Observant son camarade, elle avait en effet l’impression que la danse ce n’était pas vraiment son truc, elle ne s’était jamais mise du côté des garçons, elle-même n’ayant pas fait de danse de couple, mais elle en avait vu faire et c’est vrai que tout contrôler ne devait pas être évident. Quant à l’escalade, quand il proposa les arbres jumeaux, Aliénor eu le souvenir de sa rencontre avec Eileen, la tête en bas, la jambe coinsée, incapable de se sortir de là seule. Ce n’était peut-être pas une super idée. Puis Cambridge ? Ce n’était pas à côté de Bristol dans les souvenirs de la jeune Delphillia, même si elle n’était clairement pas la meilleure en géographie. Et puis après les vacances, elle avait vraiment du mal avec les moldus, ses amis croyant un peu tout ce qu’on leur racontait, elle avait bien du mal à être à l’aise avec des gens qui voulaient la mort de son « espèce ».

-On trouvera bien un moyen, il y a une partie des fondations du château dans l’eau non ? On peut essayer là-bas.

L’arrivée de leur première année, la vue sur le château éclairé les pieds dans l’eau, elle se souviendrait toujours de ce jour. Alors y retourner, mais cette fois pour apprendre un nouveau sport ? Ce serait génial ! Que de bons souvenirs avec cet endroit. Du moins elle l’espérait.

Son regard se posa de nouveau sur Jacob. Ils avaient le même âge, ils avaient appris les mêmes choses, tous les deux ont été ou sont joueurs de quidditch et visiblement les deux sont fan de sport. Alors pourquoi le connaissait-elle si peu ? La jeune Delphillia avait l’impression d’être passée à côté de tellement de personnes, elle avait des moments à rattraper. Mais son carractère n’aidait pas et elle ne le savait que trop bien. Ses sautes d’humeur, ses provocations, et son côté colérique faisait qu’elle était loin de n’avoir que des amis à Poudlard, notamment parmi les joueurs de quidditch. Quoi que jusque-là, c’était principalement avec les Serpentards qu’elle avait des problèmes. Mais ce qu’elle pouvait faire ou dire en match… Ca ne lui apportait que rarement l’approbation des autres.

Elle secoua la tête de droite à gauche avant de reposer son regard sur le garçon, si ça se passait bien, elle ne voulait pas gâcher le moment.

-Ok, on fait un truc. Le premier qui fait le tour complet du stade doit faire un gage.

Si elle pouvait apprendre des choses en s’amusant, elle était clairement partante. Elle se plaça à côté des anneaux.

-Par l’extérieur des grandes tribunes bien entendu. Partant ? Et après on verra pour organiser un cours d’escalade plus tard ! Et reprendre notre entrainement de surf ! Promis ?

Elle ne voulait pas que ce soit des paroles en l’air, elle en avait marre de rester cantonner à son cercle d’ami restreint et rassurant et au combien, elle avait fait des erreurs et surtout celle de ne pas découvrir assez de monde, elle voulait se rattraper.

Dans une bande-dessinée moldue, le chef des Romains disait : *Je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu.*. Moi, j’avais parcouru, m’étais perdu, avais reconnu. Poudlard pas après pas. Patrouiller. Se perdre. Repartir. Les recoins de ce château, le réseau de ces couloirs et directions étaient devenus mon terrain de prédilection. Je traçais mon bout de route sans aucun doute. Mon attention fut alors immédiatement retenue par trois mots. *Fondations du château*. En trois instants, je pus me figurer le chouette endroit et hocher la tête avec enthousiasme.

*tour complet* : c'était un défi. Pouce gauche levé, la main droite sur le balai, un oui et c'était parti. Je donnais une impulsion puis me laissai glisser. Sensation de suspension. Plus de temps. Oublié. On atteint un moment où les gestes de contrôle du balai sont tellement ancrés qu'on ne les sent plus. Ni le vent. En se penchant, on fait corps avec le balai, le balai et soi, rien autour. Seulement les battements du coeur et la sensation de bonheur, immense, grand comme le vide autour de soi, qui nous frôle le bout des doigts.

