Malya me demande si je m'intéresse au Quidditch. Elle dit avoir déjà vue plusieurs matchs, ici et en dehors. 

- J'adore ça mais je n'étais encore jamais venue voir de matchs ici. À  Londres par contre, on allaient tout le temps les voir quand mon équipe préférée ou celle de Louis jouaient. 

J'écoutait attentivement ce que disaient les commentatrices. Apparement on avait l'avantage. Je faisais confiance à notre équipe, ils allaient gagner. Ils le devaient. Avec l'encouragement des Crocheers aussi, et l'interprétation musicale d'Antonn. 

- ALLEZ LES CROCHETS !!!

Comme ça doit être bien d'être sur le terrain, voler sur un balai. Mais elle avait décidée d'attendre. Tout ce qui se bousculait dans sa tête l'empêchait de se concentrer. 

@Malya Crown

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J'étais très heureuse de partager le même point de vue qu'elle sur la violence de ce sport. Sur le terrain, les Crochets, malgré le fait que Sparks ait dû gérer toute seule le match match durant quelques instants, menaient plutôt largement, sur le score de 60 à 20. J'étais très satisfaite pour le moment, car les vert et argent donnaient l'impression d'avoir la main sur le match, avec notamment leur gardienne, cette même Hannah Lyse Sparks. Cette différence de niveau était assez impressionnante : seule contre 4 Gryffons, Hannah avait plus que limité les dégâts. Je lâchai un gros soupir d'admiration devant une telle prouesse.
Je restai quelques secondes immobile devant ce spectacle fascinant.

@Solenn Cooper

Une situation étrange dans laquelle tu ne savais ni trop quoi faire ni trop quoi dire ni où te situer. Un monstre Rytz. Tu étais un monstre. Ton insensibilité t’avait transformée en monstre. Ton insensibilité t’empêchait de ressentir quoique ce soit. Alors j’étais fâché, fâché et déçu de ton comportement égoïste et arrogant. Tu aurais tout de même pu la regarder d’une façon plus décente. Elle ne méritait pas qu’on lui lance des regards aussi violents. Tu vois bien que tu lui as fait du mal, toute personne dotée d’un minimum de bon sens n’aurait pas eu le moindre mal à le deviner.

Penaud tu baissais la tête te mordillant nerveusement la lèvre inférieure bien que ne comprenant pas tout à fait ce qui se passait. Tu n’osais même plus la regarder et tu faisais mine de ne plus l’entendre. Terrible. Encore plus terrible. Mais tu ne savais pas t’excuser alors tu préférais simplement te cacher dans ta honte. Encore pire puisque cela signifiait que tu n’assumais pas tes actes. Un lâche. Un fourbe. Tu ne valais pas plus que ça.

Elle avait remarqué ton regard. C’était certain au vu des nombreuses hésitations que laissaient transparaitre sa voix devenue soudain moins assurée comme si elle avait perdu toute dignité. Elle semblait troublée, et tu ne comprenais pas vraiment pourquoi. *Me fait pas croire qu’elle ne s’est jamais regardée dans le miroir. Elle doit savoir pour apparence. *

« - Oh, je pensais que tu savais, y’a pas de miroir dans votre dortoir ? » lui dis-tu en guise t’excuse d’une voix hésitante. C’était tout ce que tu avais trouvé à dire. Lui relancer la balle. Lui rejeter la faute. C’était encore plus lâche qu’assumer ses actes Rytz.

Lorsqu’elle ramena la conversation vers le maquillage elle semblait plus terrifiée encore et tu ne comprenais toujours pas pourquoi. Tu entendis juste des excuses, encore des excuses, toujours ses excuses inutiles. *Rooh ils ne s’arrêteront donc jamais de s’excuser. C’est complètement débile.* pensait ton esprit avant d’ignorer les remarques de la jeune fille. Tant mieux si elle ne te trouvait pas si moche cela ne pouvait que te faire plaisir.

