Aujourd'hui Amaia faisait sa rentrée à Poudlard, l'école de sorcellerie. Elle était arrivait ici avec une plume de paon noir qui était en fait un portoloin. Ensuite elle avait traverser le lac avec des barques et était arrivait dans la Grande salle. Cette salle était...grande... Très grande... Immense même ! Son plafond était magnifique : on ne voyait pas le fond et on aurait pu croire que les étoiles était présentes pour de vrai mais en fait c'était de la magie. Il y avait quatre tables alignées puis une table perpendiculaire aux autres était placé un peu plus loin dans la salle. Les élèves de première année s'avancèrent et virent un vieux chapeau posé sur un tabouret. C'est alors qu'il se mit à chanter :



Quand il eut fini, la sous directrice, Isabel Almeida, prit un parchemin et commença à appeler les élèves un par un. Ils allaient s'asseoir sur le petit tabouret et la dame mettait le chapeau sur leurs têtes. Cela dépendait des personnes mais le Choixpeau Magique mettait à peu près 2 minutes pour envoyer les élèves dans leurs maisons. D'après ce qu'elle avait entendu dans la chanson, Amaia pensait qu'elle allait être envoyait à Poufsouffle ou bien à Serdaigle car elle était gentille, patiente mais aussi intelligente et curieuse. Soudain, la femme qui tenait le parchemin appela Amaia.

"Brown, Amaia."

La jeune fille s'avança et s'assit sur le tabouret. Au bout de trois minutes, le Choixpeau cria :

"Poufsouffle !"

Amaia se leva et alla s'asseoir à la table des Poufsouffles très heureuse !

Le groupe de nouveaux s'avançait au milieu d'une grande salle avec 4 tables pour 4 maisons sur lesquels étaient assis des sorciers de 12 à 17 ans et Lydia en faisait partie elle était impressionné par tant de beauté et se sentée petite mais elle tacha de garder la tête haute, il suivait une dame qui les avait accueillis et qui les amena devant un tabouret sur lequel se trouvé un chapeaux, qui se mit a chanter :

Pour répartir les élèves je suis le meilleur.
Depuis mille ans, je chante de gaîté de cœur,
Je rythme les cérémonies de répartition :
Oiseau, serpent, blaireau ou lion ?

Oiseau, certes, mais pas linotte !
Car Rowena était loin d’être sotte.
Si vous avez de la curiosité, de l’esprit, de l’intelligence,
Serdaigle ne vous manifestera pas d’indifférence.

Les Serpents sont des rusés
Dont la noblesse n’est plus à prouver.
Loin d’être méchants et pernicieux,
Les élèves de Salazar sont fiers et ambitieux.

Helga vous accueillera si vous possédez
La gentillesse, la patience, la loyauté
Si vous n’acceptez pas autrui, passez votre chemin
Les Poufsouffle apportent l’aide dont les autres ont besoin.

Dans la maison de la bravoure,
Les Rouges n’ont pas peur de se dépasser.
Force et détermination sont leurs qualités :
Pour les valeurs de Godric, ils se battront toujours

Il est déjà l’heure de me retirer
Mais tous, je dois vous informer
Que vous risquez d’affronter
Cette année les pires dangers

Ne cédez pas à la terreur.
Gardez votre candeur
N’oubliez pas, les enfants,
Qu’ensemble, nous sommes plus grands

Puis chaque élève fut appelé à tour de rôle et a chaque fois le copieux les envoyait soit à Gryffondor soit à Poufsouffle soit à Serdaigle soit à Serpentard. Elle était assez effrayer à l'idée de ne pas se faire d'ami mais n'en montra pas un seul signe et quand la dame qui les avait accompagnés cria :
" Lydia Loly"

Elle s'avança sur d'elle jusqu'au tabouret et le choipeaux fut posé sur sa tête il cria alors :

"Serpentard"

Lydia était ravie comme ses parents elle avait été envoyée à Serpentardla maison de Salazar elle était fier et voulait prouvé à sa maison qu'elle était digne d'entrer dans la maison Serpentard celle des serpents même si sa mère avait peur des serpents elle savait alors qu'elle allait s'épanouir durant toute sa scolarité elle se leva alors et s'installa à la table des serpents avec le plus beau sourire qu'elle n'ai jamais fait.

