Finale - Écosse 140-100 France
Un vive douleur s’empara de la jeune femme alors qu’elle pensait sincèrement pouvoir dévier ce cognard. Elle grimaça. Elle grimaça beaucoup plus à cause de son action ratée que pour la douleur que lui procurait sa rencontre avec le cognard. Elle avait l’habitude, depuis le temps qu’elle jouait. Même si cela faisait toujours un peu mal lorsque la balle folle la percutait, les effets étaient de moins en moins perturbants. Même si cela l’empêchait tout de même de pouvoir jouer pendant quelques secondes. Malgré son état, la batteuse écossaise réussissait à suivre ce qu’il se passait sur le terrain. Elle put ainsi voir que la finisseuse adverse avait de nouveau le souafle. La balle de cuir rouge partit de ses mains en direction du poursuiveur français, mais fut rapidement interceptée par Holly, qui fit une passe vers sa jumelle. Patricia sourit devant cette action parfaitement coordonnée de ses deux jeunes sœurs. Les jumelles Dunn avaient vraiment quelque chose en plus. La jeune femme entendit également la voix de son frère, Ryan, qui tentait à nouveau de crier quelque chose à l’un de leurs adversaires. Malheureusement, d’après le commentateur, cela ne marcha à nouveau pas. Patricia ne comprenait pas ce qu’il se passait avec son frère. Pourquoi ne réussissait-il pas ses tentatives ? Quoiqu’il en soit, elle avait confiance en son frère, il allait y arriver. Elle, elle devait s’occuper du cognard. Et c’est ce qu’elle allait faire.
Action : Cogner Lombard
Série : [ 4;5;6 ]
Action : Cogner Lombard
Série : [ 4;5;6 ]
Finale - Écosse 140-100 France
Molly venait de réceptionner la passe parfaite de sa jumelle parfaite. Bien sûr, leur adversaires tentaient de s'opposer a elles. Mais ce qui avait fait la force de leur équipe, c'était le lien familial qui les unissait. Ce qui faisait plus particulièrement la force du duo de Molly et Holly, c'était ce lien très particulier qui les unissait depuis la naissance. Elles étaient encore plus proches l'une de l'autre qu'elles ne l'étaient de Patricia et Ryan. Il faut dire que l'écart d'âge était assez important entres elles et eux. Molly et Holly avaient toujours vécu ensemble. Ensemble dans l'enfance, ensemble à Poudlard, ensemble encore une fois lorsqu'elles avaient intégré l'équipe de l'Orgueil de Portee. Elles fêtaient leurs victoires ensemble et affrontaient leurs défaites ensemble à nouveau. Cela avait néanmoins été une agréable surprise lorsque Molly avait découvert que leur fratrie serait rassemblée pour le championnat de la coupe d'Europe. Elle avait craint qu'autant de match dans des équipes différentes rende difficile leur coordination, mais leurs victoires lors de chacun de leurs matchs jusque là semblait prouver qu'elle s'était inquiétée pour rien. Après tout, ils avaient appris a monter un balais et a jouer au quidditch ensemble. Ryan et Patricia s'étaient chargés de leur apprendre les bases. Il faut croire que certaines choses ne s'oubliaient pas aussi facilement. En tout cas, Molly se trouvait maintenant avec le souafle en main et elle allait devoir rapidement le passer à l'un de ses coéquipiers. Avant de faire quoi que ce soit, elle analysa la situation sur le terrain. Si sa jumelle avait été prise pour cible par l'équipe adverse, elle pourrait toujours faire la passe à Ryan. Le connaissant, elle était certaine qu'il était prêt a recevoir une passe a n'importe quel moment au cours de ce match.
Action : Faire une passe
Cible : Holly Dunn
Série : [1,2,3]
Cible : Holly Dunn
Série : [1,2,3]
Finale - Écosse 140-100 France
Malheureusement pour lui, les choses ne s'étaient pas déroulées comme prévu. Sa déstabilisation vers Patricia Dunn avait échouée et les Français étaient en position d'infériorité. Le souafle était à présent entre les mains des écossais et il fallait à tout prix le récupérer. Ceux-ci se rapprochaient un peu trop des anneaux d'Henry, ce qui ne le rassurait pas vraiment. Le jeune homme ne souhaitait pas vraiment que le score soit déclaré en faveur des écossais, même s'il ne doutait pas de ses talents de gardien. Il y avait toujours un risque que ceux-ci parviennent à passer en travers, dans un endroit presque impossible à protéger. Décidé à ne pas laisser les choses se dérouler de cette manière, l'homme prépara ses cordes vocales, Holly Dunn allait de nouveau passer un mauvais quart d'heure. Plus tôt dans le match, Henry été parvenu à trouver l'un de ses points faibles, complètement au hasard, il n'avait pas douté un instant que l'arthrose la déstabiliserait autant. À présent, il allait s'attaquer à autre chose, quelque chose de bien plus "précieux" que la santé, la famille. Son adversaire devait probablement être très attachée à sa famille, ils avaient l'air de faire toutes leurs activités ensembles. Peut-être qu'elle faillirait une nouvelle fois, ou peut-être pas. Henry espérait que si. L'homme chercha donc sa cible avant de tenter quoi que ce soit, et lorsqu'elle fut dans son champ de vision, il hurla, la toisant avec ses yeux remplis d'un certain sadisme.
