Clé réparée, porte franchie et la dernière porte est là mais la poignée ronde est recouverte de savon. Votre main glisse mais ne parvient pas à la tourner. Comment faire pour sortir de là ?

Narcisse agita sa main pour en chasser le savon qui venait de s'y coller. Il pouffa de rire en s'approchant pour regarder la poignée de plus près, les mains sur ses genoux, sourcils froncés, en pleine réflexion. Il fit l'inventaire en quelques secondes des sortilèges dont il disposait, et il n'en voyait qu'un seul qui pourrait l'aider à se sortir de là : Recurvite. Mais c'était assez contre-intuitif, et lorsqu'il se redressait en pointant la poignée de sa baguette, il hocha la tête, admiratif de l'inventivité de Miss Priddy. Il n'aurait jamais pensé que Recurvite pouvait être utilisé pour autre chose que nettoyer des choses sales ! Mais maintenant qu'il y pensait, c'était plutôt évident que Recurvite nettoyait les choses savonneuses... Probablement son habitude de penser moldue.

Il poussa une petite expiration, fermant les yeux pour se concentrer. Il refit rapidement la connexion magique avec sa baguette, sans la moindre difficulté. Elle était aussi échauffée que lui, et il la sentit se loger dans la paume de sa main à la perfection. Lorsqu'elle se mit à vibrer doucement, il rouvrit les yeux, affûtant sa concentration pour se débarrasser des émotions superflues. Un peu comme on nettoierait une surface... Il emplit son cœur de la détermination la plus pure, simplement concentré sur la volonté de réussir. Détermination, détermination, et détermination. Il visualisa la poignée sèche et propre, débarrassée de tout corps étranger à sa matière. Il la vit reluire, briller de mille feux, plus aucune bactérie ni aucune saleté ne pourrait survivre à son coup de baguette. Il visualisa le savon s'évaporer, aussi précisément que possible. La concentration, l'émotion, la visualisation, tout était impeccable.

Il traça ensuite fluidement le S caractéristique tout en prononçant distinctement :

- REcurVITe !

M. Propre n'aurait pas fait mieux ! La poignée luisait de propreté, mais s'ouvrit aussi simplement que lorsqu'on disait bonjour ! Un grand sourire de joie et de satisfaction déforma les lèvres de Narcisse alors qu'il se laissa aller à sa réjouissance en ouvrant cette dernière porte ! Au-delà d'avoir la sensation de l'avoir réussi, il était très heureux d'avoir participé à cet examen, il l'avait adoré.

La poignée est vite nettoyée et vous franchissez donc la dernière porte visiblement très fier de vous. Sarah vous félicite et vous rappelle qu'une erreur est à la portée de tout le monde. Attention à ne pas être trop confiant dans certaines situations.

L'examen est terminé ! Vous pouvez si vous le souhaitez éditer ce post pour clore votre RP ou poster à nouveau.

Delore Anna 2ème année RP Inscrite à la chronologie

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Numéro de participant : n°2 Type de Magie : Flamboyante Note maximale : Optimal

Anna est une élève généralement pleine d'enthousiasme lors des cours de sortilèges, elle arrive tout le temps en cours avide d'apprendre de nouveaux sorts et s'intéresse globalement bien à la matière. Elle se débrouille bien avec sa baguette et arrive à de remarquables résultats quand elle est concentrée, il lui arrive malgré tout (plus fréquemment quand approche la fin de l'année) d'être distraite et de passer à côté d'informations capitales dites à l'oral par la professeur, ce qui la met ensuite dans des situations encombrantes. Autrement elle n'est jamais en retard, réussit la plupart du temps ses évaluations (sans vraiment prendre de temps pour les réviser) mais il lui est déjà arrivé de ne pas faire ses devoirs dans la matière.
Autre : elle prévoit déjà d'entrer en filière Sports et Soins donc de continuer les Sortilèges

— Post n°2 — Scénario n°132 —

Reducio

Le parapluie apparaît aussitôt et vous voilà prête pour la traversée des eaux. La porte s'ouvre sans mal et vous continuez votre parcours.

La pièce que vous découvrez est vide. En face de vous se trouve une porte et une serrure visiblement verrouillée et pas de clé, comment diable allez-vous passer ?