RPG++
Anna fût entraînée dans la Grande Salle par la foule de premières années, elle qui était plutôt timide, elle se sentait mal à l'aise au milieu de tant de personnes : la Grande Salle était bondée ! Il y avait dans un coin la table des professeurs, nombre d’entre eux les regardaient avec sévérité tandis que d’autres, plus sympas, affichaient un chaleureux sourire de bienvenue. De part et d’autre de la salle se dressaient quatre grandes tables sur lesquelles les élèves actuels étaient assis et applaudissaient les petits nouveaux qui seraient bientôt répartis dans différentes Maisons. Et enfin, il y avait la foule de premières années dans laquelle Anna était englobée : certains étaient surexcités et bavardaient amicalement de leur Maison favorite, d’autres, comme Anna, se faisaient tout petits et attendaient patiemment que la répartition commence. Anna était oppressée par la foule animée, elle sentait des corps qui se pressaient contre elle et la chaleur de la salle n’arrangeait rien. Malgré tout, elle n’avait qu’une chose en tête : entrer à Serdaigle. C’était la maison de ses deux parents et elle voulait à tout prix y être envoyée !
Elle interrompit ses rêveries car elle remarqua soudain que la répartition allait commencer. La jeune fille perdit aussitôt son sourire et se fondit dans la foule, rouge de honte. Anna fût enchantée de s’être débarrassée de cette camarade un peu trop bavarde et enthousiaste à son goût et porta son attention un vieux chapeau rapiécé qui trônait sur un tabouret en bois que tout le monde semblait regarder attentivement, elle ne l’avait jusque là pas remarqué. Elle n’avait absolument aucune idée sur à quoi il pouvait servir : sa mère et son père ne lui avais jamais expliqué comment se déroulait la répartition, elle savait juste qu’ils seraient réparties dans les Quatre Maisons selon leur personnalité. Ses parents avaient sans doute voulu qu’elle le découvre par elle-même mais elle ne put s’empêcher de leur en vouloir en regardant les autres nouveaux pointer du doigt le vieux chapeau et entamer des bavardages animés à son sujet, ils semblaient en savoir beaucoup plus qu’elle… Anna tendit l’oreille et entendit quelques bribes de leur conversation : ils semblaient tous murmurer des mots comme « Choixpeau magique » ou « chanson d’accueil ». La directrice demanda le silence complet et cette fois, toute la salle se tourna vers le « Choixpeau » comme si on attendait qu’il fasse quelque chose. Soudain, une large ouverture apparut sur le devant du Choixpeau et il commença à chanter :
Voilà bien longtemps maintenant,
Que je trône fièrement parmi vous.
Sans doute, car je suis le plus compétent,
Et donc, je suis bien au rendez-vous !

Hors, plus les années passent,
Plus ma tâche est difficile !
Je dois percer votre carapace.
Alors soyez gentil et surtout bien docile.

Ton apparence sera d'or et de rouge,
Si comme eux, tu es plein de courage.
Godric attendait d'eux de la bravoure,
Mais surtout une détermination sans détour.

Si le jaune et noir sont tes couleurs,
Patience, loyauté et persévérance guideront ton cœur !
Helga les a choisi,
Car ici, tout le monde est plein de modestie.

En bleu et bronze, tu brilleras,
Si la sagesse guide tes pas.
Rowena les voulait intelligents,
Alors, fait en sorte d'être le plus brillant !

L'éclat du vert et argent te correspondra,
Si fierté et ruse, tu auras.
Salazard était ambitieux,
Tant ses élèves lui étaient précieux !

Mes enfants, surtout n'oubliez pas,
Que vos différences sont aussi votre plus grand pouvoir.
Restez unis et ne vous opposez pas,
Car cette année sera bien différente,
Plus difficile et plus malveillante,
Surtout, ne perdez pas espoir,
Car pour gagner, il faut en vouloir !

C'est ici que commence ma mission,
N'aie pas peur et prends ton temps,
Sur ta tête pose moi quelques instants,
Ainsi, tu connaîtras ta destination.

La chanson terminée, le Choixpeau referma sa « bouche » et la les dizaines d’élèves et de professeurs l’applaudir à tout rompre en hurlant de joie, y compris Anna qui était impressionnée par cette prouesse. Ensuite, les élèves furent appeler les uns après les autres, s’assirent chacun leur tour sur le tabouret de bois et posèrent le Choixpeau sur leur tête. A chaque fois, le Choixpeau attendait plus ou moins longtemps pour chaque élève et criait le nom de sa Maison respective ensuite comme s’il prenait le temps de réfléchir avant de se décider. La jeune fille enthousiaste qui avait parlé à Anna tout à l’heure semblait avoir retrouvé son sourire et s’avança d’un pas précipité quand elle fût appelée avant d’enfoncer résolument le Choixpeau sur sa tête, quand le Choixpeau cria le nom de Serdaigle, elle cria de joie et s’avança fièrement vers la table de sa nouvelle Maison tandis que les élèves qui y était déjà assis l’acclamaient. Anna éprouva une bouffée de jalousie et d’envie envers cette fille qui avait été envoyée dans la Maison qu’elle voulait depuis le début, et si elle n’était pas envoyée à Serdaigle ? Elle n’avait aucune envie d’aller à Serpentard et si elle allait à Gryffondor ou à Poufsouffle, ses parents en seraient profondément déçus… Quand vint son tour de mettre le Choixpeau magique, Anna sentit tous les regards se tourner vers elle et s’avança à petits pas timides vers celui-ci. Elle s’assit lentement sur le tabouret et déposa le Choixpeau sur sa tête :
- Je vois… Une jeune fille ambitieuse… Devenir Ministre de la magie… Intéressant… Serpentard ?
Anna secoua la tête, elle n’était pas du tout d’accord avec la voix qui résonnait dans sa tête.
- Hum… Pas Serpentard n’est-ce pas ? Je vois une grande générosité et une gentillesse envers les autres sans pareil… Je pense que la Maison la plus appropriée à ta maturité de sorcière est… POUFSOUFFLE !!!!!!
Elle se rendit compte que toute la salle avait entendue le dernier mot qu’avait prononcé le Choixpeau, des applaudissements déchaînés venait de la table des Poufsouffle. Elle n’était pas à Serdaigle !!!! Elle essaya de cacher sa mine déçue en se dirigeant vers sa table, une jeune fille qui avait l’air d’être en quatrième année lui cria :
- Bienvenue chez les Pouffy’s !
Anna retrouva aussitôt son sourire : même si elle n’était pas à Serdaigle, elle se sentait à l’aise dans sa Maison et c’est tout ce qui comptait ! Elle était prête à passer 7 bonnes années à Poudlard dans sa nouvelle Maison et ses parents la comprendrait, elle en était certaine !

