Premier matin au château. La veille avait été compliquée à supporter, le retour au bruit, au monde, la cérémonie de répartition, être obligé de rester jusqu'à ce que les nouveaux soient dans leurs maisons respectives... T'as jamais été aussi heureux que quand tu t'es barré dans la salle commune avec Panthéa et le Perché. Il était pas bien non plus. D'ailleurs, il a rarement l'air bien. D'où le fait que tu le trouves constamment perché et que tu décides de l'appeler comme ça. D'ailleurs, c'est à côté de lui que tu prends ton petit déjeuner ce matin. T'as décidé que sa présence valait mieux que celle de nombre de tes autres camarades. Parce qu'il est silencieux, il prend pas trop de place, et il est encore moins à l'aise que toi en société. Et ça, ça te rassure.

Sauf que c'était trop facile que tout se passe bien. Le nez dans ta tasse de thé, après avoir avalé un nombre incalculable d'oeufs brouillés et de bacon grillé, une Serpentard se lève et fait tout un discours d'amour envers les Né-Moldus. Tu ne la connais pas, mais elle dit qu'elle est Sang-Pur, et que ça ne l'empêche pas de ne pas aimer le Conseil. Un peu comme toi du coup. Sauf qu'elle n'a pas l'air dans son état normal, et tout le monde se moque d'elle suite à sa déclaration. Des autres Serpentards surtout. Sûrement que quelqu'un lui a fait une mauvaise blague. T'aimes pas ça. En public, comme ça, ça ne rime à rien, c'est de l'humiliation gratuite. Personne ne devrait avoir à subir ça, peu importe les idées réellement colportées.

Alors quand tu vois un élève visiblement plus âgé qu'elle s'approcher pour lui tendre la main tout en lui disant que sa main était peut-être trop sale, tu serres les mâchoires. T'en as marre d'être entouré d'abrutis. Même le Perché le vit mal, il tape du pied par terre, il va finir par te faire une crise dans les pattes à ce rythme là, et tu sauras pas le gérer sans Panthéa. Alors tu décides d'agir, de la seule façon possible à tes yeux. Tu bondis sur tes pieds, et tu viens te placer devant la fille qui a fait le discours. Tu toises le type qui se fout d'elle. Même si t'es carrément plus petit, t'arrives à le regarder de haut. C'est ça qui est bien quand on possède autant de mépris que toi.

- Tu te trouves drôle ? T'as peut-être pas l'éclabouille, mais j'suis quasiment sûr qu'un tel niveau de stupidité est contagieux. Tu peux pas juste lui foutre la paix ?

T'en as ras le bol de ce château, des gens qui y vivent. Et pourtant, t'es arrivé qu'hier soir. Dire que t'as déjà survécu à un an... Plus que six.

Tendant tout de même sa main en avant, Rufus fut surpris que Carry la lui serre. Pendant une demie seconde, Rufus oublia tout, le philtre de confusion, la potion de babillage... Une partie de lui, celle qui vivait dans le monde des bisounours, avait espéré secrètement que l'effet de la potion avait cessé, qu'elle était sincère... Mais il aurait fallut être bien sôt pour croire cela. Carry etait comme elle l'etait et elle ne changerait jamais.

Rufus avait perdu son sourire. Cette blague était pourtant drôle au début mais... l'effet de la potion ne donnait que des illusion aux gens. Quand un Serdaigle s'approcha de lui, il le regarda avec un mélange d'amusement et de mépris. Il surpassa bien vite son regard trop haut pour sa taille. Même en s'asseillant le banc de la table de Serpentard, ils faisaient la même taille à peu de chose près. Il prit une pomme verte et acidulé, croqua dedans à pleine dent puis post ses yeux bleus sur chacune d'eux. Il parlait d'un ton méprisant et froid.

