Je regarde mes pieds. Ça n'a pas loupé, à l'instant où j'ai entendu le programme qu'on me réservait, je n'ai pu contenir un léger soupir. La gestion des victimes, et puis quoi encore ?! Comme si j'allais m'occuper d'incompétents qui sont juste incapables de gérer leurs émotions... Et puis avec Renn qui s'en va subitement comme si j'avais la dragoncelle — à moins que ce soit Roxanne qui pose problème ? J'ai vraiment du mal à la comprendre parfois... —, mon humeur ne peut que se dégrader. Enfin bref, j'adresse un sourire à ma rivale tout en hochant la tête, avant de chercher du regard ma meilleure amie. Qui se trouve avec Erza. C'est vrai qu'elle me l'avait dit... Mais bon, voilà. Fallait bien que je vérifie.

Comme prévu, le cours est ennuyant au possible, et j'écoute d'une oreille distraite les propos de mes camarades, lorsqu'un chuchotis me sort de ma torpeur. Oh, c'est Pamela ! Je ne la connais pas très bien, mais il me semble qu'elle est joueuse de Quidditch, ce qui suffit à m'en donner une image positive. Ramenant mon attention sur la rousse et ses boucles rousses, avant de tenter de me rappeler les dernière paroles des gens, je plisse les yeux. Une phrase me revient alors en mémoire « pensées qui tournent sans que ça ne fasse vraiment de sens », et je secoue finalement la tête d'un signe négatif.

– Euh, clairement pas. Franchement j'ai autre chose à faire que de commencer à me tortiller le cerveau, déjà que c'est pas facile de suivre...

Finalement le cours se poursuit, et je me retrouve à taper dans un rythme imaginaire et aérien mes doigts contre le sol. Le rythme appelle rapidement à une chansonnette populaire, et je me retiens de justesse de fredonner quelques notes. Par Merlin, qu'est-ce que je m'ennuie ! Et que bla-bla-bla c'est impressionnant, et que bla-bla-bla il faut parler ! Je ne suis pas venu à Poudlard pour finir assommé par les problèmes des autres, non mais !

Puis soudain, voilà que la professeur nous invite à la suivre, et je ne peux m'empêcher de murmurer, réfrénant mes tremblements d'impatience :

– Enfiiiiiiiin !

Voilà une occasion en or pour me dégourdir les jambes, et je ne m'en prive pas alors que je sautille pour parvenir à l'autre salle. Pourtant, mon enthousiasme retombe aussi vite qu'un soufflé froid à l'entente des consignes, et surtout... Des cris.

Pétrifié, je tente de me raisonner. Ce n'est rien, ce n'est pas réel. Ce sont juste... Ce sont juste... Argh, je distingue le mannequin qui m'est destiné, son air paniqué, et avec tout ces cris me perçant le crâne de la même manière que des pics glacés... Je ne peux pas. Trop, c'est tout simplement trop. Je ne veux pas. Je n'ai jamais souhaité gérer les crises des autres, moi. je suis insouciant, je ne veux pas en entendre parler ! Laissez vos problèmes loin de moi, je n'en ai pas besoin ! À bout de nerfs, je me sens à deux doigts de claquer la porte et planter tout le monde. Pourquoi ne le ferais-je pas, d'ailleurs ? Tout ce monde, tout ces gémissements, toute cette ambiance lourde me submerge aussi sûrement qu'un raz de marrée, et je ne tiens plus.

Hors de question que je reste une seconde de plus parmi ces décombres. Je recule, m'apprête à m'esquiver sans aucune attention à la professeur, lorsque soudain, quelque chose me retient. L'esprit embrumé, je ne comprends pas, et tente de me libérer. En vain. Puis, une voix perce finalement le brouillard qui m'entoure, et je cligne des yeux. Devant moi se tient une rousse qui ne m'est pas inconnue, l'air presque outré tandis qu'elle prononce brutalement quelques mots. Sa voix me permet de reprendre contenance, et je tente d'oublier l'atmosphère ambiante.