Eileen était émerveillée quand elle franchit les portes de la grande salle. Elle ne voyait même pas qu'ayant avancée trop vite car elle avait hâte d'être répartie, elle avait fini par se trouver à la tête du cortège des nouveaux élèves. Elle avait hâte d'étudier et non pas de découvrir de nouvelles personnes. Heureusement qu'elle ne sentais pas tout le monde autour d'elle car elle n'aime pas vraiment être accompagnée. Elle n'entendit ni le jeune garçon derrière elle qui lui a parlé ni le choixpeau qui entonnait :
Pour répartir les élèves je suis le meilleur.
Depuis mille ans, je chante de gaîté de cœur,
Je rythme les cérémonies de répartition :
Oiseau, serpent, blaireau ou lion ?

Oiseau, certes, mais pas linotte !
Car Rowena était loin d’être sotte.
Si vous avez de la curiosité, de l’esprit, de l’intelligence,
Serdaigle ne vous manifestera pas d’indifférence.

Les Serpents sont des rusés
Dont la noblesse n’est plus à prouver.
Loin d’être méchants et pernicieux,
Les élèves de Salazar sont fiers et ambitieux.

Helga vous accueillera si vous possédez
La gentillesse, la patience, la loyauté
Si vous n’acceptez pas autrui, passez votre chemin
Les Poufsouffle apportent l’aide dont les autres ont besoin.

Dans la maison de la bravoure,
Les Rouges n’ont pas peur de se dépasser.
Force et détermination sont leurs qualités :
Pour les valeurs de Godric, ils se battront toujours

Il est déjà l’heure de me retirer
Mais tous, je dois vous informer
Que vous risquez d’affronter
Cette année les pires dangers

Ne cédez pas à la terreur.
Gardez votre candeur
N’oubliez pas, les enfants,
Qu’ensemble, nous sommes plus grands

Ensuite, tout les nouveaux arrivants furent appelés chacun leur tour et s'assirent sur le tabouret. Eileen sortit enfin de sa bulle quand la directrice prononça son nom. Alors elle prit conscience en avançant que tout les regards étaient posés sur elle (à dire vrai elle avait été un peu longue à reprendre conscience) . Enfin assisse sur le tabouret avec le choixpeau sur la tête, elle put l'entendre murmurer "nous avons un cas difficile...Tu pourrais t’épanouir dans deux maisons... Tu es très curieuse n'est ce pas ? L'intelligence est pour toi une qualité primordiale! Mais tu as aussi beaucoup d'ambition.
Je pense que tu te plairais mieux à
SERPENTARD"
Seule ce dernier mot fut entendu de tous ! Et seule la table de serpentard applaudirent!
Eileen était fière d'être dans cette maison, elle commençait à se dire qu'elle trouverait des gens à apprécier dans cette maison!

Quand Camille entra pour la première fois dans la grande salle, elle était tellement émerveillé qu'elle en oublia tous les questions qu'elle se posait dans le train. Elle observait le plafond magique avec bonheur : ce soir là, le ciel était totalement dégagé et des milliers d'étoiles y brillaient. C'était si beau. La jeune fille en oubliait même la répartition, jusqu'au moment ou le choixpeau se mit à chanter:
« Pour répartir les élèves je suis le meilleur.
Depuis mille ans, je chante de gaîté de cœur,
Je rythme les cérémonies de répartition :
Oiseau, serpent, blaireau ou lion ?

Oiseau, certes, mais pas linotte !
Car Rowena était loin d’être sotte.
Si vous avez de la curiosité, de l’esprit, de l’intelligence,
Serdaigle ne vous manifestera pas d’indifférence.

Les Serpents sont des rusés
Dont la noblesse n’est plus à prouver.
Loin d’être méchants et pernicieux,
Les élèves de Salazar sont fiers et ambitieux.

Helga vous accueillera si vous possédez
La gentillesse, la patience, la loyauté
Si vous n’acceptez pas autrui, passez votre chemin
Les Poufsouffle apportent l’aide dont les autres ont besoin.