Le parapluie bien en main et apparu du premier coup, Anna traversa allègrement la salle sans recevoir une seule goutte d'eau et s'empressa d'ouvrir la porte qui d'ailleurs la laissa passer sans problème dans la salle suivante. Pour l'instant il lui semblait qu'elle était sur une bonne lancée mais il ne fallait pas se réjouir trop vite : elle pensait au nombre de secondes qu'elle avait dû perdre à réfléchir dans la salle précédente... Il fallait qu'elle garde le rythme !

Une fois dans la salle donc, la Poufsouffle se mit en tête de l'analyser pour connaître la seconde épreuve qu'elle devrait affronter, ou plutôt le second sort qu'elle devrait lancer. Elle se rendit bien vite compte que la pièce était vide mais hésita tout d'abord à avancer : n'y avait-il pas quelque piège dissimulé ? Ne valait-il pas mieux qu'elle lance un sortilège de protection ? T'es bête Anna, Protego c'est en Dcfm pas en Sortilèges... Elle décida finalement d'avancer sans plus se prendre la tête, le chrono tournait, pas le temps pour les réflexions.

Elle courut ou plutôt bondit vers la porte et secoua avidement la poignée, sans aucun résultat. Les secondes suivantes passèrent dans l'incrédulité, mais un sourire apparut bien vite sur ses lèvres pourtant crispées par le stress. Alohomora, il faut que je lance Alohomora... Oui c'était bien ça, le fameux sortilège de déverrouillage. Anna avait pris la fâcheuse habitude d'appeler les sortilèges par leur formule, étrange vous ne trouvez pas ?

Ainsi pensé, ainsi fait, elle n'avait pas l'intention d'attendre plus longtemps et fixait déjà la serrure avec une concentration intense, sentant presque la magie s'opérer du bout de ses doigts à sa baguette. Elle connaissait bien ce sortilège et n'éprouvait aucune hésitation, seulement de la curiosité presque spontanée pour ce qui se trouvait dans la dernière salle, derrière cette porte. Ses pensées étant bien fixées, de la concentration, aux émotions, à la visualisation sensorielle du cliquetis du verrou qui cédait sous le sortilège, elle prononça avec une infime hésitation (le temps de se rappeler les syllabes à accentuer, en l’occurrence la 2e et la 4e), tout en tapotant deux fois la serrure :

- aLOhoMOra !

C'est ce qu'on appelle faire vite. Le talent ou la chance ? En tout cas, vous êtes déjà dans la troisième pièce.

Elle est de nouveau vide. La porte vous l'avez atteinte sans problème mais, vous avez beau tirer ou tenter de la déverrouiller, elle semble comme collée. Bien, il va falloir mettre fin au sort qui la protège d'une façon ou d'une autre.

Delore Anna 2ème année RP Inscrite à la chronologie

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Numéro de participant : n°2 Type de Magie : Flamboyante Note maximale : Optimal

Anna est une élève généralement pleine d'enthousiasme lors des cours de sortilèges, elle arrive tout le temps en cours avide d'apprendre de nouveaux sorts et s'intéresse globalement bien à la matière. Elle se débrouille bien avec sa baguette et arrive à de remarquables résultats quand elle est concentrée, il lui arrive malgré tout (plus fréquemment quand approche la fin de l'année) d'être distraite et de passer à côté d'informations capitales dites à l'oral par la professeur, ce qui la met ensuite dans des situations encombrantes. Autrement elle n'est jamais en retard, réussit la plupart du temps ses évaluations (sans vraiment prendre de temps pour les réviser) mais il lui est déjà arrivé de ne pas faire ses devoirs dans la matière.
Autre : elle prévoit déjà d'entrer en filière Sports et Soins donc de continuer les Sortilèges

— Post n°3 — Scénario n°132 —

Reducio

C'est ce qu'on appelle faire vite. Le talent ou la chance ? En tout cas, vous êtes déjà dans la troisième pièce.

Elle est de nouveau vide. La porte vous l'avez atteinte sans problème mais, vous avez beau tirer ou tenter de la déverrouiller, elle semble comme collée. Bien, il va falloir mettre fin au sort qui la protège d'une façon ou d'une autre.

Le sortilège était réussi, un cliquetis se fit entendre et Anna put ouvrir la porte et passer dans la dernière pièce. Alors. La pièce était encore vide, à ce qu'il paraît. Elle savait qu'il devait lui rester encore quelques minutes mais préféra ne pas perdre de temps, et sans hésiter cette fois, elle s'élança vers la porte.

La rouquine saisit la poignée et la bougea de haut en bas plusieurs fois, elle se dit enfin que la serrure était verrouillée, une fois de plus. Cela lui paraissait étrange d'avoir à faire ce sortilège deux fois en tout mais elle s'attela a la tâche rapidement sans plus réfléchir, le stress l'oppressait et elle sentait le temps lui filer dans les doigts.