– J'y peux rien, je sais pas faire.

Je n'essaie même pas de me justifier davantage. Je ne sais pas faire, rien de plus véridique, quelle autre explication pourrais-je apporter, de toute façon ?

Diarmuid laissa une très grosse minute s'écouler avant de reproposer au jeunes un passage puis, enchaîna sur la suite de ce qu'il avait à leur dire sur le sortilège de l'attelle. Cette partie se présenta exactement sous la même forme que le sortilège de soins mineurs. Un temps où il demanda où élèves ce qu'il savait, des apports de précision de sa part puis l'apprentissage de la formule, de la gestuelle et des essais les uns sur les autres. Les réussites étaient variées, mais ce n'était pas important pour lui, ils avaient encore le temps de s'exercer. Aussi prodigua-t-il conseils et encouragements autant que possible. Puis, vint l'heure de l'échange des deux groupes avec le retour de Sixtine. "Merci à tous, je vous laisse rejoindre votre professeur." Libéra-t-il tout le petit groupe avant d'accueillir les suivants.

Il accueillit ensuite les neuf nouveau arrivants, toujours avec uniquement sa manche droite de relevée, laissant apparaître quelques égratignures et son tatouage. "Bonjour à tous, installez-vous il y a normalement de quoi s'asseoir sur des coussins pour tout le monde." Débuta-t-il. "On va voir ensemble deux sortilèges de soins accessibles en quatrième année mais avant ça, on va tous se présenter. Je ne crois pas connaître tout le monde." Indiqua le jeune homme en commençant par redonner son nom et son prénom - même si tous devaient les connaître - afin de les inciter à faire de même.

Quand le tour de présentation fut terminé, il leur demanda, comme aux autres: "Quels sont les sorts de soins que vous connaissez? N'ayez pas peur de vous lancer, même s'il y a des imprécisions, j'ai pis un bon petit déjeuner, je ne risque pas de manger quelqu'un." Termina-t-il avec un sourire avant de les laisser parler.

Merci aux participants du groupe β

Comme vous le voyez, j'ai fait le choix de ne traiter qu'un seul sort avec vous à cause des contraintes de temps, mais aussi pour ne pas faire deux fois la même chose pour moi. Vous pouvez considérez que tout ce qui se dira sur Ferula avec le groupe α aura été dit à vous aussi.

@Laurence Solomon, @Pauline Jackson, @Helen Primrose, @Lydia Loly, @Alice Smith, @Scary Limpson, @Ellana Collins, @Théo Williams

Pour le groupe α justement, nous allons partir sur le même modèle, je passerais d'un paragraphe sur Episkey et nous traiterons Ferula. Je vous invite à lire toute la partie du groupe β pour avoir les informations que vous aurez eu sur le premier sort

@Antonn Clifford, @Pamela Cox, @Élina Clarke, @Yesenia Cooper, @Roxane Newcomb, @Renn Saeunn, @Nolan Dewey, @Sienna Bridgerton, @Erza McGowan

Prochaine avancée du groupe α le 06 mars

Les paroles de l'infirmier me rassurent quelque peu, et en même temps pas du tout. Je crois bien qu’il a remarqué que j’avais été plus que déçue. De l’autre côté, le manque de réussite des autres le procure un soulagement qui n’aurait normalement pas lieu d’être. Ce n’est pas dans mes habitudes de me réjouir du malheur des autres. Je pince des lèvres. Tout me déplaît. La tournure du cours, ma piètre performance, mon attitude face aux autres. En plus vient s’ajouter la réussi de Loly à guérir deux coupures. Dire qu’il y en a encore pour quoi… *Trop longtemps*. J’ai hâte qu’on passe à autre chose, un sujet où je pourrais m’illustrer avec brio. Montrer que contrairement à ce à quoi je ressemble, je ne suis plus une gamine capricieuse qui ne sait faire que bouder. J’ai des compétences, des connaissances, et je devrais les utiliser à meilleur escient.

