La salle de bal
La réponse d’Hestia ne se fait pas attendre, et la dureté de son ton me laisse confuse. Alors ça viendrait vraiment de moi ? Je n’ai vraiment rien senti avant sa chute, pourtant. Ou alors… Ou alors, son humeur vient de notre danse, juste avant. Mais on a gagné, et il m’avait semblé que cela s’était plutôt bien passé. Je ne comprends vraiment plus rien.
Le regard perdu, je rate un pas et suis rattrapée par la prise de ma partenaire, qui me serre tellement le bras que je commence à avoir des fourmis dans les doigts. Ce n’est vraiment pas agréable, et j’ai envie de rentrer au dortoir pour me réfugier sous ma couverture. Qu’est-ce que j’ai fait pour en arriver là ?
Heureusement, la Gryffondor relâche enfin sa prise, et les sensations reviennent dans ma main. Son ton a changé, elle a l’air d’aller un peu mieux - mais je trouve que ses réactions sont vraiment bizarres. Je reste sur mes gardes : je n’ai pas envie qu’elle passe sa colère sur moi, même si j’en suis potentiellement la cause.
Alors que je m’apprête à lui demander ce qui lui a déplu dans mon comportement, et à m’excuser pour cela, Hestia m’explique la raison de son air fulminant. Incrédule, je hausse un sourcil. Si je m’attendais à ça… Donc tout va bien, je n’y suis pour rien dans la chute de ma partenaire de danse.
Visiblement soulagée, je suis le regard de la deuxième année, sans repérer ce qu’elle souhaite me montrer. Des gens pas très fréquentables ? Geneva ? Ce nom me dit quelque chose, mais j’ai très peu parlé avec cette fille de Serdaigle. Si elle fait des croche-pieds aux gens, comme ça, il faut dire que cela ne me donne pas très envie de plus la connaître. Pour quelle raison faire tomber d’autres élèves ? Remarque, l’animosité qu’Hestia a montré juste avant est du même niveau : j’en ai encore mal au poignet…
« Euh… D’accord, si tu le dis. », réponds-je simplement, avec l’impression de marcher sur des œufs.
Bien heureusement, je suis libérée du malaise croissant par Herminie, la Préfète de Poufsouffle, qui vient nous proposer une danse de groupe. Les yeux brillants, je saute sur l’opportunité - c’est une super idée !
« Oh oui ! Ça te dit ? Allez on y va ! », m’exclamé-je en me tournant de nouveau vers Hestia.
Presque en courant, j’entraîne la Gryffondor dans la ronde en train de se former et m’applique à suivre les pas. J’ai du mal, et pire, j’ai l’impression d’être à contretemps pendant tout le début de la chanson. Pourtant, ce n’est pas si compliqué, et en plus la musique est bien… Au fur et à mesure que les temps passent, je prends de l’assurance, et ma danse ressemble de plus en plus à ce qui est montré par la troisième année. Un sourire aux lèvres, je me dis que bon, c’est déjà ça.
Le regard perdu, je rate un pas et suis rattrapée par la prise de ma partenaire, qui me serre tellement le bras que je commence à avoir des fourmis dans les doigts. Ce n’est vraiment pas agréable, et j’ai envie de rentrer au dortoir pour me réfugier sous ma couverture. Qu’est-ce que j’ai fait pour en arriver là ?
Heureusement, la Gryffondor relâche enfin sa prise, et les sensations reviennent dans ma main. Son ton a changé, elle a l’air d’aller un peu mieux - mais je trouve que ses réactions sont vraiment bizarres. Je reste sur mes gardes : je n’ai pas envie qu’elle passe sa colère sur moi, même si j’en suis potentiellement la cause.
Alors que je m’apprête à lui demander ce qui lui a déplu dans mon comportement, et à m’excuser pour cela, Hestia m’explique la raison de son air fulminant. Incrédule, je hausse un sourcil. Si je m’attendais à ça… Donc tout va bien, je n’y suis pour rien dans la chute de ma partenaire de danse.
Visiblement soulagée, je suis le regard de la deuxième année, sans repérer ce qu’elle souhaite me montrer. Des gens pas très fréquentables ? Geneva ? Ce nom me dit quelque chose, mais j’ai très peu parlé avec cette fille de Serdaigle. Si elle fait des croche-pieds aux gens, comme ça, il faut dire que cela ne me donne pas très envie de plus la connaître. Pour quelle raison faire tomber d’autres élèves ? Remarque, l’animosité qu’Hestia a montré juste avant est du même niveau : j’en ai encore mal au poignet…
« Euh… D’accord, si tu le dis. », réponds-je simplement, avec l’impression de marcher sur des œufs.
Bien heureusement, je suis libérée du malaise croissant par Herminie, la Préfète de Poufsouffle, qui vient nous proposer une danse de groupe. Les yeux brillants, je saute sur l’opportunité - c’est une super idée !
« Oh oui ! Ça te dit ? Allez on y va ! », m’exclamé-je en me tournant de nouveau vers Hestia.
Presque en courant, j’entraîne la Gryffondor dans la ronde en train de se former et m’applique à suivre les pas. J’ai du mal, et pire, j’ai l’impression d’être à contretemps pendant tout le début de la chanson. Pourtant, ce n’est pas si compliqué, et en plus la musique est bien… Au fur et à mesure que les temps passent, je prends de l’assurance, et ma danse ressemble de plus en plus à ce qui est montré par la troisième année. Un sourire aux lèvres, je me dis que bon, c’est déjà ça.
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@Hestia Andrew @Herminie Peers
@Hestia Andrew @Herminie Peers
Dernière modification par Megan Arrington le 21 nov. 2019, 21:10, modifié 1 fois.