Les yeux fixés sur la serrure, elle se concentra en visualisant la porte se débrouiller et toujours avec ce sentiment de sécurité, elle tapota sur le métal et dit haut et fort, en appuyant sur les bonnes syllabes (elle commençait à avoir l'habitude) :

- aLOhoMOra !

Rien. Absolument rien. Avait-elle raté son sortilège ? Fallait-il qu'elle le refasse ? Soit, elle le refit en vitesse mais toujours rien, n'etait-ce pas étrange ? Ce n'était donc visiblement pas celui-ci qui était demande. De dépit, Anna tapa du poing sur la porte, avec l'infime espoir qu'elle s'ouvre d'elle-même. Ce ne fut pas le cas, mais la Pouffy fut étonnée de sentir que la porte ne trembla même pas, elle ne bougea pas d'un poil. C'était vraiment anormal, elle se mit à la tirer pour vérifier si celle-ci ne bougeait vraiment pas, et en effet.

Elle comprit tout d'un coup, mais bien sûr ! Elle avait bien appris, ou du moins mentionné, plusieurs sortilèges de déverrouillage en cours, et pas seulement "Alohomora" ! Il lui semblait vraiment peu probable qu'un de ceux-là soient demandés, elle ne les avait donc pas beaucoup travaillés. La porte semblait collée, on lui avait donc jeté le sort "Collaporta", il fallait donc utiliser le contre-sort…

Mais quel est ce contre-sort, déjà ? Anna tentait de se concentrer mais ses souvenirs s'emmelaient… Ce ne serait pas quelque chose comme "Portaberto" ? Non, ça c'en était un autre. Celui qu'elle cherchait, celui qui decollait les portes, l'avait marquée parce qu'il faisait référence à Alibaba…. Oui !! "Ouvre-toi Sesame", "Open Sesam", c'est bien ça ! Maintenant qu'elle l'avait retrouvé, il fut facile de se rappeler le reste.

Le sentiment, la curiosité, comme "Alohomora", ça c'est bon ! Ensuite, concentration intense, baguette pointée sur la porte, on visualise les gonds sauter et la porte s'ouvrir… Puis ne l'ayant pas beaucoup étudié et n'étant pas sûre de la prononciation, Anna préféra le clamer fort et sans accentuation, elle appela toute la puissance magique de sa baguette à elle et lança :

- Open Sesam !

Edit : Anna écarquilla les yeux avec étonnement et dépit, rien ne s'était passé. Son sortilège n'avait donc pas marché... Elle entendit tout d'un coup la porte bouger et la franchit tout en se demandant qui l'avait ouverte. Elle retrouva sa professeure qui, tout en lui souriant, lui expliqua que le sortilège qu'elle avait lancé n'était pas celui demandé. Anna fut néanmoins félicitée et elle sortit quand même un peu déçue mais espérant avoir quand même une bonne note. Elle se promettait de demander à Faustine ce qu'elle avait fait, elle, car elle n'avait toujours pas trouvé le sortilège qu'elle aurait dû utiliser.

C'est osé de tenter ce sort en deuxième année mais... rien ne se produit. Ah si, vous êtes soudain bien fatiguée et... Tiens la porte a bougé. Quand vous la franchissez votre professeure vous sourit en vous rappelant que les sorts vus dans l'année ou dans l'année passée sont souvent suffisant. Elle vous félicite néanmoins et vous laisse quitter les lieux.

L'examen est terminé ! Vous pouvez si vous le souhaitez éditer ce post pour clore votre RP ou poster à nouveau.

- le nom et prénom de votre personnage : Abigail Mann
- si vous êtes ou non inscrit à la chronologie : non inscrite à la chronologie (1 AD)

- la date et l'heure de l'examen /
- le numéro de votre scénario : 421
- au cours de l'année : élève discrète et sérieuse, un peu de réticence avec la théorie mais se rattrape en pratique.
- la note maximale : O

J'étais presque sereine avant mon examen de sortilèges, c'était sans compter sur les quelques minutes d'attente devant la porte qui me paraissent interminables. J'aime bien cette matière, pas ma préférée mais j'apprécie les exercices, surtout en pratique. J'entre finalement dans la salle et salue ma professeure, concentrée sur ses paroles. 10 minutes c'est rapide, je vais devoir être efficace.