Le sujet du cours tourne sur Ferula, le sortilège de l’attelle. J’essaye de plus participer, et, même si je le fais malgré moi, j’ai des réponses correctes. La pratique se passe sans que je m’attarde trop dessus, ayant hâte de changer de groupe.

Je me demande cependant ce que l’on va bien pouvoir apprendre. On vient d’étudier les deux sortilèges de soin, alors qu’est-ce qu’il reste ? J’avais jeté un coup d’œil à ce qu’ils étaient en train de faire dans un moment d’attente, et je les avais vu penchés sur des mannequins qui n’avaient pas l’air d’aller très bien. Peut-être qu’ils étudient les gestes de premier secours dans le cas où la baguette est inefficace, mais cela m’étonnerait. Cela aurait -il été dit au début du cours ? J’aurais peut-être dû écouter le blabla introductif. Quoi qu’il en soit, je rejoins le moment venu avec le groupe, intriguée par la suite des événements.

Post pas passionnant, Scary écoute le cours.

Sixtine avait terminé de donner son cours au premier groupe. Elle remercia les élèves d'avoir joué le jeu et leur expliqua qu'ils reviendraient sur ce thème pendant encore plusieurs heures afin de bien tout assimiler. Certains élèves n'avaient pas été plus volontaire que ça pour ce cours et elle trouvait ce comportement bien dommage. Mais elle fit une liste mentale des noms et ne manquerait pas de leur dire deux mots au prochain cours. Ceux là seront les premier à passer la prochaine fois.

Elle était revenue dans la pièce principale et demanda au groupe B de bien vouloir s'installer sur les coussins. Et, comme avec le groupe précédant, elle posa la question qui allait mettre mal à l'aise quelques élèves. Malheureusement, c'était un passage obligatoire pour pouvoir comprendre le principe même d'une crise d'angoisse.

- Est ce que l'un d'entre vous a déjà fait ou a déjà assisté à une crise d'angoisse ? Que pouvez vous nous dire sur cette expérience, comment se manifeste la crise, comment l'avez vous reconnu et qu'avez vous ?

Le but ici était de lister les symptômes de la crise d'angoisse pour pouvoir l'identifié rapidement et agir en conséquence. L'autre groupe avait réussi à trouver plusieurs symptômes et avait identifié rapidement les facteurs clés. La professeure espérait que ce groupe s'en sorte aussi bien et dans le cas contraire, elle expliquerait elle-même comment reconnaitre ce genre de crise.

@Laurence Solomon, @Pauline Jackson, @Helen Primrose, @Lydia Loly, @Alice Smith, @Scary Limpson, @Ellana Collins et @Théo Williams vous avez jusqu'au 11 mars pour répondre.

La réponse à mes questions de présenta dès le début de l’atelier. Mon groupe allait maintenant travailler sur les crises d’angoisse et, je suppose, la façon de les gérer. C’était au final un sujet logique qui pouvait s’avérer utile dans la gestion de catastrophes, mais après réflexion, j’en vins à conclure que tout le monde ici devait au moins déjà avoir assisté à une crise d’angoisse. Il suffisait de passer en revue les événements de l’an dernier, la chute du Poudlard Express qui même vue de la Grande Salle avait traumatisé un bon nombre d’élèves qui avait donné lieu à des scènes de paniques. Je n’ose imaginer ce que cela avait dû être pour ceux qui étaient dans le train.

Sans compter que nous les quatrièmes années, nous avons aussi vécu le dominion, le dépôt de l’urne dans la Grande Salle, le bal d’Haloween qui s’est transformé en n’importe quoi, sans parler de la mort de Dai Hong Dao. Ces pensées me firent grimacer, et j’imagine que ce cours ne devaient pas non plus rappeler de très bons souvenirs aux autres.

