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11 févr. 2021, 16:46
Les flammes  L.C|K.L 
Son angoisse détruit ton cœur en morceaux. Sa terreur entrave chacun des mouvements que tu voudrais effectuer, chaque mots que tu voudrais extirper de ta bouche pour l’aider. Bloqué dans ses propres peurs, c’est toi qu’il enferme, peu à peu, et tu te débats pour échapper à l’emprise de ces sentiments qui ne sont pas les tiens.
Tes dents se serrent vaguement, tendis que tu taches de ne rien montrer de ton désarroi. Edwin, en se perdant dans sa tête, vous entraîne derrière lui. Vous désirez l’aider mais vous ne parvenez qu’à faire remonter à la surfaces des souvenirs qui devraient rester enfouis.
La culpabilité t’étouffe soudainement. Edwin ne veut pas, ne doit pas, révéler l’origine de ce Feu. Il ne doit pas se laisser à nouveau dévaster par lui. Il doit juste se relever, et, quoi qu’il arrive, se battre pour reconquérir son droit d’exister. Se persuader de sa légitimité à vivre.
Sa main qui se pose sur la tienne, qu’il serre comme pour se raccrocher à quelque chose, est l’ultime preuve. Tout ton corps est traversé d’un tremblement glacial, et tu voudrais ne pas écouter les mots qu’il prononce de sa voix rendue rauque par les sanglots. Tu voudrais qu’il dresse une frontière entre maintenant et ces souvenirs qu’il semble répéter en boucle dans sa tête.
Tu voudrais qu’il construise un barrage pour repousser les douleurs venues du passé, pour qu’elles cessent de le tourmenter. Mais lui balancer tout ça à la figure, c’est risquer d’ouvrir un peu plus ses blessures. C’est oublier qu’il a mal et qu’il ne sait pas quoi faire.

Pourtant, tu ne sais pas comment faire pour le réveiller. Pour le faire revenir à la raison.
Tu prends une inspiration hachée au moment où Lili ouvre la bouche. Elle tente tant bien que mal de trouver des solutions, mais tu ne sais pas si son idée est la meilleure qui soit. Si chercher à reprendre contact avec sa mère qui semble complètement folle serait bon pour le pauvre gamin tremblotant que tu tiens contre toi.
Il est grand, il est fort, mais là c’est lui qui a besoin d’aide. Et même si réaliser cela te fait mal, tu ne sais pas quoi faire.
Alors, les yeux baissés, tu entoures Edwin de tes bras, le serres contre toi. Tu inclines le visage vers son oreille, lui murmure quelques mots sans savoir si lui-même les entendra.


« Sois fort. Bats toi, et tu verras, le feu arrêtera d’te bouffer. »


Inspiration.
Tu te lèves, recules de quelques pas et jettes un œil au duo formé par tes deux amis.


« J’suis désolée. Je… »


Tu tournes les talons, te perds dans la foule sans un regard en arrière.

Expiration.
Tu savais qu’Edwin allait mal. Tu ne te doutais pas qu’il se perdait et qu’il entraînait les autres à sa suite. T’en rendre compte est douloureux. Aussi, pour cacher ton angoisse de ne pas savoir quoi faire, pour éviter de t’égarer dans ses propres peurs, pour ne pas montrer ton impuissance, tu fuis.


______
Bon. Ce sera donc mon dernier post ici. Merci à vous deux. <3
Il était prévisible que ça finisse étrangement. Je ne la comprends pas trop, mais cette fuite peut vouloir dire beaucoup de choses.
Si vous continuez, je suivrai avec plaisir !

• ‘til it seemed
that Sense was breaking through — •

ent‘r‘êvée

13 mars 2021, 21:16
Les flammes  L.C|K.L 
Il ne croit pas Lili. Et ça, c’est une révélation qui lui fait peur. Sa voit a le pouvoir apaisant de calmer ses peurs, mais il ne la croit pas. Il n’y arrive pas, il n’arrive pas à voir les choses dans le bon sens, il n’y a que le mal qui lui vient à l’esprit. Il ne peut que s’imaginer sa mère hurler de douleur, se tordre sur le sol de la cuisine, le haïr. Et tout ça n’est que de sa faute. Il a peur d’elle, mais il a peur de lui aussi. Il a peur qu’elle l’abandonne mais, en même temps, comment peut-être rester près de lui ? Comment peut-elle rester près d’un monstre ? Un enfant égoïste et violent qui peut la blesser à n’importe quel moment, juste parce qu’il a peur ? Et à quel moment est-il devenu ça ? Il déteste ce côté de lui, il le hait bien plus qu’il ne peut haïr tout le reste du monde, bien plus qu’il ne pourrait haïr sa mère s’il en avait la force. Il a peur, et ça le fait devenir affreux. Mais ce n’est pas une excuse, rien n’est jamais une excuse quand ça le transforme en un monstre comme ça. Edwin croit sa mère quand elle traite les sorciers de monstres, parce qu’il en est un. Si lui en est un, alors pourquoi les autres n’en seraient pas ?

