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08 mai 2019, 06:34
 01/05/2044  Les tribunes
@Eileen Eastwood
@Aliosus Nerrah

J'ai fait en sorte que vous puissiez repondre dans l'ordre que vous voulez a mon RP 

C’était le grand jour ! Le jour que Carry avait tant attendu après tout ce temps .Allez voir le Gryffondor contre Serdaigle avait tout son intérêt. les deux équipes qu’elle détestait le plus allaient s’entredéchirer devant ses yeux sans même qu’elle n’ait besoin de faire quoi que ce soit, comment ne pas être pressé d'assister au spectacle ? Au fond d’elle même, la petite Serpentard espérait que les deux équipes allaient se montrer sans pitié au point de ne jouer que le Cognard même si elle savait que ça serait trop beau comme scénario.

Quel chance,aujourd’hui il faisait beau, les nuages se faisaient timides et le vent était présent mais sans trop se faire remarquer. Pas de doute, c’était une journée idéale pour les cognards de faire sonner des têtes et envoyer des joueurs à l'infirmerie. satisfaite de voir le temps au rendez-vous; Carry sortie du château en sautillant comme si elle avait de la caféine à la place du sang. Une véritable pile électrique qui ne tenait plus en place à vrai dire.

-Allez dépêche toi Eileen ! On a surement rater le début du match là ! Si ça se trouve on a  déjà loupé des blessés ! Cria-t-elle en tapant du talon à sa camarade qui traînait derrière.

Eileen Eastwood, deuxième année, capitaine des crochets d’argent, était l’une des amies les plus proches que Carry avait au châteaux. Une occasion en or pour passer plus de temps ensemble en dehors des entrainement, mais aussi une occasion pour rigoler des deux autres équipes et analyser les tactiques de jeux qu’ils allaient utiliser.

-Arrêter de trainer sac à patate et on se met à courir sinon on va devoir regarder le match debout ! Finit-elle par lâcher en se mettant à courir le plus vite possible vers le stade sans regarder derrière elle.

Une fois arriver au stade, Carry était toute essoufflée et cherchait des sièges pour elle et son amie qui était encore à la traîne. La poisse ! Toute les places assises étaient prises et il n’y avait que de maigres espaces pour pouvoir assister au match debout ! Elle qui pensait devoir faire sa propre place dans ce bain de foule, la jeune fille remarqua un élève plutôt beau garçon qui portait la même robe verte qu’elle. Étrange, elle qui pensait connaître la plupart des Serpentard elle n’avait jamais vu celui-ci. Mais il y avait plus important que cela , il y avait de la place à coter de lui ! Voyant personne prendre l’espace libre ,Harrison se rua comme une chienne enragée en bousculant avec maladresse le garçon.

-Pardon pardon ! Je n’ai pas fait exprès ! C’est tellement dur de trouver des places que j’ai cru que celle là allait m’échapper...Ca ne te dérange pas si je reste ici avec une amie pour le match ? Carry mit sa main devant la bouche pour s'empêcher de parler. Oh...Mes bonnes manières...Je m’appelle Carry Harrison et tu es ?

Renvoyée de Poudlard
5ème Année RP (2047-2048)

Chasseuse de né-moldus professionnelle
Fiche Eleve
08 mai 2019, 10:30
 01/05/2044  Les tribunes
@Jeffrey Hunter

Sa main au creux de celle de Jeffrey, Maddie prenait la direction du stade de Quidditch un immense sourire sur le visage. Elle était très heureuse de passer un peu de temps avec le garçon qui s’était fait un peu trop discret à son goût depuis le retour des vacances de printemps. Le soleil étant de la partie, c’était une belle journée qui s’annonçait pour la petite blonde.

Ressentant la main de Jeffrey se resserrer sur la sienne, la jeune fille tourna le visage vers son petit ami et lui rendit son sourire. Les mots qu’avait prononcé le garçon lui firent grandement plaisir et c’est tout naturellement qu’elle lui répondit qu’il en était de même pour elle. Cependant, depuis la rentrée, il y avait un petit quelque chose qu’elle percevait chez son petit ami sans parvenir réellement à mettre de mot dessus. Elle avait souvent l’impression qu’il était ailleurs, dans ses pensées. Elle n’avait pas encore abordé le sujet avec lui et ne comptait pas le faire en cette journée de match. Aujourd’hui, elle voulait tout simplement profiter de ce moment partagé.