Si la sutipidté était contagieuse, elle aurait contaminé Poudlard tout entier petit. Tu n'as pas rencontré Carry avant aujourd'hui je suppose. N'importe qui te dira à quel point elle tient aux valeurs du sang, à ton avis, pourquoi tout le monde rit ? On ne change pas en un coup de baguette. Il se tourna vers Carry. J'espère vraiment que le sort ou la potion qui te fais dire de telles stupidités cessera bientôt. Ça ne te va pas bien la bienveillance. 

Il avait dit la vérité. Ça ne l'amusait plus le moins du monde.

L'autre imbécile perd son sourire. Victoire pour toi, il se rend enfin compte qu'humilier quelqu'un en public n'est pas sujet à rire. Comme quoi, tout est possible, il ne faut pas perdre espoir. Tu jettes un coup d'oeil au Perché à la table des Serdaigles. T'espères qu'il va aller mieux lorsque les rires auront cessé, histoire de ne pas faire tout ça pour rien. Après tout, tu ne la connais pas toi, cette fille, et t'as pas pour habitude de jouer au grand sauveur avec les inconnus. Mais s'il faut ça pour rabattre le caquet de quelques idiots et pour que ton presque pote passe à côté de la crise d'angoisse, tu prends. Comme quoi, tu penses un peu aux autres de temps en temps. L'autre s'assoit en croquant dans une pomme, essayant sans doute de se donner un style. Sauf que parler la bouche pleine, c'est juste dégoûtant, pas classe.

Tu lèves les yeux au ciel en l'entendant t'appeler "petit". Décidément, ce gars-là n'a rien pour lui. Il dit que la fille que tu défends tient aux valeurs du sang et que les gens rient pour ça. T'as l'impression de toucher le fond en entendant de tels propos. Il s'adresse ensuite à elle en disant que la bienveillance ne lui sied guère. Tu penches la tête sur le côté en l'observant. Il est sûrement la personne la plus bête que tu aies rencontrée jusqu'ici. Tu doutes de parvenir à coller un peu de logique dans sa tête, mais tu te dois d'essayer, parce que ce genre de propos aberrants, ça ne plaît pas des masses à tes tocs.

- Elle tient aux valeurs du sang, du coup tu peux l'humilier ? T'es encore plus stupide que ce que je croyais... Tu sais rien d'elle, de sa vie, de ce qui la fait penser comme ça, t'es qui pour la juger et te moquer d'elle devant tout le monde ?

Quel abruti. Tu t'apprêtes à faire demi-tour, persuadé que, de toute manière, discuter avec un type comme ça ne sert à rien. Et pourtant, c'est le moment que choisit Stolas, ton grand frère, Serpentard également et dans sa sixième année d'études pour intervenir. Il vient se placer non loin de toi, avec son sourire bienveillant habituel. T'as déjà envie de lui refaire le portrait, mais pas devant tout le monde, ça ne servirait à rien. Tu te contentes de l'observer avec un regard noir et les poings serrés tandis qu'il prend la parole à son tour.

- Ce qu'essaie de te faire comprendre mon petit frère avec un manque de tact certain... C'est que tu ne peux combattre l'intolérance par l'intolérance. Harceler le harceleur, ça n'a jamais fonctionné, et c'est tout aussi répréhensible d'humilier quelqu'un à cause de son sang qu'à cause de ses idées. Et effectivement, selon l'éducation reçue, les idées ne sont pas les mêmes.

Et vous parlez tous deux en connaissance de cause de par votre statut de Sang-Pur. Si, au début, tu pensais que ça te donnait une supériorité supplémentaire aux autres, t'as fini par comprendre que ce n'était rien de plus qu'un simple bout de papier obtenu par votre père pour soutenir le Conseil que tu as décidé de détester. Et même si tu détestes ton frère, tu sais qu'il ne partage pas du tout ces idées non plus. N'empêche, il t'agace à dire la même chose que toi en joli, il va encore passer pour le mec bien que tout le monde aime, et ça te débecte d'avance.