Dans la maison de la bravoure,
Les Rouges n’ont pas peur de se dépasser.
Force et détermination sont leurs qualités :
Pour les valeurs de Godric, ils se battront toujours

Il est déjà l’heure de me retirer
Mais tous, je dois vous informer
Que vous risquez d’affronter
Cette année les pires dangers

Ne cédez pas à la terreur.
Gardez votre candeur
N’oubliez pas, les enfants,
Qu’ensemble, nous sommes plus grands »
Elle se mit à repenser aux paroles du chapeau, à vrai dire elle ne connaissait pas vraiment toutes ces maisons et elle ne savait pas du tout à laquelle elle voulait appartenir. Elle attendit donc pensive, puis vient son tour.
Elle s'assit et entendis:
Hum... Je vois tu es très travailleuse, mais aussi loyal envers ceux qui te sont cher, mais je vois aussi de la ruse et surtout de l'ambition...
Camille pensa alors à sa famille, elle devait être dans la maison ou elle les rendrait les plus fière en s'y épanouissant.
Bien... Alors ce sera SERPENTARD!
Camille fut applaudit par sa nouvelle maison et très heureuse, elle se dit si le Choixpeau a choisi Serpentard ce n'est pas pour rien ! D'un pas tranquille Camille alla s’asseoir à sa nouvelle table où l'attendait un incroyable festin. Alors qu'elle s'assit elle observa les membres de Serpentard et se dit qu'elle était vraiment tombé sur la meilleure maison !

[RPG ++]

Quand les élèves de première année pénétrèrent dans le château, Aileen laissa échapper un soupir de soulagement. Le froid mordant de la nuit l'avait saisie dès qu'elle était apparue dans le parc du château. Au moment où les portes s'ouvrirent, elle avait si froid aux doigts que souffler dessus ne paraissait rien changer et elle frissonnait dans sa robe de sorcière.
Tandis que son corps se réchauffait peu à peu, le groupe se remit en marche et suivit le professeur Almeida, qui s'arrêta devant une grande porte en bois massif. Aileen écarquilla les yeux. La finesse du travail du bois de l'imposante porte était magnifique. Le professeur commença à parler aux nouveaux élèves et la jeune future apprentie sorcière reporta son attention sur elle.

"Dans quelques instants, vous allez rejoindre les autres élèves pour le banquet et être répartis dans votre future maison. Pour celles et ceux qui ne sont pas encore familiers de tout cela, sachez qu’à Poudlard, les élèves sont répartis dans quatre maisons : Serpentard, Serdaigle, Poufsouffle et Gryffondor. Chacune d’elle possède ses propres qualités et convictions, ses propres titres de grandeurs, ses célébrités aussi… Votre maison sera également votre famille pour les sept années à venir. Elle comptera sur vous pour la représenter au mieux ! "

Après un court silence, elle reprit :
"Tout au long de l’année, des points pourront vous être attribués si votre scolarité et votre comportement sont exemplaires. Mais il vous en sera également retiré dans le cas contraire, ajouta la sous-directrice en balayant le groupe du regard. A la fin de l’année, la Maison qui aura le plus de points aura l’honneur de remporter la coupe des quatre maisons. L’année passée, c’est Serpentard qui a gagné. Alors je compte sur vous pour donner votre maximum, pour votre future Maison, mais aussi pour vous-même. Bien ! "

Quand la sorcière aux cheveux bruns eu finit son explication, elle ouvrit les portes d'un coup de baguette et le cortège des premières années la suivit dans la Grande Salle où étaient attablés les autres élèves et professeurs. Se laissant distancer par le groupe, Aileen s'accorda un dernier regard en direction des majestueuses voûtes de pierre du Hall d'entrée.
Harmonieusement taillés, les arcs de pierre de style gothique magnifiaient le château -du moins ce qu'elle en avait vu-, le rendant bien plus réel.

Depuis qu'elle avait appris l'existence de l'école de sorcellerie et surtout son appartenance au monde de la magie, elle n'avait eu de cesse d'imaginer l'école. Après sa lecture de l'Histoire de Poudlard, les images qu'elle s'en était faites se rapprochaient sans doute plus de la réalité, mais rien de ce à quoi elle avait pu penser n'égalait ce qu'elle avait à présent sous les yeux.

S'arrachant à sa contemplation, la petite fille se dépêcha de rejoindre le groupe, juste avant que les portes ne se referment. Alors, elle s'autorisa à contempler la Grande Salle : son féérique plafond magique, représentant une nuit étoilée où flottaient des centaines de bougies ; la table des professeurs, devant laquelle trônaient le Choixpeau magique et son tabouret ; les fantômes, attendant patiemment en compagnie des élèves que la répartition commence.

" Lorsque je vous appellerai, vous viendrez me rejoindre pour que je pose le chapeau sur votre tête. Mais avant je crois qu'il a quelque chose à nous dire... "

Sur ces paroles pour le moins étranges, le Choixpeau s’anima, et une large fente faisant office de bouche s’ouvrit pour laisser sortir une voix grave et rauque qui entama ce qui semblait être une chanson.

Pour répartir les élèves je suis le meilleur.
Depuis mille ans, je chante de gaîté de cœur,
Je rythme les cérémonies de répartition :
Oiseau, serpent, blaireau ou lion ?

Oiseau, certes, mais pas linotte !
Car Rowena était loin d’être sotte.
Si vous avez de la curiosité, de l’esprit, de l’intelligence,
Serdaigle ne vous manifestera pas d’indifférence.

Les Serpents sont des rusés
Dont la noblesse n’est plus à prouver.
Loin d’être méchants et pernicieux,
Les élèves de Salazar sont fiers et ambitieux.