Personnellement, je n’ai jamais fait de crises d’angoisse au sens propre du terme. J’ai déjà eu le cœur qui bat vite, la peur dans ma tête, mais j’ai toujours gardé un certain contrôle dont je suis très fière, donc on ne peut pas vraiment appeler cela des crises à proprement parler. Cependant, j’avais quand même une bonne connaissance en la matière puisque l’an dernier j’avais trouvé Élina dans la Volière et avait bien été obligée de l’aider. Ma méthode s’était révélée plutôt efficace, et le résultat satisfaisant. Je me souviens bien qu’au début, c’était désemparant. Je ne savais absolument pas comment réagir, mais je ne pouvais pas la laisser là, alors je comprenais l’utilité de ce point important. Je choisis donc de répondre à Miss Valérion sans cependant évoquer mon expérience personnelle :

— Hum, et bien souvent, la personne à des difficultés respiratoires. Soit sa respiration se bloque, soit elle fait de l’hyperventilation ce qui peut conduire à une paralysie des muscles. Parfois on a du mal à réfléchir, et on a le cœur qui bat très fort mais on est incapable d’agir en conséquence. Après, je ne sais pas, ça se voit c’est tout.

Reconnaître une crise d’angoisse était juste évident, et je ne sais pas comment l’expliquer. Après réflexion, il me semble tout de même qu’il est possible d’apprendre à maîtriser ses crises d’angoisse ce qui peut être une bonne idée si on en fait régulièrement.

Le cours avec l'infirmier était maintenant terminé, et notre groupe allait maintenant travailler avec Miss Valerion. Et apperament, on allait parler des crises d'angoisse... Chose que je connaissais pour avoir déjà réalisé, mais que je n'arrive pas à avouer avoir déjà fait. Étant de nature sensible et émotive, ça m'arrivais souvent d'en faire, même si maintenant j'arrive à me contrôler mieux qu'avant.

La professeure posa plusieurs questions dessus, et Scary commença à répondre. Je pris ensuite la parole, sans mentionner le fait que j'en avais déjà fait, mais expliquant rapidement les symptômes déjà expliqués par Scary, puis d'où ils viennent.

- Comme l'a dit Scary, pendant une crise d'angoisse la personne a du mal à respirer et a le cœur qui bat très vite. Pour se calmer, il faut essayer de respirer lentement mais c'est difficile... Il faut souvent une personne qui nous accompagne pour essayer de respirer avec elle, de se calmer. Ses crises d'angoisse se manifestent la plupart du temps avec une forte angoisse, un fort stress, une forte émotion.

Après il était difficile d'expliquer comment reconnaître une crise d'angoisse. Ça se reconnaît sur le moment, mais c'est difficile à expliquer pourquoi. Effectivement, il se pouvait que quelqu'un ai du mal à respirer sans pour autant qu'elle fasse une crise d'angoisse. Reconnaître une crise d'angoisse revient à reconnaître un ensemble de facteurs différents.

Si son mannequin lui donnait du fil à retorde ? Bien sûr ! Ce n'était pas assez visible ? Il n'était même pas fichu de se calmer, malgré tous ses efforts. Certes, elle était tout sauf douce comme certains et encore moins à l'aise avec les gens, quand il s'agissait de consoler ou tout ce qui s'y apparentait de près ou de loin. Encore les animaux, ça allait, ou les personnes proches d'elle, si elle n'avait qu'à faire un petit câlin pas trop long, c'était bon. Mais un mannequin en pleine crise d'angoisse... Non.
Et puis elle n'était pas plus sensible que d'autre, loin de là. Enfin, pour Renn, elle était même l'une des personnes les moins sensibles de sa promo. Son point de vue était biaisé, mais quand même.
Elle haussa les épaules. Une petite chanson, ouais. Sachant que la seule chanson qui lui venait en tête était la Macarena, et qu'elle la chantait en yaourt, ce n'était peut-être pas la meilleure idée.