La matinée commençait bien, tous le monde se moquait de Carry Harrison, cette élève sang-pur qui n’avait pas peur de le revendiquer. Prise par une potion ou un sortilège (Wilson ne savait pas très bien) elle avait fait son mea-culpa et souhaitait aider les gens nés-moldu. Trop beau pour être vrai, bien entendu.

Cependant, la situation dérapa. Évidemment, des gens se sont mêlés à tous ceci, détruisant le jeu de Wilson et Rufus. Lorsque ce dernier proposa de tendre la main à Carry, un petit Serdaigle vient s’interposer pour prendre la défense de la fille. Pourquoi faisait-il cela ? Etait-il de son côté à elle? Peut-être n’aimait-il pas non plus les nés-moldus ? Wilson le regarda d’un air méfiant en l’écoutant s’en prendre à Rufus qui n’avait rien fait de mal. Le garçon tenta de répliquer quelque chose. Wilson sourit en entendant sa remarque. Il hocha la tête pour indiquer qu’il était d’accord avec ce que Rufus venait de dire, que ce soit en réponse au petit Serdaigle que ce soit à Carry. Un sixième année de Serpentard intervient également pour faire la morale à Rufus, comme quoi il ne faut pas répondre à la provocation en harcelant son harceleur…  Cette fois-ci c’était trop, Wilson ne pouvait pas laisser faire ça. Wilson se tourna vers Stolas Liderick et lui dit :

« Bla… Bla… Bla… Alors d’après toi, on ne devrait rien faire ? La laisser nous harceler parce qu’on est né-moldu ? On va pas la remercier non plus… Elle mérite ce qui lui arrive ! »

Wilson croisa ses bras en signe de protestation. Pour une fois qu’on lui laissait l’opportunité de se venger, de prendre l’avantage sur les sang-purs, il ne comptait pas se laisser faire comme ça. Et puis pourquoi ce type, de Serpentard, venait la défendre ? Lui aussi était du côté de Carry ? Peut-être qu’il y a plus de sang-purs et de partisans sang-purs que de nés-moldus dans cette école ? Wilson frissonna en pensant à tout ceci, il ne sait pas si c’est une bonne chose de revendiquer son statut de sang haut et fort de cette façon, surtout avec le régime de Parkinson mise en place, mais au moins, il n’abandonne pas ses convictions.

Lili était à la table de sa maison, à côté de son meilleur ami, Alexei. Elle prenait son petit-déjeuner avec lui en discutant de tout et de rien quand une de ses camarades commença à hurler tout en montant sur la table. Il s'agissait de Carry Harrison, une sang-pur fière de l'être. Pour son plus grand étonnement, Carry ne prônait pas la splendeur des sang-pur, mais le fait que tous les sorciers étaient égaux.

Lili regarda Alexei, un peu perplexe. Elle était persuadée que tout ce qu'elle disait était fait contre son gré mais n'avait pas la moindre idée de comment cela aurait pu se faire.

Les réactions ne se firent pas attendre : certains se moquaient d'elle, riaient.. Seul un élève prit sa défense.

Ce qu'il dit fit réfléchir Lili. La sorcière a obtenu son statut de sang-pur peu avant la fin de l'année et ne s'y faisait pas mais il était vrai que l'éducation de ses parents y était pour quelque chose : elle ne supportait pas les inégalités et les injustices, pour elle, tout le monde est égal, simplement parce que ses parents l'ont éduquée ainsi. Peut-être que Carry avait eu l'éducation inverse.

La jeune fille se pencha vers son meilleur ami et lui dit à voix basse :

- Voilà pourquoi j'aimerais que les autres élèves ne soient pas au courant pour moi, ce serait trop compliqué à vivre.

Lili continua à regarder la scène tout en se promettant d'intervenir si jamais cela irait trop loin.