« Alors Holly, ça fait quoi de se ridiculiser ainsi devant sa famille ? T'as pas peur qu'ils te remplacent avec toute les bêtises que tu fais ? Tu devrais te remettre en question ! »
« Alors Holly, ça fait quoi de se ridiculiser ainsi devant sa famille ? T'as pas peur qu'ils te remplacent avec toute les bêtises que tu fais ? Tu devrais te remettre en question ! »
Action : Déstabiliser
Cible en cas de réussite : Holly Dunn
Thème : Famille
Cible en cas de réussite : Holly Dunn
Thème : Famille
Finale - Écosse 140-100 France
Manqué. Le cognard s'écrasa sur Marc, le laissant quelques instants dans un brouillard total. Pendant ce temps, le match continuait. Suzanne fronça les sourcils et serra le poing. Elle n'aimait pas rater ce qu'elle entreprenait. Elle n'eut pas le temps de dire Quidditch que la batteuse adverse avait déjà pris les devant en envoyant la balle folle en direction de leur gardien, Henry. La poursuiveuse et la finisseuse écossaises gagnaient du terrain et se rapprochaient dangereusement de leurs anneaux. Suzanne devait rapidement intervenir ou bien leurs adversaires marqueraient le premier but et les premiers points du match de la finale. Quoi que ce ne serait pas si grave, du moment que les français marquaient les derniers points et clôturaient le championnat.
Suzanne Blin accéléra pour rejoindre un point clé sur la trajectoire du cognard. A sa droite, elle vit leur capitaine, Isis, guetter l'apparition d'un viffet. Elle ne pouvait pas faire grand chose de plus. Derrière elle se trouvait Marc qui se remettait encore de ses blessures. Elle s'excusa en pensées et promis de faire de son mieux à l'avenir. A sa gauche au loin, Henry, qui ne pourrait pas éviter le cognard seul. Devant elle, le fameux point clé d'où elle pourrait dévier le cognard sur la cible de la passe qui se produirait d'ici quelques secondes : Holly Dunn. C'était un de ces moments où l'on avait l'impression que le temps ralentissait jusqu'à s'arrêter et ou tout les cœurs stoppèrent leurs battements afin de ne rater aucun instant de la scène à venir. Un souafle, un cognard, des joueurs. Qu'allait-il arriver ?
Action : Dévier.
Cible en cas de réussite : Holly Dunn.
Série : [3,4].
Suzanne Blin accéléra pour rejoindre un point clé sur la trajectoire du cognard. A sa droite, elle vit leur capitaine, Isis, guetter l'apparition d'un viffet. Elle ne pouvait pas faire grand chose de plus. Derrière elle se trouvait Marc qui se remettait encore de ses blessures. Elle s'excusa en pensées et promis de faire de son mieux à l'avenir. A sa gauche au loin, Henry, qui ne pourrait pas éviter le cognard seul. Devant elle, le fameux point clé d'où elle pourrait dévier le cognard sur la cible de la passe qui se produirait d'ici quelques secondes : Holly Dunn. C'était un de ces moments où l'on avait l'impression que le temps ralentissait jusqu'à s'arrêter et ou tout les cœurs stoppèrent leurs battements afin de ne rater aucun instant de la scène à venir. Un souafle, un cognard, des joueurs. Qu'allait-il arriver ?
Action : Dévier.
Cible en cas de réussite : Holly Dunn.
Série : [3,4].