La première pièce est vide, je me dirige vers la porte, intriguée, quand je pose ma main dessus celle-ci glisse sans pouvoir attraper la poignée. Cette dernière est recouverte d'une substance étrange, beurk. J'essuie ma main sur ma robe, le sortilège à utiliser me saute aux yeux, c'est récurvite, rien de transcendant mais c'est utile. Je fais le vide dans ma tête pour ne plus penser qu'à ce sortilège et l'énergie qui traverse ma baguette. Sous mes paupières clauses je vois le liquide se transformer en petites bulles avant de disparaître dans l'air dans de petits pop et la poignée luire de propreté. Je cherche à ressentir l'émotion adéquate avant de de tracer dans l'air le S avec ma baguette et de prononcer avec application,

"RecurVite ! "

Et la magie opère, voilà une poignée propre et sèche. Vous passez rapidement dans la deuxième pièce. La porte est face à vous mais verrouillée. Vous pouvez essayez de l'ouvrir autant que vous le voulez, la serrure semble protégée contre tout sort de déverrouillage. En revanche, un clé brille au dessus de la porte, accrochée à une pointe.

Ernest Stevens inscrit à la chornologie : 1ère année [portoloin] Type de magie : non définie au registre

Lundi 15 Juin 2048, 16h30 - 18h n° de scénario : 543 Note maximale : Optimal

__________

En cours d'année : Très attentif et appliqué. Plutôt discret mais acharné. Participe uniquement si on l'interroge. Mal à l'aise face aux autres.
Autre : Ernest n'ose pas poser de questions et aura plutôt tendance à essayer de découvrir les réponses par lui-même.

16H. Je v’nais de finir l’écrit de Sortilèges et j’étais assez confiant. J’avais tout donné. Les Sortilèges, c’était probablement la matière que j’avais révisé le plus et celle sur laquelle j’avais passé le plus de temps durant l’année. À mes risques et périls. J’avais effectivement connu quelques petits déboires avec l’un ou l’autre sort. J’avais aussi frôlé quelques unes de mes limites. Faut dire que je savais pas m’arrêter. La pratique, c’était mon exutoire. Mais aujourd’hui, ça me faisait un peu peur. C’était l’avant dernier jour d’examens, j’avais déjà passé la pratique de DCFM ce matin et enchaîné avec un devoir sur table dans l’après-midi. Je sentais que mes nerfs étaient mis à rude épreuve. Ce que je redoutais le plus, c’était d’arriver à court de magie en plein milieu de l’épreuve de Sortilèges. Pas celle-là.

Je sentais mon ventre gargouiller. Comme toujours à l’heure du goûter. J’avais mis quelques p’tites provisions dans mon sac mais j’hésitais un peu. Et puis flûte… une chocogrenouille ça avait jamais tué personne. Dix-sept par contre, ça pouvait être source de problème. Et je parlais d’expérience. Je l’ai ouverte et j’ai vite fait de l’engloutir avant qu’elle ne prenne la tangente. Ça devrait me caler jusqu’à la fin de l’épreuve. J’ai ouvert la carte et j’en ai pas cru mes yeux. Merlin or ! Elle était super rare ! En plus Merlin était un super enchanteur. Si ça c’était pas un signe. En tout cas, ça m’a un peu remonté. Ou alors c’était le sucre. J’suis pas sûr. Peut-être un peu des deux.

Quand mon tour est arrivé, j’ai saisi ma baguette et je suis entré dans la classe. La première chose que j’ai constatée, c’est que la disposition était pas la même que d’habitude. La seconde bin, c’était Miss Priddy. J’lui ai sourit timidement et j’ai écouté les instructions avec attention. Trois portes à ouvrir… dix minutes… dis comme ça, ça semblait plutôt simple. Mais rien n’est jamais simple à Poudlard. J’ai acquiescé et j’me suis tourné en direction de la porte. L’espace d’un instant, j’ai fermé les yeux et je me suis concentré sur ma respiration. J’ai fait doucement tourner ma baguette au creux de la paume de ma main. Notre rituel à tous les deux. Elle m’avait quasiment pas quitté ces dix derniers jours. Elle et moi on formait une équipe. Et elle me faisait jamais faux bond. J’lai serré avec un peu plus de fermeté et de détermination et je suis rentrée dans la première pièce.

