère viendra bouleverser le courant de sa vie...

Bref, vous l´aurez deviné, j´ai tellement aimé l´histoire que je m´en suis inspirée pour nouer une intrigue autour de la vie de ma protégée. J´espère que le résultat sera à la hauteur d´Enola et que je praviendrai à rendre à Nancy Springer l´hommage que son chef-d´oeuvre mérite.

À lire et relire !

Bonjour bonjour !
J'ai commencé un roman (ou plutôt je suis en plein dans un roman) que j'ai trouvé super et dont j'aimerais vous faire part.

L'histoire | Harriet Manners est ce que l'on appelle principalement une GEEK. Et elle ne le vit pas super super bien. Quelqu'un va même jusqu'à lui écrire GEEK en grand, en rouge sur son cartable !
Bref, un jour, Nat, la "Pire Pote" de notre petite geek, va la traîner de force à un centre commercial lors d'une sortie scolaire afin de se faire repérer en tant que mannequin.
Ça tourne un peu au désastre dans le bus, mais je passe sous silence pour laisser un peu de suspens.
Arriver au centre commercial, Nat demande à Harriet de la soutenir par la pensée et la laisse donc seule.
Harriet va se retrouver dans une mauvaise (très mauvaise situation) à un stand de chapeaux où elle se retrouvera les quatre fers en l'air (ainsi que les chapeaux je souligne).
Une somme insurmontable à payer va se dresser devant les yeux de notre geek préférée mais une bonne étoile va surgir de nulle part...

Voilà ! J'ai pas du tout spoiler n'est-ce pas ?
(Ça existe aussi en BD !!!!)
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Deuxième roman que j'aimerais partager avec vous :

L'histoire (copiée sur Internet parce que, franchement, c'est très long à expliquer) | Quatre Filles et un jean, ou ce qui aurait pu n'être qu'un énième « roman pour filles », est avant tout un roman polyphonique drôle et émouvant, mais surtout intelligent.
Elles sont quatre et inséparables. Quatre adolescentes unies par une amitié indestructible, née avant même leur venue au monde, lorsque leurs quatre mères se croisaient, enceintes, dans un cours de gymnastique. Toujours ensemble, Carmen, Tibby, Bridget et Lena vont pourtant vivre leur premier été éloignées les unes des autres.
Carmen rejoint son père en Caroline du Sud où elle aura le désagrément d'y découvrir une nouvelle famille dont elle se sent exclue, Lena part pour la Grèce chez ses grands-parents, Bridget s'entraîne au foot dans un camp sportif où elle n'a d'yeux que pour un entraîneur, Tibby reste dans leur ville natale où la rencontre de l'intrépide Bayley, âgée de 12 ans et atteinte de leucémie, bouleverse le cours de son existence.
Pour ne pas briser le lien entre elles, les jeunes filles décident de porter à tour de rôle un même jean, magique parce que toutes, aussi différentes soient-elles, le portent à merveille. De semaine en semaine, le jean voyage donc en passant de l'une à l'autre, symbole de leur amitié et témoin des expériences qui les feront grandir, le temps d'un été.
L'écriture toute sensible d'Ann Brashares, tantôt drôle, tantôt émouvante, épouse à merveille les caractères bien trempés de chacune des filles dans lesquelles les lectrices se reconnaîtront sans peine. Roman polyphonique admirablement construit, qui donne tour à tour la parole aux quatre adolescentes, Quatre filles et un jean est assurément un roman pour filles. Et parce qu'elle rend subtilement les tourments et les préoccupations de l'adolescence au féminin avec pudeur et sans niaiserie aucune, Ann Brashares prouve superbement qu'il est possible aujourd'hui d'écrire des romans pour filles intelligents. Il était temps.

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Et enfin ! La dernière chose qui, cette fois est en 1 tome... bah oui hein..

L'histoire (encore copiée, désolée) | Quand Mouss et Lili tombent amoureux l'un de l'autre, c'est dans le service d'hématologie du Docteur Hope, le médecin-musicien le plus génial et le plus dingue de la terre.
Les deux ados ne savent pas encore que leur vie va bientôt basculer du coté du rêve. Ils n'imaginent pas que grâce à leurs talents d'artiste soudain révélés, ils vont passer des néons de l'hôpital aux sunlights des studios.
Comme quoi, il faut toujours croire en sa bonne étoile...

Fini pour aujourd'hui !!

Summer

Ultime incitation à visiter l'exposition Tadjikistan - Au pays des fleuves d’or actuellement en place au rez-de-jardin du musée Guimet (Paris 16), qui prendra fin le 10 janvier 2022, soit très prochainement alors bougez-vous wsh.