Helga vous accueillera si vous possédez
La gentillesse, la patience, la loyauté
Si vous n’acceptez pas autrui, passez votre chemin
Les Poufsouffle apportent l’aide dont les autres ont besoin.

Dans la maison de la bravoure,
Les Rouges n’ont pas peur de se dépasser.
Force et détermination sont leurs qualités :
Pour les valeurs de Godric, ils se battront toujours

Il est déjà l’heure de me retirer
Mais tous, je dois vous informer
Que vous risquez d’affronter
Cette année les pires dangers

Ne cédez pas à la terreur.
Gardez votre candeur
N’oubliez pas, les enfants,
Qu’ensemble, nous sommes plus grands.

La chanson de l'antique chapeau achevée, les mines étaient quelque peu plus sombres, toutefois les étudiants applaudirent et la Cérémonie de la Répartition commença.

Aussitôt le stress gagna Aileen. Il n'y avait aucune raison : ce qu'elle avait lu dans l'Histoire de Poudlard ne laissait rien présager d'effrayant, pourtant, alors que l'interminable appel commençait, l'angoisse était bel et bien là. N'écoutant que d'une oreille, l'enfant fit ce qu'elle faisait toujours dans une situation qui la mettait mal à l'aise, elle se mit à réciter ses poèmes préférés. Elle commença avec un poème d'Eluard pour s'apaiser :

La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur,
Un rond de danse et de douceur,
Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
Et si je ne sais plus tout ce que j’ai vécu
C’est que tes yeux ne m’ont pas toujours vu.

Encore un élève en "A", répartit à Pouffsoufle celui-ci.

Feuilles de jour et mousse de rosée,
Roseaux du vent, sourires parfumés,
Ailes couvrant le monde de lumière,
Bateaux chargés du ciel et de la mer,
Chasseurs des bruits et sources des couleurs,

Parfums éclos d’une couvée d’aurores
Qui gît toujours sur la paille des astres,
Comme le jour dépend de l’innocence
Le monde entier dépend de tes yeux purs
Et tout mon sang coule dans leurs regards.

Aileen n'avait jamais "été amoureuse". Pourtant, les poèmes d'amour figuraient parmi ses favoris. Non pas qu'ils lui rappelaient une quelconque situation qu'elle avait vécue, mais il faisaient écho en elle. Elle avait l'intime conviction que l'amour rendait l'Homme beau. Qu'il soit fraternel, amical, amoureux, l'amour rendait beau. Les poèmes d'amour, fruits du génie et de l'émotion des poètes, lui paraissaient indubitablement beaux. Beaux dans leur bonheur, beaux dans leur douleur. Bien sûr, les autres poèmes lui plaisaient aussi et leurs mots la charmaient tout autant mais les poèmes d'amour avaient ce petit quelque chose qui l'enchantait.
Lorsque la liste passa aux "B", elle continua avec un Hugo, qu'elle chérissait :

Je respire où tu palpites,
Tu sais ; à quoi bon, hélas !
Rester là si tu me quittes,
Et vivre si tu t'en vas ?

Une jeune rousse envoyée à Serpentard.

A quoi bon vivre, étant l'ombre
De cet ange qui s'enfuit ?
A quoi bon, sous le ciel sombre,
N'être plus que de la nuit ?

La liste passa aux "C", avec un nouvel élève pour Gryffondor.

Je suis la fleur des murailles
Dont avril est le seul bien.
Il suffit que tu t'en ailles
Pour qu'il ne reste plus rien.

Une élève en "C-o".

Tu m'entoures d'Auréoles;
Te voir est mon seul souci.
Il suffit que tu t'envoles
Pour que je m'envole aussi.


La liste passa aux élèves en "D", se serait bientôt son tour. Étant en "D-e", ce ne serait plus très long. Toutefois elle était en "D-e-r" et il lui restait encore quelques minutes d'attente. Et si elle était répartie dans une maison qui ne lui correspondait pas ? Et si elle était "trop moldue" ? Elle balaya ses pensées d'un revers de la main. Si elle se mettait à se poser des question, elle allait paniquer. Elle devait faire confiance auc Choixpeau et rester con-cen-trée.

Si tu pars, mon front se penche ;
Mon âme au ciel, son ber...

Aileen Dernew !

La sous directrice l'avait appelée. Son prénom résonna dans sa tête quelques secondes avant qu'elle ne se ressaisisse. Elle marcha droit vers le tabouret, sans quitter le chapeau des yeux. Lorsqu'elle arriva devant le siège de bois, elle se retourna vers la salle et s'assit, les yeux clos tandis qu'elle sentait qu'on posait le Choixpeau sur sa tête. Une voix retentit alors. Elle ne paraissait pas prononcée à haute voix, c'était comme si l'on murmurait dans son esprit. La voix marmonnant qu'elle voyait de la curiosité et d'autres choses qu'elle ne pu saisir. Tout à coup, la voix s'écria, haut et fort cette fois : "Ce sera Serdaigle !"