6ème année RP - 17 ans - #783F04
Préfète inRP depuis mai 2047 - MERLIN (Perly) - club de courses de balais - Hel's Angels
"Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin !" #PouffyFamily
La salle de bal
Événement en cours : annonce des résultats de l'élection de la Reine des Sorcières et discours de la nouvelle Reine.
Nécromancienne - Mère du dragon - Détentrice de la Baguette de Sureau et du Retourneur de Temps
~ if i wasn’t a narcissist i wouldn’t like me either ~
@Mentionnez-moi pour activer le Tabou
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La salle de bal
Précédemment I, II et III
@Carry Harrison
@Christopher Martin
Il n’y avait pas vraiment de mot pour décrire l’état dans lequel se trouvait Alice. C’était un savant mélange, un mariage entre plusieurs émotions parfois contradictoire. La colère, la déception, l’angoisse, la tristesse, la rancune s’entrelaçaient dans le palpitant de l’enfant.
Ses sourcils froncés, la petite fille écoutait les piteuses explications de Christopher. Comment pouvait-il ne pas se rendre compte de son impolitesse ? Il avait fait fuir Saul, et Alice était persuadée qu’il en était satisfait. Ce pauvre Saul si charmant, si amusant. Et si poli.
Avant qu’Alice ne puisse dire quoi que ce soit - et elle en a avait des choses à dire - , Christopher lui fut arrachée. Une main de sourire avait attiré son amoureux en arrière. Ses yeux arrondis par la surprise et l’incompréhension, Alice entendit à peine l’invitation d’Herminie à cette ronde, cette danse, qu’importe. Elle remua la tête, articula un « non », toute son attention portée sur le rapprochement qui avait lieu entre la bête à poil et Christopher. C’était qui celle la, pour l’appeler "Chris" ? Comment osait-elle poser sa main sur lui ?
Et puis, une cascade glacée s’abattit sur les épaules d’Alice alors que l’autre prononçait son nom, juste son nom.
Carry Harrison. Bien sûr.
La mâchoire d’Alice s’était presque immédiatement serrée, comme pour retenir sa fureur derrière ses dents. Ses doigts cramponnés autour du frêle bouquet de rose tremblaient un peu. Ce poing, elle mourrait d’envie de l’enfoncer dans la gorge de Harrison pour la forcer à ne plus prononcer le moindre mot.
La voir voler au secours de Christopher n’était pas étonnant. Ce charognard n’aurait jamais manqué cette occasion de s’approprier son amoureux, comme elle l’avait déjà fait avec Brett.
La rage, comme une bourrasque enflammée, menaçait de s’abattre sur la brune.
« Quelle surprise de te retrouver là, toi. » cracha Alice en regardant Harrison avec cette haine qu’elle n’adressait qu’à sa pire ennemie. Le ton était froid, dénué du moindre soupçon de sentiment positif. Face à cet oiseau là, Alice était incapable de ressentir autre chose que de la fureur.
Une fureur qui, désormais, n’était plus pour Christopher. Bien sûr, Alice voulait lui expliquer point par point pourquoi elle était en colère contre lui. Mais ce serait du miel pour ce vautour de Harrison.
Plus loin, on annonçait les résultats de l’élection de la Reine des Sorcières. Herminie avait gagné. Alice aurait été heureuse pour elle, quoi que déçue de ne pas avoir été couronnée... mais à ce moment précis, son cœur était noirci par la haine. Et cette haine, en guise de couronne, ferait bientôt d’elle la reine de la violence si cette peste ne s’éloignait pas rapidement de son amoureux.
Sixième année RP - 741B47
Étudiante à Beauxbâtons depuis Janvier 2046
Fondatrice du MERLIN
@Carry Harrison
@Christopher Martin
Il n’y avait pas vraiment de mot pour décrire l’état dans lequel se trouvait Alice. C’était un savant mélange, un mariage entre plusieurs émotions parfois contradictoire. La colère, la déception, l’angoisse, la tristesse, la rancune s’entrelaçaient dans le palpitant de l’enfant.
Ses sourcils froncés, la petite fille écoutait les piteuses explications de Christopher. Comment pouvait-il ne pas se rendre compte de son impolitesse ? Il avait fait fuir Saul, et Alice était persuadée qu’il en était satisfait. Ce pauvre Saul si charmant, si amusant. Et si poli.
Avant qu’Alice ne puisse dire quoi que ce soit - et elle en a avait des choses à dire - , Christopher lui fut arrachée. Une main de sourire avait attiré son amoureux en arrière. Ses yeux arrondis par la surprise et l’incompréhension, Alice entendit à peine l’invitation d’Herminie à cette ronde, cette danse, qu’importe. Elle remua la tête, articula un « non », toute son attention portée sur le rapprochement qui avait lieu entre la bête à poil et Christopher. C’était qui celle la, pour l’appeler "Chris" ? Comment osait-elle poser sa main sur lui ?
Et puis, une cascade glacée s’abattit sur les épaules d’Alice alors que l’autre prononçait son nom, juste son nom.
Carry Harrison. Bien sûr.
La mâchoire d’Alice s’était presque immédiatement serrée, comme pour retenir sa fureur derrière ses dents. Ses doigts cramponnés autour du frêle bouquet de rose tremblaient un peu. Ce poing, elle mourrait d’envie de l’enfoncer dans la gorge de Harrison pour la forcer à ne plus prononcer le moindre mot.
La voir voler au secours de Christopher n’était pas étonnant. Ce charognard n’aurait jamais manqué cette occasion de s’approprier son amoureux, comme elle l’avait déjà fait avec Brett.
La rage, comme une bourrasque enflammée, menaçait de s’abattre sur la brune.
« Quelle surprise de te retrouver là, toi. » cracha Alice en regardant Harrison avec cette haine qu’elle n’adressait qu’à sa pire ennemie. Le ton était froid, dénué du moindre soupçon de sentiment positif. Face à cet oiseau là, Alice était incapable de ressentir autre chose que de la fureur.