Ce n’est pas rien, sa mère ne va pas bien et lui non plus. Rien ne va bien, tout va mal et bien pire encore et personne ne peut voir à quel point c’est mauvais. Ils ne voient que sa faiblesse, ils se posent à ses côtés pour lui dire que ce n’est pas sa faute, que ça ira. Ils ont pitié, mais Edwin sait qu’ils ne devraient pas. Il se sent horrible de se faire passer pour la victime, parce qu’il ne l’est pas dans cette histoire. C’est totalement de sa faute, rien ne serait arrivé s’il n’était pas parti à Poudlard en premier lieu, s’il n’était pas revenu pour les vacances, s’il avait essayé plus fort d’être un bon fils. Au final il était le pire, et ce n’était pas étonnant que sa mère le déteste, qu’elle ait peur de lui autant qu’il avait peur d’elle, autant qu’il se détestait. Elle était la seule à le voir comme il était vraiment, il n’y avait qu’à elle qu’il pouvait faire confiance pour ne pas le prendre en pitié quand il ne le méritait pas.

Il n’y avait qu’elle qui savait à quel point il était immonde. Il se cache encore plus dans ses bras, presse ses genoux jusqu’à y enfoncer ses ongles à travers le tissu. Tout est de trop autour de lui, il ne mérite pas qu’elles s’inquiètent, il ne mérite rien de leur jolis mots. Il secoue la tête Je peux pas lui écrire dit-il simplement avec mal à travers ses dents serrées. Pas parce qu’il n’a pas d’oiseau, pas parce qu’elle ne peut pas recevoir ses lettres. Il n’y arrive pas, il n’en a pas la force, et ça lui donnerait l’occasion de lui répondre et de le descendre. Il sait qu’il mérite sûrement ça, mais il n’arrive pas à lui donner l’occasion de le faire. C’est mieux qu’il ne lui envoie pas de courrier, ce serait l’horreur.

Il lève la tête avec horreur quand il capte que Kyana s’en va. Qu’il se batte. Mais il ne peut pas se battre ! Il ne veut pas se battre, il veut juste que tout s’arrête ! Il attrape compulsivement la main de Lili en hoquetant Elle s’en va, elle m’abandonne aussi, elle part ! Ne pars pas, t’as pas le droit, tu peux pas me laisser tout seul, ne t’en vas pas !

"T'a Smaug sur son tas d'or et t'as Edwin sur son tas de rédacteurs" - Isaac Powell
Edwin Wellhister (16 ans, quatrième année)

06 avr. 2021, 09:34
Les flammes  L.C|K.L 
Bon, il ne peut pas lui écrire et tu es à court d’idées pour l’aider, tu as l’impression que cette situation est réellement sans issue, comme le présente ton meilleur ami, et ce, même si tu es certaine que ce n’est pas vrai. Seulement, actuellement, il est difficile de trouver la lumière qui pourrait aider le premier année. Tu baisses les yeux et regarde le sol un instant, espérant avoir une illumination pour l’aider, car tu n’aimes définitivement pas lorsqu’il est dans cet état.

Tu relèves la tête lorsque tu entends Kyana prendre la parole. Tu la regardes, pas sûre de tout comprendre, que ce soit dans ses paroles ou lorsqu’elle décide de vous laisser et de fuir. Maintenant, tu t’inquiètes pour deux personnes et tu ne peux pas être avec les deux, puisqu’une vient de partir et l’autre ne veut pas que tu partes. La réaction d’Edwin est compréhensible, c’est pour cette raison que tu décides de le prendre dans tes bras et de ne rien dire un instant, le temps qu’il comprenne qu’il ne sera jamais seul et que tu feras ton maximum pour l’aider.