On contrôle tout sur le bout de ses doigts, tout est équilibré et pourtant... cette sensation de liberté, vertigineuse, infinie s'empare de soi, encore une fois. Penché sur le balai, si proche de soi, qu'on fait corps.

L'intensité de l'adrénaline qui pulse dans le front, monte dans le corps. Voler à pleine vitesse. Sensation forte. Plus on prend de vitesse, plus le danger se rapproche. L'attrapeur des Ailes d'Airain a chuté de plusieurs mètres. Mais le plaisir d'être enveloppé de l'espace en volant est si grand. C'est difficile de résister à l'envie d'y retourner, de se dépasser. D'être plus puissant que le grand vent.

Et à un moment, au ralentissement du tournant, le vent glisse dans les doigts, atteint les oreilles, chatouille le visage. Retour immédiat au paysage. La bulle se brise et tout semble lent. C'est le stade auquel on reste en match. Où l'on peut saisir du regard les balles et les adversaires.

Première tribune contournée : ok. Vint la grande ligne droite, à nouveau, la tentation de fixer ses propres règles, à nouveau, l'inclination vers cette grande sensation de vivre à fond dans le vol, une sensation intense et si douce à la fois. A plusieurs mètres au-dessus du sol. A plusieurs mètres au-dessus de la banalité sans intensité du quotidien en-bas.

Arriva la deuxième tribune. A cette distance des tribunes pendant les matchs, on entend les acclamations. Comme on entendrait un bruit de fond. Sans l'écouter. A oreille entraînée, le bruissement discret des ailes d'un viffet glissant tout doucement dépasse celui des applaudissements les plus abondants.

Elle est là, je la vois troisième tribune, rouge et or. Virage-contournement en vue. Comme une familière tant je l'ai fréquentée, remuant, souriant, acclamant, encourageant. Bruyamment présent. Y frappant bientôt mon tambour dans un bruit sourd. Batteur dans la fanfare.

La jaune et noir qui restait devant nous était la "tribune aux oiseaux" (•) depuis le précédent match. Encore un quart de grand tour et j'atteignais le bout du stade pour les gages.

J'en profitais pour tourner la tête vers Alienor : "L'escalade : avec plaisir ! Le surf, on peut aussi réessayer ! Promis !". C'était résistant, un sourire dans le vent. La brise avait beau pousser derrière, sur les côtés ou devant, les vêtements tremblaient, pas mon grand sourire, fixé.

Après le match record de longueur, le RP record de longueur . Toutes mes excuses pour ce long long retard. Et bravo pour ton match, au passage ! Pour l'ordre d'arrivée à la fin du tour complet du stade, fais comme tu préfères, ce sera parfait

Des courses de balais, Aliénor avait déjà affronté un Gryffondor de cette manière. Ennis O’Belt lors de sa seconde année. Comme quoi faire des courses devenait une habitude et dieu sais qu’elle aimait ça. Avant d’aimer le Quidditch, elle aimait voler et les courses de balai sont essentiellement basés sur le vol, pas de balle, pas d’artifices, juste voler et se fondre avec le vent.

Alors quand le top départ fut lancé, la jeune fille accéléra d’un coup, son esprit de compétition prenant le dessus. Elle était fière, très fière et perdre alors qu’elle avait proposé cette course serait un peu un comble, elle qui était joueuse de Quidditch depuis maintenant 2 ans. Le tour du stade par l’extérieur des tribunes, ni trop long, ni trop court, juste ce qu’il fallait pour que la course soit intéressante mais pas trop épuisante ou ennuyante.