Une fois les marches gravies, Jeffrey proposa de s’installer dans une zone où étaient présents des supporters des deux équipes. « Parfait ! » lui répondit la petite blonde avant de s’installer. La conversation s’orienta naturellement sur le match du jour. Maddie lui répondit directement :

« J’ai une préférence pour les Ailes d’Airain et toi ? »

C’était vrai et en particulier pour la présence de Tally Jenkins qu’elle trouvait vraiment impressionnante. Elle avait cependant choisi d’écourter sa réponse, qui, dans sa version complète, aurait donné quelque chose comme cela : « Les Ailes d’Airain mais au final ça m’est bien égal, c’est fini pour les Frelons ». Elle était réellement déçue pour l’équipe de sa maison et plus particulièrement pour Jeffrey mais dire cela n’aurait fait que remuer le couteau dans la plaie. Elle était déjà certaine que le garçon pensait forcément à ce fait à l’heure qu’il était, cela ne servait à rien de mettre le sujet sur le tapis à part plomber l’ambiance. Elle ne souhaitait pas aller dans cette direction mais plutôt voir les côtés positifs de ce match : pas de boule au ventre puisqu’il ne s’agissait pas d’un match des Jaunes et Noirs, pas le stress de voir son petit ami être frappé par des cognards. Elle avait juste à profiter du spectacle sereinement et en charmante compagnie.

Après avoir regardé autour d’elle, la jeune fille revint sur son petit ami :

« Je ne vois pas trop de Poufsouffle, les membres de l’équipe vont venir ? »

Juste après la réponse du garçon, le micro du commentateur crépita et l’entrée des équipes était annoncée.

« Ah, ça va commencer ! » dit la jeune fille avec un sourire rayonnant. On pouvait déjà percevoir l’excitation qui montait en elle. Elle applaudit les deux équipes avec plus de vigueur qu’elle ne l’aurait imaginé. C’était fou l’effet qu’une compétition pouvait avoir sur elle. Elle était directement à fond dedans et ne manqua pas une miette du coup d’envoi. Ravie de voir la joueuse de Serdaigle se saisir en première du souafle, un petit sourire en coin s’étira sur son visage.

En absence partielle jusqu'au 28 avril
~7ème année RP~
Préfète-en-Chef - Remplaçante des Hel's Angels - Membre du club de Bavboules.
Code couleur : 3d85c6
08 mai 2019, 16:20
 01/05/2044  Les tribunes
Nouveau match de Quidditch et même si Eileen avait déjà affronté les deux équipes en lice et qu'il n'était donc plus question d'étudier leur jeu, il était hors de question pour elle de passer à côté d'un tel évènement. Surtout avec le magnifique soleil qui s'annonçait pour la journée, l'occasion idéale pour prendre l'air. Le Quidditch était vraiment sa passion et, ces derniers temps, de toute façon, elle avait besoin de se changer les idées. Autant dire qu'elle n'avait pas hésité une seconde quand sa furie d'amie et coéquipière, Carry, lui avait proposé d'y aller ensemble. Cette dernière était remontée comme un coucou, ne tenant pas en place, impatiente comme ce n'était pas permis et oui, ça faisait bien rire la fillette qui prenait tout son temps rien que pour la faire râler. Jusqu'à ce qu'elle la voit filer en courant par peur de rater le début de la rencontre.

"Regarde où tu vas plutôt, tête de linotte, t'auras l'air maline si tu te prends les pieds dans un trou et que tu finis la tête dans la boue avant même d'arriver." lui cria-t-elle avant d'accélérer le pas à son tour.

Lorsqu'elle arriva à son tour dans les tribunes, Carry avait déjà trouvé des places pour elles deux, arrivant comme un buldozer à côté d'un garçon de leur maison. Le pauvre, s'il avait espéré être tranquille, c'était peine perdue. Le sourire aux lèvres, Eileen s'approcha donc et se positionna à son tour à sa place, ne s'asseyant pas encore pour mieux voir le stade dans sa globalité avant de s'asseoir.

"Désolée pour l'ouragan. Carry a tendance à être un peu... survoltée aujourd'hui ? Ouai, on va dire ça comme ça. Enfin, t'en fais pas, même si elle te fait du rentre dedans, c'est juste pour mieux voir le match." rajouta-t-elle, taquine.

Elle porta aussitôt son attention sur le terrain alors que les équipes faisaient leur entrée sous les commentaires caustiques de Brett. Ça s'annonçait drôle même si elle aurait aimé qu'il égratigne bien plus Tally Jenkins, ou encore les Griffes Ardentes. Les tribunes se remplissaient rapidement, de toutes les couleurs. La jeune fille repérait déjà quelques têtes quand elle vit, pas si loin d'eux, Jeffrey... et Maddie. Elle se sentit immédiatement rougir, malgré le pincement au cœur et détourna rapidement la tête. Shaylee venait de s'emparer du Souafle, lançant ainsi la rencontre. Eileen mit alors ses mains en porte voix :

"Allez les Ailes d'Airain, même si votre capitaine a la finesse d'un Troll, j'suis sûre que vous allez gagner !"


Ben quoi, c'était des encouragements non ? La Serpentard était clairement pour les Serdaigle mais ça ne voulait pas dire qu'elle allait encourager Tally. Hors de question ! Si elle pouvait se prendre un bon cognard en plein poire, d'ailleurs, ce serait top.

