@Lili Cooper


Très tôt, Jeanne était partie à la Gare de King's Cross, elle avait pleuré toute les larmes, si précieuses
quelle avait caché dans son corps fragile tant d'année, et puis elle avait prit le fameux train avant d'arriver à sa destination. La traversé dans les barques avait été pour elle un moment magique, elle arrivait à peine à y croire, de nuit le château paraissait encore plus mystérieux, plus énigmatique, les étoiles brillait fort dans le ciel, c'était magnifique. Maintenant Jeanne avait l’impression d'avoir fait le vide dans sa vie, derrière son sourire émerveillé, se cachait une cascade de pleure, un ans, juste un ans ce répétait-elle juste un an. Elle arriva dans le château et monta lentement les escaliers en suivant des jeunes sorciers tout autant apeuré . Arrivé dans la grande salle elle se senti minuscule, la salle était encore plus grande que ce que lui avait dit Billy, son grand frères, "Billy", rien que dit penser elle eut les larmes aux yeux. Elle écouta la chanson mais après elle ferma les yeux. Perdu dans ses penser elle ne fit pas attention que c'était a son tour :
-Jeanne Tessier.....Jeanne Tessier....Miss ? fit une voie.
-Heu...j'arrive, répondit Jeanne traumatiser par son acte.
Elle s'assit sur le siège puis une main posa le choixpeau magique sur ses cheveux en bataille :
- Ho, tiens donc, une Tessier, je croyais pourtant avoir eu le dernier...Bon je me suis trompé...La sœur d'un Poustoufle et d'un Griffondor...Mmmh, choix difficile...gentille, attentionnée, Poustoufle t'irait bien...mais ton caractère fait rivalité à Griffondor...Créative, ho oui très créative...une imagination débordante à revendre...une grande soif d'apprendre...je voie, je voie...c'est claire...dans votre famille c'est toujours compliqué, aucune généralité....SERDAIGLE !
Elle entendit les Serdaigles applaudirent et siffler, elle ne pus s’empêcher de sourire, quelle joie !
Les Serdaigles l’accueillit les bras ouvert :
-Super, La meilleur maison ! Lui disais un d'entre eux en lui faisant un clin d’œil.
-Aller assis toi là, 'y a de la place ! Disais une autre en lui indiquant une place.
Elle s'assit et laissa des larmes coulé incognito sur ses joues, tant d'attention par des inconnus ça lui fitt vraiment du bien. Elle enleva de sa poche un petite enveloppe jaunis que ses parents lui avait donné le matin. Elle l'ouvrit précautionneusement, en prenant soin de ne pas la déchiré. Une photo qui bouge de sa famille lui faisant au-revoir, des larmes coula de plus belle, elle la retourna, laissant apparaitre les doux prénom de sa famille, les larmes coulait sans pouvoir les arrêtées mais personnes sur la table ne la voyait c'était tant mieux. Elle mangea avec plus de grâce possible les aliments qu'elle avait sélectionné dans le somptueux buffet. Ses larmes avait sécher, elle rigolait aux blagues :
-Pourquoi il ne faut pas faire de bruit ? Parce que Dumble dort !!!
-Haha...tout les serdaigles rigolait.

Venue à la fin du Banquet, la directrice fit un discours de à peine 5 minutes puisJeanne suivit les préfets, puis sans comprendre pourquoi, elle fur perdue, elle avait dut s’arrêter a peine 10 seconde pour regarder une peinture, ce qui fut assez pour perdre le groupe, elle resta là planté, perdu, jusqu’à qu'une fille plus âgée s'approche d'elle.

Même si Lili pensait ne pas pouvoir assister à la répartition de cette année à cause de son retard, Lili put prendre place à sa table avant l'arrivée des nouveaux élèves.

Elle balaya la salle du regard et y reconnut certaines têtes, dont ses amis. Elle n'avait pas vu la plupart depuis la fin de l'année précédente et espérait pouvoir avoir bien vite de leurs nouvelles.

La jeune fille fut sortie de ses pensées car les portes de la grande salle s'ouvrirent, laissant entrer les premières années qui semblaient un peu intimidées, ce que Lili pouvait comprendre : la salle est grande et pleine de monde inconnu, cela était très déstabilisant.