Elle tenta tout de même de fredonner la musique espagnole tout en jetant quelques coups d’œil à sa professeure, histoire de savoir si c'était bien ou pas. Même si elle se doutait de la réponse, à savoir que c'était bidon, et ça l'énervait énormément. Elle n'était pas censée être nulle à ce point en DCFM ! Sauf que là, elle n'arrivait à rien !

Finalement, le moment d'échanger les groupes arriva vite, au grand soulagement de la Gryffondor. Elle n'en pouvait plus de faire face à un mur, et de se le prendre en pleine face à chaque tentative vaine de rassurer le mannequin. Elle rejoignit Nolan, déçue, dépitée, et aussi un peu énervée. Si bien qu'elle en avait oublié qu'elle était censée faire la tête à son meilleur ami.

— J'en ai marre j'ai pas réussi avec le mannequin... Ça été toi ?

Elle chercha Erza du regard pour l'inviter à s'assoir à côté d'elle. Renn en était à se dire que ce cours était trop long pour être vraiment intéressant, d'autant plus qu'ils faisaient un tour des prénoms juste pour l'infirmier, parce qu'autrement tout le monde se connaissait plus ou moins.

— Renn Saeunn, lâcha-t-elle une fois que ce fût son tour.

Les sortilèges de soin... Elle voulait bien admettre que cela pouvait lui servir en Soins aux Créatures Magiques, mais mise à part cette matière, et le prochain examen, quand allait-elle s'en servir ? Bref, ceci dit, elle en connaissait. Elle leva la main, attendant d'être interrogée.

— Je crois qu'il y a Epiksey*, un truc dans le genre et fé-, elle hésita, Ferula ? Et Ferula c'est le sortilège qui fait un attelle un truc du style

Je n'avais pas réussi à m'occuper de mon mannequin correctement. Il faut accepter qu'io y ai des jours avec et des jours sans. Aujourd'hui est sans conteste un jour sans. Malgré toute la bonne volonté que j'y met, je n'ai pas réussi l'exercice du jour. L'exercice enfin terminé, je rejoins Renn qui tout comme moi n'a pas réussi l'atelier mannequin.

— C'est carrément la cata... Je sais pas ce qu'il m'arrive aujourd'hui mais j'ai complétement raté... J'espère que cette partie se passera mieux...

Ne pas être seule dans cette galère me mettait quelque peu du baume au coeur. Depuis l'année dernière Renn était ma partenaire en Défense contre les forces du mal et je passais un plaisant moment à chaque cours.

Doutant que l'infirmier se souvienne de moi, je prononçait à mon tour mon prénom.

— Erza McGowan

J'étais plus que jamais déterminée à réussir cette seconde partie de cours. Alors que Mr O'Belt posait une question, Renn leva la main presque aussitôt pour y répondre. Enjouée, et prête à former à nouveau le meilleur binôme avec Renn, je complétait sa réponse après avoir été interrogée.

— Le sortilège est Episkey, et il me semble qu'il permet de soigner les blessures

Je n'étais pas sûre de moi, mais espérais tout de même avoir raison. Après tout, la Défense contre les forces du mal était sensé être mon rayon, tout comme d'autres matières telles que les sortilèges ou le vol. Je me débrouillais plus ou moins bien selon les autres matière, appréciant beaucoup les Soins aux créatures magiques, et n'aimant pas la Botanique et les Potions. Peu de gens sont bons en tout, et malgré ce que je fais croire de temps à autre, je ne fais pas parti de ces gens là.

Edit Diarmuid: Diarmuid interroge Erza après Renn puis indique qu'il s'agit bien d'Episkey et non d'Epiksey, le sortilège de soin pour blessures mineures (coupures...). Il confirme que Ferula, le sort d'attelle est bien aussi un sortilège de soins puis demande si d'autres veulent compléter.

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