Finale - Écosse 140-100 France
Henry ne se préoccupait plus vraiment de son adversaire Holly Dunn. Quelques secondes plus tôt, il l’avait déstabilisée, mais il ne pouvait pas se permettre de porter son attention sur elle pour savoir si cela avait fonctionné. De toute façon, si c’était le cas, le jeune homme le verrait immédiatement. Décidant de se focaliser sur ce qui se passait sur le terrain, il remarqua que Patricia Dunn s’était emparée du cognard et que Suzanne s’était interposée entre les deux pour le dévier. Côté souafle, Molly tenait toujours la balle entre ses mains, non encore décidée à le lâcher. Enfin jusqu’à ce que ce qui semblait être sa jumelle arriva non loin d’elle. Aussitôt, elle tenta la passe. Malheureusement, celle-ci ne parvint pas entre les mains de Holly, ce qui laissait le champ libre au gardien de France de l’intercepter. S’il y parvenait, son équipe disposerait de l’opportunité de se retrouver devant les buts adverses. Henry ne devait donc pas se louper, c’était la chance pour les Français de déclarer le match en leur offrant un beau but si le gardien adverse ne les en empêchait pas. Sans réfléchir au pourquoi du comment, Henry s’accrocha donc à son balai et se dirigea vers le souafle qui se rapprochait du sol chaque seconde. Il tendait un bras, l’autre lui permettant de s’accrocher à son moyen de transport. Lorsqu’il fut assez prêt, il rattrapa la balle. Elle était aux français à présent, il valait mieux qu’ils s’en servent bien. Aussi, dès qu’il en eu l’opportunité, Henry s’en débarrassa en la lançant vers un membre de son équipe, avant de retourner vers ses anneaux.
Action : relance.
Cible en cas de réussite : Marc Favre
Série : [1-2]
Cible en cas de réussite : Marc Favre
Série : [1-2]
Finale - Écosse 140-100 France
Petit sourire. Suzanne avait bien calculé ces histoires de force, de trajectoire, de poids. De la physique moldue pure, en somme. Blin n'était pas spécialement scientifique. Elle n'était pas même très scolaire de manière générale, quoi qu'elle adorait la littérature anglaise. Mais elle jouait depuis longtemps et maitrisait plutôt bien son domaine, les jeux de batte. Et, bien que parfois il lui arrivait de se planter – comme tout le monde – elle arrivait à viser juste. Elle était satisfaite d'elle-même, mais ne s'arrêterait pas là. The show must go on.
Une bourrasque de vent frais vint la déplacer d'un demi-centimètre sur la gauche alors que Suzanne scrutait l'horizon. Le temps britannique était correct, mais pas idéal. La française avait l'impression qu'elle ne s'y ferait pas et ne serait pas mécontente de rentrer chez elle, une fois le championnat terminé. Mais en attendant ce doux moment, elle avait un match à gagner, une équipe adverse à cogner. Et en parlant de cela, elle apercevait le cognard qui voulait à nouveau s'acharner sur Marc. Elle se demandait pourquoi le sort voulait absolument l'éliminer. Que la chance soit avec elle, elle tenterait un cognement sur une autre personne. Henry avait récupéré le souafle qui était en chute libre et le passait justement vers Marc. Il ne fallait pas qu'elle se rate. Il lui fallait assurer les arrières de son équipe, et être prévoyante. Saurait-elle réussir son coup une fois de plus ? Elle l'espérait. Pourrait-elle aider ses coéquipiers à marquer le premier but de la finale ? Elle l'espérait aussi. Mais la lutte serait rude.
Action : Cogner Ryan Dunn.
Série : [1,2,3].
Une bourrasque de vent frais vint la déplacer d'un demi-centimètre sur la gauche alors que Suzanne scrutait l'horizon. Le temps britannique était correct, mais pas idéal. La française avait l'impression qu'elle ne s'y ferait pas et ne serait pas mécontente de rentrer chez elle, une fois le championnat terminé. Mais en attendant ce doux moment, elle avait un match à gagner, une équipe adverse à cogner. Et en parlant de cela, elle apercevait le cognard qui voulait à nouveau s'acharner sur Marc. Elle se demandait pourquoi le sort voulait absolument l'éliminer. Que la chance soit avec elle, elle tenterait un cognement sur une autre personne. Henry avait récupéré le souafle qui était en chute libre et le passait justement vers Marc. Il ne fallait pas qu'elle se rate. Il lui fallait assurer les arrières de son équipe, et être prévoyante. Saurait-elle réussir son coup une fois de plus ? Elle l'espérait. Pourrait-elle aider ses coéquipiers à marquer le premier but de la finale ? Elle l'espérait aussi. Mais la lutte serait rude.
Action : Cogner Ryan Dunn.
Série : [1,2,3].
Finale - Écosse 140-100 France
Alors que le coup qu’elle venait de donner au cognard avait propulsé ce dernier parfaitement sur sa cible, la batteuse française s’interposa sur la trajectoire. Elle aurait simplement pu tenter cette interception et se prendre la balle folle en plein dans la cage thoracique, la laissant continuer son chemin et s’écraser sur la cible choisie par Patricia. Mais non, la balle d’acier préféra s’écraser mollement sur la batte de Suzanne Blin pour changer de direction et s’échouer sur la poursuiveuse des écossais. Une grimace passa sur le visage de la jeune femme. D’autant que quelques secondes auparavant, Holly venait de recevoir le souafle de la part de sa sœur jumelle Molly et se trouvait très proche des buts adverses. Cela aurait pu être une bonne occasion de débloquer leur compteur et de marquer les premiers points de cette rencontre, pour prendre l’avantage.