La répartition commença et Lili applaudit à chaque fois qu'une maison était annoncée pour un nouvel élève. Elle regardait les nouveaux arrivants dans la maison verte en leur souriant chaleureusement, pour essayer de les mettre en confiance.

La répartition touchait à sa fin, ce qui signifiait que le banquet allait, quant à lui, commencer. Malgré un très léger appétit, la deuxième année mangea un peu de tout.

Il était temps de quitter la salle et l'Anglaise attendit que les premières années sortent avec les préfets pour éviter qu'il y ait plus de monde que prévu avec eux. Peu après, Lili sortit pour rejoindre sa salle commune et son dortoir, quand elle vit une fille qui semblait perdue. Son uniforme était noir, il n'était donc pas compliqué pour Lili de comprendre qu'il s'agissait d'une première année. Elle avait le regard vitreux, comme si elle avait pleuré. La jeune Serpentard ne mit pas longtemps pour se décider à s'approcher d'elle pour l'aider :

- Salut, tu es en première année, c'est bien ça ? Tu as perdu la trace de tes préfets ?

Jeanne se retourna étonnée, elle écouta la jeune fille, mais détourna le regard. Pas besoin de répondre la Serpentard, elle savait déjà tout. Jeanne porta les mains à ses joues et se rendit compte quelles était mouillé, quelle honte, "pleurer à Poudlard, si mes frères voyait ça", pensa t'elle, elle se retourna vers la jeune fille en s’essuyant son visage douloureux :

- Bonjour, je m'appelle Jeanne, aurait tu vus mes préfets ?, disait-elle tristement sans attendre vraiment de réponse, elle se tourna vers le tableau, il était tellement beau à ses yeux. Sur l’œuvre, il y avait une jeune fille à peine plus jeune qu'elle, son regard était à la fois étincelant et terne, elle avait dans ses mains une rose qui lui piquait les doigts, des filet de sang coulait sur ses bras, mais nul ne comptait pour la jeune fille du tableau, son sourire rayonnait, elle souriait à Jeanne, le fond du tableau était noir perdu dans le néant. Jeanne se retourna poliment vers la fille qui l'avait interpelée il y avait quelque seconde et elle souri, Jeanne le savait, ce n'était pas un hasard, cette fille n'était pas là devant elle, dans les couloirs par coïncidence, cette rencontre allait avoir des conséquences sur son futur elle le savait, une petite voix, au plus profond d'elle même criait déchirant quelque chaines qu'y l'avait bloqué , mais pas toute il lui en restait plein d'autre, plein.
Jeanne posa une son regard sur le portrait, elle avait beau "rencontré" une personne qu'y, a son point de vu était gentille, elle était perdu, perdu dans se château .

Par chance, la jeune fille osa lui parler. En plus de son regard triste, sa voix et sa réponse semblaient bien tristes, ce qui rendait un peu Lili triste à son tour. Peut-être avait-elle un peu de mal d'avoir quitté sa famille, tout comme elle l'an passé.

- Enchantée Jeanne, je suis Lili. Je pense qu'ils ont presque tous rejoint leur salle commune mais tu as été répartie dans quelle maison ? Je peux t'emmener jusque devant ta salle commune si tu le souhaites.

Lili ne voulait pas laisser Jeanne livrée à elle-même, dans ce grand château. Bizarrement, la deuxième année ressentait comme un lien fort avec la jeune fille, bien plus que d'habitude quand elle aidait les autres.

Elle la regarda observer le tableau en face d'elle, elle se sentait un peu plus calme en le regardant, ce qui permit à Lili de lui demander la raison de son état actuel :

- Tu vas bien ? Tu sembles triste.

Pour éviter de paraitre intrusive, la jeune fille enchaina sur un souvenir de sa rentrée, il y a de ça un an. 

- Je me souviens que l'année précédente, ça m'avait fait bizarre de me dire que je n'allais plus passer autant de temps avec ma famille durant l'année. J'espérais pouvoir être dans la même maison que mon frère mais le choixpeau en a décidé autrement.

Il était rare pour la jeune fille de se livrer dès le début d'une rencontre mais c'était également la première fois que Lili ne regrettait pas. Même si elle était plus âgée qu'elle, elle voulait comme lui montrer que tout le monde est humain et que ce genre de moment est plus que normal.