Elle se tourna à nouveau vers le garçon qu'elle avait déjà vu en salle commune mais dont elle n'arrivait à se souvenir du prénom. Pourtant, il 'était souvent avec Irisia, elle aurait dû savoir.

"T'es un ami d'Irisia, non ? Moi c'est Eileen. T'es pour qui ?" finit-elle par dire avant d'enfin s'asseoir.

@Carry Harrison @Aliosus Nerrah
08 mai 2019, 16:36
 01/05/2044  Les tribunes
Déjà plusieurs minutes de jeu s'était écoulé et Camille regardait avec avidité et envie. Il avait tellement envie de faire partie de l'équipe. En fait, c'était son rêve. Toutes les nuits, il se voyait en train de jouer la coupe du monde de Quidditch sous les acclamations de ses supporters. Ils se voyait ensuite en train de brandir la coupe du monde de Quidditch. En fait il était un peu comme Ron Weasley. Mais il se voyait plutôt comme attrapeur. Le meilleur et le plus jeune depuis 200 ans ! C'était incroyable ce que l'imagination pouvais faire. Il espérait sympathiser avec Tally (sans vouloir te piquer ta petite copine @Blaze Rosenberg) et pouvoir ainsi réaliser son rêve : faire partie de l'équipe des Ailes d'Airain et pouvoir gagner la coupe de Quidditch de Poudlard. Mais revenons en au match. Tally lancait des encouragenments à Christopher. Tous les Serdaigles voulais gagner ! Esmée Peterson (qui était la gardienne de l'autre équipe) quitta son poste et alla se poster tous près de Tally. Elle avait l'air de vouloir la déstabiliser aussi bien par son attitude que en lui chuchotant quelque chose à l'oreille. La tension était à son comble. C'était un match décisif. Aucune des deux équipes ne gagnerait facilement...

*Camille.F*
Je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises ;-)
08 mai 2019, 16:50
 01/05/2044  Les tribunes
- Salle de Bain des filles, Tour de Gryffondor


Debout devant la glace murale de la salle de bain, Kirsty se maquillait délicatement. Ou, plutôt, se barbouillait la figure de rouge et de doré. La blondinette avait dégoté une palette de maquillage Moldu pour enfant dans sa valise (elle se demandait toujours ce qu'elle faisait là, d'ailleurs) et s'en servait à présent pour se mettre aux couleurs de sa maison. Car aujourd'hui, c'était un nouveau match de Quidditch auquel elle allait assister. Les autres filles du Dortoir étaient ddéjà parties, et, dans la salle de bain déserte, Kirsty soupira. C'était comme d'habitude. Elle se maquillait, était heureuse d'aller assister au match et puis... une fois arrivée là bas, elle serait déprimée de ne pouvoir parler à personne, de devoir se taire.

Chassant cette pensée dans un coin sombre de son esprit, la petite blonde regarda une dernière fois les bandes rouges et jaunes sur ses joues et ses mains. Tout était parfait, pas une seule bavure. Elle était fin prête. Habillée avec son inséparable robe de sorcier qu'elle portait depuis sa rentrée de Première Année, et qui était toujours à sa taille, ainsi qu'avec un chapeau pointu serti d'un ruban rouge, elle se dirigea vers la sortie de la salle de bain, je visage soudain fermé.


- Parc/Stade


Il faisait beau, un exploit. Ça faisait longtemps que Kirsty n'avait pas vu le soleil et le ciel si éclatant. Les rayons dorés la firent sourire, mais quand elle se rendit compte qu'elle était en retard, la blondinette se mit à courir. Elle arriva essoufflée, avec un point de côté, dans les tribunes. Le match venait de commencer, et elle se pressa de monter quelques marches. De son regard perçant, elle tenta de trouver une petite place quelque part. Malheureusement, le Stade était déjà plein à craquer et il n'y avait (presque) plus de places. Soudain, les yeux bleus de Kirsty tombèrent sur trois sièges libres. Le coeur de la petite Panglewood fit un bond et elle se précipita vers l'endroit.

Kirsty s'assit sur l'une des chaises, celle à côté d'une fille brune assez belle qui disait quelque chose à la blondinette. Elle devait l'avoir croisée dans la Salle Commune, au vu de son écharpe rouge. La petite blonde demanda alors :


- T'es qui ?

Question brusque, directe, franche. Question à la Kirsty, quoi.

@Katherine Bailey, @Anabelle Franck et @Zoé Morgan

Troisième année RP (2044-2045) | Remplaçante Attrapeuse/Poursuiveuse des Griffes Ardentes.
“Il est grand temps de rallumer les étoiles.”
08 mai 2019, 17:21
 01/05/2044  Les tribunes
Son amie @Adulith Wen répondit à sa question précédente en criant :
"- Savannah ! Ça va et toi ? Je suis contente d'être là avec toi ! Même si je ne comprends pas grand-chose au Quidditch"
Savannah était heureuse que son amie soit contente. Elle avait toujours était bienveillante avec les autres. Après quelques secondes elle dit à Adulith toujours en hurlant :
"- Je vais bien, merci, si tu veux je t'explique quelques petits trucs pour le match."