Y avait rien d’dans mis à part une autre porte. J’me suis avancé pour l’observer et j’ai quand même essayé de l’ouvrir. Bin quoi ? On savait jamais. J’me suis retourné et j’ai commencé à chercher un indice. C’est là que j’ai senti un truc sous mon pied. En regardant d’un peu plus près, j’ai réalisé qu’il s’agissait d’une clé et qu’elle était cassée… Euh… oups ? Je l’ai ramassée en grimaçant. Est-ce que c’était moi ou est-ce que c’était l’exercice ? C’était pas le moment de me poser quinze mille questions. Quelle que soit la réponse, la solution était la même. Fallait la réparer. Le sortilège de Réparation, c’était LE sortilège que j’avais le plus pratiqué depuis le début de l’année. Faut dire qu’avec tous mes essais de sortilèges ratés, il avait été bien utile. Seulement la dernière fois que j’avais essayé de le lancer dans la classe du Pr Lynch, ça avait été une catastrophe.

J’ai pris une grande inspiration en essayant de me convaincre que c’était qu’une histoire de contexte. J’ai fixé mon attention sur la clé pour me vider l’esprit et prendre le temps de bien l’imaginer en un seul morceau. La coupure avait l’air assez nette. Et puis j’ai pensé à toutes les situations où j’avais déjà ressenti de l’espoir. L’espoir de découvrir une carte choco que j’avais pas. L’espoir de recevoir une lettre signée de mes deux mères. L’espoir de réussir mon examen de Sortilèges… Oui, bon, j’avais fait une liste dans mon carnet pour tous les sortilèges et les différentes émotions. Allez, go !

J’ai actionné ma baguette dans un mouvement précis en formant une spirale. Tout en m’appliquant sur la gestuelle, j’ai prononcé bien distinctement la formule en insistant bien sur la deuxième syllabe.

“RePAro !”

Un petit instant suspendu et les deux morceaux se collent pour ne plus former qu'une seule et jolie clé. Vous voilà paré pour découvrir la pièce suivante !

La nouvelle porte est là mais la poignée ronde est recouverte de savon. Votre main glisse mais ne parvient pas à la tourner. Comment faire pour sortir de là ?

J’ai retenu ma respiration pendant une seconde. Et puis les deux morceaux de clé se sont assemblés. YES ! J’avais beau commencer à avoir l’habitude, ça me fascinait toujours autant. Je l’ai tourné entre mes doigts un court instant pour vérifier qu’elle était belle et bien en un seul morceau avant de la glisser dans la serrure pour ouvrir la première porte. Avant d’entrer dans la pièce suivante, j’ai repris la clé et je l’ai glissé discrétos dans ma poche. J’avais toujours pas eu l’occasion de tester Diffindo sur du métal… Et des clés, Miss Priddy pouvait sûrement en faire apparaître autant qu’elle voulait.

Bon, nouvelle porte. Cette fois y avait vraiment rien dans la pièce donc j’me suis approché et j’ai essayé de l’ouvrir. Quand j’ai posé ma main sur la poignée j’ai senti un truc visqueux… Argh… Yerk… C’était quoi ce truc ? J’ai porté mes doigts jusqu’à mon nez pour renifler l’odeur. Ça va, c’était que du savon. Enfin à l’avenir faudrait quand même que j’y réfléchisse à deux fois avant d’approcher des substances inconnues près de mon visage… Ça aurait pu être n’importe quoi d’autre que du savon. Mais bon, j’crois pas que c’était trop le genre de notre prof de sortilèges de faire des coups tordus aux élèves. C’était plutôt la spécialité du Professeur Valerion, ça. C’était quand même bizarre la manière dont mes pensées me ramenaient constamment à elle.

Ou peut-être pas. L’odeur du savon m’avait fait penser à celle du Bullitor, ce produit ménager de vieille que ma mère utilisait encore alors qu’il était plus produit depuis des années. J’étais pas en train de comparer Miss Valerion a un truc de vieux, hein… Et j’dis pas non plus qu’elle sentait le savon… En vrai, je savais pas ce qu’elle sentait… Enfin bref, le savon, le ménage… Le sortilège a utilisé ça devait être le sortilège de récurage. Bizarrement, je m’étais pas trop entraîné sur celui-là… Enfin jusqu’il y a un mois où notre Directrice de Maison a décidé de faire une inspection surprise du dortoir des garçons. J’avais pas l’air trop fier avec tous mes caleçons et mes chaussettes estampillées de p’tits serpents éparpillés partout, mais ils étaient propres hein… Et tous les emballages de choco vides qui traînaient sous mon lit avec les moutons de poussière… La honte. Et puis je dois bien avouer que j’avais eu les miquettes.