Jeanne se retourna vers la jeune fille, elle l'écouta, sa vie semblant si similaire à la sienne mais aussi plus joyeuse, elle lui répondit :

- J'ai été répartie à Serdaigle, moi aussi mon frère, enfin mes frères on été répartie autre part que moi, un à Poustoufle et l’autre à Griffondor mais de toute façon il ne sont plus là, ils travaillent...Ils me manques tous, ma sœur et ses caprices épouvantable, mon frères et ses discours sur le quidditch, l'autre frère qui parles de ses patients comme de ses amis et mes parents avec leur habitude, leur mode de vie...mais bon...Je vais pas te déranger avec mes problèmes..disait Jeanne, elle n'osait pas accepter que Lili l'amène devant sa salle commune.

Jeanne regarda une nouvelle fois le tableau et le regarda puis disait :

- Tu trouves pas que ce tableaux est magnifique, il semble exprimer plusieurs émotions en même tant, c'est fou.elle se retourna bon je vais essayer de les retrouver, ils vont s'inquiéter

Elle s’avança vers un des escalier, puis vers un autre, le quelle prendre ? Elle n'en savait rein puis elle finit par demander à Lili de lui demander le chemin, de toute façon, que pouvait elle faire, seul dans un immense château, Lili était vraiment bien tomber, Jeanne souri en attendant la réponse de Lili .

Serdaigle ? Ah oui, Lili était déjà allée jusqu'à leur salle commune mais elle avait eu un peu de mal, vu où elle se trouvait. En plus de monter, il fallait changer de tour, la tour ouest. Bref, bien plus endurant que de descendre d'un étage.

- Je comprends mais ne t'inquiète pas, tu ne me déranges pas du tout, dit-elle en souriant. J'aime bien écouter les autres et les aider.

La jeune fille vit à nouveau Jeanne poser son regard sur le tableau, avant de s'adresser à nouveau à Lili :

- C'est vrai, l'artiste devait être doué. Tu es sûre ? ça ne doit pas être facile de se repérer dès le premier jour.

La jeune fille semblait ne pas vouloir déranger Lili mais elle ne la dérangeait pas. Etant une deuxième année, elle pouvait arriver un peu plus tard en salle commune et elle pouvait très bien expliquer les raisons de son retard au cas où, elle se doutait bien qu'il ne lui arriverait rien.

Jeanne tenta de trouver son chemin mais cela était compliqué pour elle et Lili pouvait facilement le voir, le nombre d'escaliers, d'étages... on se sentait facilement toute petite. Elle finit par lui demander son aide tout en souriant à la deuxième année.

- Bien sûr, suis-moi ! C'est par là !

La jeune fille commença à monter les marches de l'escalier le plus proche d'elle. 

Jeanne fut heureuse que Lili accepta. Elle suivait timidement Lili, en prenant garde de ne pas l’embêté, mais elle finit par engager la discutions :

- Heu...bah du coup tu es en 2ieme année ? Tu était perdu toi aussi, quand tu est arrivé ?

En parlant Jeanne ne fit pas attention à où elle marchait, quelle affreux escalier, tandis quelle parlait un marche avait craquer sous son poids, la serdaigle se retrouva le pied coincé. Tout d'abord elle ne voulut pas alerter Lili, mais Lili s’éloignait de plus en plus. Jeanne tira, pour retirer son pied, mais son pied lui faisait trop mal, Jeanne avait du faire un faux mouvement, car maintenant impossible de le bougé. Puis Lili disparu complétement derrière un mur et Jeanne se décida enfin à l'appeler :

- Lili ! Attend moi, s'il te plait ! Je suis bloqué ! Tu m'entend Lili ?!

Mais Lili ne semblait pas l'entendre, Jeanne se retrouvait encore une fois seul, pourquoi ne l'avait elle pas interpelé plus vite ? Jeanne avait tellement honte. Malgré la douleur, Jeanne força de toute ses forces ce qui lui donna les larmes aux yeux, ses efforts finit par récompenser, son pied se décoinça douloureux comme jamais. Elle courra, pour retrouver Lili, des larmes coulait, tandis que la douleur s’installait de plus en plus, puis elle aperçu Lili au en haut d'un escalier :

-Lili ! Cria-t-elle essouffler, en s'adossant à la rambarde, rouge de douleur, son pied avait gonflé, elle le sentait.