- Je partirai pas, faudra me supporter encore longtemps, dis-tu très sérieusement.

Votre amitié t’est très importante et, dans tous les cas, tu resterais aux côtés d’une personne qui en a besoin et tu imagines sans aucun doute qu’Edwin le sait. Seulement, la réaction de Kyana n’était pas la meilleure pour son moral qui était déjà bien bas : un ami, tu peux compter sur lui, que faire si même eux décident de nous laisser tomber ? Tu ne juges absolument pas la Serdaigle, elle avait ses raisons, mais tu te doutes bien que du point de vue du Serpentard, ça doit faire mal.

Tu restes là, à le serrer dans tes bras, à essayer de dire autrement ce que tu n’arrives pas à dire tout haut. Tu as envie que ton meilleur ami sourie à nouveau et qu’il ne se renferme pas sur lui-même. Tu veux entendre des blagues de sa part dans les jours à venir, comme il en a l’habitude et, surtout, tu n’as pas envie qu’il perde espoir et qu’il se voie tel qu’il n’est pas.

- Ça finira par s’arranger, d’accord ? C’est promis.

Sixième année RP | #4682B4
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.

08 mai 2021, 16:09
Les flammes  L.C|K.L 
Voir Kyana s'éloigner dans le couloirs comme si le diable la coursait a fait exploser un petit quelque chose dans sa tête. Peut-être pour le mieux, d'ailleurs, parce que ça fait exploser une grosse partie de ses angoisses d'un coup. Sans ça, il ne se serait probablement pas remis à pleurer comme un bébé en hoquetant. Il s'accroche à Lili, enfonce son visage dans son cou et pleure un bon coup. Il doit avouer que ça lui fait du bien de faire céder le barraque d'un coup, lui qui essaie depuis des semaines de réparer les failles. Parfois, le meilleur moyen de réparer quelque chose est de le détruire et de le remplacer. C'est peut-être plus dur mais ça dure moins longtemps. Le barraque sera tout neuf et un peu plus résistant, au lieu d'être réparé de partout et de pouvoir fuir à tout moment sans prévenir.

Lili est son architecte et ses doux mots les pierres de la nouvelle construction. Edwin se dit souvent que c'est une mauvaise idée de tant s'appuyer sur elle, parce que le jour où elle partira il n'aura plus aucun repère, mais surtout parce qu'il sait qu'elle a déjà beaucoup à faire. Il se sent souvent mal de lui mettre encore plus de choses sur les épaules et il espère sincèrement qu'elle est assez mature, elle, pour savoir quand arrêter les choses avant qu'elle n'explose. Edwin n'a jamais su faire ça, il a toujours compté sur les autres pour le stopper avant que les choses ne s'aggrave mais là personne n'a ralenti sa cadence et il a foncé droit dans le mur à vitesse grand V. Lili est sûrement moins idiote que lui sur ce point là, il lui fait plus confiance qu'en lui-même pour gérer tout ça, et c'est peut-être pourquoi malgré son inquiétude il s'appuie toujours autant sur elle.

Quand il se sent à peu près bien, il essaie à chaque fois de se racheter, de l'aider comme il peut. Ca passe presque tout le temps par lui proposer d'aller se balader dans le parc ou de lui faire des blagues pour la faire rire. Il ne sait pas quoi faire d'autre, toutes les choses où elle pourrait avoir besoin d'aides ne sont pas de son ressort et à part en soutient moral, il n'est pas d'une grande utilité malheureusement. Pourtant, elle ne se plaint jamais d'aider trop souvent les gens, de prendre trop souvent sur elle et Edwin l'admire réellement pour ça, pour cette gentillesse qu'elle a sans limites et pour la façon dont elle semble sincèrement s'occuper des gens. Elle s'en soucie, et c'est une des seules à le faire sans arrière pensée, juste parce qu'elle est comme ça. Il finit par se calmer et essuie à nouveau son nez avec sa manche, beaucoup plus apaisé qu'il ne pouvait l'être il y a quelques minutes.

Je te crois chuchote-t-il doucement en hochant la tête avant de s'écarter d'elle pour se relever en s'appuyant sur le mur. Si t'étais pas là je sais pas ce que je ferais essaie-t-il de plaisanter sans pour autant cacher le ton très sérieux de sa phrase. Ce n'est pas une vraie blague, juste la vérité. S'cuse moi pour... Tout ça, c'était pas ouf. J'devrais pas t'embêter avec tout ça.