La jeune Delphillia volait au plus près des tribunes, passant devant ses bancs et ses espaces vides habituellement habités quand elle volait de la sorte. C’était apaisant et ça changeait de les voir vides, silencieux. Un sourire étirait les lèvres de la jeune fille alors que le vent faisait voler ses cheveux derrière elle. Les souvenirs la happèrent lors des premiers matchs auxquels elle avait assisté, la première victoire, son premier match en tant que joueuse, les défaites, le match nul face à Gryffondor, les déceptions, les altercations, notamment avec Serpentard, et l’adrénaline, la fierté de ramener la coupe, cette sensation incroyable de sentir le cognard s’écraser contre sa batte puis partir à toute vitesse en direction de sa nouvelle cible… Elle était heureuse sur un balai, il ne fallait pas tergiverser. Elle se sentait libre, sans frontières, pouvant faire et aller où elle voulait. C’était ce qu’elle aimait le plus et se dont elle avait besoin pour se calmer. Lui vol lui apportait beaucoup elle ne pourrait jamais lui rendre. Elle était chanceuse et honnêtement, c’était la seule chose qui lui faisait croire au fait qu’elle était faite pour être une sorcière, parce que son lancé de sort n’était toujours pas au point, tout comme sa relation avec sa baguette pas au beau fixe.

Beaucoup de choses très belles c’étaient passées autour et dans ce stade et heureusement qu’il était là pour accueillir les moments de solitudes de la jeune Delphillia qui aurait déjà brisé quelques nuques sinon.

Le tour passa bien plus vite que prévu et alors qu’ils étaient presque au coude à coude finalement, c’est la jeune Delphillia qui prit de l’avance et passa l’arrivée quelques secondes avant son camarade. Elle se retourna avant de lui sourire.

-Danser sur la table de Gryffondor au petit déjeuner !

Les yeux pétillant de malices elle avait énoncé son gage sans même qu’il ait le temps de lui demander. C’était amusant et bon enfant, en soi il ne risquait rien à réaliser ce genre de défis et elle, et bien elle aurait une matinée commençant par une bonne tranche de rire. Elle essuya son front quelque peu mouillé par la sueur. Avant de redescendre vers les tribunes où ils avaient laissé leurs affaires. Elle sauta de son balai avant de ramasser tout ce qu’elle avait à ramasser.

-Alors pari tenu ? T’as un gage, on se donne un rendez-vous pour escalader les fondations de Poudlard et avant de partir en vacances cet été on test le surf sur balai au-dessus du lac noir.

Une fois qu’il arriva à leur niveau elle lui tendit la main, un peu solennel, mais elle avait vraiment envie de faire tout ça et trouver quelqu’un de téméraire et casse-cou chez Gryffondor était le parfait moyen.

Merci bien! Et t'inquiète pour le retard c'est rien ahah

Dans l'élan grisant du vol, le buste penché sur le balai, j’étais happé par le mouvement, par le moment. Quand je volais vite, j'oubliais. Aussi, je profitai du dernier pic de rapidité pour tourner cette fois la tête du côté d'Alienor quelques instants, laissant filer mon balai droit devant jusqu'à la ligne d'arrivée. J'avais tout donné. Alienor avait gagné. Je négociais un virage pour décélérer, cinq longueurs de balai après, pour être sûr de ne pas couper son chemin.

« Bravo ! » soufflai-je, replaçant mon balai droit vers l'objectif tribunes. La sensation de l’effort qui battait fort encore contre mes tempes me plaisait. Je n'eus pourtant pas le temps de fermer les yeux pour la savourer. Mes yeux s'arrondirent comme des souafles sur mon visage rougi par l'allure quand j’entendis le défi.

Pas que je n'ai jamais réalisé de fantaisies assis, au contraire, du cupsong au concert sur chaudrons improvisé avec Swann. Mais les randonnées debout sur la table dans la grande salle avaient une histoire récente toute particulière. La dernière fois qu’un Gryffondor s’y était essayé pour crier -mon voisin ce jour-là, naturellement, pourquoi faire confortable acoustiquement quand on pouvait faire autrement-, ça avait été un désastre sonore -quinze caisses de yo-yos hurleurs renversées accompagnées de leurs dix ballons criants, en minimisant- et il avait fallu du temps pour apaiser l'onde de choc. Alors depuis le haut fait il y a moins d'un mois, aucun Gryffon n'avait été vérifier le panorama d'ailleurs que des bancs en bas.