@Lili Cooper

Les deux filles commencèrent à monter les escaliers et une discussion s'engagea :

- Oui, c'est bien ma deuxième année ! Non, dit-elle en riant, j'étais bien trop intimidée par le lieu pour lâcher mes préfets des yeux !

La jeune fille continua à monter les escaliers, se disant que Jeanne était devenue tout à coup silencieuse. ne souhaitant pas la forcer à parler, Lili continua son chemin sans regarder derrière elle, jusqu'au premier étage. En arrivant sur le palier, elle put voir que la jeune Serdaigle ne la suivait pas. Lili l'appela, se demandant si elle arrivait mais en guise de réponse, Jeanne l'appela à son tour, lui indiquant qu'elle était bloquée. La deuxième année ne comprit pas vraiment ce qu'elle voulait dire mais il ne lui fallut pas longtemps pour se décider à redescendre les escaliers pour voir ce qui se passait.

Ne la voyant pas tout de suite arriver, la jeune fille rappela la deuxième année, ce à quoi Lili répondit :

- Je suis là, désolée, je pensais que tu suivais. Attends, ne force pas, je vais t'aider.

Lili pouvait facilement voir que Jeanne avait couru pour essayer de la rattraper mais que cela n'avait pas dû être facile pour elle. Elle semblait s'être bloqué le pied quelque part, mais Lili ne voyait pas trop comment.

- Passe ton bras sur mon épaule, je crois qu'il va falloir que l'on fasse un petit tour à l'infirmerie.

Jeanne passa son bras sur l'épaule de Lili et se laissa se laisse guider pour aller à l'infirmerie. Ce moment paru pour Jeanne interminable, son pied était lourd, elle expliqua à Lili comment ça c'était passer :

- Alors en faite, je te suivait mais je regardais pas où je marchais....et d'un coup la marche à craquée et mon pied c'est retrouvé bloquée... j'ai pas osée t’avertir .... mais sa faisait trop mal.... alors j'ai finit par t'appeler, mais tu répondais pas, j'ai essayer de te rattraper quand j'ai enfin finit de décoincer ce foutu pied, j'ai couru mais la douleur persistait, mais bon je pense que c'est rien de grave juste une petite entorse, voila tout.

Jeanne avait un peu honte de sa blessure elle se l'était fait si bêtement, qu'elle avait peur de se que Lili allait penser d'elle. Sa lui rappelait la fois où elle avait trébucher dans la cour de récréation en primaire, elle avait eu tellement honte, tout ces regard tourné vers elle, mais pourtant là personne ne l'avait vu, mais elle avait l'impression que tout poudlard l'avait observé, que tout ces personnes riait, mais il n'en était rien.

Les deux jeunes fille continuèrent d'avancer, Jeanne sautait a cloche pied pour ne pas a graver sa blessure. Puis elle arrivèrent à l'infirmerie, Jeanne regardai si quelqu'un était là, mais à première vue personne.

La jeune fille écouta attentivement Jeanne pour pouvoir expliquer le tout à l'infirmier. Elle s'inquiétait vraiment pour elle, mais , malheureusement, elle ne pouvait rien faire seule, elles devaient vraiment se rendre à l'infirmerie pour s'assurer que tout allait bien, Jeanne ne pouvait pas aller mieux sans suivi ni soin.

- D'accord, tu as mal où, exactement ?

Lili espérait que ce ne soit pas trop grave, une blessure dès le premier jour, ce n'était pas vraiment la chose la plus sympa à vivre. La Serdaigle semblait jouer de malchance, ce jour-là. 

- Ça va comme ça ? T'as pas plus mal ?

Lili n'a jamais eu de blessure de ce genre, elle ne savait pas vraiment comment s'y prendre. Tant que Jeanne ne posait pas son pied au sol, cela devrait aller. Cela devait être dur pour elle de monter trois étages sur une jambe mais elle semblait vouloir faire de son mieux. Elles auraient peut-être pu appeler un professeur pour les aider mais il fallait bien dire que Lili n'y avait pas pensé plus tôt. De toutes façons, elle ne se voyait pas laisser Jeanne seule.

Les deux filles continuèrent de monter les escaliers, assez lentement, Lili ne voulait pas que cela empire pour Jeanne. Elles s'approchèrent enfin de l'infirmerie. La deuxième année toqua à la porte avant d'entrer et les deux filles y entrèrent.

FIN DU RP POUR LILI