"T'a Smaug sur son tas d'or et t'as Edwin sur son tas de rédacteurs" - Isaac Powell
Edwin Wellhister (16 ans, quatrième année)

05 juin 2021, 23:13
Les flammes  L.C|K.L 
Tu n'aimes pas voir Edwin dans cet état mais tu es là pour lui et pour lui montrer que tout va aller mieux très rapidement. Tu le serres dans tes bras sans dire un seul mot mais ton câlin pourrait bien lui signifier plusieurs choses telles que tu seras toujours là pour lui et il pourra toujours compter sur toi, il a le droit de se laisser aller avec toi et qu'il est même en sécurité lorsque cela arrive, il n'y a aucun jugement de ta part à son égard. Les amis sont là pour ça, autant dans les bons moments que lors de passes un peu plus compliquées à encaisser et, pour le lui faire comprendre, tu sais que tu n'as pas besoin de dire quoi que ce soit. Tu partages sa tristesse et tu sens ses larmes couler mais tu restes à ses côtés quoi qu'il arrive. Tu sens qu'il en avait besoin alors tu lui laisses tout le temps dont il a besoin pour ce faire.

Tu sais ce que c'est que de tout lâcher d'un coup, ça t'est parfois arrivé à cause de ta cousine et ton frère a toujours été là pour toi dans ces moments-là, c'est pourquoi il te semble normal de faire de même avec ton meilleur ami tout en respectant sa réaction et sans le forcer à te dire quoi que ce soit. Parfois, savoir que des proches sont réellement là en cas de besoin peut suffire mais tu l'es aussi si jamais il souhaite plus en parler.

Tu le sens se détacher de toi et tu l'écoutes attentivement. Tu lèves les yeux au ciel en entendant tout ce qu'il te dit : tu n'en crois pas un mot et tu ne te sens absolument pas irremplaçable, sans oublier que ce que tu fais pour lui est loin d'être une corvée.

- Si j'étais pas là, je suis sûre que tu aurais trouvé une autre personne qui se serait comportée comme moi, parce que tu mérites d'avoir quelqu'un à tes côtés pour t'aider quand ça va pas, comme tout le monde. Hé ! Je t'interdis de dire ça ! Tu as le droit d'avoir des moments où tu vas moins bien et tu m'embêtes pas du tout, d'accord ? Redis ça encore une fois et je serai obligée de me mettre en colère et crois-moi, tu veux pas voir ça, dis-tu sur le ton de la taquinerie.

Tu lâches un petit rire avant de redevenir sérieuse un instant :

- Tu te sens mieux ? Est-ce que.. je peux faire quelque chose de plus pour toi ?

Tu es et tu seras toujours là pour lui, et ça vaut pour toutes les circonstances, tant qu'il en a besoin et tu tiens à ce qu'il le sache afin qu'il n'hésite pas si jamais il souhaite se tourner vers toi une autre fois.

Sixième année RP | #4682B4
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.

16 févr. 2022, 22:49
Les flammes  L.C|K.L 
Se relever lui demande presque un effort de titan. Quand il marche, qu'il dort et qu'il se réveille toujours avec ce même poids sur les épaules, il arrive à avancer parce que tout semble si loin de lui. Comme s'il n'était plus dans son corps mais marchait à côté, simplement assez prêt pour se prendre la main à lui-même et guider ce petit corps qui plie facilement sous le poids de ce qui l'oppresse jour après jour. Maintenant qu'il s'est effondré et qu'il a laissé toute sa pyramide d'idées noires et d'angoisses se casser la gueule, il n'est pas sûr de pouvoir la reconstruire comme elle était avant, quand elle était assez équilibrée pour ne pas le faire tomber. Se relever semble juste infiniment plus compliqué que de simplement se remettre sur ses pieds en poussant sur ses jambes pour se redresser et ne pas retomber juste après. Deux pieds qu'il faut simplement placer stratégiquement pour ne pas perdre équilibre, une chose qu'on apprend tous très vite à faire mais qu'il est très facile d'oublier dans ces moments là. Pourtant, il s'appuie sur le mur et arrive tant bien que mal à se remettre un peu en ordre avec une grimace. Ses jambes sont peines de fourmillements et une crampe affreuse lui attaque le mollet droit mais s'il se rassied maintenant en espérant que ça passe, ça reviendra aux premiers mouvements.