Une fureur qui, désormais, n’était plus pour Christopher. Bien sûr, Alice voulait lui expliquer point par point pourquoi elle était en colère contre lui. Mais ce serait du miel pour ce vautour de Harrison.
Plus loin, on annonçait les résultats de l’élection de la Reine des Sorcières. Herminie avait gagné. Alice aurait été heureuse pour elle, quoi que déçue de ne pas avoir été couronnée... mais à ce moment précis, son cœur était noirci par la haine. Et cette haine, en guise de couronne, ferait bientôt d’elle la reine de la violence si cette peste ne s’éloignait pas rapidement de son amoureux.
Sixième année RP - 741B47
Étudiante à Beauxbâtons depuis Janvier 2046
Fondatrice du MERLIN
La salle de bal
Tu remercies Edwin d'avoir accepté, danser avec lui t'avait fait du bien. Vous avez pu parler un peu mais il est vrai que trois minutes, c'est assez court et tu te promets de lui reparler un de ces jours. Tu le quittes heureuse et tu t'apprêtes à rejoindre ton cavalier de la soirée, quand tu vois avec qui il a dansé.
Tess...
Tu te stoppes net. Tu sens les larmes monter. S'il y a bien une chose que tu ne souhaitais pas voir arriver, c'était bien que ta cousine se rapproche de lui. Tu te doutes qu'elle ne l'a pas fait par pur hasard.
Tu ne sais pas trop quoi faire, tu te vois mal exploser durant le bal, ce n'est vraiment pas le moment. Tu tentes de te calmer et tu n'en as pas vraiment le choix, vu que ton meilleur ami marche dans ta direction. Tu finis simplement par lui demander :
- Tout va bien ?
Question en général si banale mais si importante pour toi en ce moment : Ta cousine n'a pas l'air de lui avoir fait du mal mais tu ne sais pas si cela doit te rassurer ou t'horrifier encore plus.
Tu n'as pas le temps de te soucier de la troisième année car en face de toi, l'ambiance semble électrique : Tu reconnais facilement Alice et Carry qui n'ont pas l'air de s'entendre à merveille : Tu ne t'es jamais demandé comment ces deux-là s'entendaient et pourtant, c'est tout comme si tu t'apprêtais à le savoir dans les minutes qui suivent.
- Il se passe quoi là ?
Tu chuchotes à l'oreille d'Alexei, inutile de se faire remarquer.
La journée du 2 septembre te revient en tête : Tu te souviens encore regretter la lâcheté que tu as eue de ne pas défendre Carry, simplement car cela aurait pu te mettre en danger : Aujourd'hui, tu n'hésiteras pas : Si quelque chose arrive à Carry, tu seras prête à intervenir, simplement parce que c'est ta meilleure amie et que pour elle, tu ne te gêneras pas d'être au centre de l'attention.
Pendant ce temps, la reine du bal est annoncée : Herminie Peers. Tu l'applaudis et tu la félicites sincèrement mais ton regard ne se détache pas de ta meilleure amie et de ta camarade de chambre.
@Alexei Menkins @Carry Harrison
Tess...
Tu te stoppes net. Tu sens les larmes monter. S'il y a bien une chose que tu ne souhaitais pas voir arriver, c'était bien que ta cousine se rapproche de lui. Tu te doutes qu'elle ne l'a pas fait par pur hasard.
Tu ne sais pas trop quoi faire, tu te vois mal exploser durant le bal, ce n'est vraiment pas le moment. Tu tentes de te calmer et tu n'en as pas vraiment le choix, vu que ton meilleur ami marche dans ta direction. Tu finis simplement par lui demander :
- Tout va bien ?
Question en général si banale mais si importante pour toi en ce moment : Ta cousine n'a pas l'air de lui avoir fait du mal mais tu ne sais pas si cela doit te rassurer ou t'horrifier encore plus.
Tu n'as pas le temps de te soucier de la troisième année car en face de toi, l'ambiance semble électrique : Tu reconnais facilement Alice et Carry qui n'ont pas l'air de s'entendre à merveille : Tu ne t'es jamais demandé comment ces deux-là s'entendaient et pourtant, c'est tout comme si tu t'apprêtais à le savoir dans les minutes qui suivent.
- Il se passe quoi là ?
Tu chuchotes à l'oreille d'Alexei, inutile de se faire remarquer.
La journée du 2 septembre te revient en tête : Tu te souviens encore regretter la lâcheté que tu as eue de ne pas défendre Carry, simplement car cela aurait pu te mettre en danger : Aujourd'hui, tu n'hésiteras pas : Si quelque chose arrive à Carry, tu seras prête à intervenir, simplement parce que c'est ta meilleure amie et que pour elle, tu ne te gêneras pas d'être au centre de l'attention.
Pendant ce temps, la reine du bal est annoncée : Herminie Peers. Tu l'applaudis et tu la félicites sincèrement mais ton regard ne se détache pas de ta meilleure amie et de ta camarade de chambre.
@Alexei Menkins @Carry Harrison
Sixième année RP | #4682B4
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.
La salle de bal
Il me prend la main. Soudainement. Et je me laisse entraîner. J'ai une forte envie de me faire enivrer par les danses qui j'espère vont s'enchaîner. Je lui souris et émet une faible pression dans sa main, pour lui signifier que je le suis.
On s'enfonce dans la foule comme dans les ténèbres. Mais des ténèbres enjoués. De nombreux couples ou même groupes de trémoussent en rythme sur la piste. J'aperçois Herminie, notre préfète d'exception qui propose de danser. Tous ensemble. Comme une famille. Son invitation, même si elle ne m'était peut être pas directement dédiée, me réchauffe. Le cœur.