Juste après les mots de défi, je me mis à rire aux éclats de bon coeur. Ça promettait. J'y pensais : "Avec un Grammomagique et un Repulso-préfet, ça pourrait faire une mini-matinée céréales-karaoké pour m'accompagner dans la danse. Dommage, ni les bancs de la Grande Salle ni les fauteuils de la salle co' feraient de bonnes chaises musicales..." Le ton trahissait une voix qui hésitait entre parler et rire. C'était donc entendu, je ferais une danse digne de tous les Tarentallegra, un jour où Alienor serait là. Tant qu'elle ne me demandait pas de le faire dans la tenue des cheerleaders. Donner un avis sur la légère tenue n'avait pas été une mince affaire -je voulais juste voir Infini à l'entraînement, moi- : *sexy* ? Ne sachant où poser les yeux avec ces tenues qui découvraient beaucoup, aucun autre mot ne m'était venu, moi qui préférais les tenues amples et pratiques. Oui, danser sur la table serait une patte de doxy avec la liberté de choisir mes habits.



Evidemment, il ne fallut que peu de secondes à ma réponse au défi pour voler de mon balai à celui d'Alienor : « Pari tenu. Tope-là ! ». J'approchai doucement mon balai pour pouvoir toper la main de la Poufsouffle et enchaînais : « Pour les fondations, tu n'auras pas à me le dire deux fois. Ca va être génial, tu verras ! »

« Surfer au-dessus du lac noir ? Bon. On vise les heures de cours de Miller, aucune envie de me faire percer les tympans en le croisant à ce moment. 'Détiens le trophée des hurlements de Poudlard, 'battrait quinze fois Rusard, équivalent 20 cognards. » C'était une question de principe. Au concours de l’inimitié la plus cordiale avec George, je savais redoubler de cordialité. La mienne s’exprimait par une distance de sécurité avec le garçon du dortoir d’à côté, distance que je n'avais pas avec Alienor qui volait à côté.

La batteuse avait un beau regard, pétillant, énergique, un regard à ne pas se laisser faire. De ces regards qu'on redoutait chez les adversaires mais qu’on estimait chez les partenaires. Dans l'effort du corps, tout s'effaçait, il ne restait que le coeur de ce qu'on est. Dans l'effort, le regard nous révélait, à l'endroit comme à l'envers, au gré des roulades du paresseux et des figures à deux. Actions. Emotions. En match, tout s'y jouait. Pour le moment, le mien était rieur à l'idée de ce défi.

Quand nous fûmes descendus de balai, Alienor tendit des paroles et la main. Cette fois, la main ouverte. Je pris une seconde pour essuyer ma paume sur mon pantalon ample. Pas sûr que le mélange de sueur aurait été le contact le plus agréable de Poudlard. Un peu plus doux que les cognards, malgré tout. Je lui serrai la main : « C’est d’accord ! »

Je repris vite fait ma besace, pris quelques gorgées d'eau, avant de reglisser ma gourde dans ma besace et de repartir direction château : « Tu sais quoi Alienor ? Je pense qu’on se ressemble plus que je ne le croyais. Pour être honnête, ton doigt d’honneur du dernier match m'avait un peu interloqué. » Mon regard souriait à ce souvenir.

« Mais finalement tu es une fille audacieuse et énergique et... » Mes yeux se remplirent de malice avant de se tourner vers ceux d'Alienor. "..si j’avais été le Choixpeau, j't’aurais répartie à Gryffondor." Les compliments étaient mon fort, d'abord. Pas du tout provocateurs. Ou alors un p'tit peu, juste dans mes yeux, alors. Mais il y avait un fond de vérité, je trouvais.

Je souris en ne perdant rien de l'observation des effets de ma p'tite provocation."J'ai hâte de voir quelles surprises nous réserveront la danse, les murs des fondations et le Lac Noir !" Je m'entraînerais à l'équilibre avant le Lac Noir. L'idée n'était pas d'y plonger. Le surf sous-marin, le concept attirait tout de suite moins.