Un peu hébétée, Aileen, se leva et se dirigea vers la table qu'elle pensait -à juste titre- être celle de sa nouvelle maison. Au moins, les valeurs de celle-ci paraissaient lui correspondre. Elle s'assit en silence sur un le banc de bois et attendit tout aussi silencieusement que la Répartition se termine, ressassant encore et encore le moment où le Choixpeau s'était tenu sur sa tête.

Louise était légèrement nerveuse. Lorsqu'elle entra dans la grande salle, elle laissa de côté sa peur pour observer le toit qui ressemblait à un ciel étoilé. Elle avait lu beaucoup de chose là dessus. Mais c'était quand même mieux de le voir en vrai ! C'est alors que le choixpeau commença sa chanson.

Pour répartir les élèves je suis le meilleur.
Depuis mille ans, je chante de gaîté de cœur,
Je rythme les cérémonies de répartition :
Oiseau, serpent, blaireau ou lion ?

Oiseau, certes, mais pas linotte !
Car Rowena était loin d’être sotte.
Si vous avez de la curiosité, de l’esprit, de l’intelligence,
Serdaigle ne vous manifestera pas d’indifférence.

Les Serpents sont des rusés
Dont la noblesse n’est plus à prouver.
Loin d’être méchants et pernicieux,
Les élèves de Salazar sont fiers et ambitieux.

Helga vous accueillera si vous possédez
La gentillesse, la patience, la loyauté
Si vous n’acceptez pas autrui, passez votre chemin
Les Poufsouffle apportent l’aide dont les autres ont besoin.

Dans la maison de la bravoure,
Les Rouges n’ont pas peur de se dépasser.
Force et détermination sont leurs qualités :
Pour les valeurs de Godric, ils se battront toujours

Il est déjà l’heure de me retirer
Mais tous, je dois vous informer
Que vous risquez d’affronter
Cette année les pires dangers

Ne cédez pas à la terreur.
Gardez votre candeur
N’oubliez pas, les enfants,
Qu’ensemble, nous sommes plus grands

La professeure commença alors à appeler les élèves.
Le choixpeau cria alors Gryffondor, Poufsouffle, Serpentard ou Serdaigle selon l'élève.

- Foster Louise !

Louise avança vers le petit tabouret de bois et s'assit.

- Hmmm... encore une Foster. Où pourrais je bien t'envoyer...

"Tout sauf Serpentard ! Je ne veux pas finir comme eux, je ne veux-

- Ne t'inquiète pas, je ne t'enverrais pas à Serpentard comme ton frère ou encore tes parents... Tu es différente d'eux et tu cherche à faire tes preuves...

Elle soupira de soulagement. C'était sa plus grande peur d'être envoyée à Serpentard. Déjà que s'était difficile de côtoyer une famille de Serpentard alors tous les gens autour d'elle... Elle savait bien que tous les Serpentard n'étaient pas comme sa famille mais elle ne pouvait s'empêcher de haïr cette maison qui avait accueillit autant de mage noir.

"- Tu es aussi très courageuse, tu as réussis à tenir tête à tes propres parents.
Pour moi, il n'y a plus aucun doute là dessus...
Je vais t'envoyer à GRYFFONDOR !"

Le dernier mot avait résonné dans la grande salle et il y eu des applaudissements.
Louise était heureuse d'être à Gryffondor. Mais... et si ses parents l'apprenaient ?

"Mais non. Tu ne leur dit rien et ils ne sauront rien."

Cette année commençait bien.

Mike suivait silencieusement la sous-directrice, perdu dans ses pensées. Le fait que les nés-moldus ne puissent venir par le même chemin que les autres l’avait légèrement perturbé. Pourquoi seraient-ils différents ? Triste époque dans lequel on vit, aurait dit son père. La cohorte de premières années s’arrêta et Mike vit que leur guide s’était arrêtée. Après quelques paroles réconfortantes et de plus amples informations, une grande porte en bois s’ouvrît et la sous-directrice s’y engouffra. Mike se pressa légèrement, impatient de découvrir la pièce dont son père lui avait tellement parlé, la pièce où toute les maisons se retrouvaient, mangeaient et bien sûr, passaient des examens. Pourtant, devant la foule de monde qui les attendaient, Mike angoissa légèrement, et utilisa tout de suite une technique pour se détendre : penser aux voyages qu’il avaient fait et aux autres qu’il ferait.

Un nouvel arrêt le fit revenir au monde présent. On leur présenta le choixpeau, l’objet qui - apparemment - décidait de la maison qui leur convenait le mieux. Une craquelure apparut sur la devanture de ce chapeau spécial, et Mike comprit qu’il s’agissait d’une bouche quand celle ci articula plusieurs mots distincts pour former des phrases. Sa musique, sa poésie plus exactement, passa et l’enfant se surpris à tendre l’oreille et à sourire malgré lui devant les vers et les rimes. Puis soudain, sans que Mike ne s’en aperçoive, l’appel commença. Des noms et des noms passèrent, jusqu’à un bien particulier...

- Peters, Mike !