La Grande Salle était devenue un véritable champ de bataille. D’un côté ceux qui étaient en train de prendre leur revanche sur la petite sang-pur et de l’autre ceux qui la défendait sans la connaitre. Carry, elle, ne savait plus vraiment où donner de la tête. Tout ce qu’elle voulait c’est qu’on arrête de se battre à cause d’elle. L’un lui lança à la figure que la bienveillance ne lui allait pas, un autre qui était avec ce qui semblait être son frère tenta de défendre Carry en disant que ce n’était pas de sa faute car elle n’avait pas reçu la même éducation que les autres. Pourquoi tant de haine envers elle ? *Tu le sais très bien. * On ne l’aimait pas et personne ne l’aimerait jamais à cause de ce qu’elle avait fait subir tous ces enfants de moldus. Carry passa son regard entre les deux serpentard.

-M-mais pourquoi vous êtes aussi méchant avec moi ?! J’essaye d’être gentille avec vous et vous vous moquez de moi ! La Carry de l’intérieur baissa les yeux et ne disait plus rien. J’étais sincère quand je disais apprécier les né-moldus *Pas vraiment, mais je vous déteste beaucoup moins qu'avant…* mais je sais maintenant que vous ne m’appréciez pas et m’apprécierez jamais ! Contrairement à vous j’évolue ne me bride pas avec le passé et je…

La potion commençait à perdre en effet, Carry pouvait le sentir car elle commençait enfin à pouvoir donner des ordres à son corps. Ses pupilles n’étaient plus aussi dilatés et sa vue n’était plus aussi trouble qu’avant, au contraire elle était claire et net. Carry prit une expression neutre remplit de tristesse avant de baisser la tête pour que personne ne la remarque. Rufus Williams … C’était lui qui avait empoisonné Carry car autrement, comment aurait-il pu savoir les effets de la potion qu’elle avait bu ? Elle aurait bien voulu répliquer mais elle savait que ça ne ferait que de mettre de l’huile sur le feu. Maintenant elle savait qui étaient ses ennemies et c’était quasiment plus de la moitié de l’école qui était contre elle. Son cœur souffrait car jamais elle n’aurait pensé que tout ce beau monde se liguerai contre contre sa personne.

-Et je suis désolée…reprit-elle en murmurant tout en laissant une larme couler sur sa joue. Je n’ai jamais réellement voulu de tout ça, je ne faisais qu’obéir à ce qu’on me disait de faire, de comment me comporter… J’avais vraiment l’intention de changer pour cette année…Prendre un nouveau départ et essayer de comprendre les né-moldus malgré le fait que je ne les appréciais pas forcément… Mais aujourd’hui je te félicite Rufus. Tu as réussi à m’humilier devant quasiment toute l’école pour prendre ta revanche, bravo félicitation.  Carry renifla péniblement en fermant les yeux pour essayer de contenir le surplus de larmes qu’elle sentait en train de couler sur ses joues. Je me rends compte maintenant que toi et les autres vous n’êtes que des pourritures sans cœur incapable de ressentir quoi que ce soit. Vous ne valez pas mieux que le Conseil D’Ursula, pas mieux que ma famille ! Vous êtes tous pourris jusqu’à la moelle !  Finit-elle par dire dans ses pleurs. La Serpentard se retourna et lâcha un merci beaucoup en direction du Serpentard et du Serdaigle qui l’avait défendu, mais maintenant elle voulait être seule et rien d’autre.

Carry marchant en direction de sa table éclata en sanglot devant tout le monde. Elle n’en pouvait plus, elle en avait marre de tout ce qui arrivait. Sa famille étant devenue des meurtriers, Carry pensait pouvoir trouver refuge à Poudlard et pour se protéger d’eux mais non. Ici aussi elle était traitée aussi bien que du bétail car on lui rappelait sans cesse ce qu’elle était et ce qu’elle avait fait. Une fois sortie de la grande salle avec toutes ces affaires à la main, Carry s’assit dans les escaliers et pleura toutes les larmes de son corps. Elle repensa à tout ce qu’elle avait fait depuis son arrivée à Poudlard et se rendit compte à quel point ses parents et sa sœur avait fait d’elle un monstre. Pour la première fois de sa vie, Carry ressentie ce qui s’appelait de la culpabilité… Elle avait le droit de ne pas apprécier les Né-moldus, mais elle n’avait pas le droit de les traiter comme elle l’avait fait. Carry pleurait encore et encore en ressassent dans sa tête les crimes qu’elle avait commit en répétant un nom encore et encore…