« - Je fais si peur que ça ? » rétorquas-tu lorsqu’elle t’annonçait être prête à mettre cet ignoble vert à lèvres alors qu’elle semblait tant haïr le maquillage. « Bien sûr que non ça ne va pas te tuer d’en mettre. Pèse un peu des mots s’il te plaît ou ça va devenir perturbant. » lui vociféras-tu au visage avant d’enfouir précipitamment ta tête dans tes mains.

Perdu. Tu étais perdu. Humilié. Tu en avais assez de changer sans cesse de comportement sans plus rien réussir à maîtriser. Tu faisais pourtant tant d’efforts. Tu mettais tellement de cœur dans tout ce que tu entreprenais que tu étais prêt à exploser à chaque instant. Il suffisait d’un mot, d’une action, d’une émotion, d’un rien. Chaque mot qui pouvait te rappeler ton passé, chacune des émotions que tu t’empressais de cacher dès qu’elles apparaissaient, chacune des personnes que tu avais eu envie de gifler mais dont tu t’étais retenu parce que tu avais eu subitement envie de changer étaient les causes de tes changements d’humeur. Tout ça c’était trop et tu n’en pouvais plus de sans cesse retomber comme au début. *La vieille doit forcément se tromper. C’est impossible de devenir gentil.*

« - C’EST IMPOSSIBLE » t’écrias-tu haut et fort avant de bousculer les enfants surexcités qui gesticulaient partout. Tu avais ce besoin de fuir. Tu étais venu ici pour faire comme les autres pourtant ça n’avait pas marché. Encore une fois ça n’avait pas marché. Tu descendis d’un étage espérant te fondre de nouveau dans la masse. Tu n’en voulais pas à la jeune fille mais tu ne voulais certainement pas qu’elle te voit dans un état pareil. Il ne fallait pas s’étonner si personne ne voulait être ami avec toi. Il y avait clairement un truc qui clochait chez toi et c’était à la portée de tout le monde de l’apercevoir. *Ly * pensas-tu le visage plein de larmes. Si seulement il avait été là pour t’aider. Vous vous compreniez si bien tous les deux mais pourtant il a fallu qu’il s’en aille comme tous les autres te laissant une nouvelle fois encore plus seul. * Pour moi, ça fait moins mal quand on sourit. On a l'impression d'avoir juste un peu de bonheur* Tu avais fui certes, mais tu avais tout de même pris le temps d’écouter les dernières paroles de Lumah. Elle avait tout d’abord complimenté ton prénom. Tu ne savais pas trop qu'en penser mais c’était gentil de sa part. Elle devait sûrement comprendre ce que cela faisait d’avoir un prénom que personne n’arrivait à prononcer correctement. Pensant à son visage à la fois amochi mais très touchant tu essayas de te forcer à sourire mais pourtant tes lèvres ne semblaient pas prêtes à effectuer le moindre geste.

Tout triste, tu te dirigeas vers l’extrémité des tribunes pouvant ainsi t’appuyer sur la rambarde tenant d’observer le match malgré tes yeux inondés. Au vu des exclamations, l’équipe des Gryffondor n’avait certainement pas dit son dernier mot !

Les mots de sa voisine lui permit de reprendre confiance en son équipe, pour son plus grand plaisir. Le match était encore en leur défaveur, une situation peu confortable mais permettant de se motiver davantage, plutôt que de se reposer sur ses lauriers. La tension était à son comble, puisque les deux attrapeuses filaient droit sur le même objectif, la petite balle argentée, frétillant dans tous les sens. D'après les précédentes explications de Katherine, c'était le Viffet d'Argent, rapportant vingt points à l'équipe qui l'obtient. Si Arya l'attrappait, les Griffes réduiront l'écart, et c'est la seule chose qu'ils puissent faire pour le moment.

Allez, allez, allez... S'teuplaît Nightshade, fait-le...

L'attrapeuse rouge n'était plus qu'à quelques centimètres, tendit le bras, se cramponna d'une seule main au manche...

Vas-y !

...et d'un geste ferme et rapide, enferma dans sa main le Viffet.
Katherine sauta dans les bras de la jeune Rym, qui criait de toutes ses forces, relâchant la pression qu'elle avait accumulé. Les deux jeunes filles passèrent d'une inactivité à des sautiments de fierté et de joie. Swann se mit debout, plaça ses mains autour de sa bouche puis cria :

- Bravooo ! Bravo Arya !