En voyant les regards de beaucoup, beaucoup de personne le regardant, et en constatant qu’un moment crucial de sa vie arrivait, Mike revit le visage de son père qui lui adressait un sourire calme et fière. « J’étais chez Poufsouffle. Je ne te cache pas que ces années passés dans cette maison et surtout dans cette école on été les meilleurs de ma vie. Alors, quel que soit ta maison ou ta matière préférée, je te soutiendrais comme je le pourrais. » Mais Mike, loin d’être rassuré, avait posé la question qui le taraudait depuis qu’il avait appris l’existence de Poudlard. « Même si je suis à Serpentard ? » avait-il fait d’une petite voix. « Même si tu es à Serpentard mon fils, je serai fière du grand garçon que tu seras devenu. »

Rassuré, Mike s’approcha et se laissa coiffer du choixpeau. Des secondes, des minutes s’écoulèrent et Mike surprit le choixpeau murmurer à son oreille des mots qu’ils n’arrivaient pas à distinguer. Puis finalement, le verdict était tombé.

- SERDAIGLE !

- Oh ! Et bien... c’est bien ! sourit le garçon sans se rendre compte qu’il se parlait à lui même, tout en rejoignant la tablé qui lui faisait de grands gestes et sourire.

Eugène n'était clairement pas bien : trop de monde, trop de bruit, trop de lumière. Il était complètement perdu dans ce monde qui n'était clairement pas le sien. D'apparence, le rouquin semblait calme, se contentant d'être muet et de fixer bêtement ses doigts qu'il se rongeait de temps à autres. C'était une sale habitude et il le savait que trop bien. Mais c'était le seul moyen de canaliser son anxiété montante, ayant oublié sa balle anti-stress dans ses valises.

Le groupe s'arrêta au niveau de grands battants qu’Eugène dévisagea, tout comme le reste du château. Tout était d'époque, il en était presque sûr. L'endroit transpirait le vécu et l'Histoire, et d'une certaine manière, c'était écrasant : il était petit dans cet infiniment grand qui semblait éternel à travers les âges.

La dame qui les accompagnaient prit la parole, l'arrachant de ses pensées :

- Bienvenue à toutes et à tous pour votre première année à Poudlard ! Commença-t-elle, avant de se présenter. Je m’appelle Isabel Almeida, et je suis la sous-directrice de Poudlard. Dans quelques instants, vous allez rejoindre les autres élèves pour le banquet et être répartis dans votre future maison. Pour celles et ceux qui ne sont pas encore familiers de tout cela, sachez qu’à Poudlard, les élèves sont répartis dans quatre maisons : Serpentard, Serdaigle, Poufsouffle et Gryffondor. Chacune d’elle possède ses propres qualités et convictions, ses propres titres de grandeurs, ses célébrités aussi… Votre maison sera également votre famille pour les sept années à venir. Elle comptera sur vous pour la représenter au mieux !

Eugène écouta attentivement, essayant de retenir les différentes informations présentées dans ce discours. D'ailleurs, Almeida avait marqué un pause avant de continuer :

- Tout au long de l’année, des points pourront vous être attribués si votre scolarité et votre comportement sont exemplaires. Mais il vous en sera également retiré dans le cas contraire. A la fin de l’année, la Maison qui aura le plus de points aura l’honneur de remporter la coupe des quatre maisons. L’année passée, c’est Serpentard qui a gagné. Alors je compte sur vous pour donner votre maximum, pour votre future Maison, mais aussi pour vous-même. Bien ! Mettez vous en rang s’il vous plait… Voilà… Très bien. Vous êtes prêts ?

Eugène s'exécuta maladroitement, regardant les autres élèves avec plus ou moins d'appréhension. La majorité semblait si à l'aise et lui faisait tâche, bien qu'il repéra certains tout aussi perdu que lui. L’Irlandais hésita à faire un pas vers eux, mais tout courage le quitta quand les portes s'ouvrit. Il suivit tant bien que mal le mouvement, incertain de ses propres mouvements. Il regardait ses pieds, ne cherchant pas à lever le regard, bien trop craintif à l'idée de faire une crise d'angoisse.



Et il n'arrivait pas à savoir si son cœur était au bord de ses lèvres ou bien à sa place, dansant aux rythme de ses tachycardie. Que disait sa mère ? Ah oui, inspire et expire... Inspire et expire... Inspire et expire...



Le groupe s'arrêta et il osa levé les yeux, notant quelques visages ici et là, d'élève comme de professeur. Il vit ensuite l'estrade où était placé un simple tabouret et un vieux chapeau. Ok, Eugène était perplexe... Qu'allait-il se passer maintenant ? Almeida se tourna vers eux, prenant de nouveau la parole :

- Lorsque je vous appellerai, vous viendrez me rejoindre pour vous asseoir sur ce tabouret. Je poserai le Choixpeau sur votre tête afin qu’il vous annonce votre Maison. Mais avant cela, je crois qu’il a quelque chose à nous dire…

Un chapeau pouvait-il faire réellement ça ? Bien qu'Euguène eut vu beaucoup de chose depuis son arrivé, il n'arrivait toujours à croire que tout cela se passer.