Elle regarda ce qui se passer son le terrain. Elle constata que c'était seulement le début du match et qu'elle n’avait pas raté beaucoup de chose. Elle se rappela ce qu'on lui avait dit et ce qu'elle avait lu : "Au début du match, l'arbitre lance le Souafle et le premier qui l'attrape peut marquer.". Elle décida d'expliquer tout cela à son amie en continuer de beugler :
"- Tu vois l'arbitre vient de lancé le Souafle, la balle rouge, et la 25 bleu, Shaylee Ahluwalia la rattraper. Maintenant, elle peut aller marquer dans un des trois paniers de but car ses la poursuiveuse."

Elle essaya de remarquer les autres balles et vit un Cognard foncer sur une personne. Elle le fit remarquer à Adulith :
"- Regarde bien la balle grisâtre, c'est un Cognard. Il fonce sur la 13 rouge, la capitaine de l'équipe d'adverse. Cette balle sert principalement à sonner une personne de l'équipe d'adverse. Les batteurs, la 37 bleu et le 4 rouge, sont chargé de protéger leur coéquipier. Si la balle pouvez atteindre sa cible, ça arrangerai les Ailes d'Airain."

Elle ne voulait pas être méchante avec les Gryffondor mais c'était le jeu et la pure vérité. Elle rattrapa son sac qu'elle avait posé à ces pieds et en sortit une écharpe bleue avec le nom de l'équipe. Puis, elle se leva et hurla :

" Aller les Ailes d'Airain"
08 mai 2019, 18:28
 01/05/2044  Les tribunes
Adulith écouta attentivement @Savannah Bronw lui expliquer les règles au fur et à mesure que le match commençait. Pour le moment cela lui paraissait plutôt simple. Ce qui l'impressionnait c'était l'aisance des joueurs sur les balais, elle qui éprouvait une angoisse terrible à peine à un mètre du sol admirait l'aisance de ses camarades, ils guidaient le balais, suivaient le jeu, communiquaient entre eux, mettaient au point des tactiques… Tout cela à plusieurs mètres au-dessus du sol. Pour Adulith, cela était à la fois de l'héroïsme et de la folie…
Mais voir ce qu'elle-même ne serait jamais capable de faire était assez stimulant et l'enthousiasme de Savannah quand elle lui expliquait les règles était contagieux. Lorsque sa camarade se leva tout à coup une écharpe à la main, en criant, Adulith n'eut pas le temps de réfléchir qu'elle se vit déjà debout à ses côtés, tapant dans les mains, avec un plaisir qu'elle ressentait d'habitude face à un nouveau livre et qu'elle n'aurait jamais cru pouvoir ressentir sur les tribunes d'un match de Quidditch. Elle était persuadée qu'ils allaient gagner et elle ne pouvait détacher ses yeux du terrain.

Adulithwen_Sixième année rp_MERLIN : Atari. #900000
Le pire n'est jamais décevant.
08 mai 2019, 20:54
 01/05/2044  Les tribunes
1 Mai 2044
Tribunes de Quidditch — Parc de Poudlard


Image
Emily Smith, 16 ans
Serdaigle, 6ème année


Tous mes sens étaient brouillés, dans cette immensité. Les hurlements vrillaient mes tympans et j’étais devenue sourde au monde. Des tâches de couleurs brûlantes déchiraient mes rétines et je ne voyais plus rien. Un goût amer de peinture envahissait ma bouche pour se perdre dans ma salive et m’empêcher de sentir un quelconque autre goût. Les bousculades étaient si fréquentes que mon toucher ne me servait plus à rien si ce n’était à perdre mes repères. Et c’était une odeur qui effaçait toutes les autres que celle d’une myriade de parfums mêlés. *Oh, Merlin !* hurlait ma conscience. Ce lieu n’était pas fait pour moi ! Quelle idée avais-je eu, par Dumbledore, pour me trainer jusqu’ici ?

Ma main saisit celle de Thalia et je retrouvais un équilibre ; instable, mais équilibré. Sa petite paume moite contre la mienne fut comme une grande claque dans ma figure et mes yeux s’écarquillèrent. Je cessais de ne plus rien comprendre pour me mettre à percevoir chaque mouvement autour de moi, chaque variation de cette immense masse de gens qui occupaient les tribunes. L’humidité sèche qui parsemait la main de la petite était troublante et je ne la compris pas ; jusqu’à ce qu’un râle effrayé s’échappe des lèvres de Thalia sans, je m’en doutais bien, qu’elle ne l’eut souhaité.
*Sauvez-moi !*. Les foules ne m’effrayaient pas ; je n’avais jamais été terrifiée au milieu d’elles. Gil’Sayan était tout le contraire, mais je n’avais retrouvée cette gamine que depuis quelques mois et ses habitudes ne m’étaient pas toutes revenues en tête. Ce lieu était sans doute son pire cauchemar, et si je ne pouvais y respirer, que devait-ce être pour elle ! Prise d’un élan de grande sœur, je la lâchais un instant pour la rattraper une demi-seconde après, par l’épaule cette fois, pour la rapprocher de moi et continuer ma route en écartant brutalement les autres de mon passage.