Sans questionner mon partenaire je lance qu'on viendra peut être après. Plus tard dans la soirée. Pour le moment, il est temps de massacrer les pieds de mon gentil cavalier - ce qui est totalement intentionnel et grandement cliché -. Je danse. Maladroitement. Mais je lâche prise malgré tout.
Les musiques s'enchaînent et je ne me souviens pas si j'échange des mots avec Rufus. Je crois. J'espère. Puis, la reine est annoncée. Et la reine ne pouvait être mieux choisie. Herminie. Minie. Notre préfète. Camarade de dortoir. Une Poufsouffle. Je saisis Rufus par la main. Direction la reine. Ce n'est pas dans mes habitudes de m'imposer mais il est temps de la féliciter. Des "Bravo" et"Je te félicite" ainsi que des " tu es vraiment sublime dans ce déguisement, pas étonnant que tu sois là reine" ponctués par des "dès que tu peux, on ira danser tous ensemble ? Comme tu l'avais proposé !" sortent de ma bouche, mêlés à la musique qui résonne dans mes oreilles. Souriant de plus belle, j'adresse un petit signe de main à la préfète avant de repartir vers le centre de la foule. [/i]
《Tu veux qu'on continue à danser ? Qu'on mange un bout ? Ou qu'on prenne l'air pendant 5 minutes ? 》demandé-je à Rufus.
Clairement, malgré mes pieds souffrants, la danse me semble une bonne option. Mais une pause ne serait pas de refus. En fait, je ne sais pas ce que je veux faire. On verra bien ce qu'il décidera lui. Dans tous les cas, ça me plaira.
On s'enfonce dans la foule comme dans les ténèbres. Mais des ténèbres enjoués. De nombreux couples ou même groupes de trémoussent en rythme sur la piste. J'aperçois Herminie, notre préfète d'exception qui propose de danser. Tous ensemble. Comme une famille. Son invitation, même si elle ne m'était peut être pas directement dédiée, me réchauffe. Le cœur.
Sans questionner mon partenaire je lance qu'on viendra peut être après. Plus tard dans la soirée. Pour le moment, il est temps de massacrer les pieds de mon gentil cavalier - ce qui est totalement intentionnel et grandement cliché -. Je danse. Maladroitement. Mais je lâche prise malgré tout.
Les musiques s'enchaînent et je ne me souviens pas si j'échange des mots avec Rufus. Je crois. J'espère. Puis, la reine est annoncée. Et la reine ne pouvait être mieux choisie. Herminie. Minie. Notre préfète. Camarade de dortoir. Une Poufsouffle. Je saisis Rufus par la main. Direction la reine. Ce n'est pas dans mes habitudes de m'imposer mais il est temps de la féliciter. Des "Bravo" et"Je te félicite" ainsi que des " tu es vraiment sublime dans ce déguisement, pas étonnant que tu sois là reine" ponctués par des "dès que tu peux, on ira danser tous ensemble ? Comme tu l'avais proposé !" sortent de ma bouche, mêlés à la musique qui résonne dans mes oreilles. Souriant de plus belle, j'adresse un petit signe de main à la préfète avant de repartir vers le centre de la foule. [/i]
《Tu veux qu'on continue à danser ? Qu'on mange un bout ? Ou qu'on prenne l'air pendant 5 minutes ? 》demandé-je à Rufus.
Clairement, malgré mes pieds souffrants, la danse me semble une bonne option. Mais une pause ne serait pas de refus. En fait, je ne sais pas ce que je veux faire. On verra bien ce qu'il décidera lui. Dans tous les cas, ça me plaira.
@Rufus Williams @Herminie Peers
Dernière modification par Maggy Thompson le 26 avr. 2020, 11:20, modifié 1 fois.
Pourquoi passes-tu autant de temps dans ma tête ? Parce qu'il y fait toujours beau.
La salle de bal
Ta présence n'avait pas l'air d'enchanter le petit duo. Galvane n'était pas bien aimable, comme à son habitude. Enfin bon tu t'étais doutée de sa réponse avant de venir, mais pas de chance pour lui, Harriet Greenwood n'était pas une fille qui se préoccupait de savoir si sa présence dérangeait oui ou non. N'est-ce pas ? Pour cela il fallait trouver un petit ange tout gentil, en conclusion : pas toi. L'autre fille également, n'avait pas l'air de sourire.
Alors comme ça, tu l'avais dérangé, lui, l'autre, le garçon philosophe qui tirait quotidiennement la tronche. Comment avait-il pu trouver quelque chose à faire, lui qui se plaignait toute la journée ? Comment pouvais-tu déranger quelqu'un de planté au même endroit depuis plusieurs minutes, qui n'avait pas l'air heureux en arrivant ? Et bien peut-être parce que tu es dérangeante, Harriet, que tu viens toujours au moment où il ne faut pas parce que c'est ton rôle, d'être la maladroite qui vient tout gâcher. C'est ton rôle et ce n'est pas moi qui l'ai choisi.
"Ah bon ? Toi, t'as trouvé une occupation ? Et bien pas désolé de t'avoir dérangé alors, monsieur le philosophe."
Dans ses dents ! S'il croyait qu'il allait se débarrasser de toi comme ça, le petit ! Je crois bien qu'il n'était pas au courant que le paquet intitulé Harriet, on ne s'en débarrassait comme ça.
"Et nan, on s'connait pas. Tant mieux d'ailleurs."
Tu dévisageais méchamment la jeune fille, sans avoir pu retenir la deuxième partie de ta phrase. Tant pis, c'était déjà dit.