C'est possible que ce soit mon dernier post, ou pas loin si on interagit encore sur le trajet . Si c'est le cas, merci beaucoup pour ce RP, qui m'a fait découvrir encore davantage ton personnage : Alienor est redoutable, mais pas que, et j'aime vraiment beaucoup toutes les facettes, merci bien pour ce RP chouette

Visiblement, le Gryffondor était partant pour son petit défi et à vrai dire, elle n’en attendait pas moins d’un rouge. Elle tapa dans la main du garçon alors qu’un grand sourire étirait ses lèvres. Bien évidement s’il s’avérait qu’elle était présente lors de ce show elle ne le laisserait pas seul. La château avait bien besoin de bonne humeur en ce moment et Aliénor serait prête à donner de sa personne. Et en plus il approuva l’idée de faire de l’escalade sur les fondations de Poudlard, si ça ce n’était pas une idée de génie !

-Hâte de m’y mettre !

Elle éclata de rire sans aucune retenue aux paroles du garçon, en effet, le but n’était pas de sa faire prendre, mais en soi elle ne voyait pas ce qu’il y avait de dangereux sur le principe. Elle avait entendu dire que les Japonais s’entrainaient au-dessus de la mer déchainée, alors le lac noir… C’est de la gnognotte à côté. Aliénor se dirigea doucement vers leurs affaires qu’ils avaient impunément abandonnées dans les tribunes.
Une fois les pieds sur quelque chose de palpable, elle s’essuya le front perlé de sueur et rassembla ses affaires, veillant à n’avoir rien perdu. Les deux adolescents scellèrent leur promesse en un serrage de main et c’est alors que le garçon sortit une phrase qui laissa Aliénor immobile, comme mise en pause. Elle soupira finalement en se redressant.

-Je joue pour gagner quand je suis en match, et je me donne à fond alors oui parfois je fais des trucs pas très cool…

Elle le savait, mais au fond elle ne regrettait pas. Ce qu’il se passait sur un terrain de quidditch était différent que tout ce qu’elle avait pu faire auparavant. Ils se donnaient entièrement, corps et âme dans un jeu à la fois dangereux et pourtant si exceptionnel et prenant. Alors oui elle pouvait insulter les autres sur le terrain, mais eux aussi et elle ne leur en tiendrait pas rigueur, parce que tel et le jeu et tout le monde souhaite gagner.

Heureusement il continua et les compliments firent revenir le sourire d’Aliénor, quoi que moins fort qu’auparavant, sur son visage. Elle balança son sac sur son épaule avant de se diriger vers les escaliers, balai en main.

-C’est pas la première fois qu’on me le dit tiens !

Une élève de Poufsouffle lui avait déjà fait la remarque et pourtant elle, se verrais nulle part ailleurs. Mais ça devait être comme ça pour chaque maison, une fois qu’on goute à l’ambiance, à l’amitié, on s’accroche et on a l’impression d’être dans la meilleure maison au monde. Ca devait aussi être la raison pour laquelle tout le monde se donnait autant pour faire gagner des points, ou du moins dans le cas de la jeune fille, ne pas en faire perdre, à sa maison.

-Moi aussi j’ai hâte, t’es un gars sympa Jacob, je suis ravie de pouvoir passer du temps avec toi ! Et encore plus avec ce merveilleux programme !

Une fois en bas des escaliers, Aliénor salua énergiquement le garçon de la main avant d’aller ranger son balai. Finalement venir au stade aujourd’hui lui aura été très bénéfique. Elle venait de gagner une nouvelle personne amicale au château et ce n’était pas si simple pour elle, ayant une fâcheuse tendance à se faire des ennemis. Le sourire qu’elle arborait risquait de rester là durant la soirée au moins.

Merci à toi pour ce RP c'était très sympa, j'ai beaucoup aimé découvrir Jacob également et désolée pour le temps de réponse... A la prochaine!