Cette gosse au regard si nuancé avait quelque chose de si étrange que je ne pouvais m’empêcher d’être profondément attachée à elle ; c’était une de ces rares personnes qui avaient réussi à trouver de l’intérêt à mes yeux, chacun à sa manière, et Thalia était particulièrement unique, puisqu’elle avait su m’intriguer alors qu’elle n’était qu’une toute petite enfant : huit ans, et j’en avais déjà douze ! Si irritante pourtant, avec sa tendance à rejeter tout le monde ; je n’arrivais toujours pas à m’empêcher de grimacer quand je la voyais repousser brutalement un élève s’approchant de nous quand nous parlions.
Choc. Un Gryffon au regard brillant de hâte venait de me bousculer, et je faillis tomber en tentant de saisir sa robe pour le faire s’excuser. Bousculée de partout, secouée dans tous les sens, ma tête me faisait si mal que j’étais prise d’une impression qui me hurlait qu’elle allait bientôt éclater. Et que les dégâts qu’elle ferait en explosant seraient conséquents ; proportionnels à mon mal de tête du moment.

Ne pas être terrifiée par les foules signifiait seulement qu’elles n’étaient pas ma phobie, pas que je m’y sentais à l’aise, et une grimace d’énervement étendait mes lèvres. Si grande que j’étais, certains me surplombaient tout de même ; sans parler des petits qui montaient les uns sur les épaules des autres. L’oppression était là, s’exerçant de toute part, et j’en oubliais totalement Thalia. Sa main dans la mienne était là, je sentais qu’elle tentait de s’en détacher mais ma poigne était trop forte pour elle ; en dehors de cela, seul m’échapper m’intéressait.
Ahanant, je parvins enfin à me trainer jusqu’en haut des tribunes. L’exploit de ne pas avoir lâché Thalia était accompli, mais cette pensée ne fut qu’une maigre récompense lorsque je vis toute cette masse d’inconnus qui m’entouraient encore. Leurs hurlements étaient insupportables ; le match n’avait même pas encore commencé, par la Magie de mes ancêtres !

Thalia était encore plus petite que d’habitude à côté de moi ; je savais pourtant qu’elle avait grandi, mais j’avais poussé encore plus qu’elle. La voir faisait toujours bizarre, comme un pincement au creux de mon corps quand je me disais que je ne lui avais pas parlé pendant plus d’un an. Lorsqu’elle s’assit enfin, son regard — noir de noir en cet instant tant elle était furieuse — me foudroya. Ses petites lèvres desséchées s’ouvrirent pour me gueuler son mécontentement de gamine :


« Qu’est c’t’as foutu grande conne ? »

Mon sourire maigre s’envola vers l’horizon. Quoi ? *Eh gamine, j’peux défoncer ta jolie gueule si j’veux*. Devant mon silence moqueur, ses yeux s’assombrirent encore. Leur charbon traversé de fureur avait éclipsé son vert si beau. Mais c’était magnifique. Sublime ! Cette gosse avait des yeux qu’il était bon de contempler chaque jour. Les retrouver était si bon ; durant sa si lourde absence, je n’avais pas remarqué à quel point elle me manquait. Toute entière plongée dans son regard, je ne pris même pas attention au fait qu’elle attendait fermement une réponse. Non, elle était belle, c’était tout ce qui comptait. Dans son regard, j’arrivais presque à oublier Abigail qui me déchirait le cœur à chaque instant. Oui, je m’oubliais dans ses orbes sombres, et c’était plus que plaisant. La joie me traversait le cœur, renversant la colère. Belle, belle, belle. Celle dont je rêvais était sublime, mais je n’avais jamais l’occasion d’être si proche d’elle ; Thalia était là, toute entière à ma portée, et sa beauté me sautait aux yeux.