*Pardon…Herschel…Je suis tellement désolée…Pardon…Pardon…Pardon…Herschel Pardonne moi je t’en prie...Tu dois revenir… Je n’aurai jamais dû te traiter comme ça…* Carry mis sa tête dans ses bras avant de nouveaux éclater en sanglot dans les escaliers de l'école.

Assis sur son banc, l'air indifférent aux protestations du Serpnetard plus âgé, il croqua dans une pomme verte, acidulée fixant d'un regard flamboyant le vieux reptile. Ce garćon, même si Il avait raison,ne méritait pas la parole de Rufus. Il sourit à Wilson quand celui-ci vint le défendre, se promettant de lui rendre la oreille plus tard. Quand son attention se reporta sur Carry, il avala de travers mais réussit à faire passer ça pour une quinte de toux.

Elle... pleurait ? Rufus n'était même pas sûr auparavant que son cœur sec pouvait ressentir une émotion. Pourtant en contemplant les larmes couler lentement le long de ses joues, il ne put s'empêcher un mélange de Culpabilité et de dégoût. Il lança un regard exaspéré au Serdaigle et à son grand frère. Évidemment c'était facile pour eux. Ils avaient sûrement du sang sorcier depuis plusieurs générations. C'était toujours plus simple de reconnaître un défaut chez l'autre que de se mettre à sa place. Et en se disant ceci, Rufus se rendit compte qu'il était comme lui. Il n'arrêtait pas d'être antipathique avec Harrison en ne se rendant compte de la source du problème. Lui non plus n'était pas parfait. 

  Un seul regard envers Anthony lui fit comprendre la bonne chose et celui-ci envoya le sac de Rufus dans les airs. Rufus le rattrapa au dessus des fruits puis avança, la tête haute sans aucun signe extérieur de gêne  ou de culpabilité d'une démarche rapide sans un regard en arrière. Il ne devait point avoir honte de son comportement et l'assumer jusqu'au bout.

 Il aurait très bien pu ignorer les sanglots de la petite fille et retourner en salle commune mais une petite voix lui dit d'aller la voir. Il sorti de sa poche un bagde "I hate Mudbloods", un mouchoir en tissus, immaculé et les garda dans sa main. Arrivé à son niveau, son visage était impassible. Il dit d'une voix doucereuse: 

Alors tu as "vraiment" changé. Constata-t-il. Ne t'attends pas à des excuses de ma part pour une plaisanterie dont je ne suis pas l'auteur mais  plutôt pour.. ne pas avoir cru en la notion de deuxième chance. Donc ouai. Excuse moi pour ça.

Il posa le badge au pieds de la jeune fille et lui tendit le mouchoir. 

Si jamais tu as du mal. Tu peux encore le porter. Tu l'enleveras... petit à petit. 

Rufus avait honte. Non pas honte du comportement qu'il avait eut quelques minutes auparavant, mais d'oser présenter des excuses à cette.... elle. Il aurait très bien pu tenir sans éprouver aucun regret par rapport à cela, mais au moins elle saura. Elle saura qu'il s'était excusé bien que ce n'était pas vraiment dans un souci de gentillesse. Et puis, bien qu'il lui arrivait souvent d'être immature et de s'en ficher, il n'apreciait pas vraiment d'être considéré pire que Parkinson. Il était un des gentils, c'était ce qu'il essayait de se faire croire. Il reste là, droit comme un i puis amorça le mouvement pour faire un pas à reculons.