C'était l'euphorie pour les spectateurs rouges qui reprenaient peu à peu espoir dans le match. Puis, la brune se rassit et s'adressa à Katherine.

- Elle est très douée !

Elle jeta un coup d'oeil au banc des remplaçants où leur capitaine se préparait.

- On dirait qu'Esmée va entrer dans le match, non ?

Pas longtemps après que je me sois installée, une jeune fille aux cheveux roux vient s'assoir près de moi. Je la dévisageais rapidement avant de me concentrer de nouveau sur le match. Arriver en retard n'était pas l'idéal pour comprendre ce qu'il se passait réellement mais heureusement, les Serpentard étaient du genre bavard et j'avais pu récolter des informations en écoutant les propos de mes voisins de derrière.

Quand la jeune rousse me demanda où en était le match, je réussi donc à lui répondre : "Si je ne me trompe pas, je crois que Serpentard mène le match et qu'on était a 60 points il n'y a pas longtemps mais je ne suis pas sûr de moi..." Après tout, rien ne me prouvait que les gens derrière moi avaient bien suivi le déroulement de ce début de match.

Enfin bref, je n'avais plus qu'a le faire de mon côté et visiblement, cette rouquine de Serpentard se joindrait à moi pour ça. Lorsque j'étais arrivée dans les gradins, je n'avais pas vraiment prévu de passer se moment avec quelqu'un mais bon, puisqu'il devait en être ainsi... "Salut sinon, moi c'est Debra mais, on reste sur Deb', c'est plus.... moi" je lui fis un bref sourire avant de retourner mon regard vers le terrain.






@Elfie Sweetheart

Le coup d'envoi que siffle Miss Field annonce le début de leur prestation, Alaska se concentre au point de ne plus entendre l'agitation de la foule autour d'elle. Dans sa tête, ne résonne que les comptes de la chorégraphie pour être en parfaite synchronisation avec ses coéquipiers.

Cinq... six... sept... huit... La Capitaine fait valser d'une main à l'autre son balai alors qu'il manque de lui échapper plusieurs fois, mais elle répète le mouvement sans se laisser déstabiliser, donnant plus de rythme à ses gestes. Une fois le jonglage effectué, la brune s'active pour poser le balai en bordure de terrain et récupérer ses pompons. Elle revient ensuite se placer au même endroit que tout à l'heure afin de garder la même formation initiale prévue. Avant de poursuivre, Alaska jette un bref regard à toute l'équipe, et une fois assurée qu'elle soit prête, elle donne un "Top" de départ.

Les bras parfaitement alignés le long de son corps, elle plie sur ses jambes serrées pour prendre de l'élan et sauter en même temps de tenter un grand écart dans les airs. La souplesse de la jeune fille ne le permet pas encore, mais le résultat s'en rapproche. Les pieds de nouveau sur le sol, Alaska agite ses pompons verts au-dessus d'elle. La chorégraphie poursuit son cours normalement, le spectacle n'est pas terminé, et les Crocheers changent maintenant de formation. Pour se faire, ils se déplacent en effectuant une roulade pour grappiller quelques mètres.

Le sol est plutôt dur et froid, ce qui lui donne un peu mal à l'arrière de son crâne, mais la douleur fait partie de cette expérience, et Alaska s'y est très vite habituée. La troisième année relève la tête quand Lili commente les paroles de Geneva et Elfie, et s'exclame à son tour :

« Ils ont entendu ton appel, ça mérite une nouvelle chanson ça, Clifford. »

@Carry Harrison @Lili Cooper @Talya Duval @Antares Fraw @Athalée Drasilio @Antonn Clifford