Le drôle de chapeau s'anima, arrachant un sursaut à Eugène. Bien, fort bien, en faite il pouvait clairement faire ça. Et en plus il chante... Un chapeau que chante, était-il sûr qu'il ne délirait pas ? Ou bien un rêve ? Pourtant, la douleur à son bras lui disait clairement que non, tout ceci était réel... Et qu'il aurait de jolie bleues au réveil. La répartition commença juste après son chant et les élèves défilèrent dans un ballet coordonné. C'était fluide, presque envoûtant qu'Eugène perdit un instant pied avec la réalité : le temps d'une seconde, il était au calme dans sa maison à Wexford, un thé chaud entre les mains et écoutant le feu qui crépitait dans la cheminée.

- Harlow Eugène.

Il crût mourir à l'attente de son prénom. Il savait qu'il devait bouger, mon son corps refusa tout mouvement, trop lourd et trop angoissé. Eugène finit néanmoins par se mouvoir au bout de quelques secondes, qui semblait être une éternité. Il se faufila entre les premières années, sa respiration et sa canne qui suivait son pas boiteux étaient assourdissants à ses oreilles.



Tremblant, il monta sur l'estrade et le regard fuyant, il s'installa sur la tabouret. Le Choixpeau fut posé sur sa tête et avec force, Eugène serra sa canne. Dans la seconde, une voix raisonna dans son inconscience trop encombré, qu'il souhaitait parfois anesthésié.

"Mmh... Je vois... Harlow, ce nom m'est inconnue, ta famille n'est pas de ce monde ?"

Eugène Glapit à cette voix et ferma les yeux pour oublier ce monde qui l'écrasait.

"Un né-moldu qui se découvre en faite sorcier... Je vois beaucoup d'angoisse et de crainte. Tu es maladroit et tu as peur de mal faire les choses... Tu es gentil et naïf, mais tu ne semble pas te faire avoir deux fois de suite... Mais je vois que tu es d'une grande loyauté et que tu as en toi une force insoupçonné. Oh, cela te perturbe autant que je puisse te parler dans ta tête ? Bien, je ne vais pas t'embêter plus longtemps..."

- POUFSOUFFLE !

Les exclamations fusèrent d'une des quatre tables, et Eugène ouvrit seulement les yeux quand le Choixpeau fut retiré. Sans perdre plus de temps, le rouquin laissa sa place au prochain et partie rejoindre sa table aux couleurs jaunes et noires. Il s'y installa et salua comme il put les autres d'une voix assez forte, mais dégoulinante de mal-être.

Héloise était nerveuse. TRÈS nerveuse... Lorsqu'elle passa les portes de bois dans la grande salle, elle laissa sa peur l'envahir ....elle tremblait. Elle jeta un coup d'oeil aux décorations : des bougies quivolent, et un ciel ...en fait, non. Un PLAFOND plein d'étoiles...Elle n'avait pas prit le temps de chercher des choses à ce sujet : c'était de la magie, rien d'autre.. C'était quand même bien de le regarder, les yeux pétillants..Elle alla se placer devant le choixpeau, avec des multitudes d'autres élèves....Il commenca :

Pour répartir les élèves je suis le meilleur.
Depuis mille ans, je chante de gaîté de cœur,
Je rythme les cérémonies de répartition :
Oiseau, serpent, blaireau ou lion ?

Oiseau, certes, mais pas linotte !
Car Rowena était loin d’être sotte.
Si vous avez de la curiosité, de l’esprit, de l’intelligence,
Serdaigle ne vous manifestera pas d’indifférence.

Les Serpents sont des rusés
Dont la noblesse n’est plus à prouver.
Loin d’être méchants et pernicieux,
Les élèves de Salazar sont fiers et ambitieux.

Helga vous accueillera si vous possédez
La gentillesse, la patience, la loyauté
Si vous n’acceptez pas autrui, passez votre chemin
Les Poufsouffle apportent l’aide dont les autres ont besoin.

Dans la maison de la bravoure,
Les Rouges n’ont pas peur de se dépasser.
Force et détermination sont leurs qualités :
Pour les valeurs de Godric, ils se battront toujours

Il est déjà l’heure de me retirer
Mais tous, je dois vous informer
Que vous risquez d’affronter
Cette année les pires dangers

Ne cédez pas à la terreur.
Gardez votre candeur
N’oubliez pas, les enfants,
Qu’ensemble, nous sommes plus grands

Le professeur appela les élèves, chacun leur tour....

Le choixpeau décidait alors les maisons des élèves :
Gryffondor, Poufsouffle, Serpentard ou Serdaigle, les 4 grandes maisons du chateau ....
Héloise sursauta :
- Huerre Héloïse !
Héloise avança lentement vers le petit tabouret et s'assit en pensant que c'était le moment le plus impotant de toute sa vie.
- Ah... une une HUERRE . Où pourrais je ...
Loyale...courageuse.....vais- je donc t'envoyer à Poufsouffle, comme ta soeur ...?
Tu es aussi très indépendante, apparemment, tu n'as aucun mal à vivre seule....
Pour moi....le choix est dur.....
Mais... tu à plus de qualités pour t'envoyer à ..... GRYFFONDOR !
Le mot résonna... Il y eu uun silence . Héloise en fut très très gênée ... puis il y eu un tonnerre d'applaudissement !!!
Héloise était contente d'être chez les Lions.
En plus, quelque chose lui disait... que son bonheur ne faisait que commencer ....