Après la danse, tu reconnus ta préfète monter sur scène. C'était donc elle, la reine du bal. Tant mieux, ça lui allait bien. Elle n'était pas méchante mais tu ne la connaissais pas bien. Dans tous les cas tu étais heureuse pour elle, un sourire apparaissait sur tes lèvres tandis que tu l'écoutais parler.
Tu te serais bien approchée pour la féliciter, mais ce n'était vraiment pas ton style. C'est vrai, penser très fort un compliment en l'empêchant de sortir de ta bouche était plus dans tes habitudes que le lâcher en public.
@Galvane Rytz @Athéna Taylor
Et bravo à toi, @Herminie Peers
Alors comme ça, tu l'avais dérangé, lui, l'autre, le garçon philosophe qui tirait quotidiennement la tronche. Comment avait-il pu trouver quelque chose à faire, lui qui se plaignait toute la journée ? Comment pouvais-tu déranger quelqu'un de planté au même endroit depuis plusieurs minutes, qui n'avait pas l'air heureux en arrivant ? Et bien peut-être parce que tu es dérangeante, Harriet, que tu viens toujours au moment où il ne faut pas parce que c'est ton rôle, d'être la maladroite qui vient tout gâcher. C'est ton rôle et ce n'est pas moi qui l'ai choisi.
"Ah bon ? Toi, t'as trouvé une occupation ? Et bien pas désolé de t'avoir dérangé alors, monsieur le philosophe."
Dans ses dents ! S'il croyait qu'il allait se débarrasser de toi comme ça, le petit ! Je crois bien qu'il n'était pas au courant que le paquet intitulé Harriet, on ne s'en débarrassait comme ça.
"Et nan, on s'connait pas. Tant mieux d'ailleurs."
Tu dévisageais méchamment la jeune fille, sans avoir pu retenir la deuxième partie de ta phrase. Tant pis, c'était déjà dit.
Après la danse, tu reconnus ta préfète monter sur scène. C'était donc elle, la reine du bal. Tant mieux, ça lui allait bien. Elle n'était pas méchante mais tu ne la connaissais pas bien. Dans tous les cas tu étais heureuse pour elle, un sourire apparaissait sur tes lèvres tandis que tu l'écoutais parler.
Tu te serais bien approchée pour la féliciter, mais ce n'était vraiment pas ton style. C'est vrai, penser très fort un compliment en l'empêchant de sortir de ta bouche était plus dans tes habitudes que le lâcher en public.
@Galvane Rytz @Athéna Taylor
Et bravo à toi, @Herminie Peers
Sixième année RP / code couleur : #741B47
Harriet-Irma-Flash Greenwood-Mcqueen, prédictions en tout genre en moins d'une seconde !
Venez pénétrer les voiles mystérieux de l’aveniiir !
Harriet-Irma-Flash Greenwood-Mcqueen, prédictions en tout genre en moins d'une seconde !
Venez pénétrer les voiles mystérieux de l’aveniiir !
La salle de bal
Dansant avec beaucoup d’élégance et de grâce dans les bras sûrs et protecteurs de son meilleur ami, Irisia se sentait hors du temps, dans une bulle de bonheur absolu alors qu’il n’y avait plus que lui et elle à ses yeux. Un sourire radieux aux lèvres alors qu’elle virevoltait avec lui, son cœur était gonflé d’émotion alors qu’elle plongeait ses yeux brillants et pétillants dans ceux d’Aliosus. Le temps passait mais l’irlandaise ne le voyait pas, elle n’avait d’yeux que pour son Empereur draconique, ses joues rosissant sous son maquillage.
« Oui. La Reine du bal. J’espère que je gagnerai. Je compte sur toi ! »
Et elle lui pinça gentiment le ventre pour se venger de sa malice. Comment ça la plus convaincante ?! Elle sera la plus voyante bien sûr ! Continuant de danser avec lui, la rousse fut pourtant perturbé par un étrange garçon qui les fixait bizarrement.
« Anathéma Lyndon… ? »
Elle ne le connaissait pas. Curieuse, serrant sa main dans la sienne, Irisia s’avança vers lui et fit un signe de la main à ce serdaigle qui les fixait bizarrement. Mais le juron d’Aliosus n’atteint pas ses oreilles puisqu’elle fut appelée pour le défilé des Reines, c’était sûr qu’elle avait loupé un bon spectacle mais elle avait à faire…
Tandis que ses « adversaires » paradaient sur scène ou ne faisaient rien, la rousse fut désabusée de voir autant de petites filles sages sans envergures ni ambitieux, ni intelligence ! Mais c’était quoi ces filles plates et ternes ?! On était des sorcières, on fait de la magie et c’est Halloween ! C’était quoi ces filles nyan nyan et… Rah ! Plissant le nez de contrariété, Irisia les fixa avec mépris et hauteur, les trouvant tout simplement lamentable et vraiment nulle. Aussi, sortit-elle de son corsage de petites fioles de potions qu’elle avait trouvé dans son kit de potionniste enfant… Discrètement, elle s’avança vers le buffet et agrémenta les verres et les saladier emplis de liquides d’élixir rendant multicolore ou faisant cracher des bulles dès que l’on ouvrait la bouche.
Satisfaite de ce qu’elle venait de faire, ce fut à son tour de se montrer, dévoilant son costume très réaliste avant de descendre pour rejoindre les autres. Et il n’y avait plus qu’à attendre le résultat de la gagnante. Un résultat qui arriva rapidement… Herminie Peers ? Sérieux ? Mais elle faisait partie de ces gourdes qui n’avaient rien fait pour se démarquer durant le bal d’Halloween ! Les élèves de Poudlard étaient tous des idiots… Une moue boudeuse aux lèvres, Irisia renifla et se détourna pour chercher Aliosus et le rejoindre : au moins ses potions étaient toujours mélangées dans les boissons sur le buffet du bal.