« T’as des yeux transcendants ! » m’exclamais-je sans même m’en rendre compte. Puis ma phrase me revint en pleine face et je détachais mon regard du sien. *J’suis...*, commençais-je intérieurement avant de me figer. Elle allait m’en vouloir, c’était certain ! Elle m’en voulait déjà, et elle allait m’en vouloir encore plus ! Peut-être qu’elle allait encore partir, et je n’aurais plus mon Ancre pour oublier Abigail. *STUPIDE !*. Mon Ancre. Cette gamine horriblement sincère était devenue mon Ancre, mon secours.
Chaque battement de mon cœur était accompagné par une sentence horrible de ma conscience.
*Stupide ! Stupide !*. Son silence était si pesant que je sentais qu’elle allait partir à tout jamais, m’abandonner pour de bon. Thalia-mon-Ancre. « Thalia-mon-Ancre... » soufflais-je si bas qu’elle n’eut aucune chance de saisir ce murmure ; mais je me fis sursauter moi-même. Incapable ! Même mes pensées ne m’obéissaient pas et ne voulaient pas rester à l’intérieur de moi.

Et elle se taisait. Thalia la fermait, et ce n’était jamais bon signe. Son silence était toujours de mauvaise augure, je l’avais vite appris. Dans de rares moments, il pouvait être signe de réflexion intense ; mais nous n’étions pas plongées dans une discussion passionnée autour d’un bouquin ou d’une question, non, j’avais juste tout fichu en l’air avec ma phrase idiote et sans sens. Alors son absence de paroles était ce qu’elle était la plupart du temps. Le calme avant la tempête ; une prévision qui annonçait qu’elle allait pleurer, ou hurler, ou partir.
Je m’attendais à tout. J’étais prête. Elle allait hurler et me planter sur place. Je le savais. Je m’y attendais. Mon cœur battait plus lentement, mon souffle était calme. Ma peur était là, mais je savais ce qui allait se passer. Rien ne pouvait me surprendre.

Attraction, Répulsion. Du Haut vers le Bas. De la Gauche à la Droite. Repères effacés.
Ces instables certitudes.

Attraction. Et le poing de Thalia fusa pour finir sa course au creux de mon estomac. Répulsion. Mon corps se plia en deux sous la violence du choc ; l’air quitta mes poumons en une fraction de seconde. Attraction. Mes tentatives pour respirer étaient vaines et inutiles ;
*j’vais mourir !*. Répulsion. Une envie de vomir me prit ; ma tête me tournait si fort que je crus être au centre d’un cauchemar. Attraction. Regard brûlant de douleur, je plantais mes yeux dans ceux de mon Ancre. Répulsion. Son rire éclata en une infinité de fragments de joie qui se plantèrent tous dans mon cœur blessé.

*Tu m’en veux ?*.
*Dis, tu m’en veux ?*.
Moi, je ne pouvais plus respirer, mais je n’étais pas en colère. Ma bouche était ouverte et mes sourcils froncés, je n’essayais même plus de respirer. Le coup était violent ; mais le rire de Thalia était une arme bien plus puissante. Une de ces tortures de l’âme dont elle possédait le secret.

« Ah ah aaaah ! » s’étouffait-elle. « Ah ! J’t’adore ma belle, personne aurait sorti ça à ta place ! Ah aah ! »

Violence. L’air heurta enfin mes poumons et je recommençais à respirer péniblement. Elle riait. Grâce à moi. ELLE RIAIT GRÂCE À MOI ! *Elle rit jamais !*. Elle me disait qu’elle... quoi ? Elle me disait qu’ *elle m’adore !*. J’étais finie, morte ; morte de joie ! Peu m’importait qu’elle m’ait frappé ; elle aurait pu me casser en deux si elle voulait : j’étais heureuse. Alors je lui souris en retour, un grand sourire naïf et heureux.

Elle se rapprocha. QUOI ? Tous mes sens étaient en alerte. Elle se rapprocha, tout près de mon oreille — assise, elle pouvait m’atteindre — et elle se mit à murmurer.


« Ah ma belle, tes yeux aussi i’ sont beaux t’sais ?, me souffla-t-elle d’une voix douce. Gris comme les tempêtes les plus violentes du monde, bleu comme le calme le plus plat de la mer. T’es un bel équilibre, Emily Smith ! »

Chaque mot était une perle et mon sourire s’agrandit. Je pensais qu’elle allait partir en hurlant, et elle riait en m’adorant ! Thalia l’imprévisible. Je tiquais sur mon nom entier avant de me souvenir qu’elle adorait ça. « Emily » n’était jamais seule dans sa bouche ; elle se plaisait à prononcer parfois des « Emy » tendres, et à d’autres moments plus intenses, mon nom entier. « Emily Smith ». Nom tant haï, trop commun, trop... Si doux dans sa bouche, n’est-ce pas ? Si Thalia le prononçait si doucement et joliment, je n’arrivais pas à imaginer comment il sonnerait dans la bouche d’Abigail. *Elle dira jamais mon nom !*, répliqua ma conscience bien plus consciente que moi. Mes lèvres faillirent se tordre dans une grimace ; je les empêchais en me concentrant sur les mots de Thalia. Qu’avait-elle dit, déjà ?
*Ma belle*.
Ma belle ! Ce surnom qu’elle aimait tant. Affectueux ou moqueur ? Sans doute un peu des deux, n’est-ce pas ? Oui, un peu des deux.