1. L'expo a pour sujet une région dont on parle très rarement, assez méconnue du grand public alors qu'il s'agit d'une plaque tournante, longtemps un point de passage des routes de la soie (mais pas que), passé sous multiples influences culturelles et politiques à travers les âges mais qui développe tout de même un art bien à lui (et tout à fait appréciable). Quelles interactions avec la Chine, le Moyen et Proche-Orient, ce qu'ont changé les perses achéménides, et j'en passe. Ça se régurgite très bien en soirée fils de profs + théâtreux.

2. C'est merveilleusement bien fait. Je conçois tout à fait combien les collections permanentes du musée Guimet peuvent paraître inabordables, inaccessibles sinon mystiques, et comment la visite de ce merveilleux musée peut rapidement tourner au calvaire. C'est le vécu qui parle, l'art bouddhique extra-indien c'est toujours un mystère pour moi.
Alors au grand bonheur de tous, l'exposition nous emmène pas à pas faire un petit tour chronologique et thématique de la région, proprement présentée, avec une grande clarté, tout un tas de cartes et de pancartes disséminées là où il faut pour nous expliquer le pourquoi du comment de l'art des steppes à différents moments de son histoire.

3. Il y a de très, très très très beaux objets, dont une merveilleuse paire de boucles d'oreilles en forme de coq orfévrés. Et puis plein d'autres choses qui, à défaut de ravir les regards, témoignent de leurs histoires et usages. Même les bouts de bois calciné si si.

4. C'est une occasion unique de voir un certain nombre des pièces présentées, dont une majorité est issue des collections nationales du Tadjikistan, et je doute que quiconque ici n'y mette les pieds prochainement mentez pas je vous vois, tous, alors autant les scruter pendant qu'elles sont encore à Paris. D'ailleurs le site du musée des antiquités nationales du Tadjikistan est absolument immonde, rendant la visite des collections en ligne quasiment impossible.

5. C'est gratuit (premier dimanche du mois, moins de 26, etc), accessible en métro, très sympa à visiter, pas trop long, linéaire (impossible de s'y perdre) souvent assez calme parce qu'il n'y a que des vieux qui viennent à Guimet, ce qui en fait somme toute une excellente sortie à n'importe quel moment de la semaine. Zéro excuse.

Franchement allez-y, ça ne mange pas de pain, et puis en-dehors des expos, ça nous prouve que les musées c'est la vie et ça ne se limite pas au Louvre bondé du samedi matin et les antiquités orientales insaisissables faute de panneaux explicatifs.

Bonsoir !

Voilà un sujet qui a de quoi m'inspirer et me délier la langue (qui est pourtant déjà pas mal déliée de base alors c'est vous dire à quel point j'ai envie de causer).

Pour commencer, quelques excellents livres...

Les Oiseaux du Temps un roman de science-fiction épistolaire. Bleue et Rouge sont respectivement affiliées au Jardin et à l'Agence, deux institutions futuristes engagées l'une contre l'autre dans une guerre du temps aux fins imprécises. Leurs agents voyagent à travers le temps pour se piéger, s'anticiper, se détruire. Bleue et Rouge, fidèles à leur camp, se détestent. Elles s'écrivent dans le temps, ne se rencontrent jamais. Elles se narguent, se provoquent, se jaugent, s'admirent, s'aiment. Les plumes d'El-Mohtar et de Gladstone sont sublimes de poésie. J'ai eu du mal à apprivoiser ce roman car le contexte et les actions concrètes que mènent Bleue et Rouge sont difficiles à comprendre ; il m'a fallu un certain temps pour réaliser que tout ceci était voulu et que quand un propos est véritablement poétique, ce n'est pas au concret qu'on touche, mais à l'abstrait. Il faut lire au-delà des mots, des verbes, il faut s'abandonner à la sensibilité des deux auteurs pour pouvoir y lire cette déclaration d'amour à l'amour. Un roman d'une intelligence rare ; qui vous ennuiera ou vous marquera profondément, mais à qui il faut laisser une chance, car s'il parvient à vous toucher, ce sera pour toujours.

J'ai lu Kafka sur le rivage de Murakami au pire moment de ma vie. J'ai passé toute mon existence à la recherche d'un sens, mais à cette période-là, il faisait si noir en moi que je trébuchais sur chaque idée et je faisais vaciller chaque lumière que j'apercevais. Un peu au hasard, j'ai lu Kafka sur le rivage. J'avais besoin de réponses. J'avais besoin de croire - en l'existence, en la beauté, au futur, au sens. Je ne pensais pas que ce livre m'y aiderait, pourtant ça a été le cas. Je ne sais pas pourquoi. Amélie Nothomb, quand elle parle de ce livre, dit : "c'est un chef d'œuvre mais je suis incapable de vous dire pourquoi". Quels que soient vos interrogations et vos doutes, je crois que ce livre peut vous aider si vous êtes prêts à l'écouter, mais je suis incapable de vous dire comment.