« Oui. La Reine du bal. J’espère que je gagnerai. Je compte sur toi ! »
Et elle lui pinça gentiment le ventre pour se venger de sa malice. Comment ça la plus convaincante ?! Elle sera la plus voyante bien sûr ! Continuant de danser avec lui, la rousse fut pourtant perturbé par un étrange garçon qui les fixait bizarrement.
« Anathéma Lyndon… ? »
Elle ne le connaissait pas. Curieuse, serrant sa main dans la sienne, Irisia s’avança vers lui et fit un signe de la main à ce serdaigle qui les fixait bizarrement. Mais le juron d’Aliosus n’atteint pas ses oreilles puisqu’elle fut appelée pour le défilé des Reines, c’était sûr qu’elle avait loupé un bon spectacle mais elle avait à faire…
Tandis que ses « adversaires » paradaient sur scène ou ne faisaient rien, la rousse fut désabusée de voir autant de petites filles sages sans envergures ni ambitieux, ni intelligence ! Mais c’était quoi ces filles plates et ternes ?! On était des sorcières, on fait de la magie et c’est Halloween ! C’était quoi ces filles nyan nyan et… Rah ! Plissant le nez de contrariété, Irisia les fixa avec mépris et hauteur, les trouvant tout simplement lamentable et vraiment nulle. Aussi, sortit-elle de son corsage de petites fioles de potions qu’elle avait trouvé dans son kit de potionniste enfant… Discrètement, elle s’avança vers le buffet et agrémenta les verres et les saladier emplis de liquides d’élixir rendant multicolore ou faisant cracher des bulles dès que l’on ouvrait la bouche.
Satisfaite de ce qu’elle venait de faire, ce fut à son tour de se montrer, dévoilant son costume très réaliste avant de descendre pour rejoindre les autres. Et il n’y avait plus qu’à attendre le résultat de la gagnante. Un résultat qui arriva rapidement… Herminie Peers ? Sérieux ? Mais elle faisait partie de ces gourdes qui n’avaient rien fait pour se démarquer durant le bal d’Halloween ! Les élèves de Poudlard étaient tous des idiots… Une moue boudeuse aux lèvres, Irisia renifla et se détourna pour chercher Aliosus et le rejoindre : au moins ses potions étaient toujours mélangées dans les boissons sur le buffet du bal.
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
La salle de bal
@Alice Sangblanc
@Christopher Martin
Evidemment qu’Alice n’était pas heureuse du tout de voir Carry approchée de son bien-aimé et ça la troisième année le savait très bien que ça allait lui hérisser les poils de la voir s’adresser ainsi à Chris. Mais le but n’était pas d’énerver Alice, non. Énerver Alice était un bonus mais pas une fin en soi, enfin jusqu’à maintenant. Tout ce dont Carry se préoccupait c’était de la situation du jeune Serdaigle qui n’avait pas trouvé les mots pour répondre à la Serpentard et se contenta de répondre de simple mouvement de tête et rien d’autre.
Inutile d’être devin pour savoir la situation dans laquelle ce pauvre était. Tout en sachant que Chris était l’amoureux d’Alice, celui-ci devait sans doute savoir pour les tensions qu’il y’avait entre elle et Carry. De ce fait, celui-ci devait sans doute hésiter à adresser la parole à Carry pour éviter d’empirer son cas qui tatillonnait déjà bien le sol, c’était là la seule explication plausible. En posant simplement son regard sur Alice, Carry pouvait facilement voir que la dame blanche était d’une humeur massacrante au point d’en faire trembler ses petits poings pale tenant le bouquant de fleurs que lui avait faire Christopher. Plus elle restait près de Chris et plus Alice avait du mal à garder le contrôle et c’était exactement ce que Carry voulait. Exposer ce petit monstre qui use de sourire et de belles paroles emmiellées par le mensonge pour plaire aux autres mais pour ça, elle devait le faire sans pour autant faire du mal à Chris, celui-là n’avait rien à faire dans le combat que les deux Serpentard menaient.
Contrairement à Alice, Chris semblait être quelqu’un de bienveillant, rien qu’à la lettre qu’il voulait envoyer, c’était sûr que ce Serdaigle était merveilleux qui se préoccupait des gens qu’il ‘aimait. Lui était gentil, drôle et appréciable, une personne dont Carry voulait absolument avoir dans son cercle d’ami pour ensoleiller son quotidien de tous les jours quand son copain n’est pas là. Mais d’abord il fallait s’occuper de cette peste d’Alice.
-N’ait pas l’air si déçu, tu risquerais de gâcher la bonne ambiance, Alice. Lui adressa-t-elle dans un rictus plein de malice. Tiens ? ils viennent d’annoncer la gagnante du concours, te connaissant tu as surement dû participer, je me trompe ? Alors ça fait quoi d’avoir perdu fasse à une Poufsouffle, Alice ? est ce que tu as besoin de réconfort ? Comment tu te sens ? On s’inquiète pour toi tu sais, ça va aller ? demanda-t-elle dans un faux sourire compatissant en posant sa main sur l’épaule de Chris avant de l’enlever aussitôt. Oups pardon, j’ai oublié que tu n’aimais pas quand on touche à ce qui t’appartiens… finit-elle en retroussant ses lèvres à l’intérieur comme si elle avait fait une bêtise tout en lançant un regard remplit d'idées mauvaise. Mes excuses Alice...Je ne le voulais pas…
*Ou pas*
*Exactement*
@Christopher Martin
Evidemment qu’Alice n’était pas heureuse du tout de voir Carry approchée de son bien-aimé et ça la troisième année le savait très bien que ça allait lui hérisser les poils de la voir s’adresser ainsi à Chris. Mais le but n’était pas d’énerver Alice, non. Énerver Alice était un bonus mais pas une fin en soi, enfin jusqu’à maintenant. Tout ce dont Carry se préoccupait c’était de la situation du jeune Serdaigle qui n’avait pas trouvé les mots pour répondre à la Serpentard et se contenta de répondre de simple mouvement de tête et rien d’autre.