« Moi aussi j’t’adore, Petite. » soufflais-je vers mon Ancre. Ses yeux étaient redevenus verts-charbons, nuancés comme je les aimais tant. Et tout aussi beaux. « Pourquoi tu m’as frappé, hein ? »

Mon ton était rieur, superficiel. Pourtant, la réponse m’intriguait. Je savais que j'étais allée trop loin ; mais elle avait soufflé qu’elle m’adorait, elle avait rit : pourquoi donc m’avait-elle frappée avant ? Je la saisis par l’épaule pour la rapprocher de moi ; l’éloigner de la présence repoussante et oppressante des gens aux alentours. Ceux qu’elle haïssait tant. Que m’avait-elle dit, déjà ? « Les gens sont tous des Autres, douloureux et oppressants. Mais toi ma belle, t’es unique hein, t’es pas une Autre, t’es juste ma belle à moi. » Et c’était le plus beau don qu’on ne m’avait jamais fait, je crois bien. J’étais pas une Autre, je me le rappelais maintenant, alors que Thalia était juste à côté de moi.

Mon regard balaya soudain les tribunes pour tenter d’apercevoir Abigail ; son absence dans mon champ de vision me rassura. Les prochaines minutes n’allaient pas être passées à la contempler du coin du l’œil, je serai toute entière concentrée sur Thalia. Thalia. Bien ; nos occasions de parler étaient précieuses et rares.


« Tu l’méritais ma belle, coupa-t-elle mes divagations clandestines. Tu l’sais bien. »

*Ouais*. « Ouais. » Mes pensées me trahissaient ; c’était horrible et si doux à la fois. Je portais cette fois mon attention sur le terrain ; ce n’était certes qu’un prétexte pour pouvoir parler à Thalia, mais j’y portais tout de même un intérêt. Le Quidditch ne me passionnait pas, mais les mouvements et les figures des joueurs défiaient certaines lois et en renforçaient d’autres ; observer était toujours apprendre de nouvelles choses. « L’match commence ! » m’exclamais-je.

« J’sais qu’ça t’intéresse pas trop, mais regarde donc comment les balais réagissent aux inflexions et aux mouvements des joueurs, et comment les courants d’airs influent leurs actions ! C’est top, les impossibles et les improbables ; les dangers et les risques... r’garde ! »

Ses sourcils se froncèrent un peu, puis un sourire naquit sur ses lèvres tandis qu’elle hochait la tête. Au moins, on était toutes les deux, juste pour un match. Je regardais l’équipe de ma maison jouer, et une nouvelle pensée me traversa la tête :
*Avec Thalia, c’est bien plus agréable !*.

Libre à vous. Désolé (ou pas) pour le pavé.

[Thalia existe entre les échos]
[elle persiste, bien que les Mots l’aient abandonnée]
08 mai 2019, 21:23
 01/05/2044  Les tribunes
Je ne connaissais le Quidditch que de nom. Étant sorcier et ayant un père fan, j'en avais entendus parler toute ma jeunesse (ou du moins toute mon enfance, je me considère encore jeune, moi !) mais n'y avais jamais jouer. Un jour, mon géniteur avait été prit d'une étrange lubie : m'expliquer les règles du Quidditch. Il m'avait donc séquestré dans la cuisine, moi pauvre petit garçon innocent subissant les caprice de son père, et m'avait assis devant la table. Il avait prit son air faussement solennel avant de se lancer dans des explications tarabiscotées auxquelles je n'ai rien compris et qui m'ont dégoûtées de ce sport. Comme je devais avoir l'air aussi surpris que quand on me réveille à minuit, papa avait soupiré, puis abandonné. J'étais ensuite parti comme une fusée en lançant "J'préfère le foot !". Depuis, je n'avais plus jamais pensé au Quidditch.

C'est pour ça qu'aujourd'hui, je me retrouvais bien bête à contempler ce spectacle qui s'offrait à moi sans que je ne le comprenne. A mes yeux, ce qui se passait dans les airs n'était rien d'autre que des gugusse à cheval sur des balais qui s'envoyaient des balles noires dans la tronches à l'aide de battes ou qui se poursuivaient pour avoir un ballon rouge, tels des petits chiens joyeux qui s'amusaient à la baballe. Mon regard qui étaient rivé sur les joueurs de Quidditch ainsi que sur leur balai, se déplaça pour tomber sur Taylor. Je l'avais presque oubliée, mon amie chérie. Soudain, je me rendis compte de l'air triste que son visage arborait. Elle, si joyeuse d'habitude, semblait renfermée. Elle me répondit que mes sentiments étaient partagés.