Mais les français comptaient bien gagner ces premiers points. En effet, alors que le gardien venait de récupérer la balle de cuir rouge qui avait commencé à chuter vers le sol, il l’envoya vers leur poursuiveur qui volait en direction des buts de Ryan. Patricia voulut lui envoyer directement le cognard dessus. Le problème étant que Blin était déjà sur le cognard et l’envoyait en direction de Ryan. La jeune femme devait tout faire pour l’intercepter.
Action : dévier sur Favre
Série : [ 3;4 ]
Mais les français comptaient bien gagner ces premiers points. En effet, alors que le gardien venait de récupérer la balle de cuir rouge qui avait commencé à chuter vers le sol, il l’envoya vers leur poursuiveur qui volait en direction des buts de Ryan. Patricia voulut lui envoyer directement le cognard dessus. Le problème étant que Blin était déjà sur le cognard et l’envoyait en direction de Ryan. La jeune femme devait tout faire pour l’intercepter.
Action : dévier sur Favre
Série : [ 3;4 ]
Finale - Écosse 140-100 France
Le Quidditch, c'est un peu comme la natation. Au top départ, tout le monde s'épuise à essayer d'aller plus vite que les autres, et vers la fin, tout le monde s'épuise. De plus, la fin est souvent soudaine et parfois décevante. Enfin, cela dépend si la personne qui porte un tel jugement soutient ou ne soutient pas l'équipe gagnante. Bref, cette étrange comparaison servait juste à dire une chose : au début des matchs de Quidditch, les équipes se démenaient toujours pour marquer les premiers points (et se calmaient ensuite, en général). C'était évidemment le cas de cette finale de Coupe d'Europe : avec un tel enjeu, chaque joueur faisait son maximum au début de ce match. Quand on y pensait, c'était logique : il fallait offrir aux spectateurs l'incroyable spectacle qu'on leur a promis.
Et il fallait admettre que les français tenaient tête aux écossais. Il était assez étonnant qu'à ce moment du match, aucune équipe n'aie l'avantage, mais c'était le cas, au plus grand bonheur de la foule en délire remplissant les tribunes, sans aucun doute. Il semblait même que les français étaient en passe pour tirer, enfin, si Marc Favre, qui décidément avait eu un début de match difficile, se décidait à jouer. Et étant donné que Suzanne Blin s'approchait dangereusement du cognard, dans un angle laissant présager que Ryan était sa cible, le gardien écossais décida de faire quelque chose. Oui, mais quoi ? Tout ce qu'il avait fait, jusqu'à maintenant, c'était insulter le poursuiveur adverse ! Il n'y avait décidément qu'une solution possible pour avoir un espoir de s'en sortir. Insulter encore une fois le poursuiveur adverse. Cette fois, il fallait y aller fort, parce que la dernière fois, même l'idée géniale de prétendre que Marc était né d'un couple de Veracrasse n'avait pas marchée. C'est pourquoi Ryan prépara sa réplique la plus cinglante :"Marc Favre ! Tu te sens bien ? On ne t'a pas diagnostiqué de narcolepsie ? Si tu veux, on peut arrêter le match et appeler un Médicomage, parce que tu ne m'as pas l'air très... réactif." Peut-être que le cognard que s'était pris Favre avait vraiment eu des conséquences graves ?
Et il fallait admettre que les français tenaient tête aux écossais. Il était assez étonnant qu'à ce moment du match, aucune équipe n'aie l'avantage, mais c'était le cas, au plus grand bonheur de la foule en délire remplissant les tribunes, sans aucun doute. Il semblait même que les français étaient en passe pour tirer, enfin, si Marc Favre, qui décidément avait eu un début de match difficile, se décidait à jouer. Et étant donné que Suzanne Blin s'approchait dangereusement du cognard, dans un angle laissant présager que Ryan était sa cible, le gardien écossais décida de faire quelque chose. Oui, mais quoi ? Tout ce qu'il avait fait, jusqu'à maintenant, c'était insulter le poursuiveur adverse ! Il n'y avait décidément qu'une solution possible pour avoir un espoir de s'en sortir. Insulter encore une fois le poursuiveur adverse. Cette fois, il fallait y aller fort, parce que la dernière fois, même l'idée géniale de prétendre que Marc était né d'un couple de Veracrasse n'avait pas marchée. C'est pourquoi Ryan prépara sa réplique la plus cinglante :"Marc Favre ! Tu te sens bien ? On ne t'a pas diagnostiqué de narcolepsie ? Si tu veux, on peut arrêter le match et appeler un Médicomage, parce que tu ne m'as pas l'air très... réactif." Peut-être que le cognard que s'était pris Favre avait vraiment eu des conséquences graves ?
Action : déstabiliser Marc Favre (thème : santé).