Prendre conscience de ses limites
De la musique, c'est plutôt doux pour se détendre ou s'endormir. J'ignore pourquoi j'y pense jamais -peut-être parce qu'il est compliqué d'en avoir sur commande. J'ai entendu dire que les moldus avaient des dispositifs technologiques spéciaux pour pouvoir écouter le morceau de leur choix à tout moment, directement projeté dans leurs oreilles. Moi aussi, j'aurais bien aimé avoir quelque chose comme ça.
Fermant les yeux, je commence doucement à imaginer chaque détail d'un tel appareil. J'y visualise des morceaux de fer, des ressorts et diverses minuscules plaques ferriques contenant des informations -j'imagine les assemblages, l'apparence d'une telle merveille. L'art de concevoir de tels objets doit être aussi passionnant que les potions.
Au fur et à mesure que les images se précisent dans ma tête, je perds contrôle de mes pensées -et au raisonnement se succède l'imagination du subconscient. J'entends tout juste un « Dors bien, Lest Noestlinger » auquel je réponds un vague « maman » avant de voir apparaître plusieurs gobelins penchés sur leurs ouvrages, chacun travaillant sur des pièces différentes. Un grand moldu en costard leur lance des centaines de gallions, les motivant à travailler davantage -mais ils ne tardent pas à se révolter et renverser le système économique moldu pour s'enrichir et se libérer de l'emprise humaine sorcière et non-sorcière.
La bibliothèque, les révisions et les travaux en cours sont partis bien loin. Elizabeth Le Gall n'existe plus -il n'y a personne autour de moi. Je suis seul plongé dans mon sommeil, et me réveille seulement quelque fois un fourmillement dans un bras engourdi ou une jambe endolorie par la position -jusqu'à l'heure de fermeture de la bibliothèque où l'on vient gentiment me réveiller.
Fermant les yeux, je commence doucement à imaginer chaque détail d'un tel appareil. J'y visualise des morceaux de fer, des ressorts et diverses minuscules plaques ferriques contenant des informations -j'imagine les assemblages, l'apparence d'une telle merveille. L'art de concevoir de tels objets doit être aussi passionnant que les potions.
Au fur et à mesure que les images se précisent dans ma tête, je perds contrôle de mes pensées -et au raisonnement se succède l'imagination du subconscient. J'entends tout juste un « Dors bien, Lest Noestlinger » auquel je réponds un vague « maman » avant de voir apparaître plusieurs gobelins penchés sur leurs ouvrages, chacun travaillant sur des pièces différentes. Un grand moldu en costard leur lance des centaines de gallions, les motivant à travailler davantage -mais ils ne tardent pas à se révolter et renverser le système économique moldu pour s'enrichir et se libérer de l'emprise humaine sorcière et non-sorcière.
La bibliothèque, les révisions et les travaux en cours sont partis bien loin. Elizabeth Le Gall n'existe plus -il n'y a personne autour de moi. Je suis seul plongé dans mon sommeil, et me réveille seulement quelque fois un fourmillement dans un bras engourdi ou une jambe endolorie par la position -jusqu'à l'heure de fermeture de la bibliothèque où l'on vient gentiment me réveiller.
Plaisir partagé ! On remet ça quand tu veuxFin du RP
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♦ Étudiant.e à l'IMSM - #b45f06 ♦
Appelez-moi Ada ou Lest ! ♦
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