J’me suis fais la promesse que ça arriverait plus et que s’il lui reprenait l’envie de nous faire ce genre de surprise, je serais prêt. Du coup, j’me suis forcé à passer un coup de Récurvite au moins une fois pas jour dans mon coin de chambre. C'était pour ça. Miss Valerion, tous ça... Enfin j’étais en train de m’éparpiller. J’ai chassé ma DDM de mes pensées et j’me suis concentré sur la poignée de la porte. À la maison, on faisait le ménage sans magie. J’avais donc une bonne idée de ce que c’était que de récurer un truc ou de nettoyer la saleté. Même si j’avais un peu oublié depuis que j’étais à Poudlard… Ça facilitait quand même la visualisation. J'ai pensé à la satisfaction d'avoir un truc propre et dans un geste souple, j’ai dessiné un “S” tout en prononçant la formule de manière bien distincte.

“REcurVITe !”

Malgré une réflexion quelque peu confuse, votre sort semble faire des merveilles et la poignée s'offre bientôt à vous.

Quand vous passez le seuil de la porte, une nouvelle pièce vide s'offre à vous et une ouverture juste en face. Pas de serrure ni de poignée mais un drap enfin, un tissu bien tendu et fixé sur les montants de la porte. Comment passer ?

chronologie
1e année inrp
Mardi 9 juin 2048 17h20
Post 2



Tatiana venait de franchir la porte et se retrouva dans la deuxième pièce. Elle était bien éclairée et elle vit la prochaine porte. Ça lui semblait un peu trop facile. Elle se dirigea vers la porte et tourna la poignée. Celle-ci était fermée à clé.

La jeune Serdaigle regarda par terre et la vit mais elle était cassée. Tatiana pensait qu'il fallait la réparer. C'est alors qu'elle pensa au mot "réparer " qui lui faisait penser à un sortilège. Elle réfléchit un moment et se dit qu'elle devait lancer "reparo".

Elle se concentra d'abord. Puis, elle visualisa que les deux morceaux de la clé se rejoignaient et se recolaient. Après, elle ressentit de l'espoir en pensant aux résultats de ses examens. Enfin, elle fit une spirale avec sa baguette en disant "rePAro".

En un instant, les deux morceaux de la clé se figent, reconstituant une clé intacte.

Dans la dernière pièce, la porte est face à vous mais verrouillée. Vous pouvez essayez de l'ouvrir autant que vous le voulez, la serrure semble protégée contre tout sort de déverrouillage. En revanche, un clé brille au dessus de la porte, accrochée à une pointe.

Orlaith Ó Súilleabháin Inscrite à la chronologie : 1e année Type de magie : Non définie au registre

Mardi 16 juin 2048, 14h15 - 15h45 Numéro de scénario : 542 Note maximale : Piètre

✧✧✧

En cours, Orlaith oscille entre être une élève dissipée et être une élève absente. Durant les parties théoriques, elle peut discuter ou jouer avec ses amis comme elle peut regarder s'endormir sur sa table. Durant les parties pratiques, elle est plus impliquée mais elle n'a pas les connaissances nécessaires pour réussir les exercices. Elle se décourage donc rapidement et ne fait pas de grands efforts.

C'était le dernier examen. Les autres s'étaient... Ils s'étaient déroulés. Prétendre que tout s'était bien déroulé serait un mensonge, mais il y avait eu quelques surprises. Ou du moins quelques matières où la petite sorcière pouvait espérer avoir la moyenne. Mais ce n'était pas le cas des Sortilèges. La partie théorique qui s'était déroulée la veille avait été lamentable.
Ce qui n'était pas étonnant puisque la Gryffone n'avait pas suivi un cours de l'année et qu'elle n'avait pas montré plus d'investissement lors des révisions. Deux ou trois fois, sous l'impulsion d'amis, elle avait sorti sa baguette et avait accepté de lancer quelques sorts. Mais un simple Lumos lui demandait une grande concentration, alors elle avait vite abandonné.

Orlaith rentra donc dans la salle de classe résignée, n'attendant rien de cet examen. Elle n'était même pas stressée puisque cette note ne lui faisait ni chaud ni froid. Et même si elle avait un Troll, qu'est-ce que ça changerait ? Ce n'est pas comme si elle comptait faire de grandes études ! Non, elle n'était pas angoissée, elle avait la simple impression de perdre son temps.
Elle salua donc du bout des lèvres la professeure de Sortilèges avant d'écouter le format de l'examen. Allez, au moins ce serait rapide, et puis il y avait une petite possibilité que ça soit amusant... Elle s'avança donc sans hésiter vers la porte que Miss Priddy avait désignée.