Je ne m'attarderai pas dessus parce que c'est classique qui n'a plus besoin qu'on le présente mais s'il y a un livre qu'il faut avoir lu dans sa vie, c'est selon moi Voyage au bout de la nuit. Je le déconseille par contre aux mineurs.

Quelques séries marquantes !

C'est une série très connue mais si vous ne l'avez pas encore fait (et que vous avez plus de seize ans), filez voir Sense8 ! Les personnages sont très bien écrits, le scénario et les dialogues aussi, et les paysages sont à couper le souffle (la série n'utilise aucun fond vert).

BoJack Horseman est une pépite de cynisme. Il s'agit d'une série animée pour adultes qui explore des thèmes aussi variés que les addictions, la dépression, la quête d'identité en tant qu'adulte et la politique sur un ton faussement léger, avec beaucoup d'humour et d'intelligence. C'est très drôle et très émouvant.

The OA est une série de science-fiction que je n'ai toujours pas totalement comprise mais que j'ai vraiment adorée. Je ne peux pas trop en dire car découvrir quel thème la série aborde et de quelle façon fait partie intégrante du plaisir, mais je peux vous dire ceci ; une jeune femme aveugle disparait pendant sept ans puis revient un jour chez ses parents, dans son village natal. Elle a retrouvé la vue.

Il faut pas me lancer sur DARK parce que je pourrais passer trois jours à en lister les qualités mais je vais me limiter et vous dire ceci ; il s'agit d'une série de science-fiction allemande sur les voyages dans le temps. Les auteurs se sont inspirés des pensées de philosophes pour écrire la série et ça se ressent. Je ne suis pas particulièrement intéressé par les réflexions sur le temps mais DARK, en partant de la simple idée de l'éternel retour de Nietzsche, a produit trois saisons d'une fascinante complexité et m'a beaucoup donné à penser sur l'éternité et le destin ; c'est en fait ce que devrait logiquement explorer toute œuvre de science-fiction qui inclut des voyages dans le temps, car provoquer le futur, c'est induire la nécessité des événements à venir, et donc éliminer la possibilité même d'être libre. L'idée de boucle temporelle comme un enfer métaphysique a énormément de potentiel et il a été exploité avec brio, à voir !

Plus récemment j'ai découvert À découper selon les pointillés, une série animée italienne courte, de six épisodes seulement, dans laquelle un auteur de bande-dessinée part en introspection folle et revient sur les moments les plus marquants de sa vie avec beaucoup d'humour. Je n'ai pour l'instant vu que quatre épisodes sur les six (je compte regarder les deux derniers ce soir) mais il m'est déjà arrivé de rire à haute voix puis d'avoir les larmes aux yeux dix secondes après pendant mon visionnage.

Quelques films et documentaires

J'ai fini Petite fille de Lifshitz hier, un documentaire sur une enfant transgenre et son parcours. Il est bien filmé et le sujet est abordé avec respect et délicatesse. Je le conseille à tous mais surtout aux gens qui n'y connaissent rien à la transidentité.

Je conseille Au Poste ! de Dupieux qui est un film hilarant mais il faut aimer l'absurde. Je l'ai largement préféré à Réalité, plus connu mais que j'ai trouvé moins drôle et trop gore.

Un flot de musiques

En vrac je conseille ; le nouvel album de Stupeflip ; I'm That Guy d'Agar Agar ; Ulysses and the Sea de Papooz ; Territory de The Blaze ; Needle On The Record de Naomi ; Ecoutez-moi de Bagarre ; et O Superman de Laurie Anderson, la plus belle chanson du monde.

Bonjour! Je viens de lire un livre que franchement j'ai bien aimé, alors je tenais à vous en faire part:

Titre: Mémoires d'une pirate
Autrice: Celia Reese
Maison d'édition: Seuil
Langue originale et traduction: Anglais, traduit par Anne-Judith Descombey

RÉSUMÉ:
Comment deux jeunes filles que tout sépare -l'une anglaise, issue de la meilleure société et propriétaire terrienne, l'autre métisse et esclave dans une plantation jamaïcaine- peuvent-elles faire le choix de devenir pirates, se propulsant ainsi dans un univers trépidant, soit, mais également sanguinaire et exclusivement masculin?
Des Antilles aux côtes africaines, des goélettes battant pavillon noir aux négriers sordides et puants, suivons Nancy et Minerva qui, dans un monde régi par la recherche du pouvoir et les préjugés raciaux, feront le rude apprentissage de la liberté.

Franchement j'ai trouvé ce livre assez passionnant et en même temps simple à lire, je dirais une semaine tout au plus si on se plonge vraiment dedans. Les personnages sont cool et l'histoire est originale et vraiment bien racontée, je conseille!
PS: si jamais quelqu'un est inspiré et décide de le lire ou l'a déjà lu, bouboutez-moi, je serai heureuse de partager ça avec vous!