Il gémit de douleur et balance tant bien que mal ses jambes qui semblent être des poids mort. Il ne ressent même plus la texture de ses chaussettes sur ses pieds tellement les fourmillements sont puissants. Dans ces moments là, il pense sincèrement à apprendre à ramper un peu plus dignement qu'il ne sait le fait pour pouvoir se déplacer comme ça mais sans avoir l'air d'être trop misérable. Ou, dans le pire des cas, pas plus misérable qu'il ne l'est déjà à l'instant présent. Quand ses jambes commencent à mieux lui répondre, il s'écarte d'un pas du mur mais garde une de ses paumes à plat contre la pierre. De l'autre, il vient de frotter la nuque, gêné. Une fois debout, toute la situation lui semble encore plus idiote qu'elle ne l'était de base. S'est-il vraiment effondré pour une pauvre petite flamme ? Il a eu de la chance qu'il ne se fasse pas virer de Poudlard pour ça pendant les vacances, surtout. Maintenant, ce n'est plus le temps de se laisser faire par son esprit comme ça. Pas devant les gens en tout cas, quand il est tout seul, il laisse retomber la pression mais ce qu'il vient de faire ici, ça le rend juste honteux et il déteste ce sentiment qui fait remonter toutes les angoisses de ne pas être assez bien.

Je suis sûr que j'aurais jamais pu rencontrer quelqu'un comme toi, si c'était pas toi. Ou alors, cette personne n'aurait pas été aussi importante pour moi que tu l'es, parce qu'il n'y a qu'une place pour une personne comme ça et je suis persuadé que le destin savait qu'elle serait pour toi. Moi j'y crois, parfois, pas tout le temps, mais j'ai eu de la chance infinie de croiser une fille comme toi. C'est le destin, peut-être pour compenser toutes les merdes qu'il me fait depuis. Il sourit doucement à son amie et lui tend la main pour lui serrer fort la sienne Mais si c'est pour t'avoir à mes côtés, ben ça vaut très largement le coup.

Il fini par attraper délicatement sa main et lui pose un baiser sur les phalanges avec un autre sourire doux. J'ai besoin de rien d'autre. Je me sens un peu mieux oui... il faut juste... si... si on pouvait juste ne pas en reparler ? Aller marcher un peu et voir si on peut trouver des trucs à grignoter à cette heure ?

Dernier post pour moi si ça te va ? :cute:

"T'a Smaug sur son tas d'or et t'as Edwin sur son tas de rédacteurs" - Isaac Powell
Edwin Wellhister (16 ans, quatrième année)

29 août 2023, 22:38
Les flammes  L.C|K.L 
Tu écoutes attentivement Edwin, complètement attendrie par tout ce qu'il arrive à te dire. Il est au plus bas et, même comme ça, il parvient à faire briller les autres à te faire sentir spéciale. Tu es reconnaissante de le connaitre aussi bien et de faire partie de son cercle proche. Plus il parle, plus tu as du mal à t'empêcher d'esquisser un large sourire, ce qui doit sûrement plus le rassurer que les larmes de joie qui coulent sur tes joues.

Ton meilleur ami n'a pas la vie facile, c'est certain, mais tu as envie de croire que ce fameux destin lui offrira de meilleurs évènements tout bientôt. Après tout, il le mériterait, et tu espères qu'il s'en rend bien compte.

- T'es adorable, j'ai vraiment de la chance de t'avoir, dis-tu tout en pressant également légèrement ta main dans la sienne.

Le Serpentard n'avait pas beaucoup de souhaits que tu pourrais exaucer maintenant, si ce n'est de laisser tout ce qu'il vient de se passer loin derrière vous et de refermer ce chapitre. Tu hoches la tête, évidemment que tu peux lui accorder cette demande. En fait, tu sais pertinemment que tu pourrais tout lui accorder, même l'impossible, tu ferais tout ce qui est en ton pouvoir pour ne pas le décevoir et lui montrer que tu tiens réellement à lui.

- Bien sûr, ça reste ici. Viens, on va voir ça, alors ! dis-tu tout en lui tendant une main pour l'aider à se relever, après l'avoir toi-même fait.

Pfiouf, j'en ai mis du temps mais c'est une fin de RP ! Merci Dwindwin <3

Sixième année RP | #4682B4
« Poufsouffle refoulée ayant été répartie à Serpentard, se proclamant Gryffondor et se faufilant parmi les Serdaigle » E.D.