Cette sensation de faire partie d’un groupe à part entière était magnifique. Nous venions d’effectuer la première étape de notre chorégraphie et rien qu’avec ceux-là je sentais déjà mes poumons me mettre à l’épreuve. Mais c’était le but d’une chorégraphie, commencer fort pour captiver l’attention du publique et cette fois, nous allions effectuer des figures beaucoup plus simples qui allaient nous permettre de récupérer. En restant concentrer sur le publique avec un sourire, je commençais à faire tourner le balai dans ma main pour le faire passer de ma main droite a ma main gauche et ainsi de suite jusqu’à ce que toute l’équipe soit prête pour la phase suivante. Les balais en bordure de terrain, on se mit tous en position pour le jump, pieds joins l’un a l’autre avec les bras le long du corps, l’équipe entière se mit à sauter pour décoller du sol tous en même temps et écartèrent jambes et bras a plusieurs répétitions. Un exercice que je trouvais assez dur car un seul faux mouvement et quelqu’un pouvait se blesser. Mais Alaska nous fit très vite le signe de continuer et d’a notre publique la suite et pour ça, il nous fallait reculer de quelques mètres en effectuant une roulade propulsée en arrière et nous étions prête a nouveau pour ce qui allait suivre.

Le coup d’envoi avait été donnée. Les Crochets contre les Gryffondors, un match que je pouvais considérer comme un classico puisque la maison du lion était la rivale de la maison du serpent. Les balais volent dans tous les sens, les cognards se font une joie d’écraser les pauvres malheureux qui ne font pas attention. Tant d’action se déroulait au-dessus de nos têtes que moi-même j’avais du mal à contenir mon excitation. Mais garder son sang-froid devait faire partie des qualités d’une Cheer car si au contraire le mentale était faible, les émotions pouvaient facilement nous submerger et nous pousser à la faute pendant notre chorégraphie. Ça pouvait être dangereux, voir fatale vu la difficulté de nos figures.

Mais ma confiance en mes Cheer-mates était absolue et Alaska faisait un travail titanesque et merveilleux pour synchroniser l’équipe comme il fallait. Après tout, ce n’était pas pour rien qu’elle avait été choisie comme préfet à Serpentard. Puis finalement un sifflement me tira de mes rêveries, mes coéquipières filles et garçons se mirent à sauter de joie et à s’embrasser sans que je n’eu le temps de comprendre ce qui était en train de se passer : Les Crochets d’Argent venaient de marquer un but et je pouvais sentir les gradins verts gronder de bonheur jusqu’à sous mes pieds. Ah, il fallait bien que je me prête au jeu non ?

- Joie et bonne humeur, les Crochets sont des tueurs !

Vous atterrissez et vous vous placez au milieu du terrain. Le match a commencé, ce qui veut dire que vous allez devoir mettre les bouchées doubles pour encourager les Crochets à faire de leur mieux. Tu sais que leur premier match est encore bien présent dans leur esprit mais tu n'as pas envie qu'ils partent pessimistes pour autant : tu sais qu'ils sont capables de gagner ce match alors ils n'ont pas intérêt à baisser les bras !

Le mouvement suivant est assez simple puisqu'il s'agit de jongler avec vos balais. Vous le passez deux fois dans chaque main avant de passer à la suite. Vous vous regardez pour vous assurer que tout le monde est prêt puis vous posez vos balais au sol pour avoir les mains libres. La figure que vous faites est un jump. Il s'agit d'un saut un peu plus élaboré et bien plus maitrisé qu'un saut ordinaire. Vous êtes synchronisés, ce qui est beau à voir. Vous enchaînez avec une roulade arrière afin de ne pas toujours rester au même endroit, ce ne serait pas agréable à voir et cela pimente un peu votre chorégraphie. Là encore, vous vous regardez et vous vous rassurez entre vous : Tout se passe bien. 

Il fait un peu froid mais tu t'en fiches, tu aimes être avec l'équipe. Tu vois aussi beaucoup de Serpentard dans les tribunes, ce qui te réjouit. En relevant un peu plus la tête et en écoutant les commentatrices, tu apprends qu'un premier but a été marqué contre les Gryffondor. Oui ! 30 points pour vous ! Le match commence bien ! Tu souris bêtement : tu espères que le match se poursuivra ainsi, même si ton grand frère aimerait autant voir sa maison gagner que toi la tienne. Tu regardes tes coéquipiers un à un avec l'air de dire : "Vous avez entendu ? Il faut continuer à leur donner de la force !". Tu es déterminée à faire de ton mieux pour voir l'équipe de ta maison sortir victorieuse de ce match.