La première pièce que vous découvrez est vide. Une porte vous fait face. Elle est fermée à clé et la clé... ah... la voilà, vous la repérez par terre, cassée en deux. Impossible de l'utiliser à moins que...

Orlaith tourna sur elle-même, espérant découvrir un autre objet que la clé en deux parties qui jonchait le sol. Évidemment, elle se souvenait qu'il y avait bien un sort pour réparer des objets, mais de là à se rappeler lequel... Elle se pencha pour ramasser les bouts et les regarda rapidement, mais il n'y avait aucun moyen de les imbriquer sans utiliser la magie.
L'enfant soupira. Elle allait devoir essayer de se souvenir de ses cours. Heureusement, celui où ils avaient étudié le sortilège de Réparation n'était pas si lointain. Il devait dater de mars ou avril. C'était donc assez récent pour que des bribes d'informations remontent à la rouquine.

Reparo ! Un éclair de génie l'avait traversée - ou du moins c'est comme ça qu'elle le ressentit - et elle venait de se souvenir de la formule. Par contre, elle n'avait aucune idée de la gestuelle ou de l'émotion. Ça ne faisait pas partie des sorts qu'elle avait révisés. Elle devait imaginer le résultat de son lancer. Ça elle s'en souvenait.
Elle fixa donc les bouts de clé qu'elle tenait de sa main droite et les visualisa se reconstituer en un seul objet. Hop, réparé ! Elle leva alors sa baguette et commença à tapoter la clé en répétant "REparO !" de plus en plus fort à mesure que ses échecs l'agaçaient. Elle agitait sa baguette frénétiquement en la cognant contre la clé tout en criant la formule.

Alors que votre ton monte un déclic sonore vous averti que la porte est ouverte. C'est beau la magie !

Une nouvelle porte vous fait face dans la pièce suivante mais la poignée ronde est recouverte de savon. Votre main glisse mais ne parvient pas à la tourner. Comment faire pour sortir de là ?

Anxieuse, Faustine entra dans la salle de Sortilège d'un pas incertain. Elle savait d'avance que cette anxiété allait se dissiper dès qu'elle aurait commencé, comme il en avait été pour ses examens théoriques de cette année et de l'an passé. Cependant, la petite ne pouvait s'empêcher de ressentir de l'anxiété pour le moment. Il ne fallait pas qu'elle échoue. Elle devait rendre fiers ses parents. Elle devait montrer qu'elle avait sa place à Poudlard.
La jeune fille écouta Miss. Priddy lui expliquait les consignes, s'efforçant de rester concentré sans prêter attention à ses pensées éclaires qui ne la déstabilisait que plus encore.
Elle prit ensuite une grande respiration, remercia sa professeur d'un petit sourire et franchit le seuil de la première salle.

L'examen commença. Les dix minutes commençaient à s'écouler.
Faustine commença par étudier la situation. La porte derrière elle s'était fermée. Face à cette dernière se trouvait une autre porte. Elle s'avança et constata, sans surprise que la porte était close. Elle pensa immédiatement au sort Alohomora. Faustine se sentit rassurée qu'il faille juste jeter ce sort. Détestant être enfermée, la petite avait fait son maximum pour maîtriser ce sort et s'était entraînée de nombreuses fois. Elle attrapa sa baguette et se remémora les étapes. Une fois ceci fait, elle commença à se concentrer en s'imaginant dans sa bulle. La petite eut cependant plus de mal que d'habitude à le faire dû à son stress qui augmentait au fur et à mesure de son attente. Elle n'y arriverait pas comme ça, c'était sûr. S'appuyant au mur, la jeune fille songea à une méthode que lui avait conseillée sa maman l'an dernier la veille de son examen. Elle lui avait conseillé de s'imaginer dans un lieu qu'elle aimait en respirant profondément. La jeune fille avait appliqué cette méthode de nombreuses fois l'an dernier, mais n'avait pas pensé à l'utiliser cette année. S'approchant de la porte, elle retenta de se relier à sa baguette en s'imaginant cette fois-ci dans sa chambre à Londres. L'habituelle sensation de milliers de plumes s'engouffrant en elle lui provoqua une agréable bouffée de chaleur. Elle était rassurée et contente d'être parvenue à se concentrer sur sa baguette en oubliant le reste. La petite passa ensuite à la visualisation en s'imaginant la porte s'ouvrir. Elle ressentit ainsi immédiatement de la curiosité, voulant savoir ce qu'elle allait voir faire dans la pièce suivante. Quand ce sentiment fut à son avis assez fort, elle prononça la formule "aLOhoMOra" en accentuant une syllabe sur deux en partant de la deuxième comme elle l'avait retenu. Elle passa à la gestuelle et traça près de la serrure un S à l'envers d'un geste gracieux. Rouvrant les yeux, la jeune fille pria de tout cœur pour que le sort ait fonctionné et saisit la poignée, le cœur battant.