Inutile d’être devin pour savoir la situation dans laquelle ce pauvre était. Tout en sachant que Chris était l’amoureux d’Alice, celui-ci devait sans doute savoir pour les tensions qu’il y’avait entre elle et Carry. De ce fait, celui-ci devait sans doute hésiter à adresser la parole à Carry pour éviter d’empirer son cas qui tatillonnait déjà bien le sol, c’était là la seule explication plausible. En posant simplement son regard sur Alice, Carry pouvait facilement voir que la dame blanche était d’une humeur massacrante au point d’en faire trembler ses petits poings pale tenant le bouquant de fleurs que lui avait faire Christopher. Plus elle restait près de Chris et plus Alice avait du mal à garder le contrôle et c’était exactement ce que Carry voulait. Exposer ce petit monstre qui use de sourire et de belles paroles emmiellées par le mensonge pour plaire aux autres mais pour ça, elle devait le faire sans pour autant faire du mal à Chris, celui-là n’avait rien à faire dans le combat que les deux Serpentard menaient.
Contrairement à Alice, Chris semblait être quelqu’un de bienveillant, rien qu’à la lettre qu’il voulait envoyer, c’était sûr que ce Serdaigle était merveilleux qui se préoccupait des gens qu’il ‘aimait. Lui était gentil, drôle et appréciable, une personne dont Carry voulait absolument avoir dans son cercle d’ami pour ensoleiller son quotidien de tous les jours quand son copain n’est pas là. Mais d’abord il fallait s’occuper de cette peste d’Alice.
-N’ait pas l’air si déçu, tu risquerais de gâcher la bonne ambiance, Alice. Lui adressa-t-elle dans un rictus plein de malice. Tiens ? ils viennent d’annoncer la gagnante du concours, te connaissant tu as surement dû participer, je me trompe ? Alors ça fait quoi d’avoir perdu fasse à une Poufsouffle, Alice ? est ce que tu as besoin de réconfort ? Comment tu te sens ? On s’inquiète pour toi tu sais, ça va aller ? demanda-t-elle dans un faux sourire compatissant en posant sa main sur l’épaule de Chris avant de l’enlever aussitôt. Oups pardon, j’ai oublié que tu n’aimais pas quand on touche à ce qui t’appartiens… finit-elle en retroussant ses lèvres à l’intérieur comme si elle avait fait une bêtise tout en lançant un regard remplit d'idées mauvaise. Mes excuses Alice...Je ne le voulais pas…
*Ou pas*
*Exactement*
La salle de bal
Suite de ce RP.
Lila fit un signe de main à Megan pour l'encourager à aller vers le concours de danse. Elle ne comptait pas le regarder donc elle se dit que c'était la moindre des chose. Les crapauds qui chantent n'étaient pas si impressionnants au final. Lila aurait bien aimé tirer les oreilles de Louis en lui disant bravo. Il n'aurait pas comprit pourquoi elle disait bravo et elle aurait bien rit. En réalité Lila voulait voir son frère. Elle voulait tellement le voir que les crapauds étaient inintéressants pour elle.
Elle tourna la tête vers Nova voulant alors relancer la conversation. Elle la regarda longuement et demanda alors :
" On va voir Megan ? Je veux voir ses prouesses maintenant ! Elle doit être forte en danse. Contrairement à elel j'ai deux pieds gauches ! "
Lila tira Nova par la main pour ma mener dans une nouvelle direction. Elle commençait à avoir les mains moites à force de tirer les gens par la main. Elle regarda sa amie quelques instants pour voir si cela ne la dérangeait pas. Elle ne voulait sûrement pas embêter la jeune Nova. Elle lâcha sa main et regarda les duo qui allait passer pour la danse. Megan était avec Hestia Andrew. Megan en avait parlé plutôt. Ce nom lui disait quelque chose d'ailleurs. Lila se tourna vers Nova.
" Tu peux le dire quand je suis trop tactile et que tu aimes pas. J'aime bien avoir du contact avec les gens qui m'entourent et je ne demande jamais si ça dérange ou non les personnes. Je ne sais pas si tu es quelqu'un qui aime le contact. Je suis aussi très curieuse. D'ailleurs en parlant de curiosité, tu as dit tout à l'heure que l'année passée ça ne c'était pas bien passé au bal. Tu veux en parler ? Si oui, je suis là. "
@Nova Stronger @Megan Arrington
Entoine le caramel ( avec E et pas A)
Homme viril ! °○°
Enfant turbulant qui cause des problèmes très problématiques.
Agent Colibri des Grimms.
4ème année RP
Lila fit un signe de main à Megan pour l'encourager à aller vers le concours de danse. Elle ne comptait pas le regarder donc elle se dit que c'était la moindre des chose. Les crapauds qui chantent n'étaient pas si impressionnants au final. Lila aurait bien aimé tirer les oreilles de Louis en lui disant bravo. Il n'aurait pas comprit pourquoi elle disait bravo et elle aurait bien rit. En réalité Lila voulait voir son frère. Elle voulait tellement le voir que les crapauds étaient inintéressants pour elle.
Elle tourna la tête vers Nova voulant alors relancer la conversation. Elle la regarda longuement et demanda alors :
" On va voir Megan ? Je veux voir ses prouesses maintenant ! Elle doit être forte en danse. Contrairement à elel j'ai deux pieds gauches ! "
Lila tira Nova par la main pour ma mener dans une nouvelle direction. Elle commençait à avoir les mains moites à force de tirer les gens par la main. Elle regarda sa amie quelques instants pour voir si cela ne la dérangeait pas. Elle ne voulait sûrement pas embêter la jeune Nova. Elle lâcha sa main et regarda les duo qui allait passer pour la danse. Megan était avec Hestia Andrew. Megan en avait parlé plutôt. Ce nom lui disait quelque chose d'ailleurs. Lila se tourna vers Nova.