Leur chorégraphie, avait été divisée en quatre sortes d’enchainement, alors que le premier venait de se terminer, il fallait déjà commencer à réaliser le suivant. Antares put reprendre son souffle pendant un tout petit moment, puis essaya de se reconcentrer, il y avait énormément de bruit dans les tribunes, énormément de couleurs que cela en devenait facilement perturbant. Il fallait qu’elle se reconcentre, pour l’équipe, elle ne pouvait pas les abandonner. Tous les Crocheers se mirent en place comme il le fallait au centre du terrain, cet enchainement se faisait au sol, il n’y avait donc aucun risque pour eux d’être blessé par les joueurs qui se trouvaient au-dessus de leurs têtes.

Lorsqu’ils furent en position, Antares fit un petit hochement de tête à tous ses coéquipiers, pour leur dire qu’elle croyait en eux et que tout irait bien. Pourtant avant qu’ils puissent commencer à faire leur mouvement, Antonn se mit à chanter, visiblement il avait pris très au sérieux le gage de leur capitaine. Suite à cela, la serpentard prit son balai de la main droite et le mit debout face à elle, ensuite elle le passa vers sa main gauche, puis de nouveau vers la droite et ensuite de nouveau vers la gauche. Ils venaient de jongler avec le balai, et visiblement ils avaient tous réussi et avaient été presque synchros, et ça c’était le top. La figure suivante était un peu plus compliquée, c’était un jump, donc un saut, mais il était un peu plus haut que les sauts ordinaires. Nous nous plaçons tous les pieds joints, ensuite nous sautons en écartant les jambes et les bras, ceux-ci se rejoignent un peu pour Antares, ils se touchaient presque. Bien que cela ait été un peu plus compliquée, la jeune fille fut heureuse de voir que tous ses coéquipiers et elle avait réussi le mouvement et en même temps. C’était un mouvement qui aurait pu être qualifié de simple, pourtant, il fallait avoir de la force pour être capable de sauter comme cela. Ils ne pouvaient pas attendre, la dernière figure était une roulade en arrière et permettait de se déplacer pour faire leur prochain enchaînement.

La Serpentard est heureuse, heureuse de faire partie de cette équipe de Cheerleading mais aussi heureuse de soutenir les Crochet d’argent, car ceux-ci venaient de marquer un but. Les serpentards étaient définitivement une partie de sa famille, et ses coéquipiers qui l’accompagnaient en faisaient partie eux aussi, elle était fière d’être leur amie et de faire ceci avec eux. Ils étaient fort, et ils allaient continuer à supporter leur équipe et visiblement Lili pensait la même chose, il fallait continuer pour leur apporter le plus de soutiens et le plus de motivation. Ils allaient battre ces Gryffondor !

La première partie s’était super bien passée, il n’y avait donc pas de raison que la seconde échoue. Avant de continuer la chorégraphie, Talya regarda dans les gradins, il y avait beaucoup de vert mais aussi de rouge, cependant elle cherchait quelqu’un en particulier, sa cousine. La Poufsouffle trouvée, Talya lui fit un sourire et se plaça pour continuer la chorégraphie.

Cette partie était simple, de quoi se remettre des émotions passées et se préparer pour la suite.

Le balai devait jongler entre la main droite et la main gauche, deux fois chacun. Une fois finis, il suffisait de poser le balai à même le sol et de se préparer à effectuer un jump. C’était un saut pour lequel il fallait partir pieds joints et mains le long du corps. En même temps que le saut, il fallait écarter les jambes et tendre le bras droit sur la jambe droite et faire de même avec le côté gauche.

Toute l’équipe effectua cette partie avec une parfaite synchronisation. Tout ce passer merveilleusement bien. Tant mieux !

La dernière figure consistait à faire une roulade arrière en direction de la place que nous devions occuper pour la suite. Avec la même synchronisation que la figure d’avant, chaque membre de l’équipe se retrouve à sa place.

Talya, un sourire de fierté sur les lèvres, regarda le score actuelle. Serpentard était en tête !