Il faudra un deuxième essai pour que le petit déclic se fasse entendre vous libérant l'accès à la deuxième pièce.

La porte suivante est juste de l'autre côté de la pièce, vous la discernez derrière la pluie qui tombe. Une message en lettre de feu vous informe de la situation. La porte ne s'ouvre que pour les gens secs.

Le sortilège avait fonctionné et la poignée était propre comme un sous neuf. Et de deux ! Sûr que j’allais plus sous estimé aucun sort et que je garderais ma chambre bien rangée et propre à partir de maintenant. Je devais aussi un peu ma réussite à ma prof de Défense contre les forces du mal, mais je préférais pas y penser. C’était pas terminé. J’avais encore une porte à ouvrir, fallait pas que j’me repose sur mes lauriers et que je reste concentré. J’ai pénétré dans la salle suivante et je me suis rapproché de l’ouverture. C’était pas une porte. Et c’était tellement évident, que mon cerveau a eu un p’tit blanc. Moi qui avait jamais de veine, c’était pas possible de tomber sur mon sortilège préféré à un examen. Mais si en fait. YES ! Yes, yes yes ! J’ai serré ma baguette contre ma poitrine avec un léger sourire de satisfaction. Quelle équipe on formait !

J’ai touché le tissu qui était devant moi, parfaitement tendu. Ça faciliterait les choses. J’ai essayé de le pincer entre mes doigts pour voir à quel point il était épais. Pas trop. En tout cas moins que ma robe de sorcier. D’ailleurs je conseillais à personne de découper dans sa robe sans un très bon entraînement au préalable. Faire un ourlet, c’était en fait pas si simple que ça. Suffisait pas de couper, d’avoir du fil et de transformer une allumette en aiguille. J’aurais pu me contenter de faire une entaille dans le tissu qui me faisait face, juste assez grand pour arriver à le déchirer ou à passer. Mais quand même, le sortilège de Découpe. J’avais déjà fait mieux que ça.

J’ai jeté un coup d'œil à ma montre. J’étais pas large mais y avait encore un peu de temps. Du coup, j’ai pris une grande inspiration et j’ai fermé les yeux. J’me suis imaginé moi-même et j’ai commencé à faire glisser ma baguette le long de mon bras, de mon épaule, de mon cou, jusqu’au sommet de ma tête tout en visualisant ma silhouette. D’un côté et de l’autre. Ma respiration était plutôt calme, j’étais hyper concentré. J’ai rouvert les yeux et j’ai pensé à ce miroir dans la Salle Commune. À mon reflet pas assez Serpentard aux goûts de certains. Mais moi j’avais choisi, c’était là que je voulais être. Et j’étais résolu à être plus Serpentard que n’importe lequel d’entre eux. Et à faire disparaître ce reflet flou de moi-même. À le découper dans le tissu, là, juste en face de moi.

Ma volonté était acérée. Comme le couteau invisible qui allait me faire sortir de cette pièce. Plus déterminé, tu meurs. Face au tissu, j’ai dessiné ma silhouette dans le vide avec ma baguette une dernière fois. Mes doigts se sont resserrés un peu plus sur elle. J’ai lâché une grande expiration et je me suis lancé. D’abord la gestuelle et l’incantation. D’un geste maîtrisé, j’ai dessiné l’espèce de zigzag. Haut, bas, haut, moyen-bas, et hop, tout en prononçant la formule.

“DifINdoé”

Et je me suis mis à tracer ma silhouette sur le tissu…

La silhouette se découpe doucement dans le drap sous l'impulsion de votre magie. Il semblerait que certains points restent encore accrochés mais rien d'assez solide pour vous empêcher de passer.

Sarah vous félicite quand vous franchissez le drap avant de vous libérer.

L'examen est terminé ! Vous pouvez, si vous le souhaitez, éditer ce post pour clore votre RP ou poster à nouveau.