Je compris alors la raison de sa bouderie. Je la connaissais depuis maintenant un an bientôt, et je savais sa réaction vis à vis des taquineris que je lui lançais souvent du genre "J'te déteste" ou "Je sui triste, t'es plus mon amie". Je savais aussi que la plus grande peur de ma Taylouche était de perdre ses amis, et, entre autre, moi. Je savais également qu'elle avait peur qu'elle n'ait plus personne pour la soutenir et qu'elle serait de nouveau seule dans sa timidité. Pour moi, toutes ces petites phrases n'étaient que des blagues, mauvaises, certes, mais seulement des blagues. Jamais je ne laisserait ma meilleure amie seule, je l'aimais trop pour ça. Mais comment lui prouver mon amitié et ma fidélité ?

J'eus alors une idée saugrenue. Au lieu de parler ou de faire des blagues pourries comme j'en avais l'habitude, je me rapprochais de ma Taylouche et passais affectueusement un bras par dessus ses épaules. Le coeur battant je m'approchais d'elle et déposais un petit baiser sur sa joue. En apparence, ce n'était rien, mais mon petit coeur imbécile battit bêtement. C'était la première fois une fille, et, même si ce n'était pas sur la bouche, c'était très gênant. J'avais l'impression que d'un coup, le stade entier avait les yeux braqués sur moi. La peau de Taylor était toute douce sous mes lèvres, que je retirais au bout de cinq secondes qui passèrent comme cinq heures.

Je chuchotais alors :

"T'es ma meilleure amie et je t'adore. Jamais je ne te détesterais, même si tu me lancerais un sortilège Doloris."

@Taylor Bagholmes

Un génie sommeille en moi. Malheureusement, il dort tout le temps !
"He was an angel craving chaos. He was a demon seeking peace."
08 mai 2019, 21:43
 01/05/2044  Les tribunes
Le temps était clément ces temps-ci, le soleil s’invitait au château réchauffant les peaux et donnant le sourire. Mais pourtant, au-dessus de la petite tête d’Aliénor, c’était un vrai brouillard. Elle avait changé, que ce soit mentalement ou physiquement de part cette nouvelle coupe mais aussi parce qu’elle grandissait. Mais elle avait réussi à se raccrocher à ce qui était important pour elle. Elle trimbalait toujours sa pièce, elle dessinait moins, mais elle avait le vol et le Quidditch. Ce sport la forçait à donner le meilleur d’elle-même et à oublier que ses parents étaient loin d’elle à cause d’un passé troublant. Comme quoi les erreurs passées finissent toujours par ressortir. Il ne vaut mieux pas laisser les choses en suspens. Finir ce que l’on commence pour ne pas inquiéter ceux qui viendront à ta suite.

C’était donc presque par obligation mentale qu’elle se retrouvait au stade aujourd’hui. Elle ne savait pas vraiment pourquoi elle se trouvait ici au milieu de ceux qui encourageaient leurs maisons. Mais elle était là, certainement pour la beauté du jeu. Les bras croisés sur sa poitrine, les yeux sur le match, elle se tenait droite sur un banc au milieu des gradins. Se mêler aux autres pour ne pas se montrer, être tranquille. Elle était presque sûre de ne pas tomber sur des premières années survoltées. Elle pourrait contempler le jeu, relativement calmement.

Elle pourrait réfléchir en même temps à la prochaine chose qu’elle voudrait faire. Réaliser toutes ses envies avant que la vie te coupe l’herbe sous le pied. Avant que tu te retrouves effrayer à fuir en Espagne.
Aliénor chassa ses pensées d’un revers de main comme si elles n’étaient que des moustiques devant ces yeux. Elle ne voulait pas tomber là-dedans. Dans cette colère qui pointait trop souvent le bout de son nez. Elle voulait passer cette épreuve, devenir plus forte et avancer. Même si elle vivait ce départ comme un abandon, surtout que ça mère n’écrivait jamais dans les lettres que lui envoyait son père. Même si lui signait toujours « ta mère et moi t’aimons », elle n’avait jamais vraiment de mots de sa part à elle. Aucun signe de vie et elle lui en voulait pour ça. Heureusement que son père était là.

Aliénor observa avec attention ce coup d’envoi. Les deux poursuiveuses étaient rapides, il s’en était fallu de peu pour Ennis. Aliénor respectait sa camarade de Gryffondor, mais elle n’avait pas vraiment de préférence pour les vainqueurs du jour. Elle ne voulait que voir u beau jeu, c’est tout. Elle suivait les balles des yeux, le Quidditch avait quelque chose d’hypnotisant. Les joueurs ont l’air tellement à l’aise et elle aussi avait dû renvoyer cette impression alors qu’elle était terrorisée et qu’elle se sentait ridicule par moments. Un sourire en coin apparut sur ces lèvres à cette idée. *Bon courage à tous*

Libre à ceux qui veulent, sinon solo

Perséphone: Batteuse des Hel's, reine des Rumeurs
J'ai plus de virilité dans mon petit doigt que toi dans tout ton corps.
Aliénor Delphillia 7ème année RP, Poufsouffle