" Tu peux le dire quand je suis trop tactile et que tu aimes pas. J'aime bien avoir du contact avec les gens qui m'entourent et je ne demande jamais si ça dérange ou non les personnes. Je ne sais pas si tu es quelqu'un qui aime le contact. Je suis aussi très curieuse. D'ailleurs en parlant de curiosité, tu as dit tout à l'heure que l'année passée ça ne c'était pas bien passé au bal. Tu veux en parler ? Si oui, je suis là. "
@Nova Stronger @Megan Arrington
Entoine le caramel ( avec E et pas A)
Homme viril ! °○°
Enfant turbulant qui cause des problèmes très problématiques.
Agent Colibri des Grimms.
4ème année RP
La salle de bal
Précédemment I, II,III et IV
@Carry Harrison
@Christopher Martin
La voix d’Herminie emplissait la salle du bal, et aurait très certainement empli le cœur d’Alice de douceur si il n’était pas trop occupé à battre la chamade. Chaque pore de sa peau vomissait la haine qui bouillonnait en elle. Harrison jouait avec ses nerfs, et ne tarderait pas à payer le prix fort.
Ses sourires, ses moqueries dissimulées, tout cela faisait partie de son plan : l’anglaise voulait la faire craquer.
Et elle y était presque. Alice peinait à contrôler cet exquis besoin de se jeter sur Harrison. Mais il fallait se tenir, prendre sur soi et ne pas se laisser aller tenter démons de la violence. Pas une fois de plus.
La main venue de Carry se posa sur l’épaule de Christopher, et Alice retint péniblement cette pulsion qui l’avait conduit à s’avancer d’un pas. Un seul pas qui aurait pu l’amener à sauter à la gorge de Carry.
Ses lèvres ourlées tremblaient un peu, elles gardaient prisonnière une ribambelle de mots colorés. Charogne, vipère, monstre, démon ... aucun n’était assez puissant pour définies Harrison. Il aurait fallu en inventer, ou peut-être emprunter le nom des pires abjections que la Terre n’ait jamais portée.
« Cela t’amuse, n’est-ce-pas Harrison ? » lança Alice d’une voix froide. « Tu te jettes sur Christopher en prétextant vouloir l’aider... ça ne marche pas. Tu as peut être réussi à manipuler des idiots, mais Christopher n’est pas idiot, et moi non plus. »
Ses longs doigts d’albâtre vinrent s’enrouler autour du bras de Christopher. Elle lui en voulait encore, elle lui en voulait beaucoup, mais il était hors de question de donner gain de cause à Carry. Elle ne l’aurait pas, elle ne l’aurait jamais.
« Tu as encore quelque chose à tenter... ou tu vas enfin retourner faire ta hyène ailleurs, comme tu sais si bien le faire ? »
Alice se rendit compte, peut-être un peu trop tard, que ses ongles s’étaient enfoncés dans le bras de Christopher. Elle calma sa poigne, ses doigts toujours tremblants. Il fallait que Carry parte, et vite.
Sixième année RP - 741B47
Étudiante à Beauxbâtons depuis Janvier 2046
Fondatrice du MERLIN
@Carry Harrison
@Christopher Martin
La voix d’Herminie emplissait la salle du bal, et aurait très certainement empli le cœur d’Alice de douceur si il n’était pas trop occupé à battre la chamade. Chaque pore de sa peau vomissait la haine qui bouillonnait en elle. Harrison jouait avec ses nerfs, et ne tarderait pas à payer le prix fort.
Ses sourires, ses moqueries dissimulées, tout cela faisait partie de son plan : l’anglaise voulait la faire craquer.
Et elle y était presque. Alice peinait à contrôler cet exquis besoin de se jeter sur Harrison. Mais il fallait se tenir, prendre sur soi et ne pas se laisser aller tenter démons de la violence. Pas une fois de plus.
La main venue de Carry se posa sur l’épaule de Christopher, et Alice retint péniblement cette pulsion qui l’avait conduit à s’avancer d’un pas. Un seul pas qui aurait pu l’amener à sauter à la gorge de Carry.
Ses lèvres ourlées tremblaient un peu, elles gardaient prisonnière une ribambelle de mots colorés. Charogne, vipère, monstre, démon ... aucun n’était assez puissant pour définies Harrison. Il aurait fallu en inventer, ou peut-être emprunter le nom des pires abjections que la Terre n’ait jamais portée.
« Cela t’amuse, n’est-ce-pas Harrison ? » lança Alice d’une voix froide. « Tu te jettes sur Christopher en prétextant vouloir l’aider... ça ne marche pas. Tu as peut être réussi à manipuler des idiots, mais Christopher n’est pas idiot, et moi non plus. »
Ses longs doigts d’albâtre vinrent s’enrouler autour du bras de Christopher. Elle lui en voulait encore, elle lui en voulait beaucoup, mais il était hors de question de donner gain de cause à Carry. Elle ne l’aurait pas, elle ne l’aurait jamais.
« Tu as encore quelque chose à tenter... ou tu vas enfin retourner faire ta hyène ailleurs, comme tu sais si bien le faire ? »
Alice se rendit compte, peut-être un peu trop tard, que ses ongles s’étaient enfoncés dans le bras de Christopher. Elle calma sa poigne, ses doigts toujours tremblants. Il fallait que Carry parte, et vite.
Sixième année RP - 741B47
Étudiante à Beauxbâtons depuis Janvier 2046
Fondatrice du MERLIN